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Auteur: France Télévisions

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.


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C dans l'air du 21 septembre - Gouvernement Barnier : les jeux sont faits ?Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- CÉCILE CORNUDET- Éditorialiste politique - Les Echos - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 21 septembre - Gouvernement Barnier : les jeux sont faits ?Bientôt la fin du suspsense ? Deux semaines après sa nomination, Michel Barnier touche au but et devrait enfin pouvoir dévoiler son gouvernement. L'annonce officielle pourrait même avoir lieu dans l'après-midi. Hier soir, "l’architecture et la composition du gouvernement finalisées ont été transmises à l’Élysée", a indiqué Matignon. Le binôme exécutif s'est ensuite entretenu au téléphone autour de la composition du gouvernement.La presse annonce, depuis plusieurs jours, les contours de la future équipe gouvernementale. Mais le casting fut bien difficile à finaliser. De nombreux ajustements ont dû avoir lieu, en raison des polémiques autour de certains noms, jugés trop conservateurs par les membres de la coalition présidentielle.C'est notamment le cas de Bruno Retailleau, figure de la droite conservatrice, auquel aurait été proposé le ministère de l’intérieur. Le président du groupe Les Républicains (LR) au Sénat représente la droite la plus dure. Ses positions, en matière d'immigration notamment, sont très proches de celles défendues par le RN. Il n'hésite pas à parler de “Français de papier”. Son nom hérisse bien des macronistes.Cette droitisation pressentie de l'exécutif a donc beaucoup interrogé. C'est le MoDem de François Bayrou qui s'est montré le plus réticent à entrer au gouvernement. Le parti, qui regrettait également l'absence de la gauche, a toutefois fini par donner son accord. Il aurait obtenu en échange l'octroi d'un portefeuille ministériel supplémentaire, celui des Relations avec le parlement.Bien loin des tractations d'appareil qui ont lieu dans la capitale, la France des sous-préfectures continue de perdre un à un ses services publics. C'est le cas de Lure, que ses habitants décrivent comme une « ville morte ». Et pour cause, on ne trouve plus dans la sous-préfecture de Haute-Saône ni tribunal de grande instance, ni commissariat, ni maternité… Depuis vingt-cinq ans, la cité a vu son offre de services publics se réduire comme peau de chagrin, au plus grand désarroi de la population.Des habitants s'en vont et parmi ceux qui restent, le RN séduit de plus en plus. Sur la principale artère commerçante, on ne compte plus les magasins fermés ou à vendre.De l'autre côté de l'Atlantique, en Martinique, les commerces sont bien ouverts mais les prix des produits flambent. A neuf euros le pack d’eau, ou encore quatre euros la plaquette de beurre, les habitants ne parviennent plus à se nourrir.Un collectif, le Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens, se mobilise contre la vie chère et organise des actions de blocage sur l’île. Mais en marge de cette mobilisation, des violences urbaines se multiplient depuis quelques jours. La police a même été ciblée par des tirs à balles réelles.Quelle sera la composition finale du gouvernement de Miche Barnier ?Comment financer le retour des services publics partout sur le territoire ?Comment expliquer le niveau des prix en Martinique ?Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- CÉCILE CORNUDET- Éditorialiste politique - Les Echos - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air, l'invitée du 20 septembre : Isabelle Steyer, avocate au barreau de Paris et spécialisée dans la défense des femmes et enfants victimes de violences. Entre 2011 et 2020, Dominique Pelicot a proposé à des dizaines d’hommes de venir abuser sexuellement de sa femme dans son sommeil. Le père de 3 enfants les a contactés sur le site de rencontres en ligne Coco, fermé par les autorités en juin dernier. Sur les 83 suspects potentiels, 54 ont été identifiés et 51 comparaissent aujourd’hui et pour 4 mois de procès. La victime principale, Gisèle Pelicot a demandé que les débats soient publics afin que la honte change de camp.Au tribunal d'Avignon ce mardi, Gisèle Pelicot s'est exprimée sur les viols qu'elle a subis et s'est émue des arguments de la défense qui visent à la faire passer pour "complice" des accusés. "Depuis que je suis arrivée dans cette salle d'audience, je me sens humiliée. On me traite d'alcoolique. Je serais la complice de M. Pelicot. Il faut avoir un degré de patience pour supporter ce que j'ai pu entendre". "Entre 'j'ai appâté', 'j'ai fait semblant', 'j'étais ivre', 'j'étais complice', maintenant on cherche à diffuser des photos prises par monsieur Pelicot pour me faire passer pour coupable. Qui est la coupable dans cette salle d'audience?". "J'ai l'impression d'être la coupable et les 50 victimes sont derrière moi", a-t-elle affirmé. Gisèle Pelicot a été interrogée par des avocats de la défense sur d'éventuels "penchants exhibitionnistes" ou encore par le Président de la Cour qui lui a demandé si elle avait "été en mesure de consentir à un acte sexuel". La semaine dernière, Guillaume de Palma, avocat de plusieurs présumés accusés, avait expliqué qu'il y avait "viol et viol" et le maire de Mazan Louis Bonnet a déclaré dans une interview à la BBC que l’affaire "aurait pu être plus grave" et qu’il "n’y a pas mort d’homme".Isabelle Steyer, avocate au barreau de Paris et spécialisée dans la défense des femmes et enfants victimes de violences reviendra sur le procès des viols de Mazan, sur le retentissement mondial de cette affaire et sur l’attitude de la Cour et des accusés. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 20 septembre - Gouvernement Barnier : à droite toute ?Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- CÉCILE CORNUDET- Éditorialiste politique - Les Echos - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 20 septembre - Gouvernement Barnier : à droite toute ?Le gouvernement ne sera pas présenté ce vendredi mais "avant dimanche" le temps d’effectuer les vérifications déontologiques. C’est ce qu’a annoncé Matignon ce vendredi à la suite d’une journée marathon, avec une dernière réunion autour de Michel Barnier et toutes les forces politiques susceptibles de rejoindre son équipe gouvernementale, puis sa présentation à Emmanuel Macron jeudi soir à l’Elysée. Deux semaines après la nomination du nouveau Premier ministre, et alors que les tractations ne semblaient jamais pouvoir aboutir, ça accélère, désormais, et avant même l'annonce officielle, on en sait plus sur cette liste validée dans les grandes lignes par le chef de l’Etat :  38 ministres, dont 16 de plein exercice, qui comprendront 7 macronistes, 3 LR, 2 Modem, un Horizons, un centriste, un divers droite et un divers gauche.Le camp présidentiel conserverait ainsi l’Economie (Antoine Armand et Mathieu Lefevre), l’Education nationale (Violette Spillebout), le Travail, les Affaires étrangères (Jean-Noël Barrot), la Santé (Geneviève Darrieussecq), et le poste de porte-parole (Maud Bregeon). Cinq sortants seraient également reconduits : Rachida Dati à la Culture, Sébastien Lecornu aux Armées, et d’autres changeraient de poste comme Catherine Vautrin aux Territoires ou Agnès Pannier-Runacher à l’Ecologie. Parmi les entrants, les noms de plusieurs ténors des Républicains circulent : le président de leur groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau pourrait ainsi s’installer à l’Intérieur. Annie Genevard, cadre historique, est proposée pour l’Agriculture. La droite qui prendrait aussi l’Enseignement supérieur, l’Outre-mer (François-Noël Buffet pressenti), la Famille et le Commerce. Enfin, le nom de l’ancien élu socialiste Didier Migaud, président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), est évoqué avec insistance pour succéder à Éric Dupond-Moretti au ministère de la Justice.Mais alors que les contours du nouveau gouvernement se précisent, les réactions se multiplient à gauche. À commencer par l’ancien président socialiste, redevenu député, François Hollande.  "Pourquoi y a-t-il eu une dissolution si c’est pour avoir à peu près les mêmes, plus à droite encore ? (...)Non seulement il n’y a pas un gouvernement qui correspond au front républicain mais c’est pire encore : on devait avoir un changement, on a une Restauration", a-t-il cinglé ce matin au micro de France Bleu. "(Je perçois), dans les noms qui sont donnés pour l'instant, une extrême droitisation de la Macronie, qui est très inquiétante", a tancé de son côté la cheffe des députés Insoumis Mathilde Panot. "On est passé du front républicain à l’affront républicain" a regretté pour sa part la cheffe de file des Verts Marine Tondelier.Du côté de l’exécutif, on fait savoir que si la liste des ministres a bien avancé, des "derniers ajustements" sont en cours concernant certains noms. Une nouvelle équipe gouvernementale qui va devoir s’atteler à de nombreux dossiers, à commencer par le  budget. Michel Barnier a laissé entendre qu’il ressemblerait à celui préparé par Gabriel Attal cet été. Mais aussi l’immigration, le nouveau locataire de Matignon en fait une priorité et se sait attendu sur cette question par le RN.Alors gouvernement Barnier, qui rentre, qui sort ? Quelle est la feuille de route édictée par le Premier ministre ? Que veut-il faire en matière d’immigration ? Enfin quelle sera la stratégie du RN ces prochaines semaines ?Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- CÉCILE CORNUDET- Éditorialiste politique - Les Echos - ALIX BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France TélévisionsPRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air, l'invitée du 19 septembre : Anne-Isabelle Tollet, grand reporter pour le groupe Canal+, spécialisée depuis 2007 dans les zones sensibles telles que l’Afghanistan, le Pakistan et l’Iran, autrice de  “Le Voyage interdit”. Il y a deux ans, Masha Amini était tuée par la police des mœurs en Iran pour un voile mal porté. Depuis, la jeunesse iranienne se mobilise chaque jour, bravant les interdits, les femmes sortant sans porter le voile, manifestant leur rage et leur volonté de changement. Le régime applique la terreur et  853 exécutions capitales ont eu lieu.Anne-Isabelle Tollet est grand reporter pour le groupe Canal+, spécialisée depuis 2007 dans les zones sensibles telles que l’Afghanistan, le Pakistan et l’Iran. Elle publie "Le Voyage interdit", aux éditions du Cherche-Midi, un récit de son séjour clandestin dans la République islamique d'Iran, en octobre 2023. Les plateformes de réseaux sociaux comme YouTube, X, Telegram, TikTok et Facebook sont bannies depuis plus de deux ans en Iran. Les autorités ont ensuite bloqué l’accès à Instagram et WhatsApp. Alors que le régime des ayatollahs a fermé l’un des seuls remparts qui restait à la jeunesse de laisser entrevoir leur résistance, elle parvient tout de même à déjouer cette censure numérique en faisant appel à des VPN pour témoigner de leur vie moyenâgeuse, en noir et blanc, en Iran.Arrivée à Téhéran, Anne-Isabelle Tollet rencontre un guide, dont la mission principale consiste à surveiller les touristes pour s’assurer qu’ils sont bien de vrais touristes et à leur faire visiter l’Iran. Mais la grand reporter menait en réalité une double vie la nuit en allant à la rencontre des Iraniens et des Iraniennes. Notamment de Shirin qui vit dans une résidence sur les hauteurs de Téhéran. À ce moment, "j’ai l’impression de découvrir une société totalement schizophrène, qui vacille de l’apparent au caché, du dehors hostile au dedans où l’on brave tous les interdits. Comme ici où l’alcool coule à flots alors que sa consommation est passible de 80  coups de fouet. Pour tout dire, plus je connais ce pays et plus il me paraît insaisissable". Bernard Guetta, député européen Renew Europe, disait cette semaine que "pour qu’un régime arrive à commettre un crime de masse, c’est qu'il crève de trouille", ajoutant que "ces monstres vont tomber". "Le Voyage interdit" d’Anne-Isabelle Tollet est un sursaut pour que la communauté internationale entende cette population iranienne qui aspire à des jours meilleurs mais se sent résignée petit à petit. Elle vient nous en parler à 17.25.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 19 septembre - Barnier : les heures décisivesLes experts :- Roland CAYROL - Politologue - Directeur du Centre d’études et d’analyse (CETAN)- Guillaume DARET - Chef adjoint du service politique - France Télévisions- Tam TRAN HUY - Directrice adjointe de Public Sénat- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste - France Info et La Tribune, spécialiste des questions économiques et sociales🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 19 septembre - Barnier : les heures décisivesMichel Barnier a convié ce jeudi à 15h les formations politiques susceptibles de participer à la formation "rapide" de son équipe gouvernementale, a fait savoir Matignon. Mais sa composition s’annonce encore très compliquée alors que depuis quelques jours des noms circulent : Laurent Wauquiez, Bruno Retailleau ou encore Annie Genevard…Essentiellement des personnalités du parti Les Républicains, ce qui est l’origine de vives tensions avec les macronistes. Dans un entretien pour Le Point ce mercredi 18 septembre, l’ancien Premier ministre désormais président du groupe Renaissance à l’Assemblée s’est voulu très clair : "Rien ne pourra se faire sans nous". Et si nous parvenons à des compromis, alors ce sera : "Le Parlement décide, et le gouvernement exécute" a affirmé Gabriel Attal. L’ancien chouchou d’Emmanuel Macron qui ne cache pas ses ambitions pour la présidentielle de 2027 met également en garde l’exécutif : "Tout gouvernement qui aurait le RN pour béquille est condamné à chuter" et n’hésite pas à mettre sous pression le nouveau locataire de Matignon en affirmant qu’il se "battrai [t]" "pour protéger les Français des hausses d’impôts", que Michel Barnier n’a pas exclues. Une ligne rouge qui a aussi été fixée par Jordan Bardella, président du RN et Vincent Jeanbrun, porte-parole des députés LR.De son côté, le chef de l’Etat aurait refusé mardi une première liste de ministres potentiels car composée de trop de LR. L’Elysée a par ailleurs fait savoir ce jeudi qu’il annulait son déplacement en Bretagne ce vendredi, officiellement pour « contraintes météorologiques".Alors que se passe-t-il à Matignon ? Qui dans le prochain gouvernement ? Pour mener quelle politique ?  Et quels regards portent les Français sur cette crise politique ? Quelles sont leurs attentes ? Les experts :- Roland CAYROL - Politologue - Directeur du Centre d’études et d’analyse (CETAN)- Guillaume DARET - Chef adjoint du service politique - France Télévisions- Tam TRAN HUY - Directrice adjointe de Public Sénat- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste - France Info et La Tribune, spécialiste des questions économiques et socialesPRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air, l'invité du 18 septembre : Général Dominique Trinquand, ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU, auteur de "Ce qui nous attend". Hier dans l’après-midi, une attaque massive a été menée contre les membres du Hezbollah au Liban. Leurs bipeurs électroniques (ancêtres des téléphones modernes) ont tous explosé en même temps, provoquant la mort de 9 personnes et faisant 2.800 blessés. Cette attaque n'a pas été revendiquée mais le Hezbollah et le gouvernement libanais ont accusé Israël d’être à l’origine de ces explosions. Dans un communiqué, la formation pro-iranienne a assuré qu’Israël allait "recevoir son juste châtiment" à la suite de "cette agression criminelle". A ce jour, le ministre de l’éducation libanais a annoncé "la fermeture des écoles, des instituts techniques publics et privés, ainsi que de l’Université libanaise et des institutions d’enseignement supérieur privées". Le ministère de la Santé de son côté a demandé "à tous les professionnels de la santé de se rendre immédiatement sur leur lieu de travail afin de contribuer aux soins d’urgence pour le grand nombre de blessés" et lancé un "appel à la coordination avec la Croix-Rouge libanaise pour organiser des dons de sang". L’Irak a annoncé envoyer des équipes médicales et des urgentistes pour aider le Liban.Depuis, les réactions se succèdent. Le Hamas a dénoncé une "agression terroriste sioniste", les Etats-Unis ont affirmé qu’ils n’étaient pas au courant de cette attaque. Air France, de son côté, a suspendu ses vols vers Beyrouth et Tel-Aviv jusqu’à jeudi inclus et Lufthansa a suspendu ses vols à destination et en provenance de Tel-Aviv et de Téhéran.Pour le Général Dominique Trinquand, ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU et auteur de "Ce qui nous attend", aux éditions Robert Laffont, "c'est du jamais vu". Il reviendra sur cette attaque massive contre les membres du Hezbollah au Liban.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 18 septembre - Hausse d'impôts : ça se précise...Les experts :- PHILIPPE DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 18 septembre - Hausse d'impôts : ça se précise...Faut-il augmenter les impôts des plus riches ? Le gouverneur de la Banque de France lui-même le préconise face à la dégradation des comptes publics. Dans une interview accordée au Parisien-Aujourd’hui en France, François Villeroy de Galhau a appelé à "lever le tabou sur les hausses d’impôts", avec "un effort exceptionnel et raisonnable sur certaines grandes entreprises et gros contribuables" "tant qu’on n’est pas revenu sous 3 %" de déficit public. Le Premier ministre Michel Barnier lui-même a publiquement indiqué qu’il ne s’interdisait pas "une plus grande justice fiscale". Mais cette piste bouscule les rangs macronistes. Sur France 2, Gérald Darmanin a défendu "sept ans de baisse d’impôts" qui ont selon lui suscité "baisse du chômage" et "attractivité de la France". "Il ne faut absolument pas casser cette machine économique", a martelé l’ancien ministre des Comptes publics. Gabriel Attal, désormais chef des députés Ensemble pour la République, a dit non et exigé des clarifications. Il devait être reçu ce matin à Matignon avec des élus de son camp mais le rendez-vous a été annulé une demi-heure avant. Suivi d’une déclaration du Premier ministre transmise à la presse :  "La situation budgétaire du pays que je découvre est très grave. J’ai demandé tous les éléments pour en apprécier l’exacte réalité. Cette situation mérite mieux que des petites phrases. Elle exige de la responsabilité." Depuis plusieurs jours, le débat sur la fiscalité fait son retour alors que les échéances budgétaires se rapprochent avec un budget 2025 à présenter début octobre, avant un examen à l’Assemblée. Avec une contrainte de taille, trouver 30 milliards d’euros pour réduire le déficit. La semaine dernière, le patron de la Cour des comptes, Pierre Moscovici avait estimé que ce le débat sur la fiscalité ne devait "pas être tabou". De son côté l'organisation de lutte contre les inégalités sociales, Oxfam, dirigée par l'ancienne ministre écologiste Cécile Duflot, plaide dans son dernier rapport pour une refonte totale du système de l'héritage qu'elle juge totalement injuste. D’après l’ONG, 0,1 % des héritiers reçoivent en moyenne 13 millions d'euros. Surtout grâce au 467 niches fiscales qui existent dans le pays, plus on est riche, moins on serait imposé sur l’héritage : 10 % de taxation pour les enfants "bien nés", contre 45 % pour le Français moyen. En globalité, Oxfam estime que ça représente un manque à gagner de 160 milliards d'euros pour l'État dans les 30 ans qui viennent.Alors que va décider le Premier ministre ? Quel budget pour 2025 ? Matignon refuse pour l’heure de transmettre des documents-clés aux députés et les relations se tendent avec le Parlement. Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel (LFI), et le rapporteur général Charles de Courson (Liot) sont «en colère» après s’être rendu hier à Matignon et aujourd’hui à Bercy, pour obtenir, en vain, les lettres-plafonds. Des documents, arrêtés depuis août mais pas rendus publics, concernant les projets du gouvernement pour l’année à venir. "On est assez sidérés (...) parce qu'on nous a refusé la consultation de ces documents", a déclaré mardi Éric Coquerel. "C 'est un droit constitutionnel qui est octroyé au président de la commission des Finances et au rapporteur général du budget, on nous l'a refusé", a-t-il ajouté.La colère monte aussi chez les viticulteurs qui ont manifesté mardi 17 septembre à Cognac. Ils dénoncent "l’inaction des pouvoirs publics", "le silence de la France et de l’Union européenne" face aux menaces de surtaxes chinoises sur les brandys européens et en particulier le cognac.Les experts :- PHILIPPE DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air, l'invité du 17 septembre : Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman. Thierry Breton ne fera plus partie du nouvel exécutif européen de la Commission Von der Leyen. Après cinq ans passés à Bruxelles, avec un portefeuille XXL comprenant le marché intérieur, le numérique, la défense, le commissaire européen français sortant et désigné pour effectuer un nouveau mandat de cinq ans au sein de la Commission européenne par le chef de l’Etat, le 25 juillet, a présenté sa démission avec "effet immédiat" à la présidente de l’exécutif européen. Une annonce fracassante puisqu’il était prévu que l’Elysée annonce ce lundi qu’il serait remplacé par Stéphane Séjourné, patron de Renaissance et brièvement ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement de Gabriel Attal. "Il répond à l’ensemble des critères requis", a assuré l’Elysée. "Son engagement européen lui permettra de porter pleinement cet agenda de souveraineté", a ajouté la présidence.De son côté, Thierry Breton a expliqué que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, avec qui il était en froid, avait réclamé son retrait au président français.Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman reviendra sur la démission brutale de Thierry Breton à la Commission européenne et sur son bilan.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 17 septembre - Dominique Pelicot, le mari, le violeurLes experts :- Audrey GOUTARD  - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Arnaud GALLAIS  - Co-fondateur de l’association M’endors pas - Anne BOUILLON  - Avocate pénaliste – barreau de Nantes - Marie-Estelle DUPONT - Psychologue Clinicienne- Jonathan SOLLIER - Journaliste - La Provence   🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 17 septembre - Dominique Pelicot, le mari, le violeur"Je suis un violeur comme ceux qui sont dans cette salle". Ce sont les mots prononcés ce mardi par Dominique Pelicot, principal accusé dans l’affaire des viols de Mazan, qui n’était plus apparu à l’audience depuis mercredi dernier pour des raisons de santé. De retour ce mardi dans l’enceinte du tribunal où il est jugé pour avoir drogué et fait violer Gisèle Pelicot pendant dix ans, il a reconnu lors de son interrogatoire la totalité des faits, a demandé pardon à son ex-épouse, mais aussi chargé les 50 autres accusés qui "savaient tous, ils ne peuvent pas dire le contraire". "Maintenant, je veux me battre pour que tout le monde comprenne qu'elle n'est rien d'autre qu'une victime dans ce dossier", a-t-il notamment ajouté. À la sortie de la matinée d'audience, le public, nombreux, a applaudi Gisèle Pelicot dans la salle des pas perdus du tribunal d'Avignon. Une femme devenue le symbole en France de la lutte contre les violences sexuelles. Samedi, des milliers de personnes se sont rassemblées dans plusieurs villes du pays pour apporter leur soutien à celle qui a été droguée par son mari et violée par des hommes recrutés sur Internet, et qui a pris la décision de tenir les audiences publiques car "la honte doit changer de camp". Lundi, émue, elle avait pris la parole pour remercier toutes les personnes qui lui ont témoigné "leur soutien depuis le début de cette épreuve". "Grâce à vous tous j’ai la force de mener ce combat jusqu’au bout". Un procès hors norme qui met en cause 51 hommes pour 92 faits de viol sur une même victime et interroge sur l'étendue des violences sexuelles dans la société : les hommes sur le banc des accusés viennent de tous milieux, de toute classe sociale, de tout âge, de toute profession. Sur les réseaux sociaux, la phrase "Not All Men" (pas tous les hommes) est reprise par des hommes qui semblent avoir peur des conséquences de la médiatisation de cette affaire mais aussi par des hommes et des femmes pour dénoncer des violences vécues. Une affaire qui secoue depuis une semaine la société dans son ensemble et questionne également la définition du viol par la loi, jugée souvent par certains trop restrictive car omettant la notion du consentement et à la mise en place de réponses structurelles.94% des plaintes pour violences sexuelles sont classées sans suite en France, selon une étude de la Fondation des femmes datant de 2021. Nous avons rencontré Amélie qui a dénoncé les agissements de son supérieur dans l'armée. Ce dernier a été jugé coupable de harcèlement sexuel par la justice, mais l’armée n’a pris aucune mesure contre le commandant. Elle a préféré rendre son uniforme.Les experts :- Audrey GOUTARD  - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Arnaud GALLAIS  - Co-fondateur de l’association M’endors pas - Anne BOUILLON  - Avocate pénaliste – barreau de Nantes - Marie-Estelle DUPONT - Psychologue Clinicienne- Jonathan SOLLIER - Journaliste - La Provence 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air, l'invité du 16 septembre : Jean Pisani-Ferry, professeur d’économie à Sciences Po Paris, à l’Institut Bruegel à Bruxelles et au Peterson Institute for International Economics de Washington. Le Premier ministre Michel Barnier n'a pas transmis vendredi le projet de budget 2025 au Haut Conseil des finances publiques. Organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, "le Haut Conseil des finances publiques rend obligatoirement un avis sur les projets de loi financiers", notamment ce projet de loi de Finances pour l'an prochain. Pour le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici, "il y a urgence" à réduire les déficits publics au risque que la France soit plongée dans une situation budgétaire "dangereuse" et finisse par devenir alors "un pays impuissant". Il appelle l’exécutif à construire "un vrai projet de loi de Finances", qui soit "sérieux", quitte à prendre quelques jours de plus, affirmant que "le prochain budget sera sans doute le plus délicat de la Ve République".Parallèlement, l'Union européenne a subi un décrochage économique par rapport aux Etats-Unis. Pour améliorer sa compétitivité et combler ce fossé, l'Union européenne devrait "continuer à émettre des instruments de dette communs pour financer des projets d'investissement communs". L'ancien Premier ministre italien et ex-président de la Banque Centrale Européenne Mario Draghi a rendu son rapport sur la compétitivité de l'Europe. Selon lui, "nous avons atteint le point où, si nous n'agissons pas, nous devrons compromettre notre bien-être, notre environnement ou notre liberté". Pour l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’Union européenne doit réaliser à l’avenir 800 milliards d’euros d’investissements supplémentaires par an – l’équivalent de 5 % de son produit intérieur brut –, soit environ trois fois le plan Marshall (entre 1 % et 2 % du PIB en investissements annuels dans l’après-guerre).Jean Pisani-Ferry reviendra sur l’urgence du futur gouvernement de Michel Barnier de réduire les déficits et sur le rapport sur la compétitivité et l’avenir de l’Europe remis à la Commission européenne il y a quelques jours.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 16 septembre - Immigration : Barnier sur la ligne dure ?Les experts :- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions, auteure de L’Ombre d’un traître - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra- MARION VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L’Express - JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 16 septembre - Immigration : Barnier sur la ligne dure ?Un nouveau gouvernement cette semaine ? C’est la promesse faite ces derniers jours par Michel Barnier, qui poursuit ses tractations en vue de constituer son équipe gouvernementale. Mais "nous aurons du mal à l'avoir avant dimanche", a tempéré ce lundi le porte-parole des députés LR, Vincent Jeanbrun. En cause ? L'équilibre que doit respecter le nouveau Premier ministre afin de faire voter les textes sans être censuré par la moitié de l'Assemblée nationale, soit 289 députés. Le Premier ministre qui a appelé hier, dans un post sur X, à garder "l'esprit olympique", au lendemain de la parade des champions sur les Champs-Elysées, enchaîne les consultations et reçoit des mises en garde. François Bayrou l’a ainsi appelé hier à prendre en compte la diversité et le pluralisme issus des urnes. S’il y avait "une mainmise" des Républicains sur l’exécutif cela "ne marcherait pas" a averti le patron du MoDem. Le président du groupe MoDem à l'Assemblée Marc Fesneau était déjà monté au créneau ce week-end, assurant dans La Tribune Dimanche qu'un groupe de 47 députés "ne peut pas imposer sa politique".Les LR ont approuvé jeudi dernier le principe d'une participation au gouvernement que doit composer Michel Barnier. Depuis entre les offres de service à peine voilées et les noms de ministrables potentiels, les rumeurs vont bon train à droite et les ambitions se bousculent pour les postes régaliens (intérieur, justice, finances). Une situation raillait ce week-end par l’ancien Premier ministre de droite Dominique de Villepin. Ce dernier est revenu sur cette "bizarrerie" qui fait que "c'est le parti arrivé en dernier qui forme le gouvernement. Alors, reconnaissez quand même qu'il y a un mérite à ce choix, c'est qu'il donne raison à la parole évangélique : les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers" a-t-il glissé.L’équilibre va être complexe à trouver. D’autant qu’à gauche, aucun profil ne se profile et qu’à l’extrême droite Marine Le Pen qui a fait sa rentrée politique samedi, a souhaité que la nouvelle "mandature soit la plus courte possible", appelant de ses vœux à une nouvelle dissolution. "Il reste dix mois et moi je suis convaincue qu'il y aura à l'issue de ces dix mois, ou au printemps ou à l'automne, des nouvelles élections législatives", a-t-elle développé. En attendant, le RN n’exclue pas de valider le budget du gouvernement, à condition que des lignes rouges ne soient pas franchies, à savoir pas de hausse des impôts, et attend le nouveau locataire de Matignon au tournant sur la question de l’immigration. Un sujet qui divise de plus en plus les 27 au moment où le gouvernement Allemand, sous la pression du parti d’extrême droite AfD en progression dans les urnes, a décidé de rétablir pendant six mois des contrôles à l'ensemble de ses frontières pour lutter contre l'immigration illégale et le terrorisme après avoir connu ces dernières semaine une série d d‘attaques. Parallèlement, en Grande-Bretagne, le gouvernement britannique a annoncé, ce dimanche soir, la mise en place d’un commandement d’élite chargé de la sécurité des frontières quelques heures après un nouveau naufrage meurtrier de migrants dans la Manche. Le Premier ministre britannique Keir Starmer doit également rencontrer ce lundi son homologue italienne d’extrême droite Giorgia Meloni à Rome pour échanger sur la lutte contre l’immigration illégale. Alors qui dans le gouvernement Barnier ? Pour mener quelle politique ? Et que se passe-t-il en Allemagne ? Pourquoi le gouvernement Scholz durcit-il sa politique migratoire ? Comment le parti d’extrême droite AfD est-il parvenu à prendre la tête des sondages dans le Brandebourg ?Les experts :- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions, auteure de L’Ombre d’un traître - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra- MARION VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L’Express - JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOPPRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air, l'invité du 14 septembre : Jacques Attali, écrivain, économiste, conseiller d'Etat honoraire, et auteur de "Histoires et avenirs de la consolation" (éditions Flammarion). Présentation: Lorrain SénéchalDans une récente tribune publiée dans les Echos, Jacques Attali écrit : « Le pays ne peut pas se permettre de continuer à perdre son temps dans la procrastination au sommet, la convoitise au milieu et le ressentiment à la base. Il a besoin de donner un grand coup de pied au fond de la piscine. Et d’agir ». Un besoin d'action, selon lui, indispensable, l'état réel du pays ne devant pas être masqué par la réussite des Jeux olympiques. « Chacun sait que la France, pays si magnifique qui a, récemment, si bien fait illusion aux yeux du monde (...) est très profondément menacé », affirme-t-il.Une prise de position qui survient alors que le budget doit être bouclé cet automne. Cette semaine, Bruno Le Maire, ministre depuis 7 ans, quittait Bercy avec une dette record. Michel Barnier, nouveau Premier ministre, sera alors contraint à un compromis, déjà qualifié de quasi impossible : dégager des économies, face aux lignes rouges imposées par les différents groupes parlementaires pour le budget. Notre invité, également président de France Positive, ancien conseiller du président Mitterrand, reviendra sur l'actualité politique, alors que la composition du gouvernement Barnier n'a pas encore été annoncée.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 14 septembre - Missiles longue portée : les Occidentaux ont-ils « peur » ?Présentation: Lorrain SénéchalLes experts :- Pierre HASKI - Chroniqueur international à France Inter au Nouvel Obs- Marie JEGO - Journaliste au Monde, ancienne correspondante en Russie- Général Patrick DUTARTRE - Général de l’armée de l’Air et de l’Espace, ancien pilote de chasse- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique au Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
C dans l'air du 14 septembre - Missiles longue portée : les Occidentaux ont-ils « peur » ?Présentation: Lorrain SénéchalDonner ou non aux Ukrainiens le feu vert à l'utilisation de missiles longue portée. La question est au centre des discussions côté leaders occidentaux. Joe Biden y est pour le moment réticent, tout comme le Premier ministre britannique Keir Starmer, en visite hier à la Maison blanche.Il n'en fallait pas moins pour s'attirer les foudres du président ukrainien, qui reproche à ses alliés d'avoir « peur » face à un Vladimir Poutine évoquant ces missiles comme une « ligne rouge ». Mais Volodymyr Zelensky veut pouvoir frapper des cibles militaires comme des bases aériennes d'où décollent les avions bombardant l'Ukraine. Sa colère s'explique aussi par la situation complexe sur le terrain puisque l'armée russe opère une sévère contre-offensive sur les deux fronts. Pendant ce temps, des associations ukrainiennes récoltent des dons pour les ravitailler l'armée. Sans l'aide de l'Etat, elles vont chercher de l'argent dans les fêtes et festivals, ou bien en ligne. Avec les sommes récoltées, elles achètent ensuite du matériel pour l'envoyer aux soldats.En France, un des fleurons de la défense nationale reste le porte-avions Charles de Gaulle. Ce bâtiment de combat à propulsion nucléaire impressionne, à tel point qu'il a fait ses premières démonstrations de force lors d'une opération de l’OTAN au printemps dernier.Alors, l'Occident doit-il autoriser l'Ukraine à utiliser des missiles longue portée ? Comment s'organise l'aide associative pour ravitailler les soldats ukrainiens ? À quoi sert un porte-avion à propulsion nucléaire ? Les experts :- Pierre HASKI - Chroniqueur international à France Inter au Nouvel Obs- Marie JEGO - Journaliste au Monde, ancienne correspondante en Russie- Général Patrick DUTARTRE - Général de l’armée de l’Air et de l’Espace, ancien pilote de chasse- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique au Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitiquePRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/
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Commentaires (29)

Fab

ihhnwhob.ov

Aug 21st
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Wissam NASRALLAH

Trump compte de son côté beaucoup sur un électorat clé : les "évangéliques" et non les "évangélistes"

Aug 14th
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Agatha Bardy

z2

Jun 25th
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Emmanuel jauneau

Putain actualisez

Jun 30th
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Christophe G

Pourquoi cette mauvaise surprise ? Le podcast de l'intégrale (et annoncé comme tel) est en réalité coupé des questions de fin d'émission. Ce n'était pas le cas avant. Serait ce pour passer un spot de pub supplémentaire ? En tout cas, ce n'est pas une modification faite pour le confort des utilisateurs, et pour tout dire c'est désagréable.

May 25th
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Rétro Games

de pire en pire les gauchiasses merdique de c'est dans l air, le déni totale

Sep 24th
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Rétro Games

niva la meuf d'un violeur et bien vous invité vraiment n'importe qui !!! en plus elle n'y connais pas grand chose... en matériel militaire. ... une arriviste de première

Sep 12th
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Larbi AIT ABDERRAHIM

Ridicule ! Vraiment ! J'écoute votre émission chaque jour et certaines fois, vous avez une vision très partisane, et cet épisode en particulier. Manque d'objectivité clair.

Dec 14th
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Yannick Brianchon

c'est quoi ce plateau de bobo parisien islamo gauchiasse merdique💩💩💩

Dec 12th
Réponse (1)

Yannick Brianchon

une fois de plus la vision des bobo islamo gauchiste merdique parisien qui ne comprends la société...... des vrais merde.

Jul 19th
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Yannick Brianchon

quelqu'un peut pas lui tordre le cou avec son écharpe rouge à cette fiotte de Barbier

Mar 23rd
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Yannick Brianchon

la blague en fait poutine il rigole.. devant les caniches de l'Europe...... Merkel compris d'ailleurs Elle se couche....

Feb 11th
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Yannick Brianchon

Sanofi pasteur le fiasco français un jour il faudra se demander comment c'est arrivé... comme l'EPR de Flamanville d'ailleurs..''

Jan 28th
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Less Sita Mana

je suis étonné par des commentaires de certains de vos invités. Depuis des années, l'élection américaine est serrée. pour exemple, Hilary Clinton a gagné le vote populaire, est ce pour autant ceux qui l'ont votée n'ont ils pas reconnus Trump comme président? De même pour l'élection de Georges Bush.. alors pourquoi dire que la moitié des américains ne reconnaissent pas Biden comme président ? Deuxièmement, Biden n'as pas eu peur de certains émeutiers mais il aurait été irresponsable de ne pas avoir une investiture de haute sécurité au vu des menaces extrémistes et je me vois pas en quoi Biden apparaît comme un president faible. Au contraire la présence de l'armée et de tous les pouvoirs représentés au Capitole montre sa force et sa légitimité. je regrette que les journalistes n'aient pas soulevés ces points.

Jan 21st
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Yannick Brianchon

même Bernard ???? lol

Jan 15th
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Yannick Brianchon

qu'ils se cassent les rosbifs et qu'ils nous rendent les 80 milliards d'euros d'aides de l'Europe perçu depuis 50ans et Fuck off !!!

Dec 30th
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caroline peter

.

Sep 7th
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ThePaulohubert

j'ai regardé il y a 15 minutes si un épisode sur les évènements aux etats unis était sorti sur C dans l'air. il n'y avais rien. puis 5 minutes après l'épisode sort.

May 30th
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Lyse Marley

infernal ce médecin de Bichat qui veut absolument poursuivre son essai à double aveugle, avec des patients témoins qui recevrons des placébos alors que les décès s'emplifient. En fait il veut avoir son nom sur le protocole

Mar 29th
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David Fork

ce sont les 15 même minutes qui tournent en boucle

Mar 6th
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