Résilience, acceptation du risque, nouvelle sérénité, sur The Transat CIC, l’ancienne Transat anglaise, Isabelle sent son envie, son engagement et sa présence à son bateau croître. Entrée en mode Vendée Globe, elle profite de cette dernière transat avant le grand départ pour « aller chercher la performance là où on ne la voit pas », sans pression. Alors que l’IMOCA MACSF file sur la route qui les mènera de Lorient à New York, elle se souvient aussi de sa précédente participation, huit années auparavant, qui l’avait vue subir une importante avarie la conduisant à l’abandon, mais aussi à St-Pierre-et-Miquelon dont elle avait tant rêvé.Bonne écoute.
A 18 ans, en 1980, Alain Gautier participe déjà à la solitaire du Figaro. Neuf ans plus tard en 1989, il l’a remporte pour la première fois et se fait un nom dans le milieu de la course au large. C’est avec cet aura que cette même année le lorientais Alain Gautier s’aligne sur la première édition du Vendée Globe. Un premier tour du monde en solitaire sans assistance qu’il boucle à la sixième place.Mais c’est en 1992 avec l’étiquette de favori qu’il revient sur l’épreuve. Un statut qu’il assume quasiment de bout en bout en remportant une victoire sans contestation en 110 jours 2 heures et 22 minutes. Il revient sur cette course mémorable au micro de Jacques Guyader.Bonne écoute.Réalisation : Ronan Coquelin LionMusiques : Universal Music Production
De son départ en trombe, à son duel avec Jean Le Cam qui le surnomma « Vincent le Terrible » ; du break qu’il fit sur la course en compagnie du même Le Cam, à ses frayeurs lorsqu’il croisa des icebergs ; de la manière dont il s’empara de la tête peu après le cap Horn à ses émotions en arrivant aux Sables-d’Olonne en vainqueur, Vincent Riou revient en détail et avec émotion sur les 87 jours de sa course victorieuse, s’imposant avec moins de sept heures d’avance sur Jean Le Cam, deuxième.Un récit rehaussé de sons d’archives pour mieux se replonger dans l’édition 2004-2005 du plus fameux des tours du monde à la voile.Un podcast de Philippe Joubin.Réalisation : Florian Domergue
Nouveau Vendée Globe, nouveau départ. Isabelle s’apprête à reprendre la mer pour entamer son second tour du monde, en solitaire, sans assistance et sans escale. Dans l’attente, elle part se ressourcer dans une cabane, face à l’archipel de Bréhat. Elle y reçoit Aline Penitot et lui confie les origines de son amour pour la voile, elle née pourtant loin des côtes. Des lacs d’Autriche des vacances de son enfance à sa première Mini Transat, en passant par les chantiers et les écoles de voile, Isabelle revient aux sources, l’occasion également d’évoquer la condition des femmes dans le milieu.
En 2020, Isabelle Joschke se lançait dans son premier Vendée Globe. De cette aventure hors du commun naissait un podcast, « Seule en mer », réalisé par Aline Penitot, produit par la MACSF et diffusé par Ouest France.En 2024, Isabelle s’apprête à reprendre la mer pour affronter sa deuxième course autour du monde, en solitaire et sans escale. Plus prête et déterminée que jamais, mais également plus sereine, elle nous offre à nouveau la possibilité de monter à bord de l’IMOCA MACSF grâce au micro embarqué d’Aline.Dans cet épisode, retour en décembre 2023. Isabelle participe à la course retour de la Transat Jacques Vabre, le « Retour à la Base », qui doit la conduire de Fort de France à Lorient sur son fidèle IMOCA MACSF. Alors qu’elle retrouve ses réflexes de solitaire après une année en double avec Pierre Brasseur, elle se projette d’ores et déjà dans le prochain Vendée Globe. Elle franchira la ligne d’arrivée en 9e position de la flotte, se qualifiant officiellement pour la « deuxième très grande aventure de sa vie ».
En 2020, Isabelle Joschke se lançait dans son premier Vendée Globe. De cette aventure hors du commun naissait un podcast, « Seule en mer », réalisé par Aline Penitot, produit par la MACSF et diffusé par Ouest France.En 2024, Isabelle s’apprête à reprendre la mer pour affronter sa deuxième course autour du monde, en solitaire et sans escale. Plus prête et déterminée que jamais, mais également plus sereine, elle nous offre à nouveau la possibilité de monter à bord de l’IMOCA MACSF grâce au micro embarqué d’Aline.Pour cette nouvelle édition de « Seule en mer », nommée « Repartir », Aline a choisi la guitare de Serge Teyssot-Gay pour créer un habillage musical sur-mesure, qui créera un pendant artistique aux ambiances sonores brutes du bateau.Dès le 22 octobre, (ré)embarquez sur l’IMOCA MACSF aux côtés d’Isabelle pour suivre, en immersion totale, son deuxième Vendée Globe, depuis sa qualification jusqu’à son arrivée aux Sables d’Olonne.
À l’occasion du 9e Vendée Globe, qui s’est achevé sur la victoire de Yannick Bestaven, Ouest-France vous a proposé "La Saga Vendée Globe", une série de podcasts qui raconte en détail un fait marquant par édition.Dans ce dixième épisode, retour sur le tour du monde du vainqueur du cœur de ce Vendée Globe 2020-2021 : Jean Le Cam, dit le Roi Jean !Philippe Joubin a couvert en tant que journaliste tous les Vendée Globe depuis sa création en 1989. Dans la série de podcasts « La Saga Vendée Globe, il nous raconte en détail un fait marquant par édition du tour du monde en solitaire sans escale, dont le départ a été donné pour la neuvième fois le 8 novembre dernier, aux Sables-d’Olonne, en Vendée.Au cours de cette édition 2020, un marin a remporté tous les suffrages du public : Jean Le Cam. Son talent, sa faconde, ses bons mots, sa gueule, ses exploits aussi à commencer par le sauvetage de Kevin Escoffier, ont fait de lui le vainqueur du cœur de ce Vendée Globe-là. C’est pourquoi nous vous proposons de revivre : « Le tour du monde du Roi Jean » !Bonne écoute.
Isabelle Joschke est en course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance depuis le 8 novembre 2020. Alors qu’elle navigue en 11e position de ce Vendée Globe au large de l’Argentine, la réparation qu’elle a effectuée sur sa quille lâche et la contraint à l’abandon, en pleine tempête, le 9 janvier 2021. L’IMOCA MACSF prend l’eau et risque à tout moment de chavirer. Une seule option s’offre à elle : rejoindre la terre ferme. Après un épisode de stress intense et de grande déception, Isabelle partage ses derniers moments de calme, de solitude et de sérénité avant de retrouver son équipe, avec la même émotion que le jour du départ. Salvador de Bahia n’est plus loin. La course est terminée, mais l’aventure continue… Bonne écoute.
De l’immense déception de l’avarie majeure survenue sur le vérin de quille de l’IMOCA MACSF à la grande fierté d’avoir franchi le dernier cap mythique du Vendée Globe, Isabelle Joschke partage sans filtre ses émotions. Elle raconte les différentes étapes qu’elle a besoin de vivre pour surmonter toutes les difficultés rencontrées pendant la course et rebondir. Avec le passage du Cap Horn, la skipper tourne la page des mers du Sud qui ne le lui auront rien épargné et ouvre, entre joie et appréhension, la porte de l’Atlantique. Plus que 7 000 milles à parcourir pour rejoindre les Sables. Mais le sort en décidera autrement... Bonne écoute
Isabelle Joschke navigue dans les mers du Sud depuis plusieurs semaines. Le temps est humide à bord de l’IMOCA MACSF. L'envie d’aller vite se heurte à la fatigue, aux conditions de mer et de météo. Bercée par le bruit incessant de l’eau, elle doit lutter contre le froid. Malgré les superpositions vestimentaires, son corps exige qu’elle recharge les batteries. C’est avec plaisir qu’elle goûte aux petits plats de ses sacs d’avitaillement, dont certaines surprises glissées par ses proches, et à ceux qu’elle invente selon ses inspirations et envies. Tandis qu’à terre, nous sommes tous emportés par la frénésie de Noël, Isabelle passe un réveillon magique en compagnie de baleines, qu’elle aperçoit pour la première fois depuis le départ du Vendée Globe. A l’approche du Cap Horn, son aventure, encore imaginaire il y a quelques mois, est devenue réalité. Bonne écoute.
Déjà cinq semaines depuis le passage du chenal des Sables d’Olonne et pourtant le temps s’est comme arrêté pour Isabelle Joschke. Ses pensées ralentissent, son bateau file, les choses perdent de leur substance et chaque objet prend une valeur immense. Dépouillée du superflu, la skipper se sent de mieux en mieux avec de moins en moins d’équipement, au gré des avaries. Elle apprend à vivre plus dans le dénuement, alors que Neptune joue avec la flotte, lui envoyant grain sur grain comme pour rappeler à l’homme sa place dans son univers. A l’approche du Cap Leuuwin, le fameux cap de la Lionne, Isabelle voit ses appétits décupler et prend plaisir à se préparer des petits plats, quitte à redécorer l’intérieur de l’IMOCA MACSF. A mi-parcours, alors qu’elle a enfin relevé le défi de l’Océan Indien, la navigatrice est prête à affronter la suite du parcours. Bonne écoute.
Près de quatre semaines se sont écoulées depuis le départ du Vendée Globe. Isabelle Joschke navigue entre ses émotions. Observer son bateau sur la cartographie la réjouit, elle qui n’a pas vu de terre depuis le 8 novembre. Apprendre le naufrage de Kevin Escoffier la bouleverse, elle qui a déjà dû faire face à de lourdes avaries dans le passé. Se justifier d’avoir peur la met en colère, elle qui est seule en mer. Parvenir à gérer les mauvaises surprises du Vendée Globe la rend chaque fois un peu plus confiante dans ses capacités, elle qui traverse des conditions infernales. Accepter que peut-être elle ne finira pas cette course la libère d’un poids, elle qui avait justement pour objectif de franchir la ligne d’arrivée. Et on finit en surfant avec elle sur une vague de légèreté vers le Cap Leeuwin... Bonne écoute.
Dans l’Atlantique, en route vers les mers du sud, Isabelle Joschke poursuit son apprentissage du Vendée Globe sur l’IMOCA MACSF. Après sa leçon d’humilité du départ qui la laisse en queue de flotte et le perfectionnement de la maîtrise de son bateau suite à la tempête Theta, elle apprend la patience dans la traversée du Pot au noir. D’avaries en déceptions, elle fait le deuil de nombreuses illusions, apprivoise sa solitude et se perd dans le temps mais sans jamais oublier où elle va : l’Océan Indien. Bonne écoute.
La quatrième semaine de course du Vendée Globe 2020 débute au plus mal. Ce 30 novembre, Kevin Escoffier (PRB), qui occupait la 3e place, a déclenché sa balise de détresse lundi alors qu’il naviguait dans les 40es Rugissants. Jean Le Cam est arrivé sur zone pour le récupérer, alors qu’il se trouvait dans son radeau de survie. Philippe Joubin auteur de la série " La saga du Vendée Globe" nous raconte les heures qui ont précédé le naufrage du skipper jusqu'à son sauvetage par Jean Le Cam.Bonne écoute.Réalisation : Ronan CoquelinCrédit son : www.vendeeglobe.org
Isabelle Joschke s'est élancée le 8 novembre dernier sur l'IMOCA MACSF pour l’aventure de sa vie. Au milieu de ses innombrables sacs, son sac de vie et, à l'intérieur, un enregistreur que la skipper enclenche dès qu'elle le peut. Par ses mots, sa voix, parfois ses silences, elle livre la face cachée de sa course. Après des mois de préparation, Isabelle Joschke découvre enfin son Vendée Globe. Et quelle découverte ! D'un début plutôt clément à la sortie de la dépression tropicale Thêta, tous ses repères sont bousculés. Jouant au chat et à la souris avec les éléments, elle raconte sa boule au ventre du départ, sa déception sur son classement et la beauté de l’océan et du ciel qui lui offre un répit bienvenu dans l’épreuve. La route est encore longue. Naviguer, c’est apprendre à s’adapter au jour le jour et Isabelle est plus que jamais déterminer à réussir.Bonne écoute.
Cécile, Marine, Flo, Hadri, Romain, Fifi, Juju, Alain et Isa sont dans les tout derniers préparatifs avant le grand départ demain pour le Vendée Globe. Entre les courses de produits frais et l’inspection de l’IMOCA MACSF, en passant par les fiches sécurité, le rangement des sacs et l’étude de la météo, chaque détail de la checklist est vérifié avant qu’Isabelle Joschke ne se retrouve enfin seule en mer.
Vous êtes aux côtés d'Isabelle Joschke. Elle manœuvre. Elle vous embarque durant un entraînement. Pas de confidences de la skipper cette fois. C'est l'IMOCA MACSF qui prend la parole. Pendant 5 minutes, vivez une expérience insolite auditive totalement immersive, grâce à une prise de son spécialement réalisée pour se loger au creux de vos oreilles. Mettez votre casque, fermez les yeux, vous êtes à bord ! En solitaire, à bord de son bateau de dix-huit mètres, Isabelle Joschke se confie dans une série documentaire inédite. En pleine préparation du Vendée Globe, la skipper de l’IMOCA MACSF nous embarque dans un récit immersif et authentique, mêlant témoignages, images sonores, rencontres…Plongez dans ces podcasts, au fil de l’eau.Une série de podcasts signée Aline Pénitot, réalisation et prise de son. Avec Elodie Pasquier, clarinette, et Céline Granger, mixage.Bonne écoute.
A 44 ans, Jérémie Beyou, va prendre, le 8 novembre, le départ de son 4e Vendée Globe.3e de l’édition 2016, la seule qu’il ait bouclée, le skipper de Charal, s’engage cette fois-ci avec un seul objectif, on pourrait dire une idée fixe : gagner lui aussi ce tour du monde en Solitaire et sans escale. Et rejoindre au palmarès, son copain d’enfance Armel Le Cléac’h.Pour y parvenir, le skipper originaire de la baie de Morlaix a tous les atouts dans son jeu. Un partenaire qui lui a donné des moyens financiers importants, un bateau à foils de dernière génération ultra-performant, une équipe bien organisée et expérimentée, et une préparation sur trois ans qui lui a permis de prendre un coup d’avance sur ses adversaires.Pour complèter sa préparation, Jérémie Beyou a aussi soigné sa préparation mentale, un secteur où il avait montré quelques failles, il y a quatre ans.Aujourd’hui, il assure être bien plus serein, confiant en ses qualités, et bien mieux armé pour contenir ses émotions.Son 4e Vendée Globe est celui de la maturité….Bonne écoute.Crédit photo : David Ademas Crédit musique : "Morning Ride" - Thomas Gallicani (Sacem)
Il a été le directeur de course de quatre Vendée Globe du premier en 1989, puis des éditions 2004, 2008, 2012, avant de quitter son poste en 2016. Probablement personne ne connaît mieux les coulisses de la plus grande course en solitaire au monde que Denis Horeau "Dans les coulisses d'une course de légende", c'est d'ailleurs ainsi qu'il a intitulé le livre qu'il vient de publier aux éditions François Bourin. Ce livre, rédigé sous forme d'abécédaire, remonte le temps, fouille dans la mémoire de la course et remonte la sienne avec une quantité d'histoires et d'anecdotes. Il revient aussi sur les moments forts, parfois tragiques, qui ont émaillé le Vendée Globe depuis trente ans. Avec une liberté de parole et de ton que lui confère le recul qu'il a désormais pris sur cette course dont il reste amoureux. Un livre indispensable pour ceux qui veulent aller plus loin que la simple visite des pontons de la ville. Bonne écoute.Réalisation: Cassandra de Carvalho.
Dans ce huitième épisode, retour sur l’épreuve 2016 et l’incroyable malchance de Kito de Pavant, obligé d’abandonner pour la 3e fois de suite, mais cette fois dans des conditions rocambolesques.Philippe Joubin a couvert en tant que journaliste tous les Vendée Globe depuis sa création. Dans « La Saga Vendée Globe, une série de huit podcasts, il nous raconte en détail un fait marquant par édition du tour du monde en solitaire sans escale, dont le départ sera donné pour la neuvième fois le 8 novembre prochain, aux Sables-d’Olonne, en Vendée.Voilà quatre ans, se déroulait la 8e édition du Vendée Globe, gagnée magistralement par Armel Le Cléac’h. Mais il s’agissait aussi de la troisième à laquelle prenait part le skipper méditerranéen Kito de Pavant.Un des meilleurs marins de sa génération, un homme qui avait tout sinon pour gagner, du moins pour terminer sur le podium.Et si Kito de Pavant était une fois de plus, une fois encore, contraint à l’abandon c’était cette fois dans des conditions périlleuses et rocambolesques, condamné à abandonner son bateau qui menaçait de sombrer au beau milieu de l’Océan Indien… la coque trouée après une collision avec une baleine !Bonne écoute.Réalisation : Constance Cabouret