Sakina, aujourd’hui vous allez nous parler de la résilience des écosystèmes marins. Mais avant de commencer, qu’est-ce que la résilience en écologie ?
Sakina Ayata, il paraît que les scientifiques se rebellent ?Oui ! Alors que le changement climatique et la crise de la biodiversité menacent de plus en plus nos écosystèmes, et donc nos sociétés, certains scientifiques ont décidé de se rebeller face à l’inaction qui nous entoure.
Sakina, on sait aujourd’hui que la biodiversité marine est menacée, à la fois par les activités humaines et par le changement climatique, mais sait-on comment la protéger ?Et bien oui, car plusieurs solutions ont été proposées, en particulier par l’ipbes, la « Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la Biodiversité et les Services Écosystémiques », parfois aussi appelée le GIEC de la biodiversité et dont je vous ai déjà parlé.
Sakina, aujourd’hui vous allez nous parler des éoliennes en mer, aussi appelées éoliennes « offshore », qui sont une des énergies marines renouvelables.
Sakina, lors d’une précédente chronique, vous nous avez présenté le travail de l’ipbes, la « Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la Biodiversité et les Services Écosystémiques », parfois aussi appelée le GIEC de la biodiversité.Que nous dit l’ipbes, sur l’état de santé des océans et sur la biodiversité marine ?Et bien, les écosystèmes marins ne sont pas épargnés par le déclin mondial de la biodiversité. Dans son dernier rapport global sur la biodiversité et les services écosystémiques, qui date de 2019, l’ipbes indique que les activités humaines ont un impact sur tous les écosystèmes marins, aussi bien depuis les côtes jusqu’aux eaux les plus profondes des océans. Ainsi, on pense qu’en 2014, seulement 3 % des océans n’étaient pas impactés par les activités humaines... Ces impacts se traduisent par exemple par des pollutions, l’exploitation non durable des ressources, les pressions exercées par la surpopulation côtière, mais également celles engendrées par le changement climatique...
L’ipbes est encore relativement peu connu du grand public. L’acronyme I-P-B-E-S, prononcé ipbes donc, signifie Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la Biodiversité et les Services Écosystémiques.
Les coraux sont des animaux qui vivent en symbioses avec des microalgues appelées zooxanthelles, c’est-à-dire que ces microalgues vivent à l’intérieur des cellules du corail.
Et bien l’océan a une profondeur moyenne d’environ 3700 mètres. Autant dire que c’est profond ! On parle de zones ou de plaines abyssales pour décrire ces écosystèmes du fond des océans situés entre 4000 et 6000 m.
Au programme, un sujet dont on a beaucoup entendu parlé récemment, à savoir les algues vertes et leur prolifération sur nos côtes. Ce problème, apparu de manière massive et récurrente depuis les années 70, a été largement médiatisé avec la parution de la bande dessinée d’Inès Léraud et de Pierre Van Hove en 2019 (Algues vertes, l’histoire interdite), puis avec la sortie du film de Pierre Jolivet (Les Algues vertes) en juillet 2023...
Le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (le PNUE) alerte sur les problèmes causés par l’extraction massive de sable dans les océans.
La fois précédente Sakina-Dorothée Ayata, nous a parlé des canicules marines. Aujourd'hui, elle nous explique quels sont les impacts de ces canicules marines sur les écosystèmes ?
Aujourd'hui, nous avons le plaisir de retrouver Sakina-Dorothée Ayataon pour cette rentrée, avec un sujet qui était au cœur de l'été : les canicules. Mais cet été, on a aussi beaucoup entendu parlé de canicules marines.
Aujourd'hui, Sakina-Dorothée Ayata nous parle des sacoglosses, un ordre de limaces de mer herbivores, dont certaines sont des voleuses de chloroplastes.
Sakina-Dorothée Ayata nous parle des limaces de mer.
On sait maintenant que le niveau moyen des mers augmente, en ce moment même, de 4 mm par an et que l’augmentation pourrait atteindre, en suivant la trajectoire actuelle, de 65 cm à 1 m en 2100.
Sakina-Dorothée Ayata nous explique pourquoi la mer monte et à quoi les zones côtières vont devoir se préparer pour les années à venir en raison du dérèglement climatique.
Sakina Dorothée-Ayata nous parle de l'anémone fraise qui est une anémone de mer est une cousine des méduses et des coraux, puisqu'elle fait partie de l'embranchement des cnidaires.
Cette semaine, Sakina-Dorothé Ayata nous parle de l'oursin violet, dont le nom latin est Paracentrotus lividus, qui est un oursin très commun en Méditerranée, et on le retrouve également en Atlantique Nord-Est et en Manche, depuis l'Écosse et l'Irlande au Nord, jusqu'au Maroc, aux Açores et aux Canaries au Sud.
Cette semaine, Sakina-Dorothée Ayata nous parle de l'étoile de mer. Tout le monde la connaît, mais nous allons voir que son mode de vie a tout d'un film d'horreur !