Dans ce huitième et dernier épisode de Rends l'argent, Titiou Lecoq découvre que les chéquiers ont un genre. Et fait face aux bouleversements créés par tout ce qu'elle a appris concernant la gestion de l'argent au cours des semaines précédentes. Après des années à vivre avec des comptes séparés, elle décide avec son compagnon d'ouvrir non pas un, mais deux comptes communs. Plus fort: pour eux, le concubinage c'est désormais terminé. Place au Pacs!Enfin, elle rappelle les quatre conseils principaux à tirer de son enquête sur les finances dans le couple –qu'il s'agisse des crédits, des impôts ou tout simplement de l'importance de parler d'argent.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Dans ce septième et avant-dernier épisode de Rends l'argent, Titiou Lecoq va à la rencontre de Céline Bessière et Sibylle Gollac, sociologues et autrices du livre Le Genre du capital. Fruit de vingt ans de travaux, il montre comment au moment des séparations et des successions, les femmes se trouvent défavorisées par rapport aux hommes. Traditionnellement, on étudie la répartition des richesses en fonction des classes sociales. Souvent, dans les travaux, on se sert de la famille comme d'une unité pour calculer la répartition des richesses, par exemple à l'échelle de la France.Problème: on a tendance à oublier que la famille est constituée d'individus, et que la répartition entre eux n'est peut-être pas égale. Dans Le Genre du capital, les deux chercheuses sont allées voir, dans les familles, comment se répartissait le capital et, ô surprise, elles ont découvert qu'il était aux mains des hommes.Bienvenue au cœur des arrangements familiaux.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
«Violences économiques». Le terme est apparu dans les médias en 2018, avec les manifestations des «gilets jaunes». Il désigne un phénomène lié au couple désormais bien connu dont il faut prendre conscience: de même qu'on ne doit pas accepter les gestes de violence physique, on ne doit pas accepter la violence économique.La violence économique, c'est un conjoint qui demande à vérifier toutes les dépenses. Qui exerce un contrôle sur l'autre via la thune. L'une des premières règles pour s'en protéger, c'est de conserver un compte personnel. Ne pas mettre tout son argent sur le compte commun parce qu'en cas de séparation, l'autre peut le vider.Dans ce sixième épisode de Rends l'argent, pour parler des violences économiques faites aux femmes, Titiou Lecoq va à la rencontre de Stéphanie Lamy, présidente d'Abandon de Famille. Une association qui interpelle les pouvoirs publics sur ce sujet.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Surprise: quand il s'agit d'impôts, un certain nombre de femmes se font arnaquer. Il y a un véritable enjeu à la fois féministe et de justice sociale, car le système actuel est profondément injuste: en France, on pratique ce qu'on appelle la conjugalisation des impôts –le fait que l'État oblige les couples mariés ou pacsés à faire une déclaration commune. Cette conjugalisation favorise les hommes, ou plutôt les plus gros revenus, donc en général les hommes. Avoir une femme qui gagne peu fait baisser leurs impôts. Ils sont comme récompensés d'avoir une épouse qui gagne peu, ou qui ne travaille pas à temps complet. Et si en plus on factorise la répartition des tâches ménagères… Considérant le travail ménager comme un travail non rémunéré, non seulement la plupart des épouses effectuent un travail gratuit, mais en plus leur mari en tire un avantage fiscal. C'est comme si l'ensemble de la société payait pour décharger les hommes mariés.Dans ce quatrième épisode de Rends l'argent, Titiou Lecoq va à la rencontre d'Héloïse Bolle, gestionnaire de fortune au sein de l'agence Oseille, de Christine Delphy, sociologue spécialiste des études féministes, et d'Arièle Bonte, journaliste, ancienne rédactrice en chef de la newsletter économique et féministe #5novembre16h47.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Surprise: quand il s'agit d'impôts, un certain nombre de femmes se font arnaquer. Il y a un véritable enjeu à la fois féministe et de justice sociale, car le système actuel est profondément injuste: en France, on pratique ce qu'on appelle la conjugalisation des impôts –le fait que l'État oblige les couples mariés ou pacsés à faire une déclaration commune. Cette conjugalisation favorise les hommes, ou plutôt les plus gros revenus, donc en général les hommes. Avoir une femme qui gagne peu fait baisser leurs impôts. Ils sont comme récompensés d'avoir une épouse qui gagne peu, ou qui ne travaille pas à temps complet. Et si en plus on factorise la répartition des tâches ménagères… Considérant le travail ménager comme un travail non rémunéré, non seulement la plupart des épouses effectuent un travail gratuit, mais en plus leur mari en tire un avantage fiscal. C'est comme si l'ensemble de la société payait pour décharger les hommes mariés.Dans ce quatrième épisode de Rends l'argent, Titiou Lecoq va à la rencontre d'Héloïse Bolle, gestionnaire de fortune au sein de l'agence Oseille, de Christine Delphy, sociologue spécialiste des études féministes, et d'Arièle Bonte, journaliste, ancienne rédactrice en chef de la newsletter économique et féministe #5novembre16h47.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Ça y est, c'est sûr et certain: dans votre foyer, l'argent se débourse à égalité. Loyer, crédits, courses, restaurants, gros achats ou petits plaisirs du quotidien, les contributions sont parfaitement partagées. Pourtant, même dans un couple où chacun·e gagnerait et dépenserait autant d'argent que l'autre, l'égalité n'est pas toujours au rendez-vous. Ou pourquoi payer les courses, les vacances ou les livres pour les enfants se révèle un investissement peu judicieux.Dans ce troisième épisode de Rends l'argent, Titiou Lecoq va à la rencontre d'Héloïse Bolle, gestionnaire de fortune au sein de l'agence Oseille et Compagnie et autrice du livre Les Bons comptes font les bons amants aux éditions du Cherche-Midi.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Saviez-vous qu'il a fallu attendre 1965 pour qu'en France (oui, en France), les femmes mariées aient le droit d'ouvrir un compte en banque? Que la première femme à entrer dans la Bourse l'a fait en 1967? Que pendant longtemps, le mariage a surtout été une question d'argent? Dans ce deuxième épisode de Rends l'argent, Titiou interroge sa mère et l'historienne Michelle Perrot pour comprendre le poids de l'histoire dans le rapport des femmes à l'argent.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Comment faites-vous les comptes? Tous les combien? Si vous êtes en couple, avez-vous un compte commun? Quelle est la répartition des dépenses? Qui s'occupe de l'administratif? Et des impôts comme la taxe d'habitation?Comme beaucoup, vous ne vous êtes probablement jamais installés à une table pour parler fric. Qui passerait une soirée entière à faire des comptes pour savoir combien chacun versera? Car parler d'argent dans le couple, c'est délicat, voire tabou. Dans ce premier épisode de Rends l'argent, Titiou Lecoq va à la rencontre de couples pour poser les questions qui fâchent. Et enquêter sur la place des finances dans les histoires d'amour.Suivez-nous sur Instagram et Facebook. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez aussi le Slate Podcast Club sur Facebook.Générique: «Again (Saeptem RLAT(h)une Mix)», Density & Time Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Vous avez sans doute déjà été en couple. Qui payait quoi? Est-ce qu'il y avait un maître ou une maîtresse de l'argent? Vous êtes-vous déjà installés à une table pour parler fric? Qui passe une soirée entière à faire des comptes pour savoir combien chacun versera? Quid du fameux compte commun? Parler d'argent dans le couple, c'est délicat.Dans Rends l'argent, Titiou Lecoq pose les questions qui fâchent et enquête sur la place des finances dans les histoires d'amour. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.