Ce 186e épisode de Pos. Report est de nouveau consacré à la dixième édition du Vendée Globe, cette fois sous le prisme des partenaires, puisque les deux invités sont Sébastien Petithuguenin, directeur général du groupe Paprec, co-partenaire titre avec Arkéa de Yoann Richomme, et Franck Vallée, président fondateur d’Initiatives, un des trois sponsors mécènes de Sam Davies.L’un comme l’autre commencent par revenir sur leur historique dans la voile et dans le Vendée Globe. Il a commencé pour Paprec en 2004 aux côtés de Jean-Pierre Dick, avec, avec d’entrée un modèle de co-partenariat titre - avec Virbac, puis Saint-Michel et maintenant Arkéa - “pour partager les coûts”, explique Sébastien Petithuguenin, en 2012 pour Initiatives avec Tanguy de Lamotte.Franck Vallée raconte comment s’est mis en place dès le début le dispositif autour de l’association Mécénat Chirurgie Cardiaque qui permet de reverser un euro à celle-ci pour chaque nouveau follower sur les réseaux sociaux. Nos deux invités expliquent ensuite comment leurs partenariats respectifs ont évolué, avec des attentes de retombées particulières pour l’un comme l’autre - qui ne les mesurent d’ailleurs pas -, plus d’image dans une optique BtoB pour Paprec, liées à l’action de mécénat pour Initiatives.Ils détaillent également le fonctionnement des projets, celui de Paprec et Arkéa ayant évolué depuis le dernier Vendée Globe, puisque les deux partenaires ont décidé de créer une structure, Team Spirit Racing, dont ils sont copropriétaires pour accompagner Yoann Richomme, avec des objectifs ambitieux de résultats. Franck Vallée explique de son côté que si les partenaires de Sam Davies ont souhaité lui donner les moyens de ses ambitions, le résultat n’est pas la priorité absolue du projet.Nos deux invités finissent par évoquer l’avenir, partageant la conviction que le sponsoring voile doit s’inscrire dans le temps, d’où leur intention de poursuivre au-delà de ce Vendée Globe 2024.Diffusé le 29 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 185e épisode de Pos. Report reçoit deux marins qui prendront le départ, le 10 novembre, de leur troisième Vendée Globe, à savoir le tenant du titre, Yannick Bestaven, qui s’élancera sur Maître CoQ V, plan Verdier mis à l’eau en août 2022, et Romain Attanasio, 15e en 2016, 14e en 2020, qui sera quant à lui à bord de Fortinet Best-Western, plan VPLP Verdier mis à l’eau en août 2015.Les deux marins commencent par raconter leur arrivée aux Sables d’Olonne la semaine dernière, un moment toujours fort car il concrétise plusieurs années de travail, et particulièrement pour Romain Attanasio dans la mesure où il a été victime d’un démâtage en septembre lors du Défi Azimut. Ce dernier raconte la course contre la montre à laquelle il a été confronté avec son équipe, non seulement pour trouver un mât de remplacement, proposé par Maxime Sorel, mais surtout pour trouver le financement, de 480 000 euros.Nous effectuons ensuite un retour en arrière, nos deux invités expliquent comment, peu après le précédent Vendée Globe, ils ont décidé de repartir sur une troisième campagne, Romain Attanasio ayant racheté l’ancien Imoca de Boris Herrmann, Yannick Bestaven ayant fait le choix d’en construire un, mais dans des moules existants, en l’occurrence ceux de l'ex 11th Hour Racing Team. Ce dernier a choisi d’appliquer la même méthode, gagnante, que lors de son précédent Vendée Globe, à savoir peu faire évoluer le bateau, mais beaucoup naviguer pour le fiabiliser et bien le connaître.Ils reviennent ensuite sur leurs résultats au cours des trois années précédentes, évoquent leurs attentes sur cette édition 2024, et ils terminent par parler d’après-Vendée Globe : Yannick Bestaven souhaite se tourner vers le double et l’équipage, avec The Ocean Race en tête, avant de transmettre la barre à un marin qu’il aura formé pour l’édition 2028, Romain Attanasio se verrait bien repartir sur une quatrième campagne de suite, avec lui aussi pour ambition de proposer The Ocean Race à ses partenaires.Diffusé le 22 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 184e épisode de Pos. Report est consacré au Match de la 37e Coupe de l’America entre Ineos Britannia et Emirates Team New Zealand, décrypté par nos deux invités, Christian Karcher, six participations à la Coupe, dont trois victoires (deux avec Alinghi, une avec BMW Oracle) et Thierry Douillard, coach d'Orient Express Racing Team sur cette campagne 2024.Nous commençons d’ailleurs par évoquer l’actualité du défi français avec ce dernier, qui raconte comment l’AC75 tricolore a continué à naviguer après son élimination à l'issue des deux round robin de la Coupe Louis Vuitton, donc à progresser. Nous revenons avec les deux invités sur la campagne française, qui s’est achevée à la fin du deuxième round robin, avant d’évoquer la victoire d’Ineos Britannia sur les Italiens de Luna Rossa Prada Pirelli en finale de la Coupe Louis Vuitton, Thierry Douillard estimant notamment que le remplacement de Giles Scott par Dylan Fletcher comme deuxième barreur a été décisif.Nous décryptons ensuite les quatre manches disputées de samedi à lundi, avec pour l’instant un net avantage 4-0 au defender néo-zélandais qui, selon nos deux invités, se montre supérieur dans les phases de transition, bien plus efficace dans les relances en sortie de manœuvres. Christian Karcher explique comment Ineos Britannia s’est vu infliger une pénalité lors du pré-départ de la manche 3, injuste à ses yeux, Thierry Douillard détaille la manche 4, la plus serrée jusqu’ici avec un bon départ anglais, même si encore conclue par une victoire néo-zélandaise.Nous finissons par nous projeter sur la suite et fin de ce Match qui, selon Thierry Douillard, devrait se disputer dans des conditions météo encore assez faibles, donc plutôt favorables aux Kiwis, la solution par les Britanniques passant, selon les deux spécialistes de la Coupe, par de l’agressivité au départ et des progrès dans les transitions.Diffusé le 15 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 183e épisode de Pos. Report est consacré au Vendée Globe, à un mois du départ de la dixième édition, le 10 novembre 2024, en compagnie de deux skippers qui font partie des 15 bizuths, Guirec Soudée (Freelance.com) et Sébastien Marsset (Foussier).Les deux marins commencent par raconter dans quel état d’esprit ils sont, à un mois du départ, avant de revenir en détail sur leur campagne de préparation : ils détaillent ainsi comment leur est venue l’envie de faire le Vendée Globe, comment leur projet s’est concrètement mis en place, la course aux milles et les difficultés qu’ils ont rencontrées et surmontées, notamment financières pour Sébastien Marsset, plusieurs fois été proche de renoncer, faute de ressources.Ils expliquent ensuite comment ils ont fait évoluer leurs bateaux respectifs, deux plans Farr mis à l’eau en 2006 (Foussier) et 2007 (Freelance.com). Guirec Soudée a d'ailleurs peu modifié son Imoca (avec lequel Benjamin Dutreux avait fini 9e lors de l’édition précédente), préférant, au regard de son expérience limitée en matière de course au large, se consacrer à bien en apprendre les ficelles aux côtés de “professeurs”, comme Sébastien Audigane, Roland Jourdain ou Corentin Douguet.Les deux skippers finissent par évoquer leurs objectifs respectifs - finir bien évidemment, et si possible dans le paquet de tête du classement officieux des bateaux à dérives - et leur avenir : Sébastien Marsset a d’ores et déjà envie de remettre ça en 2028 avec un projet plus ambitieux, Guirec Soudée ne se voit quant à lui pas attendre quatre ans avant de repartir sur une navigation au long cours.Diffusé le 8 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 182e épisode de Pos. Report revient sur la Unicredit Youth America’s Cup, qui s’est terminée la semaine dernière à Barcelone avec le skipper de l’équipe française Orient Express L’Oréal Racing Team, Enzo Balanger, et Fabrice Levet, entraîneur des équipes jeunes et femmes du défi tricolore.Les deux invités commencent par raconter leurs parcours respectifs, entre passion précoce pour le foil pour le premier, grande expérience de la Coupe pour le second, qui a disputé quatre éditions en tant que navigant (la première en 1992), une comme coach, à chaque fois pour des défis français.Enzo Balanger revient sur la sélection par laquelle il a dû passer pour disputer la 3e édition de la Youth America’s Cup, Fabrice Levet raconte comment, alors qu’il occupait un poste à responsabilité à l’ENVSN de Quiberon, il a accepté la proposition de Bruno Dubois de rejoindre Barcelone au printemps dernier. Il explique aussi comment il lui a fallu intégrer les spécificités de l’AC40 avant de réellement commencer à accompagner les équipes jeunes et femmes.Nous entrons ensuite dans le vif du sujet de cette édition qui ne s’est pas du tout passée comme prévu pour les Français qui, à cause de problèmes techniques sur leur AC40, n’ont pu courir que 3 manches sur 8 ! Ce qui les a privés finalement d’une qualification pour les demi-finales. D’où une grande frustration et un sentiment d’injustice pour Enzo Balanger, qui veut cependant positiver et retenir le meilleur de cette aventure de près d’un an.Nos deux invités finissent par parler d’avenir, à Quiberon dans l’immédiat pour Fabrice Levet qui va retrouver son poste à l’ENVSN, en Moth à foil pour Enzo Balanger qui disputera le Mondial en fin d’année en Nouvelle-Zélande.Diffusé le 1er octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 181e épisode de Pos. Report reçoit le skipper du Maxi Edmond de Rothschild, Charles Caudrelier, à quelques jours du départ de la deuxième édition de la Finistère Atlantique, course en équipage en Ultim, qui sera donné le 28 septembre de Concarneau à destination d’Antibes.Le vainqueur de l’Arkea Ultim Challenge-Brest commence par raconter comment il s’est remis de cette première autour du monde en solitaire en Ultim, confiant avoir vite retrouvé la motivation grâce à la perspective du futur Gitana 18, qui l'a bien occupé ces derniers mois (et continue à l'occuper).Il rentre ensuite dans les détails de ce trimaran actuellement en construction chez CDK, dont la mise à l’eau est prévue dans un an, annonçant quelques surprises, entre plateforme et appendices testés sur un simulateur interne, qui devraient, selon lui, permettre de franchir un pas important en termes de performances par rapport à l’actuel Maxi Edmond de Rothschild.Charles Caudrelier explique ensuite que depuis la remise à l’eau de ce dernier, en juillet, l’équipage a navigué une vingtaine de jours, équipage qu’il passe en revue, se réjouissant notamment d’accueillir à bord des regards neufs, avec Julien Villion et Benjamin Schwartz.Nous parlons ensuite de la deuxième édition de la Finistère Atlantique, le skipper du Maxi Edmond de Rothschild se réjouissant de retourner en Méditerranée, comme à l’époque des Orma. Il vise bien évidemment une nouvelle victoire (il avait remporté la première en juillet 2022), même s’il sait que la concurrence se rapproche, avec notamment un parcours qui pourrait, selon lui, favoriser SVR Lazartigue, plus léger.Nous finissons par parler d’avenir, le grand objectif à terme de Charles Caudrelier et du Gitana Team étant la défense de leur titre sur la Route du Rhum 2026. Et après ? Le skipper ne semble plus écarter une participation à la deuxième édition de l’Arkea Ultim Challenge-Brest, “à condition que l’envie soit là”.Diffusé le 24 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 180e épisode de Pos. Report refait le match de la Solitaire du Figaro Paprec 2024 en compagnie des trois marins qui ont terminé sur le podium de cette 55e édition, le vainqueur, Tom Dolan (Smurfit Kappa-Kingspan), son dauphin Loïs Berrehar (Skipper Macif 2022), et Gaston Morvan troisième à bord de Région Bretagne-CMB Performance.Tom Dolan commence par raconter, comment, après un week-end de festivités, il commence à réaliser, maintenant qu’il est chez lui dans son canapé, qu’il a remporté la Solitaire, seulement la troisième fois pour un étranger, après le Belge Joan de Kat en 1970 et le Suisse Laurent Bourgnon en 1988.Nous revenons ensuite dans le détail sur chacune des trois étapes : Loïs Berrehar, qui s’était fixé sur cette édition de remporter une étape, évoque sa satisfaction après sa victoire sur la première entre Rouen et Gijon, Tom Dolan et Gaston Morvan, ce dernier aux prises avec des problèmes d’aérien, confiant quant à eux leur soulagement d’avoir concédé très peu de temps aux premiers en Espagne.Les trois marins racontent ensuite le scénario du début de la deuxième étape, avec une option ouest puis nord-ouest le long des côtes espagnoles pour Tom Dolan, qui va lui permettre de créer un décalage décisif, puisque synonyme de victoire à Royan, de première place au général et de grands écarts avant la dernière étape.Mais également de “boule au ventre” pour l’Irlandais au matin du départ de ces 705 milles vers La Turballe, focalisé sur la nécessité de ne pas concéder plus de 10 milles de retard sur Gaston Morvan. Cette étape va donner lieu à une traversée de la Manche d’anthologie et un violent passage de front au sud de l’Angleterre, que racontent Loïs Berrehar et Gaston Morvan, alors en tête avec Basile Bourgnon.Le Skipper Macif 2022 va finalement s’imposer, signant une seconde victoire d’étape, pour terminer deuxième au général derrière Tom Dolan, qui ne comprend qu’au passage de la ligne qu’il remporte cette 55e édition.Après avoir dressé un bilan positif de leur course - leur meilleur résultat -, les trois marins finissent par se projeter sur leur avenir : si Tom Dolan compte défendre son titre en 2025, Gaston Morvan vise le Vendée Globe 2028, tandis que Loïs Berrehar, skipper remplaçant de Charlie Dalin sur l’édition 2024 de la course autour du monde, a très envie de Route du Rhum 2026 en multicoque.Diffusé le 17 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 179e épisode de Pos. Report est consacré à la 14e édition du Défi Azimut Lorient Agglomération, qui commence le mardi 10 septembre et s’achève le dimanche 15, avec Antoine Mermod, président de la classe Imoca, et Nicolas Lunven, l’un des 20 marins en lice, à bord de Holcim PRB.Nos deux invités commencent par expliquer comment ils perçoivent cet événement, inclus au programme des Imoca Globe Series et très prisé des skippers et de leurs partenaires, sorte de rentrée des classes à deux mois de la grande course de l’automne, le Vendée Globe cette année.Nous faisons ensuite un retour en arrière avec Nicolas Lunven sur ses derniers mois, le skipper de Holcim PRB revenant dans le détail sur sa double avarie de bout-dehors rencontrée sur The Transat CIC puis la New York Vendée, ce qui ne l’a pas empêché de tirer de précieux enseignements de ces deux courses. Antoine Mermod, s’il reconnaît que l’enchaînement des deux transats en solitaires est engagé et peut prêter à discussion, estime qu’il permet aux skippers et à leurs équipes de bien préparer l’échéance qu’est le Vendée Globe six mois plus tard.Nicolas Lunven poursuit en détaillant le chantier d’été sur son plan Verdier, qui a accueilli une nouvelle paire de foils, comme bon nombre de “top teams”, d’où une inflation de la construction de ces appendices, que commente Antoine Mermod. Ce dernier évoque au passage la jauge Imoca 2028, dont "la version zéro" a été adoptée, avec notamment un nouveau mât, plus solide, et un objectif de réduction de l’impact carbone des nouvelles constructions de 15%.Nicolas Lunven, que le président de la classe Imoca place "dans le top 5" des favoris pour le prochain Vendée Globe, finit par évoquer ses attentes sur le Défi Azimut Lorient Agglomération et ses ambitions sur le tour du monde, refusant pour l’instant de voir au-delà, sachant que la Néerlandaise Rosalin Kuiper prendra en 2025 la barre de Holcim PRB.Diffusé le 10 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 178e épisode de Pos. Report reçoit Damien Seguin, skipper de l’Imoca Groupe Apicil, pour évoquer avec lui les Jeux paralympiques de Paris 2024 et sa participation, à partir du 10 novembre, à son deuxième Vendée Globe consécutif.Notre invité commence par raconter comment il a été invité, 48 heures avant l'événement, par Tony Estanguet, président du Comité d’organisation, à porter le drapeau olympique lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques, un grand honneur pour celui qui fête ce 3 septembre ses 45 ans.Il explique ensuite le rôle “de grand frère” qu’il a tenu pendant une semaine au village olympique auprès des athlètes de l’équipe de France et l’histoire particulière qui le lie au jeune nageur Hector Denayer, médaillé d’argent en natation, rencontré il y a 14 ans à Saint-Malo au départ de sa première Route du Rhum !Damien Seguin revient sur la manière dont il a dû forcer les portes pour se faire accepter comme un sportif à part entière à ses débuts en course au large, confiant sa fierté d’être considéré aujourd’hui par ses pairs comme un adversaire comme les autres. Il explique enfin son rôle, aux côtés de World Sailing, pour tenter de réintroduire la voile au programme des Jeux paralympiques.Nous ouvrons ensuite la page Imoca. Celui qui a grandi en Guadeloupe revient sur ses récents résultats, expliquant que les trois transats qu'il a courues depuis un an ont été “des courses de travail” destinées à valider et fiabiliser le gros chantier d’optimisation effectué lors de l’hiver 2022/2023 sur Groupe Apicil, l’ex Maître CoQ IV vainqueur du dernier Vendée Globe.Il détaille les derniers préparatifs de son deuxième Vendée Globe qu’il aborde, confie-t-il, avec une appréhension différente que le premier, terminé à la 7e place, mais pas forcément moins importante dans la mesure où il connaît la difficulté de la tâche. Son objectif ? Se mêler à la bagarre en tête, Damien Seguin finissant cet épisode en évoquant un avenir qu’il voit, quoi qu’il arrive, toujours en course au large.Diffusé le 3 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pos Report fait une courte pause aoûtienne et propose les 20 et 27 août de réécouter deux épisodes de la saison 2023/2024. Retour ce mardi sur le #169, enregistré le 18 juin dernier, avec comme invités les deux barreurs de l'AC75 du défi français Orient Express Racing Team, Quentin Delapierre et Kevin Peponnet.--Ce 169e épisode reçoit Quentin Delapierre et Kevin Peponnet pour parler du circuit SailGP, puisqu’ils s’apprêtent à participer avec l’équipe française au 12e et avant-dernier Grand Prix de la saison 4, du 22 au 24 juin à New York, mais aussi de Coupe de l’America, nos invités étant les deux barreurs de l’AC75 du défi tricolore Orient Express Racing Team, baptisé à Barcelone le 29 mai.Nous commençons par SailGP et un retour sur les deux derniers Grands Prix, aux Bermudes puis à Halifax, avec à l’arrivée deux performances opposées pour les Français, 9e et 2e. 4e au général avant d’arriver à New York, une première pour nos deux invités, l’équipe tricolore compte, selon Quentin Delapierre, savourer le moment, car cela n’arrive pas tous les jours de courir en F50 entre Manhattan et la statue de la Liberté, mais également performer pour rester dans la course à la Super Finale à trois, programmée le 15 juillet à San Francisco.Nous ouvrons ensuite une page Coupe de l’America, Quentin Delapierre et Kevin Peponnet décrivant les sensations de légèreté et de puissance ressenties lors des premières navigations à Barcelone à bord de l’AC75 d’Orient Express Racing Team. Ils détaillent ensuite comment sont répartis les rôles, entre les quatre régleurs (dont les deux barreurs) et les cyclistes, dont la mission est de produire l’énergie hydraulique pour faire fonctionner tous les systèmes.Nos deux invités nous racontent comment fonctionne le “Recon”, système mis en place par l’organisation qui permet d’avoir accès aux photos et vidéos des équipes concurrentes et nous proposent une revue des six AC75 qui disputeront la 37e Coupe, Quentin Delapierre estimant que la France “n’a jamais eu un aussi bon bateau”. Reste à trouver les bonnes clés pour le faire fonctionner rapidement, le timing étant serré jusqu’au coup d’envoi de la Coupe Louis Vuitton (éliminatoires entre les cinq challengers), le 29 août prochain.Diffusé le 18 juin 2024Rediffusé le 27 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pos Report fait une courte pause aoûtienne et propose les 20 et 27 août de réécouter deux épisodes de la saison 2023/2024. A commencer par le #157 qui, le 26 mars dernier, recevait Bruno Dubois, cofondateur de K-Challenge, l'occasion d'évoquer avec lui l'équipe de France de SailGP et le défi Orient Express Racing Team pour la Coupe de l'America.--Ce 157e épisode de Pos. Report reçoit Bruno Dubois, manager de l’équipe française de SailGP, mais également cofondateur et codirecteur d’Orient Express Racing Team, le défi français pour la 37e Coupe de l’America.Nous commençons par évoquer la récente deuxième place de France SailGP Team lors du neuvième Grand Prix de la saison 4 de SailGP à Christchurch (Nouvelle-Zélande), Bruno Dubois se réjouissant de voir l’équipe de Quentin Delapierre, après un début de saison difficile, décrocher son meilleur résultat sur cet exercice 2023/2024.L’objectif est de continuer sur cette lancée pour décrocher une place en Super Finale à l’issue du dernier Grand Prix de la saison à San Francisco, mi-juillet, donc de terminer parmi les trois premiers au classement général, la France étant pour l’instant quatrième.Bruno Dubois estime primordiale la participation au circuit SailGP dans la perspective de la 37e Coupe de l’America dans la mesure où elle permet à Quentin Delapierre, également skipper d’Orient Express Racing Team, de regarder les yeux dans les yeux des adversaires, comme Ben Ainslie ou Peter Burling, qu’il a appris à démystifier.Nous ouvrons justement une page Coupe de l’America : le cofondateur du défi fait un point d’étape, entre navigations à Barcelone sur l’AC40, désormais configuré en LEQ 12 (bateau de développement), construction sur le point de se terminer de l’AC75 (à partir du design package acheté à Emirates Team New Zealand) chez Multiplast à Vannes, essais en simulateur pour les équipes jeunes et féminines.Diffusé le 26 mars 2024Rediffusé le 20 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 177e épisode de Pos. Report, notre dernier consacré aux Jeux olympiques de Paris 2024, reçoit Philippe Mourniac, directeur de l’équipe de France de voile olympique et Charline Picon, médaillée de bronze en 49 FX avec Sarah Steyaert. Avec eux, nous tirons les enseignements de ces Jeux Olympiques disputés à Marseille. Avec deux médailles – en deçà des trois glanées à Tokyo en 2021- Philippe Mourniac admet une « déception, une frustration pour les athlètes ». Le patron de l’équipe de France veut prendre le temps de l’analyse : pas d’excuses à chercher du côté de la météo marseillaise. Pour lui, le site « était un très bon choix ». Il rend hommage à Charline Picon / Sarah Steyaert et à Lauriane Nolot, ces filles qui sont allées arracher « deux médailles sur dix distribuées ». Après l’or à Rio (2016) et l’argent à Tokyo en (2021) en planche, la Rochelaise est devenue la Française la plus titrée de l’histoire de la voile dans les Jeux : elle raconte comment elle peine à réaliser, et la façon dont elle a vécu les Jeux à Marseille en partageant sa chambre avec Lauriane Nolot, l’obligeant à se coucher tôt… comme elle l’aurait fait pour sa propre fille : Mama Team jusqu’au bout ! Consciente de son nouveau statut, elle va laisser la compétition derrière elle et se consacrer à des projets familiaux : un tour du monde à la voile avec son futur mari et Lou, leur fille de 7 ans. Si le Cap Vert et les Antilles sont d’abord au programme, peut-être bouclera-t-elle la boucle à Marseille où l’engouement pour la voile était inédit avec plus de 10 000 spectateurs chaque jour. « Sur le plan héritage, toutes les nations s’accordent pour dire que la Marina Olympique est une pure merveille, cet écrin restera l’un des centres d’entraînement de l’équipe de France », estime Philippe Mourniac. Diffusé le 13 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant les Jeux Olympiques, Pos. Report est exceptionnellement enregistré le mardi soir et mis en ligne le mercredi pour ne pas être en décalage avec l’actualité des Jeux Olympiques, auxquels le podcast hebdomadaire de Tip & Shaft est consacré.Pour ce 176e épisode, nous revenons sur les derniers jours de compétition à Marseille en compagnie de la spécialiste d’ILCA 6 (ex-Laser Radial), Marie Barrué, et de l’ancien planchiste Louis Giard, qui commente les épreuves pour la plateforme Eurosport Max.Avec eux, nous passons les différentes séries en revue avec un focus sur les résultats de l’équipe de France, de la médaille de bronze en 49er FX de Charline Picon et Sarah Steyaert, aux déceptions tricolores en 49er (Erwan Fischer et Clément Péquin 12e), ILCA 7 (12e place pour Jean-Baptiste Bernaz pour ses cinquièmes Jeux), iQFoil (15e place pour Nicolas Goyard) ou 470 (pas de médaille pour Camille Lecointre et Jérémie Mion avant la medal race).Marie Barrué commente en particulier la semaine de Louise Cervera (8e avant la medal race, la médaille n’étant pas non plus accessible), avec laquelle elle était en concurrence pour la sélection et qu’elle a accompagnée jusqu’au 22 juillet en tant que partenaire d’entraînement en vertu d’un “pacte” que les deux jeunes femmes avaient fait au début de l’olympiade.Le bilan français repose du coup sur les épaules des “kiters” Lauriane Nolot et Axel Mazella, encore en course pour la médaille, nos deux invités se montrant confiants sur leurs chances de monter sur le podium.Diffusé le 7 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant les Jeux olympiques, Pos. Report est exceptionnellement enregistré le mardi soir et mis en ligne le mercredi pour ne pas être en décalage avec l’actualité des Jeux Olympiques, auxquels le podcast hebdomadaire de Tip & Shaft est consacré. Au programme, un débrief détaillé de la compétition en compagnie d’experts présents à Marseille, où se déroulent les épreuves de voile.Pour ce 175e épisode, Pierre Le Coq, médaillé de bronze en planche RS:X aux Jeux de Rio en 2016, et Emile Amoros, 14e avec Lucas Rual des JO de Tokyo il y a trois ans en 49er, analysent les trois premiers jours de compétition. Ils commencent par évoquer l’ambiance sur le site, à laquelle Pierre Le Coq contribue largement, puisqu’il est justement “leader d’ambiance”, chargé par le Comité national olympique et sportif français, d'accompagner les supporters de l’équipe de France.Nous détaillons ensuite avec eux les quatre épreuves qui ont commencé depuis dimanche, et notamment les excellentes performances de Charline Picon et Sarah Steyaert, deuxièmes au classement en 49er FX alors qu’il ne reste que trois manches puis la Medal Race. Nous évoquons également les 49er, Emile Amoros estimant que Clément Péquin et Erwan Fischer, malgré leur 8e place, ont encore toutes leurs chances de médaille, puis la planche iQFoil, support que Pierre Le Coq présente avant d’en détailler le format, différent des autres disciplines.Diffusé le 31 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 174e épisode inaugure une série de quatre consacrés aux Jeux olympiques de Paris 2024 qui, pour la voile, se déroulent du 28 juillet au 8 août à Marseille. Nos trois invités sont Jonathan Lobert, médaillé de bronze en Finn en 2012 à Londres, Aude Compan, 6e des JO de Rio en 2016 en 49er FX aux côtés de Sarah Steyaert, et Julien d’Ortoli, 5e de ces mêmes Jeux de Rio en 49er avec Noé Delpech.Tous les trois commencent par raconter comment ils vont vivre ces Jeux, Jonathan Lobert et Julien d’Ortoli étant notamment consultants, pour France Télévisions pour le premier, Eurosport pour le second. Comme Aude Compan (avec Mathilde Lovadina), ce dernier a tenté sur cette olympiade de décrocher dans sa série le seul ticket accordé à la France, tous les deux reviennent sur ces trois ans et sur leur non-sélection, qu’ils ont bien acceptée.Au point d’accepter de devenir partenaires d'entraînement des deux duos retenus - Erwan Fischer/Clément Péquin en 49er, Charline Picon/Sarah Steyaert en FX. Jonathan Lobert explique en quoi consiste ce rôle, Julien d'Ortoli et Aude Compan détaillent ce qu’ils ont travaillé en particulier ces dernières semaines.Nos trois invités reviennent ensuite sur leurs participations respectives aux Jeux et racontent comment ils ont vécu la semaine précédant l’événement, entre hâte d’y aller, participation à la cérémonie d’ouverture et nécessité, pour Aude Compan, se “mettre dans une bulle” pour se couper de l’environnement ambiant, particulier sur les Jeux.Nous évaluons ensuite avec ces spécialistes de la voile olympique les chances de médailles françaises, Aude Compan n’hésitant pas à voir très haut ! Nos invités finissent par évoquer leur avenir, jamais très loin de la voile, mais, pour cette dernière, un changement de cap puisqu’elle envisage de devenir professeure des écoles.Diffusé le 23 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 173e épisode refait le match en Class40 de la Transat Québec Saint-Malo, en compagnie du vainqueur, Achille Nebout (Amarris), du deuxième, Fabien Delahaye (Legallais) et d’Amélie Grassi, qui a pris la quatrième place sur La Boulangère Bio.Nos trois invités commencent par raconter la descente du Saint-Laurent, expliquant comment ils ont profité du spectacle, que deux d’entre eux découvraient (Fabien Delahaye avait déjà couru la transat en 2016), tout en étant concentrés sur la navigation qui, sur le fleuve, nécessite beaucoup de vigilance et de réglages.Ils évoquent ensuite le changement de mode en sortie de Saint-Laurent, Fabien Delahaye décrivant comment on passe de conditions estivales à un décor très différent, avec du froid et la brume typique de Terre-Neuve. Amélie Grassi détaille quant à elle la délicate opération de débarquement de Claudia Conti, blessée au thorax, une opération qui a pompé pas mal d’énergie à l’équipage de La Boulangère Bio et l’a obligé à se réorganiser.Achille Nebout et Fabien Delahaye enchaînent en expliquant l’option sud qui a été la leur au moment d’attaquer la traversée de l’Atlantique proprement dite, un choix à leurs yeux moins risqué que celui suivi par les nordistes, comme Crédit Mutuel et Alla Grande Pirelli. Achille Nebout raconte ensuite la perte d’un de ses deux safrans, la décision prise, après avoir songé à l’abandon, de continuer la course et de transborder le safran restant de bâbord à tribord.Les trois marins continuent de dérouler le fil de la course avec un regroupement général à l’approche des côtes bretonnes, forcément moins bien vécu à bord de Legallais, qui occupait la tête de course depuis quatre jours et l’a finalement perdue à Ouessant au profit d’Amarris, parvenu à la conserver jusqu’au bout. A l’arrivée, Achille Nebout confie sa joie de remporter l’épreuve, nos trois invités finissant par évoquer la suite de leur saison, en Ultim pour Amélie Grassi, sur la Normandy Channel Race pour Fabien Delahaye, la Med Max pour Achille Nebout.Diffusé le 16 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 172e épisode reçoit deux invités qui, le lundi 15 juillet, prendront le départ de la cinquième édition de la Drheam-Cup, Eric de Turckheim, propriétaire et skipper du monocoque de 54 pieds Teasing Machine, inscrit en IRC équipage, et Marc Guillemot, qui s'alignera à bord de son catamaran Wellness Training/MG5 en classe Multi 2000.L’un comme l’autre commencent par présenter leurs bateaux respectifs, Eric de Turckheim expliquant comment, l’an dernier, Teasing Machine a subi une cure d’amaigrissement, ce qui qui permet d’être beaucoup plus performant, tandis que Marc Guillemot raconte la genèse de son catamaran, mis à l’eau en 2021 et à bord duquel il a terminé troisième de la dernière Route du Rhum en classe Multi Rhum et qui accueille aussi des séminaires d’entreprises.Nos deux invités détaillent le fonctionnement de leurs projets respectifs et leur programme de navigation, qui passe par les courses antillaises l’hiver et, notamment pour Eric de Turckheim, par une grande partie des courses du Royal Ocean Racing Club (Rorc), dont il a été vice-commodore jusqu’en fin d’année dernière.Nous ouvrons ensuite le chapitre Drheam-Cup, une course que les deux marins apprécient pour son organisation et un parcours varié, et qui accueille cette année une grosse flotte en double, notamment britannique, mais également une dizaine de Sun Fast 30 One Design. Eric de Turckheim en profite pour évoquer la genèse de ce projet, il enchaîne en racontant la renaissance de l’Admiral’s Cup qui fera son retour dans un an, à Cowes.Nous finissons par parler d’avenir, Marc Guillemot espère disputer sa septième Route du Rhum en 2026 si l’organisateur accepte son bateau, ce qui ne semble pas le cas aujourd’hui, tandis qu’Eric de Turckheim confie qu’il a “fait une folie” en acquérant un TP52, l’ancien Gladiator, avec l’objectif de s’aligner sur plusieurs épreuves des 52 Super Series.Diffusé le 9 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 171e épisode reçoit Aloïse Retornaz et Audrey Ogereau, qui, du 5 au 13 octobre prochains, disputeront sous les couleurs françaises d’Orient Express L’Oréal Racing Team la toute première Coupe de l’America féminine de l’histoire.L’une comme l’autre expliquent comment, après avoir fait de la voile olympique (470 pour Aloïse Retornaz, médaillée de bronze aux JO de Tokyo avec Camille Lecointre, Nacra 17 pour Audrey Ogereau), elles ont décidé de postuler pour intégrer le défi français, retenues fin 2023 après une phase de sélection.Elles racontent ensuite la découverte de l’AC40, d’abord sur simulateur, ensuite sur l’eau à Barcelone, et le fonctionnement à bord, forcément très différent de ce qu’elles ont connu sur leurs supports précédents, Audrey Ogereau occupant le poste de barreuse, Aloïse Retornaz, qui est l’une des deux membres de l’équipe à 100% sur le projet (avec la skippeuse Manon Audinet), de régleuse.Audrey Ogereau détaille une journée type sur la base de Barcelone, Aloïse Retornaz évoque le programme qui attend l'équipe française d’ici le coup d’envoi de la Puig Women’s America’s Cup le 5 octobre et explique comment elles sont entourées pour la préparation de l’épreuve.Audrey Ogereau termine en racontant comment, avant de se lancer sur la Coupe, elle a découvert l’univers de l’Ocean Fifty auprès d’Erwan Le Roux, avec une première expérience en novembre dernier sur la Transat Jacques Vabre (abandon) et une future participation à la Route du Rhum 2026.Diffusé le 2 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 170e, consacré aux Ocean Fifty Series, dont l’Act 2 a eu lieu du 19 au 23 juin en baie de Pornichet-La Baule, reçoit Sébastien Rogues (Primonial) et Thibaut Vauchel-Camus (Solidaires en Peloton), respectivement vainqueur et troisième de cette épreuve.Thibaut Vauchel-Camus, président de la classe Ocean Fifty depuis la fin d’année dernière, commence par expliquer comment il a fallu trouver en urgence des solutions, en janvier, pour bâtir un calendrier après l’arrêt de la collaboration avec Upswing Prod, qui organisait les années précédentes le Pro Sailing Team.Nos deux invités détaillent ensuite ce programme 2024, avec trois Acts en forme de Grand Prix (Saint-Malo, La Baule, Sainte-Maxime) et deux nouvelles courses, la Route des Terre-Neuvas, entre Saint-Pierre-et-Miquelon et la baie de Saint-Brieuc (départ le 17 août), et la Med Max (Port-Camargue-Saïda, au Maroc), qui s’élancera le 29 septembre.Ils évoquent également le succès d’une classe qui accueille aujourd’hui dix équipes et qui, face à la demande, a accepté de relever le numerus clausus de dix à douze bateaux, limite qu’ils ne souhaitent pas dépasser.Les deux marins racontent ensuite comment s’est déroulé l’Act 2 de La Baule, avec des conditions de rêve sur le parcours offshore d’une douzaine d’heures, remporté sur le fil par Primonial qui, selon Sébastien Rogues, “aura passé vingt secondes en tête, mais les bonnes”. L’ouverture du circuit aux femmes - un équipage 100% féminin est engagé cette année, celui d’Upwind by MerConcept - est un autre thème abordé, nos invités finissant par parler de la riche actualité vélique à venir, entre Jeux olympiques, Coupe de l’America et Vendée Globe.Diffusé le 25 juin 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 169e épisode reçoit Quentin Delapierre et Kevin Peponnet pour parler du circuit SailGP, puisqu’ils s’apprêtent à participer avec l’équipe française au 12e et avant-dernier Grand Prix de la saison 4, du 22 au 24 juin à New York, mais aussi de Coupe de l’America, nos invités étant les deux barreurs de l’AC75 du défi tricolore Orient Express Racing Team, baptisé à Barcelone le 29 mai.Nous commençons par SailGP et un retour sur les deux derniers Grands Prix, aux Bermudes puis à Halifax, avec à l’arrivée deux performances opposées pour les Français, 9e et 2e. 4e au général avant d’arriver à New York, une première pour nos deux invités, l’équipe tricolore compte, selon Quentin Delapierre, savourer le moment, car cela n’arrive pas tous les jours de courir en F50 entre Manhattan et la statue de la Liberté, mais également performer pour rester dans la course à la Super Finale à trois, programmée le 15 juillet à San Francisco.Nous ouvrons ensuite une page Coupe de l’America, Quentin Delapierre et Kevin Peponnet décrivant les sensations de légèreté et de puissance ressenties lors des premières navigations à Barcelone à bord de l’AC75 d’Orient Express Racing Team. Ils détaillent ensuite comment sont répartis les rôles, entre les quatre régleurs (dont les deux barreurs) et les cyclistes, dont la mission est de produire l’énergie hydraulique pour faire fonctionner tous les systèmes.Nos deux invités nous racontent comment fonctionne le “Recon”, système mis en place par l’organisation qui permet d’avoir accès aux photos et vidéos des équipes concurrentes et nous proposent une revue des six AC75 qui disputeront la 37e Coupe, Quentin Delapierre estimant que la France “n’a jamais eu un aussi bon bateau”. Reste à trouver les bonnes clés pour le faire fonctionner rapidement, le timing étant serré jusqu’au coup d’envoi de la Coupe Louis Vuitton (éliminatoires entre les cinq challengers), le 29 août prochain.Diffusé le 18 juin 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Habert Edouard
Excellent podcast !!! J'adore ce que Tip and shaft fait. Une petite remarque sur les niveaux sonores de chaque intervenant. Ils sont souvent très différents, probablement à cause des appareils utilisés, la localisation.... Serait-il possible de les lisser un peu plus pour avoir une meilleure qualité d'écoute ? Continuez ce que vous faites ;-)