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Les Matins Jazz

Les Matins Jazz
Author: TSFJAZZ
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© TSF Jazz
Description
Tous les jours au réveil, le duo des Matins Jazz, Laure Albernhe et Mathieu Beaudou (avec Marine Gibert le vendredi), vous dégourdit les oreilles et vous tire du lit.
Nouveautés, inédits, infos curieuses d'ici ou d'ailleurs, de la musique, des idées, des envies, des humeurs, des sourires, des live sessions, des invités exceptionnels et un rendez-vous infos toutes les 15 minutes.
Et des chroniques, du lundi au jeudi entre 8h et 9h, autour de la culture (avec Yaël Hirsch de Cult.News (http://Cult.News)), de la photo (avec l'équipe de Polka Magazine), de littérature (avec l'auteure Léa Chauvel-Lévy), d'Art (avec Olivier Celik)
Bon réveil !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1255 Episodes
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Il n'existait aucun endroit semblable jusqu’à aujourd’hui : MansA, la maison des mondes africains, promise par Emmanuel Macron en 2021 sur proposition de l'historien Achille Mbembe, ouvre ses portes en plein cœur de Paris, dans le 10e arrondissement. Sa mission : faire rayonner la création contemporaine des mondes africains, au pluriel : c'est à dire l'Afrique, mais aussi les Caraïbes, les Amériques du nord et du sud, l'océan Indien et les diasporas européennes. On écoute la directrice de MansA, Liz Gomis, qui dit avoir voulu créer le lieu qui lui a manqué lorsqu'elle était plus jeune, et qu'elle se questionnait sur son héritage. Elle défend une programmation pluridisciplinaire faisant la part belle aux artistes émergents. L'autre lieu qui attire notre attention ce matin, occupe une place à part dans l’histoire des arts du cirque : l’Académie Fratellini, à Saint Denis, rouvre après trois années de travaux, et propose pour l'occasion un weekend festif et gratuit voulu comme une vitrine de l'identité artistique de cette prestigieuse institution. On réchauffe aussi cette matinée de grisaille avec un passage par Nancy, pour le lancement du festival Nancy Jazz Pulsation, dont la programmation promet de belles vibrations : Dee Dee Bridgewater, Avishai Cohen, Stella Cole, China Moses, Theo Croker et Jeanne Michard, entre autres. Coup d'envoi du festival demain et jusqu’au 18 octobre !Et puis nous traverserons l’Atlantique pour aller saluer la mémoire du célèbre producteur de festival George Wein, à qui l’on doit - entre autres - le Newport Jazz Festival… Né le 3 octobre 1925, il aurait eu 100 ans aujourd’hui.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
James, dans le classique de la littérature américaine Les aventures de Huckleberry Finn, c’est le nom de l’esclave qui fuit avec le jeune héros imaginé par Mark Twain en 1884. Compagnon de route et d’infortune, ami et père de substitution de Huck, Jim, comme il est surnommé par les blancs, esclave en fuite dans le sud des Etats Unis, est un érudit qui cache son goût pour les philosophes et la littérature pour sauver sa vie. Condamné à la clandestinité, livré aux mauvais traitements que lui doit la couleur de sa peau, il parcourt la route en quête de sa liberté et de celle de sa famille. Dans le nouveau roman de l’Américain Percival Everett, lauréat du dernier Prix Pullitzer, c’est lui le héros. James, lauréat du Pullitzer 2025, a été traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut et édité par les Editions de l’Olivier.Après avoir été secoués par la lecture de James, on se plonge ce matin dans un roman bourré de poésie. Léa Chauvel-Lévy nous parle ce matin de Aux nuits à venir de Joffrine Donnadieu (Ed. Gallimard). Et nous conseille ardemment de fréquenter les "Biblis en folie ce week-end, et/ou la 38e édition duSalon du livre de Mouans-Sartoux dans les Alpes maritimes.Enfin, on écoute un souhait du pianiste congolais Ray Lema, invité hier de l'émission Caviar et champagne, autour du film "Soundtrack to a coup d'état".Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l'occasion de la sortie au cinéma du film “Soundtrack to a coup d’état”, qui fera l'objet de notre émission mensuelle Caviar et Champagne ce soir à 19h et qui mêle jazz, histoire et politique, on fait un gros plan sur une BD qui traite le meme sujet : le destin du leader congolais Patrice Lumumba. “La dent / La décolonisation selon Lumumba”, c’est un ouvrage paru chez Glénat de Nicolas Pitz et Pierre Lecrenier qui raconte, de manière linéaire, le destin tragique d’un homme qui a rêvé l’indépendance de son pays libéré du joug de la couronne belge, le premier Premier ministre de la République démocratique du Congo, qui a payé de sa vie son rêve d’un système juste et équitable. On en parle aujourd'hui avec le scénariste Nicolas Pitz. Il y a 100 ans arrivait à Paris Josephine Baker avec la Revue Nègre en 1925. Un anniversaire qui se célèbre dignement, et follement! En attendant la semaine prochaine, la reprise à Bobino du musical "Josephine Baker, 50e anniversaire", on aura l’occasion de vous en parler, on se penche ce matin sur le double événement proposé jusqu'au 9 novembre au Hall de la Chanson (Paris) :l'expo "Vénus noire" et le spectacle musical “La revue arc en ciel #2”.Enfin, Dimitri Beck de Polka Magazine, dans sa chronique photo, revient sur le Prix Pictet et la récente déclaration de Donald Trump sur la "grande arnaque" du dérèglement climatique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1975, l’actrice Delphine Seyrig a interrogé 24 de ses consoeurs, en français ou en anglais, pour recueillir leurs réflexions et leurs propos sur la situation qu'elles occupaient, en tant que femmes, dans le milieu du cinéma et plus largement dans la société. Le documentaire “Sois belle et tais toi” est désormais disponible en ligne sur le site Gallica, de la BNF Ce sont des dialogues que filme Delphine Seyrig, car on l’entend hors champ discuter avec ces comédiennes, dont les propos sont toujours réfléchis, allant du constat désabusé aux analyses les plus fines. C’est une pièce qu’on a vue pour vous la semaine dernière au Théâtre du Rond-Point à Paris, et qui part en tournée, elle passera en Bretagne, sur la Côte d’Azur, à Lyon ou au Mans, où on écoute TSFJAZZ en DAB +. "Marius", relecture et intemporelle du classique de Marcel Pagnol par le metteur en scène Joel Pommerat, avec des interprètes avec qui il a travaillé en milieu carcéral. Et comme chaque mardi, Yaël Hirsch, de Cult.News, nous propose une sélection des événements culturels de la semaine. Aujourd'hui, elle a aimé la douceur de la série "Empathie" (Canal+ et Prime Vidéo).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Transit Ostend” n’est pas à proprement parler un documentaire. On ne sait rien de ce qui a amené le chanteur américain Marvin Gaye en Belgique, on ne sait rien de la crise qu’il traverse, de ses dépendances multiples, de son divorce. Ce qu’on a sous les yeux, c’est une tranche de vie à Ostende, où il s’est retapé grâce à l’amitié d’un hôtelier belge, et où il a retrouvé sérénité et inspiration, c’est là qu’il a écrit son tube "Sexual Healings". Et un artiste à la beauté renversante, à la douceur confondante qui court sur la plage, qui regarde défiler les rues d’Ostende dans un taxi, qui joue aux fléchettes dans un estaminet, et qui joue de la musique.A voir sur la plateforme Qwest Tv. Il a joué avec Quincy jones, Dizzy Gillespie, il a créé un mémorable quartet européen avec Daniel Humair et Henri Texier, il était considéré comme le descendant direct de Charlie Parker. Aujourd'hui, on se souvient dusaxophoniste Phil Woods, mort le 29 septembre 2015, il y a dix ans aujourd’hui. Et, comme chaque lundi, Olivier Celik, le rédacteur en chef de L'ŒIl (dont le nouveau numéro est en kiosque),vient nous parler d'art. Aujourd'hui, gros plan sur les expos : "L’empire du sommeil" au Musée Marmottan Monet (Paris) et "John Singer Sargent, éblouir Paris", au Musée d’Orsay.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu ce matin deux saxophonistes au parcours très différents, mais qui se rejoignent dans leur façon de transcender les courants... et leur admiration commune pour Eric Dolphy ! Le premier est né à Baltimore, en 1940. Il a collaboré avec tous les grands noms, Art Blakey, Lee Morgan, Max Roach, Abbey Lincoln et Miles Davis, avant de devenir lui-même un leader prolifique, et une icône du jazz spirituel et engagé dans les années 1970. Gary Bartz, souffle ce 26 septembre sa 85ème bougie, et il est loin d'avoir dit son dernier mot puisqu'il sort ses jours-ci un nouvel album, Damage Control, et viendra se produire au Duc des Lombards à Paris, fin novembre.L’autre est né à Bayonne, et est une figure de proue du jazz hexagonal connu pour ses explorations free : Michel Portal est au coeur du documentaire Quelques notes sur la libertéde Benjamin Delattre, qui explore le processus de création musicale, et qui sera projeté demain au Louxor à Paris.Son instrument à lui, c’est la lumière, qu’il capte et qu’il reflète dans les teintes sombres qu'il manie à merveille. Pierre Soulages s’expose en ce moment au Musée du Luxembourg, avec une centaine d'oeuvres sur papier aussi fascinantes que méconnues : c’est notre feuilleton de la semaine dans les Matins Jazz. Nous nous rendrons aussi à la Philharmonie, ou la chanteuse Sandra N'kaké, avec son trio "ELLES", donne ce week-end une série de concerts "participatifs" lors desquels le public sera invité à chanter.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lutte des classes, féminisme : “La folle journée ou le mariage de Figaro” est une pièce que Beaumarchais a écrite en 1778 et qui, au-delà des intrigues amoureuses et des rebondissements, exprime de manière assez frontale des revendications politiques encore d'actualité. Dans la mise en scène de Léna Bréban qui se joue jusqu'en janvier à la Scala Paris, Philippe Torreton joue un Figaro révolté.L’exposition “Soulages une autre lumière”,qui débute au Musée du Luxembourg, à Paris, est au cœur de notre Feuilleton cette semaine. Chaque jour, on en sait un peu plus sur l’œuvre sur papier du maître du noir, connu pour son travail sur toutes les nuances de noir. Et aujourd’hui, avec notre guide Alfred Pacquement, le commissaire de l’expo, on va parler de la couleur! Mais oui, la couleur.Et enfin, comme chaque jeudi, Léa Chauvel Lévy nous fait part de ses lectures de la semaine. Aujourd'hui : "Yann dans la nuit ", de Julie Brafman et Des enfants uniques, de Gabrielle de Tournemire, deux ouvrages parus aux Éditions Flammarion. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Voilà un club dont on aurait rêvé de faire partie : mais c’était il y a près d’un siècle, quand Montmartre vibrait au rythme syncopé du jazz. Le Club R-26, créé par un couple bohème et fortuné, qui aimait la fête et la musique, il comptait alors parmi ses membres des gens comme Django Reinhardt, Josephine Baker ou Sonia Delaunay. C’était en 1930, et les années étaient encore folles. Aujourd’hui, elles sont révolues mais un spectacle les fait joyeusement revivre, qui ravive de précieuses archives — du théâtre à la fois documentaire et swinguant — : “Les folles années du club R-26”, c'est tous les mercredis jusqu’au 15 octobre sur les lieux du crime, au théâtre Michel Galabru, à Montmartre, par le comédien Norman Barreau-Gély.“Si ma peinture ne rencontre pas l’anecdote figurative, elle le doit, je crois, à l’importance qui y est donnée au rythme, à ce battement des formes dans l’espace, à cette découpe de l’espace par le temps.” Depuis lundi, dans notre Feuilleton de la semaine, on vous offre une visite guidée de l’exposition “Soulages une autre lumière”, qui montre 130 œuvres sur papier de Pierre Soulages. On poursuit notre visite, ce matin, avec le commissaire de l'expo, Alfred Pacquement, qui nous explique l’importance du rythme dans ces dessins et ces peintures. "Rocco et ses frères", "Le guépard", "8 et demi", "Il était une fois dans l’Ouest"… Claudia Cardinale a marqué l'histoire du cinéma mondial… Elle avait commencé le cinéma toute jeune, par hasard, après avoir participé à un concours de beauté dans sa Tunisie natale. Et c’est toute jeune aussi qu’on la retrouve ici en 1961, interviewée à Cannes où elle était venue présenter deux films après seulement trois ans de carrière, et 14 tournages.Et enfin, comme chaque mercredi, on décrypte l'actu en photo avec Dimitri Beck, de Polka Magazine. Aujourd'hui : Emmanuel Macron à l'ONU. Il est aussi question entre autres du film "Put your heart in your hand and walk", de Sepideh Farsi.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'exposition “Auschwitz-Birkenau vu par Raymond Depardon" réunit pour la première fois les photos en noir et blanc faites à la toute fin des années 70, alors que le site d’Auschwitz-Birkenau entrait au patrimoine mondial de l’Unesco. C'est au Mémorial de la Shoah jusqu’au 9 novembre (entrée libre).C’est aujourd’hui le 95e anniversaire de la naissance de Ray Charles, et ça nous fait un bon prétexte pour entendre sa voix. On l'écoute ce matin dans une interview pour la télé française par Frank Ténot à Paris en 1969, toujours heureux de retrouver son public.L’exposition “Soulages, une autre lumière”, qui débute au Musée du Luxembourg (Paris), montre pour la première fois réunies 130 œuvres sur papier de Pierre Soulages, et c’est exceptionnel à plusieurs titres. Dans notre Feuilleton de la semaine, son commissaire Alfred Pacquement nous dit aujourd'hui à quel point, et depuis le début, l’œuvre de Pierre Soulages a été reconnu comme un travail à part. Dans un autre épisode, il parle précisément de sa technique au brou de noix.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Compositeur, trompettiste, arrangeur, producteur, Quincy Jones sait tout faire, maîtrise tous les métiers, et ce, depuis l‘adolescence, quand il a voulu entrer dans l’orchestre de Lionel Hampton. Son copain à l’époque était déjà un prince et un modèle, il s’appelait Ray Charles. Prince, Quincy l’est devenu à Paris à la fin des années 50 : c’était le copain de Boris Vian et de Michel Legrand, l’élève de Nadia Boulanger, l’amant de Juliette Gréco. A son retour aux Etats-Unis, il compose des musiques de films, devient l’arrangeur de Frank Sinatra (c’est lui le premier qui l’a appelé Q), fonde son label Qwest, signe tube sur tube, bref il s’impose comme un indispensable maillon de l’industrie musicale, et reste toujours cool et élégant. Quincy Jones, c’est LA musique, donc, c'est l'homme-musique.“Quincy Jones : music man”, un documentaire inédit d’Olivier Lemaire qui sera diffusé ce soir à 21h05 sur France 4, avant la cérémonie des Victoires du Jazz, et accessible ensuite sur le site de France TV.C’est un artiste absolu, qui n’a jamais sacrifié aux modes et qui est pourtant parmi les populaires en France, il a son musée à Rodez, il a inventé une couleur, l’outrenoir, et il a traversé un siècle d’art. Si vous êtes familier des toiles de Pierres Soulages, de ses matières, de ses brillants, vous allez être surpris et sans doute séduits par son œuvre sur papier, qui est montrée pour la première fois dans une grande exposition à Paris, au Musée du Luxembourg. Toute la semaine, on s’y fait guider par son commissaire, l’historien de l’art Alfred Pacquement. Aujourd'hui, il nous parle du support papier. “Soulages, une autre lumière” / 130 peintures sur papier de Pierre Soulages, c’est une exposition qui débute au Musée du Luxembourg à Paris, jusqu’au 11 janvier. Et c’est notre Feuilleton de la semaine. Enfin, comme chaque lundi, on accueille Olivier Celik, le rédacteur en chef du magazine d'art L'Œil. Aujourd'hui, gros plan sur l'expo Minimal à la Bourse de Commerce. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, les Matins Jazz célèbrent la création féminine et la place des femmes dans le jazz ! Dans le cadre des Journées du Patrimoine - et du Matrimoine ! - ce week-end, plusieurs évènements mettent en lumière les musiciennes et les chanteuses. On commence avec l’autrice et illustratrice espagnole La Rata : elle donne dimanche au Théâtre Public de Montreuil, une lecture autour de son ouvrage Give it to me, paru l'an dernier chez Flammarion. Il s'agit d'une contre-histoire féministe de la musique populaire, qui commence par les vaudeville, le blues et le jazz, et qui célèbre l'insoumission des chanteuses de mauvaise réputation à travers les âges. Ma Rainey, Ethel Waters, Bessie Smith, Billie Holiday, Etta James, Nina Simone, ou encore Aretha Franklin, y figurent sous les traits de déesses rayonnantes. Nous irons aussi à la Cité Audacieuse à Paris pour l'atelier "Les Elles du Jazz" autour des compositrices méconnues du jazz, ainsi qu'à Bourg-en-Bresse pour le Festival Jazz au Domaine, organisé par Jazz(s)Ra, qui propose une exposition sur les jazzwomen vues par les pochettes de vinyles. À suivre aussi, un peu de photo, le dernier épisode de notre feuilleton dédié à FAB Paris, le salon qui démarre demain au Grand Palais. Et puis un voyage à La Nouvelle Orléans, mais depuis la Goutte d’Or à Paris, pour un festival qui tisse des ponts entre ces deux territoires. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est une pièce qui avait remporté trois Molières à sa création en 2011. Depuis, son succès semble irrésistible. "Le repas des fauves",adaptée d'un roman de Vaha Katché reprend donc au Théatre Hébertot à Paris. On n'est pas tous des héros, c'est ce que montre la pièce, et pour sauver leur peau, les personnages sont parfois prêts à quelques entorses avec la morale. Ce qui peut déclencher une certaine gêne dans le public… et pas mal de questionnements aussi, comme nous l’explique ce matin Julien Sibre, acteur, adaptateur et metteur en scène de la pièce.C'est la suite de notre Feuilleton de la semaine avec le photographe Antoine Schneck, que l'on retrouve ce matin pour comprendre sa démarche pour le projet 100 ateliers, 100 artistes, La scène française, à découvrir dès samedi au Grand Palais, dans le cadre du salonFAB Paris (jusqu'au 24 septembre).Enfin, Léa Chauvel-Lévy vous invite à partager sa lecture du roman Au grand jamais, de Jakuta Alikavazovic paru chez Gallimard, ainsi que l'actu de la littérature.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’était le sourire le plus franc de l’Amérique, l’acteur à qui son complice le cinéaste Sidney Pollack n’avait pas voulu donner le rôle du “Lauréat” parce qu’on n’aurait jamais pu croire qu’il pouvait galérer à séduire une femme. Malgré son physique de parfait Américain, menton carré, mèches blondes et regard d’acier, Robert Redford a toujours porté sur son pays un regard distancié, cultivant l’indépendance, s’engageant aussi bien pour l’écologie que pour le cinéma hors système hollywoodien, chez lui, à Sundance. Un goût pour la liberté qui se rapproche de celle du jazz, découvert à l'adolescence, et qui lui a donné le sens de l'improvisation.C'est l'image de Gatsby le Magnifique qu'interroge ce matin Dimitri Beck, de Polka Magazine, avant que Léonor Matet ne nous présente l'agenda photo de la semaine. Et enfin, parce qu'on parle photo, donc, le mercredi : c'est avec l'expo d'Antoine Schneck "100 ateliers, 100 artistes, La scène française" qu'on poursuit notre Feuilleton de la Semaine consacré au Salon FAB Paris (du 20 au 24 septembre au Grand Palais). Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on arrive dans salle au Théâtre du Rond-Point, où se joue “Que sera sera” jusqu'à dimanche (et les 1 et 2 octobre à Sénart),les acteurs sont déjà sur scène et on entend la chanson déclinée dans tous les genres. Le point de départ de ce spectacle, c’est un entretien célèbre que François Truffaut a fait avec le maître du suspense Alfred Hitchcock. Deux illustres représentants de l’histoire du cinéma, à qui vient s’ajouter Jean Luc Godard. Il y a aussi des scènes de films qui sont rejouées sur scène, et notamment l’ouverture de “La corde”. C'est le collectif flamand tgSTAN qui s'empare du propos et fait dynamiter, en toute bonhomie, toutes les conventions, dans un spectacle convivial, joyeux, interactif, et un brin foutraque, à l’image de Damiaan De Schrijver, qui nous en parle ce matin.On parle théâtre aussi (et patriarcat) avec Yaël Hirsch, de Cult.News, qui a vu pour nous "La chair est triste hélas" d'Ovidie, par Anna Mouglalis au Théâtre de l'Atelier (Paris), mais qui nous conseille aussi de lire "Fantasmes au féminin", un livre de Maud Serpin, de participer aux Journées du Matrimoine, et de vivre à l'heure brésilienne le temps d'un week-end.Enfin, c'est la suite aujourd'hui de notre Feuilleton de la semaine, consacré au salon d'art FAB Paris, qui se déroule ce week-end au Grand Palais (Paris). Aujourd'hui, avec Jean-Hubert Martin, le commissaire de l'expo "Beautés désordonnées", qui répond à cette question : peut-on rire au musée?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'événement qui marque chaque année l'ouverture de la saison des grandes foires d'art. Du 20 au 24 septembre, FAB Paris recevra au Grand Palais une centaine de galeries internationales, mais aussi une expo exclusive à partir de la collection du musée Nissim de Camondo, un hommage spectaculaire à l’Art Déco, une expo photo qui nous mènera dans les ateliers des artistes (on aura l’occasion de vous en reparler) et également cette exposition qui pique notre curiosité dans les Matins Jazz. “Beautés désordonnées” est un événement commun émanant de 5 galeries parisiennes qui réunit 140 œuvres associées par affinités, ce qui donne des mariages parfois fantaisistes souvent droles et toujours habiles en tout cas. Son curateur, l’historien de l’art Jean-Hubert Martin s'est amusé à imaginer ces associations, qui permettent aussi de désinhiber les visiteurs.On parle d'art, donc, comme chaque lundi dans les Matins Jazz. Aujourd'hui, le rédacteur en chef de L'Œil, Olivier Celik, nous parle d'art gothique, de statuaire grecque et du travail du Belge Hans Op de Beeck. C'est l'actu toute chaude, on vous dit pourquoi il faut regarder la série "Adolescence" (Netflix), récompensée cette nuit par huit Emmy Awards. Enfin, on rend hommage ce matin à celui que Miles appelait "l'albinos fou", Hermeto Pascoal, disparu hier à l'age de 89 ans. Ce matin, par la magie de la radio, on le fait parler et se souvenir justement d'une rencontre… percussive avec Miles. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On vous parle d'espoir, ce matin. D'abord avec le Festival Photoclimat qui commence aujourd’hui et qui s’installe pour un mois sur la place - récemment piétonisée - de la Concorde et sur les quais de Seine à Paris. Objectif : mettre en lumière, à travers le regard de photographes du monde entier, le combat des ONG pour la justice sociale et le climat. On s'attarde avec le directeur artistique du festival Nicolas Henry, sur l'œuvre du photographe ghanéen Prince Gyasi, et celle du Britannique James Mollison. On revient aussi sur La Tribune des Possibles, sorte de conférence-spectacle-débat d'idées rassemblant ce week-end à la Salle Gaveau à Paris, des experts, des personnalités politiques et des artistes, afin d'imaginer un monde plus optimiste. Parmi les invités, l'ancien président François Hollande, le journaliste Michel Denisot, l'auteur américain Douglas Kennedy, ou encore les avocats de Gisèle Pélicot. Et parce que l'espérance naît aussi de la création artistique, plusieurs invités musicaux dont la chanteuse Angela Grey. On vous raconte, dans les deux derniers épisodes de notre feuilleton de la semaine.L’espoir aussi, dans l’objectif de la documentariste Malaury Éloi Paisley, qui filme son île, la Guadeloupe, en proie à une rénovation urbaine laissant les plus démunis sur le carreau. Malgré tout, ces hommes et ces femmes errant dans les rues de Pointe-à-pitre croient encore en des lendemains meilleurs. Le documentaire L'homme vertige est à voir en ce moment sur Arte.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La critique est unanime, c’est LE roman de la rentrée littéraire à qui l’on promet déjà le Goncourt. Ce matin, notre lectrice préférée Léa Chauvel-Lévy a lu pour nous La maison vide, de Laurent Mauvignier, qui va recevoir demain un nouveau prix littéraire à Nancy, où s'ouvre demain la 47ème édition du Livre sur la Place."Blacksad" a 25 ans. A cette occasion, on part à la Nouvelle Orléans avec Juanjo Guarnido, le dessinateur du héros John Blacksad : un privé typique des films noirs des années 50, un gars qui en a vu, vétéran, sombre, solitaire, et qui , pendant sept albums, fréquente les bas fonds de la société américaine : des bars poisseux peuplés de taupes, de reptiles, de créatures féminines sublimes et autres animaux anthropomorphes peints à l’aquarelle par Juanjo Guarnido. C'est la suite de notre Feuilleton consacré à La Tribune des possibles ce week-end à la Salle Gaveau. Aujourd'hui, la directrice générale de La Tribune, Tatiana de Francqueville, répond à cette question des Matins Jazz : est-ce bien le rôle d’un media, d’organiser des rencontres, fussent-elles pour rêver un monde meilleur?Et enfin! C'est notre héros du jour : le pianiste Fred Nardin inaugure ce matin son "Nar-day", la journée spéciale que nous lui consacrons sur TSFJAZZ à l'occasion de sa série de concerts au Duc des Lombards. ce matin, il est en duo avec le contrebassiste Victor Nyberg.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Michael Bublé, le chanteur italo-canadien, qui remplit les Arena du monde entier. Michael Bublé, qui selon les derniers chiffres, aurait vendu plus de 75 millions d’albums. Michael Bublé, qui collectionne les récompenses en tout genre : on a compté 5 Grammy, 15 Juno, la suprême récompense au Canada, ce pays dont il est si fier, il est même l’une des étoiles du Hollywood Walk of Fame. Bref Michael Bublé à qui rien ni personne ne résiste reste pourtant toujours un type extrêmement sympathique. Alors pour fêter ses 50 ans, on n’a pas pu s'empêcher d’aller retrouver dans nos archives cette interview où il se souvient de ses tout débuts, encouragés par son grand-père italien, qui se rêvait prof de géographie mais qui, pour nourrir sa famille, était devenu plombier. La Tribune des Possibles, ce sont deux jours de rencontres, samedi et dimanche à la Salle Gaveau (Paris) pour fêter un double anniversaire : les 40 ans du quotidien La tribune et les deux ans de son hebdo La Tribune du dimanche. Deux jours pour réfléchir ensemble à la possibilité d’un monde meilleur, et surtout d’un monde plus optimiste. C'est le sujet de notre Feuilleton de la semaine.Hier, Tatiana de Francqueville, la directrice générale de La Tribune, nous expliquait que, selon elle, on a toutes les raisons d'être optimistes. Aujourd’hui, elle nous invite à prendre le temps.Et enfin on ouvre les fenêtres aujourd’hui dans les Matins Jazz, et on y laisse entrer l’air frais du Grand Nord. A l’occasion de l'événement Parcours des Mondes qui commence aujourd’hui dans les galeries du quartier Saint-Germain-des-Prés, à Paris, la Galerie Vallois nous emmène en effet à la rencontre des peuples du Grand Nord : les Inuits, présents en Alaska, au Canada arctique et au Groenland, les Yupiks de Sibérie orientale ou les Sámis, installés en Scandinavie et dans la région subarctique russe. Autant de peuples dits autochtones, qui occupent des territoires immenses, et qui font partie intégrante de la nature, comme nous l’explique ce matin l’auteur québécois Michel Jean, spécialiste du sujet.“Inuits et Samis — Peuples du Grand Nord”, ça commence aujourd’hui dans le cadre de l’événement Parcours des mondes, à Saint Germain des Prés, et c’est jusqu’au 27 septembre. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un événement imaginé pour fêter les 40 ans du quotidien La tribune et les deux ans de son hebdo La Tribune du dimanche : deux jours de rencontres et de réflexion à la Salle Gaveau à Paris ce weekend avec des personnalités aussi diverses de Laurence des Cars, la directrice du Louvre, François Hollande, l’écrivain Douglas Kennedy, l’ancienne astronaute Claudie Haigneré, l’avocat Richard Malka, l’ancien Garde des Sceaux Eric Dupond Moretti, le chef Pierre Gagnaire et bien d’autres.La tribune des possibles,donc, pour réfléchir tous ensemble à un monde plus optimiste. Tatiana de Francqueville, directrice générale de La Tribune, est l'invitée toute la semaine du Feuilleton des Matins jazz. (c'est aussi notre Jeu du Jour). Episode 1 : a-t-on véritablement des raisons d'être optimistes aujourd’hui dans cette société qui va si mal? Il y a une semaine, on vous parlait de Kim Novak qui devait recevoir un Lion d’or d’honneur à Venise. Et bien ça y est, la 82e édition de la Mostra de Venise s’est achevée ce week end…. et, surprise!, c’est le réalisateur américain Jim Jarmusch qui repart avec le Lion d’or pour son nouveau film “Father Mother Sister and Brother », une chronique familiale avec Adam Driver, Cate Blanchett, Tom Waits et Charlotte Rampling. Jusqu'au dernier moment, beaucoup pariaient sur la victoire de "The Voice of Hind Rajab" de Kaouther Ben Hania qui repart avec le Grand Prix accompagné d’une standing ovation. Enfin, c'est lundi et c'est le jour de l'art dans les Matins. Aujourd'hui, le rédacteur en chef de L'Œil, Olivier Celik, nous parle d'un peintre "popstar" au 18e siècle, d'un lion de la place Saint-Marc et des nabis qui s'affichent.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Beaucoup de femmes à l’honneur en cette fin de semaine dans vos Matins Jazz ! D'abord la plasticienne, photographe et performeuse brésilienne, originaire de Sao Paulo, Val Souza s’expose en ce moment à la MEP. Avec son vaste collage Vênus, qui juxtapose plus de 800 images, elle explore et questionne les représentations des femmes noires. On se souvient également d'une pionnière du cinéma, la réalisatrice Alice Guy. Le Festival du cinéma américain de Deauville, qui démarre aujourd’hui, lui rend hommage pour la première fois, et d’une très belle façon puisque seront projetés plusieurs de ses films, réalisés aux Etats Unis, et inédits en France. On en parle avec Véronique Le Bris, sa biographe, qui présentera la rétrospective ce weekend. Quant à elle, elle est l’une des figures de proue du jazz français, on entendra la batteuse Anne Paceo, venue mercredi midi présenter dans Deli Express son dernier projet Atlantis. Et puis l'évènement de cette semaine de rentrée dans Deli Express, c'est l'interview exceptionnelle, ce vendredi, de Brad Mehldau, qui nous présente son nouvel album Ride into the sun, au micro de Jean-Charles Doukhan. On vous en donnera un petit aperçu. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.