Nous vivons dans une société où l’on valorise la performance comme une vertu suprême. Aller plus vite, viser plus haut, produire plus : l’idéal semblait stimulant, il devient souvent étouffant. Derrière cette dynamique permanente se cachent l’épuisement, l’angoisse de ne plus tenir la cadence, et cette sensation de courir après une ligne d’arrivée qui recule sans cesse. Dans cet épisode de Questions de Survie, le frère Philippe Jeannin interroge avec lucidité ce mécanisme intérieur et collectif qui finit par broyer celles et ceux qui n’arrivent plus à suivre. Il montre comment une maxime sportive, faite pour encourager l’effort, s’est transformée en norme sociale qui marginalise les fragilités et pousse au burn-out.Mais il ne s’agit pas d’accuser ni de dramatiser : il s’agit surtout de comprendre. Et surtout, de discerner. Le frère Philippe propose un autre regard, plus humain, plus ajusté, pour retrouver une juste mesure : savoir dire stop, reconnaître ses limites, choisir ce qui construit au lieu de ce qui consume. Un épisode pour toutes celles et ceux qui cherchent à reprendre souffle, à retrouver le sens de leurs choix et le courage de ralentir, sans culpabilité et sans peur.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Travailler depuis chez soi : un rêve devenu réalité pour beaucoup. Plus de trajets, plus de bureaux impersonnels, plus de pauses imposées. On se sent libre, maître de son temps, enfin responsable de son propre rythme. Mais cette liberté, si séduisante au départ, se révèle parfois bien fragile. Les frontières entre vie professionnelle et personnelle s’effacent, les mails débordent sur les soirées, et le bureau s’installe peu à peu dans le salon, la cuisine, l’esprit. Le télétravail, censé nous libérer, devient parfois un nouveau mode d’esclavage — plus doux, mais tout aussi exigeant.Dans cet épisode, le frère Nicolas Burle interroge avec finesse cette promesse d’autonomie qui tourne souvent à la dépendance. Avec son regard à la fois réaliste et spirituel, il invite à retrouver le sens du travail, du repos et de la liberté véritable. Car être libre ne consiste pas à tout faire, mais à choisir ce qui rend vraiment vivant. À la lumière de la sagesse monastique, il propose de redécouvrir un art de vivre équilibré, où chaque chose a sa place et son temps. Un épisode apaisant et percutant pour réapprendre à respirer — même entre deux visioconférences.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On parle tous les jours. À la machine à café, dans une cuisine, sur un trottoir, en voiture… Et pourtant, combien de fois ressort-on d’une conversation avec un léger malaise ? Une impression d’avoir glissé, d’avoir dit trop, mal, ou de s’être laissé entraîner dans une critique inutile. Dans cet épisode, le frère Rémi-Michel Marin-Lamellet nous invite à redécouvrir quelque chose d’essentiel : la conversation n’est pas un bavardage, c’est un art. Un art humble, quotidien, mais profondément humain.Comment éviter de laisser la médisance s’infiltrer dans nos mots sans même y penser ? Comment garder la parole comme un lieu de fraternité, d’humour, de confiance, plutôt qu’une arme ou un espace de règlement de comptes déguisé ? Sans donner de leçon, le frère nous accompagne dans une réflexion très concrète, nourrie d’exemples, de sagesse et même… d’une astuce étonnante venue de la vie en communauté !Si vous avez déjà eu l’impression de parler trop vite, de juger trop vite, ou de regretter vos paroles après coup, cet épisode vous fera du bien. Et peut-être même un peu rire.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le sport était plus qu’une question de santé ou de performance ? Derrière la course du matin, la marche du week-end ou la partie improvisée entre amis, se cache peut-être une aventure bien plus intérieure. Se dépasser, accepter l’effort, apprendre à recommencer malgré la fatigue — tout cela éduque le cœur autant que le corps.Dans ce nouvel épisode, le frère Marie-Ollivier Guillou nous invite à regarder le sport autrement : non comme une contrainte, mais comme un art de vivre qui unit discipline et liberté, rigueur et joie. À travers le mouvement, c’est tout notre être qui s’accorde, corps et âme. Peut-être même que le sport, dans sa simplicité, nous ramène à l’essentiel : à la gratitude d’exister, à la beauté du souffle, au goût du don de soi.Et vous, comment vivez-vous votre rapport à l’effort ? Ce podcast vous propose d’y réfléchir avec humour, profondeur et tendresse. Car, comme le rappelle le frère Marie-Ollivier, parfois, il suffit d’un pas — ou d’une foulée — pour redonner souffle à toute une vie.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il suffit parfois d’un mot, d’un geste, d’une absence pour que la culpabilité s’installe et prenne toute la place. Elle murmure, ronge, paralyse. Dans cet épisode de Questions de Survie, le frère Philippe Jeannin propose de regarder ce sentiment autrement : non comme une condamnation, mais comme un appel. Un appel à la vérité, à la lucidité, à la paix intérieure.La culpabilité peut être juste ou injuste ; elle peut venir de soi, de l’autre, ou d’une histoire mal comprise. En l’explorant avec discernement, en acceptant de parler, de comprendre et de replacer les faits dans leur contexte, elle peut devenir une source de croissance. Le frère Philippe nous guide vers cette libération intérieure : reconnaître ce qui doit l’être, pardonner, se réconcilier, avancer. Ainsi, la culpabilité cesse d’être un fardeau : elle devient une occasion de vérité, un pas vers la lumière.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous redoutons l’ennui comme un mal moderne. Chaque minute vide doit être comblée : un écran, une notification, un bruit de fond. Mais dans l’épisode "Je m’ennuie" du podcast Questions de Survie, le frère Nicolas Burle ose une parole à contre-courant : l’ennui n’est pas un échec, il est une chance. Car s’ennuyer, c’est d’abord lever les yeux de nos occupations pour regarder enfin le monde, les visages, la lumière. C’est redécouvrir ce qui nous entoure, et même ce qui se passe en nous. Dans cet espace apparemment stérile, Dieu travaille, doucement, patiemment.Le frère Nicolas nous invite à ne pas fuir ce vide, mais à l’habiter. L’ennui devient alors un lieu de combat intérieur, une résistance face à la société du divertissement. Là où tout nous pousse à produire, rentabiliser, consommer, il nous apprend à recevoir. Et si l’ennui, loin d’être une perte, devenait un moment de grâce ? Une ouverture sur l’essentiel, sur la paix, sur Dieu lui-même ?Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un monde où l’on célèbre la réussite, la performance et la persévérance à tout prix, renoncer semble être une défaite. Pourtant, ne pas aller jusqu’au bout n’est pas toujours signe de faiblesse. Frère Rémi-Michel Marin-Lamellet nous invite à redécouvrir, dans cet épisode de Questions de survie, la noblesse d’un geste souvent mal compris : celui du renoncement.Renoncer, ce n’est pas fuir. C’est parfois le plus grand acte de lucidité et d’humilité que l’on puisse poser. C’est accepter de reconnaître ses limites, de relâcher la main serrée sur ce qui nous échappe, d’ouvrir un espace intérieur pour accueillir autre chose — ou quelqu’un d’autre. Dans un contexte où même nos dirigeants peinent à renoncer avec discernement, cette réflexion résonne avec une actualité brûlante.Le frère Rémi-Michel explore cette tension entre l’obstination et la sagesse, entre la peur de perdre et le désir d’être libre. Car savoir renoncer, c’est aussi choisir. Et choisir de renoncer, c’est se donner la possibilité de vivre plus pleinement, plus justement. Cet art du renoncement pourrait bien être la clé d’une liberté véritable.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’anxiété, cette compagne tenace, s’invite souvent sans prévenir et brouille notre quotidien. À la différence d’une inquiétude ponctuelle, elle s’installe durablement et colore toutes nos pensées. Nous nous attendons au pire, nous multiplions les scénarios négatifs et, peu à peu, la vie perd de sa saveur. Comment retrouver la paix intérieure quand l’esprit se laisse piéger par ce sentiment diffus de danger ?Dans cet épisode de Questions de Survie, le frère Marie-Ollivier Guillou explore les racines profondes de l’anxiété. Il montre combien elle peut prendre des formes variées : le perfectionnisme, le besoin de tout contrôler ou encore l’hypervigilance face aux dangers imaginés. Ces visages de l’inquiétude sont autant de façons d’exprimer une peur qui dépasse souvent le simple souci.Mais l’anxiété ne se limite pas à un état psychologique : elle touche aussi le corps, épuise les relations et peut enfermer dans une spirale de découragement. Alors, comment briser ce cercle ? Cet épisode propose quelques pistes de réflexion, mêlant observations humaines, sagesse spirituelle et expériences de vie. Un rendez-vous essentiel pour ceux qui cherchent à comprendre leur anxiété et entrevoir un chemin vers la sérénité.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, le bonheur est partout. Dans les magazines, les publicités, sur les réseaux sociaux, il semble être devenu une injonction : sourire, afficher sa joie, donner l’image d’une vie épanouie. Mais derrière ces façades, une question se pose : cette quête effrénée du bonheur ne cache-t-elle pas un malaise plus profond ? Comme si l’on cherchait à compenser les malheurs du monde par une accumulation de « bonnes ondes », au risque de transformer le bonheur en produit de consommation.Se dire heureux devient presque suspect, tant notre société préfère les plaintes et les frustrations, qui justifient nos difficultés. Pourtant, ce paradoxe entretient un cercle vicieux : plus je m’attarde sur mon insatisfaction, plus je m’éloigne du vrai bonheur. Mais alors, qu’est-ce que le bonheur ? Est-il dans les plaisirs éphémères, dans les promesses des coachs et des publicités, ou dans une expérience plus intime et durable ?Le frère Philippe Jeannin invite à s’interroger : le bonheur peut-il être acheté, décrété, imité ? Ou ne se trouve-t-il pas plutôt dans ces bonheurs simples, accessibles, que l’on oublie trop souvent ? Cet épisode pousse à regarder au-delà des apparences et donne envie de redécouvrir ce qui, au fond, rend vraiment heureux.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le simple fait de devoir choisir peut devenir un cauchemar. Devant la multitude d’options, petites ou grandes, nous sommes parfois comme figés : impossible de trancher sans craindre de regretter, sans imaginer que la mauvaise décision pourrait gâcher notre avenir. Dans une société où tout semble possible et réversible, la peur de se tromper grandit jusqu’à paralyser. Le frère Nicolas Burle, dans cet épisode de Questions de survie, met des mots sur cette expérience intérieure qui habite tant de personnes : ce sentiment d’être perdu dans un carrefour infini, prisonnier d’un rond-point sans sortie. Choisir devient alors un poids insupportable, nourri par l’illusion de devoir prévoir et contrôler toutes les conséquences.Pourtant, la vie spirituelle rappelle une vérité essentielle : nous ne sommes pas seuls. Même au cœur de nos indécisions, une voix discrète nous invite à avancer. Choisir ne signifie pas atteindre la perfection ni sécuriser l’avenir, mais poser un acte de confiance. C’est cette perspective libératrice que le frère Nicolas déploie, offrant des repères pour transformer l’angoisse du choix en une occasion de croissance. Un épisode qui parle à tous ceux qui hésitent, doutent et cherchent à poser des décisions en paix et en confiance.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On parle souvent de la jeunesse comme d’un âge d’or, rempli de promesses, de liberté et d’insouciance. Pourtant, derrière cette image lumineuse se cachent de vraies interrogations. Est-ce une période que l’on « profite » ou que l’on traverse en courant après ce que l’on croit manquer ? Beaucoup de jeunes expriment ce malaise : peur de passer à côté, comparaison avec les réussites des autres, sentiment d’urgence à vivre intensément. Mais qu’est-ce que « réussir » sa jeunesse ? Est-ce voyager, multiplier les expériences, jouir sans limite de son corps et de ses capacités ? Ou bien y a-t-il, plus profondément, une chance à saisir dans l’ouverture, dans les engagements et dans la confrontation avec les grandes questions de l’existence ?Dans cet épisode de Questions de Survie, le frère Rémi-Michel Marin-Lamellet invite à dépasser les clichés et les illusions. La jeunesse n’est pas seulement une étape de divertissement, mais une occasion de poser les fondations d’une vie féconde. Elle est ce temps des choix, des rencontres et des expérimentations où l’on apprend à se découvrir en se confrontant au réel. Loin de la simple chance qui tomberait du ciel, elle devient une grâce à accueillir, un espace de liberté intérieure et de responsabilité.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La vieillesse est souvent perçue comme une période de pertes, de solitude et de déclin. Dans l’épisode “La vieillesse, une chance ?”, le frère Marie-Ollivier Guillou explore cette étape de la vie avec une question centrale : peut-on vraiment bien vieillir, et qu’est-ce que cela signifie ? Le passage de l’activité professionnelle à la retraite, les changements physiques et la confrontation avec la maladie ou la dépendance bouleversent notre perception de nous-mêmes et de notre place dans le monde. La vieillesse fait surgir des inquiétudes profondes, mais elle offre aussi une occasion unique de réévaluer nos priorités, nos relations et notre rapport à la vie et à la mort. Le frère Marie-Ollivier Guillou invite à réfléchir sur la manière dont on peut traverser ces années avec sérénité et sens, sans céder à la pression sociale du jeunisme ni à la peur constante de la fin. À travers des témoignages de moines expérimentés, il est suggéré que la vieillesse peut devenir une période de rayonnement intérieur, d’acceptation et de gratitude. Cet épisode permet de poser un regard nouveau sur l’âge, non pas comme une malédiction, mais comme une étape fertile pour la sagesse et la paix intérieure.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après l’été, quand la pression quotidienne s’est relâchée et que la vie a retrouvé un tempo plus humain, beaucoup ressentent le besoin de tout rééquilibrer. Les vacances, les discussions à cœur ouvert, les longues soirées paisibles... tout cela semble murmurer qu’il est temps de changer. Mais changer quoi ? Et comment ? L’épisode "Prendre les bonnes résolutions", animé par le frère Philippe Jeannin, explore cette période charnière où l’on se surprend à rêver d’une vie plus douce, plus juste, plus alignée. C’est le moment idéal pour faire des choix – ou croire que l’on peut en faire. Pourtant, ces résolutions que l’on prend avec enthousiasme peuvent devenir des fardeaux si elles ne sont pas justes, sincères ou bien adaptées. Sommes-nous réellement prêts à changer, ou simplement séduits par l’idée du changement ? Pourquoi ces élans, si prometteurs, s’épuisent-ils souvent dès les premières semaines ? Dans cet épisode, on ne se contente pas de dresser la liste des bonnes intentions. On prend le temps de réfléchir à la racine du désir de changer, à ce que cela dit de notre insatisfaction, et à la manière de discerner une résolution réaliste et féconde. Un épisode à écouter si vous vous demandez comment mieux vivre… pour de vrai.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu as une sale tête ce matin ? Ne cherche pas plus loin : tu as mal dormi. C’est la loi impitoyable du miroir. Une mauvaise nuit, et c’est tout ton équilibre qui vacille : humeur explosive, concentration en miettes, foi bancale et café multiplié par quatre. Le frère Sylvain Detoc l’affirme sans détour : bien dormir, ce n’est pas un luxe, c’est une question de survie.Dans ce dernier épisode de notre série d’été Les secrets d’une bonne mine intérieure, on ne parle pas seulement d’oreillers à mémoire de forme ou de rideaux occultants (même si c’est utile !). Il est surtout question d’un besoin profondément humain : se sentir en sécurité pour pouvoir « lâcher prise ». Dormir, c’est consentir à ne plus tout contrôler. C’est entrer dans une confiance totale – un abandon entre les bras de la nuit… et, peut-être, entre ceux de Dieu.Car oui, dormir peut devenir un acte spirituel. La Bible elle-même regorge d’images où Dieu veille pendant que l’homme se repose. Les moines le savent bien : leurs nuits sont enveloppées de silence et de prières qui parlent de paix et de tendresse. Alors si tu veux savoir comment ton matelas et ta foi peuvent t’offrir un vrai repos, écoute cet épisode. Et dors bien, surtout. Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si le secret pour avoir une bonne mine ne se cachait pas dans une nouvelle crème miracle, mais dans la simple envie de… bouger un peu ? Oui, tu as bien lu, le sport ! Mais pas n’importe lequel : un exercice qui sait allier plaisir et équilibre, sans nous transformer en guerrier épuisé. Ce septième épisode de notre série Les secrets d’une bonne mine intérieure explore ce paradoxe délicieux : comment faire du bien à son corps et à son esprit sans en faire trop ? Parce qu’au fond, on ne veut pas juste survivre, on veut vivre bien, et le mouvement est une clé majeure de cette alchimie intérieure. L’exercice agit comme un véritable antidépresseur naturel, une fontaine de jouvence pour la peau et un révélateur de bonne humeur.Le frère Sylvain Detoc nous guide à travers cette exploration où le sport devient non seulement une hygiène corporelle, mais aussi une aventure spirituelle joyeuse et soutenue par la grâce. Et si, au lieu de voir le chemin vers Dieu comme une rude ascension, on l’envisageait comme une balade à vélo électrique où l’on reçoit l’aide nécessaire pour pédaler sans s’épuiser ? Envie de voir comment allier douceur, endurance et bonne humeur ? Alors n’attends plus, mets tes baskets et écoute cet épisode inspirant de Questions de survie !Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu as déjà remarqué que ta peau peut trahir ton état intérieur ? Ce n’est pas qu’une question de crèmes et de soins superficiels. La vraie bonne mine, elle commence dans ton assiette. Oui, oui, fini le mythe du bain de jouvence dans la salle de bains, le secret est dans ta cuisine. Mais pas question de se lancer dans des régimes détox à la mode, ces privations bizarres qui te laissent plus crevé qu’éclatant. La vraie problématique, c’est comment nourrir son corps sans le trahir, en évitant le fameux effet yo-yo et le teint terne qui va avec. Manger, ce n’est pas juste combler un vide, c’est offrir à notre corps un festin coloré, un vrai feu d’artifice de vitamines et de pigments naturels, comme le bêta-carotène, le magicien qui donne bonne mine et bonne humeur.Dans ce sixième épisode de notre série Les secrets d’une bonne mine intérieure, le frère Sylvain Detoc nous invite à repenser notre relation à la nourriture, à arrêter de voir notre assiette comme un champ de bataille ou une corvée, et plutôt comme une occasion de cultiver notre bien-être. Alors, prêt à passer à table pour découvrir comment bien manger peut devenir une vraie source de joie intérieure ?Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On pense souvent que, pour avoir bonne mine, il faut se maquiller, dormir huit heures ou partir en cure détox. Mais on oublie l’évidence : boire de l’eau. Pas du café, pas du rosé. De l’eau. Le frère Sylvain Detoc nous le rappelle avec malice dans ce cinquième épisode de notre série Les secrets d’une bonne mine intérieure : notre corps, c’est un melon avec des jambes. Pas d’eau, pas d’éclat. Pas d’hydratation, et c’est la ride assurée — extérieure… et intérieure.Car derrière cette question très concrète d’hydratation se cache une autre soif : celle de l’âme. Une âme desséchée finit elle aussi par se friper. Dans la Bible, Dieu est appelé « source d’eau vive ». Et ce n’est pas une image poétique : c’est une question de survie. Déconnecté de cette source, le cœur humain se fatigue, se ratatine, s’éteint.L’épisode propose une méditation étonnante et vivifiante : si tu veux retrouver ton éclat — au sens le plus profond — il faut peut-être réapprendre à boire. Pas seulement à la fontaine du parc, mais à celle du baptême. C’est simple, radical et gratuit. Comme toute bonne eau. Alors, ami assoiffé, n’attends pas d’avoir la bouche sèche : branche-toi à la source !Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il suffit d’un moment d’inattention pour se rendre compte qu’on ne respire plus vraiment. On inspire, on expire, certes, mais trop souvent à moitié, la poitrine serrée, le cœur comprimé. Dans ce quatrième épisode de notre série Les secrets d'une bonne mine spirituelle, le frère Sylvain Detoc nous offre un remède inattendu : retrouver le souffle, le vrai, celui qui donne vie. Car ce n’est pas qu’une affaire de santé physique : c’est aussi une question de survie spirituelle. Dans la Bible, Dieu ne parle pas toujours avec des mots. Il souffle. Il anime. Il redonne vie. L’Esprit Saint, c’est ce souffle discret mais puissant, cet oxygène divin dont nous manquons parfois cruellement. Alors, au lieu de foncer vers un spa ou une séance de yoga pour « décompresser », pourquoi ne pas faire une halte là où souffle la vraie brise ?Le frère Sylvain nous apprend que prier, c’est aussi respirer. Et qu’une vie de foi sans respiration, c’est comme une apnée qui dure trop longtemps. En écoutant cet épisode, vous découvrirez que le salut peut commencer dans une simple inspiration. Et qu’un visage rayonnant commence par des poumons pleins… de grâce. Prenez le temps d’écouter. Et surtout, respirez.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avoir bonne mine, c’est d’abord une affaire de lumière. De soleil. Et donc de… vacances ? Pas forcément. Dans ce troisième épisode de notre série Les secrets d'une bonne mine intérieure, le frère Sylvain Detoc nous emmène plus loin qu’un simple coup de bronzage post-estival. Derrière cette expression anodine — « Tu as pris des couleurs ! » — se cache une réalité bien plus profonde. Le soleil, c’est la vie. Pour le corps, bien sûr : vitamine D, moral au beau fixe, défenses renforcées… Mais aussi pour l’âme. Car oui, notre cœur aussi a besoin de lumière. De chaleur. De rayonnement. Et pas seulement celui du ciel d’été. La Bible elle-même ose la comparaison : Dieu est un soleil, un astre qui réchauffe, qui guérit, qui illumine. À condition de ne pas vivre à l’ombre… Car certains cœurs restent pâles à force de fuir la lumière.Et si on s’exposait davantage ? Pas forcément au bord d’une plage, mais devant Celui qui éclaire l’intérieur. Cet épisode invite chacun à bronzer autrement : non pas en grillant à la terrasse d’un café, mais en s’ouvrant à la lumière divine. Une exposition prolongée, gratuite et sans SPF. Et si, cet été, on repartait vraiment coloré — à l’intérieur ?Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mot « cosmétique » évoque d’abord les rayons des supermarchés ou les pubs au slogan clinquant. Et pourtant, ce mot vient du grec kosmos – l’ordre, l’harmonie… bref, tout l’inverse du chaos de nos matins sans café. Ce deuxième épisode de notre série d’été Les secrets d’une bonne mine intérieure interroge notre rapport au corps et à l’apparence : pourquoi vouloir « avoir bonne mine » ? Est-ce seulement pour paraître ou y aurait-il quelque chose de plus profond à soigner ?Le frère Sylvain Detoc nous entraîne dans cette exploration surprenante : la beauté, loin d’être une coquetterie superficielle, serait une manière de refléter la beauté du monde… et du Créateur. Si Dieu a pris soin de modeler l’univers avec harmonie, pourquoi négliger notre propre peau ? Ce n’est pas un appel à devenir égérie de parfum, mais à prendre conscience que notre corps mérite attention, parce qu’il a du prix.Même les moines s’y mettent ! Entre baumes et huiles sacrées, entre rituel de beauté et sacrements, cet épisode nous aide à réconcilier cosmétique et théologie. Un épisode qui sent bon l’huile sainte et qui rappelle que prendre soin de soi, c’est parfois un acte spirituel. Parce que, oui, tu le vaux bien – et ce n’est pas qu’un slogan.Si vous avez apprécié cet épisode, partagez-le à un ami ! Un thème, un problème, un témoignage ? Vos idées sont plus que bienvenues pour la création des prochains épisodes. Envoyez-nous vos questions sur https://questionsdesurvie.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.