DiscoverDeli Express
Deli Express
Claim Ownership

Deli Express

Author: TSFJAZZ

Subscribed: 11Played: 711
Share

Description

De 12h à 13h, c'est toute l'actualité du jazz qui se déguste à point. 

Ceux qui font la Une du jazz d’aujourd’hui passent par la quotidienne De TSFJAZZ ben direct à l’heure du Dej, pour des interviews et des sessions live.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
673 Episodes
Reverse
10 petits centimètres qui ont changé sa vie ! Un soir chez lui, alors qu’il était adolescent, Yvonnick Prené est tombé sur un harmonica posé au sommet d’une commode.Intrigué, il s’en est emparé pour le ramener le lendemain à l’école et en jouer dans la cour de récré. Quelle idée avait-il derrière la tête, à ce moment-là ? On va lui poser la question.Ce qui est sûr, c’est qu’il l’a définitivement adopté et que ce petit instrument lui a même ouvert les portes du monde.Après avoir étudié avec Jean-Jacques Milteau et Greg Zlap, notre bonhomme s’est immergé dans la scène jazz parisienne, intégrant notamment un collectif de jeunes musiciens qui se rassemblaient au squat Rivoli. Depuis une quinzaine d’années, la suite de son parcours s’écrit à New York où il réside désormais.C’est là qu’Yvonnick Prené a enregistré son nouvel album, « Jobim’s World ». Un hommage touchant et intimiste au génie de la bossa nova, Antonio Carlos Jobim, enregistré en duo avec  Geoffrey Keezer au piano.Pour nous le présenter ce midi, te voici sur notre scène Yvonnick, avec un autre pianiste : Manuel Rocheman.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Wolff à Evans...

De Wolff à Evans...

2024-06-1945:55

Pendant cinq ans, de 1989 à 1994, notre invité est passé tous les soirs à la télé américaine.A cette époque, il dirigeait le groupe qui officiait dans le Late Show d’Arsenio Hall…A ce titre, il a accompagné Bill Clinton et son saxophone. Mais aussi Ray Charles, BB King, Whitney Houston ou James Brown.Avant cette consécration, Michael Wolff avait déjà un sacré parcours : il a été l’un des derniers pianistes de Cannonball Adderley, le directeur musical de Nancy Wilson. On l’a aussi croisé auprès de Sonny Rollins !Mais l’un de ses plus grands crushs musicaux restera à jamais Bill Evans dont il célèbre le répertoire et l’héritage sur son nouvel album, « A Letter to Bill Evans », notamment enregistré avec Mike Clark, le batteur des Headhunters, et qu’il présente ce soir et demain au Duc des Lombards, à Paris.On ne pouvait pas passer à côté de cette occasion d’inviter Michael Wolff dans Deli Express. D’autant que ses venues en France sont extrêmement rares et qu’il se produit avec un trio majuscule : François Moutin à la contrebasse et Jeff Boudreaux à la batterie…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
’Euro de football en ce moment en Allemagne...Le Tour de France, et les Jeux Olympiques et Paralympiques bientôt près de chez vous…Mais aussi la myriade de festivals de jazz qui vont se tenir durant la saison estivale. Et pour certains même, d’ici quelques jours.C’est le cas du Barrière Enghien Jazz Festival, avec de jeudi à dimanche, 18 concerts pour la plupart gratuits, répartis sur trois scènes autour du lac et du casino.Vous avez bien entendu : 18 concerts ! Du Lady Quartet de l’organiste Rhoda Scott, au mythique Golden Gate Quartet…Mais aussi Electro Deluxe, Kimberose…Et nos deux invités de ce midi :D’abord une chanteuse au groove, aux bonnes vibrations et à l’énergie communicative. Depuis près de 30 ans, elle fait tomber les barrières entre jazz et soul…Et on peut l’entendre sur nos ondes, un jeudi par mois à 19h, avec son émission Made in China… China Moses sera à l’affiche pour le jour de la clôture, dimanche à 14h.Et pour ouvrir ce Deli, voici celui qui inaugurera cette 23e édition, jeudi en fin d’après-midi…Un pianiste de 21 ans qui ne jure que par le boogie-woogie…Un genre musical centenaire qu’il continue à magnifier avec ses Boogie Messengers…Ensemble, ils ont récemment sorti l’album « Back To Basics »…Voici Nirek Mokar, en compagnie de Claude Braud au saxophone, Stan Noubard Pacha à la guitare, Bruno Rousselet à la contrebasse, et Patrick Mucci à la batterie !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ces derniers temps, lorsque notre invité monte sur scène, nous autres simples mortels, vivons bien plus qu’un concert !Plutôt une expérience intense, basée sur la spontanéité, l’énergie, la liberté.Tout peut arriver et c’est ce qui rend ces moments aussi précieux et aussi bons !D’autant que notre bonhomme a plus d’une corde à son arc : saxophoniste, flûtiste, clarinettiste, cornettiste, pianiste, chanteur, rappeur, prêcheur…C’est un empêcheur de tourner en rond !Depuis qu’il a quitté son Canada natal pour s’installer en France, il y a un peu moins de dix ans, Jowee Omicil nous fait un bien fou ! On se prend à rêver que c’est l’imagination, la fantaisie, la reconnexion à nos émotions qui sauveront notre pauvre monde !Il fait bouger les lignes et rassemble des autour de lui des personnalités aussi diverses que les frères Moutin, Ibrahim Maalouf, Ludovic Louis !Il a même tapé dans l’œil de Damien Chazelle qui l’a enrôlé dans sa série The Eddy.Il y a quelques mois, Jowee Omicil sortait un album fascinant une longue suite de 21 titres, totalement improvisés et enregistré d’un seul jet, dans un même élan.Son titre : « Spiritual Healing : Bwa Kayiman Freedom Suite », inspirée par la révolte du Bois-Caïman de 1791, considéré comme l’acte fondateur ayant abouti treize ans plus tard, à l’indépendance d’Haïti.Un projet qu’il présente dimanche au Maisons-Laffitte Jazz Festival…Mais si vous m’avez suivi, ce que Jowee jouera ne ressemblera en rien à ce qu’il aura joué la veille, ou même, à ce qu’on trouve sur le disque…Ce midi, on va vivre quelque chose d’inédit, avec à tes côtés Jowee, JendahManga à la basse et Franck Mantegari à la batterie !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De quoi joue notre invité ?Patience, je vais vous le dévoiler dans un instant.Ce qui est sûr, c’est qu’en plus de ses talents d’instrumentiste, Amos Hoffman est un aventurier dans l’âme !Mais oui ! Il fallait forcément qu’il ait le goût de l’aventure pour qu’au début des années 90, il quitte sa terre natale, Israël, et aille tenter sa chance à New York, là où personne ne l’attendait.Il avait une vingtaine d’années…Et ne le savait pas encore : ce départ vers l’Eldorado du jazz allait dessiner de nouveaux horizons, et ouvrir la voie à la myriade de musiciens israéliens qui ont depuis suivi son exemple.Amos est donc aussi un pionnier. D’autant qu’il est parti au même moment que les contrebassistes Omer Avital et Avishai Cohen.C’est d’ailleurs sur les albums d’Avishai qu’on a découvert ce guitariste, biberonné à Wes Montgomery et Kenny Burrell, et qui a aussi étudié en profondeur les traditions musicale du Moyen-Orient. Il s’exprime d’ailleurs aussi au oud !C’est en trio et sur les deux instruments, qu’on retrouve Amos Hoffman avec un nouvel album, « Minor Operation », paru chez Jojo Records, et enregistré en trio, en compagnie de Lenny White, l’un des batteurs du Bitches Brew de Miles.Il y a huit morceaux, principalement des compositions à lui, mais aussi deux standards, parmi lesquel « I Should Care ».Ce répertoire, il le présente ce soir au Duc des Lombards, avec Darryl Hall à la contrebasse et Arnaud Dolmen à la batterie…Les voici également tous les trois sur la scène du Deli Express.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sa présence à Paris est tellement rare, qu’on ne pouvait pas passer à côté !Et d’ailleurs, quand il est monté, il y a deux semaines sur la scène du Sunside, pour accompagner notre autre invité, tout le gotha français du saxophone était dans la salle pour l’écouter religieusement.Vous l’avez compris, Dayna Stephens est un saxophoniste qui compte, et même l’un des quadras new-yorkais les plus respectés sur son instrument.Kenny Barron, Brad Mehldau et Gerald Clayton ont fait appel à ses services…Et Dayna, lui, fait partie de la team américaine avec laquelle Alexis Valet a enregistré son nouvel album, « Following the Sun », à New York. Un projet en forme de témoignage des trois mois que le vibraphoniste a passé dans la Big Apple, il y a près de deux ans, courant les jams, se frottant au niveau et à l’excellence de ses musiciens, s’imprégnant de l’énergie unique de ce qui reste le cœur mondial du jazz !C’est sans doute ce qui explique que chacune des huit compositions est habitée par un feu sacré, une grâce qui en font l’un des disques les plus percutants du moment.Alexis Valet et Dayna Stephens ont monté un groupe spécialement pour notre Deli Express…Les voici donc avec Simon Chivallon au piano, Cyril Drapé à la contrebasse et Paul Lefèvre à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
El Comité des fêtes

El Comité des fêtes

2024-06-0747:30

Vous prenez sept pointures de la diaspora cubaine, parmi les plus chauds de la nouvelle génération, vous les rassemblez sur une même scène, et vous obtiendrez un concert explosif et inoubliable !!Cette idée fut d’abord celle du festival Jazz sur son 31 à Toulouse, il y a sept ans.Mais la sauce a tellement pris que nos « siete hombres » ont choisi de ne pas en rester là, et ont carrément formé un groupe : El Comité !Oui, je sais, vous voulez leurs noms !! Patience, ils arrivent…Avant, précisons qu’après un premier album studio, et un autre capté en concert à La Havane au Teatro Marti, El Comité est de retour avec « Carrousel », un projet qui déborde de groove, d’énergie et de sourire…Ses membres ne s’interdisent absolument rien.Reprendre Oasis, Rosalia et The Weeknd ? Ils le font !Inviter Ibrahim Maalouf et le percussionniste Pedrito Martinez, ils le font aussi !Depuis hier, et jusqu’à demain, ils sont à l’affiche du Duc des Lombards.Et ce midi dans Deli Express, en voici six sur les sept :Carlos Sarduy à la trompette, Irving Acao au saxophone, Rolando Luna et Harold Lopez-Nussa au piano, Gaston Joya à la basse et contrebasse, Yaroldy Abreu aux percussions et Rodney Barreto à la batterie.« Bienvenido a todos » ! Etre avec vous ce midi, c’est la meilleure fin de semaine possible !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le jeudi 6 juin 2024, aujourd’hui et demain, toutes les antennes de France s’unissent pour la Fête de la Radio.Alors : bonne fête à toutes les radios ! Les transistors, les chaîne hi-fi, les postes DAB +, les autoradios, les enceintes connectées… Bonne fête aux milliers de passionnés qui font vivre ce média, jour après jour en Région, à Paris, sur le service public, les enseignes privées, les radios associatives.Et bonne fête à vous, qui nous faites confiance pour vous fournir des bulles d’évasion, de découverte, de divertissement, de frissons, d’informations, de bonnes vibrations.Ici, à TSFJAZZ, on a choisi de mettre la transmission au cœur des festivités. Toute la journée, des lycéens impliqués depuis septembre dans un projet de web-radio, sont à nos côtés : des élèves de 2nde et de 1ère du Lycée Saint-Louis Sainte-Clotilde du Raincy…On peut les applaudir !Et puisqu’en plus des émissions auxquels ils assistent, ils s’entretiennent depuis ce matin avec tous ceux qui font l’aventure TSFJAZZ au quotidien, on peut aussi tirer notre chapeau à toute notre équipe. Une radio qui marche sur ses deux jambes, ce sont des coordinatrices d’antenne, des programmateurs, des ingénieurs du son, des directrices commerciales, des journalistes, des animateurs, des responsables numériques…Et vous savez à quoi œuvre tout ce beau monde depuis tout à l’heure ?A vous mitonner un Deli Express aux petits oignons !On passe cette pause dej avec le trompettiste Ludovic Louis.Ludovic, c’est toujours un plaisir de t’accueillir à la radio, et de célébrer ton parcours : celui d’un enfant du Havre qui a débuté la trompette à huit ans, et qui a fait, depuis, un sacré bout de chemin !Après tes études, tu t’es installé à Paris, pour vivre de ta passion…C’est là, au début des années 2000 que tu as croisé la route de Lenny Kravitz. Que s’est-il passé entre vous ? Tu vas nous le raconter. En tout cas, il t’a adopté et embauché sur le champ dans son groupe…Ce qui est déjà énorme !Mais cette opportunité a totalement changé ta vie : tu t’es installé à Los Angeles, où tu résides encore aujourd’hui, et tu as commencé à collaborer avec le gotha de la scène américaine. Allez, on en cite un : Kanye West, en toute simplicité !Un jour, tu t’es aussi produit à Las Vegas, devant Mohamed Ali et Quincy Jones.Ces dernières années, Ludovic, on t’a croisé dans des productions de Damien Chazelle : Babylon et la série The Eddy, ainsi qu’au sein du Big In Jazz Collective.Et sous ton nom, tu es de retour avec ton deuxième album, « If Everything Is Written »…Un nouveau répertoire à ton image : festif, positif et funky, que tu présentes en concert la semaine prochaine, les 14 et 15 juin au Duc des Lombards, à Paris. On te retrouvera aussi le 7 octobre à La Maroquinerie. Et te voici dès ce midi sur notre scène, avec Zizou Sadki à la basse et deux guitaristes, Ralph Lavital et Antonin Fresson.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l’heure où les réseaux sociaux sont en permanence inondés de commentaires pas toujours glorieux, où chacun peut déverser librement son fiel, se cachant derrière son écran, notre invitée a choisi, elle, de mesurer sa parole, de ne jamais s’exprimer pour ne rien dire.Ce qui rend chacun de ses nouveaux projets, chacune de ses nouvelles chansons encore plus percutantes et sa présence ce midi parmi nous, d’autant plus précieuse :Quelle joie et quel honneur de vous accueillir, Madeleine Peyoux !Bienvenue !Dès le milieu des années 90, vous avez, avant tout le monde, imposé votre style, à la croisée du jazz, de la folk et de la pop, ce qui vous a valu d’être repérée par Jesse Harris, le producteur Larry Klein, ou d’avoir le guitariste Marc Ribot sur votre premier album.Vous aimez autant Billie Holiday que Bob Dylan. Autant Leonard Cohen que Muddy Waters. Et vous êtes une conteuse à la plume aussi poétique qu’incisive.Nouvelle illustration avec « Let’s Walk », votre dixième album qui sortira le 28 juin, mais qu’on explore d’ores et déjà ensemble dans Deli Express.Un recueil de dix chansons : aucune reprise ! Que des textes à vous, engagés, pleins d’esprit, et parfois même d’humour…Le tout magnifié par les arrangements du guitariste Jon Herington.Vous voici tous les deux sur la scène du Deli Express !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invité est-il français ? Américain ? Quelle importance ! Son territoire de cœur c’est le jazz, dont il est un ambassadeur infatigable depuis 35 ans.Jacky Terrasson appartient à la catégorie des pianistes qui comptent, et ce des deux côtés de l’Atlantique : Paris où il a grandi, et New York où il a vécu pendant trente ans.A ses débuts, il accompagnait Abbey Lincoln et Betty Carter, deux voix qui ont marqué l’histoire de cette musique.Et il a navigué pendant un quart de siècle sous le pavillon du label Blue Note.Avec les années, il se fait toujours aussi joueur et virtuose…Deux facettes qui illuminent son nouvel album, « Moving on », le tout premier qu’il sort sur son propre label, Earth Sounds.Jacky y déconstruit pour mieux les sublimer, des standards tels que « Besame Mucho » et « Misty ». Il ose s’attaquer à un tube planétaire : « Happy » de Pharrell Williams, invite l’un des anciens batteurs de Miles, Billy Hart, les chanteuses Kareen Guiock Thuram et Camille Bertault ou l’harmoniciste Grégoire Maret.Un nouveau répertoire enregistré des deux côtés de l'Atlantique, avec des rythmiques différentes, et à découvrir en concert demain, mercredi et vendredi au Bal Blomet, à Paris…Mais on en a de la chance, car Jacky Terrasson est dès ce midi sur notre scène à nous, avec Sylvain Romano à la contrebasse, Lukmil Perez à la batterie, et en invitée de luxe, Kareen Guiock Thuram !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
30 ans de discographie, ça se fête ! Alors pour marquer le coup, notre invité a fait ce qu’il aime le plus au monde !Il a écrit de nouvelles compos, imaginé un groupe pour leur donner corps, et il est entré en studio.Le résultat s’intitule « Long Distance ». Un album empreint de plénitude et qui déploie avec force et tranquillité au fil de 9 plages tout le talent d’un cador français du saxophone, passé à ses débuts dans les groupes de René Urtreger et Martial Solal et qui a exploré sous son nom tous les formats : du trio avec guitare électrique, à l’étonnant projet vocal Octovoice !Cette fois, Sylvain Beuf a choisi de s’exprimer en quartet, avec Pierre-Alain Goualch au piano, Philippe Aerts à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie…Un groupe qu’on pourra applaudir ce soir et demain au Sunside, à Paris. Mais comme on est chanceux, les voici dès ce midi sur la scène du Deli Express.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invité a longtemps mis la sonorité chaude et funky de l’orgue Hammond B3, au cœur de son esthétique.Mais dans la vie, il suffit d’une rencontre pour que tout bascule.Il y a cinq ans, fasciné par les musiques Hindoustanis, celles qu’on pratique en Inde du Nord, Matthieu Marthouret a initié une collaboration avec Mosin Kawa, un joueur de tabla et un maître du chant râga installé en France.Ça a été le point de départ d’un nouveau groupe Homeland(s), également composé de Loïc Réchard à la guitare, et au sein duquel Matthieu s’exprime uniquement au piano, son instrument d'origine.Ensemble, ils viennent de sortir « Lori ». Un album hybride, coloré, métissé et tellement prenant qu’on ne les loupera pas demain en concert au Son de la Terre, à Paris.Pour nous mettre en jambe, les voici dès à présent sur la scène du Deli Express !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Écrire une bonne chanson, parole et musique…Ça paraît simple !Mais toucher immédiatement le cœur des auditeurs, grâce à elle. Avoir fait naître un air, tellement puissant et évident, que les gens ont l’impression de le connaître depuis toujours…Qu’ils le fredonnent des heures durant, et qu’ils l’aiment toujours plus avec les années…Réussir ce tour de force, qui n’a donc l’air de rien, ce n’est pas donné à tout le monde. Et c’est un art que notre invité maîtrise à la perfection !Et je ne dis pas seulement ça parce que Jessie Harris est l’auteur de « Don’t Know Why », le tout premier tube de Norah Jones, il y a maintenant plus de 20 ans.Non, tout ce qu’il touche se transforme en irrésistibles mélodies, en refrains qui squattent notre cerveau.Melody Gardot, Madeleine Peyroux, Lana Del Rey, ou plus récemment Gabi Hartmann, en savent quelque chose. Toutes ont fait appel à ses services.Parallèlement à ses nombreuses collaborations, le bonhomme déborde tellement de créativité, qu’on lui doit même une tripotée d’albums sous son nom.Le petit dernier vient de sortir, et il apporte une nouvelle preuve éclatante de ce que je viens de décrire !« Paper Flower », c’est son titre, est une collection de onze bijoux entre folk, jazz et pop que Jesse Harris a enregistré à Paris, l’une de ses villes de cœur. C’est le répertoire qu’il vient nous présenter à la guitare et au chant, en compagnie d’Anson Jones, aux chœurs, Richard Sears aux claviers, Christopher Thomas à la basse et Jeff Boudreaux à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre elle et la musique, c’est une histoire qui remonte à loin !C’était au milieu des années 60, elle était en CM2, mais sa voix faisait déjà tellement de merveilles que Molly Johnson intégrait la distribution d’une adaptation de Porgy & Bess au Royal Alexander Theatre de Toronto.Elle ne le savait pas encore, mais c’était le début d’un parcours exaltant.En pleine Saturday Night Fever, Molly Johnson a chanté dans le groupe de disco A Chocolate Affair…Elle a ensuite fondé un groupe hybride entre rock & funk, tout en se produisant parallèlement de manière occasionnelle dans des clubs de jazz.Et devant l’enthousiasme du public à chaque fois qu’elle interprétait les standards, le jazz s’est petit à petit retrouvé au cœur de son esthétique, au point d'en devenir l’une de ses ambassadrices les plus pétillantes et charismatiques au Canada.Mais Molly Johnson étant Molly Johnson, la note bleue se nourrit chez elle de multiples influences…Sur son dernier album en date, « Meaning To Tell Ya », paru il y a six ans, elle reprenait par exemple, Marvin Gaye et Gil Scott Heron.Molly, quelle joie de vous retrouver à Paris !Vous êtes ce soir à l’affiche du « Châtelet Fait son Jazz », l’impeccable festival qu’organise le Théâtre du Châtelet…Et d’ailleurs, on va aussi passer ce Deli Express en compagnie de son programmateur, Serge Kolpa.Mais pour commencer, vous voici sur notre scène, Molly Johnson, en compagnie du pianiste Franck Amsallem et Benjamin Petit au saxophone.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du jazz au reggae…Les yeux également rivés sur la dance culture !L’œuvre que notre invitée développe depuis près de quinze ans est à l’image des métissages musicaux qui agitent Londres, la ville où elle réside depuis toujours. Élevée dans une famille jamaïcaine, Zara McFarlane a passé son enfance à écouter les grands héros de l’île.Le jazz a aussi très tôt résonné en elle. C’était à l’adolescence, notamment via ses chanteuses historiques.Leurs voix, leurs histoires, lui ont donné la force, la confiance nécessaires pour embrasser à son tour une carrière artistique.Sa participation, à ses débuts, au programme Tomorrow’s Warriors destiné à aider les jeunes musiciens, lui a permis d’être repérée par Gilles Peterson qui a lancé sa carrière.Le jazz et le reggae donc se conjuguent à merveille, depuis toujours dans les répertoires de Zara McFarlane.Mais pour son nouveau projet, elle a choisi de se concentrer uniquement sur l’une de ses deux facettes, et elle honore la mémoire de Sarah Vaughan, l’une de ses plus grandes influences. L’album s’intitule « Sweet Whispers »…Il sort le mois prochain. C’est une relecture lumineuse et pleine de fraîcheur de l’œuvre de la Divine imaginée avec la complicité du clarinettiste et saxophoniste Giacomo Smith. Ils sont tous les deux à l’honneur de notre Deli Express, avant leurs concerts de ce soir et demain au Duc des Lombards… Welcome / Bienvenue à vous deux.Vous voici en compagnie d’une team de choc. Et même d’une team Deli Choc : avec Amaury Faye au piano, Edouard Pennes à la contrebasse et David Grebil à la batterie !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invité appartient à l’une des tribus les plus iconoclastes et jubilatoires de la scène jazz française…Une génération qui a mis l’hédonisme et la curiosité au centre de ses projets, qui a grandi en regardant « L’Homme qui valait trois milliards », et qui possède comme lui, une ouïe ultra développée, et par conséquent une culture musicale XXL.Dans cette bande, on retrouve Thomas De Pourquery, Laurent Bardainne, Jeanne Added, Fred Pallem, ou donc, Sylvain Daniel à nos côtés ce midi pour nous présenter son nouvel album.Avant de vous donner son titre, petit retour en arrière…Non, je ne vais pas remonter à ses 7 ans, quand il a commencé l’étude du cor d’harmonie au Conservatoire de Nantes…Je vais tout simplement revenir à l’année 1999, où jeune bassiste Sylvain Daniel est parti en tournée avec Julien Lourau pour la tournée de son disque Gambit, teinté d’électro. L’époque aussi où il a commencé à se passionner pour des artistes comme les Roots ou D’Angelo.Après avoir été membre de l’Orchestre National de Jazz sous la direction de Daniel Yvinec, après avoir honoré la techno de Detroit avec son projet Palimpseste, après avoir mis en musique des poèmes de Victor Hugo, il nous revient avec « SlyDee », une célébration du groove sous toutes ses coutures, de la soul des seventies, à des producteurs hip-hop tels que Jay Dee, en passant par Talking Heads ou Prince, bref à tout ce qui le fait danser et transpirer depuis des années.Un répertoire jouissif, explosif qu’il présente en concert ce soir au New Morning, à Paris et le 27 juin aux Nuits de Fourvière en première de Nile Rodgers…En attendant, Sylvain Daniel est donc notre invité, et le voici sur la scène du Deli Express, en compagnie de Aymeric Avice à la trompette, Bruno Ruder au piano, Arnaud Roulin aux synthés et Vincent Taeger à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour sa nouvelle édition, le Nice Jazz Festival se pare de nouvelles couleurs flamboyantes.Il y a déjà le nom : il faut désormais l’appeler le Nice Jazz Fest.La période ensuite : cette année, les festivités se tiendront exceptionnellement fin août, en raison de l’arrivée du Tour de France à Nice et des J.O….Ce sera donc du 20 au 23 août.La programmation a été dévoilée hier soir. Elle va impliquer 24 groupes, qui vont défiler pendant quatre soirs, au Théâtre de Verdure, et Scène Masséna.Un cru 2024 qu’on explore ce midi dans Deli Express, avec notamment à l'affiche dès l'ouverture, l'inventeur et le boss de l'éthio-jazz, Mulatu Astatké, le guitariste Louis Matute, les californiens de Thee Sacred Souls...Puis la révélation vocale Stella Cole, l'ancien Jazz Messenger et complice de Miles, Kenny Garrett, ou encore le trompettiste Theo Croker.Egalement à l'affiche : Kareen Guiock-Thuram et sa célébration de l'oeuvre de Nina Simone, un grand Monsieur du piano, Monty Alexander, qui viendra fêter ses 80 ans, le nouveau groupe d'Arnaud Dolmen ou l'ambassadeur des groove de la Nouvelle-Orléans, Jon Cleary !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A peine deux ans d’existence, et déjà une énergie folle qui emporte tout sur son passage.Verb est un trio créé de manière informelle par trois jeunes musiciens d’Amiens : Noam Duboille au piano, Charles Thuillier à la contrebasse et Garcia Etoa Ottou à la batterie.Deux ans d’existence donc, mais déjà un joli chemin parcouru. L’été dernier, le groupe remportait le tremplin de Jazz à Vienne, et décrochait à la clé la possibilité d’enregistrer un premier album, qui vient de paraître chez Komos, l’un des labels de jazz français les plus courus du moment.« Symbiose », c’est le titre du disque, est un concentré de bonnes vibrations et de mélodies percutantes. Ses auteurs viennent nous en jouer un titre en live en fin d’émission.Mais pour ouvrir ce Deli, quel honneur d’accueillir un pilier de la scène martiniquaise.La carrière de José Privat a commencé dans les années 70 au sein d’un des groupes phares de cette époque sur l’île, La Perfecta, et elle a pris une nouvelle dimension à la fin de la décennie suivante lorsqu’il est devenu le pianiste de Malavoi…Alors là, on est carrément dans la catégorie des formations de légende.Mais José Privat est aussi un pionnier…C’est l’un des premiers à avoir mêlé l’orgue Hammond B3 aux traditions musicales antillaises.Cet orgue qui lui est si cher est aussi au cœur de son nouvel album, « Clin d’œil », réalisé et arrangé par son fils, qu’on connaît bien sur TSFJAZZ, Grégory Privat, qui a rassemblé autour de son paternel, la crème de la nouvelle génération du jazz caribéen, Ralph Lavital à la guitare, Tilo Bertholo à la batterie, Elvin Bironien à la basse, et la chanteuse Tricia Evy en invitée.Ce disque, il le présente en concert à Paris, samedi soir…ça va se passer au Sunside. En attendant, et comme je le disais, nous sommes heureux de vous avoir à nos côtés, José…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Poser un disque de notre invitée sur sa platine, c’est vivre à chaque fois la même expérience !On se sent tellement choyés, tellement dans un cocon, qu’on en ressort rassérénés, plus légers, avec le sourire…C’est comme ça depuis plus de 25 ans maintenant, et ça fait sacrément du bien !Le nouvel album de Stacey Kent ne fait pas exception à la règle.« Summer Me, Winter Me » est une collection de 11 chansons, 13 si on s’empare de l’édition Deluxe, que l’artiste interprète depuis des années en concert, mais qu’elle n’avait jamais enregistré.Des titres que son public lui réclamait sur album depuis longtemps. Alors, c’est un cadeau qu’elle nous tend aujourd’hui, avec des reprises de Michel Legrand, Jobim, du tandem Rodgers & Hammerstein ou même de Jacques Brel, dont elle revisite « Ne Me Quitte Pas », en français et en anglais.Il y a aussi des compositions de son alter-ego, le saxophoniste Jim Tomlinson, et un texte du prix Nobel de littérature et collaborateur de longue date Kazuo Ishiguro.Ce disque, Stacey Kent l’a présenté en concert, en début de semaine au festival Jazz  à Saint-Germain-des-Prés. Elle l’interprétera aussi demain soir à l'Espace Marcel Carné de Saint-Michel-sur-Orge. En attendant, nous sommes ravis de vous accueillir à la table du Deli Express.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour notre invité, c’est systématique : dès qu’il pose les doigts sur un piano, il sent une connexion immédiate avec l’au-delà, il a le sentiment de toucher au divin ! Cette dimension spirituelle, Nduduzo Makhathini la ressent depuis son enfance, dans la banlieue de Durban, en Afrique du Sud.C’est d’ailleurs en fréquentant chaque dimanche les églises de son quartier qu’il a eu la révélation pianistique.Très vite, l’instrument lui a également permis d’explorer les traditions musicales de ses ancêtres, influencé par son mentor, le multi-instrumentiste Bheki Mseleku, aujourd’hui disparu.Cette démarche était aussi au cœur de sa participation au groupe The Ancestors de Shabaka Hutchings.Nduduzo Makhatini s’est imposé en quelques années, comme le nouvel ambassadeur du jazz sud-africain, tapant même dans l’œil du prestigieux label Blue Note sur lequel il s’apprête à sortir un troisième, toujours aussi intense, habité et haut-perché.Son titre : « uNomkhulwane : A Meditation », enregistré en trio, et sur lequel sa voix occupe une place centrale.Le disque sortira le mois prochain, mais il le présente dès ce soir en concert sur la scène parisienne du Duc des Lombards…Et ce midi dans notre Deli Express, en compagnie de Zwelakhe-Duma Belle Le Pere à la contrebasse et Lukmil Perez à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
loading
Comments