DiscoverY'a de l'idée
Y'a de l'idée
Claim Ownership

Y'a de l'idée

Author: Nostalgie Belgique

Subscribed: 7Played: 365
Share

Description

« Y’a de l’idée », c’est LA séquence des initiatives positives, des solutions et des projets porteurs de sens pour un monde harmonieux, juste et durable.

Parce que nous sommes persuadés qu'il existe des solutions créatives et innovantes pour un monde plus solidaire et respectueux des objectifs de développement durable, il nous tient à cœur de mettre en lumière ces initiatives citoyennes qui visent à améliorer notre société.

On y parle d’alimentation, de justice sociale, de solidarité, de santé, d’énergie, de respect de la nature et de la planète, d’environnement, d’écologie et de transition écologique, d’économie circulaire, de consommation et de production responsable… « Y’a de l’idée » met en lumière les Objectifs de développement durable (SDG / ODD), notre responsabilité sociétale et celle des entreprises (RSE)… Cette chronique fait la part belle aux graines semées et aux changements entamés pour faire fleurir un avenir empli d’espoir, de paix et une société faite d’alternatives.

Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !

Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
789 Episodes
Reverse
C’est une petite révolution culinaire : Oxalis, la première école de cuisine 100 % végétale en Belgique, s’installe à Auderghem (chaussée de Wavre). À partir du 11 septembre 2025, particuliers et professionnels pourront y découvrir les multiples facettes d’une cuisine sans produits d’origine animale. Une ouverture qui répond à une demande croissante : 1 Belge sur 3 mange désormais végétarien au moins une fois par semaine.Oxalis rassemble une douzaine de chefs-formateurs spécialisés en alimentation durable, pâtisserie et boulangerie végétales, fermentation ou encore cuisine vivante. Les particuliers pourront suivre des ateliers de 3 à 4 h autour de thématiques gourmandes comme les sushis, les mezze, le barbecue végétal ou encore les classiques belges revisités. Pour les plus jeunes, des ateliers parents-enfants sont aussi prévus. Les professionnels de l’horeca ne sont pas en reste : une formation de 8 modules ou des cours thématiques leur permettront de se spécialiser dans la « cuisine du futur ».L’école est portée par Corentin Crutzen, chef passionné et pédagogue, convaincu que la transition alimentaire passera par le végétal. Parrainée par le chef étoilé René Mathieu, Oxalis organise une journée portes ouvertes le samedi 6 septembre avec ateliers découverte, avant le lancement officiel des cours le 11 septembre.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Et si réduire nos écrans devenait aussi bon pour la planète que pour notre moral ? En France, la coopérative TeleCoop lance le premier forfait mobile dégressif. Votre facture s’ajuste automatiquement à votre consommation réelle : un forfait de 80 Go à 20 €, mais si vous n’en utilisez que 9, vous paierez 16 € le mois suivant. Un double bénéfice : moins de temps d’écran, donc moins de risques d’anxiété ou de dépression, et moins d’impact écologique, puisqu’1 giga de données mobilise l’équivalent de 200 litres d’eau pour les serveurs (ou un bain).Dans un autre registre, à Séoul, des centaines de personnes se sont rassemblées pour la Space Out Competition. Le principe : rester 90 minutes immobiles et silencieux, sans téléphone ni discussion, sous l’œil du public et de capteurs cardiaques. Une manière symbolique de ralentir dans une mégalopole qui ne dort jamais.Enfin, connaissez-vous le Mindful Triathlon ? Pas de vélo ni de nage, mais une combinaison de course, yoga et méditation guidée, organisé depuis 10 ans dans plusieurs grandes villes du monde. Un "triathlon du bien-être" qui, espérons-le, finira par poser son tapis en Belgique. Les prochaines éditions auront lieu les 20 et 21 septembre à Milan, le 27 à Venise et le 4 octobre à Rome.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
Selon une enquête relayée par The Times, 4 adolescents sur 10 disent manquer des compétences numériques nécessaires pour décrocher un emploi. Un paradoxe pour une génération née avec un smartphone à la main, mais qui ne maîtrise pas forcément les outils digitaux, et encore moins l’intelligence artificielle. D’où l’importance de sensibiliser dès le plus jeune âge, idéalement à l’école, à ces savoirs devenus essentiels.En attendant que le numérique entre partout dans les programmes, des solutions existent déjà à travers des ateliers extrascolaires. L’asbl CoderDojo propose gratuitement des clubs de programmation en Belgique, tandis que CodeNPlay offre des ateliers et stages pour les enfants du primaire. À Bruxelles, MolenGeek accompagne jeunes, adultes et même seniors pour réduire la fracture numérique. D’autres, comme Logiscool, organisent des cours hebdomadaires payants pour les enfants dès la 2ᵉ primaire.Animés par des étudiants en informatique, ces cours initient les enfants à l’usage basique d’un ordinateur, à la navigation sécurisée sur internet, mais aussi à la programmation. Avec des outils visuels et ludiques, ils apprennent pas à pas à créer leurs propres jeux vidéo. Au-delà de la technique, l’objectif est d’acquérir une logique algorithmique, de développer la créativité, la concentration, la persévérance… et surtout la confiance en soi. Une vraie utilité publique, alors que démarre la période d’inscriptions aux activités extrascolaires.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
62 000 tonnes de biens et ressources sont récupérées chaque année en Wallonie et à Bruxelles, et près de 20 % trouvent une seconde vie en réemploi local. Le textile arrive en tête des dons, représentant plus de la moitié des produits collectés. C’est dans ce contexte que voit le jour larecup.be, une nouvelle plateforme belge d’achat d’occasion, lancée par la fédération Ressources.À première vue, on pourrait la comparer à Vinted, Marketplace ou 2ememain. Mais la différence est de taille : sur larecup.be, rien n’est vendu entre particuliers. Ici, chaque achat soutient l’économie sociale. Concrètement, vous achetez auprès de ressourceries, d’opérateurs de l’économie circulaire ou encore d’associations comme Les Petits Riens. Résultat : pas de risque d’arnaque, des produits contrôlés et vérifiés, et en prime des prix 50 à 70 % inférieurs au neuf.La plateforme propose un large choix : vêtements, déco, électroménager (avec une garantie d’un an), vélos, livres, mais aussi un secteur inédit : les matériaux de construction reconditionnés. Une avancée cruciale quand on sait que 50 % de l’empreinte écologique d’une maison est liée aux matériaux utilisés. Acheter via larecup.be, c’est donc réduire son empreinte, soutenir 2000 travailleurs de l’économie circulaire et privilégier le circuit court.Lancée officiellement ce matin, la plateforme ambitionne de rendre le réemploi plus simple, plus accessible et surtout plus local. Car consommer différemment, c’est aussi prendre soin de notre environnement… et de notre santé.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Direction l’Australie pour le Bridgestone World Solar Challenge, la course mythique de 3000 km entre Darwin et Adélaïde. Tous les deux ans, les meilleures équipes du monde s’y affrontent avec des véhicules futuristes propulsés uniquement par l’énergie du soleil. Cette année, la Belgique a encore brillé : nos jeunes ingénieurs ont décroché la médaille de bronze, à seulement quelques secondes du podium supérieur.Depuis 20 ans, une équipe rattachée à la KU Leuven et à l’UCL conçoit une nouvelle voiture solaire tous les deux ans. Pour cette édition, vingt étudiants fraîchement diplômés ont consacré une année entière, travaillant jour et nuit, pour réaliser leur rêve : « Infinite Apollo », un bolide de 6 mètres de long, 170 kg seulement, recouvert de panneaux solaires. Capable d’atteindre 170 km/h, il roule en moyenne à 80-90 km/h et offre une autonomie de 300 km grâce à sa batterie intégrée. Plus incroyable encore, son système « Bounce » lui permet de s’abaisser pour réduire sa consommation d’énergie et de se relever sur route accidentée.Si ces prototypes ne sont pas encore destinés à nos routes, ils ouvrent des perspectives : demain, les voitures hybrides pourraient intégrer des panneaux solaires pour prolonger leur autonomie et réduire leur consommation. En attendant, nos étudiants prouvent une fois de plus que la Belgique est à la pointe mondiale de l’innovation durable, et qu’avec de l’audace et de la passion, tout devient possible.
Pour beaucoup de parents, les journées ressemblent à un marathon : quitter le travail à l’heure, courir chercher les enfants à l’école, les conduire au foot, à la danse ou au solfège… Impossible de se dédoubler, et pourtant, on veut être partout à la fois. C’est pour répondre à ce casse-tête que la Bana Community a vu le jour.Lancée en 2021 à Nivelles, cette plateforme devenue asbl met en relation les parents et des accompagnateurs de confiance, tous vérifiés et habitués à être au contact des enfants : étudiants, professeurs, éducateurs, seniors actifs, parents ou encore baby-sitters. L’idée est simple : partager et sécuriser les trajets des enfants, qu’ils soient quotidiens ou exceptionnels.Deux formules existent : l’accompagnateur peut inclure votre enfant dans un trajet déjà prévu, rémunéré 2 € par tranche de 15 minutes et par enfant, ou bien réaliser un trajet privé, au tarif du taxi social (0,43 €/km). Et pas seulement en voiture : les trajets se font aussi à pied, à vélo ou en transports publics, encourageant ainsi la mobilité douce.La communauté a même créé le programme Bana Buddies, primé par le Piéton Award en Wallonie. Celui-ci forme les adolescents dès 15 ans à accompagner les plus jeunes en toute sécurité. Résultat : un peu d’argent de poche pour les ados, une responsabilisation bienvenue, de la convivialité pour les enfants, et une vraie respiration pour les parents. Une solution concrète, collective et rassurante pour transformer la course effrénée du quotidien en un rythme plus serein.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
C’est la Journée mondiale du chien et l’occasion parfaite pour rappeler à quel point nos compagnons à quatre pattes occupent une place centrale dans nos vies. En Belgique, plus d’un foyer sur deux possède aujourd’hui un animal domestique, un chiffre qui a explosé depuis la crise du covid. Mais accueillir un chien représente aussi un vrai budget, et certaines familles précarisées doivent parfois envisager l’impensable : l’abandon, faute de moyens.Pour éviter cela, des initiatives solidaires existent. Comme la BAPAC, une banque alimentaire pour animaux fondée à Courcelles, qui distribue chaque mois entre 150 et 300 kilos de nourriture, moyennant une participation symbolique. Ou encore les Gamelles du cœur, en région bruxelloise, qui soutiennent non seulement les bénéficiaires du CPAS mais aussi les personnes sans abri et leurs fidèles compagnons.Au-delà de l’aide matérielle, les chiens sont aussi de précieux alliés pour la santé et le moral. À Bruxelles, à l’hôpital des enfants, la petite chienne Tika contribue à réduire le stress des jeunes patients en soins intensifs. À Liège, l’asbl Un chien pour un sourire accompagne depuis plus de 20 ans les enfants hospitalisés grâce à la présence réconfortante d’animaux. Et dans plusieurs maisons de repos, les visites de chiens redonnent le sourire aux résidents, réduisent l’isolement et apportent du réconfort.Un bel hommage, en ce jour particulier, à ceux qui nous accompagnent, nous apaisent et nous rappellent combien la complicité entre l’homme et le chien est unique.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Y’a de l’idée" est de retour dans la Nosta Family ! Rendez-vous le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 7h15.Une chronique quasi quotidienne pour réveiller l’inspiration et rappeler que des solutions existent, partout autour de nous, pour rendre notre quotidien plus doux et plus aligné.Depuis 2014, "Y’a de l’idée" met en lumière celles et ceux qui s’engagent, parfois à petite échelle, parfois à grande, pour transformer nos vies et notre société. Transition écologique, solidarité, santé, éducation, technologies ou économie collaborative : chaque domaine regorge d’initiatives qui nous prouvent qu’un avenir plus apaisé est possible. C’est cette "mélodie du bonheur" que la chronique veut amplifier, loin de la naïveté mais proche de l’essentiel : préserver notre santé mentale et cultiver l’espoir. Comme l’écrivait Toshikazu Kawaguchi dans Le café où vivent les souvenirs : "Tu ne peux pas changer les choses, mais tu peux changer quelque chose".Et si vous deveniez vous aussi les passeurs d’idées ? Envoyez vos témoignages, coups de cœur et découvertes à idee@nostalgie.be : l’association locale que vous admirez, une boîte à livres croisée en vacances, un compte Instagram qui inspire, ou simplement une petite habitude du quotidien qui rend la vie plus douce. Ensemble, avec toutes ces petites pierres, nous construisons un monde plus humain. Et chaque matin, à 7h15, "Y’a de l’idée" vient en faire l’écho.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie.be et sur toutes les plateformes d'écoute.
Grâce à l’énergie de Laura Dethier - infirmière de formation - et de danseurs spécialement formés, les aînés, qu’ils soient debout, assis ou en fauteuil roulant, retrouvent le plaisir du mouvement et partagent des instants précieux, bien au-delà de la maladie et des différences d’âge. C’est Laura Dethier, infirmière de formation et danseuse qui a voulu rassembler ses deux passions pour faire du bien autour d’elle.Le programme Quand on danse est actuellement organisé par le Groupe santé CHC avec des danseurs, spécialement formés de la Mosa Ballet School. Ceux-ci se rendent dans 9 maisons de repos du Grand Liège (Mehagne, Heusy, Banneux, Landenne)… pour faire danser les ainés.Premier objectif : réveiller les âmes et de réchauffer les cœurs. La danse permet de créer du lien, de rompre la solitude, d’améliorer la confiance en soi, de travailler la mémoire… mais elle a aussi bien des vertus physiques en agissant sur la mobilité, la coordination, la souplesse, l’équilibre.Car ils inspirent, connectent, transforment, d'autres ateliers ont aussi été mis sur pied pour les personnes atteintes du cancer ou de la maladie de Parkinson. Cette formation est dispensée par Care to Dance, un programme de danse adaptée aux personnes malades.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Aux Philippines, un député un précédemment déposé un projet de loi pour un "congé cœur brisé" à prendre en cas de rupture. Les personnes qui souffrent d'un chagrin d'amour peuvent prendre jusqu'à 3 jours de congé;Depuis 2017, en Angleterre, une entreprise du monde du spectacle octroie jusqu'à 4 jours de congés aux employés qui ont eu une soirée un peu trop arrosée.Une grande marque de prêt-à-porter offre un jour de congé par an à ses salariés pour fêter leur anniversaire.Depuis quelques années, certaines entreprises octroient des congés pour l'adoption d'un animal de compagnie. Au Japon, plusieurs sociétés offrent un jour de congé "gaming leave" pour profiter de la sortie d'un jeu vidéo très attendu. Dans la même veine, certaines entreprises offrent un congé "série" pour binge-watcher tranquille une série qui vient de sortir.En Angleterre et aux Etats-Unis, le "duvet day" est relativement célèbre : ce congé "cocoon" permet aux travailleurs qui ont la flemme de rester un jour sous la couette.Enfin, au Japon et en Angleterre, il y a des congés "non-fumeurs" : une manière de remercier les non-fumeurs de ne jamais faire de "pauses cigarette" et de ne pas tomber malade à cause de la clope. Un patron a estimé que le temps perdu par les employés à aller fumer flirtait avec les 16 jours de travail par an !Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Cette chaîne de solidarité est pensée pour accompagner, écouter et rassurer, du premier appel jusqu’au soutien médical et psychologique, et qui pourrait bientôt inspirer d’autres villes en Belgique… et ailleurs.Objectif : permettre aux victimes de violences sexuelles d’accéder rapidement et anonymement à un lieu sur où elles pourront être accompagnées avec bienveillance.Tu es concernée ? Voici comment ça marche :Appelle Alice au 02 349 44 22 : une personne formée t’écoute, te rassure et t’explique les options sans pression.Un taxi sécurisé t’est envoyé : le chauffeur est formé à la prise en charge des victimes. Le rendez-vous est fixé dans un endroit sécurisé et si ce n’est pas possible, il y a toujours une solutionUne fois arrivé.e dans le CPVS, tu es complètement pris.e en charge par une équipe médicale et psychologique. A partir de ce moment-là, « Appelle Alice » laisse la main au CPVS qui te donne tous les soins nécessaires et les infos pour t’accompagner dans tes besoins.Si Appelle Alice est effectif à Bruxelles, le projet pourrait s’étendre d’autres villes belges dans les prochains mois mais aussi à d’autres pays.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
On y avait réfléchi à l’occasion de la Journée mondiale des solitudes. Et on s’était rendu compte que les relations étaient au cœur d’une vie épanouie. Voici comment, parfois, des petits gestes, du bénévolat à une simple conversation, peuvent transformer notre quotidien… et celui des autres.Si le bonheur est universel, sa conception peut, elle, varier d’une culture à l’autre. Tour d’horizon des mots (et des philosophies) qui définissent cet état de bien-être. On passera notamment par l'Ecosse, l'Irlande, Hawaii ou encore la Finlande.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
La semaine du commerce équitable s'est déroulée du 2 au 12 octobre 2024. Le commerce équitable fait partie des Objectifs de Développement Durable de l'ONU.Premier jeu : "Le juste prix". Trouvez avec nous le montant que doit toucher un producteur de lait pour que ses frais de production soient couverts et que son salaire minimum soit garanti, pour un litre de lait.Deuxième jeu : "Des chiffres et des lettres". Avec les lettres suivantes : O-C-A-C-A, trouvez un des produits fair trade les plus vendus au monde. Parmi les produits très populaires, il y a le chocolat, les bananes, le café, les fleurs, le sucre, le coton...Enfin dernier jeu pour la route :" Questions pour un champion". Jouez avec nous : "Je suis conçu pour résister à des vitesses élevées, atteignant parfois plus de 100 km/h lorsqu’on me tape dedans. Je suis généralement composé de plusieurs panneaux, assemblés pour créer une forme aussi ronde que possible… ou ovales… tout dépend de ma pratique. Je suis utilisé dans des sports collectifs : comme le foot, le rugby, le basket, le volley. Mon histoire remonte à l’Antiquité et je suis labellisée Fair Trade depuis 2008."Alors ?Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Grâce à Youssef Kaddar et son équipe, speed dating, olympiades et même soirées en discothèque redonnent le sourire et tissent des liens précieux dans les maisons de repos. Une belle leçon d'énergie et de solidarité intergénérationnelle.L'objectif de Papy Booom : rompre l'isolement, casser la solitude, créer du lien et apporter de la joie aux personnes âgées.Au départ, Papy Booom était "juste" une websérie à retrouver sur YouTube. Mais l'idée s'est élargie.A l'initiative de cette asbl, Youssef Kaddar organise des speed dating inter-homes pour trouver l'amour et des amis, des Olympiades inter-homes pour se challenger mais aussi... des sorties en discothèque ! L'une d'elles s'est déroulée au Mirano à Bruxelles.Si Papy Booom va principalement dans des maisons de repos de Molenbeek, elle convie de plus en plus de résidences d'autres communes bruxelloises à ses événements.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
En pleine période de soldes, on s’est demandé si on n’avait pas tout intérêt à repenser notre façon de consommer la mode ? Entre chiffres édifiants sur la surproduction textile et astuces pour une garde-robe plus responsable, vous allez découvrir comment acheter moins mais mieux, prolonger la vie de vos vêtements et faire rimer style avec durabilité. Parce que chaque choix compte pour la planète… et pour notre avenir ! D'après Ecoconso, 1 vêtement sur 3 présent dans notre garde-robe ne serait jamais porté.Pourtant, chaque année, ce ne seraient pas moins de 100 milliards de vêtements qui seraient vendus selon l’ADEME et, d’après McKinsey, près de deux tiers de l’ensemble de la production mondiale finissent dans des décharges ou des incinérateurs. Un véritable désastre écologique.La solution : acheter moins mais mieux. Comment ? En procédant par étape : 1. Trier et simplifier sa garde-robe, 2) prolonger la vie de ses vêtements, 3) emprunter et louer des tenus, 4) choisir des vêtements de seconde main et 5) acheter des vêtements écologiques et éthiques quand on ne sait pas faire autrement. C’est le b.a-ba de la pyramide de la mode durable.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Certains rusent de créativité pour faire connaitre la culture à toutes et tous. Dans le quartier de Cankaya, à Ankara, en Turquie, existe un lieu très particulier : la bibliothèque des éboueurs. Cette initiative est née du simple constat que les livres trouvés dans les poubelles méritaient mieux que la benne. Résultat : des milliers d’ouvrages désormais accessibles à tous… et même un camion-bibliothèque pour aller à la rencontre des familles.Chez nous aussi, les bibliobus continuent de faire escale dans les villages oubliés du réseau culturel. Car l’accès au livre, à l’imaginaire, à la culture, ce n’est pas un luxe : c’est un outil d'égalité et d'émancipation. Selon l'UNICEF, les enfants qui n'ont pas de livre à la maison ou de façon plus large, qui ne sont pas au contact de la culture, ont 30% de chances en moins d'acquérir des compétences de base que les autres enfants qui y ont accès.Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaître et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams, à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Clap de fin pour cette saison de Y’a de l’idée, mais c'est pas pour autant qu'on fera une pause au niveau de la solidarité ! Notre opération 100 minutes pour changer le monde revient pour une 11e édition consécutive, toujours avec le même objectif : offrir une tribune à celles et ceux qui, sur le terrain, œuvrent pour plus de justice, d’inclusion, de lien social ou de durabilité.À la clé ? Un espace publicitaire de 100 minutes sur nos antennes (Nostalgie, Nostalgie+, NRJ, NRJ+ et Chérie) pour promouvoir leur action.L’année dernière, 15 associations ont été soutenues. Parmi elles :Cozywheels, plateforme de partage de voitures et vélos entre voisins. Bras dessus, bras dessous, qui lutte contre l’isolement des personnes âgées. Sur le bout des doigts, seule compagnie de théâtre bilingue français–langue des signes.RadiOrg, pour la mise en lumière et la défense des droits des personnes atteintes de maladies rares.Escapade, qui propose un parrainage pour enfants isolés.Team4Job, un programme de mentorat emploi intergénérationnel.Si vous connaissez ou faites partie d’une association qui répond à cette philosophie, rendez-vous sur nostalgie.be pour déposer votre candidature avant le 23 août.Et si vous avez vent d’une belle initiative, locale ou à l’autre bout du monde, n’hésitez pas à nous écrire à idee@nostalgie.be. Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Le Domaine des Trois Tilleuls, c'est est bien plus qu’un lieu de séjour. C’est un projet familial, éthique et écologique, porté par Tanguy Thibaut de Maisières ses frères et sœurs. Tous désirent faire vivre leur patrimoine, en assurer la résilience économique tout en répondant aux défis contemporains. Leur solution ? La création d’un mini-village composé de quatre cabanes en bois, conçues avec un souci aigu de l’impact environnemental. La question de base était la suivante : Comment à la fois minimiser l'empreinte carbone et créer un impact environnemental positif ?Les cabanes, sur pilotis et sans fondations, fonctionnent avec des toilettes sèches et un système de recyclage de l’eau. Une conception pensée pour ne pas abîmer le sol, mais au contraire, le nourrir. Les revenus générés servent à des actions concrètes de régénération, comme la plantation de saules le long d’une rivière érodée : "tout un système de régénération".Mais l’ambition du domaine va au-delà de la nature. Il s’agit aussi de proposer une expérience transformative pour les visiteurs : "Vivre un moment qui leur permet ensuite de repartir et de vouloir potentiellement avancer sur leur chemin, pouvoir se régénérer" explique Tanguy.Le Domaine des Trois Tilleuls est un projet faisant partie de la coalition belge des écopreneurs Kaya, mise en avant chaque mois dans Y'a de l'idée. Et son propriétaire en est convaincu : "être entouré, c'est essentiel. On est tellement nombreux à vouloir faire bouger les lignes mais on ne le voit pas, car on reste tous dans notre coin". Aujourd'hui, Tanguy a trouvé sa raison d'être: "concevoir un lieu où l'ensemble du Vivant peut vivre en harmonie".Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Cette année encore, votre chronique sur la transition écologique, économique et sociale a mis en lumière des initiatives constructives qui visent un monde plus joyeux, plus solidaire, plus respectueux de la planète et des humains. On a notamment pris la direction d'Ankara en Turquie où cela fait plusieurs années que des éboueurs ont lancé un projet pour favoriser l'accès à la culture. De quoi s'agissait-il ? La réponse ici ! En France, une maison d'édition baptisée Novice a le chic de donner leur chance à des écrivains en herbe. Que fait-elle exactement ? La réponse ici ! A l'occasion du blue monday, on avait parlé des mots qualifiant le bonheur dans diverses parties du monde. On avait notamment souligné tout l'art de vivre à l'irlandaise. Découvrez ce terme bien spécifique.Autre mot mis en avant dans Y'a de l'idée cette saison : la maison kangourou. Sa configuration favorise l'entraide et la réduction des coûts. Découvrez à qui s'adresse ce genre d'habitat partagé.Enfin, l'asbl bruxelloise Papy Booom propose des concepts fun et pavés de bonnes intentions dans les maisons de retraite. Il est question de speed dating inter-homes mais pas que...Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Quelques idées pour vous inspirer : Park4night : la bible des personnes qui aiment la van life. Même logique pour Campy avec ses filtres "bonne pizza", "piscine chauffée", "randonnées", "enfants"... et Campercontact.Welcome to my garden : pour planter votre tente gratuitement dans le jardin d'un particulier (mais sans commodités) Campspace : un particulier vous accueille dans son jardin, avec parfois une infrastructure comme une cabane... France Passion : vous dormez gratuitement chez des vignerons, chez des apiculteurs ou encore des producteurs de fromageAgricamper Italia : vous logez dans des fermes bio, des oliveraies... avec des dégustations à la cléNaturiste par nature : l'application pour les adeptes de la tenue d'Adam, pour trouver des spots naturistes à la campagne en France. Un petit truc : n'hésitez pas à filtrer et à choisir des lieux calmes, spécialement conçus pour les enfants, animaux de compagnie bienvenus... Vous aimez ce contenu ? Alors n’hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
loading
Comments