Le pain Poilâne, c’est une institution boulangère. Un nom qui évoque un goût reconnaissable, autant que sa griffe inscrite sur la croûte de ses pains au levain.Mon invitée, Apollonia Poilâne, a repris la maison familiale à 18 ans.Comment oeuvre-t-elle pour préserver la tradition de sa maison sans la figer ? Accrochez-vous. On va parler de céréales et de fermentation, de pain qui devient ingrédient, d’une manufacture artisanale dont les vingt-quatre fours font les trois huit… et même d’une chambre en pain imaginée pour Salvador Dalí. Bonne écoute !Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@justcosa.comUn podcast de goûts est produit par Cosa. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Il est pas frais mon poisson ?” On a tous en tête la question d’Ordralfabetix, le poissonnier d’Astérix. Et non il n’est pas frais notre poisson.Il a en moyenne entre 8 et 15 jours quand il arrive sur les étales, en supermarché ou en poissonnerie. Pas de dangers pour la santé, il est généralement bien conservé. Mais il est moins bon.Et nos préférés sont problématiques : le cabillaud est surpêché, le saumon presque toujours d’élevage et gavé de soja, les crevettes du bout du monde.Charles Guirriec, mon invité, est en mission pour changer tout ça. Il a créé Poiscaille, une boîte dont l’objectif est de nous faire manger du poisson frais, pêché à la ligne ou au filet. Poiscaille rémunère mieux les pêcheurs et nous garantit 72 heures maximum entre la mer et notre assiette.Poiscaille est rentable, à 28 000 abonnés, un système de distribution éprouvé et une ambition concrète pas si lointaine : faire passer 10% de la flotte de pêche française sous son pavillon. Bonus track de très bon goût : Charles nous apprend comment ne jamais plus rater la cuisson de notre poisson !Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.comPour aller plus loin :regarder le documentaire “Chaluts en péril”découvrir Poiscaille Un podcast de goûts est produit par Cosa.Bonne écoute à tous !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je reçois un champion du monde dans Un podcast de goûts. C’est une grande émotion parce qu’à dix-sept ans, c’était déjà mon champion du monde à moi quand je passais plusieurs fois par semaine dans sa boutique de la rue Vavin à Paris.Jean-Paul Hévin a été élu meilleur chocolatier pâtissier du monde en 2023. La consécration de quarante ans d’ascèse pâtissière. Sa diète de champion : dégustation des tablettes à onze heures, des gâteaux à seize heures et des bonbons au chocolat dans la soirée.Avec Jean-Paul, nous parlons de cette recherche qui l’anime d’un goût au plus près de la fève, atypique, loin des standards industriels Nous parlons aussi du Japon où il a désormais plus de boutiques qu’en France et où il a suscité un engouement nouveau pour le chocolat. Enfin, nous composons notre boîte idéale.Je n’avais qu’une hâte en finissant notre conversation… passer de la théorie à la pratique !Je parie une plaquette de Jean-Paul Hévin que vous aussi. Bonne écoute !Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.comUn podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je reçois François-Xavier Delmas, fondateur de Palais des Thés.Depuis quarante ans, Francois-Xavier poursuit la même mission : faire redécouvrir le goût du thé. Aujourd’hui, Palais des Thés, ce sont plus de 120 boutiques en France et à l’étranger.François-Xavier me dit que son but est qu’on en sorte avec un savoir tout frais, étonnant, qu’on ait hâte de partager. C’est exactement ce que j’ai ressenti à la fin de mon enregistrement. Depuis, j’ai le zèle des convertis. Je bois un litre de thé infusé à température ambiante par jour. J’ai tenté l’accord thé au jasmin, cantal. Franchement pas mal. Je m’attaque au mythe du thé après tea o’clock. J’ai expliqué à ma femme anglaise que oui, elle peut, sans risquer l’insomnie, boire un English Breakfast à 19h. Bref, mon horizon s’est élargi.À votre tour maintenant ! Et n’oubliez pas de slurper…Si vous n’avez pas la réf, vous l’aurez en écoutant ma conversation avec François-Xavier.Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.comUn podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Simon Baker est anglais, “working class” et directeur de la Maison Européenne de la Photographie depuis 2018. Simon est à la fois un outsider et un homme d’une quarantaine d’années conscient de ses limites, heureux de déléguer à sa directrice artistique, Clothilde Morette, la découverte des jeunes talents exposés dans le Studio de la MEP. J’ai eu la chance et le plaisir de passer une heure avec lui dans l’auditorium de la MEP, juste avant le démarrage de son exposition consacrée à Annie Ernaux. Il nous parle en français avec la clarté et la concision d’un homme sûr de sa mission : ouvrir les murs du musée au grand public et à l’international. Il programme des grands photographes qui n’ont jamais eu l’honneur d’expositions monographiques à Paris. Il conçoit des expositions en équilibre entre exigence artistique et attrait grand public. Il va vous donner envie de découvrir ou redécouvrir la MEP et de regarder de la photographie. Que cela soit pour découvrir les portraits surréalistes et intimes du Chinois Ren Hang, le panthéon queer de Zanele Muholi, ou encore le regard amoureux porté par René Groebli sur la nuque de sa femme.Je vous inviterais même volontiers à écouter ce podcast dans le Musée, ou à défaut en parcourant son site ou son compte Instagram.Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.com.Pour aller plus loin:Le site de la MEP Le compte Instagram de la MEPLe compte Instagram de Simon Baker L’exposition hommage consacré à Ren Hang par la MEP en 2019L’ exposition consacrée par la MEP à Zanele Muholi en 2023Les photos de René Groebli dans le cadre de l’exposition “Love Songs” à la MEP en 2022Un podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je reçois Adrien Aumont, cofondateur de Midnight Trains. Adrien a quitté l’école à 14 ans, il a fondé puis revendu la plateforme de crowdfunding KissKissBankBank, et il veut aujourd’hui réinventer le train de nuit. Alors que vient-il faire dans ce podcast ? D’abord son goût me plaît. Je le vois comme un mélange sympathique d’ascèse et d’épicurisme. De l’ascète, il a l’exigence tendance minimaliste, une angoisse qui le fait questionner la moindre décision de déco comme un choix existentiel. De l’épicurien, il a le sens de l’hospitalité, le goût de la bonne chair et du bon vin. Ce goût est au cœur de sa réflexion avec Midnight Trains : la start-up ferroviaire ne cherche rien de moins qu’à inventer un nouveau standard, un train capable de séduire tous les publics. Je trouve cette ambition salutaire. Ça s’entend, vous verrez, je crois que je lui “pitch” son projet autant que je lui pose des questions. Avec Midnight Trains se joue je crois un peu de notre droit à voyager, à entretenir notre goût du dépaysement et de la découverte sans mettre en péril la planète. Ça fait une excellente raison de supporter et suivre ce beau projet, en commençant par écouter la conversation qui suit. Bonne écoute ! Un podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je reçois Judith Lou-Lévy chez CosaVostra. Judith est productrice de films. Elle ne produit pas des films pour raconter des histoires. Non, les histoires c’est bon pour endormir le sultan ou divertir les enfants. Judith, elle, veut nous réveiller. Nous faire goûter des saveurs de mondes qu’on ne soupçonnait pas. Nous donner des désirs de vivre.Et elle le fait bien. En un peu plus de 10 ans, avec son associée des Films du Bal, Eve Robin, elles ont produit plusieurs longs métrages. Deux d’entre eux, Atlantique de Mati Diop et Le Genou d’Ahed de Nadev Lapid, ont été sélectionnés au Festival de Cannes ; ils y ont remporté des prix prestigieux.Deux films dont les sujets sont graves : la dangereuse route de l’exil depuis les rives du Sénégal, le délitement de la société israélienne. Mais j’en suis ressorti, paradoxalement, plein d’espoir. C’est le “goût de la vie” me dit Judith : une manière de décrire l’empathie qu’elle aime susciter pour les films qu’elle produit et leurs personnages. Le goût d’une forme d’ambivalence aussi. Comme moi, Judith a vu Anatomie d’une chute, la Palme d’Or 2023 de Justine Triet. Comme moi, elle a adoré. Contrairement à moi, elle pense l’héroïne du film coupable. Je ne suis pas d’accord, mais je la remercie. Car, au fond, l’important c’est le doute : cette zone grise qui est un espace de liberté, dans l’histoire et pour le spectateur. Judith parle de longs métrages comme de prototypes, des objets uniques. Elle est sans doute elle-même un prototype, une productrice singulière, engagée et créative. Je vous laisse en très bonne compagnie.Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.com.Pour aller plus loin:Deux films produits par les Films du Bal : Atlantique, film de Mati Diop et Le Genou d’Ahed film de Nadev LapidAnatomie d’une chute, film de Justine Triet et Palme d’Or 2023Le Vourdalak, d’Adrien Beau, dernier film produit par Les Films du Bal en salles actuellement Toute la filmographie de David Cronenberg recommandée par Judith, à commencer par ExistenzUn podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je reçois Charlotte Pudlowski dans notre studio chez CosaVostra. Charlotte est journaliste, autrice et entrepreneuse. C’est l’une des pionnières du podcast narratif en France. Je suis admiratif du travail qu’elle mène depuis plusieurs années avec son associée Melissa, d’abord chez Slate où elles avaient créé ensemble le podcast Transfert, puis chez Louie Media, le studio de podcast qu’elles ont co-fondé. Charlotte me parle avec sincérité des difficultés à faire entendre une parole qu’on entend trop peu ailleurs : celle des enfants, celle des femmes, celle des dominés de manière générale. Elle me parle de son goût pour une parole intime. Elle me parle enfin d’un goût qui jalonne sa carrière dans le podcast, celui des secrets de famille. Ellle commença par évoquer ceux des autres avec Transfert, avant de prendre comme point départ le sien dans “Ou peut-être une nuit”, bouleversante série documentaire sur l’inceste. Dans cet épisode, il est question de journalisme, de littérature, de cinéma, tout cela vu à travers le prisme du podcast. La diversité de ses formes lui vaut les faveurs des éditeurs et des producteurs en quête d’idées originales. C’est peut-être là d’ailleurs sa planche de salut... L’avenir du média que vous écoutez, c’est le le dernier sujet un peu méta de cette conversation que j’ai pris un grand plaisir à mener. Bonne écoute ! Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.com.Pour aller plus loin:La Maladie d’amour, podcast adapté de la série Irrésistible (Disney+)Entre, première saison en 26 épisodesSerial Mytho, série en 4 épisodes du podcast PassagesOu peut-être une nuit, saison 2 du podcast InjusticesFreedom, roman de Jonathan FranzenConnemara, roman de Nicolas MathieuLe berceau des dominations, essai de Dorothée DussyBig Little Lies, série télé créée par Liane Moriarty et David E. KelleyDes hommes violents, podcast de Mathieu Palain en 6 épisodesUn podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je reçois François Busnel dans notre studio chez CosaVostra. François a animé pendant quatorze ans “La Grande Librairie”, l'émission littéraire la plus populaire de la télévision française. Vous connaissez son visage, sa voix vous est familière, pourtant c’est un homme qui pratique un journalisme de l’effacement. Il a le goût de la transmission et de l’éloge. Certains ont pu lui reprocher la naïveté de ses enthousiasmes. D’autres plus nombreux, libraires, lecteurs, éditeurs l’ont remercié pour sa capacité à transmettre, à faire parler des auteurs en leur laissant plus que partout ailleurs le champ libre pour s’exprimer. Pour lutter contre la résignation, contre les difficultés du réel, François veut forger “une nation de lecteurs”. Il croit au pouvoir de la fiction, à sa capacité à nous révéler à nous-même, à nous armer contre la résignation.On arrive ensemble à une conclusion évidente que je vous laisse décoder en écoutant cet épisode. Dans cette vie, François est un mousquetaire. Dans la prochaine, il se réincarnera en champignon hallucinogène.Bonne écoute !Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.comPour aller plus loin : Seule la terre est éternelle, son film documentaire, avec Jim HarrissonCyrano de Bergerac, Edmond de RostandLes Trois Mousquetaires, Alexandre DumasOne Piece, manga de Eiichirō OdaUn podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je rencontre l’architecte Rudy Ricciotti chez lui à Cassis, face à la Méditerranée, sous une belle pergola perchée au-dessus d’un ancien port antique. Rudy est notamment l’architecte du Mucem, le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille. Rudy est un esthète, un collectionneur, un amateur de bons vins et de bonne chair. Il a le bon goût de bannir les marques de sa table, en allant jusqu’ à retirer les étiquettes de ses pots de confiture. En même temps, il cultive avec plaisir un certain mauvais goût, celui de l’insulte, fleurie et toujours motivée pour ceux qui l’énervent… et ils sont nombreux. À commencer par les partisans du minimalisme architectural. Il les trouve paresseux et sans mémoire. À l’opposé, il défend une architecture qui s’inscrit dans son territoire, sa culture et son histoire.Je vous laisse avec notre conversation. Bonne écoute !Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.comPour aller plus loin : L’Exil de la Beauté, manifeste pamphlétaire de Rudy Ricciotti aux éditions Textuel.Cet épisode de l’émission Esprit des lieux de France Culture, avec Rudy Ricciotti, à l’occasion des 10 ans du Mucem.Un podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je reçois Saskia de Rothschild, présidente des Domaines Barons de Rothschild, dans notre studio chez CosaVostra.Saskia pense qu’un bon vin est un vin dont on a envie de se servir un deuxième verre. Une définition étonnamment modeste pour celle qui dirige, entre autres propriétés, le Château Lafite Rothschild.Mais n’y lisez aucune fausse modestie. Saskia a construit sa carrière pour échapper à son héritage. Elle a écrit un roman dont l’intrigue tourne en dérision son héros persuadé d’être promis à un destin exceptionnel. Elle a fait du journalisme, aux Etats-Unis et en Afrique. Quand elle s’est finalement résolue à assumer son rôle d'héritière, elle l’a fait avec méthode. Elle a repris ses études, obtenu son BTS d’oeno-viticulture, puis fait ses armes comme stagiaire anonyme au Château L’Evangile, le domaine du groupe dans le Pomerol. J’ai lu grâce à elle le Manifeste pour un vin inclusif de Sandrine Goeyvaerts, une lecture édifiante alors que le petit monde du vin, à bien des égards, est toujours un “boys club” ; et peut-être à Bordeaux encore plus qu’ailleurs.Ce goût d’un collectif inclusif irrigue notre conversation. Elle parle de ces grands crus dont elle a la charge comme une entreprise plus grande qu’elle et donc forcément collective. Suivez-moi, et découvrez une femme qui appréhende son héritage avec sagesse, dans son respect du patrimoine dont elle a la charge et l’innovation nécessaire pour qu’il perdue.Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.com.Pour aller plus loin : Manifeste pour un vin inclusif de Sandrine Goeyvaertsle magazine du groupe DBR, conçu et produit par CosaVostra, qui s’affiche en home de lafite.comL’homme qui plantait de arbres de Jean GionoUn podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J’ai rendez-vous à Paris au siège de Balmain, dans un bel immeuble bourgeois, un peu au-dessus du square de la chapelle expiatoire où est enterré Louis XVI. Dans son grand bureau sous les toits, je rencontre Olivier Rousteing, qui règne sur la direction artistique de la maison depuis plus de 10 ans.Dans cet épisode, Olivier nous parle du choc artistique provoqué par “Renaissance”, le dernier album de Beyoncé, de son amour pour Karl Lagerfeld, ou encore de sa muse Kim Kardashian... et de la nécessité de flirter avec le mauvais goût d'aujourd'hui pour créer le bon goût de demain.Il faut toujours, nous dit-il, fuir les injonctions de ceux qui prétendent détenir le bon goût, car c'est le pire des mauvais goûts.Il nous parle du goût comme affirmation de soi et comme acceptation du caractère unique de nos contradictions. Il évoque aussi son goût pour une “Nouvelle France”, plus colorée, moins conservatrice et moins parisienne. Je lui dis en commençant notre discussion que je n'aurais pas pu rêver meilleur premier invité, j'en suis définitivement convaincu après coup. J'espère que vous serez d'accord avec moi en écoutant cet épisode. En tout cas, je serai très curieux de savoir ce que vous en avez pensé. Je suis Louis Dumoulin et vous pouvez m’écrire à louis@cosavostra.com Pour aller plus loin :Si vous voulez découvrir les looks incroyables créés par Olivier Rousteing pour incarner chacun des 16 titres de l’album Renaissance de Beyoncé, c’est par ici.Ici, en anglais dans le Vogue US, l’article le plus éclairant que j’ai pu lire sur le parcours d’Olivier Rousteing, son esthétique et son ambition.Et, pour ceux qui ont Netflix, je vous conseille de regarder Wonderboy, le très beau documentaire d’Anissa Bonnefont. Elle y suit Olivier dans son intimité, entre sa famille adoptive, la quête de ses origines, la solitude de son appartement parisien et le glamour effréné d’un métier qui l’accapare tout entier.Un podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le goût, c’est intime et collectif. C’est aussi une histoire de conventions sociales, de modes, d’appartenance et d’exclusion. C’est enfin une affaire de plaisirs. Et de notre droit, ou pas, à continuer à kiffer dans un monde qui nous enjoint à la sobriété.Pour explorer ces sujets, j’interroge celles et ceux qui façonnent les goûts de notre époque.Parfumeurs, cuisiniers, architectes, éditeurs, stylistes, je donnerai de ma personne pour comprendre les plaisirs dont ils sont les auteurs. Boire un bon vin, respirer un bon parfum, visiter une belle demeure, je ne recule devant rien !Un podcast de goûts, est une production CosaVostra. Premier épisode en ligne vendredi 9 juin, alors abonnez-vous pour ne pas rater le premier épisode. Un podcast de goûts est produit par Cosa.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.