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SatMag, l'actu des écrans

SatMag, l'actu des écrans
Author: SatMag, l'actu des écrans
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© Serge Surpin
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SatMag, toute l'actualité des médias, toute l'actualité des écrans, toute l'actualité des médias. Un chronique quotidienne et une émission hebdomadaire
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Utiliser ChatGPT pour rédiger intégralement une chronique, notamment dans le journalisme, est perçu comme non professionnel, paresseux, et peu honnête. Cependant, beaucoup de journalistes, consciemment ou pas, peuvent recourir à l’IA comme un outil d’aide.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si ChatGPT n’était pas l’ennemi, mais un allié ? Dans cette chronique, je raconte comment l’IA m’a aidé à comprendre des diagnostics, éviter une erreur médicale et même rassurer une proche. Moralité : parfois, la machine se trompe moins que l’humain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Radio France lancera "Mon Petit France Inter" le 18 octobre 2025, une nouvelle radio numérique destinée aux enfants de 6 ans et plus. Elle proposera plus de 4 000 contenus jeunesse (dont Oli et Les Odyssées) et a pour but d'offrir une alternative audio aux écrans, stimulant l'attention et la concentration. Ce projet est jugé unique en Europe. Une déclinaison pour les 2-5 ans, "Mon Tout Petit France Inter", suivra durant l'hiver.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'année 2025 a été marquée par des bouleversements majeurs sur la TNT : l'ARCOM a retiré C8 et NRJ12 (remplacées par T18 et Novo19), consolidé les chaînes d'information, et le groupe NRJ s'est retiré du paysage hertzien. Suite à la vente de Chérie 25, le groupe CMA Médias a lancé RMC Life (canal 19) le 1er octobre, une nouvelle chaîne lifestyle à dominante féminine. Avec un objectif ambitieux de doubler les audiences d'ici 2027, RMC Life est fortement incarnée par de nouvelles figures (Estelle Denis, Cristina Cordula, Karine Ferri...) pour rivaliser avec les autres grands groupes de la TNT.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On dit souvent que les médias sont aux mains de grands capitalistes. C’est vrai en partie : la presse vit de subventions publiques, de pub et d’abonnements, mais elle a aussi besoin de capitaux privés, rarement investis pour l’argent, plutôt pour l’influence.Après-guerre, l’État a mis en place des aides massives pour garantir le pluralisme, système toujours en vigueur. Mais face à la crise économique du secteur, de grands groupes ont repris la main, surtout dans l’audiovisuel où les coûts sont colossaux.Résultat : l’indépendance reste fragile, tiraillée entre argent public, investisseurs privés et règles censées protéger la liberté d’informer.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jimmy Kimmel a été brièvement suspendu par ABC, non pour ses propos mais sous la pression de ses stations locales, illustrant la particularité de la télévision américaine, où les networks ne peuvent pas diffuser directement à l’échelle nationale.Aux États-Unis, le maillage local garantit pluralité et contrôle, un système différent de la France ou d’autres pays européens, qui imposent aussi des limites de concentration pour radio et télévision.Même avec câble et satellite, les networks restent des têtes de réseau, tandis que d’autres chaînes comme CNN ont profité de ces supports pour devenir vraiment nationales.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Suspendu pour avoir accusé les pro-Trump de récupérer politiquement l’assassinat de Charlie Kirk, Jimmy Kimmel a finalement retrouvé son Late Night Show sur ABC. Pressions politiques, menaces juridiques et financières avaient d’abord conduit Disney à céder, avant un retour de bâton médiatique et économique. Très ému, l’animateur a présenté des excuses tout en dénonçant la censure imposée par Trump et la FCC. Mais une partie des chaînes affiliées à ABC refuse toujours de diffuser l’émission. L’affaire illustre la fragilité de la liberté d’expression aux États-Unis face aux pressions du pouvoir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Suspendu après ses critiques contre la droite pro-Trump, Jimmy Kimmel fait son retour à l’antenne d’ABC. La décision initiale de Disney, saluée par Donald Trump et soutenue par la FCC, avait déclenché une tempête : protestations d’Hollywood, menaces de boycott, chute en Bourse et réactions politiques. Face à cette pression, Disney a rétabli l’animateur, même si certains diffuseurs comme Sinclair et Nexstar refusent encore de programmer son show. L’épisode révèle la fragilité de la liberté d’expression aux États-Unis et la dépendance des médias aux pressions politiques et économiques.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aux États-Unis, la liberté d’expression, pourtant garantie par le Premier amendement, vacille. Le pays n’est que 57ᵉ au classement de RSF, loin derrière la France. Comme autrefois sous le maccarthysme, Donald Trump s’attaque frontalement aux médias : il place des fidèles à des postes clés, menace les chaînes et applique la stratégie de Steve Bannon — saturer l’espace public de polémiques pour étouffer le débat. Cette offensive rappelle les excès d’autres populismes, à droite comme à gauche, et trouve un écho dans les débats autour de la cancel culture. Le cas Disney/ABC et l’éviction de Jimmy Kimmel illustrent une presse piégée entre pressions politiques, économiques et risques de boycott. Conclusion : même en démocratie, l’indépendance des médias reste fragile face aux leaders autoritaires.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après Moscou et ses chaînes muselées, voilà Washington qui apprend à faire taire ses humoristes : Jimmy Kimmel en a fait les frais.Aux États-Unis, l’animateur Jimmy Kimmel a été écarté de son late show par ABC, sous la pression de la FCC et de Donald Trump, après des propos sur l’assassinat de Charlie Kirk. Cette décision illustre les pressions croissantes exercées par Trump sur les médias : CBS a déjà annoncé la fin du late show de Stephen Colbert, NBC prépare la revente de MSNBC, et des procès visent le New York Times et le Wall Street Journal. Le climat rappelle la stratégie de Poutine en Russie, consistant à neutraliser les voix critiques. Même en démocratie, la liberté de la presse se révèle fragile face aux dirigeants populistes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le groupe NRJ quitte la télévision numérique terrestre (TNT) après vingt ans d’aventure, suite au retrait d’autorisation par l’Arcom de ses chaînes NRJ 12 et Chérie 25, la première ayant déjà connu des difficultés puis une programmation de plus en plus réduite. Chérie 25, lancée en 2012 pour un public féminin, est rachetée par le groupe CMA Media et devient RMC Life au 1er octobre 2025, tout en conservant sa orientation éditoriale. CMA Media contrôle désormais cinq chaînes nationales sur la TNT, renforçant sa présence avec BFM TV, RMC Découverte, RMC Story et RMC Life, aux côtés de ses chaînes locales. Quant à NRJ, l’aventure TNT se solde par un échec ; il ne reste au groupe qu’une seule chaîne télé, NRJ Hits, qui n’est plus diffusée sur ce réseauHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le débat sur la présence de youtubeurs en radio ou à la télévision est en réalité un faux étonnement. YouTube et les réseaux ne sont plus des terrains amateurs mais de véritables médias, avec leurs codes, leur professionnalisation et parfois des équipes dignes d’une production télévisée. Dans un paysage fragmenté où aucun écran ne domine plus, il est logique que les voix nouvelles passent de la toile aux ondes, et que les anciens médias s’enrichissent de ces talents déjà adoubés par le public. Le futur des médias, c’est ce va-et-vient permanent entre anciens et nouveaux formats, réunis dans un même concert d’écrans.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce week-end, j’ai eu droit à une discussion qui résume parfaitement notre époque. On m’affirme que le gouvernement est déjà formé : faux. On me sort des chiffres spectaculaires sur les dépenses publiques : faux aussi. Et quand je cite Le Monde, France Info ou même TF1, mes sources sont balayées d’un revers de main : “pas fiables, tous des gauchistes”.Moralité ? Les faits n’ont plus la cote. Ce qui compte, ce sont les impressions, les croyances, les rumeurs. Et moi, forcément, je passe pour Monsieur “je sais tout” — voire carrément pour militant d’un camp politique. Tantôt d’un côté, tantôt de l’autre : preuve que je dois être au milieu.Voilà pourquoi, chaque jour, je continue de vous proposer cette chronique médias : parce qu’on peut entendre tout et son contraire, mais qu’avec de bonnes sources, diversifiées, on finit par voir clair. Enfin… si on veut bien ouvrir les yeux.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une vidéo clandestine montrant Thomas Legrand et Patrick Cohen en discussion avec des responsables socialistes relance le débat sur l’indépendance des journalistes. Illégale mais exploitée par des médias de droite, elle a conduit à l’éviction de Legrand, accusé de parti pris. Rachida Dati, renvoyée en justice, contre-attaque en dénonçant les journalistes. La question demeure : France Inter est-elle trop marquée à gauche ? Si son ton progressiste est réel, il contrebalance un paysage médiatique privé largement droitisé, et reste dans sa mission de service public.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Autrefois, les radios dites « périphériques » diffusaient depuis l’étranger pour contourner l’interdiction de radios privées en France. Malgré ce contrôle indirect, elles permettaient une expression partielle de l’opposition, alors que la télévision restait totalement encadrée. Ce système est tombé en 1981 avec l’alternance politique, ouvrant les ondes pour que le pouvoir futur ait moins de contrôle.Aujourd’hui, avec Internet et les réseaux, les barrières semblent tombées… mais seulement dans de vraies démocraties. Dans certaines « démocratures », les restrictions s’installent légalement via les élections. L’histoire des radios et des médias rappelle donc l’importance de voter et de protéger la liberté d’expression, car même un pays libre peut se retrouver bloqué ou menacé si ses voix se dispersent.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le succès de la série Surface illustre une tendance lourde : on regarde de moins en moins la télévision en direct et de plus en plus à la demande, notamment sur France.TV. Tirée d’un roman à succès d’Olivier Norek, bien interprétée et efficacement promue, la série a battu des records : 6,5 millions de vues en ligne, un meilleur lancement pour France 2 depuis dix ans. Cette consommation délinéarisée explique la chute des audiences en direct : beaucoup de téléspectateurs préfèrent voir la suite sur la plateforme sans attendre. Une évolution déjà amorcée avec les magnétoscopes, accélérée par Netflix, et aujourd’hui adoptée par toutes les grandes chaînes, qui misent sur leurs plateformes gratuites financées par la pub. Un modèle qui séduit surtout les jeunes et pourrait bien s’imposer durablement. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Peut-être pensiez-vous que j’allais vous parler de cette affaire politico-médiatique où deux journalistes se sont fait piéger dans un café avec des responsables du PS… Eh bien non. Pas aujourd’hui. Pas sous la pression. J’y reviendrai, après réflexion.Aujourd’hui, cap sur un autre feuilleton : la rentrée télé. Et là, surprise, c’est W9 qui vole la vedette. Grâce à Cyril Hanouna, débarqué avec Tout beau, tout neuf — un TPMP bis. Résultat ? Un bond spectaculaire : +50 % en une semaine, 3,2 % de part d’audience. Mieux que C8 à la même époque l’an dernier. Effet de curiosité ? Très probablement. Mais, entre nous, les chiffres devraient vite ressembler à ceux de C8 : même concept, même public, même résultat.TMC, de son côté, n’est pas en reste : +38 % avec le retour de Quotidien, à 2,9 %. Presque son niveau de l’an dernier. Et puis, il y avait l’attente autour de Léa Salamé au 20h de France 2. Verdict ? Pas d’effet de curiosité. Elle fait à peu près les mêmes audiences qu’Anne-Sophie Lapix. Preuve que les téléspectateurs choisissent d’abord le contenu, pas seulement la présentatrice.Au classement général, TF1 reste indétrônable à 19,5 %, France 2 progresse, France 3 recule, M6 grappille… et Canal+ crée la surprise avec une belle hausse. À l’inverse, Gulli et RMC Story font grise mine.Bref, cette rentrée, c’est un peu comme une cour d’école : TF1 garde la première place, France Télévisions tient bon, et sur la TNT, W9 et TMC se battent pour attirer les regards. La cloche a sonné, le match est lancé.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.