DiscoverZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet
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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet
Author: ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes
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© Guillaume Serries
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Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.
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Aujourd'hui, on s'intéresse à la montée en puissance des escroqueries en ligne pendant les fêtes de fin d’année. D’après un rapport récent de Norton, 48 % des consommateurs en ligne auraient déjà été victimes de tentatives de fraude au moment de faire leurs achats pour les fêtes. Face à ces pratiques, on va voir ensemble comment se prémunir des pièges les plus courants.D'abord, soyons attentifs à la source de nos achats.Que ce soit en naviguant sur des sites de vente en ligne ou en cliquant sur des publicités affichées sur les réseaux sociaux, les internautes sont souvent attirés par des offres très alléchantes.Le sacro saint "https"Mais attention aux apparences ! Il est recommandé de vérifier l’adresse du site pour s’assurer qu’elle commence par "https", signe de sécurisation des données. Et méfiez-vous des magasins en ligne peu connus. Lisez les avis. Scrutez les évaluations. En gros, fiez-vous à des indicateurs de fiabilité pour réduire les risques d’arnaque.Ensuite, le bon sens reste notre meilleur allié face aux prix trop bas. Les cyber-escrocs savent jouer sur notre désir de faire de bonnes affaires, surtout en cette période d’achats intensifs. Comme le dit l’adage, "si ça semble trop beau pour être vrai, ça l’est probablement". Rester sceptique devant une offre exceptionnelle vous évitera bien des mauvaises surprises !Enfin, en termes de cybersécurité, quelques pratiques simples peuvent aussi faire une grande différence.Un bon VPN sur es réseaux publicsUtiliser un VPN sur les réseaux sans fil publics, par exemple, ajoute une couche de protection supplémentaire en masquant vos données personnelles.Par ailleurs, privilégiez des mots de passe solides et changez-les régulièrement pour limiter les risques de piratage. Pour plus de simplicité, un gestionnaire de mots de passe peut même vous assister dans cette tâche.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un véritable bras de fer qui oppose la Banque Centrale Européenne, la BCE, et certains gouvernements de l'Union européenne, à commencer par la France. La raison de cette lutte de haute volée concerne la mise en place de l'Euro numérique.Le conflit tourne plus globalement autour de la souveraineté et de la stabilité économique de la zone euro.Elle met aussi en lumière des tensions entre les technocrates de Francfort, c'est dans cette ville d'Allemagne que se trouve la BCE, et les responsables politiques européens.Alors, de quoi s’agit-il exactement ?L'Euro numérique est une version numérique de l’euro, la monnaie que nous utilisons tous les jours dans la zone euro. Il s'agit d'un stablecoin, c'est à dire une monnaie virtuelle dont la valeur est indexée sur une monnaie physique.Plus d'une centaine de banques centrales explorent de par le monde l'idée de créer une monnaie numérique nationale. L'idée à germé suite à la tentative malheureuse de Facebook de lancer une crypto-monnaie mondiale, le Libra, en 2019. Une initiative qui avait provoqué une onde de choc dans le monde de la finance.Créer un système de paiement paneuropéenLa BCE travaille donc sur ce sujet depuis un bon moment. Surtout que l'idée sous-jacente est de créer un système de paiement paneuropéen capable de concurrencer des géants comme Visa ou Mastercard.Pour la BCE, mettre en place l'euro numérique serait une façon de renforcer l’indépendance monétaire de l’Europe face aux entreprises américaines.Reste que ce projet n’est pas sans risque. Des gouvernements comme la France et l’Allemagne sont inquiets parce que la BCE veut fixer une limite à la quantité d’euro numérique que chaque citoyen pourra détenir.Le risque de la déstabilisation du système bancairePourquoi une limite ? Eh bien, si la BCE fixe cette limite à un montant trop important, cela pourrait amener les gens à retirer des sommes importantes des banques traditionnelles, surtout en cas de crise. On pourrait alors assister à une déstabilisation du système bancaire européen.Mais surtout, on touche ici surtout à une question de souveraineté.La BCE est censée être indépendante et garantir la stabilité monétaire. Mais certains pays de l'UE, dont la France, estiment que c’est aux gouvernements des Etats membres, et non aux technocrates de la banque centrale, de décider des règles de l’euro numérique.D’ailleurs, un diplomate le résume bien : "plus qu’un débat technique, c’est une question de pouvoir" explique t-il au site Politico.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, on s’intéresse à un projet très ambitieux de Google. Le projet se nomme Jarvis.C'est un agent d’intelligence artificielle conçu pour prendre le contrôle du navigateur de votre ordinateur afin d’automatiser certaines tâches quotidiennes.Ce projet pourrait donc transformer notre manière de naviguer sur le web. Voyons quelles sont les implications pour vous et les utilisateurs.Que fait réellement Jarvis ?Selon les informations du média The Information, Jarvis pourrait, entre autres, effectuer des recherches, acheter en ligne, ou même réserver des vols à votre place. En pratique, si vous voulez par exemple réserver un vol, Jarvis pourrait comparer automatiquement les meilleures options en fonction de vos préférences, évitant ainsi des recherches fastidieuses et chronophages.Cette innovation est possible grâce au modèle de langage de nouvelle génération de Google, appelé Gemini 2.0. Ce modèle, qui n'a pas encore été présenté, serait intégré directement à Chrome pour exécuter des actions dans le navigateur.Pour vous donner une idée de ce que pourrait être et faire Jarvis, imaginez un assistant virtuel capable de cliquer, taper, et interagir avec des sites web comme un utilisateur humain, mais plus rapidement et de manière plus précise.Google pourrait commencer à tester cette technologie dès décembre avec un groupe restreint d’utilisateurs. Et cela donnerait un avant-goût de ce que pourrait devenir votre navigation sur Internet d'ici peu.Cette automatisation soulève aussi des questionsSi Jarvis facilite les tâches du quotidien, on peut se demander si cela risque de rendre les utilisateurs trop dépendants de l’IA.D’autant plus que cet agent pourrait apprendre de vos habitudes de navigation, ce qui pose des questions de confidentialité et de sécurité des données.Comment Google envisage-t-il de protéger ces informations sensibles ? Et quelle autonomie les utilisateurs auront-ils sur les actions de Jarvis ? Les premières réponses devraient nous parvenir en décembre prochain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, nous parlons de l’accord inédit que Meta a annoncé avoir signé avec l'agence de presse Reuters pour intégrer des contenus d’actualité dans son assistant d'intelligence artificielle nommé Meta AI. Alors pourquoi cet accord est-il si important ? Voici trois points à bien retenir pour bien comprendre.C’est le premier partenariat de ce type pour Meta à l’ère de l’intelligence artificielle. Alors que l'éditeur de Facebook et Instagram avait pris ses distances vis-à-vis des actualités dans les fils d’actualité de ces réseaux sociaux, cet accord permet à Meta AI d’accéder aux informations de Reuters en temps réel pour répondre aux questions des utilisateurs.Ce virage montre à quel point le contexte réglementaire et la demande pour des sources fiables influencent la manière dont les grandes plateformes numériques utilisent l’actualité.Reuters sera rémunéré pour l’utilisation de ses articlesDès vendredi dernier, les utilisateurs américains du chatbot Meta AI pouvaient poser des questions d’actualité, et Meta AI leur proposait en temps réel des résumés et des liens vers des articles de Reuters pour approfondir.Ce service est intégré dans les plateformes du groupe, notamment Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger.A noter que Reuters sera rémunéré pour l’utilisation de ses articles, mais les termes de l'accord, révélés par Axios, ne précisent pas si ces mêmes contenus serviront également à l’entraînement du modèle de langage de Meta, nommé Llama.Eviter la diffusion de fausses informationsEnfin, ce type de partenariat devient stratégique pour les entreprises spécialisées dans l'Intelligence artificielle.Elles sont sous pression pour éviter la diffusion de fausses informations, surtout en période électorale comme c'est le cas en ce moment avec les élections à la présidence des Etats-Unis.Et Meta n’est pas seule la entreprise à s’engager dans cette voie. OpenAI, par exemple, a récemment signé des accords avec plusieurs grands médias, et Microsoft paie également des éditeurs pour inclure des contenus journalistiques dans son assistant d'IA nommé Copilot.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une nouveauté très attendue dans l'univers Apple. Avec l'arrivée de la nouvelle version du système d'exploitation mobile d'Apple, iOS 18.2, les utilisateurs d'iPhone dans l'Union Européenne pourront ajouter des applications web depuis des navigateurs autres que Safari sur l'écran d'accueil de leur iPhone.Ça ne vous parle pas ? Ce ne vous dit rien ? Pourtant, c'est une petite révolution. Mais surtout, pourquoi cela ne concerne que l'Europe ? C'est une réponse directe, et forcée, à la réglementation européenne qui impose à Apple d'ouvrir un peu plus son écosystème à la concurrence.Alors, qu'est-ce que cela change vraiment ? Premier point, jusqu'à présent, si vous vouliez ajouter une application web à votre écran d'accueil sur un iPhone, vous deviez absolument passer par Safari.WebKit n'est plus le gardien absoluAvec iOS 18.2, ce ne sera plus le cas. Mais uniquement pour les utilisateurs français et européens d'iPhone. Et Apple permet désormais aux navigateurs comme Chrome ou Firefox de le faire aussi.Et pas seulement avec WebKit, le moteur de Safari. Mais aussi avec leurs propres moteurs de navigation. Par exemple, une appli web ajoutée via Firefox utilisera le moteur Gecko.Et cela donne forcément une expérience plus cohérente entre l'application web et le navigateur d'origine.Influence croissante des régulations européennes sur les géants de la techCette décision découle des pressions de la Commission européenne. Apple avait d'abord envisagé de supprimer complètement cette fonctionnalité pour éviter de se plier aux règles européennes.Mais face à la menace d'une enquête, la marque a préféré finalement se conformer aux règles françaises et européennes.Cette décision montre bien l'influence croissante des régulations européennes sur les géants de la tech.La fin des app natives intouchablesEnfin, iOS 18.2 n'apporte pas seulement des nouveautés pour les navigateurs. Il inclut d'autres changements spécifiquement pour l'Union Européenne, comme la possibilité de supprimer certaines applications principales d'Apple, telles que l'App Store ou même Safari.C'est une première, car jusque-là, ces applis étaient considérées comme intouchables dans l'écosystème iOS.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une véritable bombe qui vient d'éclater en début de semaine outre-Atlantique. TSMC, le géant taïwanais des semi-conducteurs, a récemment informé les États-Unis qu'une de ses puces avait été trouvée dans un produit du fabricant chinois Huawei.Alors, premièrement, pourquoi cette découverte est-elle problématique ? Eh bien, les États-Unis imposent depuis 2019 des restrictions commerciales strictes à Huawei, pour des raisons de sécurité nationale.Cela signifie que des entreprises comme TSMC, qui fournissaient auparavant des puces à Huawei, ont dû cesser leurs ventes depuis la mi-septembre 2020 pour se conformer avec l'embargo américain. Un embargo dont les termes précisent que si un acteur de la tech travaille avec Huawei, il n'a plus le droit de travailler avec une entreprise américaine.Comment cette puce a t-elle pu se retrouver là ?La présence d'une puce TSMC dans un produit Huawei soulève donc des questions sur la manière dont cette puce a pu se retrouver là, surtout dans un contexte aussi surveillé.C'est bien sûr la première question que s'est posé un cabinet d'analyste américain, qui a démonté un produit Huawei et y a fait la découverte de la présence d'une puce TSMC dans les entrailles de la machine. Après leur découverte, les analystes ont informé TSMC avant de rendre public un rapport. Ce geste a permis à TSMC de prendre les devants en notifiant les autorités américaines.Ce genre de situation montre à quel point les chaînes d'approvisionnement des semi-conducteurs sont complexes et comment il est parfois difficile de contrôler la destination finale des composants, même pour un acteur aussi puissant que TSMC.Quel est l'impact de cette révélation pour TSMC et Huawei ?Pour l'instant, le fabricant taïwanais affirme ne pas avoir fourni de puces à Huawei depuis 2020.Cependant, les autorités américaines ont indiqué qu'elles étaient "au courant de rapports" concernant d'éventuelles violations des contrôles à l'exportation.Ce qui est certain, c'est que cette situation pourrait intensifier les tensions déjà existantes entre les États-Unis, la Chine, et les entreprises technologiques impliquées. Les liens entre Huawei et TSMC vont continuer d'être scrutés de très près par Washington.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, parlons des lunettes connectées Ray-Ban Meta, qui connaissent un succès considérable en Europe. Selon Stefano Grassi, le directeur financier d'EssilorLuxottica, la société mère de Ray-Ban, les Ray-Ban Meta sont le produit le plus vendu dans 60 % des magasins européens de la marque.Quelles sont les raisons de ce succès ? Premièrement, ces lunettes sont un bon compromis entre design et technologie. Contrairement à d’autres lunettes connectées, les Ray-Ban Meta n’ont pas d’écran intégré, ce qui permet de conserver un design fin et élégant. Malgré cela, elles intègrent des fonctionnalités pratiques comme la prise de photos et la diffusion en direct sur les réseaux sociaux.Meta a également ajouté récemment de nouvelles fonctionnalités, telles que des rappels, des messages vocaux WhatsApp ou encore la numérisation de codes QR.300 euros en moyenneSurtout, ce qui étonne, c’est que les clients sont prêts à payer le prix fort pour ces lunettes. Leur prix de départ est d’environ 300 euros, soit bien plus que la moyenne des produits Ray-Ban classiques, qui se situe autour de 150 à 200 euros.Cela montre que le marché est réceptif aux lunettes connectées lorsqu'elles sont bien pensées et esthétiquement attrayantes.Enfin, cette tendance ne se limite pas à l'Europe. En Amérique du Nord aussi, les Ray-Ban Meta ont été un des principaux moteurs des ventes du groupe EssilorLuxottica ce dernier trimestre.Un relai face à une industrie du luxe en perte de vitesseToutefois, le contexte macroéconomique reste difficile pour le lunettier, notamment en Chine, où l’entreprise rencontre des défis liés à la baisse des ventes dans le domaine du luxe, avec ses marques sous licence Chanel, Prada et Armani.Le partenariat entre Ray Ban et Meta a donc de beaux jours devant lui, la technologie remplaçant donc peu à peu le luxe comme argument de vente des lunettes. Du côté logiciel, Meta a d'ailleurs ajouté récemment de nouvelles fonctionnalités d'intelligence artificielle aux lunettes Ray-Ban pour les rendre plus utiles, de la même manière qu'elle le fait avec ses casques de réalité virtuelle Quest. Ces fonctionnalités ne sont toutefois pas encore disponibles en Europe, à l'exception du Royaume-Uni.Reste que Meta et EssilorLuxottica ont récemment étendu leur partenariat jusqu'aux années 2030. Samsung et Google seraient eux en train de travailler sur un concurrent. Et Apple envisagerait également de lancer un produit similaire en 2027.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on parle d'un nouvel outil de réseau social pour les responsables marketing. Oui, depuis quelques mois, la montée en puissance de Bluesky, une alternative à X, anciennement Twitter, se confirme.Une nouvelle explosion des inscriptions fait suite à une décision controversée de X concernant la protection de la vie privée des utilisateurs.En effet, la plateforme d'Elon Musk a récemment annoncé une modification de sa fonction de blocage, et cela a fait beaucoup de bruit. Le changement en question. X a annoncé que les comptes bloqués pourront désormais voir les publications publiques des comptes qui les ont bloqué.Des inquiétudes sur le respect de la vie privéeMême s'ils ne peuvent plus interagir directement, cette modification soulève des inquiétudes sur le respect de la vie privée. Beaucoup d’utilisateurs ont peur de voir leurs publications utilisées sans leur consentement, même s'ils ont bloqué certaines personnes.Ce changement a été initié par Elon Musk et a provoqué une réaction immédiate. Car face à cette annonce, les utilisateurs mécontents cherchent des alternatives.Et là, c’est Bluesky qui entre en scène. Ce réseau social, créé comme une alternative décentralisée à X, a vu ses inscriptions exploser, avec un demi-million de nouveaux inscrits en seulement 24 heures après l'annonce de X.Une situation qui rappelle une vague d'inscriptions similaire survenue il y a quelques mois, quand X avait été temporairement interdit au Brésil et que certaines fonctionnalités étaient passées derrière un paywall. A ce moment-là, Bluesky avait enregistré 2 millions de nouveaux utilisateurs en provenance de X.Pourquoi Bluesky attire autantBluesky se distingue par sa structure décentralisée, qui permet aux utilisateurs de personnaliser leur expérience en choisissant leur propre flux, plutôt que de se fier à un algorithme.Ce réseau social permet aussi de vérifier son identité via son propre nom de domaine et, en cas de besoin, de transférer facilement son compte sur un autre serveur. Contrairement à X, Bluesky n’est pas contrôlé par Elon Musk et est enregistré en tant que société d'utilité publique, visant à créer un bien social et public, tout en restant à but lucratif.L'application se classe désormais au quatrième rang des applications iOS gratuites aux États-Unis, derrière Threads de Meta, ChatGPT et Google. Et devant TikTok. En France, elle reste cependant pour l'heure très confidentielle.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici un sujet crucial pour de nombreuses entreprises : comment améliorer le taux de réussite de vos projets de transformation numérique. C'est un sujet majeur parce qu'il est déterminant pour assurer la survie et la compétitivité de son organisation dans un marché qui se numérise de plus en plus.La question de la visibilitéSouvent, les entreprises se lancent dans des projets de transformation numérique sans avoir une vue d’ensemble claire. Le manque de visibilité sur les projets en cours, et même sur ceux à venir, peut créer des blocages importants.Un exemple frappant nous vient d'une étude menée par le Gartner, où les DSI interrogés disent que moins de 50 % de leurs projets numériques aboutissent. Ce qui revient selon les analystes à « jouer à pile ou face ».Pour éviter cela, il est essentiel d'instaurer une transparence totale sur l'état des projets, à tous les niveaux de l’organisation. Concrètement, il ne suffit plus d’attendre des rapports mensuels. La direction doit pouvoir suivre en temps réel l’évolution des initiatives.Connecter la transformation numérique à la stratégie globale de l'entrepriseIl est capital de connecter votre transformation numérique à la stratégie globale de l'entreprise. De nombreuses entreprises dépensent des millions d'euros dans la transformation numérique, mais peinent à en montrer la valeur.Comment éviter cela ? Pour que ces investissements ne soient pas gaspillés, il faut que chaque initiative numérique soit alignée sur les objectifs stratégiques de l'entreprise.Cela permet non seulement de donner un sens à chaque projet, mais aussi de faciliter la prise de décision. Les projets doivent pouvoir être ajustés, redéfinis, voire stoppés si les conditions du marché changent.Renforcer la capacité de changementEnfin, et c'est peut être le plus important, il est indispensable de renforcer la capacité de changement.Les entreprises doivent être prêtes à réajuster en permanence leurs priorités en fonction des résultats et des nouvelles opportunités.Les anciens modèles, où un projet a un début et une fin bien définis, appartiennent au passé. Aujourd'hui, nous évoluons dans un monde d'innovation continue. Les entreprises doivent donc être prêtes à pivoter rapidement, à réaffecter leurs ressources et à ajuster leurs stratégies.C'est à ce prix que le taux de réussite des projets de transformation numérique peut être amélioré.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce phénomène peut sembler anodin mais peut poser de sérieux problèmes aux entreprises et aux professionnels. Surtout, des solutions existent pour régler ce problème.C'est quoi un appel fantôme exactement ?Nous avons tous connu cette situation. Vous répondez à votre téléphone et il n’y a personne à l’autre bout. Ou bien, un numéro inconnu s’affiche, mais quand vous décrochez, c’est le silence total. Si cela vous arrive de temps en temps, rien de grave.Il peut s'agit par exemple d'un appel de poche, un pocket call en anglais. Cela signifie que votre interlocuteur appuie sur son téléphone de manière malencontreuse. Et que le téléphone vous appelle. Et bien sûr personne n'est là quand vous décrochez.Mais quand ces appels se répètent sans arrêt, c'est là que les problèmes commencent pour les profesionnels.Encombrement complet des lignes téléphoniques des professionnelsCar les appels fantômes peuvent provoquer un encombrement complet des lignes téléphoniques.Imaginez par exemple une entreprise qui reçoit plusieurs de ces appels chaque jour. Ça perturbe non seulement le service client, mais cela peut aussi entraîner des pertes de revenus si des appels légitimes ne parviennent plus à passer.Par ailleurs, les interruptions régulières causées par les appels fantômes peuvent engendrer frustration et anxiété de la part de vos propres employés. De quoi jouer sur leur moral.Attaque par balayage de portSecond point, derrière ces appels fantômes, il peut y avoir des intentions très malveillantes.Les cybercriminels utilisent parfois des techniques comme le balayage de ports ou le "war dialing" pour tester les vulnérabilités des systèmes téléphoniques.Dans ce cas, les appels fantômes ne sont pas juste un désagrément. Ils doivent devenir un véritable signal d'alerte pour une entreprise.Mettre en place des pare-feux et des outils de filtrage des appelsEnfin, troisième point, des solutions existent pour contrer ces appels fantômes.Par exemple, les systèmes VoIP doivent être régulièrement mis à jour et configurés correctement pour éviter les attaques.Et des pare-feux et des outils de filtrage des appels peuvent aussi être mis en place pour limiter l'impact de ces nuisances et améliorer la sécurité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les PC portables qui embarquent de l'intelligence artificielle vont bientôt dominer le marché des machines pour les professionnels.Selon une étude récente du cabinet Gartner, la part de marché des PC capables d'exécuter de l'IA en mode local va exploser dans les années à venir, notamment grâce aux processeurs Arm.Premier point à retenir : dès l'an prochain, 43 % des livraisons de PC seront des machines équipées de capacités IA locales. Cela représente une forte augmentation par rapport à 2024, où ce chiffre n'est que de 17 %.Des conséquences sur l'architecture des PCPourquoi donc ? Parce que les unités de traitement neuronal, ou NPU, seront bientôt un composant standard des machines professionnelles. En effet, les ordinateurs portables dotés de ces NPU ne représentaient que 5 % du marché des grandes entreprises en 2023. Mais d'ici 2025, la moitié des ordinateurs portables des pros en seront équipés.Cette montée en puissance s'explique aussi par l'intégration croissante de fonctionnalités d'IA générative dans les systèmes d'exploitation, comme Copilot de Microsoft ou encore Apple Intelligence.Mais cette évolution va avoir des conséquences sur l'architecture des machines. Les PC équipés de processeurs Arm grignotent des parts de marché aux puces traditionnelles x 86 d'Intel et d'AMD, en particulier dans le secteur professionnel.Le ROI de l'IA Gen pour les professionnels reste à démontrerEnfin, même si les avantages de l'IA générative sont nombreux, comme la création de contenu et de code, les professionnels se posent encore des questions sur la qualité des résultats produits.Par exemple, l'IA peut générer du code qui contient des erreurs ou des failles de sécurité. Et l'utilisation de l'IA générative incite parfois les développeurs à ne pas vérifier aussi minutieusement leur travail que s' ils écrivaient eux même du code.Ainsi, bien que les PC boostés à l’IA soient prometteurs, le retour sur investissement doit encore être prouvé à long terme.Un secteur qui va changer de mainsEn conclusion, l’essor des PC équipés de capacités IA est indubitable.Ces nouvelles machines devraient dominer le marché d’ici 2025, en particulier pour les professionnels.Cela va profondément transformer le secteur des ordinateurs portables, avec un changement notable dans les architectures de processeurs. AMD et Intel, attention à vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une nouvelle pénurie mondiale de puce informatique qui se profile à l'horizon. Une étude prédit que d'ici à 2026 les stocks seront vides. Pourquoi ? Parce que la demande en puces d'intelligence artificielle explose.Selon l'analyste Bain, la demande pour des infrastructures et des produits qui embarquent de l'IA pourrait croître 35 % par an jusqu’en 2027. Cette demande massive va créer une pression énorme sur les fabricants de puces.D'abord parce que l'IA génère une demande d’infrastructures gigantesques. Les centres de données doivent devenir beaucoup plus grands, avec des capacités dépassant 1 gigawatt, là où la moyenne haute actuelle est de 200 mégawatts.Les fabricants de puces vont devoir augmenter leur production de manière drastiqueCette augmentation est nécessaire pour répondre aux besoins croissants des modèles d'IA, qui demandent beaucoup de puissance de calcul. Le rapport prédit que les coûts de construction de ces centres vont exploser. La construction d'un grand datacenter coûte aujourd'hui jusqu'à 4 milliards de dollars. Ce sera 25 milliards dans cinq ans.Deuxième point, les fabricants de puces vont devoir augmenter leur production de manière drastique.Concrètement, la taille des puces dans les PC et les smartphones augmente pour héberger les capacités d'IA. Donc il faut produire de plus gros objets. Mais surtout, la demande pour ces objets va exploser. La production devra croître de 25 % à 35 % d’ici 2026 pour y répondre.Restrictions d'exportation sur la ChineLe risque de pénurie est donc fort. Le rapport indique qu’il faudrait construire jusqu’à cinq nouvelles usines à un coût total de 75 milliards de dollars pour répondre à cette demande.Enfin, les tensions géopolitiques et la quête de souveraineté en matière d'IA aggravent cette situation.Les restrictions d'exportation imposées par les États-Unis et d'autres pays sur la Chine créent des frictions sur l'approvisionnement en matières premières comme le gallium et le germanium.Des projets européens sur le sujetLa Chine, qui contrôle l'essentiel de ces ressources, a également restreint ses exportations.En réponse, l’Union européenne par exemple investit massivement dans ses propres capacités de production, avec des projets comme le Chips Act. Mais ces initiatives sont coûteuses et prennent du temps à se concrétiser.En conclusion, la demande massive pour l'IA et les tensions sur la chaîne d'approvisionnement mondiale pourraient bien provoquer une nouvelle pénurie de puces d'ici à 2026.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, voyons si ChatGPT et ses comparses d'intelligence artificielle générative peuvent aller plus loin que les outils classiques d'analyse des sentiments dans les centres d’appels. Peuvent-il vraiment améliorer cette tâche ?La réponse est oui, mais avec quelques réserves. Mais commençons par nous demander pourquoi l'analyse des sentiments est importante dans les call center.Elle permet aux entreprises de comprendre l’état d’esprit de leurs clients. De savoir si ils sont satisfaits ou frustrés. C’est essentiel pour améliorer la qualité du service, ajuster les formations des agents et au final, rendre les clients plus satisfaits.L'IA générative propose une meilleure compréhension des nuances du langage humainLes outils traditionnels d’analyse des sentiments utilisent déjà l'intelligence artificielle pour évaluer le ton, les mots et le contexte des conversations. Des technologies comme la reconnaissance automatique de la parole transforment les appels en texte, puis le traitement du langage naturel identifie les émotions des clients.Le problème, c'est que ces solutions sont très chères et complexes à mettre en place.Et c'est là que ChatGPT change la donne. Surtout, l'IA générative propose une meilleure compréhension des nuances du langage humain.ChatGPT et consort ont aussi leurs limitesLà où un logiciel traditionnel pourrait simplement classer une conversation comme positive ou négative, ChatGPT peut capter les subtilités des émotions, et ce même dans des conversations complexes. Il peut aussi analyser de grandes quantités de données à la fois, ce qui permet aux entreprises d’obtenir rapidement des retours d'information précieux à une échelle beaucoup plus grande.Cela signifie que les centres d’appels peuvent mieux comprendre ce que ressentent les clients qui les appellent, ajuster leur manière de communiquer et proposer un service plus personnalisé.Mais les outils comme ChatGPT et consort ont aussi leurs limites. Bien qu’ils puissent fournir une analyse plus riche que les logiciels traditionnels, ils n’ont pas été spécifiquement conçus pour les centres d'appels. Cela signifie qu'il doivent être ajustés pour s’adapter parfaitement à cet environnement.La question de la qualité des transcriptions des appelsDe plus, ils dépendent de la qualité des transcriptions des appels. Si celles-ci sont de mauvaise qualité, les résultats seront forcément moins fiables.En conclusion, oui, ChatGPT ou encore Copilot ont le potentiel d’améliorer considérablement l’analyse des sentiments dans les centres d’appels.Mais ils doivent surtout être bien intégrés dans les processus existants pour donner des résultats fiables.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un sujet fondamental pour la sécurité de toute entreprise : comment sécuriser votre réseau.Avec la montée des cybermenaces, il est crucial de mettre en place les bonnes mesures pour protéger les données et les actifs numériques.Commençons par les bases de la sécurité réseau.Installez des pare-feuUn pare-feu agit comme une barrière entre votre réseau interne et le monde extérieur. Il vérifie les données qui entrent et sortent, bloquant toute activité suspecte.Il existe deux types de pare-feu : les pare-feu matériels, qui protègent tout le réseau, et les pare-feu logiciels, installés sur des appareils individuels.Les deux sont complémentaires. Par exemple, de nombreuses entreprises installent des pare-feu matériels pour contrôler l’accès externe et des logiciels supplémentaires pour renforcer la protection interne.Installer un logiciel antivirus est indispensableCes logiciels protègent vos appareils contre les virus, les rançongiciels et autres types de logiciels malveillants.Assurez-vous de choisir un logiciel qui se met à jour automatiquement pour rester protégé contre les menaces les plus récentes.Par exemple, des outils comme Malwarebytes et Norton sont bien connus pour leur efficacité.Et n'oubliez pas : il ne suffit pas d'installer ces logiciels une fois. Il est essentiel de planifier des scans réguliers pour s'assurer que rien de malveillant ne s'est infiltré dans votre réseau.La magie de la MFAMettez en place l'authentification multifactorielle. Cette technologie renforce la sécurité des comptes utilisateurs en ajoutant une deuxième étape après la saisie du mot de passe, comme un code envoyé par SMS ou un scan d'empreinte digitale.Cela complique la tâche des cybercriminels, même s'ils parviennent à voler un mot de passe. Imaginez un employé dont l’ordinateur est compromis.Grâce à l'AMF, il serait difficile pour l'attaquant d'accéder aux données sensibles de l'entreprise.Un VPN pour les connexions distantesPour ceux qui travaillent à distance enfin, l'utilisation d'un réseau privé virtuel, dit VPN, est également essentielle.Le VPN crée une connexion chiffrée entre les appareils de vos collaborateurs et votre réseau, ce qui protège les informations échangées même lorsqu'elles transitent par des réseaux non sécurisés, comme le Wi-Fi d'un lieu public.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, parlons de la manière dont Starlink, la société de connexion très haut débit à l'Internet par satellite, surfe sur la saison des ouragans outre-Atlantique, pour gagner des clients.L'entreprise a récemment proposé une aide aux victimes de l'ouragan Hélène, qui a ravagé l'État de Floride. En effet, Starlink a annoncé que son service serait gratuit pendant 30 jours pour les personnes touchées.À première vue, cela semble être une action généreuse et solidaire. Mais si l'on y regarde de plus près, cette offre n'est pas aussi gratuite qu'elle en a l'air.Gratuit mais pas tropD'une part, pour accéder à cette fameuse gratuité, les utilisateurs doivent quand même acheter le matériel nécessaire, le fameux terminal Starlink.Certes, il est vendu à un prix réduit pour l’occasion, mais on parle tout de même de près de 400 dollars, frais d’expédition inclus.Ce n'est pas vraiment à la portée de tout le monde, surtout en période de crise. Donc, même si le service est gratuit pendant un mois, l’accès à celui-ci a un coût initial assez conséquent.Un bon moyen d'engranger des abonnésEnsuite, à la fin des 30 jours gratuits, l'abonnement devient automatiquement payant. Les utilisateurs se retrouvent alors avec une facture de 120 dollars par mois s’ils ne se désabonnent pas.Donc, on est bien loin d’une véritable aide humanitaire. Il s'agit plutôt d'une stratégie marketing pour attirer de nouveaux clients sur la durée.Un utilisateur de Starlink a même posté un message en ligne pour souligner que cette période d’essai de 30 jours existait déjà avant l'ouragan. Donc oui, l'offre n'est pas si inédite que cela.Des alternatives existentEnfin, Starlink n'est pas le seul acteur à intervenir dans les zones sinistrées.Aux Etat-Unis, d’autres opérateurs, comme Spectrum ou T Mobile, proposent aussi des solutions temporaires de connectivité.Il s'agit d'accès Wi-Fi gratuits ou des alertes d’urgence via satellite.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La fin programmée des réseaux 2G et 3G aura des conséquences pour les ascenseurs. Eh oui, vous avez bien entendu, nos bons vieux ascenseurs sont concernés par ce virage technologique.Alors, pourquoi parle-t-on des ascenseurs ?Parce que les systèmes d'alarme intégrés, qui permettent de contacter les services de dépannage en cas de panne ou de souci technique, reposent encore souvent sur les réseaux 2G et 3G.Ces technologies seront bientôt arrêtées par les opérateurs télécom et devront être remplacées par des réseaux plus récents, comme la 4G ou la 5G. Et c'est un vrai casse-tête pour l'industrie de l'ascenseur.Premier point, ce changement implique des coûts importants. En France, près de 300 000 ascenseurs utilisent encore ces réseaux.Les syndics de copropriété et les propriétaires d'immeubles devront donc se préparer à des charges supplémentaires pour mettre leurs installations à jour avec de la 4G ou de la 5G.Un calendrier serréDeuxième point, le calendrier est serré. Orange prévoit de couper son réseau 2G fin 2025, et Bouygues et SFR suivront l'année suivante. Pour la 3G, on parle de 2028 pour Orange et SFR, et un an plus tard pour Bouygues.Certes, cela peut paraître lointain. Mais ce délai est néanmoins jugé trop court par la fédération des ascenseurs. Cette fédération professionnelle mentionne que près de la moitié du parc d'ascenseurs en France est concerné.Surtout, la fédération râle parce que ce sont ces mêmes opérateurs qui ont recommandé il y a quelques années de basculer des lignes cuivres à ces réseaux sans fil. Et voilà qu'il faut de nouveau tout changer ! La fédération des ascenseurs a écrit à l'Arcom pour demander le report de deux années au moins de l'arrêt des réseaux 2G et 3G par les opérateurs.D'autres appareils connectés touchésEnfin, dernier point, ce ne sont pas seulement les ascenseurs qui sont touchés.De nombreux autres équipements reposant sur ces technologies devront également être mis à jour.Par exemple des dispositifs de téléassistance pour les personnes âgées, des alarmes connectées pour les locaux professionnels, ou encore des systèmes de sécurité dans les véhicules, comme les appels de secours automatiques.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voici une décision importante qui pourrait transformer l'écosystème des applications mobiles sur Android. Un juge américain a ordonné hier à Google de modifier sa boutique d'applications en ligne. Oui, le Play Store doit dorénavant permettre plus de concurrence.La décision judiciaire est prise suite à un procès qui oppose Google à Epic Games. Le créateur du célèbre jeu en ligne Fortnite accuse Google de monopoliser la distribution d'applications sur Android.Le juge a en conséquence décidé que Google ne peut plus interdire les méthodes de paiement alternatives dans ses applications. Et doit permettre le téléchargement d'applications depuis d'autres sources.La fin du deal avec les fabricants de smartphoneEnsuite, cela va engendrer des changements à venir dans le Play Store. Pendant les trois prochaines années, aux Etats-Unis, Google devra s'assurer que les utilisateurs puissent accéder à des plateformes concurrentes.Google ne devra pas non plus payer les fabricants de smartphone pour qu'ils préinstallent sa boutique d'applications sur les appareils neufs.Le but selon le juge est de mettre en place un écosystème d'applications plus dynamique et compétitif sur Android.Google compte faire appelEnfin, il faut noter que Google a annoncé son intention de faire appel de cette décision. L'entreprise affirme que les changements exigés par la justice pourraient nuire aux consommateurs et aux développeurs.Côté européen, des actions en justice et des enquêtes sont en cours pour déterminer également si les magasins d'applications ne permettent pas un monopole pour Google et Apple.Un mouvement similaire à celui en cours aux Etats-Unis pourrait donc arriver prochainement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, on va parler d’un sujet qui peut sembler surprenant. Voici pourquoi les géants de la tech, comme Amazon, Microsoft ou Google, se tournent vers l’énergie nucléaire pour alimenter leurs centres de données.D'abord, la consommation énergétique des datacenters des géants de la tech explose. Une explosion dopée par la montée en puissance des services d'intelligence artificielle. Bref, ces entreprises consomment une quantité énorme d’électricité pour mettre sur pied les services informatiques du futur.Et si les énergies renouvelables comme l’éolien et le solaire sont intéressantes, elles sont intermittentes. Elles dépendent du degré d'ensoleillement et de la force du vent. Le nucléaire, lui, a l’avantage de fournir une énergie continue, 24 heures sur 24. Et cela correspond parfaitement aux besoins des data centers qui tournent jour et nuit.Oui, c'est un argument environnementalC’est pour cette raison que Microsoft, par exemple, a signé tout récemment un contrat pour relancer une centrale nucléaire aux États-Unis.Le second point est surprenant et crée la division dans le camp des écologistes. Car oui, c'est un argument environnemental. Les géants du numérique se sont tous engagés à réduire leurs émissions de carbone. Or, avec la montée en puissance de l'IA, ces entreprises voient leurs émissions polluantes augmenter. Le nucléaire pourrait être une solution, car il produit très peu de gaz à effet de serre.Bill Gates, qui a créé Microsoft, est lui-même un fervent défenseur de cette technologie. Il a d'ailleurs créé une société nommée TerraPower, qui conçoit des réacteurs nucléaires. Et pour lui, le nucléaire peut aider à résoudre les problèmes climatiques.Vers les petits réacteurs modulairesTerraPower commence à développer une nouvelle classe de réacteurs nucléaires. Mais ce projet est repoussé d'au moins deux ans du fait que le seul fournisseur du combustible nucléaire qui convient est russe. Mais l'exemple de TerraPower montre surtout que les géants de la technologie ne se limitent plus aux vieilles centrales.Ils misent aussi sur de nouvelles technologies, comme les petits réacteurs modulaires.Ces réacteurs de nouvelle génération, plus petits et plus flexibles, pourraient fournir une électricité de manière plus adaptable aux besoins des entreprises. Google, par exemple, envisage sérieusement cette option dans sa stratégie énergétique pour l’avenir.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui évoquons un sujet brûlant. Voici comment Google et Goldman Sachs cherchent à influencer la réglementation de l'intelligence artificielle en Europe. Leur arme ? Un rapport économique qui promet monts et merveilles.Premier point, selon ce rapport, Google estime que l'IA générative pourrait transformer plus de 60 % des emplois en Europe. Cela permettrait non seulement d’augmenter la productivité dans des secteurs clés comme les services, mais aussi de créer des milliers de milliards d’euros de croissance pour l’économie européenne.Google promet même une augmentation annuelle explosive de 8 % du PIB dans la zone euro pour les dix prochaines années. Pour rappel, le taux de croissance actuel est de... 0,3 %.La grande automatisation des servicesL'idée ici est que l'IA générative, à la différence des robots industriels qui se concentraient surtout sur la production de produits, touche des domaines où la main-d’œuvre est encore majoritairement humaine, comme les services.Deuxième point, ce rapport met en avant la compétitivité technologique de l'Europe, compétitivité qui bat de l'aile.Il rappelle un constat alarmant. En 2022, l’Europe n'a déposé que 2 % des brevets mondiaux dans le domaine de l'IA, contre plus de 60 % pour la Chine et plus de 20 % pour les États-Unis.Allègement des lois européennes pour améliorer l'innovationCe retard au démarrage est vu par Google comme une conséquence directe de la réglementation excessive dans le secteur numérique. Et de viser directement l'adoption récente du pacte sur l'intelligence artificielle, qui réglemente le développement et les usages de cette nouvelle technologie en EuropeGoogle et Goldman Sachs, qui a fourni les modèles économiques sur lesquels se basent l'étude, plaident donc pour un allègement des lois européennes pour améliorer l'innovation.Au delà de leurs fantastiques projections économiques, ils s’appuient aussi sur le récent rapport de Mario Draghi, ancien président de la Banque centrale européenne, qui signale un ralentissement de la productivité en Europe.Meta et Apple ont retardé le déploiement de certaines technologies d'IA dans l’UEEnfin, malgré ces critiques, Google reconnaît néanmoins la nécessité d’une certaine forme de régulation.Mais le géant américain appelle l’Europe à mettre en place un cadre plus souple, tout en respectant les exigences de confidentialité et de sécurité des données.Cette campagne de lobbying survient alors que d'autres entreprises technologiques américaines comme Meta et Apple ont retardé le déploiement de certaines technologies d'IA dans l’Union européenne, craignant des sanctions ou des obstacles liés aux nouveaux textes, comme la loi sur les marchés numériques, dite aussi DMA.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, voici les résultats d'un baromètre, qui met en lumière les marques d'appareils électroniques les plus fiables. Alors que la durabilité est devenue un critère essentiel, c'est Fnac Darty qui publie ce rapport fort précieux pour connaître les produits qui durent vraiment.Détaillons donc ensemble les performances des smartphones, des téléviseurs et des ordinateurs portables.Premièrement, côté smartphones, c'est Apple qui est en tête. La marque à la pomme est suivie de près par Honor, et c'est une petite surprise. La marque chinoise fait un bond dans le classement grâce à ses efforts en matière de fiabilité. Samsung, par contre, glisse à la troisième place, malgré une bonne disponibilité de pièces détachées.A noter que les marques chinoises comme Oppo et Xiaomi sont de plus en plus compétitives sur la durabilité. Et c'est un vrai changement, puisque l'on se souvient que les premiers modèles Android ne duraient souvent que deux ans.Ensuite, pour les ordinateurs portables, pas de surprise. Apple est encore en tête. Viennent ensuite les modèles sous Windows, avec respectivement H P, et juste derrière Lenovo. A noter que le fabricant chinois est sur une belle trajectoire et pourrait bien dépasser H P l'année prochaine, grâce à ses progrès en fiabilité et durabilité.Enfin, du côté des téléviseurs, Sony domine aussi bien les modèles LED que OLED. C'est un leader incontesté en matière de fiabilité, même si LG n’est pas loin derrière pour l'OLED. Philips, lui, fait un bond sur la réparabilité, en s'engageant à fournir des pièces détachées sur 10 ans. C’est bien évidemment un gros plus pour ceux qui veulent garder leur matériel longtemps.Samsung a perdu quelques points dans le classement, surtout à cause du coût élevé des pièces détachées du fabricant coréen.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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