Privé de contact avec la surface, le Docteur Ambrosia guide la faune des profondeurs en dehors des zones mortes depuis la station sous-marine Poséidôme.
Tandis que le silence de la surface s'installe, le Dr Ambrosia observe un des derniers rorquals.
Depuis le Poséidôme le Dr. Ambrosia découvre une large silhouette bleue.
Rencontre sous-marine à la lumière du Poséidôme, entre une baleine bleue et le Dr. Ambrosia.
Le piano résonne dans le Poséidôme. À 237 mètres de profondeur, Ambrosia se laisse porter par la lumière de verre.
L'ombrelle de la méduse scintille au phare du Poséidôme, sous le regard contemplatif du Dr. Ambrosia.
Loin de la voûte céleste, le Dr Ambrosia enveloppe le Poséidôme de constellations artificielles.
À 237 mètres de profondeur, Ambrosia observe son ciel étoilé artificiel. La nuit tombe sur le Poséidôme, et elle ne vient pas seule.
Pleine nuit dans le Poséidôme, les profondeurs sont privées de soleil mécanique et le Dr Ambrosia n'a qu'une réserve limitée d'oxygène.
Procédure d'urgence. Le Dr. Ambrosia sort du Poséidôme et libère le chrome d'Ariane.
De l'air ou de la lumière. Le phare du Poséidôme perce à nouveau les profondeurs. Ambrosia garde son souffle.
Guidé par la lumière du Poséidôme, entre le bleu monochrome et les ombres de l'épave, le Dr Ambrosia redécouvre le rouge.
À 237 mètres de profondeur, la boîte noire de la navette résonne dans le Poséidôme. Un début de réponse pour Ambrosia.
Le sommeil se brise et la paranoïa s'installe. Ambrosia s'égare dans la solitude du Poséidôme.
La lumière de verre s'estompe dans les reflets de l'eau. Le Poséidôme baigne dans un dernier clair-obscur. Ambrosia, seul entre l'abysse et la surface.