DiscoverTahitian Talk
Tahitian Talk
Claim Ownership

Tahitian Talk

Author: Tahiti Podcast

Subscribed: 8Played: 62
Share

Description

Ia Ora  na,
Bienvenue sur Tahitian Talk, le podcast dédié à la création à Tahiti,  mais pas seulement
Initialement axé sur le processus créatif des artistes polynésiens le champs d’intérêt du podcast s’étend désormais de la création artistique aux initiatives individuelles remarquables.
L’objectif reste de partager des parcours inspirants, témoins de la diversité et de la richesse de nos îles 
Vous écoutez Tahitian Talk un Podcast co-animé par Miriama Bono et Benjamin Brillouet. 
31 Episodes
Reverse
Nous avons le plaisir de recevoir Jean Christophe SHIGETOMI pour le premier volet d’une série consacrée aux tahitiens dans la guerre. Passionné d’histoire et auteur de plusieurs ouvrages dédiés à l’engagement des polynésiens dans des conflits locaux ou internationaux, Jean Christophe SHIGETOMI est devenu une référence incontournable pour évoquer ces thèmes. Il a ainsi publié : Tamari’i Volontaires, Poilus tahitiens, les Tahitiens dans les guerres d’Indochine et de Corée, et Bobcats, les Américains à Bora Bora . Il est par ailleurs auteur de plusieurs articles, notamment sur l’histoire du surf, et prépares la sortie d’un nouvel ouvrage : Tama’i, annexion et résistances aux îles de la Société 1844-1846 . Enfin, il participe fréquemment, en tant que consultant ou protagoniste à des documentaires sur ces sujets. Pour cet épisodes, il nous partage avec passion et érudition le fruit de ses recherches liées aux conflits armés entre 1844 et 1846, communément appelles ‘guerres franco-tahitiennes’ . Une période encore assez mal connue, et pourtant essentielle, puisque c’est à l’issue de ces tensions que Tahiti va devenir un protectorat français.
Pour ce nouvel épisode, j’ai le plaisir de recevoir Ken Hardie  , un artiste polynésien aux multiples talents et au parcours atypique. Après diverses expériences professionnelles il décide de tout arrêter pour suivre une formation de tourneur sur bois  à Aiguines en Provence.  À la suite de cette formation  il revient à Tahiti avec sa première collection qui sera exposée à la galerie Winkler  en mai 2021.  Depuis il a installé son atelier et va participé au salon Révélation  à Paris en juin . Des projets qui s’enchainent autour d’une passion, celle du bois  . Ses oeuvres sur bois se structurent autour des principaux éléments : l’eau, la terre, le feu, la lumière mais aussi le temps, l’amour ou encore le voyage... chaque élément laisse une empreinte sur le support qui guide le regard du spectateur vers des formes géométriques liées aux tatouages traditionnels. Son œuvre met en lumière les contrastes entre les matières lisses et brûlées, entre la forme brute et la sophistication du motif, entre la nature et la culture... C’est avec beaucoup de plaisir que je vous propose de découvrir le parcours et l’univers de cet artiste qui vie sa passion sans concession !  Je vous invite à découvrir le travail de Ken Hardie via notre site internet, ou grâce au note de l’épisode. N’hésitez pas également à nous laisser un commentaire ou des étoiles, c’est toujours agréable d’être soutenu !  À bientôt ! 
C’est avec beaucoup de plaisir que nous avons reçu Tafetanui, dit Tafé, un jeune artiste polynésien prometteur. Nous évoquons son parcours, son expérience récente à la Cité Internationale des Arts de Paris, mais aussi la préparation de sa première exposition solo. Une vision contemporaine de la culture polynésienne, avec une approche riche et pluridisciplinaire , que nous vous invitons à découvrir sans tarder, car Tafe fait partie de cette jeune garde polynésienne  qui nous promet de belles expositions à venir. Tafetanui, un jeune homme plein de promesses à suivre absolument ! 
Bien connue du monde du ori tahiti où elle s’est impliquée très tôt en tant que danseuse, puis au coté de son compagnon OLivier Lenoir, Moearii est une passionnée  de la culture polynésienne. Sa curiosité et ses missions professionnelles  l’ont poussé à en découvrir plus sur l’histoire et les spécificités des 5 archipels de la Polynésie française et c’est ainsi qu’à germé en elle l’envie d’écrire un livre sur l’histoire de son Pays. Un projet ambitieux qui lui a pris plus de 10 ans, et de nombreuses lectures. Tupuna, voyage sur les traces des ancêtres est une synthèse des ouvrages qu’elle a étudié mais aussi de ses rencontres avec les acteurs culturels, ou les polynésiens des archipels qu’elle a sillonné . C’est avec beaucoup de modestie et de passion que Moearii évoque ce long cheminement qui l’a conduite petite à petite à l’écriture. Un parcours inspirant et courageux, qui nous démontre une fois de plus qu’avec un peu de détermination et beaucoup de patiente , il est possible de concrétiser les rêves les plus fous. C’est donc avec beaucoup de plaisir que nous vous proposons cette jolie rencontre avec Moearii Darius, auteure de Tupuna, voyage sur les traces des ancêtres . 
Pour ce nouvel épisode, nous avons eu le plaisir de recevoir Tuarii Tracqui. S’il est connu à Tahiti en tant que danseur de Ori Tahiti, Tuarii se passionne également depuis quelques années pour le théâtre et l’audiovisuel.   Ce jeune artiste multidisciplinaire se consacre avec ardeur aux arts de la scène tout en restant curieux et ouvert sur le monde. Nous avons évoqué avec lui ses pratiques artistiques mais aussi sa vie parisienne et ses nombreux centres d’intérêt.  C’est donc avec grand plaisir que nous vous partageons cet entretien avec Tuarii Tracqui, un artiste passionné, mais aussi un jeune polynesien plein d’humour et de d’humilité. Crédit Photo : Moana Blackstone
Bonjour à tous, Ia Orana,      Aujourd’hui j’ai le plaisir de recevoir Cédric Wane, triathlète polynésien aux multiples victoires locales, et aux performances remarquées à l’international.     Ces exceptionnelles performances sont pour moi d’autant plus remarquables qu’elles sont réalisées dans le cadre d’un régime végétarien. Alors que les choix alimentaires de tous sont aujourd’hui cruciaux et jouent un rôle fondamental à la fois sur l’impact environnemental et sur la santé de chacun notamment en période de crise sanitaire, il m’a paru pertinent de retracer le parcours et partager la philosophie de vie de celui que l’on surnomme « le tahitien » sur les circuits panaméricains du triathlon.     Nous profitons de notre conversation pour évoquer le Général Bigeard, le jeu de mathématiques Math Blaster, le contrat social  de Jean-Jacques Rousseau, l'université  Boulder du Colorado, au sein de laquelle Cédric va découvrir et prendre goût au triathlon, jusqu'à se hisser à la deuxième place des championnats universitaires nationnaux en 2010 ! Ensuite, nous parlerons du fonctionnement du corps humain et en particulier du renouvellement cellulaire avant de développer le sujet de l'alimentation et de l'hydratation en faisant référence à Marc Henry  et à René Quinton. J'ai adoré cet entretien, et je vous souhaite une bonne écoute.  
Bonjour à tous, Ia Orana,      Aujourd’hui, j’ai le plaisir de recevoir Jason Man  sur le podcast. Si son nom ne vous évoque rien dans l'immediat mais que je vous parle du tour de l’île en brouette , à priori, vous devriez le remettre plus facilement.     Jason est militant écologiste, et sa tâche est aussi passionnante, que diversifiée. En effet, réduire son impact sur l’environnement, sur le climat, entraine d’innombrables leviers d’actions tant sur le comportement que sur les choix de consommation. Au travers de son parcours de vie, Jason tend à démonter qu’il est possible d’adopter un mode de vie  en adéquation avec la mutation sociétale à laquelle, nous, nos enfants, leurs enfants, seront confrontés selon toute vraisemblance. Nous parlons ici d’immunité à la cause publicitaire. Cependant, les actions menées par Jason sont motivées avant tout et surtout par une prise de conscience. Un jour ça tilt, et puis ça n’arrête plus de tilter, ça devient obsessionnel. Je vous propose de faire plus ample connaissance avec Jason en faisant un tour d’horizon de du contexte local. 
Pour ce nouvel épisode nous avons le plaisir de recevoir Terainui Hamblin Ellacott. Nous avons tenu à inviter cette jeune femme admirable sur le podcast car elle est pour nous l’archétype de la femme polynésienne contemporaine. Terainui est une entrepreneuse et une femme d’actions et de projets, mais c’est aussi une jeune femme dont la famille est une préoccupation majeure. Au travers de cette interview, nous évoquons ensemble son parcours et comment elle a changé de vie pour assumer pleinement son statut d’entrepreneuse, tout en plaçant ses enfants au centre de ses préoccupations. Terainui évoque également au cours de l’interview son engageament pour lutter contre le développement des violences en Polynésie, l’un des sujets qui lui semble essentiel aujourd’hui.     Des problématiques qui sont celles des femmes d’aujourd’hui, à Tahiti comme ailleurs et qui peuvent inspirer d’autres parcours atypiques. C’est donc avec grand plaisir que nous vous partageons cette interview à la fois très libre et très pudique avec Terainui Hamblin.   
Bonjour à tous, Ia Orana,  Aujourd’hui, j’ai le plaisir de recevoir un universitaire sur le podcast, le troisième après Mareva Leu et Titaua  Porcher. Il ne sera pa s question de littérature ou de théâtre cette fois-ci car nous allons nous orienter vers la recherche qui pourrait changer certain aspect de notre quotidien avec Taivini Teai .

Taivini est maître de conférence et habilité à diriger des recherches en chimie analytique et moléculaire, substances naturelles, plantes endémiques et activités biologiques à l’université de Polynésie française . 
 Auditeur, n’aie crainte, l’objet de cette conversation n’est pas de te perdre mais plutôt de te démontrer que la recherche, c’est plutôt cool. Il y a quelques années, avec Patrick Kaiha,  et Teiva Huck, Taivini a travaillé sur la vanilla tahitensis, et une technique agricole a été imaginée afin de réduire le délai de récolte de la précieuse épice dont le parfum et le goût sont reconnue à travers le monde.
Voilà un premier exemple de recherche permettant d’améliorer la productuvité d’un secteur.

Il y a  quelques année encore, Taivini avait mis au point un test de détection des toxines par lesquelles le poisson transmet à l’homme la ciguatera.
 Plus récemment, vu aux doctoriales de L’UPF , Taivini encadre les thèses de doctorants dont l’objet est la recherche d’une variété de canne à sucre pour en faire du Rhum, ou la valorisation des piperacées, autrement appelé « ‘avaa maohi », dont la culture est prohibée depuis l’arrivée des premiers missionnaires, mais dont l’utilisation permettrait de produire une boisson « bien-être » et la redecouverte des traditions culturelles d’antan.
Pour ce nouvel épisode, nous avons le plaisir de recevoir Marie-Hélène Villierme, photographe, réalisatrice et productrice. Au travers du parcours de cette artiste polynésienne reconnue pour son talent et son perfectionnisme, nous évoquons sa passion de l’image, et son amour profond pour la Polynésie. Avec pudeur et sincérité Marie-Hélène évoque sa recherche artistique (et lumineuse) mais aussi comment elle s’est impliquée dans son projet de documentaire consacré à Pouvana Oopa, une aventure qui l’a mené bien plus loin que ce qu’elle avait prévu au départ .  Marie-Hélène se livre peut souvent, toujours avec modestie et retenue et elle fait partie de ces êtres précieux qui vous marquent et vous touchent profondément. C’est donc avec un réel plaisir que nous partageons avec vous ce moment suspendu, avec Marie-Héléne Villierme.  Pour retrouver les informations sur le travail artistique de Marie-Hélène  https://www.artistes.pf/artistes/marie-helene-villierme/
J’ai le plaisir de rencontrer aujourd’hui Moana Louis. Il est possible que ce nom ne vous parle pas, mais il est certain que vous le connaissez davantage sous le pseudo de Janse Wesson, sous lequel il a sorti le titre « IaOrana » au succès retentissant en feat avec Jimi Sissoko.   En ce qui me concerne j’avais découvert la musique de Moana avec le titre « Loin d'ici » en feat avec lola cette fois. Forcement, les cuivres et l’accent méridional de la chanteuse couplés avec le ton de Moana me parlait beaucoup et me renvoyait à ma jeunesse Marseillaise, qui commençait à être loin derrière moi.   Aujourd’hui Moana fait beaucoup moins de musique, du moins que je sache, et fais beaucoup plus de photo. Le média a changé, mais l’application de l’artiste reste au RDV. Je vous invite à visiter son instagram, des décors somptueux en effet, des filles sublimes certes, mais surtout et que j’apprécie, une lumière maîtrisée, un cadrage juste, et autre chose que j’apprécie également, l’hétérogénéité dans le travail, avec des évolutions qui laissent penser qu’on est dans l’échauffement d’un long travail de recherche.   Sur le Podcast Tahitian Talk, Miriama a pour usage de conduire les conversations avec les artistes sur leur processus créatif. Mais au-delà du processus créatif de Moana, il y a je crois une démarche entrepreneuriale, c’est-à-dire, une envie de construire avant de créer, ou de construire par la création, et c’est bien l’aspect construction qui m’amène aujourd’hui à engager ma curiosité avec mon invité (qui me reçoit dans ses locaux).
Pour ce nouvel épisode, nous avons le plaisir de vous faire partager un entretien avec Taina Calissi. Artiste, entrepreneuse, voyageuse, Taina est une femme forte aux multiples facettes. Après un parcours très riche dans la communication et l’événementiel, cette enfant de Tiarei vient de créer une plateforme de vente en ligne d’art polynésien, Raw Tahiti Une initiative numérique qui lui permet de regrouper plusieurs de ses passions : la peinture, l’entreprenariat, mais aussi l’audiovisuel et l’écriture.  Cela faisait un moment que je voulais réaliser cette interview de Taina, car cette polynésienne incarne à la fois l’esprit d’entreprise, mais aussi le foisonnement artistique. C’est donc avec beaucoup de plaisir que je vous invite à découvrir l’univers de Taina Calissi. 
Ia Orana,  A l'occasions de 18° FIFO (Festival International du Film documentaire Océanien), dont elle est membre du jury, nous vous proposons de découvrir cet échange avec Eliane Kohler, Ethnologue et réalisatrice de documentaire en Polynése française.
Ia ora na,  pour ce nouvel épisode j’ai le plaisir de vous faire partager un entretien avec la chanteuse Vaiteani. À l’occasion de la sortie de son deuxième album elle nous raconte comment, avec son compagnon Luc, ils ont fait le choix il y a quelques années de partir en métropole pour réaliser leur rêve. Fan de la première heure de ce jeune couple talentueux, je suis particulièrement heureuse  de partager avec vous cette interview inspirante, pleine de spontanéité et de sincérité. Spotify Instagram
Ia Orana, pour ce nouvel épisode de la saison 2 de Tahitian Talk, nous avons  l’immense plaisir de vous faire partager cet entretien avec Manouche Lehartel, une grande dame de la culture. Si Manouche est connue pour sa passion du Ori Tahiti, on sait beaucoup moins qu’elle a été la première directrice polynésienne du Musée de Tahiti et des îles. Au cours de cette interview nous parlerons bien sûr du Ori Tahiti, mais nous évoquerons surtout son parcours atypique, et comment, Manouche s’est destinée à devenir muséologue. Nous vous proposons donc d’écouter ce nouvel épisode du podcast avec la passionnante et passionnée Manouche Lehartel.
   Ia orana,  Nous sommes très heureux de vous retrouver après quelques mois d’absence, du au confinement, mais également au lancement de notre podacst Parau Tama, dédié aux contes polynésiens.  Pour ce nouvel épisode, nous vous proposons une édition un peu spéciale, puisque pour la première fois, l’interview est menée conjointement par Benjamin et moi même. En effet, il fallait être au moins deux pour notre invité, qui ainsi que vous le découvrirez, est à la fois un artiste, mais également un entrepreneur. Nous avons ainsi le plaisir de vous proposer une interview de Teraipiti Isabelle, musicien, producteur, découvreur de talent, distributeur digital et chef d’entreprise puisqu’il a ouvert le seul magasin de 33 tours à Papeete. Un passionné de musique donc, avec qui nous aurions pu continuer à échanger pendant encore des heures, tant sa connaissance de la musique est vaste.  C’était pour nous un échange très enrichissant, et nous vous invitons  à le poursuivre avec lui lors d’une visite d’Atomi record au quartier du commerce de Papeete, un lieu atypique en Polynésie.  C’est donc avec un grand plaisir que je vous invite à découvrir cette interview très particulière avec Teraipiti Isabelle.  https://www.facebook.com/atomirec/
Ia Orana Tatou Aujourd’hui je reçois Vaea Dang qui a créé Concrètement design, une activité centrée autour de l’upcycling ou encore le surcycling. Quelle différence avec le recyclage ? probablement l’énergie du process. Et oui, lorsque l’on recycle, de l’aluminium ou du papier ou du plastique, on va devoir dechiquetter ou faire fondre les matériaux, séparer les constituant, pour les réemployer sur le même usage, c’est possible avec l’aluminium, ça l’est moins avec le plastique. Oui, les bouteilles en Polyethylène vendu dans le commerce ne sont pas fabriquée à partir de bouteilles en plastique. Sur ce sujet je vous invite à faire le distiguo entre les produits que l’on peut recycler et les produit issus du recyclage. Bref L’upcycling consiste à donner une nouvelle vie à un objet. J’exagère à peine, mais une boite de conserve, quand tu enlèves le papier ça peut te faire une boite à crayon ou un petit pot de fleur stylé. A ce propos j’ai déjà vu des genre de jardinière faite avec de jeans… Fabuleux J’ai envie de parler de tout ça avec Vaea, mais pas que. En effet avant cet activité, Vaea était fonctionnaire. Ce statut révé qui donne la sécurité de l’emploi et qui fait que les banques ont confiance et te prêtes les yeux fermés. Et bien après 18 ans de bons et loyaux services, Vaea a quitté ce statut pour se lancer. On est en en 2020. C’est fini la question « qu’est-ce que tu vas faire plus tard ». ou du moins, on ne peut plus répondre par une seule réponse. Nous n’avons plus une seule vie professionnel, mais plusieurs vie professionnnel, au même titre que l’on a plusieurs vie amoureuses.   C’est parti pour un entretien placé sur l’aura de la rebellion de consommation et de l’audace professionnelle.   Concretement design : http://concretementdesign.com/ Le PRISM de la CCISM : https://www.prism.pf/
Je suis très heureux et surtout impressionné de recevoir aujourd’hui Delbi villa Gongorra sur le Podcast.   Comme pas mal de gens à Tahiti, ou ailleurs d’ailleurs, je me suis mis à la course à pied, et bien sûr, au début c’était très dur, puis, en usant de persévérance, ça allait mieux, jusqu’à ce que je m’autorise à dépenser un peu d’argent dans des chaussures et des vêtements, et puis surtout dans une montre connectée. C’est là que tout se corse, car j’atterris sur Strava le site de partage de course, où je me retrouve classé dans des portions de route appelées segments. Les connaisseurs se retrouvent sur des segments tels que :  Mont Aorai Summit rountrip from sea level Montée 1000 sources Col d’hamuta (depuis la fourche) Alors que les plus modestes d’entre nous : 500m jardin de Paofai (Est et Ouest) Tour de stade babmbridge 1 km Fare ute Le concept du site fonctionne pour ceux qui, comme moi, ont de l’orgueil ou un certain esprit de compétition, et s’entraînent pour grappiller des places dans ces fameux segments, dominés par certains, dont les noms reviennent, un nom notamment, celui de Delbi Villa Gongora, que l’on retrouve régulièrement à le première place. Donc, ça c’était pour internet, car après, il y a la vraie vie, avec les vraies compétitions, où là encore, Raid Ananai sur 18 km, Xterra sur 55 km et à l’étranger lors de la Andes Race sur 100 km +6200m de dénivelé et des températures descendant jusqu’à -14°C.   C’est donc, un honneur et un privilège de recevoir aujourd’hui Delbi, un des plus King of Mountain de Tahiti. Ia Orana Delbi  
Pour cet épisode, j’ai le grand bonheur de vous faire partager une conversation pleine de sagesse insulaire avec Wallès Kotra.  Journaliste, homme de télévisions, auteur de documentaires et d’entretiens, fondateur du FIFO (Festival International du Film documentaire Océanien), Wallès est homme de parole, au sens le plus noble qu’il soit.  C’est de son insularité qu’il puise son extraordinaire humanisme et une vision du monde optimiste. De Tiga à Paris Wallès contribue au travers de ses paroles et de ses actes à rendre l’Océanie visible.  C’était un honneur pour moi de pouvoir faire cette interview , et c’est avec un grand plaisir que je vous invite à partager cet entretien inspirant et plein de bienveillance avec Walles Kotra .  https://www.auventdesiles.pf/auteur/kotra-walles/  https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/walles-kotra-nomme-directeur-executif-en-charge-de-l-outre-mer-355370.html https://www.fifotahiti.com/
Aujourd’hui je reçois Juliet Lamy la seule et unique fromagère de Tahiti. La fromagerie est à priori une activité insoupçonnée  en Polynésie française, et Juliet a créé la surprise lorsqu’elle est apparue dans le tissu gastronomique tahitien, en proposant des fromages fabriqués localement. Car aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est possible, et délicieux également.   En revanche, à l’instar de Rome, la petite affaire de juliet ne s’est pas faite en un jour, ni même en une semaine, et comme on le sait, plus l’affinage est long, et plus le produit aura un caractère corsé.   Et un caractère corsé, justement Juliet en a un, et il sera mis à rude épreuve pour mener à bien son projet, puisqu’en plus de ne pas s’être fait en un jour, le projet ne s’est pas fait tout seul non plus.   Je me souviens d’une publicité qui passait à la télé quand j’étais gamin, et qui vantait les mérites de la Hollande, l’autre Pays du fromage.   Je vous propose de vous plonger dans le parcours de Juliet et de découvrir que la Polynésie française est encore un autre, autre Pays du fromage. Le site de juliet : https://lafromageredetahiti.com/
loading
Comments 
Download from Google Play
Download from App Store