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Deli Express
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Deli Express

Author: TSFJAZZ

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Description


De 12h à 13h, toute l’actu du jazz se déguste à point et avec convivialité. La pause du déj' à la sauce TSFJAZZ, c’est une heure d’interviews, de rencontres, d’avant-premières, d'explorations d’albums & rééditions, de célébration…


Sans oublier, nos désormais incontournables sessions musicales : plus de 150 par saison ! De 12h à 13h, c'est toute l'actualité du jazz qui se déguste à point. 
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Finalement pour atteindre le Nirvana ce midi, on a besoin de quoi ?Pas grand-chose ! Juste d’un violoncelle, et d’un cavaquinho. Un quoi ?Un cavaquinho ! C’est une sorte de petite guitare très répandue au Brésil, sur laquelle Matheus Donato a flashé a dix ans lorsqu’il vivait à Brasilia. Comme c’est l’un des instruments rois du choro, il s’est aussi plongé en profondeur dans l’étude de cette musique. Désormais basé à Paris, il ouvre son champ d'action à des multiples contextes musicaux.Notre violoncelle du jour, appartient, lui, à Guillaume Latil. C’est d’ailleurs un instrument qu’il a toujours vu et entendu, car il a grandi avec une maman prof de violoncelle. Elle lui a notamment appris à ne pas avoir peur de l’emmener hors des sentiers battus. Alors, depuis qu’il en a fait sa vie, il navigue entre jazz, musique de chambre et du monde. Et on l’a croisé auprès de Youn Sun Nah, Lou Tavano ou Sélène Saint-Aimé.Nos deux hommes réunissent tous leurs mondes sur un très bel album en duo, « Hémisphères ». Avec des clins d’œil à Robert Schumann, Piazzolla, Pixinguinha Chopin ou même à la musique bulgare. Un dialogue sensible, joueur, plein de grâce qu’ils présenteront en concert le 15 octobre au Petit Duc, à Aix-en-Provence, et le 5 novembre au Café de la Danse, à Paris. Et dès ce midi dans notre Deli.(c) JE EftehkariSi on a la sourire en ce début de semaine, c’est aussi parce qu’on a reçu des nouvelles d’un jeune pianiste américain qu’on adore !Sean Mason a 27 ans, et déjà, du style, du swing et du talent à revendre. Sa musique, c’est tout simplement la classe ! Elle renvoie aux années 50 et 60, tout en étant parfaitement ancrée dans la modernité new-yorkaise…La preuve, avec ce tout nouveau morceau, Rediscovery, enregistré en quintet.Ce Deli, on le dédie à la mémoire d’un génie : le Brésilien Hermeto Pascoal, qui s’est éteint ce week-end à 89 ans.Hermeto Pascoal jouait de l’accordéon, de la flûte, du saxophone, des claviers, de la guitare, des percus. Rien que ça, c’est déjà énorme !Mais pour lui, tout était musique, tout était propice à la création ! N’importe quel objet pouvait se transformer en instrument. Et il intégrait aussi les bruits de la nature et le chant des animaux dans sa musique.Hermeto Pascoal avait impressionné jusqu’à Miles Davis, qui l’avait convié à participer à son album, Live Evil, au début des années 70.On l’écoute, nous, en 1977 avec « Chorinho Pra Ele », extrait de l'album Slaves Mass.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, un seul mot clé :  Zangbeto !A l’origine, c’est le nom d’une société de porteurs de masques au Bénin, dont la mission est de protéger les communautés contre les mauvais esprits. Mais Zangbeto, c’est aussi le quintet à l’honneur de notre Deli Express. Une belle aventure qui a débuté, il y a quatre ans, lorsque trois instrumentistes togolais, Joachim Amouzou, Honoré Dafo, et Hénoc Fafadji, ont participé à une résidence musicale avec Peter Solo de Vaudou Game.L’alchimie entre eux trois a été si forte qu’ils n’ont plus jamais arrêté de jouer ensemble, jusqu’à taper dans l’œil de l’Académie d’été du festival Jazz à Vienne.C’est là qu’ils ont noué une solide complicité avec le trompettiste Félicien Bouchot, échappé d’orchestres qu’on adore sur TSFJAZZ, l’Amazing Keystone Big Band, Bigre et le Skokiaan Brass Band.Ensemble, et avec aussi l’arrivée du guitariste Romain Baret, ils ont commencé à travailler sur un répertoire fusionnant jazz, rythmes et chants d’Afrique de l’Ouest. Le résultat était tellement bon et bouillant qu’ils devaient absolument l’immortaliser sur un album : « Ezo », paru l’an passé et qu’ils présentent en concert ce soir au Duc des Lombards, et dès ce midi sur la scène de notre Deli Express.Voici Joachim Amouzou au piano, Honoré Dafo à la basse Henoch Fafadji à la batterie, Romain Baret à la guitare, et Félicien Bouchot à la trompette.On le sait, nous : le jazz en club, le jazz en concert, ce sont des émotions incomparables, des moments forts et uniques !On est donc comme des fous depuis qu’on nous a annoncé la sortie le 24 octobre d’un live inédit du pianiste Horace Silver, un pilier de l’âge d’or du label Blue Note, et le tenant d’un jazz gorgé de blues, de gospel, de soul et de ses racines cap-verdiennes. Le live en question reprend un concert d’août 1965 à Seattle.A cette époque, dans son groupe, Woody Shaw faisait des merveilles à la trompette et Joe Henderson faisait pareil au saxophone.On en écoute un extrait ce midi : une version fougueuse du Cape Verdean Blues !Il est né un 10 septembre : le regretté Roy Ayers qui s'est lui aussi tourné vers l'Afrique au cours de sa longue carrière.A la fin des années 70, le vibraphoniste est parti en tournée à travers le Nigeria pour assurer les premières parties des concerts de Fela Kuti.A la fin de cette série de trente dates, les deux hommes sont entrés en studio pour gravé un album paru en 1980, "Music of Many Colours", dans lequel on se plonge en fin d'émission.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, c'est la grande grande classe !On passe Deli  en compagnie de Brad Mehldau.On va aligner les superlatifs, mais c’est certainement le pianiste les plus influent de ces trente dernières années… Un homme qui a renouvelé l’art du trio, changé la face du jazz et profondément marqué les générations qui ont suivi !En 2002, avec l’album Largo, il s’affirmait même comme un esthète à la vision unique, synthétisant de façon impressionnantes toutes ses influences, de la musique orchestrale européenne à la drum’n’bass, avec le jazz, en dénominateur commun et des moyens de production et d’enregistrement qu’on avait plutôt l’habitude de voir dans la pop.Depuis, Brad Mehldau n’a jamais cessé à la fois, de magnifier son instrument, mais aussi de chercher de nouveaux possibles…Comme sur le disque Finding Gabriel, paru il y a six ans…Un trip sonore fascinant inspiré par sa lecture approfondie de la Bible, et sur lequel il s’amuse avec toutes sortes de claviers et avec des chœurs.Le nouvel album de Brad Mehldau est un nouveau coup de maître.Avec « Ride Into the Sun », il renoue d’ailleurs avec l’esprit pop de Largo, et l'ambition orchestrale d’un autre de ses sommets, Highway Rider. Mais ici, il célèbre la mémoire d’Elliott Smith, l’un de ses artistes préférés et un poète maudit du rock américain.Il le fait à travers un répertoire à géométrie variable, du solo à l’orchestre, avec des invités tels que le joueur de mandoline et chanteur Chris Thile, ou encore de David Rossen du groupe Grizzly Bear.Un disque fort et sublime qu’on est heureux et fiers d’explorer ce midi à ses côtés.  (c) Yoshika HoritaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invitée est un phare pour toute la nouvelle génération du jazz français.Ne suivant que son cœur et ses envies, la batteuse Anne Paceo a très tôt développé un univers singulier, empli de poésie, d’ouverture sur le monde, d’exploration sonore ! Sans le savoir, elle a donné confiance et servi d’exemple à beaucoup de musiciens qui ont suivi.C’est que rien ne l’arrête ! Tout est prétexte à élargir le spectre des possibilités. Jouer avec des musiciens traditionnels birmans ? Elle l’a fait…Se pencher sur l’importance de la musique et de la voix dans les rites chamaniques…Fait également !Pour son huitième album, Anne Paceo est allée voir encore ailleurs : dans les profondeurs, dans son amour pour l’eau et les océans.Il faut dire qu’elle a vécu une expérience assez forte, il y a trois ans, en faisant de la plongée pour la première fois de sa vie : ça a été un moment magique ! Un moment d’apesanteur et de contemplation, et quelque part le début de ce projet passionnant…Je ne sais pas comment tu fais Anne, ça doit être le travail sur les voix et les claviers…Mais on a l’impression d’être sous la mer, d’être en immersion de la première à la dernière note d’Atlantis. Un album puissant, flirtant avec la pop et l’électro, et que tu présentes en en concert demain soir à Jazz à La Villette. Et dès ce midi dans notre Deli…Te voici à la batterie et au chant, avec Maya Cros aux claviers, Gauthier Toux au piano, Christophe Panzani au saxophone, Lilian Mille à la trompette et Laura Cahen au chant !(c) Tanguy GinterCe midi, on souhaite aussi un joyeux anniversaire à Peter Bernstein, l’un des boss new-yorkais de la guitare, et ça fait une trentaine d’années que ça dure ! Auprès de Diana Krall, Lonnie Smith ou Brad Mehldau dont il est l’un des proches. Brad Mehldau était d’ailleurs le pianiste de son tout premier album, « Somethin’s Burnin’s », enregistré en 1992. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour nous, c’est clair ! Quand on les voit, quand on les écoute, on se dit qu’ils étaient faits pour s’entendre ! Donny McCaslin et le groupe Ishkero partagent le même goût pour les explorations sonores, la même envie de brouiller les pistes, de faire sauter les barrières, d’aller fouiller les recoins de leurs influences musicales.Donny a été le dernier saxophoniste et directeur musical de David Bowie, celui qu’on entend sur Blackstar et Ishkero est au cœur des nouvelles tendances qui agitent la scène française. Ses membres trippent d’ailleurs depuis longtemps sur sa musique. Et grâce au soutien de l’opération Talents Adami Jazz, ils peuvent non seulement le rencontrer, mais aussi se produire avec lui.Au printemps dernier, il y a un eu un concert d’anthologie à Jazz sous les Pommiers, puis un autre cet été à Jazz à Vienne. Et tout ce beau monde remet ça jeudi soir au festival Jazz à La Villette. Ça va être explosif et génial ! Ils vont jouer le répertoire du nouveau disque de Donny McCaslin, « Lullaby for the Lost » (à paraître le 26 septembre chez Edition Records). Un répertoire qu’on explore dès ce midi dans Deli Express, avec Donny McCaslin au saxophone, et donc tous les Ishkero : Tao Ehrlich à la batterie, Antoine Vidal à la basse, Arnaud Forestier aux claviers et Victor Gasq à la guitare ! On est comme des fous, c'est la rentrée. On avait hâte de vous retrouver. Et on vous la souhaite remplie d’autant de groove et d’énergie que ce morceau du bassiste Jaco Pastorius : « Kuru / Speak Like a Child » !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous en connaissez beaucoup, vous, des trompettistes adoubés à la fois par Wynton Marsalis et Beyoncé ? Nous, on n’en voit qu’un : c’est Keyon Harrold, un pied dans le jazz, l’autre dans le hip-hop et la soul. Un musicien génial et hybride, dont l’ouverture d’esprit colle à merveille avec tout ce que défend le New Morning…Et ça tombe bien, c’est là que Keyon et son quintet se produisent ce soir, dans le cadre du All Stars Festival, que le club parisien organise tous les étés et qui rassemble du beau monde.On va en parler avec la programmatrice du New, Christine Badier.Et on va donc se régaler aussi avec Keyon Harrold et son groupe, parce qu’ils sont là ce midi, sur notre scène.Bienvenue Keyon ! L’an passé, tu as sorti ton troisième album, "Foreverland". C’est le répertoire dont il sera question au New Morning. Il y aura peut-être aussi, remarque, des nouveaux morceaux. Tu vas nous l’expliquer.Mais tout de suite, te voici en live, avec Nir Felder à la guitare, Chad Selph au piano, Jermain Paul à la basse, Charles Haynes à la batterie !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, c’est la folie ! On accueille une incroyable chorale sud-africaine : le Thanda Choir. Un groupe fondé il y a deux ans à peine à Khayelitsha, dans l’agglomération du Cap et qui s’adresse à la jeunesse des townships, en leur créant un espace d’expression, de liberté et d’évasion par le chant et la danse.Le tout en imaginant des répertoires qui fusionnent les traditions musicales d’Afrique du Sud, notamment l’utilisation de la langue xhosa avec des influences d’aujourd’hui.  Le résultat est tellement puissant et sublime, que j’en ai la chair de poule rien que de vous en parler.Mais vous allez vous en rendre compte, vous aussi, dans une poignée de secondes.Parce que oui, le Thanda Choir est à Paris. C’est même la première fois que ses membres voyagent à l’étranger.Et s’ils sont là, c’est grâce à Melody Gardot qui a découvert leurs vidéos en se baladant sur les réseaux sociaux. Elle a tellement flashé qu’elle a immédiatement décroché son téléphone pour les inviter à participer à ses concerts événements à l’Olympia. Il y en a huit, en tout…Quatre qui ont déjà eu lieu, et les derniers qui vont se dérouler de jeudi à dimanche.Entre toutes ces dates, le Thanda Choir multiplie les performances surprises et virales dans les rues parisiennes. Et ce midi, quelle chance, et quel honneur de les avoir au grand complet sur la scène du Deli Express.Ils sont quatorze ! Voici :Zinziwe Mazotsho, voix altoSiyasanga Mhlekwa, voix ténorIva Sogiba, voix lead et altoZoleka Mazotsho, voix soprano et percussionsZizipho Mathonsi, voix lead et sopranoSiphokazi Mnyamana, voix altoNosiphiwo Mnyamana, voix sopranoAsandisa Siswana, voix lead et altoLukhanyo Nodolo, voix basseLisakhanya Maqhajana, voix ténorLuyolo Jika, voix basse et chef de chœur Aviwe Gigi, voix ténor et chef de chœur Lonwabo Mguzula, voix basse Et Sisipho Tom, voix sopranoOn va vivre un grand moment tous ensemble ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sylvain Luc était bien plus qu’un Guitar Hero. C’était un « grand grand », pour reprendre les mots de Michel Legrand sur notre antenne, il y a une quinzaine d’années.Un guitariste, bluffant de virtuosité, d’imagination et de générosité. Et surtout une belle âme, l’une de ces personnalités rares qui illuminait de sa présence n’importe quelle scène, n’importe quel studio.C’est peu dire que Sylvain Luc a marqué la scène française ! Michel Portal, Dee Dee Bridgewater, Didier Lockwood, Richard Bona…Il a été leur complice.Il y a aussi, bien sûr, tous les albums !Les duos avec Biréli Lagrène, Richard Galliano ou Stefano Di Battista, le Trio Sud, en compagnie d’André Ceccarelli et Jean-Marc Jafet. Les solos, dont l’ultime Simple Song. Et tellement d’autres moments de grâce !Un an et demi après sa disparition soudaine à 58 ans, plusieurs de ses proches célèbreront sa mémoire et son héritage à l’occasion d’une grande Sylvain Luc Célébration, lundi prochain à 22h, dans le cadre du Peillon Jazz Festival…Un concert qui sera notamment marquée la présence de la guitariste Marylise Florid qui était son épouse mais aussi sa partenaire sur scène, et avec laquelle nous serons en ligne au cours de cette émission.Également présents la semaine prochaine à Peillon, et avec nous dès ce midi en studio, le trompettiste Stéphane Belmondo, l’harmoniciste Olivier Ker Ourio et le contrebassiste Rémi Vignolo.Et sur notre scène aussi, l’un des pairs guitaristes de Sylvain Luc. Ils se connaissaient depuis plusieurs décennies : Khalil Chahine.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ils sont là, en studio, ça va être le feu ! Dans quelques minutes, le collectif londonien Kokoroko va faire trembler notre Deli, avec deux titres en live de leur prochain album, « Tuff Times Never Last ».Mais avant cela, impossible de ne pas dédier notre émission, au pianiste, chef d’orchestre, compositeur et arrangeur Lalo Schifrin, dont on a appris la disparition à 93 ans. On lui doit une série de B.O. cultes, de Mission Impossible à Bullitt, en passant par l’Inspecteur Harry, Opération Dragon. Même la musique de Starsky & Hutch, c’est lui !Mais son parcours est aussi solidement ancré dans le jazz, une musique dont il s’est passionné dès l’adolescence.C’est même dans le jazz, en tant que pianiste, et à Paris qu’il a débuté sa carrièreUne carrière profondément marquée par sa rencontre et sa collaboration avec le trompettiste Dizzy Gillespie.Lalo a même fait partie de son quintet au début des années 60, et l’a retrouvé en 1977 pour l’album Free Ride, dont voici un extrait sur TSFJAZZ, Unicorn.On va même entendre la voix de Lalo Schifrin, extraite d’une interview de notre collègue Laurent Sapir, qui avait l’honneur de le rencontrer en 2016.L’été sera chaud, l’été sera Kokoroko.Et donc rempli de bonnes vibrations, de groove sensuels, de mélodies imparables et cuivrées !Quand toute la nouvelle scène londonienne a déboulé il y a sept-huit ans, on a tout de suite senti que ce collectif-là avait un p’tit truc en plus, un supplément d’âme qui les rendaient irrésistibles. Il y avait une force tranquille qui émanait de leurs morceaux, toujours beaucoup de goût, et un éventail d’influences qui allait du jazz à l’afrobeat.On a été fan dès le début.Et ce qu’on adore depuis chez Kokoroko, c’est qu’à chaque nouveau projet, le groupe élargit l’horizon des possibles. Leur nouvel album,« Tuff Times Never Last » sortira le 11 juillet, et pour la première fois le groupe privilégie le format chanson et reprend à son compte la philosophie de George Clinton, One Nation Under a Groove, en s’ouvrant au reggae, à la soul, au funk et même au disco… C’est doux, c’est stylé, c’est parfait pour les grandes vacances. Et c’est un répertoire que Kokoroko présente demain en avant-première au Festival Django Reinhardt de Fontainebleau…Et dès ce midi, c’est la folie : ils sont au grand complet sur la scène du Deli Express.Welcome everybody…Voici Onome Edgeworth aux percussions, Sheila Maurice-Grey à la trompette et au chant, Oluwatobi Adenaike-Johnson à la guitare, Ayobami Salawu à la batterie, Duane Atherley à la basse, Yoannes Kebede est au piano et Anoushka Nanguy au trombone ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça aussi, c’est la French Touch !Et cette touche française-là, le monde entier nous l’envie depuis 140 ans. Depuis que le clarinettiste Henri Selmer a créé sa marque d’instruments dans son atelier de Montmartre en 1885.Vous voulez des noms ? C’est parti : Charlie Parker, Sidney Bechet, Stan Getz, Sonny Rollins, Maceo Parker…Mais aussi Benny Goodman, Eric Dolphy, Artie Shaw…Ils ont tous joué sur des saxophones ou des clarinettes Selmer.En plus des instruments à vents, le fabricant a aussi construit, un temps, des guitares. Et là, comme ambassadeur on peut citer le grand Django Reinhardt himself.Cette belle histoire valait bien un festival : le Selmer Music Festival, qui a débuté samedi dernier pour la Fête de la Musique, et qui nous réserve encore deux soirées immanquables, vendredi et samedi au Cirque d’Hiver Bouglione ! Vendredi, c’est le classique et les musiques du monde qui seront célébrées.Et alors samedi, ça va être la fête, la bamboche, la fiesta du jazz, avec notamment un All Star Selmer Big Band créé spécialement pour l’occasion et rassemblant la crème de la crème : de Géraldine Laurent à Olga Amelchenko, en passant par Pierrick Pedron, Giacomo Smith, Baptiste Herbin, et même China Moses. Le tout sous la direction de Pierre Bertrand. Ça va être chaud, ça va être explosif !Il y aura aussi l’un de nos invités, Stéphane Guillaume. On est ravi que tu sois là, Stéphane. Tu une pointure française du saxophone. Tu vas nous raconter les répètes avec cet orchestre inédit. On a hâte de t’entendre.Mais là, tu es sur notre scène avec deux autres participant à la soirée de samedi. Parce qu’outre le big band, le pianiste Andy Emler sera aussi à l'honneur. Mais oui un pianiste dans un festival qui célèbre les instruments à vent.Andy Emler est l’un des esprits les plus libres, singuliers et empêcheurs de tourner en rond de la scène hexagonale. Et pour son nouveau projet, il a convié autour de son trio, un octuor de clarinettes. C’est l’album, « Le temps est parti pour rester », qu’il va donc présenter au Cirque d’Hiver, avec notamment Thomas Savy à la clarinette basse.Avant cela, Andy et Thomas vous êtes, vous aussi ce midi sur la scène du Deli. Merci d’avoir répondu à notre invitation ! Surtout qu’on va vivre dans un instant, un moment inédit : une rencontre à trois, avec Stéphane Guillaume, donc.Mais juste avant de vous entendre, on tire notre chapeau à cette programmation du Selmer Music Festival que l’on doit à Adrien Besse, aussi présent ce midi et qu’on va aussi entendre au cours de cette émission.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un jazz pur, élégant, s’abreuvant à la source du blues, du bop, des standards et des grands maîtres tels que Grant Green…Voilà pour l’esthétique de notre invité, le guitariste Yves Brouqui, un musicien français parti tenter l’aventure new-yorkaise, pour vivre à fond sa passion du jazz.Yves a passé sept ans dans la Big Apple, de 1994 à 2001, et l’endroit où il adorait jouer, traîner, et se prendre des claques, musicales, c’était au Smalls Jazz Club, dans le quartier de Greenwich Village.Il s’est notamment lié d’amitié avec Spike Wilner, qui est un puits de culture, un pianiste fabuleux, et depuis 2007, le propriétaire des lieux.Et si Yves Brouqui est rentré poursuivre sa carrière en France, il n’a jamais rompu le dialogue avec son buddy, avec son frère américain, dont il convie le trio à l’accompagner sur son nouvel album, Mean What You Say…Ça vient de sortir sur le label SteepleChase. Ce disque, c’est tout simplement la classe ! Un mix entre standards et compositions personnelles, interprété, et ce sont ses propres mots, avec une « dream team new-yorkaise », notamment le regretté Anthony Pinciotti à la batterie.C’est un répertoire qu’Yves Brouqui et Spike Wilner présentent en concert vendredi et samedi au Duc des Lombards, à Paris. Et on en a de la chance, car les voici dès ce midi sur la scène du Deli Express, en compagnie de Paul Gill à la contrebasse et Joe Strasser à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Unique, précieux, indispensable et toujours tellement classe niveau programmation.La Défense Jazz Festival est tout ça à la fois ! Sans compter que sa tenue sonne tous les ans le retour de l’été… Décidément, on a le sourire dès qu’on pense à ce rendez-vous organisé par le Département des Hauts-de-Seine, et dont la 48e édition ouvre ses portes en ce moment. Car l’une de ses particularités, c’est de proposer des concerts à la mi-journée - 12h15 et 13h - puis en soirée.Cette année, c’est Wet Enough !? qui va ouvrir le bal, un jeune groupe génial, bourré d’énergie et qui aime autant le jazz que le hip-hop.Le festival est unique aussi, parce qu’il propose une vingtaine de concerts en plein air, sur le parvis de La Défense, au cœur d’un des quartiers d’affaire les plus importants d’Europe. Et que tout est entièrement gratuit !J’ai bien dit TOUT. Même la légende Herbie Hancock qui fera la clôture dimanche !D’ici là, c’est la classe aussi…Rien que ce soir : le groupe RP3 de Rémi Panossian et les Anglais de Gogo Penguin, en mode trio du futur.On va partir loin, mercredi, grâce au oudiste et chanteur Dhafer Youssef.Et on ne va pas louper, non plus ces prochains jours : Angélique Kidjo, Célia Kaméni, le poète Anthony Joseph, ou l’irrésistible voix soul de Jalen Ngonda.Je vous le disais : programmation impeccable ! On tire notre chapeau au directeur artistique, David Ambibard qu’on va entendre au cours de ce Deli.La Défense Jazz Festival c’est aussi un tremplin jazz historique et l’un des plus prestigieux en France.Un centaine de dossiers ont été déposés. Six groupes seulement ont été sélectionnés…Chacun fera un concert de 30 minutes, entre mercredi et jeudi…Et les vainqueurs seront connus dans la foulée.On va bien sûr, les citer au cours de ce Deli, et on va en parler avec l’un des membres du jury, Pascal Pilorget, fondateur et directeur de l’agence de bookings GiantSteps.Depuis 1977, le Concours National de Jazz à La Défense a révélé des tonnes de musiciennes et musiciens qui sont ensuite devenus des pointures.On souhaite la même trajectoire au trompettiste et claviériste Roman Reidid et à son groupe, Paper Chase, qui a gagné l’an passé, qui se produira sur le parvis, demain à la mi-journée, et que voici dès ce midi sur la scène du Deli Express.C’est un plaisir de commencer la semaine avec toi, Roman…L’an passé, à La Défense, tu as mis tout le monde d’accord avec ton univers à la cool, porté par des mélodies percutantes et un groove qui évoque Alfa Mist ou Roy Hargrove.Te voici ce midi en compagnie de Dee Huang à la guitare, Baptiste Willot à la basse et Julien Roger à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Qui a dit que les jeux vidéo ne menaient à rien ? Certainement pas les parents de notre invité ! C’est grâce à Guitar Hero qu’Aron!  a eu envie de se mettre pour de vrai à la guitare.Il avait huit ans et il a bien fait ! Quinze ans plus tard, il a rajouté d’autres belles cordes à son arc : il chante, joue du piano et excelle dans l’écriture de mélodies douces, touchantes et qui renvoient à Frank Sinatra, Nat King Cole et au répertoire des années 40. Car son truc à lui, ce sont les chansons rétro, les balades old-school, comme il les nomme lui-même.Après avoir affolé TikTok et Instagram avec les vidéos qu’il poste quotidiennement, Aron! a séduit le label historique d’Ella Fitzgerald, Verve Records, sur lequel il vient de sortir son premier EP, Cozy You (And Other Nice Songs)… Un recueil de six chansons fragiles, touchantes, irrésistibles, qu’il vient nous présenter ce midi…Bienvenue Aron ! Wecome !Nous sommes ravis et comme des fous de te recevoir, surtout que c'est ta toute première radio…Avant de t’entendre en live, je précise que tu signes toutes les compos, paroles et musiques de cet EP ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez vu passer cette nouvelle de fou ?Après trois Bercy, enfin trois Accor Arena, comme on dit maintenant, qui ont tous étaient remplis, le trompettiste Ibrahim Maalouf va encore plus loin, encore plus haut.Il célébrera ses 20 ans de carrière avec une soirée XXL sur la scène de Paris La Défense Arena : une salle de 40 000 personnes qu’il va investir le 10 avril 2027.Ibrahim promet déjà d’en faire « une immense célébration du jazz » …Ça mérite un coup de téléphone, en ouverture de notre Deli Express.Pour notre invité, le jazz c’est corps et âme ! Et depuis qu’il a débarqué à Paris, il y a dix ans, il a décidé de vivre sa passion à fond.Le batteur Paul Morvan est entièrement dédié et dévoué à la cause…Ou comme on dit en anglais, Dedicated.Ça tombe bien, c’est le titre de son premier album en leader.Un témoignage de son amour pour cette musique, son histoire et ses héros…Le répertoire puise dans l’œuvre des grands maîtres : Charlie Parker, Cedar Walton ou Horace Silver.Le témoignage aussi de son ambition : celle de continuer à faire avancer le swing - il signe deux compositions – et d’un musicien pleinement connecté à son temps : il s’entoure de deux pointures : le new-yorkais David Wong à la contrebasse et Dmitry Baevsky au saxophone.C’est que Paul aussi s’est taillé une place de choix sur la scène actuelle. En cinq-six ans, pas plus, il est devenu l’un des batteurs incontournables des clubs de jazz parisiens. Il anime d’ailleurs régulièrement les jam sessions du Duc des Lombards.Et a noué de solides relations avec des tonnes de musiciens, citons-en deux : la flûtiste Christelle Raquillet et le guitariste Hugo Lippi. On les retrouve en invités sur Dedicated dont il célèbre la parution ce soir au Duc…Et dès ce midi dans Deli Express. Te voici avec Dmitry Baevsky et David Wong ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La vie c’est quand même un sacré voyage, surtout quand on s’appelle Itai Kriss !C’est l’homme qui est là, à quelques mètres de moi sur la scène du Deli Express et qui va nous présenter, dans un instant, son nouvel album, Daybreak.Si je parle de voyage, ce n’est pas seulement parce que son instrument, la flûte, nous envoie systématiquement au septième ciel. Ce n’est pas seulement non plus parce que sa trajectoire va d’Israël, où il a grandi, à New York où il réside depuis plus de 20 ans.Mais parce que son œuvre est plurielle, colorée et qu’elle nous fait visiter des tonnes de contrées.La musique latine ? Itai Kriss aime tellement ça, qu’il s’est illustré dans des orchestres de mambo et de salsa, et qu’il a créé il y a sept ans, le projet Telavana, un pont entre les groove de la Méditerranée et les musiques afro-cubaines, avec l’improvisation en trait d’union.Le jazz, bien sûr ! Il est tombé dedans adolescent après que son papa l’ait initié au blues et au gospel. Et c’est par le hard-bop qu’il a définitivement basculé.Cette esthétique magnifiée en leurs temps par Art Blakey et Horace Silver l’a profondément marqué et elle irrigue une bonne une partie du répertoire de Daybreak…Son nouvel album donc, qui sortira le 27 juin chez Jojo Records, et qui nous emmène aussi au Brésil, le temps de trois morceaux sur lesquels il convie le guitariste Yotam Silberstein.Pour cette aventure, Itai s’est aussi entouré d’une rythmique new-yorkaise royale, notamment le regretté Anthony Pinciotti à la batterie, disparu il y a quelques mois, et à qui il dédie ce disque.Itai Kriss est à Paris pour des concerts au Duc des Lombards, ce soir à 19h30 et 22h…Et donc dès ce midi tu es à l’honneur de Deli Express :Welcome Itai !Te voici avec Jorge Vistel à la trompette, Michael Valeanu à la guitare, Pablo Vergara au piano Felipe Cabrera à la contrebasse et Jesús Vega à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lyrisme, délicatesse, poésie…Trois mots qui nous viennent à l’esprit pour décrire l’ambiance qui plane sur le nouvel album de notre invité : le pianiste Rob Clearfield. Un musicien de Chicago installé à Marseille, et qui est profondément pétri de cette double culture.De Chicago, il a gardé un esprit frondeur et le plaisir de jouer avec les textures, de tailler, malaxer la matière sonore…Comme pourrait le faire, Ce batteur Makaya McCraven, dont il est proche – c’est d’ailleurs à ses côtés qu’on l’avait découvert.Et depuis l’Europe où il réside donc désormais, Rob Clearfield cultive un amour pour les mélodies cristallines, les harmonies pastorales, le tout saupoudré de touches d’impressionnistes.« Voice in the Wilderness » est fait de tout ça, et bien plus encore ! C’est un disque qui vient de sortir chez Jazz & People, et sur lequel notre bonhomme fait des merveilles en trio ou en quartet, avec sur certains titres l’ajout du trompettiste Itamar Borochov.Makaya McCraven, encore lui, produit deux des neuf titres, et le tout est à découvrir en concert ce soir au Duc des Lombards, à Paris, dans le cadre des soirées Nouvelle Scène. Trois sets en entrée libre, à partir de 19h30. Rob se produira aussi vendredi au Théâtre de l’Oeuvre à Marseille.Avant de l’applaudir, voici Rob Clearfield à notre piano, en compagnie de Joe Sanders à la contrebasse, Fred Pasqua à la batterie, et Hermon Mehari à la trompette !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La programmation bien sûr ! Elle est toujours impeccable, festive et de haut niveau.L’ambiance, avec une équipe de passionnés aux commandes.Et le cadre beau et champêtre : en l’occurrence ici, dans le parc du Château de Maisons-Laffitte.Mais oui, c’est bientôt le retour du Maisons-Laffitte Jazz Festival qu’on adore pour toutes les raisons qu’on vient d’évoquer. Mais aussi parce qu’il sonne l’arrivée de l’été.La 21e édition sera lancée vendredi soir avec les princes du jazz cubains, les membres d’El Comité. Ne les loupez pas, c’est le feu à chaque fois. Puis défileront jusqu’au 29 juin, Cimafunk, le duo Youn Sun Nah & Bojan Z ou le trio Emile Londonien, à la pointe de la nouvelle scène française. On est aussi impatients d’applaudir, le violoniste Mathias Lévy qui présentera son nouvel album, Chant Song, en avant-première avec Lou Tavano à ses côtés, ce sera dimanche à 17h…Et d’assister à la belle rencontre entre Anne Sila et Angelo Debarre…Côté jazz manouche, à suivre aussi Les Doigts de l’Homme et le guitariste Sébastien Giniaux. On va en parler ce midi avec Samuel Strouk, le directeur et programmateur du Maisons-Laffitte Jazz Festival, lui aussi guitariste d’ailleurs.Outre le Parc du Château, les équipes du Maisons-Laffitte Jazz Festival vont aussi transformer le camping international Sandaya, en club de jazz, avec un concert des Blue Jitters, le mardi 24 juin. Les Blue Jitters c’est un groupe parisien irrésistible et dingue de jazz rétro, des années 20, 30 et 40. Et ils ont une raison d’être : nous faire danser. Ils ont une certaine expérience en la matière, puisqu’ils sont actifs depuis 2013...Alors ça va être la fête, mardi en huit !Et nous on prend de l’avance : voici les Blue Jitters sur la scène du Deli Express, avec Caloé au violon et au chant, Louis Alléaume à la trompette, Florian Marques au saxophone, Nicolas Almosni à l’accordéon, Paul de Robillard à la guitare, Ahmed Ghanem à la contrebasse, et Martin Cazals à la batterie.Avant de vous entendre, je précise que vous avez récemment sorti un album qui porte votre nom, Blue Jitters, sur lequel on retrouve les deux titres que vous nous interprétez ce midi sur la scène du Deli Express !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre premier invité, aime voir les choses en grand ! Au cours de sa longue carrière, il s’est illustré dans de nombreuses configurations...Mais rien ne lui donne autant de frissons que la puissance d’un big-band ! Quel honneur d’accueillir ce midi, le trompettiste, chanteur, et chef d’orchestre Jean-Loup Longnon.Son amour pour les grands ensemble, ne se limite d'ailleurs pas aux big-bands. Au cours de sa carrière, il a aussi composé plusieurs pièces pour orchestre symphonique.Et ça la démangeait tellement que Jean-Loup Longnon vient de reformer son big-band. C’est qu’au fil des ans, ils en ont vécu des choses fortes tous ensemble ! Ses membres sont même devenus une véritable famille unit par les liens du swing, du bebop, de la chanson française et de la bonne humeur...Autant d’ingrédients qui rendent irrésistibles, l’album Istanbounce, qui vient de sortir et que Jean-Loup Longnon présente en concert ce soir au Bal Blomet, dans le 15e arrondissement de Paris.Au programme des compositions récentes et des classiques de l’orchestre, ainsi que des variations autour de standards du jazz, et au-delà, avec des incursions du côté des répertoires de Gilbert Bécaud ou Boris Vian. Un répertoire qu’on explore ce midi en sa compagnie !Le groove tranquille ! Les climats planants !!! Et les bonnes vibrations…Voilà ce qui nous séduit chez Mohs. Et d’ailleurs, ce quartet, c’est un nouvel exemple, une nouvelle preuve qu’il se passe des choses incroyables en Suisse, côté jazz !Mohs est composé de Zacharie Ksyk à la trompette, Erwan Valazza à la guitare, le bassiste Gaspard Colin et le batteur Nathan Vandenbulcke. Ensemble, ils ont trouvé l’équilibre parfait entre acoustique et électronique. Au lendemain de leur concert au Duc des Lombards, et à l’occasion de la sortie de leur troisième album, Baïne, voici Mohs sur la scène du Deli Express !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Planer, s’envoler, s’évader...Pour notre invité, c’est plus qu’une nécessité. C’est une philosophie, la clé de son épanouissement.C’est surtout son quotidien de pilote de ligne slash saxophoniste. Mais oui, vous avez bien entendu, Benjamin Petit est les deux.Et il atteint autant le septième ciel quand il souffle dans son alto que lorsqu’il est installé dans le cockpit d’un Airbus d’Air France, la compagnie sur laquelle il officie depuis de nombreuses années.S’il mène ces deux activités de front, ce n’est pas pour épater la galerie, mais par fidélité à ses rêves, à ses passions d’enfance. Et il les honore de la plus belle des manière : officier dans une compagnie aérienne d’excellence, et musicien qui s’est longuement illustré dans les groupes de Michel Jonasz et Kad Merad. Mais aussi avec Lionel Richie, Paco Sery et le regretté Didier Lockwood.Aujourd’hui dès qu’il n’est pas dans les airs, Benjamin Petit court les clubs, et ce quel que soit l’endroit du globe où il se trouve. C’est qu’il en a vu du paysage ! Ça lui a même inspiré le répertoire de son nouvel album, « Requiem For the Nomad King », une ode aux voyages et à l’ailleurs.Un disque surtout intense, animé par le feu sacré, dont Benjamin signe toutes les compositions.A ses côtés pour cette nouvelle aventure, la pianiste Julia Perminova, le contrebassiste Jeremy Bruyère et le batteur Raphaël Pannier.Il y a même la chanteuse Lynn Adib, invitée le temps d’un titre fort en émotion. Ce répertoire, Benjamin Petit le présente en concert ce soir au Bal Blomet, à Paris, dans le cadre des Jeudis de Jazz Magazine.Mais nous, on fait la fête dès ce midi dans Deli Express, avec le quartet au complet.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, on fait plus que croire en nos rêves, on les réalise. Et on n’est pas les seuls...Notre invité aussi. Le titre de son nouvel album, El sueño, signifie d’ailleurs « le rêve », en espagnol. Celui que le vibraphoniste Lucas Dorado vit éveillé depuis son plus jeune âge, entouré de musique et d’artistes, à commencer par son papa, le guitariste Carlos Dorado. Il lui a transmis l’amour du jazz et du folklore argentin. Deux influences, deux piliers même, qu’il explore sur ce disque, faisant la part belle à ses compositions, et à une instrumentation pleine de grâce.On y entend du bandonéon, de la guitare, le vibraphone de Lucas bien sûr, et de belles surprises ça et là : les voix envoûtantes d’Ingrid Legrand et Aitzi Cofre Real, Juan Villaroel l’un des contrebassistes les plus en vue de la nouvelle scène parisienne, qui s’exprime à la basse électrique sur un morceau qu’on croirait tout droit sorti d’un vieux disque de jazz-funk. Il y a même le percussionniste Minino Garay qui pointe le bout de son nez sur deux morceaux.Franchement, c’est un répertoire irrésistible et d’une immense fraîcheur.Si vous êtes à Paris, ne le loupez pas : Lucas Dorado est en concert dès 20h30, ce soir au Sunset. Et on en a de la chance, car te voici aussi sur la scène de notre Deli Express, en compagnie de Fabrizio Colombo au bandonéon, Gabriel Zamora Cortese à la guitare, Juan Villaroel à la basse électrique et Sacha Souêtre à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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