DécouvrirChoses à Savoir ÉCONOMIE
Choses à Savoir ÉCONOMIE
Claim Ownership

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Auteur: Choses à Savoir

Abonnements: 1,737Lu: 139,163
partager

Description

Développez vos connaissances en économie !

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

863 Episodes
Reverse
Certains commerces ont du mal à s'adapter à l'évolution de nos sociétés. C'est le cas des boucheries-charcuteries. Selon une récente enquête, le nombre des boucheries parisiennes aurait ainsi diminué de moitié en 20 ans.On compte en effet 20 fermetures par an durant cette période. Victimes de cette érosion, les boucheries parisiennes sont passées au-dessous du seuil symbolique de 500. Soit un commerce pour 4.000 habitants environ.Comment expliquer cette désaffection pour les boucheries ? On peut d'abord évoquer l'âge moyen assez élevé de ces commerçants. En effet, nombre d'entre eux partent à la retraite, sans toujours trouver un successeur.En premier lieu, ces éventuels repreneurs sont découragés par le niveau des loyers, qui ne cessent d'augmenter dans la capitale.Mais les difficultés rencontrées par les bouchers tiennent aussi aux changements de goûts des consommateurs. Certes, la consommation de viande progresse un peu, mais de manière timide.D'après une étude récente, elle aurait augmenté de 0,8 % en 2022, par rapport à l'année précédente. Mais, dans l'ensemble, les Français se détournent un peu de la viande. Pour des raisons sanitaires d'abord, la filière ayant été touchée par des maladies comme la vache folle ou la grippe aviaire.L'impact environnemental de l'élevage explique aussi cette désaffection. En effet, il serait responsable d'environ 12 % des émissions humaines de gaz à effet de serre.Les considérations de santé jouent aussi un rôle. Ainsi, une consommation excessive de viande pourrait contribuer à l'apparition de calculs rénaux, à une prise de poids ou une fragilisation osseuse.Autre argument invoqué par les détracteurs de la viande : une forte augmentation des prix, encore renforcée par l'inflation. Pour toutes ces raisons, auxquelles s'ajoutent des considérations éthiques, notamment sur le bien-être animal, de nombreux consommateurs adoptent un régime alimentaire végétarien ou même végan.Rappelons que les partisans de ce régime excluent de leur alimentation, mais aussi de leur vie quotidienne, tout produit issu de l'exploitation animale.Enfin, pour couronner le tout, de nombreux consommateurs achètent viandes et produits de charcuterie dans les rayons des supermarchés, qui concurrencent de plus en plus les boucheries traditionnelles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pendant que certains ne veulent considérer que le côté festif des Jeux olympiques à venir, d'autres insistent sur une facture qui ne cesse de s'alourdir.En effet, le coût de ces Jeux de Paris a été estimé, au départ, à 3,8 milliards d'euros. Or, la note s'élève déjà à près de 9 milliards d'euros. Selon de nombreuses prévisions, le seuil des 10 milliards devrait même être franchi.Si cette manifestation sportive coûte aussi cher, c'et qu'il faut construire le village olympique, édifier de nouvelles infrastructures, comme le centre aquatique olympique de Saint-Denis, ou encore louer le Stade de France pendant la durée de la compétition.C'est au Comité d'organisation des Jeux olympiques (COJO) qu'il appartient de prévoir ce financement. Une partie de l'argent nécessaire au déroulement de ces Jeux provient de sources privées ou de structures internationales.Ainsi, la vente de billets devrait rapporter environ 1,4 milliards d'euros, les divers sponsors fournissant, de leur côté, un peu plus de 1,2 milliard d'euros. Le Comité international olympique (CIO) met lui aussi la main à la poche, pour une somme comparable.Mais l'État participe également au financement des Jeux olympiques. Il a confié cette mission à la Société de livraison des ouvrages olympiques (SOLIDEO), un établissement public chargé de financer mais aussi de livrer certains ouvrages olympiques.Le budget global de cet organisme est estimé à 4,4 milliards d'euros. Il doit notamment permettre de financer de nouvelles piscines, la passerelle reliant le Stade de France au nouveau centre aquatique olympique ou encore le village olympique.Environ 110 millions d'argent public doivent encore contribuer au financement des Jeux paralympiques. En fin d'année 2022, le budget d'ensemble a été augmenté de 10 %, afin de tenir compte de l'inflation.Ces Jeux de Paris, qui devraient donc compter plus de 10 milliards d'euros, ne sont pourtant pas considérés comme une compétition très onéreuse. À titre de comparaison, les JO de Londres, en 2012, auraient coûté entre 12 et 15 milliards d'euros, alors que ceux de Tokyo, en 2021, auraient mobilisé un budget d'environ 12 milliards d'euros. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le bruit, la pollution, le manque de verdure figurent parmi les raisons qui peuvent inciter certains citadins à s'échapper des villes. Une envie qui s'est faite plus pressante durant les confinements liés à l'épidémie de Covid.On aurait pu penser que la plupart de ces habitants, fatigués par le mode de vie urbain, avaient quitté les villes pour les campagnes. Or il n'en est rien. C'est du moins ce que révèle une récente enquête, publiée par la Fondation Jean Jaurès.Elle s'appuie sur une analyse de la population des cantons français entre 2017 et 2021.Les zones connaissant un excédent de population entre ces deux dates sont avant tout les littoraux. Ceux de l'Atlantique d'abord, depuis la Bretagne jusqu'à l'Aquitaine. Ceux de la Méditerranée ensuite, depuis la côte du Languedoc jusqu'au département des Alpes-Maritimes et à la Corse.La mer exerce donc toujours un puissant appel sur des citadins lassés de l'environnement urbain. En effet, toutes ces régions maritimes ont vu leur population augmenter de 2 à 5 % entre 2017 et 2021.Beaucoup parmi ces nouveaux résidents étaient venus dans ces régions au moment de l'épidémie de Covid. Et une partie d'entre eux a finalement décidé de rester. Ils ont ainsi l'impression de vivre à l'année dans des lieux associés d'habitude aux vacances.Les citadins ont aussi tendance à délaisser le cœur des grandes villes pour gagner les périphéries. De nombreuses cités, comme Lyon, Montpellier, Strasbourg ou Metz, ont connu une telle évolution.Enfin, certaines régions frontalières, come celle bordant la Suisse, attirent également de nouveaux habitants. Les auteurs de l'étude nomment ces trois régions capables de capter une nouvelle population le "nouveau croissant fertile".En revanche, ils soulignent l'attrait modéré exercé par de nombreuses régions rurales, dont la population a baissé entre les deux dates considérées. Si certaines personnes s'installent tout de même à la campagne, elles choisissent plutôt des lieux proches des villes.On le voit, l'idée couramment exprimée, selon laquelle les Français fuiraient les villes pour les campagnes, relève largement du mythe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Jeux olympiques et paralympiques qui se tiendront à Paris cet été devraient attirer près de 16 millions de visiteurs. Des Français bien sûr, mais aussi des amateurs de sport venus du monde entier. On estime leur nombre entre 1,2 et 2,3 millions.Il faudra bien sûr les loger. Et une telle augmentation de la demande ne peut qu'influer sur des prix qui, de fait, ont beaucoup augmenté.Selon certains analystes, le prix d'une nuitée aurait atteint à la fin mars 2024, 700 à 800 euros, soit 3,5 fois de plus que le prix normal.Une telle hausse des tarifs d'hébergement ne concerne pas seulement la capitale. En Île-de-France aussi, où ont d'ailleurs lieu certaines épreuves, les prix ont également bondi. Il faudrait compter, en moyenne, plus de 530 euros la nuit, soit une augmentation de près de 200 %.Mais cette analyse n'est pas partagée par tous les observateurs. Ainsi, une étude publiée, le 18 avril, par le comparateur d'assurances "Réassurez-moi", insiste plutôt sur la baisse du prix de ces logements loués pour les Jeux olympiques.Selon ce document, en effet, le prix moyen d'une location, en juillet 2023, était de plus de 1.000 euros. En février 2024, ce prix avait déjà beaucoup fléchi, pour se situer à un peu plus de 680 euros.Des prix certes plus élevés que d'habitude, mais qui ne correspondent pas aux attentes des propriétaires. Le comparateur d'assurances explique cette baisse par la nécessité, pour les propriétaires et les plateformes de location, de refléter la demande réelle.En effet, ils ont dû tenir compte du pouvoir d'achat moyen des visiteurs. Compte tenu des autres dépenses nécessitées par leur séjour à Paris, dont le prix des billets, des transports et de la nourriture, ils ne pouvaient pas se permettre, dans l'ensemble, de payer autant pour se loger.Aussi les propriétaires devront-ils sans doute réviser leurs ambitions à la baisse. En effet, ils pouvaient espérer toucher, en 2023, environ 16.000 euros pour une location de 16 jours. Ils devront peut-être se contenter de 7.000 euros aujourd'hui. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On le sait, l'imagination des escrocs est sans limite. Ils parviennent toujours à élaborer de nouveaux stratagèmes pour tromper leurs victimes. Ainsi, une nouvelle arnaque a été signalée, le mois dernier, dans certaines communes du nord de la France, comme Wimereux ou Équihen-Plage. On l'appelle "l'arnaque à la poubelle". La presse régionale s'en est d'ailleurs fait l'écho.Des individus se sont en effet présentés aux habitants de certains quartiers de ces villes. Ils se sont dits mandatés par la commune pour procéder au remplacement des bacs de collecte des déchets, autrement dit des poubelles collectives utilisées par les résidents.Ces prétendus agents municipaux ont alors indiqué que ce remplacement n'était pas gratuit. L'un de ces escrocs a ainsi réclamé 10 euros pour changer les poubelles. Il semble établi que, dans certains cas, à Équihen-Plage par exemple, ces malfrats aient agi seuls.Comme toujours en pareil cas, les escrocs s'adressent de préférence aux personnes âgées, qui ne se méfient pas toujours et qu'il semble plus facile d'abuser.Il va de soi qu'une fois l'argent encaissé, les escrocs s'empressent de disparaître de la circulation, sans se soucier des poubelles des habitants qu'ils viennent de gruger.Avertis, les services municipaux concernés ont aussitôt mis en garde les habitants contre ce démarchage abusif. Ce message d'avertissement a notamment été diffusé sur les réseaux sociaux. Ils rappellent que les agents municipaux n'ont pas pour habitude de faire du porte-à-porte. En effet, les informations à connaître ne sont jamais communiquées de cette façon.Par ailleurs, les mairies ont profité de l'occasion pour signaler que le remplacement de ces bacs était gratuit et pris en charge par les collectivités territoriales. Un appel à la vigilance qui, en l'occurrence, semble inutile.En effet, malgré l'insistance des escrocs, il semble que les habitants soient restés sceptiques. D'après la presse locale personne ne se serait laissé abuser. Ce qui n'empêche pas les services de gendarmerie de poursuivre activement ces arnaqueurs.En effet, une opération de recherche a été lancée, mais elle n'a pour l'instant donné aucun résultat. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous avez construit un abri de jardin pour ranger vos outils ou vos vélos, il vous faudra peut-être le déclarer au fisc. Quelles sont les règles en la matière ?Pour savoir si la construction doit être déclarée, il faut calculer sa surface de plancher, qui correspond à la somme des surfaces closes et couvertes, ou son emprise au sol, qui rend compte de la surface totale de la construction, avec les murs extérieurs.Les bâtiments dont la surface de plancher ou l'emprise au sol est supérieure à 5 m2, et dont la hauteur de plafond dépasse 1,80 mètre, sont en principe imposés.Ils entrent alors dans la catégorie des constructions requérant une autorisation d'urbanisme. Il peut s'agir, selon les dimensions de l'abri de jardin, d'une déclaration préalable de travaux ou d'un permis de construire.Si votre abri de jardin dépasse certaines dimensions, et qu'il vous faut solliciter une autorisation d'urbanisme pour pouvoir le construire, il sera assujetti à la taxe d'aménagement, aussi appelée taxe "abri de jardin".Le montant de cette taxe est fixé chaque année, au début janvier. En 2023, elle a augmenté de 8 % par rapport à 2022. Ce qui représente 1004 euros par m2 pour l'Île-de-France, et 886 euros le m2 en dehors de cette région. Et la taxe a encore bondi de plus de 3 % en 2024.Vous avez donc tout intérêt à déclarer votre abri de jardin s'il entre dans la catégorie des biens imposables. D'autant que l'administration fiscale s'est dotée des moyens nécessaires à la détection de ces constructions extérieures.Avec la collaboration de certains organismes, le fisc pourra en effet examiner des images aériennes pour y repérer des abris de jardin ou des vérandas qui n'auraient pas été déclarés.Les contrevenants s'exposent au paiement d'amendes. Ils devront d'abord s'acquitter d'une amende de 150 euros pour n'avoir pas déclaré leur abri de jardin. À quoi peut s'ajouter une amende supplémentaire, qui peut varier de 1.200 à 6.000 euros par m2, si vous avez omis de demander l'autorisation d'urbanisme nécessaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Beaucoup de Français estiment n'avoir pas assez de ressources financières pour pouvoir vivre confortablement. Selon une récente enquête, menée pour le compte d'une banque en ligne, seuls 39 % d'entre eux éprouvent ce que les auteurs du sondage appellent un "bien-être financier".Interrogés sur ce qu'elles entendent par là, 18 % des personnes interrogées évoquent l'impossibilité de s'offrir de "petits plaisirs" et 27 % la difficulté à satisfaire des besoins essentiels.Et l'enquête révèle que, pour se sentir à l'aise financièrement, les Français auraient besoin, en moyenne, de 897 euros supplémentaires par mois. Pour près de 20 % des sondés, plus de 1.000 euros devraient même s'ajouter à leurs revenus pour atteindre un véritable bien-être financier.Il s'agit notamment des personnes plus âgées, entre 55 et 64 ans, ou encore des familles avec enfants.On le voit, il faudrait à la majorité des Français plus d'un demi Smic net en plus, chaque mois, pour vivre à leur aise. Ce qui n'est pas une somme négligeable.Ce relatif désenchantement des Français illustre bien l'importance qu'ont les questions financières à leurs yeux. La même enquête montre en effet que plus de 65 % des personnes interrogées pensent régulièrement à l'argent, 20 % d'entre elles y pensant même tous les jours.Sans surprise, les personnes aux revenus moyens souvent plus faibles, comme les membres des familles monoparentales ou les jeunes, sont encore plus sensibles à ce sujet. Pour elles, l'argent est donc surtout une cause d'angoisse.Et cette situation est d'autant plus mal ressentie que beaucoup de sondés estiment difficile de parler des problèmes d'argent à leurs proches.Cette étude nous montre donc des français qui, dans l'ensemble, s'accommodent mal de leur situation financière. Un constat d'autant plus inquiétant que, pour plus des trois quarts des personnes interrogées, l'argent serait essentiel à leur bien-être.Pourtant, plus de la moitié des sondés disent se sentir satisfaits de leur vie actuelle. Ce qui peut sembler un peu contradictoire, mais manifeste aussi le rapport assez complexe qu'ont les Français à l'argent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis près d'un siècle, le guide Michelin décerne des étoiles aux restaurants qui lui paraissent mériter cette distinction. Mais le célèbre livre rouge a décidé d'élargir le champ de ses récompenses.En effet, certaines sont désormais réservées aux hôtels. Ils ne recevront pas des étoiles, mais des clefs. Les établissements censés faire passer à leurs clients un "séjour singulier" sont récompensés d'une clef.Si le guide juge le séjour "exceptionnel", l'hôtel qui l'organise se voit octroyer deux clefs. Et les trois clefs sont, comme les trois étoiles pour les restaurants, la distinction suprême. Elle promet en effet aux clients des hôtels retenus un séjour "extraordinaire".189 établissements ont été sélectionnés pour ce premier palmarès. Ce sont des hôtels variés, qui vont des petits établissements familiaux de trois chambres à de grands complexes hôteliers comprenant plus de 200 chambres.Parmi tous les hôtels examinés par les inspecteurs du guide Michelin, qui, bien entendu, ne révèlent pas leur identité, 127 ont reçu une clef, 38 deux clefs et seuls 24 hôtels ont obtenu le premier prix, autrement dit les trois clefs.On ne sera guère étonné de trouver, parmi ces derniers hôtels, des palaces de la capitale, de la Côte d'Azur ou d'une station de ski huppée. Avec 22 hôtels distingués, dans toutes les catégories, Paris se taille la part du lion.Pour le reste, toutes les régions sont représentées dans ce palmarès, certaines, comme la Corse ou la Bretagne, plus que d'autres.Ces récompenses ont été attribuées sur la base de certains critères. L'accueil des clients et la tenue générale de l'hôtel sont l'un des éléments retenus. Les inspecteurs chargés d'une petite enquête sur l'établissement vérifient aussi l'adéquation entre les tarifs et les prestations servies aux clients.Le cadre, aussi bien intérieur qu'extérieur, compte également. Quant à la qualité du service, elle influe aussi sur la note donnée à l'établissement.Le guide Michelin ne décerne pas des récompenses aux seuls hôtels de l'hexagone. Entre avril et juillet 2024, il dévoilera son classement pour les établissements américains, espagnols ou encore japonais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Selon l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), qui régule la communication audiovisuelle en France, plus de 2 millions de mineurs fréquenteraient régulièrement des sites pornographiques. Plus de la moitié des garçons, dès l'âge de 12 ans, s'y rendraient en effet chaque mois.En attendant de mettre au point un dispositif plus complet, pour leur en interdire l'usage, l'Arcom va prendre des mesures provisoires. La principale consiste à contrôler l'âge des utilisateurs en leur demandant de donner les références de leur carte bancaire. Ce dispositif provisoire devrait mis en place durant une période de six mois.L'Arcom part en effet du principe que ces cartes ne sont pas délivrées à des mineurs et que quasiment tous les Français en possèdent. L'existence et la validité de ces cartes seront vérifiées, ainsi que leur système d'authentification, par un organisme indépendant des sites concernés.Le but n'est pas de faire payer un abonnement à ces sites. Il peut être question, dans certains cas, du paiement d'une somme très modique, mais qui devrait être aussitôt remboursée.Par ailleurs, l'Arcom accorde une attention particulière à la protection des données personnelles contenues dans les cartes bancaires. Leur confidentialité serait respectée par des services de vérification qui, on l'a vu, ne dépendent pas des sites pornographiques. En outre, ils devraient utiliser un mécanisme de contrôle permettant de ne pas divulguer l'identité des possesseurs de cartes bancaires.Pour l'instant, les sites concernés par cette mesure sont situés en France ou sont hébergés hors d'Europe. Les sites provenant de pays membres de L'UE ne sont pas tenus d'appliquer ce mécanisme de surveillance. Du moins jusqu'à la conclusion d'un accord dans ce sens avec chacun d'entre eux.Ce projet s'ajoute à d'autres dispositions, comme la loi SREN, visant à sécuriser et réguler l'espace numérique. Adoptée en octobre 2023, mais pas encore promulguée, cette loi, qui transpose dans le droit français des directives européennes, permet à l'Arcom de retirer du web les sites pornographiques ne contrôlant pas suffisamment l'accès des mineurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous souhaitez acheter ou louer un appartement, ou une maison, vous allez fonder votre décision sur certains éléments. Les photos mises en vitrine par les agences immobilières, ou publiées sur leurs sites, sont l'un d'entre eux.Et non des moindres. En effet, d'après un récent sondage, la quasi totalité des personnes interrogées, soit 98 % d'entre elles, considèrent les photos comme un critère de choix essentiel. Et près de 60 % les estiment même indispensables.Ces photos sont en effet, du moins dans un premier temps, la seule manière de se projeter dans le logement. Et plus elles sont nombreuses, plus les clients sont satisfaits.En effet, 6 Français sur 10 pensent inutile de visiter un logement dont toutes les pièces n'ont pas été photographiées.Un vendeur ou un loueur ont donc tout intérêt à disposer d'un dossier photographique fourni. Même si toutes les pièces doivent faire l'objet de photos, certaines d'entre elles doivent se retrouver plus souvent sur ces clichés.C'est notamment le cas de la cuisine, du salon ou de la salle de bains, que bien des clients considèrent comme des pièces essentielles. Il ne faut donc pas hésiter à les photographier sous tous les angles. Il faut aussi penser à prendre des photos du balcon, s'il y en a un, et de l'environnement extérieur immédiat.Mais la quantité ne suffit pas. Il faut aussi soigner ces images. Leur qualité peut inciter de nombreux clients, jusque-là hésitants, à franchir le pas. Mais l'inverse est également vrai.Selon une autre enquête, près de 65 % des personnes interrogées se seraient dites moins intéressées par un logement dont les photos étaient de mauvaise qualité.Sans aller jusqu'au "home staging", une technique consistant à mettre en valeur un logement, dans le seul but de le vendre plus cher, on peut du moins soigner la décoration avant de prendre les photos.Il est à noter, enfin, que les vidéos et même les visites virtuelles remplacent ou du moins s'ajoutent souvent aux photos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La fin de la guerre froide, marquée notamment, au début des années 1990, par la disparition de l'URSS et de ses États satellites, a semblé faire reculer la menace de guerre en Europe.Aussi certains pays, comme la France, ont-ils décidé de réduire leur effort militaire. Une telle décision s'est notamment traduite par une moindre production de poudre propulsive, nécessaire à la fabrication des obus.En 2007, en effet, il a été décidé de ne plus fabriquer cette poudre en France, mais d'en relocaliser la production sur un site suédois. Cette décision explique en partie la diminution de la production d'obus, passée de 5.000 unités de 2007 à 2012, à environ 500 entre 2012 et 2017.Mais le conflit avec l'Ukraine, déclenché par Moscou en 2022, a profondément changé la donne. En effet, la guerre est à nouveau aux portes de l'Europe.Dans ce contexte international beaucoup plus tendu, la France a décidé de relancer sa production de poudre propulsive. Et de la rapatrier sur le territoire national. De fait, le site de Bergerac, qui abritait une usine de fabrication de poudre, a été reconstitué en un délai très bref.En effet, d'après le responsable de ce site, il aura fallu deux ans pour le réactiver alors qu'il en faut d'ordinaire quatre à cinq pour mener à bien ce type d'opérations. Cette performance a été rendue possible grâce à un investissement de 50 millions d'euros, auxquels s'est ajoutée une aide publique de 10 millions d'euros.L'usine devrait être en mesure, dès l'année prochaine, de produire environ 1.200 tonnes de poudre, ce qui permettrait de fabriquer 100.000 obus par an. Une production qui devrait monter en puissance dès 2026 grâce à l'automatisation d'une ligne de production fonctionnant en permanence.Une nouvelle qui ne pourra que réjouir les autorités ukrainiennes. En effet, la plus grande partie de cet armement, environ 80 %, leur est en principe destinée. Une livraison d'autant plus attendue que ces obus de 155 mm équipent les très efficaces canons Caesar fournis par la France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'or est souvent considéré comme un placement très avantageux. Mais est-ce encore le cas aujourd'hui ? À cette question, il faut répondre par l'affirmative.En effet, le cours de l'or ne cesse de grimper. Après avoir atteint la valeur record de 2.210 dollars l'once, le 21 mars dernier, soit environ 2025 euros, le cours du métal jaune s'est ensuite maintenu au-dessus des 2.000 dollars, avant d'arriver à un nouveau palier, encore jamais franchi, le cours s'établissant à plus de 2.265 dollars le 1er avril.Les raisons de cette envolée ne manquent pas. En cette période où, à la guerre en Ukraine, qui se poursuit, s'est ajouté le conflit dans la bande de Gaza, l'or remplit parfaitement son rôle de valeur refuge.Par ailleurs, le métal jaune est aussi sensible à l'inflation que tout autre produit. Ce facteur explique lui aussi la montée des cours. Des achats massifs d'or par certaines banques centrales vont dans le même sens.Il faut aussi rappeler qu'une possible baisse des taux, évoquée par des banques centrales comme la BCE ou la FED a également orienté le cours de l'or à la hausse. En effet, des taux directeurs trop élevés sont considérés comme un signal négatif par les investisseurs intéressés par l'or.Il semble donc que l'or représente un excellent placement pour le moment. Mais cette ascension des cours va-t-elle se poursuivre ? Bien malin qui pourrait le dire.Le léger repli de l'inflation pourrait provoquer une légère baisse, mais l'or pourrait aussi réagir, par une hausse des cours, à des événements graves qui, dans le contexte international tendu que nous connaissons aujourd'hui, peuvent toujours se produire.Dans cette perspective, les relations entre les États-Unis et la Chine et la prochaine élection présidentielle américaine sont également scrutées avec attention par les investisseurs.Aussi certains spécialistes envisagent-ils la possibilité d'une once d'or à 2.500 euros pour l'année 2024, d'autres prévoyant plutôt une stabilisation du cours.Ceci étant, le métal jaune étant un placement à long terme, il ne faut sans doute pas focaliser son attention sur des baisses ponctuelles toujours possibles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les sushis sont très appréciés des Français, qui en sont les plus gros consommateurs en Europe. Ce mets japonais, composé notamment de poisson cru, de fruits de mer et de riz, est très populaire dans l'hexagone depuis une vingtaine d'années.Et sa consommation s'est encore accrue durant l'épidémie de Covid. En effet, le chiffre d'affaires des restaurants de sushis augmente de 20 % entre 2019 et 2022. Mais, en réalité, il marque le pas dès 2021, la progression n'étant que de 2 % entre 2021 et 2022.Depuis quelques années, par conséquent, les Français semblent se détourner de ce plat. À tel point qu'une enseigne de restauration, spécialisée dans les sushis, a dû mettre la clef sous la porte.Un sondage, réalisé au début de cette année, montre que les Français préfèrent les pizzas, les burgers ou les kebabs aux sushis. D'après cette enquête, seules 15 % des personnes interrogées ont déclaré avoir mangé des sushis.Mais comment expliquer ce désamour ? La première raison en est le coût. Parmi les produits de la restauration rapide, le sushi était déjà l'un des plus chers. Il fallait en effet dépenser une vingtaine d'euros, en moyenne, pour s'en régaler.Alors que, dans certains fast-foods, on pouvait, avec la moitié de cette somme, s'offrir un menu avec un burger. Et du fait de l'enchérissement de certains de ses ingrédients, comme le saumon, le prix des sushis a encore augmenté.Par ailleurs, les consommateurs ressentent peut-être une certaine lassitude. En effet, le sushi peine à se réinventer, contrairement à d'autres spécialités de la restauration rapide. C'est donc devenu un plat un peu trop banal.Certains mets profitent en plus d'une offre plus large, les burgers, par exemple, étant aussi bien servis aujourd'hui dans des restaurants traditionnels que dans des enseignes de restauration rapide. Ce qui n'est pas forcément le cas des sushis.Enfin, d'autres spécialités culinaires japonaises, comme les ramens, un plat à base de pâtes et de bouillon de poisson, concurrencent de plus en plus les sushis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Premier ministre voudrait que le travail soit organisé avec plus de souplesse. D'où sa récente proposition d'une semaine "en quatre jours", et non "de quatre jours", a-t-il tenu à préciser.Il s'agirait donc de permettre à ceux qui le souhaitent, pour l'instant certains fonctionnaires, de faire les 35 heures de leur semaine de travail en lui consacrant un jour de moins. Ce qui veut dire que, chaque jour, devraient arriver au travail un peu plus tôt et partir un peu plus tard.S'il s'agit bien de diminuer le nombre de jours de travail hebdomadaires, il n'est donc pas question de réduire le temps de travail.Le chef du gouvernement a également indiqué qu'une plus grande flexibilité du travail serait particulièrement utile à certains, comme les couples séparés par exemple. En effet, on pourrait imaginer que l'un des partenaires travaille davantage une semaine, et moins la semaine suivante.Ce qui permettrait d'assurer plus facilement la garde alternée des enfants. Gabriel Attal a d'ailleurs précisé qu'un tel dispositif pourrait tout aussi bien convenir à d'autres salariés.L'idée de cette semaine raccourcie n'est pas nouvelle pour le Premier ministre. Il l'avait annoncée, en janvier dernier, dans sa déclaration de politique générale. Et il l'avait déjà expérimentée quand il était ministre des Comptes publics.Si cette mesure devait entrer en vigueur, elle ne concernerait d'ailleurs qu'une partie de la fonction publique d'État. En effet, environ un million de fonctionnaires sur cinq pourraient essayer cette semaine "en quatre jours". Mais elle ne s'appliquerait ni aux enseignants ni aux forces de l'ordre.Pour l'instant, les syndicats restent réservés. D'autant que la mise en place de cette nouvelle semaine de travail pourrait s'accompagner d'une réorganisation du système des RTT. Il n'est pas exclu, notamment, que les fonctionnaires concernés soient amenés à renoncer à certains de ces jours de repos.Et les employeurs ne sont pas très enthousiastes non plus. Ils voient surtout la proposition du Premier ministre comme un système compliqué et difficile à mettre en place dans la pratique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous êtes retraité, vous avez sans doute remarqué que votre pension de base est toujours versée le 8 ou le 9 de chaque mois.Si le 9, qui est la date de versement normalement retenue, est un samedi, un dimanche ou encore un jour férié, la pension sera alors versée le jour précédent ou le jour suivant. Ce qui sera le cas plusieurs fois en 2024.Ainsi, par exemple, la pension d'avril sera versée le 7 mai et celle de mai le 7 juin. Mais pourquoi cette date de versement tardive, alors que la pension versée au titre de la retraite complémentaire de l'Agirc-Arrco est mise en paiement le premier jour ouvré de chaque mois ?Ce calendrier de versement peut en effet poser des problèmes à des retraités qui se retrouvent notamment à découvert.Pour comprendre les raisons de ce versement tardif des pensions de base, il faut rappeler qu'elles sont alimentées par les cotisations versées par les actifs.Or il faut un certain temps à l'URSSAF, chargé de la collecte et de la gestion de ces cotisations, pour les recueillir. En effet, il faut d'abord les collecter auprès de chaque entreprise, puis les réunir au niveau de la Caisse nationale de l'URSSAF.Des démarches qui, on s'en doute, prennent un peu de temps. En principe, la Caisse nationale ne recueille l'ensemble des sommes prévues que le 5 de chaque mois.Il faut ensuite compter un délai supplémentaire de 4 jours, nécessaire au transfert de l'argent vers les caisses de retraite et au paiement effectif des pensions.L'Assurance retraite semble bien consciente des difficultés inhérentes à ce calendrier de versement. Mais les contraintes spécifiques liées à la nature même de ces pensions ne permet guère de le modifier. Pour l'heure, en effet, il n'est pas prévu de changer la date de paiement des pensions de base.Pour l'Assurance retraite, c'est donc surtout une question de pédagogie. Il importe, en effet, d'expliquer aux retraités les raisons particulières expliquant ce paiement tardif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Français ne semblent pas toujours respecter leurs engagements. Pas plus auprès des restaurateurs, qui leur ont réservé une table, qu'auprès des médecins, chez qui ils ont pris un rendez-vous.Certains d'entre eux, en effet, ne s'y rendent pas, et ne prennent pas la peine de prévenir le cabinet du médecin. Selon les chiffres publiés dans une étude récente, entre 6 à 10 % des patients ne se présentent pas, chaque semaine, au rendez-vous prévu.Ce qui représenterait pas moins de 27 millions de rendez-vous perdus chaque année. Un chiffre provenant des réponses d'environ 16.000 médecins franciliens à un questionnaire que leur a soumis, en 2022, une association professionnelle. Environ 95 % des praticiens interrogés se disaient concernés par ces rendez-vous manqués.Ils représentent donc une véritable gêne pour les médecins. S'ils étaient prévenus à temps de ces désistements, ils pourraient en effet proposer ces plages horaires vacantes à d'autres patients. Ce qui leur éviterait d'avoir recours à des services d'urgences souvent saturés.Les médecins ne sont pas les seuls à déplorer cette situation. Les pouvoirs publics comptent en effet prendre des mesures pour lutter contre une pratique jugée inacceptable.Ainsi, le Premier ministre a-t-il proposé de faire payer une taxe spécifique aux patients indélicats. Pour Gabriel Attal, en effet, une personne prenant un rendez-vous et ne s'y présentant pas, sans prévenir son médecin, doit s'acquitter de cette taxe que d'aucuns ont baptisée ironiquement "taxe lapin".En sanctionnant financièrement les personnes qui "posent un lapin" à leur médecin, on espère les sensibiliser aux conséquences de ce manquement. En d'autres termes, les responsabiliser.L'autre objectif de la mesure est d'éviter de faire perdre leur temps aux médecins et aux patients, qui attendraient moins longtemps pour obtenir un rendez-vous.Alors ministre des Comptes publics, Gabriel Attal avait déjà évoqué cette question. Il avait alors proposé de limiter le remboursement de la consultation d'un patient n'ayant pas honoré son rendez-vous précédent.D'autres propositions ont été faites en la matière, comme le prélèvement d'une franchise médicale spécifique pour les patients fautifs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le domaine de l'exploitation spatiale, comme dans beaucoup d'autres, la concurrence est rude. Avec certains pays d'abord, comme les États-Unis et la Chine, qui s'affirment comme les plus grandes puissances spatiales.Mais il faut aussi compter, désormais, avec certaines entreprises privées, qui se sont lancées dans l'aventure spatiale. C'est notamment le cas pour la société d'Elon Musk, SpaceX, qui a à son actif pas moins de 107 lancements pour l'année 2023.La France a l'intention de tenir sa partie dans cette compétition. C'est en tout cas l'intention affirmée du Président de la République, qui devait visiter, en mars 2024, le centre spatial de Kourou, en Guyane, à l'occasion des 60 ans de sa création.Mais le chef de l'État ne compte pas en rester là. Même s'il a reçu plusieurs fois Elon Musk à l'Élysée, il tient surtout à encourager des entreprises françaises prêtes à suivre l'exemple de SpaceX.Sur toutes les sociétés ayant répondu à cet appel, les pouvoirs publics en ont sélectionné quatre. Leur objectif est de construire de petites fusées, que les spécialistes de l'aérospatiale appellent des "lanceurs".Ils devraient être en mesure de mettre en orbite des charges utiles comprises entre 100 kg et 1,5 tonne, à des altitudes variables, entre 400 et 600 kilomètres.Le premier vol de ces petites fusées devrait être financé en partie par l'État. C'est en effet ce qui ressort des propos du Président Macron, désireux de développer l'initiative privée en matière de conquête de l'espace.Il suivrait en cela l'exemple des autorités américaines, qui soutiennent SpaceX par de nombreuses subventions.Si tout se passe comme prévu, les premiers lancements pourraient avoir lieu à l'horizon 2026-2027. Même s'ils se déroulent un peu plus tard que ceux prévus par le programme de lancements de l'Agence spatiale européenne (ESA), ils se placent dans la même logique.Dans les deux cas, en effet, il s'agit de promouvoir de nouveaux modèles de lanceurs de petite taille. Même au niveau européen, par conséquent, la concurrence sera au rendez-vous. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les pays ayant adopté l'euro comme leur monnaie frappent de temps en temps de nouvelles pièces. Ils en profitent pour y faire figurer de nouvelles effigies ou d'autres représentations.L'Allemagne, l'Espagne et la Belgique ont ainsi fait paraître de nouvelles pièces de 2 euros. Certaines des pièces allemandes rendent hommages au Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale. La tradition veut en effet que les régions allemandes soient célébrées de cette manière.D'autres pièces commémorent le 175e anniversaire de la Constitution de Francfort qui fut, en 1849, un instrument de l'unité allemande. De son côté, l'Espagne célèbre, à travers ses nouvelles pièces, l'inscription de Séville au patrimoine mondial de l'Unesco et le bicentenaire de la mise en place de la police nationale.Quant à la Belgique, elle a décidé de mettre en exergue la présidence belge du Conseil de l'Union européenne, entre le 1er janvier et le 30 juin 2024.La France a aussi émis de nouvelles pièces, de 10, 20 et 50 centimes d'euros. À cette occasion, la Monnaie de Paris, qui frappe ces nouvelles pièces, a décidé de rendre hommage à trois femmes illustres. Leurs portraits ont été dessinés, comme toutes les figures apparaissant sur nos pièces, par le service de la gravure, sous la direction du graveur général des monnaies.Ces trois figures féminines font partie des sept femmes reposant au Panthéon. Simone Veil a été choisie pour figurer sur les nouvelles pièces de 10 centimes. C'est la rescapée d'Auschwitz tout autant que l'auteur de la loi autorisant l'avortement qui est ainsi honorée.C'est une éminente résistante, mais aussi une artiste appréciée, qui doit figurer sur les nouvelles pièces de 20 centimes. C'est en effet le profil de Joséphine Baker, l'interprète de "J'ai deux amours", qu'on doit retrouver sur ces pièces.Prestigieuse scientifique et découvreuse du radium, Marie Curie apparaîtra sur les nouvelles pièces de 50 centimes. Toutes ces pièces seront disponibles à partir de ce printemps.D'autres détails figurent sur ces pièces, comme les étoiles du drapeau européen et certains éléments du drapeau français. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les prix modérés pratiqués par certaines compagnies aériennes font aujourd'hui de l'avion un mode de transport très apprécié des voyageurs. Mais, en 2024, les choses pourraient changer, du moins pour les passagers français.Il se peut en effet que, au cours de cette année, le prix des billets reparte assez nettement à la hausse. La faute en incombe à une nouvelle taxe que le gouvernement devrait imposer à certains aéroports.En effet, ne sont concernés que ceux dont le revenu dépasse les 120 millions d'euros et dont la rentabilité se situe à un certain niveau. Seuls les cinq plus grands aéroports français, dont les deux aéroports parisiens et ceux de Nice et Marseille, devraient s'acquitter de cette taxe.Elle devrait rapporter autour de 600 millions d'euros par an et encourager les aéroports à consentir davantage d'efforts en faveur de la transition écologique.Or les aéroports en question ne semblent pas prêts à supporter, à eux seuls, la charge de ce nouvel impôt. Il devrait ainsi peser pour environ 90 millions d'euros dans le budget de l'aéroport d'Orly.Ils pourraient donc se défausser d'une partie de ces taxes sur les compagnies aériennes. Cela pourrait passer par une augmentation des redevances dont elles doivent s'acquitter.Des redevances qui contribuent notamment à l'entretien des pistes et à la gestion des comptoirs d'enregistrement des bagages. Par un effet classique de dominos, les compagnies envisagent à leur tour de répercuter ce coût supplémentaire sur les passagers.Cependant, une telle augmentation ne serait pas prévue dans l'immédiat. Elle n'est pourtant pas exclue dans les mois ou les années à venir. L'effet de cette taxe viendrait alors s'ajouter aux charges supplémentaires liées au respect de l'environnement. De ce fait, le billet d'avion deviendrait moins abordable.Ce que déplorent certains acteurs du secteur aérien. Ils critiquent notamment l'injustice d'une taxe appliquée dans un seul pays, et non pas au niveau de l'Europe, et se disent convaincus que l'avion ne doit pas être réservé à une élite de privilégiés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si l'on en croit sa déclaration de patrimoine, Vladimir Poutine ne posséderait qu'une fortune assez modeste. Dans ce document, il mentionne un spacieux appartement de 250 m2, au cœur de Saint-Pétersbourg, quelques voitures de collection, des montres de prix et une caravane.À quoi s'ajoute son salaire de fonctionnaire, de l'ordre de 125.000 euros par an. Mais, pour de nombreux observateurs, ces biens ne représenteraient même pas la partie émergée de l'iceberg.En effet, la fortune réelle du dirigeant russe est estimée à une somme variant entre 40 et 200 milliards de dollars, soit environ 175 milliards d'euros. Une somme qui en ferait l'un des hommes les plus riches du monde.Dans un documentaire sorti en 2021, l'opposant Alexei Navalny, qui vient de mourir dans les geôles de Moscou, estime la fortune de Poutine à environ 200 milliards de dollars.Il évoque notamment un somptueux et gigantesque palais de 17.000 m2, que le Président russe aurait fait construire sur les bords de la mer Noire. La valeur de cette résidence de prestige serait estimée à environ 1,5 milliard de dollars.Si l'on en croit certaines sources, Vladimir Poutine posséderait bien d'autres demeures luxueuses, une vingtaine en tout. Du côté des moyens de transport, le dirigeant russe posséderait, pour son seul usage, toute une flotte de yachts.Mais aussi des centaines de voitures, plus de 40 jets privés et pas moins d'une quinzaine d'hélicoptères.Le Président russe aurait édifié un véritable empire financier. Pour brouiller les pistes, et tromper d'éventuels enquêteurs, il aurait partagé ses biens entre divers prête-noms, des sociétés écrans et des fondations.Ainsi, rien ne serait vraiment au nom de Poutine. Mais ses hommes de paille, propriétaires officiels de ses biens, seraient tenus de lui verser régulièrement une notable partie de cette manne.L'origine même de cette fortune reste assez mystérieuse. D'aucuns murmurent qu'elle n'aurait cessé de grossir grâce à diverses entreprises de racket.Quoi qu'il en soit, Vladimir Poutine se garde bien de garder cet argent en Russie. Il serait placé en Suisse, dans certains pays européens ou même aux États-Unis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
loading
Commentaires (2)

Chris

Th u

Aug 25th
Réponse

Natoo De Sousa

Bonjour, il semble y avoir une duplication de contenu sur les derniers podcasts, les enregistrements sont tous les mêmes :/

Dec 30th
Réponse
Télécharger sur Google Play
Télécharger sur l’App Store