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Ville Solidaire, Ville Durable - Le podcast de la Fondation des solidarités urbaines

Ville Solidaire, Ville Durable - Le podcast de la Fondation des solidarités urbaines
Author: Fondation des Solidarités Urbaines
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© Fondation Solidarités Urbaines Podcasts
Description
La Fondation des solidarités urbaines identifie et soutient, grâce aux ressources des bailleurs sociaux de la ville de Paris et à la mobilisation de leurs parties prenantes, des projets de recherche-action ou des expérimentations qui font progresser la ville solidaire, collaborative et durable. L'ambition de la Fondation est de devenir un laboratoire citoyen expérimental pour les acteurs et usagers de l’innovation sociale urbaine, au service des habitants d’Île-de-France.
Créée en 2016 sous le nom Fondation d’entreprise Paris Habitat, elle est devenue Fondation d’entreprise des solidarités urbaines en 2023, date à laquelle les premiers bailleurs sociaux fondateurs – Paris Habitat, Aximo et l’Habitation confortable – ont été rejoints par la RIVP, l’Habitat Social Français et Elogie-Siemp pour démultiplier les capacités de réponse aux porteurs de projets.
Cette série de podcasts donne la parole aux acteurs de terrain et chercheurs lauréats des trois premiers appels à projets de la Fondation qui avaient pour thème “Lutter contre l’isolement des personnes fragiles”, “Les espaces communs : espaces et temps partagés” et "Préservation et développement de la biodiversité". Au micro du journaliste Frédéric Vuillod, ils racontent leurs projets et les enseignements qu’ils en ont tirés.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
18 Episodes
Reverse
Végétaliser la ville c’est aussi mettre la culture des plantes locales au cœur de la vie de quartier. Les pépinières de l’association Pépins Production sont des lieux de proximité guidés par ce principe, implantés dans des quartiers dépourvus d’accès aux pratiques d’agriculture urbaine. Entre 2022 et 2024, l’association a expérimenté une démarche de mobilisationcollective baptisée “Il ne suffit pas de planter pour agir pour la biodiversité !”. Elle s’est appuyée pour cela sur quatre de ses pépinières situées respectivement dans les 11e et 20e arrondissements de Paris, à Pantin (93) et à Chelles (77). Le projet, soutenu par la Fondation d’entreprise des solidarités urbaines dans le cadre d’un appel à projets consacré à la préservation et au développement de la biodiversité, poursuivait trois objectifs : agir collectivement en diffusant la biodiversité en ville, cultiver une connaissance partagée de cette biodiversité urbaine, mais aussi construire une démarche inclusive, à fort impact social.Dans ce dernier épisode de la saison 3 de notre série de podcasts, Amélie Anache, cofondatrice de Pépins Production, et Lise Lenoir, responsable de pépinière et chargée d'ateliers, racontent le projet, sa mise en œuvre et ses enseignements au micro du journaliste Frédéric Vuillod.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les toitures végétalisées se développent en milieu urbain, mais que sait-on de la biodiversité de leurs sols et des services écologiques bénéfiques à la collectivité qu’elles rendent ? C’est la question à laquelle a voulu répondre la Fondation AgroParisTech, sous l’égide de la Chaire Agricultures Urbaines, à travers une recherche-action menée en 2022 et 2023, intitulée “Biodiversité & services écosystémiques liés aux infrastructures vertes en milieu urbain”. Un projet soutenu par la Fondation d’entreprise des solidarités urbaines dans le cadre d’un appel à projets consacré à la préservation et au développement de la biodiversité. Dans cet épisode de notre podcast “Ville solidaire, ville durable”, Sophie Joimel, écologue des sols et maître de conférences AgroParisTech, raconte au micro du journaliste Frédéric Vuillod, les tenants et aboutissants de ce projet qui a permis de développer la connaissance des micro-organismes présents dans les sols des toitures végétalisées, notamment en fonction de leur profondeur. Concrètement, cette recherche-action a d’abord permis de dresser un état des lieux des connaissances actuelles grâce à une recherche bibliographique, d’élaborer une base de données scientifiques, puis d’enquêter auprès des décideurs sur la prise en compte de la biodiversité en milieu urbain et enfin de réaliser des prélèvements sur le terrain afin de les analyser. Des données précieuses à la fois pour les chercheurs mais aussi les bailleurs sociaux et les collectivités.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment embarquer les citoyens de tous âges pour transformer des comportements quotidiens encomportements favorables à l’environnement, avec une connaissance globaleleur permettant d’aller plus loin que l’acquisition de “petits gestes” ?L’association J’aime le Vert a mené à Alfortville, dans le Val de Marne, une recherche-action baptisée “Écosystème Citoyen pour la Biodiversité”, soutenue par la Fondationdes solidarités urbaines dans le cadre d’un appel à projets consacré à la préservation etau développement de la biodiversité. Dans les quartiers prioritaires de la ville, le projetavait pour but de changer les habitudes individuelles tout en instaurant une dynamiquelocale multi-acteurs en faveur de la biodiversité.Carole Gargot, coordinatrice chez J’aime le Vert, raconte au micro de Frédéric Vuillodla démarche pédagogique qui a guidé ce projet à travers une multitude d'actionsprenant des formes variées : conférences, projections-débats, événements festifs,ateliers, balade nature, journées d’animation… mais aussi des défis menés avec lesfamilles et les écoles ainsi que l'implication de nombreuses autres associations locales.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment restaurer les sols d’une ancienne terre maraîchère devenue un lieu de stockage de remblais puis un site industriel ayant connu des activités polluantes pendant plusieurs dizaines d’années ? Sur L’Île-Saint-Denis – à la fois commune et île fluviale urbaine de Seine-Saint-Denis – le site Lil’Ô est une friche industrielle de plus de 3 hectares rachetée par le département et confiée à l’association Halage pour y porter un projet de restauration des sols et de biodiversité qui a fait l’objet d’une recherche-action, lauréate de l’appel à projets “Préservation et développement de la biodiversité” de la Fondation d’entreprise des solidarités urbaines. Au micro du journaliste Frédéric Vuillod, Quentin Metge, coordinateur et animateur du site Lil'Ô, raconte cette aventure à la fois écologique, sociale et citoyenne : les activités éco-innovantes déployées sur le site favorisent en effet le retour de la biodiversité et la formation des salariés en insertion à de nouveaux métiers urbains « verts ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Frédéric Vuillod dialogue avec Zoé Royer, chargée de mission chez Caracol, et Julien Peyrache, directeur général et cofondateur de l’association. Ensemble, ils nous parlent de l’action de Caracol qui transforme des logements vacants en colocations solidaires et interculturelles, où se côtoient des réfugiés statutaires et des personnes locales, avec un impact mesurable en matière d’insertion. L’expérimentation, menée à Paris et baptisée “Le Rhizome solidaire”, a été soutenue par la Fondation des solidarités urbaines dans le cadre de l’appel à projets thématique “Les espaces communs : espaces et temps partagés”. Elle a permis d’étudier l’impact des colocations solidaires sur les trajectoires individuelles de leurs habitants, de favoriser le vivre ensemble et d’optimiser les processus d’insertion.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cet épisode, le journaliste Frédéric Vuillod a tendu son micro à Emmanuel Saunier, directeur de D2L-L’Éternel solidaire. Il nous raconte comment a été menée la recherche-action “Rue de la Solidarité”, du nom de la rue éponyme du 19e arrondissement de Paris où se trouve L’Éternel solidaire, tiers-lieu à l’épicentre du projet.Soutenu par la Fondation des solidarités urbaines dans le cadre de l’appel à projets thématique “Les espaces communs : espaces et temps partagés”, le projet constitue un pôle d’initiatives co-construites avec les habitants (séniors isolés, personnes en situation de précarité, enfants, familles monoparentales…), mais aussi avec les bailleurs sociaux, les associations et les institutions pour favoriser le lien social à l’échelle d’un quartier. Composteur, poulailler, mobilier urbain, espaces végétalisés, gazette de quartier, services et informations de proximité ont ainsi été pensés par et pour ceux qui vivent là et qui sont les premiers acteurs pour dynamiser la vie locale.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, le journaliste Frédéric Vuillod a tendu son micro à Frédéric Sultan, coordinateur de l’association Remix the Commons. Il nous raconte L’École des communs, une expérimentation d’éducation populaire menée dans le quartier de La Chapelle, dans le 18e arrondissement de Paris. Cette expérimentation s’intéressait aux modes de gouvernance participative, explorés avec et pour les habitants ou structures associatives qui portent des projets collectifs.Soutenue par la Fondation des solidarités urbaines dans le cadre de l’appel à projets thématique “Les espaces communs : espaces et temps partagés”, L’École des communs avait pour but de permettre aux habitants et structures qui portent des initiatives collectives autogérées de questionner leurs modes de gouvernance (notamment lors de temps de rassemblement et d’échanges thématiques, appelés « chantiers ») et de produire et tester des outils (micro-chartes, mécanismes de décision collective, processus et solutions de gestion de l’accès aux utilités du lieu, moyens et supports de communication…). Les connaissances acquises ont été recueillies au fur et à mesure et documentées : elles sont ainsi devenues une ressource partagée qui favorise la coopération et la solidarité dans le quartier, contribuant à l’émergence d’une « culture des communs ». Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lucile Vigouroux, responsable de projets chez LAB3S, s’est prêtée au jeu des questions-réponses au micro du journaliste Frédéric Vuillod. Elle raconte le projet “Du potager à la marmite”, qui permet aux habitants des quartiers prioritaires de la ville de Bondy de cultiver des légumes et de cuisiner ensemble. Soutenue par la Fondation des solidarités urbaines dans le cadre de l’appel à projets thématique “Les espaces communs : espaces et temps partagés”, l’expérimentation a été lancée en réponse à une étude sociologique sur les pratiques alimentaires des habitants de Bondy (menée en partenariat avec la Chaire Agricultures Urbaines de la Fondation AgroParisTech). Elle s’appuie principalement sur un jardin potager de l'association et s’inspire du modèle des « cuisines collectives » développé au Canada et au Pérou. Le principe : les habitants cultivent ensemble des légumes et se retrouvent pour confectionner et partager des repas, et des recettes, dans un espace commun. Le projet, dont l’objectif de départ était de répondre à la problématique de la précarité alimentaire et au manque d’accès à une nourriture saine et diversifiée, a permis de révéler également les bénéfices de la convivialité et du partage des savoirs instaurés par l’expérimentation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode, le journaliste Frédéric Vuillod a tendu le micro à Goli Moussavi, directrice Zone Nord (Île-de-France et Hauts-de-France) de l’association La Cloche. L’association, qui lutte contre la grande exclusion en favorisant la création de lien social de proximité entre les personnes avec et sans domicile, a mené une expérimentation autour de la notion d’”Assise inclusive” dans l’espace public. Ce projet, soutenu par la Fondation des solidarités urbaines dans le cadre de l’appel à projets thématique “Les espaces communs : espaces et temps partagés”, a permis de faire appel aux habitants du quartier Saint Ambroise à Paris (11e arrondissement), pour diagnostiquer les besoins puis imaginer et modéliser un mobilier urbain plus inclusif, confortable et accueillant. Mené en partenariat avec le studio d’architecture sociale Studaré et l’association Des cris des villes, ce projet collaboratif n’a laissé personne de côté – enfants, personnes âgées, personnes avec et sans domicile – afin de donner la parole et la capacité à agir aux usagers, et notamment ceux qui sont le plus ciblés par le mobilier dit “défensif”, conçu pour être inhospitalier et excluant. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au micro du journaliste Frédéric Vuillod, ce premier épisode de la saison 2 donne la parole à Eleftérios Kechagioglou, directeur de l’association Le Plus Petit Cirque du Monde. Il nous raconte “Le lycée avant le lycée, le Tiers-lieu des Savoirs”, projet mené à Bagneux et précédant la construction du premier lycée d’enseignement général de la ville, dans le quartier des Mathurins. Ce tiers-lieu est un programme pluridisciplinaire ouvert à tous, mené pour et avec les jeunes de la ville. Implanté sur les lieux du futur lycée, il mêle réflexions sur la pédagogie, chantiers participatifs et rendez-vous artistiques, permettant ainsi aux jeunes de développer de nouvelles compétences, de prendre confiance en eux, et de s’impliquer dans la conception du futur établissement scolaire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au micro du journaliste Frédéric Vuillod, ce dernier épisode de la saison donne la parole à Ruthélie Brau, responsable projets chez Helebor, et au docteur Georges Czapiuk, médecin en soins palliatifs. Ensemble, ils nous racontent l’expérimentation de lieux de vie pour les personnes en grande précarité, atteintes d’une maladie grave et évolutive. Ce projet, soutenu par la Fondation des solidarités urbaines, a permis de développer des alternatives pour ces personnes pour qui l’hospitalisation n’est pas nécessaire, mais dont la situation de précarité ne permet pas une bonne continuité des soins à domicile. Concrètement, les patients sont accueillis aux Studios de la Tourelle, dans le 12e arrondissement de Paris, dans des appartements de coordination thérapeutique à visée palliative. Ces lieux d’habitation, accolés au Groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint-Simon, permettent de mettre en œuvre autour des résidents un accompagnement médical et psychosocial pluridisciplinaire, dans un cadre rénové, rassurant pour les patients et leurs proches et qui favorise la création de lien social.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au micro du journaliste Frédéric Vuillod, ce nouvel épisode de “Ville solidaire, ville durable” donne la parole à Nathalie Hanet, présidente de l’association Solidarités Nouvelles face au Chômage. Elle raconte le projet “Au chômage, mais pas seul(e) !”, qui a fait l’objet d’une expérimentation soutenue par la Fondation des solidarités urbaines à l’occasion de son premier appel à projets qui avait pour thème “Lutter contre l’isolement des personnes fragiles”. Lancé début 2020, le projet a subi de plein fouet la crise Covid et a dû être repensé entièrement. SNC avait initialement prévu de déployer un accompagnement ambulant avec des binômes “volants” pour aller à la rencontre des demandeurs d’emploi les plus isolés. Face à la crise liée au Covid, elle a fait preuve de résilience et a inventé un système d'accompagnement à distance. Résultats : une ligne d’écoute a été créée avec un numéro vert et un groupe d'accompagnement à distance d’une douzaine de bénévoles a été constitué, permettant d’accompagner des demandeurs d’emploi sur tout le territoire, y compris en dehors de la métropole.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au micro du journaliste Frédéric Vuillod, Clotilde Gilbert, directrice de Wake up Café, revient sur les résultats de la recherche-action intitulée “La Fabrique de la remobilisation : réinsertion des personnes détenues et sortant de prison pour une société inclusive et apaisée” et du Quai Liberté, un restaurant qui forme et emploie des personnes sortant de prison. Le projet a été soutenu par la Fondation des solidarités urbaines à l’occasion de son premier appel à projets qui avait pour thème “Lutter contre l’isolement des personnes fragiles”. Son but : lutter contre la récidive et changer à la fois le regard de la société envers les anciens détenus et celui des anciens détenus sur le monde du “dehors”. Au Quai Liberté, implanté sur la péniche Thalassa dans le 15e arrondissement de Paris, les « wakeurs » sont accueillis pour un accompagnement sans limite de temps avec un parcours de préparation à l’emploi ou d’accès à des formations. Grâce à un suivi individuel par des chargés d’emploi – mais aussi des ateliers collectifs, une communauté d’entraide, du coaching, du mentorat… – Wake up Café offre aux sortants de prison des perspectives d’avenir sans récidive.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jonathan Stebig, directeur des Opérations France et Europe chez “GRDR Migration - Citoyenneté - Développement”, nous parle, au micro du journaliste Frédéric Vuillod, de la recherche-action “Démarche pour l’engagement des femmes immigrées” (aussi appelée DEFI). Un projet qui a été soutenu par la Fondation des solidarités urbaines à l’occasion de son premier appel à projets qui avait pour thème “Lutter contre l’isolement des personnes fragiles”. Cette interview permet de découvrir comment l’association GRDR a accompagné un groupe de femmes immigrées pour passer d’une activité informelle – la vente de brochettes “à la sauvette” aux abords de la gare de Grigny – à la création de leur activité de restauration solidaire, grâce à l’entrepreneuriat collectif. Avec un objectif : se servir de leurs savoir-faire et compétences exercées de façon informelle comme vecteurs de leur insertion, et renforcer ainsi leur capacité d’agir et leur estime de soi afin de rompre leur isolement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Odile Rosset, directrice de l’association Carton Plein et Louise Lacoste, doctorant.e en sociologie à l‘IDHES (Institutions et Dynamiques Historiques de l’Économie et de la Société) de Paris Nanterre, racontent leur recherche-action menée sur le dispositif Premières heures. Au micro du journaliste Frédéric Vuillod, on découvre ce dispositif mis en œuvre chez Carton Plein comme dans une vingtaine d’autres associations parisiennes pour proposer un parcours d’insertion aux personnes en situation de grande précarité, et plus particulièrement les personnes à la rue. Odile Rosset et Louise Lacoste expliquent comment la recherche-action portée par Carton Plein a permis de mieux comprendre les enjeux et les effets du dispositif, en particulier sur le lien social et la confiance en soi, et en retirer ainsi des enseignements et des bonnes pratiques dans le cadre d’un parcours de réinsertion.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lola Chevallier, coordinatrice des Actions femmes de la FASTI raconte, au micro du journaliste Frédéric Vuillod, le projet “La Ronde des femmes”, qui a fait l’objet d’une expérimentation soutenue par la Fondation des solidarités urbaines à l’occasion de son premier appel à projets qui avait pour thème “Lutter contre l’isolement des personnes fragiles”. La Ronde des femmes, c’est à la fois un espace de parole et d’entraide, un accompagnement individualisé pour les démarches administratives, des ateliers d’art-thérapie, une permanence juridique... L’objectif de ce programme est de répondre aux nombreuses problématiques auxquelles font face les femmes étrangères enceintes, ou mères de très jeunes enfants, qui sont en situation de précarité : prise en charge et suivi de grossesse tardifs ; précarité administrative ; errance en l’absence d’hébergement pérenne… Pour, au final, rompre l’isolement, libérer la parole, redonner confiance et ainsi améliorer le parcours de soin et l’accès aux droits en développant l’entraide entre femmes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nicolas Bonlieu, administrateur de l’association Basiliade et Noemi Stella, docteure en sociologie, dévoilent au micro du journaliste Frédéric Vuillod les résultats du projet “L’Escale”, soutenu par la Fondation des solidarités urbaines à l’occasion de son premier appel à projets qui avait pour thème “Lutter contre l’isolement des personnes fragiles”. Ensemble, ils racontent comment ils ont mené un travail de recherche-action pour répondre aux problématiques rencontrées par les jeunes LGBTQI+ en situation de précarité, notamment en matière de logement. Au-delà d’un accompagnement global, ce projet a mené à la création d’une douzaine de colocations dans Paris, dans un environnement stable et sécurisant, point de départ vers l’autonomie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sarahi Gutierrez, directrice de l’association Batik International, dévoile au micro du journaliste Frédéric Vuillod les résultats du projet “Déchiffrons les mémoires”, soutenu par la Fondation des solidarités urbaines à l’occasion de son premier appel à projets qui avait pour thème “Lutter contre l’isolement des personnes fragiles”. Elle raconte cette recherche-action menée dans le 13e arrondissement de Paris auprès des séniors originaires d’Asie du Sud-Est, bien souvent isolés et déconnectés des jeunes générations. Recueil de témoignages, travail sur les parcours migratoires et ateliers de sensibilisation ont été les trois axes majeurs de ce projet visant à poser un regard scientifique et valorisant sur une mémoire collective riche en enseignements. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.