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Y'a le feu au lac
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Y'a le feu au lac

Author: Ouest-France

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Description

Le podcast qui décortique ce que l'on croit savoir sur l'écologie. Que fait-on bien, que fait-on mal ? Que pourrions-nous faire mieux ? Des conseils qui vous aident à comprendre ce qui est vraiment bon pour la planète.
24 Episodes
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Ce sont deux mots qui vont parfaitement bien ensemble : “biologique” et “écologique”. Ils vont tellement bien ensemble que cela peut paraître complètement aberrant de les opposer. Pourtant, est-ce si simple que cela ? Est-ce que l’agriculture biologique est meilleure pour la planète, meilleure pour le climat, que l’agriculture dite “conventionnelle” ?A première vue, on se dit que oui, que le fait de ne pas utiliser de pesticides ou de produit chimique est forcément meilleur que toute autre pratique agricole, et pourtant... Dans cet épisode, le dernier de la saison, notre journaliste Lucas Scaltritti fait le point sur l’avancée des études scientifiques sur le sujet, ainsi que sur les débats au sein de la communauté scientifique quant au bio.Bonne écoute !
Des membres du gouvernement et une bonne partie de la majorité sont montés au créneau. Bruno Le Maire, ministre de l'Economie, Emmanuelle Wargon… Ministre déléguée chargée du logement, François de Rugy, député et ancien président de l'Assemblée nationale... tous ont vanté l'action de la France en matière d'écologie après la publication du classement mondial Green Future Index, du MIT technology Review, où le pays figure 4e, juste derrière l’Islande, le Danemark et la Norvège.Mais, n'est-ce pas un peu étrange alors que la France a été condamnée pour inaction climatique en février 2021 ? Dans cet épisode, notre journaliste Lucas Scaltritti s'est entretenu avec Céline Guivarch, chercheuse et membre du Haut Conseil pour le Climat. Elle revient sur la méthodologie de ce classement ainsi que sur la politique de la France au niveau environnemental.Bonne écoute !
Il y a quelques temps, notre journaliste Lucas Scaltritti, a ouvert un livret développement durable et solidaire. Sur le site internet de sa banque, il y a une photo sur laquelle une plante verte pousse depuis des pièces de monnaie pour illustrer ce produit d’épargne. C’est à ce moment qu’il s’est demandé si ce livret portait bien son nom.Pour cet épisode, il a rencontré Clémence Lacharme, manager au cabinet de conseil Carbone 4, spécialiste du secteur bancaire et de l’épargne des particuliers. Elle fait le parallèle entre l’argent que chacun dépense pour faire ses courses, payer son habitation, ses loisirs, etc et son l’argent que l’on place à la banque. Il ne faut pas croire qu’il dort paisiblement au fond d’un coffre, non, il “travaille” et peut parfois financer des projets extrêmement polluants.Bonne écoute !
80 000 tonnes de déchets plastiques sont jetés dans la nature chaque année en France, cela représente 35 kilos par personne. Et 10% de tout ce plastique va se retrouver dans nos océans. Face à cette situation, le mouvement zéro déchet à émergé. Il promeut, entre autres alternatives aux plastiques à usages uniques, les gourdes. Il en existe en verre, en inox ou même en plastique. Elles sont vendues comme naturellement plus écologiques que les bouteilles en plastique, pour autant, nous avons voulu en avoir le coeur net.Notre journaliste, Lucas Scaltritti, a une nouvelle fois enquêté pour que l'on ne se fasse plus avoir par le marketing et pour que chacun puisse faire le bon choix dans sa transition écologique. Alors, avant d'acheter votre gourde, écoutez bien ce nouvel épisode de "Y'a le feu au lac" qui vous sera très utile ! Car non, tous les matériaux n'ont pas le même impact sur l'environnement...Bonne écoute !
Ce n'est pas parce que les médias ne vendent pas de pétrole ni de voitures ou qu'ils ne polluent pas les océans, qu'ils ne sont pas des entreprises comme les autres. Ce qui veut donc dire, qu'ils peuvent eux aussi "verdir" leurs actions. Pendant que certains journalistes font des articles, des enquêtes ou des reportages sur l'écologie, il peut arriver que leurs employeurs fassent des communications qui présentent des arguments écologiques alors qu'ils sont très minimes (voire n'existent pas).Concrètement, pour les médias, cela va prendre de nouvelles formes comme l'attribution d'espaces publicitaires "verts" ou alors des semaines dédiées à l'écologie. Bien que sur le papier ces décisions semblent bonnes, elles cachent des pratiques qui peuvent être grandement améliorées. D'ailleurs, d'après le baromètre 2019 Kantar/La Croix, 57% des français considèrent que le réchauffement climatique est mal traité par les médias. Et en plus de ne pas aborder correctement la question, elle était jusqu'il y a quelques années, très peu présente dans les journaux d'informations à la radio et à la télévision.Notre journaliste Lucas Scaltritti s'est entretenu avec François Quinton, rédacteur en chef de la revue des médias de l'INA, pour discuter d'une étude de l'Institut national de l'audiovisuel à ce sujet. Il a également interviewé Bruno Lansard et Gilles Ramstein, chercheurs au laboratoire des sciences du climat et responsables pédagogiques d'un master de l'université de Paris-Saclay, pour former les journalistes sur les questions climatiques et environnementales.Bonne écoute !
Les marques de vêtements ont clairement compris que les consommateurs veulent de plus en plus faire attention à la planète. Pour qu'ils continuent d'acheter leurs produits la conscience tranquille (et pour contrer les critiquer les critiques), ces enseignes de la fast-fashion - une mode rapide, jetable, basée sur l’hyperconsommation grâce à ses prix très bas - mettent en avant de nouveaux articles qui seraient plus "responsables". Un t-shirt fait en coton bio, une chaussure faite en partie avec du caoutchouc recyclé ou encore une robe avec un tissu élaboré à partir d’écorces d’agrumes... Même si l'effort est louable, il est souvent très marginal. Dans son rapport “La mode sans dessus-dessous”, l’Agence de la transition écologique (Ademe), indique que 100 milliards de vêtements seraient vendus chaque année dans le monde. Entre 2000 et 2014, la production a tout simplement doublé. Et logiquement, en termes de gaz à effet de serre l’addition est salée : 1 milliard 200 millions de tonnes de CO2 sont émis chaque année par le secteur, ce qui équivaut à 2% des émissions mondiales. Le secteur textile pourrait même émettre 26 % des émissions globales de gaz à effet de serre, en 2050, si les tendances actuelles de consommation se poursuivent. Dans cet épisode, notre journaliste Lucas Scaltritti s'est entretenu avec Chloé Cohen, journaliste et créatrice de "Nouveau Modèle", un podcast sur la mode responsable et engagée. Selon elle, il y a beaucoup de greenwashing dans l'industrie de la mode, pour autant des marques sincères et qui tentent de limiter leur impact environnemental existent. Nous vous donnerons les clés pour pouvoir les trouver. Bonne écoute ! Le ien vers le rapport "Le revers de mon look" par l'Ademe : https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/le-revers-de-mon-look.pdf ?
Les marques de vêtements ont clairement compris que les consommateurs veulent de plus en plus faire attention à la planète. Pour qu'ils continuent d'acheter leurs produits la conscience tranquille (et pour contrer les critiquer les critiques), ces enseignes de la fast-fashion - une mode rapide, jetable, basée sur l’hyperconsommation grâce à ses prix très bas - mettent en avant de nouveaux articles qui seraient plus "responsables". Un t-shirt fait en coton bio, une chaussure faite en partie avec du caoutchouc recyclé ou encore une robe avec un tissu élaboré à partir d’écorces d’agrumes... Même si l'effort est louable, il est souvent très marginal.Dans son rapport “La mode sans dessus-dessous”, l’Agence de la transition écologique (Ademe), indique que 100 milliards de vêtements seraient vendus chaque année dans le monde. Entre 2000 et 2014, la production a tout simplement doublé. Et logiquement, en termes de gaz à effet de serre l’addition est salée : 1 milliard 200 millions de tonnes de CO2 sont émis chaque année par le secteur, ce qui équivaut à 2% des émissions mondiales. Le secteur textile pourrait même émettre 26 % des émissions globales de gaz à effet de serre, en 2050, si les tendances actuelles de consommation se poursuivent.Dans cet épisode, notre journaliste Lucas Scaltritti s'est entretenu avec Chloé Cohen, journaliste et créatrice de "Nouveau Modèle", un podcast sur la mode responsable et engagée. Selon elle, il y a beaucoup de greenwashing dans l'industrie de la mode, pour autant des marques sincères et qui tentent de limiter leur impact environnemental existent. Nous vous donnerons les clés pour pouvoir les trouver.Bonne écoute !Le ien vers le rapport "Le revers de mon look" par l'Ademe : https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/le-revers-de-mon-look.pdf ?
Un verre d'eau et c'est tout. Voilà ce qu'émettrait une voiture qui roule à l'hydrogène à en croire une publicité d'une groupe industriel français qui fabrique des pièces automobiles. Effectivement, le processus pour produire de l'électricité et faire avancer le véhicule avec de l'hydrogène, ne rejette que d'eau. Le problème, c'est que cette publicité omet de nombreux points.Et l'enjeu est de taille, la France va investir plus de 7 milliards d'euros d'ici à 2030 afin de devenir un acteur mondial de l'hydrogène. L'objectif est de produire de l'hydrogène "vert" et rentable. Ce qui n'est clairement pas le cas aujourd'hui : l'immense majorité de l'hydrogène produit est fait de manière très polluante. La publicité au centre de ce nouvel épisode de "Y'a le feu au lac" n'en parle pourtant pas... Notre journaliste Lucas Scaltritti a interviewé Olivier Truffinet, membre de l'association Pour un réveil écologique, un collectif de jeunes engagés, pour évoquer tout ce qui est caché par cette publicité.Bonne écoute !
A en croire les opérateurs de téléphonie mobile, la 5G serait une technologie très performante sur le plan énergétique. Selon Free, “La 5G est une technologie éco-performante : elle permet de consommer moins d'énergie que les précédentes technologies 4G ou 3G. Elle a été pensée pour offrir plus de possibilités tout en consommant moins de ressources en énergie. Par exemple, regarder une vidéo en 5G permettra de consommer 10 fois moins d'énergie qu'en 4G.” C'est un argument qui est même défendu par le gouvernement : Cédric O, le secrétaire d’Etat au numérique, dans un entretien au journal Le Monde du 15 septembre 2020, assure que “la 5G, c’est plus de débit, mais moins de consommation énergétique”. Et le président de la République en personne a défendu cette technologie, avec sa sortie très commentée sur le "modèle amish".Intrigué et flairant le greenwashing, notre journaliste Lucas Scaltritti a interviewé Corinne Le Quéré, une climatologue franco-canadienne, présidente du Haut Conseil pour le Climat. Le HCC a publié un important rapport sur l'impact environnemental de la 5G en décembre 2020.Bonne écoute.Crédit musique: City by night, ELPHNT et Deep Haze Kevin MacLeod (incompetech.com)
Dans ce premier épisode de la saison 2, notre journaliste Lucas Scaltritti s'intéresse à la couleur de l'écologie mais aussi du greenwashing : le vert. Cela peut paraitre évident que cette couleur symbolise la défense de l'environnement, pourtant quand on y pense, protéger la planète bleue avec du vert, ce n'est pas forcément très logique. Avec Elodie Vargas, professeur à l'université de Grenoble, et Benoit Monange, président de la Fondation de l'écologie politique, Lucas Scaltritti cherche à savoir comment cette couleur a pu devenir l'étendard de l'écologie et du greenwashing.Bonne écoute.Crédit musique: City by night, ELPHNT et Deep Haze Kevin MacLeod (incompetech.com)
"Y'a le feu au lac", notre série de podcasts qui décortique nos idées reçues sur l'écologie, revient le 15 mars pour une saison 2 qui sera entièrement dédiée au greenwashing. Au programme, 9 épisodes qui auront pour but de déjouer le marketing "vert" de certaines marques.
Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons à l'empreinte écologique de ce qui peut être considéré comme le sport national en France : le football. A première vue, 22 joueurs qui courent après un ballon sur une pelouse, ça ne parait pas bien polluant. Pourtant, autour de ça il y a le stade, l'entretien de la pelouse, les déchets qui sont générés par les supporters pendant le match… sans oublier le transport des joueurs, du staff et des spectateurs. Au final, le football a encore une importante marge de manoeuvre avant de pouvoir se dire “écolo”. Pour en discuter, Lucas Scaltritti, notre journaliste, s’est entretenu avec Antoine Miche, président de l'association Football Ecologie France.Bonne écoute.
"Y’a le feu au lac" est une série d’enquêtes en podcast d’une vingtaine de minutes pour décortiquer ce que l’on croit savoir sur l’écologie. Ce que l’on fait bien, mal, ce que l’on pourrait faire mieux. Dans ce nouvel épisode, nous tentons de répondre à la question suivante : et si le recyclage ce n’était pas écologique ? Découvrez le onzième épisode de la série en podcast "Y’a le feu au lac" proposée par Lucas Scaltritti. Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons à un geste qui est synonyme d’écologie : le recyclage. L’idée de remettre en cause la dimension écologique du recyclage peut paraitre complètement folle. Pourtant, l’ancienne directrice de l’association Zero Waste France, Flore Berlingen l’a fait. Elle est l’auteure de Recyclage, le grand enfumage aux éditions Rue de l’échiquier. Elle y dénonce l’instrumentalisation du recyclage ainsi qu’un effet pervers : l’entretien de la surconsommation. Au micro de notre journaliste, Lucas Scaltritti, elle explique par exemple que le recyclage pour certaines entreprises est désormais un argument de vente. La chercheuse Nathalie Gontard estime elle que pour le plastique, parler de recyclage, c’est faux.Bonne écoute.
"Y’a le feu au lac" est une série d’enquêtes en podcast d’une vingtaine de minutes pour décortiquer ce que l’on croit savoir sur l’écologie. Ce que l’on fait bien, mal, ce que l’on pourrait faire mieux. Dans ce nouvel épisode, nous tentons de répondre à la question suivante : la climatisation réchauffe-t-elle la planète ? Découvrez le dixième épisode de la série en podcast "Y’a le feu au lac" proposée par Lucas Scaltritti. Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons à un sujet qui va devenir majeur dans les prochaines années à cause du réchauffement de la planète : la climatisation. Même si le principe d’un climatiseur est de souffler de l’air froid, il ne le fait pas en réalité sans absorber l’air chaud d’un lieu pour le rejeter à l’extérieur. Une étude, publiée en juillet dernier, s’est intéressé à l’usage massif de la climatisation en région parisienne. Le résultat est sans appel, par endroit, la température augmente de 3°C à cause de l’air chaud rejeté par les systèmes d’air conditionné, comme l’explique Aude Lemonsu, chercheuse au Centre National de Recherches Météorologiques. Mais ce n’est pas tout, la climatisation contribue - paradoxalement - au réchauffement climatique. Bonne écoute !
"Y’a le feu au lac" est une série d’enquêtes en podcast d’une vingtaine de minutes pour décortiquer ce que l’on croit savoir sur l’écologie. Ce que l’on fait bien, mal, ce que l’on pourrait faire mieux. Dans ce nouvel épisode, nous tentons de répondre à la question suivante : peut-on être écolo et partir en vacances ? Découvrez le neuvième épisode de la série en podcast "Y’a le feu au lac" proposée par Lucas Scaltritti. Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons à une des préoccupations des Français : être responsable vis à vis de l’environnement tout en partant en vacances. Le tourisme est responsable de 8% des émissions de gaz à effet de serre, un chiffre qui ne cesse d’augmenter. Grâce aux offres “low cost” et l’émergence d’une classe moyenne asiatique notamment, il y a de plus en plus de touristes dans le monde. Et même si lorsque l’on bronze sur une plage paradisiaque ou que l’on entend le bruit des cigales à l’ombre d’un pin parasol on ne s’en rend pas vraiment compte mais le tourisme menace de nombreux écosystèmes. Notre journaliste Lucas Scaltritti s’est entretenu avec Jérémie Fosse, coordinateur d’une étude sur le “tourisme bleu” et président de l’ONG Eco-Union. Bonne écoute !
"Y’a le feu au lac" est une série d’enquêtes en podcast d’une vingtaine de minutes pour décortiquer ce que l’on croit savoir sur l’écologie. Ce que l’on fait bien, mal, ce que l’on pourrait faire mieux. Dans ce nouvel épisode, nous tentons de répondre à la question suivante : peut-on compenser son empreinte carbone en plantant des arbres ?Découvrez le huitième épisode de la série en podcast "Y’a le feu au lac" proposée par Lucas Scaltritti. Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons à une manière très en vogue de pour compenser son empreinte carbone.En tant que consommateur, c’est une formulation que vous voyez de plus en plus. Tel produit ou tel service est “neutre en carbone”. C’est même le cas pour les vols intérieur d’Air France. Cela signifie que l’entreprise a acheté des crédits carbone pour compenser ses émissions de CO2. Un des moyens de le faire, c’est de planter des arbres. Pour chercher à comprendre si c’est aussi simple que cela d’absorber du CO2, notre journaliste Lucas Scaltritti s’est entretenu avec Jonathan Guyot, co-fondateur et président de l'association All4trees, qui met en garde contre ce qu’il appelle le “treewashing”, et Luc Bachelet, consultant dans le cabinet de conseil Carbone 4.Bonne écoute !
Découvrez le septième épisode de la série en podcast "Y’a le feu au lac" proposée par Lucas Scaltritti. Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons à l’empreinte environnementale des circuits alimentaires. C’est assez tentant de penser qu’un produit cultivé nos loin de chez soi est meilleur pour la planète que de la nourriture qui a fait plusieurs milliers de kilomètres avant de finir dans notre assiette. Pourtant, la réalité n’est pas si simple. Déjà, l'appellation “circuit court” ne fait aucunement référence à la distance entre le lieu de production et celui de consommation. Ensuite, dans l’empreinte carbone globale des nos aliments, le transport ne représente qu’une petite part. Alors, est-ce que manger local permet vraiment de moins polluer ? Réponse dans ce septième épisode de “Y’a le feu au lac”, dans lequel notre journaliste Lucas Scaltritti donne la parole à Gwenaëlle Raton, géographe à l’université Gustave Eiffel de Lyon ainsi qu’à Yuna Chiffoleau, directrice de recherche en sociologie économique à INRAE (l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement). Bonne écoute ! Crédit musique: The curious Kitten / Aaron Kenny
"Y’a le feu au lac" est une série d’enquêtes en podcast d’une vingtaine de minutes pour décortiquer ce que l’on croit savoir sur l’écologie. Ce que l’on fait bien, mal, ce que l’on pourrait faire mieux. Dans ce nouvel épisode, nous tentons de répondre à la question suivante : est-ce que le papier contribue vraiment à la déforestation ? Découvrez le sixième épisode de la série en podcast "Y’a le feu au lac" proposée par Lucas Scaltritti. Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons au lien entre le papier et la déforestation. Qui n'a jamais entendu la fameuse phrase "ah bah avec tout ce que t’as imprimé, t’as tué dix arbres". Pourtant, avec les nombreux labels qui existent et les nombreuses forêts qui ne cessent de croître en France, il est aisé de penser que non, le papier n'est plus responsable de la déforestation. L'industrie papetière n'en est pas la première cause (il s'agit de l'agriculture, comme évoqué dans l'épisode précédent de "Y'a le feu au lac") mais elle a un réel impact. D'après Copacel, l'Union Française des Industries des Cartons, Papiers et Celluloses, 10% de la pâte à papier consommée en France est issue de bois non certifiés. Bonne écoute ! Crédit musique: City by night, ELPHNT et Deep Haze Kevin MacLeod (incompetech.com)
Dans ce cinquième épisode, notre journaliste Lucas Scaltritti s'intéresse à notre consommation de viande. Selon un rapport publié en 2014 par l'Organisation des Nations Unies, l'élevage de bétail au niveau mondial serait responsable de 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre. Alors, va-t-on devoir devenir tous végétariens pour sauver le climat ? Pas forcément mais les experts sont unanimes : il va falloir en manger beaucoup moins. Pour cela, il existe notamment des alternatives végétales mais vous l’entendrez dans cette enquête, elles ne sont pas toujours plus écologiques que la viande. Bonne écoute. Crédit musique: City by night, ELPHNT et Deep Haze Kevin MacLeod (incompetech.com)
Le 26 mai dernier, Emmanuel Macron a augmenté à 7000€ la prime pour les voitures électriques. Alors qu’en 2040, les véhicules essence et diesel seront interdits en France, c’est bien vers la motorisation électrique que l’avenir semble se tourner. D’autant que le secteur des transports est responsable de près d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre dans le pays, les voitures sont un important levier pour lutter contre le changement climatique. Dans ce quatrième épisode, notre journaliste Lucas Scaltritti interroge la dimension écologique des voitures électriques. Certes, elles ne produisent pas de gaz d’échappement lorsqu’elles roulent mais leur production est très polluante. Plus polluante que pour une voiture thermique. Bonne écoute ! Crédit musique: City by night, ELPHNT et Deep Haze Kevin MacLeod (incompetech.com)
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