Pour Qui Sonne Le Jazz

Un disque culte, une voix oubliée, une archive inédite : du lundi au vendredi à 9h30, David Koperhant explore cent ans d’histoire(s) du jazz pour une ballade sonore d’un quart d’heure, mixée et habillée par Eric Holstein. A podcaster sans retenue. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Pour qui sonne le violoncelle avec Vincent Segal, quatrième partie

Mais au fait, qui a enregistré le premier solo de violoncelle de l’histoire du jazz ? Dans la première émission on vous a parlé d’Oscar Pettiford et de son accident de baseball, qui l’avait conduit - le bras cassé - à troquer sa contrebasse pour un violoncelle. C’était en 1950. Or, en grattant un peu, il semblerait que le premier solo de violoncelle enregistré soit l'œuvre d’un certain Harry Babasin. Une dernière sélection avisée de notre invité Vincent Segal, dont on entendra la musique !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

11-15
17:30

Pour qui sonne le violoncelle avec Vincent Segal, troisième partie

Le violoncelle dans tous ses états, troisième épisode avec le regard expert de Vincent Segal. Aujourd'hui dans l'émission : Claude Bolling et Yo-Yo Ma avec un extrait de la Suite For Cello And Jazz Piano Trio, Jean-Charles Capon et beaucoup d'autres surprises !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

11-14
19:03

Pour qui sonne le violoncelle avec Vincent Segal, deuxième partie

Parmi ceux qui ont fait entrer le violoncelle dans le jazz, beaucoup sont à l’origine des contrebassistes : on l’a vu avec Oscar Pettiford dans la première émission. Et bien c’est justement Pettiford qui a convaincu Ray Brown, de s’y mettre à son tour et d'autres suivront, comme Sam Jones, Doug Watkins et Ron Carter. Revue à quatre cordes en compagnie de notre expert Vincent Segal. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

11-13
19:03

Pour qui sonne le violoncelle avec Vincent Segal, première partie

Pour beaucoup, le violoncelle c’est le Prélude de la Suite numéro 1 de Jean-Sébastien Bach. Le violoncelle, un instrument qui a conquis ses lettres de noblesse grâce aux musiques classique et de chambre. Et le jazz dans tout ça ? Éclipsé par la contrebasse, le violoncelle a pourtant su tirer son épingle du jeu. Pour en parler, nous recevrons l’un des meilleurs spécialistes de l’instrument : Vincent Segal. Mais d’abord, un peu d’histoire : entre le violoncelle et le jazz, la romance nait aux Etats-Unis en 1949 par un bras cassé lors... d'un match de baseball ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

11-12
17:58

Jimmy Forrest, celui qui envoyait du bois

Jimmy Forrest, un saxophoniste qui savait ce que souffler veut dire. Un ténor malin comme un chat, qui avait un gros son bien granuleux comme on les aime, habité par le blues. Jimmy Forrest, un musicien qui est resté dans l’histoire pour un titre : Night Train, gravé en 1950, qu'il aurait piqué à Duke Ellington !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

10-15
16:24

René Urtreger, un roi dix doigts, quatrième partie

Après l'aventure Claude François, René Urtreger renoue avec le jazz et ses ses camarades d’H.U.M : Pierre Michelot et Daniel Humair. Trio mythique, n’ayons pas peur des mots. René Urtreger : un artiste, un vrai, doublé d’un pianiste terriblement attachant. L’histoire d’un jeune homme qui un jour, est tombé raide dingue de Bud Powell, au point de faire de cette musique de jazz et de be-bop un vrai sacerdoce malgré les vents contraires !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

10-10
14:49

René Urtreger, un roi dix doigts, troisième partie

Milieu des années 1960. René Urtreger, celui dont le grand acteur Jean-Pierre Marielle disait : “j’en ferais volontiers mon pianiste à domicile”, et bien René Urtreger a le blues. Le jazz ? Ca le fatigue. C'est là qu'un soir au Blue Note à Paris, il va croiser la route d'un certain... Claude François ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

10-09
17:04

René Urtreger, un roi dix doigts, deuxième partie

Lettré, gouailleur, drôle, ronchon, pétri de contradictions, passionné de courses automobiles et de Bud Powell, René Urtreger a dit un jour qu'il ne fallait pas "résumer Zinedine Zidane à ses passements de jambes", peut-être parce que lui, René, ne voudrait pas qu’on le résume à un seul disque : Ascenseur pour l'échafaud en 1957 avec Miles Davis. Un chef d'œuvre. La quintessence du jazz au cinéma. Un disque qui lui colle à la peau, alors que c’est sûrement celui sur lequel notre héros a le moins joué !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

10-08
17:50

René Urtreger, Un roi dix doigts, première partie

Qu’ont en commun Lester Young, Stan Getz, Miles Davis, Chet Baker, Dexter Gordon, Serge Gainsbourg, les Double Six et… Claude François ? Tous ont eu affaire à René Urtreger, un type qui sait que pour jouer du piano il faut trois choses : la tête, le cœur et les tripes. Portrait en quatre épisodes dans Pour Qui Sonne le Jazz. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

10-07
16:25

DINAH WASHINGTON LA REINE DU BLUES, CINQUIEME PARTIE

1960. Dans la revue Billboard on peut lire que Dinah Washington a le vent en poupe. Cela fait un an qu’elle surfe sur le succès de son album avec orchestre à cordes, What A Difference a Day Made. Son nouveau single en duo avec le chanteur Brook Benton lui a offert son premier n°1. Pourtant en privé c’est la débandade. A partir de ce moment-là, son nom apparaît de plus en plus souvent dans la rubrique faits-divers, et de moins en moins dans les pages musicales. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

09-06
14:47

DINAH WASHINGTON LA REINE DU BLUES, QUATRIÈME PARTIE

Festival de Newport, juillet 1958. C’est le concert de clôture, et Dinah Washington subjugue l’assistance. “Il existe toutes sortes de chanteuses, écrit le journaliste et historien du jazz Dan Morgenstern. Et pourtant, Dinah les faisait presque toutes passer pour des petites filles. Elle était femme profondément, chantant leurs plaisirs et leurs souffrances”. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

09-05
12:22

DINAH WASHINGTON LA REINE DU BLUES, TROISIÈME PARTIE

Révélée par Lionel Hampton dans les années 40, Dinah Washington est passée, à dix-huit ans, du statut de parfaite inconnue à celui de chanteuse vedette ! On dit qu’elle est rustre, sauvage, et qu’il a fallu la relooker pour la rendre présentable sur scène. Mais Dinah est aussi une femme indépendante qui mène sa barque dans un monde d’hommes, devant qui elle ne se laisse pas démonter. D’où les anecdotes et légendes d’elle brandissant un revolver pour imposer sa loi. Revolver, dont, pour la petite histoire, elle ne sait même pas se servir !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

09-04
15:42

DINAH WASHINGTON LA REINE DU BLUES, DEUXIÈME PARTIE

Dans le premier épisode on a vu comment Dinah Washington, de son vrai nom Ruth Lee Jones, a grandi à Chicago dans une famille très religieuse et comment, adolescente, elle s’est émancipée pour vivre son rêve dans les clubs du South Side. Son premier objectif : le concours d’amateurs du Regal, sorte d’équivalent de l’Apollo de Harlem, qu’elle remporte haut la main à seulement seize ans. C’est là que sa vie va basculer. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

09-03
15:35

DINAH WASHINGTON LA REINE DU BLUES, PREMIÈRE PARTIE

Mais qui était vraiment Dinah Washington ? Une voix puissante et sophistiquée, une femme superlative à la vie de roman, une liasse de billet et un six coup dans le revers de sa robe... Dinah c'était ça et plus encore ! Une vie intense, chic et tragique, rustre comme le blues, glamour comme un orchestre à cordes hollywoodien. Une vie qu'on déroulera ce lundi 2 septembre et toute la semaine à 9H30 dans Pour Qui Sonne le Jazz, à l'occasion des cent ans de la naissance de "swingin' Miss D". Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

09-02
15:42

Benny Golson, ténor tubesque, seconde partie

Blues March, Betty, Whisper Not, I Remember Clifford… En cette fin d’années 50, Benny Golson est bien l'un des plus grands compositeurs de jazz. Suivons son parcours, de l'orchestre de Dizzy Gillespie au Jazztet, en passant par les extraordinaires Messengers du batteur Art Blakey, que Golson va transformer en machine à tubes !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

01-26
17:52

Benny Golson, ténor tubesque, première partie

Ténor remarquable et compositeur de tubes comme Killer Joe, Blues March, Along Came Betty, Whisper Not et I Remember Clifford, Benny Golson, né à Philadelphie le 25 janvier 1929 et copain d'enfance de John Coltrane, a écrit tout un pan de l'histoire du jazz !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

01-25
17:00

Jacques Pelzer, le pharmacien saxophoniste

Un jazzman pharmacien ? Oui, c'était Jacques Pelzer, un saxophoniste de Liège qui peu à peu, avait transformé sa pharmacie en repère pour tous les musiciens de passage, dont le trompettiste Chet Baker qui fut l'un de ses amis. Portrait d'un musicien discret qui participa à l'âge d'or du jazz belge !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

06-24
17:26

Horace Silver, Song For My Father, anatomie d’un tube

Song For My Father : une pochette iconique, un disque d’une classe folle, et l’un des plus grands classiques du jazz sur l’étiquette Blue Note. Song For My Father, un album et sa composition titre, mélodie géniale sur un rythme bossa, qui fit beaucoup pour la réputation de son auteur, le pianiste Horace Silver. Anatomie d'un tube, entre New-York, le Cap Vert et Rio.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

06-18
17:07

Ray Charles, les années Atlantic, seconde partie

Dans ses mémoires, Ray Charles considère sa période Atlantic comme la meilleure de sa vie : “1953, 54, 55, sont les années où je suis devenu moi-même”. C'est la naissance d'un orchestre, d'un son et d'une nouvelle musique qu'on appellera la Soul. Ne reste plus que la cerise sur le gâteau : les voix des Raelettes que l'on entend dans What'd I Say. Et Ray Charles devint The Genius !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

06-11
17:40

Ray Charles, les années Atlantic, première partie

Lorsque Ahmet Ertegun et Herb Abramson du label Atlantic toquent à la chambre d'hôtel de Ray Charles en 1952, celui-ci vient d'arriver à New-York. Il ne le sait pas encore, mais cette rencontre va changer sa vie et donner le vrai coup d'envoi de sa carrière. Grâce à I Got A Woman Ray va inventer la soul se propulser en tête des charts ! Naissance d'une légende.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

06-10
17:50

Elisabeth Brousse

Bonjour, les émissions "Pour qui sonne le jazz" se sont-elles arrêtées ?

04-15 Reply

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