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Radio des Solidarités
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Radio des Solidarités

Author: Radio des Solidarités

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Description

Cette année, le festival se dote d’une radio éphémère qui enregistre et diffuse des émissions politiques et culturelles pendant tout le weekend. La Radio des Solidarités émet depuis son studio au coeur du festival et accueillera de nombreux invité.es.

Au programme, la construction d’une société au profit des droits sociaux et de l’environnement, les enjeux majeurs de l’accès à un logement de qualité, la place des femmes dans la musique, la solidarité envers les migrant.es, l’engagement des artistes en 2022 et bien d’autres thématiques qui questionnent citoyen.es et associations !

Des émissions réalisées par les mouvements Présence et Action Culturelles (PAC) et CEPAG

Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles
39 Episodes
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Pour clôturer sa 4ème édition, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « Une alimentation accessible et de qualité : Un privilège ou droit ? ». Dans cette émission, Maco – animatrice et coordinatrice du Mouvement Présence et Action Culturelles et ses invité·es vous proposent de réfléchir ensemble à l’impact de notre alimentation sur notre santé ainsi qu’à la manière dont nous pouvons rendre une alimentation de qualité accessible à tous·tes. Pour en parler : - Antoine Paucar (ou sa collègue) de l’ASBL As Bean - Juliette Paume, chargée de mission pour l’Observatoire de la vie étudiante - Adam Assaoui, de la FEF, la Fédération des étudiants francophones - Marie Legrain, de la Cellule Manger Demain
Pour cette 2ème émission du dimanche 24 août 2025, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « L'Arizona, désert d'humanité » Dans cette émission, Yannick Bovy et ses invitées vous proposent de prendre un temps pour réfléchir ensemble aux conséquences des politiques migratoires de l’Arizona sur les droits des personnes en situation d’exil. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir en studio : - Vanessa Amboldi : Directrice du CEPAG - Sandrine TSHIBANGU : Ecole des Solidarités / Le Monde des Possibles - Selena CARBONERO FERNANDEZ : Secrétaire fédérale de la FGTB
En introduction de la dernière journée de sa 4ème édition, la Radio des Solidarités et ces partenaires vous propose une émission intitulée : "Droits des seniors : La solidarité intergénérationnelle à l'épreuve des réformes". Dans cette émission Arno - Animateur pour le Mouvement Présence et Action Culturelles et ces invitées vous propose de prendre du recul sur la récente réforme des retraites pour mieux comprendre les dangers qu'elle représente pour le pacte social sur lequel repose notre système de sécurité sociale. Pour en parler : • Anne, témoin de vécu • Estelle Huchet, co-fondatrice de l’Asbl Droit devant de l’asbl droits devant • Pascale Broche intervenante de Respect Seniors.
Pour cette dernière émission du samedi 23 août, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « Pourquoi les narratifs de gauche ne touchent plus les classes populaires ? ». Dans cette émission, Marine Dessard et ces invité·es vous proposent de réfléchir ensemble aux raisons pour lesquelles la gauche ne parvient plus à faire passer ses messages et à la manière dont il est plus que jamais nécessaire de réinventer un narratif de gauche puissant. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir en studio : - Jérôme Van Ruychevelt -chercheur et chargé d’analyse à la fondation « Ceci n’est pas une crise » - Vanessa Amboldi – Directrice du CEPAG - Minervina Bayon – secrétaire régionale de la FGTB Liège-Huy-Waremme
Pour la 3e émission de la journée du samedi 23 août 2025, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « Aide et Protection de la jeunesse : Les familles d'accueil, une solution face au manque de places ? » Dans cette émission, Arnaud Gendrot et ses invité.e.s vous proposent de revenir sur la problématique du manque de place dans le secteur de l’aide et protection de la jeunesse et plus particulièrement sur son rôle essentiel pour permettre aux enfants de se poser durablement dans leur avenir. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir en studio : - Julie Bondiau – Directrice d’un service d’accompagnement en Accueil Familial d’urgence et de court terme - Solayman Laqdim – Délégué Général aux droits de l’enfant - Eric Willem – Chroniqueur papa d’accueil « solo » et auteur d’un livre racontant son parcours pour devenir famille d’accueil
Pour cette deuxième émission du samedi 23 août, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « Les personnes sexisées dans le folklore, entre exclusion et résistance ». Dans cette émission Maco et ses invitées vous proposent de vous plonger au cœur de l’identité wallonne à travers son folklore et la place qu’il laisse aux personnes sexisées et le rôle transformateur que celles-ci y jouent. Pour en parler nous accueillons Trois membres de la Consoeurie des Connasses. Ainsi que Delphine Dauby – Officière au sein des marcheuses d’Hymiée
Pour introduire la deuxième journée de sa 4e édition, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « La transition écologique se fait-elle sur le dos du Sud global ? » Dans cette émission Stéphanie Lecharlier – responsable du service mobilisation citoyenne et politique de Solsoc et ses invité·es vous proposent de réfléchir ensemble à la manière dont l’exploitation des pays du Sud Global, de leurs ressources et de leur population s’est intensifiée ces dernières années sous couvert de la transition écologique nécessaire à la survie de notre espèce. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir : Simon Rix – chargée de plaidoyer et de recherche chez Solsoc Jean-Claude Mputu – Directeur Adjoint de Ressource Matters
Pour clôturer cette 1e journée, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « Les filles plus à gauche, les garçons plus à droite : les algorithmes favorisent-ils le gender gap ? » Dans cette émission, Elise Voillot et ses intervenantes vont vous inviter à réfléchir à l’impact de la montée des extrêmes sur les inégalités entre les hommes/femmes. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir en studio : - Ambre Orban – membre de la Festiteam - Bayron Mahy – membre de la Festiteam - Lucie Barridez – Travailleuse au CAL - Margot Foubert – auteur pour Sofélia
Pour poursuivre la très riche programmation de la 1e journée de sa 4e édition, la Radio des Solidarités donne la parole aux jeunes FGTB qui vont nous proposer une émission intitulée : « La précarité étudiante : Le luxe d’étudier, le prix à payer. » Dans cette émission, Julien Scharpé et ses invitées vont vous proposer de vous plonger dans le quotidien difficile des étudiants qui sont souvent obligés de réaliser de front à la fois leurs études et leurs jobs étudiants pour joindre les deux bouts. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir en studio : - Selena Carbonero, secrétaire fédérale de la FGTB - Chiara Giaconia, étudiante à la Haute École Albert Jacquard - Maco, coordinatrice du PAC G et ancienne jobiste.
Pour cette deuxième émission de la journée, la Radio des Solidarités et ses partenaires vous proposent une émission intitulée : « Sport, outil d’émancipation ou d’exclusion ? » Dans cette émission, Catherine Haxhe et ses invités vous invitent à plonger dans le monde « merveilleux » du sport, qui peut à la fois se révéler être un formidable vecteur d’émancipation individuelle et collective mais aussi un outil d’exclusion s’il n’est pas encadré correctement. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir : - Mbo Mpenza – ancien joueur de foot professionnel et aussi un des fondateurs de l’ASBL Impala Performance - Lilian Thuram – Président de la Fondation Lilian Thuram, une fondation qui lutte contre le racisme dans le football - Sarah de Liamchine – Présidente de Solidaris Wallonie Bruxelles
La Radio des Solidarités revient pour une 4ème édition et cette année c’est le Centre d’Action LaÏque qui ouvre le bal avec une émission intitulée : « Campagne anti-genre, un radicalisme hybride ? ». Dans cette émission, Lionel Rubin et ses invité·es vous proposent de décrypter ensemble la manière dont l'extrême droite et les radicalismes renversent nos cadres de pensée et s'organisent autour de campagnes anti-genre pour fragiliser le débat public. Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir en studio : • David Paternotte, professeur de sociologie et d’études de genre • Caroline Désir, députée fédérale PS • Coraline Piessens, Chargée de mission EVRAS (FLCPF)
« Dans un système structurellement organisé pour vous épuiser, personne ne prendra soin de vous à votre place. En vous occupant de vous-même, non seulement vous déjouez ce rôle d’oppressé.e qu’on vous réserve, et faites donc déjà acte de résistance, mais vous préservez aussi votre capacité à lutter : si vous vous brûlez, vous ne servirez plus à rien. Vos savoirs militants, vos compétences, vos idéaux et vos réseaux ne serviront plus à rien » C’était un extrait du livre de Camille Teste, paru aux éditions Binge et intitulé « Politiser le bien-être ». Une émission dédiée au bien-être, au bonheur et à notre rapport à ceux-ci.
En 2014, un travail a été initié au niveau des politiques pour réformer l’enseignement, réforme qui a été mise en œuvre dans les écoles à partir de 2017, sous l’appellation « Pacte ». Le Pacte est un ensemble de réformes dont l’objectif est de garantir plus d’égalité entre les élèves et l’accès à un enseignement de qualité pour toutes et tous. Parmi les grands chantiers, on peut citer la modification des rythmes scolaires, l’amélioration de l’orientation des élèves, ou encore l'EVRAS (Éducation à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle). Par ailleurs, de nouvelles écoles, adoptant une pédagogie dite active, centrée sur l’expérience et l’apprenant, voient le jour. Le CEF est convaincu que les élèves ont leur mot à dire au sein de l’école, qu’ils en sont les protagonistes clés. C'est dans ce sens que le CEF propose l’émission « L’école : la vivre ou la subir ».
Une émission dédiée à la place des femmes artistes dans les festivals. Selon la dernière enquête Scivias sur la représentation des femmes et des minorités de genre dans les festivals, menée sur 27 festivals de musique contemporaine en Fédération Wallonie-Bruxelles, on compte 31 % de projets dits féminins, seulement 0,4 % de projets portés par des personnes non-binaires, transgenres et agenres, contre presque 69 % de projets portés par des hommes. Cet écart soulève la question de la place des femmes dans l’art, mais aussi dans la société et dans l’espace public en général. Les femmes artistes ont toujours existé, mais comme dans de nombreux autres domaines, elles ont été, et continuent d’être, invisibilisées, discriminées, minimisées. Elles sont confrontées à des obstacles et des stéréotypes auxquels leurs homologues masculins ne sont pas confrontés. Pourtant, il est essentiel que les femmes s'approprient ces lieux publics, médiatiques et artistiques pour faire entendre leur voix. Les festivals sont de véritables tremplins pour renforcer une notoriété artistique, voire pour se faire connaître.
Une émission produite par le CEPAG. Avec: Olivier STARQUIT, auteur du livre « Le poing, la rose et le putois », publié par Les Territoires de la Mémoire. Directeur des Services syndicaux de la Centrale générale FGTB ; Sixtine VAN OUTRYVE, de la coordination antifasciste de Belgique (CAB) ; Vanessa AMBOLDI, directrice du CEPAG et Vincent SCHELTIENS, historien, auteur avec Bruno VERLAECKT de l’essai «Extrême droite : l’histoire ne se répète pas… de la même manière», Editions du Cerisier
Le temps passe, inexorablement et son emprise finit par étreindre tout le monde. Pourtant, l’histoire n’est pas pareille, selon qu’on soit un homme ou une femme puisque même face au temps, les inégalités liées au genre sont flagrantes. Alors, pourquoi on nous vend des crèmes anti-âges sur des publicités sur lesquelles apparaît une jeune femme de 20 ans dont les traits ont été photoshoppés ? Pourquoi, une fois 50 ans, les femmes disparaissent des écrans de cinéma ? Pourquoi on nous balance des compliments toxiques du genre « T’es bien conservée pour ton âge » ! Bref, pourquoi nous apprend-t-on à malmener la personne que nous sommes vouée à devenir ? Une émission animée par Maco Méo – Coordinatrice du Mouvement Présence et Action Culturelles Avec la participation de : - Sandra Malemprez, - Directrice de Sandra Agency - Bénédicte Janssens - Chargée de projet pour l’asbl Liages - - Pascale Broché – Psychologue pour l’asbl Respect Seniors,
« Ces gamins, ils ont besoin d'expériences affectives sécurisantes. Et le monde, tel qu'il va, est incapable de leur offrir. Le capitalisme nous mène droit dans le mur parce qu'il n'a finalement rien à proposer aux jeunes. Aucun idéal. Cette merde de système glorifie la performance. Comment être le meilleur ? Comment être le plus riche ? Comment être le plus rapide ? Il propose aux enfants des idéaux de néant. » Une émission animé par Maco Méo – Coordinatrice du Mouvement Présence et Actions Culturelles avec la participation de : - Jérôme Colin – Journaliste et auteur du livre les Dragons - Byron – engagés auprès de Latitude Jeunes - Allan Depuydt – psychologue auprès de l’association Un pass dans l’impasse
Partout dans le monde les mobilisations citoyennes pour dénoncer le génocide en cours, appelé à un cessez le feu et au respect du droit internationales ont pris une ampleur sans précédent dans l’histoire du mouvement de soutien au peuple palestinien. Pourtant force est de constater que le Gouvernement Israélien bafoue et en toute impunité le droit internationale, massacre des milliers de personnes et poursuit sa politique d’occupation et de colonisation. Après presque 1 an de pression de la société civile, on est en droit de se demander si ces mobilisations sont utiles, quels succès on peut attribuer à ce mouvement et quels sont les nouvelles formes de mobilisation qui ont émergés. Une émission animée par Aurore Schreiber – chargée de recherche et de plaidoyer pour SOLSOC, avec la participation de : Nadia Farkh – Secrétaire Générale de l’Association Belgo Palestinienne Michel Staszewski – Historien, membre de l’UPJB, de l’alliance des Juïfs anti-sioniste en Belgique ant et auteur du livre « Palestiniens et Israéliens, dire l’histoire, déconstruire mythes et préjugés : Entrevoir demain » Simon Rix – chargée de plaidoyer et de recherche pour Solsoc
Défilé néo-nazi dans les rues de France, restrictions de l’accès à l’IVG en Italie, arsenal législatif contre les droits de la communauté LGBTQIA+ en Hongrie, salut khunen et chant raciste dans les stade de foot en Belgique. Partout en Europe l’extrême-droite et ses idées progressent avec des effets concrets pour nos droits et libertés. Xénophobie, sentiment de colère et d’abandon, faillite de nos démocratie, les raisons sont nombreuses chez celles et ceux qui votent pour ces partis. Mais au fond qu’est-ce que révèle la présence de l’extrême droite au sein de nos démocraties, quels conséquences concrètes ce choix des urnes a-t-il sur nos droits et surtout, que proposer pour protéger nos libertés. » Une émission animée par Lionel Rubin du Centre d’Action LaÏque, avec la participation de : - Barbara Stiegler – Philosophe, professeur de philosophie politique à l’université Bordeaux Montaigne - Christophe Pébarthe – Maître de conférences à l’Université Bordeaux Montaigne - Florence Vierendeel – Chargée d’étude et de communication politique chez Soralia
Cette émission intitulée « Délit de faciès, déni de justice », dédié aux violences policières et institutionnelles est un appel à croiser nos luttes, nos luttes antiracistes, décoloniales et pour une migration libre. Dénoncer le délit de faciès, c’est refuser les arrestations arbitraires, les contrôle d’identité répétés sur une même population, non-blanche, majoritairement noire et arabe. Dénoncer le déni de justice, c’est faire le constat qu’en Belgique entre 10 et 20 personnes par an décède au contact de la police. Tributaires de mécaniques institutionnelles qui effacent leurs mobiles racistes, ces agressions, attentats et homicides spécifiques peinent à être correctement jugé·es, sanctionné·es et réparé·es, ce qui empêche de les penser dans un système plus global.
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