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Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises

Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
Author: Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises
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© Eliad Samoun
Description
C'est LE rendez-vous de tous les acteurs du M&A et de la transmission d'entreprises : Dirigeants d’entreprises, fonds d’investissements, avocats d’affaires, auditeurs etc.
Seront interviewés :
👉 Des dirigeants qui ont vendu leur entreprise : Connaître leur parcours, leur entreprise, les raisons de cession, les réussites et les échecs, les conseils qu’ils peuvent donner aux dirigeants qui veulent vendre etc.
👉 Des avocats d’affaires : connaitre leur parcours, les opérations qui ont été marquantes, les points importants dans une opération de M&A, les conseils pour les dirigeants qui veulent vendre / lever des fonds.
👉 Des experts de la transmission d'entreprise, de la valorisation, des opérations de LBO
👉 Des experts patrimoniaux pour les dirigeants qui ont touché de l'argent au moment de la cession de leur entreprise
👉 Des fonds d’investissements : Les grosses opérations, conseils, les points d’attention, ce qu’ils regardent en priorité etc.
L’idée de ce podcast est de démystifier l’univers du M&A, de le rendre accessible et de permettre à tout dirigeant souhaitant vendre leur entreprise ou lever des fonds ou à toute partie prenante d’avoir les clés de réussite pour de telles opérations.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Seront interviewés :
👉 Des dirigeants qui ont vendu leur entreprise : Connaître leur parcours, leur entreprise, les raisons de cession, les réussites et les échecs, les conseils qu’ils peuvent donner aux dirigeants qui veulent vendre etc.
👉 Des avocats d’affaires : connaitre leur parcours, les opérations qui ont été marquantes, les points importants dans une opération de M&A, les conseils pour les dirigeants qui veulent vendre / lever des fonds.
👉 Des experts de la transmission d'entreprise, de la valorisation, des opérations de LBO
👉 Des experts patrimoniaux pour les dirigeants qui ont touché de l'argent au moment de la cession de leur entreprise
👉 Des fonds d’investissements : Les grosses opérations, conseils, les points d’attention, ce qu’ils regardent en priorité etc.
L’idée de ce podcast est de démystifier l’univers du M&A, de le rendre accessible et de permettre à tout dirigeant souhaitant vendre leur entreprise ou lever des fonds ou à toute partie prenante d’avoir les clés de réussite pour de telles opérations.
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81 Episodes
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Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le plaisir de recevoir Agathe Zilber, fondatrice de CFNEWS MEDIA GROUP, média indépendant devenu la référence sur l’actualité M&A, LBO, immobilier et infrastructure.On est entrés ensemble dans les coulisses de l’information autour des deals : comment se collecte, se vérifie et se diffuse l’information stratégique sur les opérations de haut de bilan.Agathe a créé CFNEWS en 2007, un média 100% digital à une époque où ce pari semblait audacieux. Son objectif : fournir une information spécialisée, fiable et ciblée pour accompagner investisseurs et professionnels.Aujourd’hui, CFNEWS, c’est une équipe d’une 40ène de personnes, dont 15 journalistes dédiés, qui suivent plus de 30 deals par semaine, avec des exclusivités, des données précises sur valorisations, multiples et stratégies d’entreprise.Ce qui distingue CFNEWS, c’est sa double expertise journalistique et data. Agathe insiste sur la rigueur : pas de publication sans chiffres clés ni recoupements. Une exclusivité, c’est bien plus qu’une annonce, c’est un décryptage complet des enjeux.CFNEWS Média s’est aussi renforcé avec l’acquisition récente de Satellifacts, 1er quotidien de l'audiovisuel et du cinéma, média B2B historique de l’audiovisuel, confirmant la volonté d’Agathe de bâtir un groupe solide et indépendant.Dans cet échange, on a abordé plusieurs questions clés :👉Comment collecter et vérifier des infos dans un univers très confidentiel ?👉Quel rôle jouent les journalistes dans l’analyse des deals ?👉Comment trouver le bon équilibre entre exclusivité, confidentialité et fiabilité ?👉Comment CFNEWS utilise la data et la technologie (API, bases multicritères) pour accompagner ses abonnés ?👉Quel est l’impact des événements régionaux, comme le Grand Prix de la Croissance, sur la reconnaissance des entreprises ?👉Quel regard Agathe porte-t-elle sur l’IA dans ce secteur ?👉Quelles leçons tirer de son expérience récente d’acquisition d’entreprise ?Agathe souligne combien l’information fiable est capitale dans un secteur où chaque donnée compte. Son approche pragmatique et son expertise font de CFNEWS Média un média incontournable pour tous les acteurs du marché.Elle partage aussi ses succès, ses défis, et insiste sur l’importance d’être bien entouré lors d’un deal, notamment pour gérer la phase post-acquisition, souvent sous-estimée.🎧 L’épisode complet est disponible en commentaire !🎁 Pour vous montrer la force de CFNEWS, Agathe offre 1 mois d’essai gratuit. Il suffit d’envoyer TEST au mail : abo@cfnews.netSi vous voulez comprendre comment circulent les informations stratégiques qui font bouger le marché du M&A, ce podcast est fait pour vous ! 😉Encore un grand merci Agathe, et bravo à toi et toute l'équipe CFNEWS pour tout ce que vous faites! 😊Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez perdre votre entreprise ET votre famille d'un coup.C'est le cauchemar de nombreux dirigeants qui ratent leur transmission.Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai reçu Christophe Torella , ancien basketteur professionnel devenu expert en accompagnement des entreprises familiales depuis 27 ans. Son parcours atypique lui donne une approche unique : il continue de se former en psychogénéalogie, psychologie sociale, gardant ses habitudes de sportif de haut niveau.Christophe le dit bien : le gros problème, c'est quand on ne voit la transmission que par le prisme de l'argent. On se focalise sur la valeur de l'entreprise, sur comment vendre au mieux, et on oublie l'essentiel : les gens.Si la génération qui prend la suite n'est pas prête, si elle n'a pas été formée, accompagnée, si elle ne partage pas une vision claire pour l'avenir, alors le risque est énorme.La transmission, c'est un processus long qui demande de la préparation, de la discussion, et de l'anticipation. Il faut penser à qui va prendre les rênes, comment il va le faire, et surtout, est-ce qu'il en a les épaules.👉 Ce qui change aujourd'hui : les frontières géographiques s'effacent, les métiers se diversifient. Vos enfants ont des champs des possibles plus larges que vous n'en aviez. Cette liberté nouvelle crée de nouvelles tensions.Comment impliquer la nouvelle génération ? 🤔Comme le dit Christophe: "Ils sont déjà impliqués dès le plus jeune âge. À tous les repas de famille, vous parlez de l'entreprise"Le vrai enjeu n'est pas de les impliquer, mais de les laisser choisir leur niveau d'engagement.👉 Un autre point déterminant : l'ouvertureParfois, la solution n'est pas forcément de rester dans le cercle familial. Ça peut être douloureux à entendre, mais il faut parfois être capable de regarder ailleurs.Peut-être qu'il n'y a personne dans la famille avec les compétences ou l'envie de reprendre.L'argent peut être une liberté comme une prison. Vos enfants le savent. Ils savent aussi qu'ils héritent de votre histoire, de vos succès, mais aussi de vos "hontes familiales" - ces secrets que chaque famille porte.Ne forcez jamais la transmission. Comme le dit Christophe : "Si mon fils fait le contraire de moi et que moi je fais le contraire de mon père, mon fils fera la même chose que mon père." La patience est votre meilleure alliée.👉 Soyez donc ouvert à toutes les options : ouvrir le capital à des managers (MBO) ou à des fonds d'investissement peut apporter des ressources et des idées nouvelles, et assurer la pérennité de l'entreprise.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment obtenir un prêt pour racheter une entreprise ?Quel niveau de levier est acceptable ?Quels sont les critères que regarde une banque avant de financer un LBO ?Et surtout… à quel moment faut-il vraiment l’appeler ?Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai reçu Nicolas LOPES, Directeur du Centre d’Affaires Entreprises de la BRED, et Paulo NAVE, Directeur des Financements Structurés.On a parlé concrètement de la place des banques dans les opérations de transmission et de LBO, et ils n’ont éludé aucun sujet.Vous pensez qu’une banque ne regarde que le chiffre d’affaires et la valorisation ?Faux.✅ Elle regarde la solidité de l’acheteur/ du repreneur✅ La qualité du BP et le réalisme des hypothèses✅ La rentabilité historique et future de la cible✅ La récurrence des cash-flows✅ Le secteur d'activité de l'entreprise✅ Les besoins en capex et en BFR✅ Alignement des intérêts entre actionnaires et prêteurs✅ La capacité de remboursement sur plusieurs annéesEt surtout, elle vérifie si le montage financier est cohérent avec le projet industriel.Côté levier, ils sont clairs et ça dépend de la taille du deal➡️ Small cap (<30-50M€ de dette) : max 3,5x EBITDA, structuration prudente, majorité en amortissable➡️ Mid cap (mid (dette entre 50 et 200 M€) : 2,5x à 4,5x EBITDA, structuration mixte, dette bancaire + dette privée possible➡️Large cap (dette > 200 M€) : jusqu’à 4,5x et plus, présence d’unitranches, CLO/CDO, et fonds de detteMais tout dépend du secteur, de la stabilité de l’activité, et… de l’histoire qu’on raconte au banquier.Car oui, le storytelling compte.Les “management presentations” ne sont pas un détail : c’est souvent là que tout se joue.Et comme le dit Paulo : “la première impression est souvent la bonne”.On a aussi parlé :👉 Des différences entre dette senior, dette in fine, dette mezzanine👉 Du rôle des covenants et des garanties👉 De la place croissante des fonds de dette privée dans les deals👉 Des spécificités des transmissions familiales ou managérialesEt aussi d’un point que trop de dirigeants oublient : le bon moment pour parler à sa banque, c’est bien avant la LOI.Pourquoi ?Parce qu’un banquier impliqué en amont peut :✅ Aider à structurer le deal✅ Définir un quantum de dette réaliste✅ Optimiser l’apport / la dette✅ Proposer des outils (holding, pacte Dutreil, Tranche C…)✅ Sécuriser le deal pour toutes les partiesQue vous soyez dirigeant qui anticipe une vente, ou repreneur qui monte son premier dossier, cet épisode est pour vous.Un podcast pédagogique, opérationnel, concret, avec deux experts qui financent des centaines de deals chaque année.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce moment où le produit de la vente de votre entreprise s’affiche sur votre appli bancaire. Euphorie. Fierté. Soulagement. Et très vite… vertige.Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai reçu Olivier Levy. Ancien trader, ex-banquier, fondateur d’un multi-family office, LEVY CAPITAL PARTNERS, qui accompagne depuis 15 ans des entrepreneurs ayant monétisé leur société. Sa spécialité : les aider à structurer, protéger et faire travailler leur cash-out. Et surtout : éviter les erreurs classiques.Avec lui, on a parlé sans langue de bois. Car ce moment post-cession, que tout le monde imagine comme un apaisement, est souvent une tornade. Trop de conseils, trop d’options, trop de monde qui veut “vous aider”. On vous parle de montage, de fiscalité, de rendement, de holding, de private equity, d’immobilier… Mais vous, vous êtes encore en train d’atterrir. Vous n’avez pas envie d’un schéma. Vous avez besoin d’un souffle.Avant de déployer son capital, mieux vaut prendre le temps de comprendre. De poser un cadre.➡️ Quelle part de votre patrimoine doit rester disponible ?➡️Avez-vous besoin de revenus ?➡️Voulez-vous réinvestir dans des entreprises ?➡️Acheter une résidence secondaire ?➡️Offrir une rente à vos enfants ?La question n’est pas "où investir", mais "pourquoi, comment, et avec quelle logique".Olivier l’a répété : protéger le capital vient avant la performance. Et dans un monde incertain comme celui de 2025, où chaque tweet peut faire bouger les marchés, ça n’a jamais été aussi vrai. Les meilleures opportunités ne sont pas toujours là où on nous les vend.👉 L’immobilier ? Oui, mais pas à n’importe quel prix👉Les SCPI ? Parfois dangereusement endettées👉Le private equity ? Oui, si on entre à bon compte👉Les marchés financiers ? Encore pleins de pépites, à condition de bien gérer le risqueLe rendement, ce n’est pas une fin en soi. C’est le résultat d’une stratégie maîtrisée.Enfin, on a parlé des opportunités d’investissement. En 2025, ce n’est ni tout sur le private equity, ni tout sur l’immobilier. Il faut être capable de bouger. D’aller chercher du rendement là où il est encore sain. Olivier mise sur les obligations d’entreprise solides, certaines valeurs boursières oubliées, l’immobilier bien sélectionné, les data centers, la dette privée sur des projets réels. Mais jamais sans un vrai travail en amont. Jamais sans vérifier la valorisation, les frais, la liquidité, le sens.Ce que j’ai retenu de notre échange, c’est qu’un bon réinvestissement commence par un bon questionnement. Qui je suis après cette vente ? Qu’est-ce que je veux transmettre ? Quel risque je veux prendre ? Et avec qui je veux avancer ?🎧 Episode disponible sur toutes les plateformes de streaming (lien aussi en commentaire) et bientôt disponible sur ma chaine Youtube !Quelles questions auriez-vous aimé poser à Olivier ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand vous vendez votre entreprise, le prix n’est que le début de l’histoire.Le vrai match, il se joue dans les négociations juridiques.Pour en parler, j’ai reçu Dr. Renee Kaddouch, dans Une Cession Presque Parfaite, avocate en M&A depuis 20 ans.On a évoqué notamment les 2 sujets qui peuvent être explosifs dans les négociations :👉 La Garantie d’Actif et de Passif (la GAP)👉 Le complément de prix (earn-out)Et comme elle le dit très bien : au fond, tout tourne autour d’une chose… l’argent. Combien je touche. Combien je risque de rendre.⚠️ 1er point de vigilance : La GAPC’est ce que vous garantissez à l’acheteur sur le passé de votre entreprise.Que les comptes sont fiables, que les contrats sont valides, que les impôts ont été payés, qu’il n’y a pas de passif caché.Et si l’une de ces garanties est fausse, même de bonne foi, vous pouvez être amené à rembourser.Mais attention : cette garantie n’est pas standard. Elle se négocie. Elle se construit. Elle s’encadre.Certains acheteurs veulent la pousser au maximum. Obtenir des garanties vagues, imprécises, sur des sujets que vous ne maîtrisez même pas. Et c’est là que les problèmes commencent.Une bonne GAP, c’est une GAP précise, limitée dans le temps, plafonnée dans son montant, et surtout alignée sur la réalité de votre entreprise. Elle protège les deux parties. Et son objectif est simple : ne jamais avoir à la déclencher.⚠️ 2ème point de vigilance : le complément de prixOn vous propose un deal à 10M€, mais vous touchez 7M€ aujourd’hui, et 3M€ dans deux ans si les objectifs fixés sont atteints après la vente (CA, EBITDA, maintient ou signature de certains contrats..).Mais entre la promesse et le versement, il peut se passer mille choses. Et certaines décisions de l’acheteur peuvent saboter vos chances de toucher l’earn-out.Changement de stratégie. Embauches. Réorganisation. Management fees. Rachat d’un concurrent.Tout ça peut affecter l’EBITDA, les résultats, et donc les conditions de versement.Résultat : des vendeurs se retrouvent avec un contrat signé, mais un complément de prix jamais versé.Alors que faire ? 🤔Verrouiller chaque clause. Définir exactement ce qui déclenche le paiement. Exclure les charges imposées par le repreneur. Demander une autorisation préalable pour certaines décisions pendant la durée de l’earn-out.Les leçons à retenir✅ La GAP vous engage. Mais elle se négocie. Ne la laissez pas en mode automatique✅ Un earn-out flou est un earn-out perdu. Ce qui n’est pas écrit n’existe pas✅ Impliquez vos conseils avant la lettre d’intention. Pas une fois que tout est figéOn a aussi parlé de comment structurer juridiquement son entreprise avant une vente (nettoyer la table de capitalisation, réorganiser les filiales..)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, j’ai eu le plaisir de recevoir Alexandra Dupont dans Une Cession Presque Parfaite.Directrice Générale de RAISE et co-head de RAISE Invest, elle incarne une autre façon de faire du private equity.Une façon engagée, humaine, alignée.RAISE a été créé en 2013 par Clara Gaymard et Gonzague de Blignières avec une idée simple mais puissante :✅ Réconcilier performance financière et impact✅ Créer un modèle dans lequel le capital aide à grandir sans écraser✅ Et redistribuer une partie de la valeur créée à des projets d’intérêt généralAvec RAISE Invest, leur stratégie dédiée aux PME et ETI en croissance, ils investissent en minoritaire… mais avec beaucoup d’impact.C’est-à-dire qu’ils vous laissent piloter votre entreprise.Mais vous ne serez plus seul pour :– Structurer votre gouvernance– Réaliser un cash-out partie– Lancer des croissances externes– Préparer une transmission– Renforcer vos équipesUn vrai effet levier. Pas seulement financier. Un levier humain et stratégique.Leurs critères ?➡️ Des entreprises rentables, solides, souvent entre 30 et 500M€ de CA➡️ Des dirigeants ambitieux, qui veulent accélérer➡️ Et surtout, des femmes et des hommes avec qui il y a une vraie rencontre humaineUn alignement d’ambitions, de méthode, de valeurs.Et la performance, dans tout ça ? 🤔Elle est là. Et même très présente.Mais elle ne se mesure pas qu’en multiples.Elle se mesure aussi à l’impact réel.Le groupe RAISE reverse 50% de ses carried interests à une fondation, RAISE Sherpas, qui soutient les startups, les associations, et renforce le lien entre grands groupes et jeunes pousses.💡 60M€ déjà reversés à l’intérêt général💡 200 startups aidées💡 Des projets soutenus comme Institut Imagine, Espérance banlieues..💡 Des milliers de salariés et dirigeants impliqués dans ce cercle vertueuxEt les dirigeants dans tout ça ? 🤔Beaucoup sont inspirés par cette logique de “give back”.Certains choisissent de structurer un fonds de dotation après leur cash-out.D’autres proposent que leur propre management package soutienne des causes sociales.C’est cette nouvelle génération de transmission qui se dessine.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On pense souvent qu’un deal capote à cause du prix.En réalité, ce sont les pièges juridiques, mal anticipés, qui font le plus de dégâts. J’ai reçu Elodie Pereira, avocate en M&A, dans mon podcast Une Cession Presque Parfaite.Elle accompagne des repreneurs et des cédants depuis des années.Et elle voit passer les mêmes erreurs, encore et encore. Des erreurs qui transforment une belle opportunité en cauchemar. Parce que reprendre une boîte, ce n’est pas juste une signature et une valorisation à discuter. C’est un paquet de décisions à prendre, de pièges à éviter, et surtout, de garanties à verrouiller. C’est reprendre des contrats, des salariés, des dettes, des risques cachés.Et si c’est mal structuré, vous pouvez tout perdre. Première erreur : sauter l’audit juridique.Certains se disent : « c’est une petite boîte, pas besoin ».Grave erreur.Plus la structure est petite, plus elle est souvent fragile, mal documentée, ou dépendante d’une seule personne. Deuxième erreur : mal encadrer la lettre d’intention.Une LOI, ce n’est pas juste un bout de papier.Elle doit fixer un calendrier, une exclusivité, des conditions de sortie, un périmètre précis.Sinon, vous perdez six mois… et vous découvrez qu’aucun engagement n’est opposable. Troisième erreur : mal négocier la garantie d’actif et de passif (GAP).Ce n’est pas une clause pour faire joli. C’est le seul filet de sécurité de l’acheteur.Un plafond mal négocié, une garantie non séquestrée, un audit déclaré exonératoire… et vous pouvez vous retrouver à devoir rembourser un redressement URSSAF, perdre un client majeur ou vous battre pendant trois ans pour récupérer une somme impayée. Quatrième erreur : ne pas analyser les clauses de changement de contrôle dans les contrats clés.Résultat : vous reprenez une entreprise… mais vous perdez ses plus gros clients dès la première semaine. Cinquième erreur : vouloir aller trop vite.Un bon deal se prépare, se sécurise, se négocie.Mais il ne doit pas s’éterniser.Quand ça traîne trop, c’est souvent qu’il y a un problème qu’on ne vous dit pas. Dans l’épisode, Elodie partage des cas concrets, des conseils très opérationnels, et des erreurs vues dans la vraie vie.Des histoires de repreneurs trop confiants, mal conseillés ou mal préparés.Des histoires où tout semblait bien parti… jusqu’à ce que le juridique révèle les failles. Reprendre une entreprise, ce n’est pas juste une question de courage.C’est une question de méthode. De vigilance. D’anticipation. Sans compter que certaines opérations ne supportent pas les approximations.Reprendre un fonds de commerce ou reprendre les titres, ce n’est pas la même chose.Un bail mal lu, une station-service mal dépolluée, un salarié mal sorti… et c’est tout le montage qui s’écroule. Si vous êtes en train de reprendre une entreprise, ou si vous l’envisagez, ce que dit Elodie peut vraiment vous faire gagner du temps, éviter des pièges, et peut-être… vous éviter un très mauvais deal. Un bon deal, ce n’est pas juste un bon prix.C’est un deal solide.Et ça, ça passe par une structuration juridique rigoureuse.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on a passé des années à piloter une boîte, à prendre des décisions sous pression, à mener des transformations, il est difficile de décrocher. Mais une fois la cession bouclée ou le relais passé, comment continuer à faire la différence ??👉 Et si la suite c'était de devenir Operating Partner ? Pour transmettre ce savoir-faire stratégique à des dirigeants en poste, en devenant ce sparring partner stratégique, impliqué et engagé.Et donc, dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le grand plaisir de recevoir Franck ROGER, Directeur Général et cofondateur de l’Operating Partners Academy, la première structure en France et en Europe, qui forme les Operating Partners de demain, l’élite de ceux qui veulent continuer à avoir de l’impact, autrement.Un OP, c’est un ancien dirigeant ou entrepreneur qui accompagne un dirigeant en poste pour :👉 Structurer la croissance (organique/externe)👉 Sécuriser une cession et maximiser la valorisation👉 Mettre en place des transformations opérationnelles : digitales, RH, organisationnelles👉 Renforcer la gouvernance de votre entreprise et structurer l’équipe dirigeanteIl est là pour faire réussir. Pour faire gagner du temps, de la clarté, de la méthode.Pas pour prendre la place. Pas pour faire à la place.Ce n’est ni un consultant. Ni un manager de transition. Ni un simple board member.C’est un sparring partner stratégique, impliqué, engagé, avec un vrai pouvoir d’influence.Et surtout : il s’engage sur des résultats.Mais ce rôle ne s’improvise pas.Il demande un repositionnement. Une posture nouvelle. Un travail en profondeur.C’est pour ça que l’Operating Partners Academy a été créée.Pour former l’élite des futurs OP, autour d’un programme à la fois concret et exigeant :✅ Cas réels issus de LBO, de croissance, de pivot ou de crise✅ modules sur la stratégie, la finance, la gouvernance, les RH, le leadership, échanges entre pairs, mises en situation✅ Et une vraie immersion de fin de parcours dans une entreprise, organisée par l’Académie via son réseau, pour appliquer ce que vous avez appris et valider votre certification OP⚠️ La prochaine promotion démarre en juin à Lyon, sous le parrainage de Laurent Fiard, entrepreneur reconnu, cofondateur et président de Visiativ, ancien président du MEDEF Lyon-Rhône (2014–2021), engagé pour valoriser l’entreprise sur le territoire et partout en France.En tant que conseil M&A, je le vois tous les jours :👉 Les dirigeants sont seuls. Les contextes se tendent👉 Et avoir un OP à ses côtés devient un avantage décisifHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Projet de Loi de Finances 2025 vient frapper fort sur les Management packages. Vous êtes dirigeant sous LBO ? Vous bénéficiez de BSPCE, actions gratuites, BSA ?Vous préparez un cash-out, une levée de fonds, une opération de M&A, une transmission, une cession ?Alors ce post est pour vous. Désormais, une partie de vos plus-values pourra être imposée comme un salaire, jusqu’à 59%, contre 34% (flat tax + CEHR) jusque-là. Oui, vous avez bien lu. 59 %. Le nouvel article 163 bis H remet en cause le traitement fiscal des management packages.Il crée une présomption de salaire, impose des conditions strictes pour bénéficier du régime des plus-values, et vise de nombreux schémas jusqu’ici tolérés. Pour bien comprendre ce que ça change, j’ai eu le grand plaisir de recevoir Philippe Donneaud, avocat fiscaliste associé chez CMS Francis Lefebvre, dans Une Cession Presque Parfaite. Il a répondu, avec clarté, aux questions que beaucoup de dirigeants se posent aujourd’hui. Ce qu’on a vu ensemble : ✅ Pourquoi ce texte marque un tournant dans la fiscalité des dirigeants et des investisseurs✅ Ce que le législateur cherche vraiment : justice fiscale ou reprise en main ?✅ Comment cette réforme s’inscrit dans un mouvement plus large engagé depuis plusieurs années✅ Pourquoi le traitement fiscal des management packages posait autant de problèmes jusqu’à maintenant✅ Ce que le nouvel article 163 bis H change concrètement : codification, présomption, seuil de performance✅ Comment le fisc distinguera désormais un gain salarial d’un gain patrimonial✅ Quelles conditions remplir pour rester en plus-value : performance, risque, absence de lien hiérarchique..✅ Ce qu’il faut penser du seuil de performance fixé à 3 fois la progression de valeur✅ Les schémas classiques (BSPCE, BSA, AGA…) sont-ils encore viables ?✅ Est-ce que ça touche aussi les opérations d’apport-cession, donations, holdings ?✅ Quel impact de l’amendement Charasse et des nouvelles jurisprudences ? En clair :📌 Les lignes bougent📌 Le niveau d’exigence monte📌 Et le risque de redressement fiscal devient bien plus élevé Cet épisode est une mise à jour indispensable pour tous ceux qui prévoient une opération de M&A, un cash-out ou une restructuration capitalistique dans les mois à venir. Ce que vous allez entendre peut vous éviter des mauvaises surprises à plusieurs millions d’euros.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on parle de transmission, on pense fiscalité, valorisation, juridique. Et c’est normal. Mais quand il s’agit d’une entreprise familiale, les vrais sujets sont souvent ailleurs. Ce qui peut bloquer une transmission, ce sont les histoires. Les relations. Les émotions.Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le grand plaisir d’échanger avec 🔹 Frédéric DUBOIS, conseiller en organisation et management depuis 25 ans pour les PME/ETI, spécialisé dans l’accompagnement des entreprises familiales. Il a lui-même dirigé une entreprise familiale avant de devenir consultant. Il connaît les enjeux de l’intérieur.👉 Il partage une idée simple mais essentielle : “Le meilleur moment pour préparer une transmission, c’est quand on n’en a pas besoin.”Quand on n’est pas pressé, on peut tout faire mieux. Structurer. Clarifier les rôles. Optimiser l’organisation. Diversifier les clients. Renforcer les marges. Former la nouvelle génération. Ce n’est pas dans l’urgence que se prennent les bonnes décisions. C’est dans l’anticipation.👉 Frédéric parle d’un délai minimum de 3 ans. Le temps de créer une trajectoire de croissance visible, d’atténuer les dépendances (dirigeant, client, savoir-faire), et d’installer une nouvelle gouvernance.Mais surtout, il nous rappelle que la dimension humaine est centrale.Ce qui bloque souvent, ce n’est pas l’organisation, c’est le lien.Un dirigeant qui ne veut pas lâcher. Des enfants qui attendent sans y croire.Et entre les deux, un vide, ou pire : des malentendus.On oublie trop souvent que la réussite d’une transmission repose d’abord sur la qualité du lien entre ceux qui transmettent et ceux qui reprennent.La transmission, pour réussir, a besoin d’un cadre. D’un tiers de confiance. D’un regard extérieur. Pas pour trancher, mais pour faire parler. Et avancer.Frédéric le dit très bien : il faut aussi penser la vie d’après. Trop de dirigeants quittent leur entreprise sans savoir ce qu’ils vont devenir. Mais, transmettre, c’est aussi recréer un projet de vie. Une place. Une énergie nouvelle à canaliser.Cette conversation est riche, humaine, concrète.Pas une leçon, pas une théorie. Un retour d’expérience sincère.Et si vous êtes à la tête d’une entreprise familiale, je vous invite à l’écouter.Et à vous poser cette question : "Est-ce que votre entreprise est prête à vivre sans vous ?"Comme le dit Frédéric :"Une transmission réussie, c’est celle qui permet au dirigeant de partir serein, et à la nouvelle génération d’arriver confiante"Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le marché du courtage en assurance est en train de vivre une transformation profonde.Concentration, digitalisation, arrivée des fonds d’investissement, stratégies d’acquisition..Pour en parler, j’ai reçu dans mon podcast Guillaume Rovere, fondateur d’assurdeal, une plateforme digitalisée d’achat-revente de portefeuilles de courtage.Guillaume est un des meilleurs observateurs de ce marché : il accompagne depuis plus de 20 ans les courtiers qui veulent transmettre, se structurer ou grandir par acquisition.Quelques idées fortes à retenir de notre échange :✅ Un portefeuille n’a pas une valeur “générique” : tout dépend de sa compositionUn portefeuille ne vaut plus un multiple, il vaut une logique.Chaque contrat est analysé ligne par ligne.Le type de client, le niveau de fidélité, la solidité de l’assureur, la qualité des données, la spécialisation du cabinet : tout compte.✅ Le courtage en assurance entre dans une nouvelle èreAu Royaume-Uni, les 18 000 courtiers sont devenus 2 000 en dix ans.En France, on en compte encore 26 000, dont une majorité avec moins de 75 000 € de commissions annuelles.Autrement dit : la concentration va s’accélérer, et ceux qui ne se structureront pas seront poussés vers la sortie.✅ Le M&A devient un outil stratégique, pas un simple mécanisme de croissanceLes acheteurs ne cherchent pas du volume.Ils cherchent des portefeuilles stables, spécialisés, digitalisés.Une transaction se pense aujourd’hui comme une vraie cession d’actifs, avec des enjeux de conformité, de risques contractuels et de transfert client.✅ Ce marché attire désormais des acteurs structurés et offensifsCertains consolidateurs ont déjà réalisé 10, 15, 20 opérations en moins de trois ans.Des fonds anglo-saxons investissent massivement.Et des CGP, souvent mieux préparés que les courtiers traditionnels, se lancent dans l’acquisition de portefeuilles.Ce mouvement est en train de redessiner les équilibres du secteur.✅ La digitalisation n’est plus une optionLes courtiers qui préparent leur transmission en structurant leur base client, en se spécialisant, en rendant leur portefeuille lisible et exploitable… multiplient les options à la revente.Guillaume résume tout ça avec une phrase simple mais percutante :💡 “Un courtier est avant tout un chef d’entreprise. Il doit savoir ce qu’il vend, à qui, pourquoi et comment. C’est ça qui donne de la valeur.”On a également parlé de valorisation, de typologies de portefeuilles, de risques à éviter (comme le précompte ou les mandataires), des stratégies d’optimisation avant la vente, et du rôle clé de la stabilité client dans les prix.L’épisode est dense, concret, utile.Si vous êtes dirigeant dans ce secteur, ou que vous vous y intéressez, il mérite d’être écouté jusqu’au bout.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand une entreprise passe un cap — fusion, transmission, levée de fonds — on parle beaucoup de valorisation, de structuration financière, d'opportunités de croissance…Mais on parle trop peu de l’essentiel : les humains qui vont faire vivre ce changement.Dans le dernier épisode de mon podcast Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le plaisir de recevoir Matthieu Lerouge, un expert rare, qui accompagne les dirigeants de PME et startups (entre 30 et 250 collaborateurs) à structurer leurs équipes quand il y a un virage stratégique : levée de fonds, cession, transmission, forte croissance.Mathieu a passé 3 ans à faire de la recherche sur les facteurs humains de réussite en entreprise. Résultat : un test de personnalité sur-mesure, et une méthodologie concrète pour structurer les organisations, recruter les bons profils et surtout… garder des équipes engagées et heureuses.Et ce qu’il voit trop souvent, c’est ça :❌ Des dirigeants qui partent sans avoir préparé le terrain❌ Des profils brillants, mais mal utilisés car mal positionnés❌ Des collaborateurs qui ne savent plus à quoi sert leur job❌ Des DG recrutés qui partent au bout de 2 mois faute d’onboarding🎙️ On a parlé de plein de sujets essentiels :👉 Pourquoi 40% des transmissions échouent à atteindre leurs objectifs, et comment éviter ça ?👉 Comment savoir si un manager interne peut monter en compétence👉 Pourquoi l’onboarding du nouveau dirigeant peut faire ou défaire toute l’opération ?👉 Comment conserver les valeurs d’une entreprise familiale après la cession ?👉 Comment éviter le piège de "l’ancien dirigeant visionnaire" quand l’entreprise a juste besoin… de structure ?👉 Pourquoi la transmission, c’est aussi une opportunité unique de repositionner chacun dans sa zone de génie ?👉 De la transmission comme opportunité unique de faire le point sur les talents internes👉 Et de ce moment, post-cession, où l’ancien dirigeant peut perdre ses repères s’il n’a pas préparé l’après.Et aussi :✅ Pourquoi il faut objectiver les RH comme on le fait en finance✅ Pourquoi les fusions échouent souvent pour des raisons humaines, alors qu’on pourrait anticiper avec les bons outils✅ Et comment éviter les erreurs de casting dans les recrutements clésUn moment passionnant, avec un expert qui a su rendre tangibles et mesurables les leviers humains de la croissance.Et si vous pensez que "l'humain, c’est du soft", Matthieu vous montrera comment ça peut aussi faire +30% de croissance… ou l’inverse si c’est raté.Car une transmission mal préparée peut faire fuir les talents et faire chuter la valeur. Car une croissance mal pilotée peut gripper toute l’organisation.Alors, dirigeants, ne pensez pas que ça se réglera après le closing.Ce que vous ne préparez pas aujourd’hui, vous le paierez demain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on parle de cession d’entreprise, la plupart des discussions tournent autour de la valorisation, des multiples, des négociations et de la fiscalité.Mais un facteur est souvent sous-estimé et pourtant il peut faire échouer une vente : le dirigeant lui-même.J’ai reçu Ana Pușcă, coach de dirigeants, dans Une Cession Presque Parfaite, et elle a mis en lumière une vérité essentielle :Une entreprise ne se vend pas comme un simple actif. Elle se transmet, et pour que cette transmission réussisse, encore faut-il que son dirigeant ait préparé le terrain.Les erreurs classiques des dirigeants qui veulent vendre leur entreprise1️⃣ Tout repose encore sur eux, même au moment de la venteBeaucoup de dirigeants ont passé des années à construire une entreprise à leur image, à être présents sur tous les sujets, à prendre toutes les décisions.C’est souvent une force dans la phase de développement… mais c’est un énorme problème dans la phase de transmission.Un acheteur qui voit que toute l’activité dépend du dirigeant prend peur. Il se demande comment l’entreprise va survivre après son départ. Résultat :❌ Soit il exige une transition longue et contraignante❌ Soit il négocie un prix plus bas, considérant que la boîte est trop risquée❌ Soit il abandonne la discussion2️⃣ Ils ne sont pas psychologiquement prêts à vendreCe point est l’une des causes majeures des ventes qui échouent.Un dirigeant peut passer des mois (voire des années) à structurer son entreprise pour la cession… Mais au moment de signer, le doute s’installe.Vais-je regretter ?👉 Qu’est-ce que je vais faire après ?👉 Mon entreprise va-t-elle survivre sans moi ?Ces hésitations peuvent rendre nerveux les acheteurs qui préfèrent se détourner du deal plutôt que de risquer une vente avortée.3️⃣ Ils ne préparent pas leur après-cessionC’est paradoxal, mais un dirigeant qui a une vision claire de son avenir négocie mieux.Pourquoi ? Parce qu’il ne se raccroche pas inconsciemment à son entreprise comme à une bouée de sauvetage. Il est posé, sûr de lui, et ça donne confiance aux acheteurs.Comment maximiser la valeur de son entreprise en tant que dirigeant ? 🤔Ana accompagne des patrons qui se préparent à vendre et les aide à gérer ces blocages avant qu’ils ne deviennent un problème.Elle insiste sur trois éléments fondamentaux à travailler en amont :👉Déléguer et structurer son entreprise avant la vente👉Un acheteur veut une entreprise qui fonctionne sans son dirigeant. Plus une boîte est autonome, plus elle vaut cher.👉 Faire un vrai travail de préparation psychologiqueNe pas considérer la vente comme une fin, mais comme un passageLe dirigeant doit voir la cession comme une transmission réussie plutôt qu’un abandon. Ca change tout dans l’état d’esprit et la dynamique du deal.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai reçu Eric Le Poole, entrepreneur et investisseur qui a réalisé un OBO sur sa propre entreprise avant de la vendre avec succès.On a parlé en détail de cette opération qui permet de récupérer des liquidités tout en gardant les commandes.L'OBO (Owner Buy Out) est un mécanisme encore peu connu par de nombreux dirigeants de PME. Pourtant, cette opération permet de réaliser un cash-out (récupérer une partie de la valeur de votre entreprise) tout en conservant le contrôle.Concrètement, comment ça fonctionne ? 🤔Vous "vendez" une partie de votre entreprise à une structure que vous contrôlez. Cette structure s'endette pour financer l'achat, ce qui vous permet de récupérer immédiatement des liquidités. Vous restez aux commandes et utilisez les bénéfices futurs pour rembourser cette dette.L'OBO répond à un vrai besoin : après des années à construire une entreprise qui marche, votre patrimoine est souvent concentré dans un actif unique et difficile à vendre. L'OBO vous permet de diversifier ce patrimoine sans abandonner votre projet entrepreneurial.✅ 3 conditions sont essentielles pour une opération réussie :👉 Une entreprise rentable et stable - Un EBITDA >1M€ est généralement nécessaire. Les banques et fonds recherchent des sociétés avec un historique de rentabilité prouvée.👉Une croissance constante et prévisible - Votre entreprise doit démontrer une capacité à générer de la croissance année après année. Cette prévisibilité rassure vos partenaires financiers.👉Une équipe de management solide - Vous ne pouvez pas être le seul pilier. Des managers compétents doivent pouvoir assurer la continuité de l'entreprise, même en votre absence.⚠️ Concernant l'endettement : une règle simple consiste à s'assurer que le remboursement annuel de la dette ne dépasse pas 50% de votre EBITDA. Ça vous laisse une marge confortable pour absorber d'éventuelles difficultés tout en continuant à investir dans votre croissance.L'OBO n'est pas une simple opération financière, c'est un engagement. Vous vous engagez sur un plan de développement ambitieux pour les 4-5 prochaines années. Ce qui peut inclure des croissances externes, l'ouverture à l'international ou d'autres axes stratégiques.L'OBO peut aussi être une étape dans un parcours entrepreneurial plus long, vous permettant de réaliser plusieurs opérations successives de valorisation, ou de préparer sereinement une cession complète à moyen terme.Avez-vous déjà réfléchi à cette stratégie pour votre entreprise ? Palons-en en privé ☺️Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La vente d’une entreprise, c’est souvent le projet d’une vie.Des années à construire, développer et structurer.Des nuits à gérer des crises et faire grandir l’activité.Des mois à négocier le meilleur deal, la meilleure valorisation.Puis arrive le jour du closing. Tout est signé. L’argent est sur le compte.Et après ?C’est une question que trop peu de dirigeants anticipent.❌ Ils pensent qu’ils auront le temps d’y réfléchir plus tard❌ Ils se disent que tout viendra naturellement❌ Mais une fois la vente actée, beaucoup se retrouvent sans capParce que ce qu’on ne vous dit pas, c’est que vendre son entreprise, ce n’est pas juste une transaction.C’est un changement radical.C’est un bouleversement mental.C’est une perte de repères.Et c'est ce qui est arrivé à Louis Debouzy quand il a vendu Amabilis - L'aide à domicile qu'il vous faut 💙.Dans cet épisode de Une Cession Presque Parfaite, Louis raconte :✅ Comment il a su que c’était le bon moment pour vendre✅ Les bonnes questions à se poser AVANT de vendre✅ Les erreurs qu’il a évitées (et celles qu’il a failli commettre)✅ Le choc de l’après-cession et comment il a essayé de gérer cette transitionParce que la vraie question après une vente, ce n’est pas "combien j’ai vendu ?"C’est "qu’est-ce que je fais maintenant ?"Beaucoup d’entrepreneurs pensent qu’ils auront "le temps d’y réfléchir après".Mais l’après-cession, ça ne s’improvise pas.C’est cette question qui a poussé Louis à créer Exit.Club :👉 Un réseau exclusif réservé aux entrepreneurs ayant vendu leur entreprise (>1M€)👉 Un espace pour échanger avec d’autres anciens dirigeants et trouver de nouvelles opportunités post-exit👉 Un club qui permet d’éviter l’isolement, de retrouver de l’émulation et de lancer de nouveaux projetsParce que vendre sa boîte, ce n’est pas la fin d’une aventure… c’est le début d’une autre.Et qu’une cession réussie, ce n’est pas seulement une bonne négociation. C’est aussi une transition bien préparée.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Être dirigeant, c’est porter sur ses épaules la croissance, la rentabilité, les transformations, et parfois, la préparation d’une cession. Vous êtes souvent seul face à des décisions importantes qui demandent à la fois du recul, une expertise concrète et une mise en œuvre rapide. Et si vous aviez à vos côtés quelqu’un qui connaît exactement ces enjeux ? L’Operating Partner est encore peu connu en Europe, mais c’est une pratique courante aux États-Unis, où il est devenu un allié indispensable des fonds d’investissement et des dirigeants. Dans ce nouvel épisode de Une Cession Presque Parfaite, je reçois Isabelle Saladin, présidente de I&S Adviser, le premier cabinet européen dédié aux Operating Partners. Isabelle est une pionnière dans ce métier et partage avec nous pourquoi cet acteur discret peut devenir un véritable levier pour votre entreprise. 👉 C’est quoi, un Operating Partner ?L’Operating Partner c’est avant tout un professionnel de terrain, généralement un ancien dirigeant ou entrepreneur, quelqu’un d’aguerri qui connaît vos problématiques sur le bout des doigts. Il ne vous donne pas de simples conseils théoriques ; il s’implique à vos côtés, avec des solutions concrètes et directement applicables. ✅ Ses missions ? Elles peuvent être nombreuses :Redéfinir votre stratégie ou votre business model pour une meilleure rentabilitéStructurer une croissance externe, comme une acquisitionVous accompagner dans la préparation d’une cession pour maximiser la valorisationMettre en place des transformations opérationnelles : digitales, RH, organisationnellesRenforcer la gouvernance de votre entreprise et structurer l’équipe dirigeante👉 Pourquoi c’est devenu si important ?1️⃣ Les dirigeants ont besoin d’un soutien stratégique solide, qui va au-delà d’un simple apport financier2️⃣ En LBO, améliorer les performances opérationnelles est aujourd’hui la clé de la création de valeur3️⃣ Les résultats sont là : les entreprises accompagnées par un OP affichent des performances bien supérieures, avec un TRI moyen de 30 %, contre 22,5 % en général 🎧 Dans cet épisode, Isabelle Saladin explique en détail comment ce « nouveau » métier peut transformer votre entreprise. Elle a même écrit un livre dédié à ce sujet, pour les dirigeants qui veulent mieux comprendre ce métier en pleine développement. Un ouvrage à découvrir absolument !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🎙️ Dirigeants, entrepreneurs : et si votre chiffre d'affaires plafonnait à cause de votre stratégie Go-To-Market ? Votre produit/service est bon, voire génial, votre équipe est compétente, motivée, mais les résultats ne suivent pas ?C’est un problème que beaucoup rencontrent. Et la raison est souvent la même : un Go-To-Market mal pensé ou mal exécuté.Alors, pour vous aider à mieux exécuter votre stratégie de vente, dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j'ai eu le grand plaisir de recevoir Jean-François Greco, fondateur de MyOS Partners. C'est un expert. Il aide les entreprises à sécuriser leur stratégie Go-To-Market et à obtenir des résultats concrets et atteindre leurs objectifs. Qu’est-ce que le Go-To-Market ? 🤔 C’est tout ce qui vous permet de vendre votre produit ou service.Mais attention, ce n’est pas juste une question de canaux de vente. Jean François l’explique simplement : "Le GTM, c’est savoir qui est votre client, ce qu’il veut, et comment lui vendre de la meilleure façon."Ça inclut :👉 Comprendre vos clients : que résolvez-vous pour vos clients, et pourquoi devraient-ils choisir votre produit ?👉Savoir où et comment les atteindre 👉Tester et ajuster pour que votre offre colle parfaitement à leurs attentes : Ne déployez pas tout d’un coup : testez d’abord vos idées sur des groupes ciblésPourquoi c’est essentiel ? 🤔Un mauvais Go-To-Market peut ralentir votre croissance, compliquer vos levées de fonds, ou même mettre en péril votre entreprise.Jean-François partage dans cet épisode ce qu’il faut éviter de faire : 1️⃣ Ignorer les signaux faibles : comme des cycles de vente plus longs ou une baisse des marges2️⃣ Se concentrer sur l’idée et oublier l’exécution : une stratégie ne vaut rien si elle reste sur papier3️⃣ Mal comprendre les besoins réels des clients : souvent, ils ne disent pas directement ce qu’ils veulent, mais il faut savoir les écouterComment réussir votre Go-To-Market ? 🤔 Jean-François donne des solutions concrètes dans cet épisode :👉 Documentez votre stratégie : ça permet à vos équipes d’être autonomes👉Testez vos hypothèses sur des petits groupes avant de déployer à grande échelle👉Soyez à l’écoute de vos clients pour ajuster en permanenceJean-François et ses équipes vont plus loin : ils accompagnent les entreprises jusqu’à l’exécution et forment les équipes pour garantir des résultats durables.Alors, si vous êtes dirigeant ou fondateur, et que vous voulez :✅ Identifier ce qui freine vos ventes ou votre croissance✅ Préparer une levée de fonds plus sereinement✅ Transformer une idée en résultats concrets🎧 Cet épisode de Une Cession Presque Parfaite est disponible sur toutes vos plateformes (Spotify, Apple Podcast, Deezer ..) et sinon lien en commentaireHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendre ou reprendre une entreprise, ça ne s’improvise pas. Beaucoup de dirigeants ratent leur cession par manque de préparation. À l’inverse, les repreneurs qui cherchent l’entreprise parfaite risquent de passer à côté d’opportunités incroyables.🎙️ Dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai reçu :Anne-Laure Thupin, consultante en structuration, qui accompagne les dirigeants à rendre leur entreprise moins dépendante d’euxJulien De Sousa, repreneur d’entreprises, qui transforme des entreprises avec du potentiel en belles réussite et partage sa vision sur ce qu’il recherche… et ce qu’il évite absolument.Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :1️⃣ La dépendance du dirigeant : l’ennemi numéro 1Anne-Laure le dit très simplement : “Une entreprise qui ne peut pas fonctionner sans son dirigeant perd de sa valeur.” Un test facile : combien de temps pouvez-vous partir sans que ça n’affecte vos équipes ? Si la réponse est “à peine un week-end”, il est urgent de structurer2️⃣ Le marché caché de la repriseJulien explique pourquoi il préfère le marché "caché". Visiter des zones d’activité, envoyer des courriers ciblés : ces démarches directes lui permettent de dénicher ce qu’il appelle des « belles endormies », ces entreprises sous-exploitées et prêtes à être transformées3️⃣ Anticiper pour mieux vendreUn "manuel d’entreprise" clair et complet peut doubler la valeur de votre entreprise, en rassurant les repreneurs et en leur montrant qu’ils n’achètent pas un risque, mais un actif solide🎯 Dirigeants : commencez dès maintenant à structurer votre entreprise pour la rendre autonome. Ça servira autant à augmenter sa valeur qu’à alléger votre quotidien🎯 Repreneurs : ne cherchez pas l’entreprise parfaite. Apprenez à repérer le potentiel là où d’autres voient des risques.La vidéo sort très prochainement ! 😉Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Votre entreprise est votre plus grande réussite, mais peut-être qu’elle est aussi votre plus grande faiblesse ?SI vous n’êtes plus là demain, il se passerait quoi selon vous ? Votre famille, vos associés, votre entreprise, survivront-elles sans vous ? Seraient-ils prêts ? Parler de décès, d’invalidité ou de transmission patrimoniale, c’est pas ce qu’il y a de plus d’Eliad (sexy, en gros). Mais c’est absolument essentiel. Car si vous ne préparez pas ces moments, ils viendront quand même. Et, surtout, ne pas le faire, c’est risquer de laisser derrière vous des conflits, une fiscalité écrasante, et une entreprise affaiblie.. voire mourante .. Alors, dans le dernier épisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le plaisir de recevoir Olivier Pontnau, notaire associé à Paris, connu pour son expertise pointue couplée à une pédagogie remarquable, qualités précieuses pour répondre à 2 grandes questions :1️⃣ Comment protéger son patrimoine quand on est dirigeant ?2️⃣ Comment transmettre son entreprise et ses actifs à titre gratuit sans conflits et en optimisant la fiscalité ? Quelques points-clés de notre échange :👉 Votre entreprise, une richesse fragile …Pour beaucoup de dirigeants, toute leur richesse est concentrée dans leur entreprise. C’est pas un problème… jusqu’au jour où survient un accident, un retournement de cycle, une invalidité ou un décès. Diversifier et sécuriser son patrimoine personnel est un impératif pour éviter de tout perdre (d’où le fait qu’un OBO est un super compromis quand bien structuré) 👉 Les outils de transmission gratuite, comme la donation-partage ou la réserve d’usufruit, peuvent être très puissants si bien mis en place. Ils permettent de transmettre à moindre coût, tout en gardant du contrôle. Par exemple, transmettre la nue-propriété d’un actif (immobilier ou entreprise) peut réduire les droits de donation de façon significative tout en préservant vos droits d’exploitation 👉 Le testament n’est pas un luxe, c’est une sécurité. Et peut être un outil puissant aussi. Il permet d’organiser précisément la répartition des actifs, d’éviter les indivisions conflictuelles entre héritiers et de protéger les proches, comme le conjoint ou un enfant repreneur 👉 L’idée qui m’a marqué :"Un dirigeant passe des heures à optimiser ses marges et ses dividendes, mais oublie souvent de se poser la question : ‘Qu’arrivera-t-il à mon patrimoine si je ne suis plus là ?’" 👉 Pourquoi anticiper ?Parce que les droits de succession peuvent atteindre 45%. Parce que les blocages administratifs ou judiciaires peuvent dévaluer une entreprise. Et parce qu’un testament, un mandat de protection future ou un pacte Dutreil bien structuré peuvent tout changer. Préparer sa transmission, c’est surtout une manière de protéger ses proches et de pérenniser ce qu’on a construit. C’est un geste d’amour envers sa famille et une marque de respect pour son entreprise.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Une Cession Presque Parfaite, Guillaume Jimenez, avocat associé au sein du Cabinet 28 Octobre, et expert en M&A et litiges post-cession, partage des solutions claires et des bonnes pratiques pour éviter que des litiges ne viennent gâcher une opération bien préparée. Quelques points principaux que nous avons développés :Garanties d’actif et de passif : un élément clé pour protéger les deux partiesLes garanties d’actif et de passif servent à protéger les acheteurs des mauvaises surprises, comme des dettes cachées ou des actifs surévalués. Elles sont aussi là pour limiter les responsabilités du vendeur, mais tout repose sur leur rédaction. Une garantie bien construite encadre clairement ce qui est couvert, avec des limites précises.Si elles sont floues ou incomplètes, elles deviennent des leviers pour les acheteurs frustrés. Dans une opération, il faut anticiper tous les risques possibles et les inclure de manière explicite. Plus les garanties sont détaillées, moins elles laissent de place à l’interprétation ou aux contestations.Défauts d’information : tout doit être mis sur la tableL’une des principales causes de litiges post-cession est le manque de transparence. Toute information importante, qu’il s’agisse de contrats en cours, de risques identifiés ou de performances passées, doit être partagée pendant les négociations.Cacher un détail, même involontairement, peut donner lieu à des accusations de dol. Être transparent permet non seulement de protéger le vendeur, mais aussi d’instaurer une relation de confiance entre les parties.Guillaume rappelle qu’une bonne documentation et un effort pour expliquer clairement tous les points sensibles sont essentiels pour éviter les incompréhensions.Ajustements de prix : éviter les conflits avec des critères clairsLes ajustements de prix permettent de lier une partie du prix de vente à des performances futures ou à des obligations contractuelles. Mais pour qu’ils fonctionnent, ils doivent être cadrés avec des critères simples et mesurables.Un ajustement mal défini ou ambigu ouvre la porte aux désaccords. Dans une opération, il est important que les deux parties s’accordent sur des paramètres précis dès le départ. Guillaume explique comment structurer ces ajustements pour éviter tout malentendu après la signatureHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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