DiscoverUn martien dans la ville
Un martien dans la ville

Un martien dans la ville

Author: Federica et Aurélia

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Description

A partir de leurs histoires personnelles, Aurélia, une française à Montréal, et Federica, une italienne à Paris, s’interrogent sur ce que ça veut dire d’être un « martien dans la ville ». Pour répondre à cela, elles partent à la rencontre des gens aux identités multiples qui ont réussi à reconstruire leurs repères dans une ville qui n’était pas la leur, mais qui l’est enfin devenue.
6 Episodes
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Dans cet épisode, nous allons écouter Anna, jeune Polonaise arrivée depuis quelques mois à Montréal, nous raconter son histoire et nous décrire son parcours si riche, si puissant avec ses yeux de philosophe et de globe-trotteuse. Sa manière passionnante de nous raconter comment elle a quitté la Pologne pour étudier en France puis comment elle en est arrivée à traverser l'Océan Atlantique pour s'y installer est captivante tout au long de l'épisode. Elle évoque sa culture multiple qui a constitué son identité au fil du temps et de ses exodes. Elle nous raconte comment ses expériences ont changé sa vision sur son pays, sa culture et ont influencé la personne qu'elle est aujourd'hui, à des milliers de kilomètres de son pays natal. Anna nous fait réfléchir sur notre identité à tous, notre manière de voir les autres, la différence et à en faire une force plus qu'un obstacle. Et pour évoquer son identité, elle nous invite à écouter " Ballada Wagonova" de Maryla Rodowicz qui veut dire " Balade en train" en polonais. Un épisode à écouter sans plus attendre ! Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Ballada Wagonova de Maryla Rodowicz.
Dans cet épisode nous allons explorer la capitale du Pérou, Lima, à travers les yeux pétillants de Céline, qui y habite désormais plusieurs mois par an pour des raisons professionnelles. Pure Belge originaire de Louvain, Céline nous raconte comment l’Amérique Centrale, puis l’Amérique Latine, soient entrées dans sa vie suite à un échange qu’elle a fait quand elle avait tout juste dix-huit ans, comment elle a mêlé sa passion pour les cultures chaleureuses de l’Amérique du Sud avec celle de l’Histoire et de la culture ancienne, au point d’en faire un métier, celui d’archéologue. Céline nous explique également comment elle vit la ville de Lima sans sentir le besoin de se réfugier dans les quartiers les plus riches, normalement habités par les expatriées, tout en étant décomplexée par son besoin de se retrouver, de temps en temps, entre Européens. Elle nous conseille de rester ouverts et nous donne du courage, car il en faut toujours quand on « se trouve à l’autre bout du monde ». Pour conclure, si vous ne connaissez pas encore bien le pays dont elle est originaire, Céline vous invite à écouter « Plat pays » de Jacques Brel et « Tout oublier » d’Angèle et Roméo Elvis : deux chansons, deux univers presque antithétiques, mais qui, selon notre invitée, « résument parfaitement le surréalisme et les coups de folie » propres à la Belgique. A écouter sans modération ! Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Tout oublier de Angèle et Roméo Elvis.
Aujourd'hui, nous écoutons l'histoire de Christina, une Suisso-Canadienne, née en Suisse, habitant aujourd'hui à Montréal. Elle est en réalité la voisine d'Aurélia, une de nos deux podcasteuses, à Montréal et habite le « loyer du dessous », c'est-à-dire l'appartement situé en dessous de celui d'Aurélia. Nous la recevons de manière détendue, en ce beau week-end prolongé de mai à Montréal, où le printemps pointe le bout de son nez. Elle nous confie au cours de cet interview, comment elle a construit sa vie, à cheval entre deux cultures : Suisse et Canadienne, entre deux langues : le français et l'allemand et entre deux pays, qu'elle considère autant l'un que l'autre comme les siens et comment aujourd'hui, elle a décidé de revenir s'installer à Montréal, ville où elle considère que tout est possible pour prendre un nouveau départ. Elle nous dévoile aussi sa capacité à parler avec l'accent suisse puis passer soudainement à l'accent québécois, sans s'en rendre compte, car tous deux font partie de son langage au quotidien. Christina a beaucoup à nous apprendre sur la question de l'identité et nous donne un nouveau regard sur le voyage et la construction de soi. À écouter sans modération ! Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Ailleurs de Marjo.
Dans cet épisode, c’est Juliana, jeune femme brésilienne installée en Italie depuis quelques années, qui a accepté de se livrer à vos écouteurs. Elle nous reçoit dans son appartement de Chieti autour d’une tasse de tisane chaude et du rire entraînant de ses deux enfants. Juliana nous révèle qu'elle n’avait jamais vraiment envisagé de quitter le Brésil ; elle nous parle de comment, juste pendant les premiers jours d’université à La Sorbonne, le destin a voulu qu’elle rencontre son mari Italien, ainsi que des multiples difficultés, mais aussi des avantages, auxquels il faut s’attendre quand on fonde une famille dans une petite ville de la province italienne. Finalement, Juliana nous transporte dans son pays à travers le rythme de « Vaca Profana » de Caetano Veloso, une chanson qui parle à tous les brésiliens. Merci encore à Juliana, et bonne écoute ! Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Vaca profana de Caetano Veloso.
Nicolas, c'est un vrai parisien, contrairement à la plupart d’entre nous qui avons rêvé de la ville lumière pendant des années avant de pouvoir s’y installer. À quoi bon, alors, l’interviewer, direz-vous ? Vous allez être surpris de la richesse dont la réflexion de Nicolas autour de l’identité fait preuve. Dans cet épisode, Nicolas se confie à propos de son rapport à ses origines italiennes et juives, mais il nous rappelle également que, en fin de compte, l’histoire familiale n’est qu’un point de départ dans notre construction et que c’est donc à nous de choisir quoi faire de notre propre patrimoine génétique. Pour terminer cette conversation si dense, Nicolas nous fait découvrir un jazzman italien, Paolo Conte, et sa chanson « Vieni via con me », qui a le pouvoir de le faire sentir le plus italien. Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Dans cet épisode, vous avez pu entendre Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Vieni via con me de Paolo Conte.
Vous allez écouter un épisode bonus, dans lequel Aurélia et Federica s’entretiennent à propos de leur rapport à la ville de Paris et à la difficulté de se résumer dans une seule identité. Elles partageront avec vous leurs expériences de « voyageuses », les migrations qui ont bousculé une partie de leurs familles, ainsi que des conseils pratiques pour démarrer une vie dans un nouveau pays. A la fin de l’épisode, Aurélia et Federica se lancent le défi d’évoquer leurs pays à travers des chansons. Résultat ? Federica aime se rappeler de l’innocence perdue de l’Italie avec "La Canzone del Sole" de Lucio Battisti, alors que Aurélia se laisse séduire par les années folles de "La Bohème" de Charles Aznavour. Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux. Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers , La Canzone del Sole de Lucio Battisti et La Bohème de Charles Aznavour.
Comments (2)

Damien Lopopolo

Est-ce que l’épisode #2 serait l’épisode 1 ? Une sorte de double épisode ?

May 16th
Reply (1)
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