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Deli Express
Deli Express
Author: TSFJAZZ
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© TSF Jazz
Description
De 12h à 13h, toute l’actu du jazz se déguste à point et avec convivialité. La pause du déj' à la sauce TSFJAZZ, c’est une heure d’interviews, de rencontres, d’avant-premières, d'explorations d’albums & rééditions, de célébration…
Sans oublier, nos désormais incontournables sessions musicales : plus de 150 par saison ! De 12h à 13h, c'est toute l'actualité du jazz qui se déguste à point.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le piano-jazz est un art en perpétuel mouvement. Et parmi ses nouvelles têtes chercheuses, il y a notre invité : Paul Cornish ! Il y a encore quelques mois, on ne connaissait pas son existence. Jusqu’à ce qu’on l’entende faire des merveilles dans le groupe de Joshua Redman.Mais sur son tout premier album, « You’re Exaggerating ! », notre cher Paul va plus loin. Il nous expose son esthétique, résolument moderne et novatrice.Pas étonnant qu’il ait tapé dans l’œil du prestigieux label Blue Note. Il faut dire qu’il poursuit la voie tracée par deux de ses aînés, Jason Moran et Robert Glasper, qui eux ont aussi redéfini le genre au début des années 2000.C’est d’ailleurs à leur écoute, que Paul Cornish s’est plongé à fond dans le jazz. Il n’a fait ensuite qu’élargir le spectre, se liant notamment d’amitié avec le grand Herbie Hancock. Paul vient de Houston. Il vit désormais à Los Angeles. Mais ce soir, c’est à Paris qu’on pourra l’applaudir sur la scène du Duc des Lombards, où il vient présenter ses compositions et son univers, en trio.On en profite ce midi pour faire davantage connaissance.Voici Paul Cornish à notre piano, en compagnie de Jermaine Paul à la contrebasse et Jonathan Pinson à la batterie. (c) Piper FergusonDu côté de l’histoire, Blue Note vient par-ailleurs d’exhumer des enregistrements historiques d’un saxophoniste obscur, John Hardee, surtout actif dans les années 40 et au début de la décennie suivante, avant de se retirer de la musique pour se consacrer à l'enseignement à Dallas.« Tenor Sax » est une compilation digitale qui rassemble trois sessions gravées entre 1946 et 1948 avec trois groupes différents, notamment celui que voici tout de suite sur TSFJAZZ, « Tired » !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça fait quinze ans que ça dure !Quinze ans, qu’ils font souffler un vent de cool attitude sur la scène française. Et bien au-delà, puisqu’ils cartonnent notamment en Asie.Les membres du RP3, le Rémi Panossian Trio sont de retour avec un huitième album, d’ailleurs baptisé « 88888888 ».On y retrouve tout ce qu’on adore chez vous depuis toujours : De l’énergie à revendre ! Des compositions canons, sans jamais se la raconter. Mieux : avec une bonne dose de fun. C’est important l’humour en musique, et c’est encore une fois le cas, ici, avec des compositions telles que « You Must Believe in Spring Roll ».Donc, merci du fond du cœur de nous faire à la fois sourire et groover depuis quinze ans…Merci et applaudissements à Rémi Panossian au piano, Maxime Delporte à la basse et Frédéric Petitprez à la batterie.C’est à Séoul que vous avez enregistré vos nouveaux morceaux : un mix toujours parfait entre jazz, énergie rock, mélodies aussi accrocheuses qu’un tube pop. Sur ce nouveau disque, vous regardez même du côté de l’électro, du disco et de choses plus expérimentales.On va donc remuer dans tous les sens ce soir au New Morning et après-demain au Théâtre de Fontainebleau pour le festival Jazz au Théâtre où vous vous produisez.Mais la fête dès ce midi dans Deli Express !Plaisir d’offrir, joie de recevoir...Pour ouvrir cette émission, je voulais absolument partager avec vous, cette merveille qui vient d’arriver au courrier.La rencontre de deux maestros, deux musiciens sans peurs et sans frontières.Le pianiste Roberto Fonseca et le violoncelliste Vincent Segal sortiront le 30 janvier, un album tout simplement sublime, en duo, « Nuit Parisienne à La Havane ».Une session touchée par la grâce. La preuve, avec le titre, Soul Kiss, avant de les applaudir le 20 décembre au Duc des Lombards, et le 8 février au Théâtre du Châtelet, pour le festival Le Châtelet Fait son Jazz.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus qu’incontournable…Indispensable ! Et ça fait près de trente ans que ça dure ! Près de trente ans, que Jazz au Fil de l’Oise nous fait adorer l’automne.Grâce au festival, la saison n’est plus seulement synonyme de jours plus courts, mais de programmations toujours impeccables, et qui font vibrer le jazz pendant deux mois, à travers tout le Val d’Oise.Il n’y en n’a pas beaucoup des rendez-vous aussi longs et qualitatifs, convoquant aussi bien la crème du genre que les talents de demain. Les répertoires confirmés que des créations inédites.Samedi au Foyer Communal de Neuville, on retrouvera un aventurier, un homme qui imagine d’autres lendemain pour le piano : c’est Edouard Ferlet.Parmi les projets qui lui tiennent à cœur en ce moment, il y a Pianoïd, qui interroge les relations entre son instrument, et les machines qui lui permettent de décupler ses possibilités.Un terrain de jeu qui l’emmène tellement loin qu’il y a déjà consacré deux albums ainsi qu’un EP de remixes, et un autre où il ajoute des voix…Celles notamment de Lou Tavano, Macha Gharibian, et Marion Rampal.Au passage, Edouard brouille les pistes entre jazz, électro, pop et chansons. Il vient tout nous expliquer ce midi dans Deli Express. Jazz au Fil de l’Oise cette année, c’est aussi la venue d’un quartet qui fait bouger les lignes depuis plus de quinze ans maintenant. Flash Pig célèbre la beauté et l’esthétique du film In the Mood For Love de Wong Kar-Wai, à travers l’album « The Mood For Love ».Pour les applaudir, eux, ça se passe vendredi à l’Espace Rive Gauche de Mériel. Et pour ouvrir notre émission, voici un extrait de leur passage dans nos studios l’an passé, avec donc Maxime Sanchez au saxophone, son frère Adrien Sanchez au piano, Florent Nisse à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« One Nation Under a Groove » !C’était en 1978 l’un des hymnes du groupe Funkadelic. Ça pourrait être aussi la philosophie de notre invité, le saxophoniste Braxton Cook.Il a été, il y a une dizaine d’années, l’un des acteurs de toute une évolution de la scène américaine, auprès du trompettiste Christian Scott ou du groupe Butcher Brown. Une génération qui a totalement décloisonné le jazz, en puisant aussi dans le hip-hop et le R&B.Il a d'ailleurs même bossé avec Rihanna. On n’en connaît pas beaucoup dans son cas.Chapeau ! Big Up ! Respect ! Et aussi, merci et bienvenue, parce que Braxton Cook est sur la scène du Deli Express ce midi.En plus de faire des étincelles au saxophone, le chant prend de plus en plus de place dans ton univers. C’est le cas sur ton nouvel album, « Not Everyone Can Go », que tu présentes depuis hier et ce soir encore au Duc des Lombards, à Paris, et ce midi dans Del Express.Te voici avec Lucas Kadish à la guitare, Paul Reinhold à la basse, Curtis Nowosad à la batterie. Et toi, Braxton, on va aussi t'entendre au chant, à la guitare et à la flûte.Et ce midi, c'est un peu "cinquante nuances de saxophones", puisqu'on commence avec le ténor Hank Mobley.Un homme qui a été central dans l’émergence du hard-bop, ce jazz qui remettait en avant ses racines blues et gospel, dans les années 50.Hank Mobley a d’ailleurs été l’un des premiers Jazz Messengers, l’un des groupes phares du genre. En 1957, il sortait même l’album « Jazz Message Number 2 », sur le label Savoy. Ce disque, enregistré avec deux quintets, vient d’être réédité en vinyle, et en voici un extrait, « B For B.B », en compagnie notamment du trompettiste Donald Byrd ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Éclaireur, guide, pionnier...Choisissez le terme que vous préférez. Ce qui est sûr, c’est que le contrebassiste Omer Avital appartient à cette catégorie d’artistes qui montrent le chemin.Au début des années 90, ça a été l’un des tous premiers musiciens israéliens à tellement rêver de jazz, qu’il est parti vivre sa passion à fond, à New York. Il ne le savait pas encore, mais ce faisant, il a ouvert la voie à toute une génération qui a suivi exactement le même chemin, et qui est ensuite devenue centrale sur la scène internationale.Dans la Big Apple, Omer a rapidement fréquenté des légendes, de Roy Haynes à Jimmy Cobb, pour n’en citer que deux.Il a aussi affiné son esthétique, entre hard-bop et influences moyen-orientales.Aujourd’hui, Omer Avital va encore plus en loin. Il a écrit toute une suite pour un ensemble d’une trentaine de musiciens : l’Orchestre Andalou d’Israël-Ashdod.Le résultat s’intitule « North African Dream ». Un répertoire intense et passionnant, mêlant jazz et traditions musicales judéo-arabes, à découvrir sur l'album du même nom, et en concert ce soir à l’Alhambra, dans le cadre du festival Jazz’n’Klezmer.Omer Avital officiera donc en tant que compositeur et chef d’orchestre. On explore cette suite, en avant-première dans notre Deli. (c) Shmulik BalmasDeux maestros, deux références sur leurs instruments respectifs : le pianiste cubain Gonzalo Rubalcaba et le mandoliniste brésilien Hamilton De Holanda.En voir un des deux en concerts, c’est déjà un cadeau. Alors en duo, ça va être magique, ce soir à la Seine Musicale de Boulogne Billancourt.Les deux hommes ont récemment sorti ensemble l’album « Collab », dont on écoute un extrait ce midi, avant de les applaudir donc, dès 20h30. ça s’appelle Mandalagh ! On referme ce Deli avec l’un des nouveaux princes parisiens du piano : Noé Huchard, qui fait des merveilles en ce moment dans le groupe The Hook Up et dans le quintet de Neil Saidi et Noé Codjia.Il s’apprête aussi à sortir un nouvel album en trio : « Young and Fine ». Ce sera le 12 décembre.Il en jouera d’ailleurs deux pièces en avant-première ce soir à 19h dans l’émission mensuelle d’Ibrahim Maalouf, Improbox. En studio, il y aura aussi le magicien Eric Antoine.Mais pour nous, la magie commence dès maintenant avec un extrait de ce prochain disque. Voici Gotta Get Away ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
D’excellents musiciens, la planète jazz en est évidemment remplie…Mais des personnalités qui ont dès le départ, une vision claire et l’ambition de faire bouger les lignes, ça court moins les rues.C’est le cas de notre invité, le batteur Makaya McCraven, qui est même le chef de file de la nouvelle scène de Chicago.Son œuvre s’inscrit d’ailleurs clairement dans l’héritage frondeur et avant-gardiste de sa ville d’adoption. Mais cet esprit, il le transpose dans quelque chose de totalement neuf.Enfant à la fois du jazz et du hip-hop, il n’a jamais voulu choisir. Alors à la place, il a élaboré une mixture unique et a développé toute une façon de procéder qui est devenue la Makaya’s touch !Son truc ? Enregistrer des heures et des heures de concerts ou de séances d’improvisation…Puis reprendre les bandes et les couper, les éditer, les remixer, le malaxer dans tous les sens, pour donner naissance à de tous nouveaux morceaux.C’est comme ça qu’on l’avait découvert et qu’il nous avait fasciné en 2015, avec l’album « In the Moment ».Une décennie plus tard et pour mieux mesurer le chemin parcouru, Makaya McCraven sort « Off the Record », un double disque qui compile quatre EP’s inédits, enregistrés entre 2015 et aujourd’hui, dans des endroits, et avec des groupes différents. C’est un répertoire qu’il présente en concert ce soir au New Morning, à Paris, et dès ce midi dans notre Deli Express. (c) Jacob BlickenstaffAu début du mois, on a commémoré les sept ans de la disparition de Roy Hargrove, fauché en pleine gloire, à 49 ans.Roy Hargrove qui a été le musicien le plus important de sa génération, et qui avait les deux pieds bien ancrés à la fois dans la tradition, qu’il perpétuait avec énormément de style, et la modernité, puisqu’il n’a cessé de dresser des ponts entre le jazz, le hip-hop et la soul.Un EP totalement inédit paraîtra dès le 7 janvier, avec au menu, quatre titres enregistrés en 2009 et 2017 dans les locaux de la radio public, à Seattle. Ça va s’appeler « Roy Hargrove Live at KNKX », et il y a un premier morceau qui paraîtra vendredi. Ce titre, le voici d'ores et déjà sur TSFJAZZ, « Top of My Head » !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Viaggio » ça signifie « voyage » en Italien.Et franchement, on n’en connait pas beaucoup des accordéonistes qui ont fait traverser autant de paysages à leur instrument.Notre invité est de cette trempe-là !Mieux : c’est un maître, un pionnier, une référence, qui a ouvert la voie à tous ceux qui ont suivi. Quel honneur de vous accueillir, ce midi, Richard Galliano !Bienvenue !Richard, vous avez totalement décloisonné l’approche de l’accordéon. Vous l’avez à la fois emmené, hors de ses sentiers battus, et sur les scènes les plus prestigieuses du monde.Classique, jazz, chanson, musiques argentines, brésiliennes, de films…Rien ne vous arrête !Cette vision à 360 degrés, elle est d’abord née d’une envie profonde : donner sa juste place à votre instrument. Elle est aussi le fruit de plusieurs rencontres.Avec le jazz, à l’adolescence, via les enregistrements du trompettiste Clifford Brown.Avec Claude Nougaro, dont vous avez été l’ami, l’accordéoniste et le directeur musical.Ou avec Astor Piazzolla, qui vous a soufflé un jour, un précieux conseil :"Il faut que tu crées ton new musette, comme moi j’ai inventé le nuevo tango ».Votre musique Richard Galliano, elle est libre, belle, intense, mélodique et on l’aura compris, sans œillères, ni frontières. L’une des pierres angulaires de votre discographie, c’est l’album « Viaggio », paru initialement en 1993, avec Biréli Lagrène à la guitare, et les regrettés Pierre Michelot et Charles Bellonzi, respectivement à la contrebasse et à la batterie. Ce disque, vous venez de le rééditer sous le titre de « New Viaggio ». Un répertoire que vous interpréterez en concert, le 12 décembre au New Morning, avec une nouvelle équipe, notamment Adrien Moignard à la guitare.Le 12 décembre, ce n’est pas une date qui a été choisie au hasard, ce sera votre anniversaire : vos 75 ans, que vous passerez donc sur la scène…Ça va être un beau moment ! Mais on se régale dès ce midi dans Deli Express ! (c) Vincent CatalaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus qu’une voix, plus qu’une chanteuse : un exemple, un modèle d’engagement et d’intégrité.Abbey Lincoln a été une combattante ! Elle a lutté contre les injustices, à commencer par la lutte pour l’égalité des droits civiques, aux Etats-Unis, dans les années 60.Sa carrière, elle, s’est étendue sur cinq décennies. Abbey a enregistré quasiment jusqu’à la fin. Son dernier album est sorti en 2007, trois ans avant sa disparition à 80 ans. Et au fil du temps, elle s’est imposée comme une autrice-compositrice, à la plume percutante et bouleversante…Un songbook qui fascine notre invitée : Marion Rampal.Elle aussi, tisse, une œuvre forte et à part, depuis une dizaine d’années. Il y a toujours beaucoup de poésie chez elle, et une conscience aiguë de l’histoire des musiques qui lui sont chères. Pas étonnant, quand on a partagé la route et la scène avec Archie Shepp ou Raphaël Imbert.Marion Rampal célèbre donc, l’héritage d’Abbey Lincoln sur son nouvel album, "Song For Abbey". Un recueil d’une grande classe, entre jazz et folk, qui sort aujourd’hui, elle qu’elle présente les 26 et 27 novembre au Bal Blomet. Des concerts qui affichent déjà complets. Mais il y a une belle tournée à venir.En attendant, on est comme des fous, car Marion Rampal est sur la scène du Deli Express :Bienvenue Marion ! On est ravis de te recevoir en ce jour de sortie.Te voici avec Julien Omé à la guitare, Auxane Cartigny au piano, Simon Tailleu à la contrebasse et Raphaël Chassin à la batterie. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Istanbul est une formidable terre de jazz.Il y a un festival génial, qui se déroule chaque début d’été depuis une trentaine d’années, et pas mal de clubs de jazz.C’est dans l’un d’entre eux, au Chin Chin, dans le quartier de Beyoglu que le trompettiste Hermon Mehari de passage dans la ville, a découvert notre invité : le pianiste Jef Giansily. Un Parisien qui est parti vivre à Istanbul, il y a vingt ans.C’est devenu son Eldorado. Il accompagne pleins de pointures de passage en Turquie, développe ses groupes, ses répertoires et a même fondé une école de musique…RESPECT !Et de sa rencontre avec Hermon est née, une complicité bien sûr, mais aussi l’envie de fonder un quintet qui ferait la passerelle entre ses villes d’origine et d’adoption.Ce groupe, c’est la classe ! Il est à la fois intrépide et élégant, et développe des compositions percutantes ! Celles que Jef Giansily a imaginé pour l’album « Insight », qu’il présente en concert ce soir au Sunside…Et dès ce midi dans Deli Express.Voici Jef au piano, Hermon Mehari à la trompette, Pierre Bernier au saxophone ténor, Apostolos Sideris à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous êtes déjà fans de la nouvelle génération ?Place à présent à « la toute nouvelle génération » !Il y a encore deux ans, le saxophoniste Jérémie Lucchese était étudiant au Conservatoire Supérieur de Paris. Aujourd’hui, c’est l’un des nouveaux visages d’une scène jazz parisienne en perpétuel mouvement. Un jeune cat qui fait de plus en plus parler de lui, et qui place la poésie au cœur de son premier album, « Essais pour l’imaginaire Vol. II ».Un répertoire 100 % maîtrisé qu’il vient nous présenter ce midi avec son quintet.Retenez bien leurs noms : Thomas Gaucher à la guitare, Levi Harvey au piano, Cyril Drapé à la contrebasse et Paul Lefèvre à la batterie.Soyez les bienvenus à TSFJAZZ.Pour commencer, on se plonge ce midi encore dans la programmation du prochain « Châtelet Fait son Jazz ».L’édition 2026 se tiendra du 6 au 9 février au Théâtre du Châtelet, à Paris, avec au programme, trois concerts par soir + une jam session, à chaque fois.Et ça va être un défilé d’artistes tellement stylés et talentueux !Ne serait-ce que Kenny Barron, l’un des boss du piano-jazz.Il y aura aussi côtés pianistes, Shai Maestro et son tout nouveau groupe, le trio de Mario Canonge…Ou une rencontre entre Roberto Fonseca et le violoncelliste Vincent Ségal.Les chanteuses Gabi Hartmann, China Moses et Célia Kameni seront également de la partie, tout comme le oudiste Dhafer Youssef,ça va intense, comme à chaque fois avec lui.Le saxophoniste Isaiah Collier proposera, lui, une création autour du centenaire de John Coltrane.On retrouvera le batteur Arnaud Dolmen et son groupe Vitygroove, ainsi que le quintet de Neil Saidi et Noé Codjia.Et alors, l’ouverture sera assez folle aussi, avec un trio de gospel-soul, tout droit venu de Westpoint dans le Mississippi : les voici tout d’abord sur TSFJAZZ : Annie & the Caldwells ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La beauté, la grâce, l’évidence…Voilà ce qui nous traverse à l’écoute de « Ballads », le nouvel album, que dis-je, la nouvelle merveille de nos invités : à ma droite, le pianiste Alain Jean-Marie. A ma gauche, le contrebassiste Diego Imbert.C’est la deuxième fois qu’ils se retrouvent en studio pour faire dialoguer leurs instruments, leurs cœurs et leurs âmes.La première, c’était pour célébrer le répertoire de Bill Evans. Cette fois, ils ont choisi de remettre la romance au pouvoir ! Mais aussi la douceur, la finesse. En voilà un programme auquel on souscrit à 100% !Nos deux pointures sont allées piocher dans les plus belles ballades du Great American Songbook, de Stardust à The Nearness of You, en passant par une série d’autres joyaux.Pour frissonner avec eux, rendez-vous le 13 novembre…Ils se produiront au Sunside, à Paris.Mais avant le 13 novembre, il y a le 29 octobre. Mais oui, aujourd’hui, ce n’est pas n’importe quel jour : c’est votre anniversaire, Alain Jean-Marie ! Ça fait 80 ans que vous êtes né à Point-à-Pitre, en Guadeloupe…Alors, « Bon Fet / joyeux anniversaire » !Quel honneur à chaque fois de vous recevoir !Vous êtes un modèle et une source d’inspiration pour tellement de monde, et vous avez déjà accompli tellement de choses, qu’on va avoir du mal à être exhaustif.Mais quelques points clés : le piano est entré dans votre vie à 8 ans. Et depuis vos premiers cours chez une voisine, vous n’avez plus jamais arrêté d’en jouer.Vous êtes pétri de biguine, mais le jazz, et plus particulièrement le bebop que vous avez découvert à la radio, vous a aussi très vite fasciné.Et d’ailleurs, au cours de votre carrière vous n’avez cessé de faire le pont entre les deux, notamment à travers votre série d’albums, Biguine Réflections.Avant de vous établir à Paris en 1973, vous avez passé trois ans à Montréal, et d’ailleurs là-bas vous vous êtes même essayé à la fusion avec votre groupe Liquid Spirit.Et alors, Alain, toutes les légendes avec lesquels vous avez joué au fil des ans, c’est fou ! Chet Baker, Abbey Lincoln, Sonny Stitt, Charlie Haden, Charlie Rouse, Dee Dee Bridgewater, Johnny Griffin, et j’en passe.Il y a eu aussi bien sûr, votre complicité avec Barney Wilen…Au cours de cette toute petite heure, on va essayer de revenir sur quelques-uns de ces moments.Mais tout de suite, place à la musique, vous voici en duo avec Diego Imbert sur la scène du Deli Express. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le projet à l'honneur ce midi, et plus qu’un album ! C’est une parenthèse enchantée. Une plongée dans un monde remplit d’espace, de magie et de poésie.On le doit à deux jeunes talents de la scène de Munich…D’abord, Shuteen Erdenebaatar. Une pianiste mongole, née et élevée à Oulan-Bator. Alors qu’elle faisait déjà du piano, elle a eu la révélation du jazz à 17 ans, en découvrant Brad Mehldau et Ahmad Jamal.A ses côtés, on retrouve Nils Kugelmann. Si je vous disais qu’il est contrebassiste, ce serait déjà la classe ! Mais notre bonhomme fait aussi des merveilles à la clarinette. Et même plus précisément à la clarinette contralto au son profond, chaleureux, presque mystique.Ce qui rend leur album, « Under the Same Stars », encore plus envoûtant ! Alors ce midi, c’est clair, on va vivre un pur moment de grâce, car ils sont tous deux nos invités.Ce midi, on poursuit aussi notre exploration de la programmation du Châtelet Fait son Jazz.La prochaine édition se tiendra du 6 au 9 février au Théâtre du Châtelet, à Paris.Hier, je vous parlais de la soirée d’ouverture avec Célia Kameni, le saxophoniste Isaiah Collier qui célèbrera le centenaire de la naissance de John Coltrane, et le trio de gospel-soul Annie & the Caldwells, tout droit venu de West Point dans le Mississippi.Le lendemain, donc le samedi 7, on pourra applaudir le quintet du saxophoniste Neil Saidi et du trompettiste Noé Codjia, soit deux des musiciens les plus incontournables de la nouvelle scène parisienne.Le pianiste Shai Maestro sera aussi de la partie, avec son quartet et le répertoire d'un nouvel album à paraître début 2026.On retrouvera également la chanteuse China Moses et son univers entre jazz & soul, avec la musique de son projet "It's Complicated..."Chaque soirée se conclura avec une jam session, à partir de minuit. Et les places seront en vente dès lundi sur le site du Théâtre du Châtelet.Mais cette émission, on la dédie à la mémoire d’un pionnier, d’un aventurier, d’un guide !On a appris hier la disparition à 83 ans de Jack DeJohnette, l’un des batteurs les plus intrépides et essentiels de l’histoire du jazz. Et l’un de ces musiciens qui ont ouvert la voie, montré le chemin.Jack DeJohnette a été l’un des compagnons de Miles Davis dans sa révolution électrique. L’une des pièces maîtresses du trio de Keith Jarrett. Et un homme prêt à toutes les expérimentations, toutes les explorations, lors d’innombrables sessions pour le label ECM : directement sous son nom, ou avec John Abercrombie, Dave Holland, Anouar Brahem ou John Surman.A ses débuts, il avait aussi amené la génération flower power vers le jazz, au sein du quartet de Charles Lloyd.Le voici ici, avec son groupe Special Edition, en 1983, avec Ebony, extrait de l'album "Inflation Blues" !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sa musique n’en finira jamais de nous éblouir.On n’arrêtera jamais de célébrer son génie et sa poésie.L’héritage de Django Reinhardt est au cœur d’une nouvelle collection baptisée « Django Célébration ». Une série dont chaque album mettra à l’honneur des solistes de différentes générations.Et pour le premier volume, c’est du lourd, puisqu’on retrouve deux esthètes du jazz manouche !Stochelo Rosenberg, tout simplement l’un des plus grands guitaristes du genre en activité, et l’une de ses figures les plus respectées. Stochelo a été adoubé par Stéphane Grappelli lui-même qu’il a accompagné dans les années 90.Et Rocky Gresset, révélé durant la décennie suivante et qui s’est immédiatement imposé comme un guitariste qui compte et qui ne cesse d’impressionner le public, ses pairs guitaristes. Tout le monde, à commencer par nous ici !« Et d’ailleurs, c’est ton anniversaire Rocky…Alors, happy birthday ! C’est toi qui nous offre un cadeau formidable en étant avec nous ce midi ».A vos côtés, on retrouve William Brunard à la contrebasse…« William, c’est toi, qui assure la direction artistique de ce magnifique projet initié par Label Ouest et le Sunset… »Et c’est d’ailleurs dans ce club parisien, le Sunset, que vous vous produisez tous les trois depuis hier et ce soir encore, à raison de deux concerts à chaque fois : 19h30 et 21h30.Vus voici aussi ce midi à l’affiche de notre Deli Express ! Crédit Une : Philippe VitauHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dès qu’on parle du nouveau Londres qui swingue, ils sont incontournables !On peut même affirmer haut et fort, que ce sont deux des musiciens les plus chauds actuellement Outre-Manche.C’est une pure coïncidence, mais le pianiste Joe Webb et le clarinettiste Adrian Cox sont tous les deux à Paris, aujourd’hui. Et ils ne sont pas seuls !Et non, vous n’êtes pas seuls ! Vous êtes venus avec vos trios respectifs.Toi, Joe, pour jouer ce soir au Duc des Lombards, en trio avec Will Sach (contrebasse) et Kai Macrae (batterie). Et il sera question du répertoire de ton premier album « Hamstrings & Hurricanes ». Un concentré de style et d’énergie paru l’an passé et qui continue son p’tit bonhomme de chemin.Il était récemment en lice - et c'est la classe - pour le Mercury Prize, l’un des prix musicaux les plus prestigieux de Grande-Bretagne, qui désigne le meilleur album de l’année, toutes catégories confondues !« Big Up for that ! »Toi, Adrian Cox, tu continues à propager la bonne parole du jazz des origines et du vieux son de la Nouvelle-Orléans sur ton nouvel album, « Club Croco » - tiens, d’ailleurs, on est fans du titre ! C’est un répertoire toujours aussi élégant et qui nous touche en plein cœur, et on retrouve à tes côtés, le guitariste Honey Boulton et le contrebassiste Alex Gilson.Vos deux groupes sont donc à Paris aujourd’hui…Alors on n’a pas pu résister. On a surtout été incapable de choisir entre l’un ou l’autre. On vous adore tous les deux !!!Alors ce midi, on organise un grand London Summit dans notre Deli Express !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laissez-loi compter…C’est bien ça : ils sont huit sur la scène du Deli Express !En même temps, pour la pianiste Leïla Olivesi, la musique est tellement une passion « bigger than life », qu’elle l’a toujours envisagée de façon XXL. Et c’est vrai ! La musique, ça nous transcende, ça traverse le temps.C’est sans doute, parce qu’elle a très tôt saisi la puissance intemporelle de l’œuvre de Duke Ellington, que Leïla s’est plongée à fond dans l’étude de son œuvre. Comme Ellington, notre invitée voit les choses en grand. Son nouvel album « African Rhapsody » a donc été enregistré avec son orchestre de huit musiciens. Je vais les présenter dans un instant.Mais Leïla Olivesi va plus loin ! Elle ajoute des voix sur certains morceaux. En l’occurrence, celles de Camille Bertault et d’un ensemble vocal, les Poetic Birds, pour une suite pleine de poésie et de spiritualité.Pour vous en rendre compte en live, plusieurs possibilités : On pourra l’applaudir jeudi soir au Bal Blomet, à Paris. Un concert dans le cadre des Jeudis de Jazz Magazine.Vous pouvez aussi lever à fond le volume de votre radio, car voici Leïla Olivesi sur notre scène, en compagnie de Baptiste Herbin (saxophone alto et flûte), Adrien Sanchez (saxophone ténor), Jean-Charles Richard (saxophone baryton et soprano), Quentin Ghomari (bugle), Manu Codjia (guitare), Yoni Zelnik (contrebasse) et Donald Kontomanou (batterie). Crédit Une : Solène PersonPour ouvrir ce Deli, voici le pianiste Kenny Barron, non pas en 2025…Mais en 1973 ! Il avait 29 ans et sortait son premier album, « Sunset To Dawn », qui révélait déjà son immense talent de compositeur, et sur lequel il s’illustrait au piano et au Fender Rhodes. Ce disque, paru à l'époque chez Muse Records, vient d’être réédité en vinyle. Et c’est tellement bon qu’en voici un extrait. Un morceau qu’il a d’ailleurs réenregistré en solo il y a deux ans : « Delores Street SF » !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il faut compter 14 heures pour le vol Nice-Sao Paulo.Le saxophoniste Samy Thiébault en sait quelque chose. Un soir de décembre 2019, en sortant d’un concert en Provence, il a sauté dans un avion. Direction le Brésil pour enchaîner deux shows, dès son arrivée, avec le Projeto Coisa Fina. Un orchestre génial et incontournable de la ville, un pied dans le jazz, l’autre dans les pulsations brésiliennes, et notamment dans les compositions du regretté Moacir Santos, dont ils sont les spécialistes.Ces deux concerts resteront à jamais gravés dans la mémoire de Samy Thiébault. Et pas seulement parce qu’il est arrivé dans la salle, trente minutes avant le début de la première performance. Non, il y a eu une énergie, un groove, une puissance rare. Et une connexion immédiate aussi ! Parce qu’il a véritablement rencontré les membres de l’orchestre une fois sur scène.Tout a été enregistré. C’est beau ! Et le meilleur de ses concerts vient d’être rassemblés sur un album, « Sampa Fever », qui sortira demain chez Gaya Music. Mais on l’explore d’ores et déjà avec Samy Thiébault, et avec le saxophoniste Daniel Nogueira, qui est le fondateur du Projeto Coisa Fina. Crédit photo Une : Tom VierusCette voix-là, c’est de l’or !C’est un cadeau du ciel ! Des frissons garantis, c’est tout simplement la classe !Et d’ailleurs, en même pas deux ans, Tyreek McDole est devenu LE chanteur de la nouvelle génération à New York. Et l’une des plus belles promesses de la planète jazz !Il y a tout de ce qu’on cherche dans sa voix. Tout ce qu’on attend : du grain, de la chaleur, de la profondeur…C’est velouté. Tyreek swinguer comme personne. Mais il aime aussi fureter du côté spirituel de la force ! Pour citer de grands anciens dont il se revendique, on entend autant chez lui, l’influence de Joe Williams, que celle de Leon Thomas.Quelques mois après la sortie de son premier album, « Open Up Your Senses », tout simplement impeccable, Tyreek McDole est de retour en France.Vous l’avez peut-être applaudi hier au Tourcoing Jazz Festival. Vous avez plutôt prévu d’aller le voir demain au Nancy Jazz Pulsations. Ou tout à l’heure au New Morning, à Paris. Vous avez raison : on ressort toujours de ses concerts, légers et souriants. Et comme on veut avoir la pêche dès ce midi, on accueille Tyreek McDole sur notre scène en fin d'émission, en compagnie de Victor Gould au piano, Daniel Finn à la contrebasse et Gary Jones à la batterie !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A ce niveau-là, ce n'est même plus un bon plan. C’est encore mieux ! Le ciel est avec nous…Toutes les étoiles s’alignent pour qu’on passe une soirée exceptionnelle ! Et on dit, merci qui ? Merci au festival Jazz sur Seine, qui organise tout à l’heure, son incontournable soirée Showcase !Showcase, signifie « vitrine » en anglais. Et c’est exactement ça : toute une soirée pour mettre la nouvelle scène jazz à l’honneur. Montrer sa richesse, ses nuances, sa vitalité. Avec, au programme dès 20h30, 15 concerts répartis sur cinq clubs du quartier de Châtelet – Les Halles. Et tout est en entrée libre !Je répète, parce qu’à part les verres d’eau dans les bars, il n’y a pas grand-chose de gratuit dans la vie : tout est entrée libre !Même, donc, le concert de nos invités à 21h40, au Baiser Salé : le guitariste Ralph Lavital, le bassiste Elvin Bironien et le percussionniste et batteur Adriano Tenorio. Trois musiciens unis par leur amour de la biguine, l’un des genres musicaux historiques et majeurs des Antilles. Un répertoire dont ils veulent continuer à écrire l’histoire, en le frottant à tous les groove, à toutes les pulsations qui agitent le jazz en 2025. Le projet est né au cours d’une résidence à la Scène Nationale Tropiques Atrium en Martinique, et se prolonge aujourd’hui avec l’album « Biguine Extension », qu’ils nous présentent ce midi dans Deli Express.Vendredi, je vous passais un extrait du quartet AMG, l’un des autres groupes de fou à l’honneur de la soirée Showcase. Du côté du Sunside.Et juste en-dessous, au Sunset, on pourra applaudir un vibraphoniste qui fait des étincelles à chacune de ses apparitions : c’est Alexis Valet. Un musicien branché sur les pulsations new-yorkaises et qui va se produire avec le groupe The Cypher, qui va regarder du côté de ses influences hip-hop. C'est aussi avec eux, qu'il était passé nous voir l’hiver dernier pour l’émission d’Ibrahim Maalouf, Improbox. On en réécoute un extrait, juste pour le plaisir !On referme notre Deli avec un autre magicien de la nouvelle génération, lui aussi bientôt en concert : c’est le pianiste Simon Chivallon que vous pourrez applaudir après-demain au Sunside. Et vous aurez raison d’aller le voir : il présentera le répertoire de son nouvel album, "Alone Again". Un disque tout en finesse, enregistré en trio avec ça et là, un quatuor à cordes qui intervient. C’est très joli : la preuve avec une relecture de cette merveille composée par Antonio Carlos Jobim : Eu Sei Que Vou Te Amar !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Space is the Place », nous disait en son temps le pianiste et chef d’orchestre Sun Ra. Ça tombe bien, c’est aussi là que nous emmène notre invité, le saxophoniste, flûtiste et pianiste Harald Lassen. Mais oui, il a tous ses talents ! Et bien plus encore ! On l’a vu jouer dans des églises, se plonger au cœur de la scène techno undergound d’Oslo, collaborer avec des danseurs, s’installer à Zanzibar pour une résidence musicale. C’est l’une des personnalités les plus passionnantes de la nouvelle scène norvégienne.Harald Lassen est aussi adepte d’un jazz cosmique, trippé et rêveur. Comme on peut l’entendre sur son nouvel album, « RIK », un petit bonbon acidulé et psychédélique à découvrir en concert demain, au New Morning à Paris, et dès ce midi dans notre Deli Express…Boici Harald avec Solveig Wang, aux synthé et à la clarinette, et Sander Eriksen Nordahl à la guitare. (c) Shawn ArvindEn ce moment, à Paris, il y a des concerts de fou dans tous les sens, grâce au festival Jazz sur Seine, qui se déroule jusqu’au 25 octobre. Par exemple, ce soir à 19h30 et 21h30 au 38 Riv, du côté de la rue de Rivoli, on pourra se plonger dans un océan de douceur et de bonnes vibrations : dans l’univers, entre jazz et folk de Lavender Walk !C’est un jeune trio composé de Christelle Raquillet à la flûte, Thomas Gaucher à la guitare et Cyril Drapé à la contrebasse.Après un premier EP l’an passé, il y deux nouveaux morceaux qui viennent de sortir, notamment cette merveille : Cowboy Song ! Ça y est la programmation de notre prochaine You & the Night & the Music est entièrement dévoilée. Et il y aura du beau monde Salle Pleyel, le 15 décembre, à commencer par notre invité d'honneur : le batteur André Ceccarelli. Également à l'affiche, les Poest of Forest composés de Arnaud Dolmen (batterie), Michel Alibo (basse), et Jowee Omicil (saxophone), et qu'on écoute ce midi avec la harpiste Sophye Soliveau en invitée.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Jazz sur Seine », c’est d’abord le titre d’un des disques les plus cool du jazz parisien d’après-guerre : un album que le saxophoniste Barney Wilen a sorti en 1958 ! Franchement, l’occasion est trop belle, impossible de résister : on va en écouter un extrait au cours de cette émission !Ce midi, on va surtout célébrer le jazz d’aujourd’hui, dans toute sa richesse, toutes ses nuances, toute sa vivacité…Cette formidable scène actuelle sera mise à l’honneur de ce soir au 25 octobre par le festival Jazz sur Seine – ça y est, vous avez compris le clin d’œil !C’est un rendez-vous incontournable et indispensable impliquant cette année, 25 clubs et salle de concerts d’Ile-de-France, avec pas moins de 180 concerts au programme, notamment ceux de notre invitée : la chanteuse Estelle Perreault qu’on pourra applaudir ce soir et demain au Sunside.Et ça va être la fête ! Estelle va jouer le répertoire de son nouvel album, « Promises », un recueil de chansons originales, percutantes et pleines d’allure. Estelle Perrault y a mis ses émotions, ses douleurs, ses promesses...Et tout ce qui la constitue musicalement : le jazz et la soul…Mais c’est plus que ça ! Moi j’entends aussi des réminiscences de l’acid jazz, et si on remonte plus loin de certaines productions jazz-funk des années 70. Estelle Perrault va donc interpréter ses nouvelles au Sunside à Paris.La voici d’abord sur la scène du Deli Express, avec Rob Clearfield au piano, Melvin Marquez au saxophone, Matteo Bortone à la basse et Théo Moutou à la batterie.L’un des temps fort de Jazz sur Seine, ce sera la soirée Showcase, qui mettra à l’honneur mardi, 15 jeunes groupes dans cinq clubs du quartier de Châtelet, notamment le Duc des Lombards, le Baiser Salé, et le Sunset / Sunside.Il y aura trois concerts par lieux, tout est en entrée libre…Absolument tout : le trio de Mario Canonge, Mathias Lévy et Lou Tavano, le groupe the Getdown, le projet Biguine Extension…Et même ce quartet de fou : AMG, composé de Keïta Janota (saxophone), Antoine Fleury (piano), Anthony Jouravsky (contrebasse) et Mailo Rakotonanahary (batterie), et qu'on écoute ce midi avec Kashmir !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En vérité, pour notre invité, ça a toujours été beaucoup plus que de la musique !Mathias Lévy a trouvé dans le violon une respiration, un refuge, une bulle de liberté, un ailleurs vital. Voilà sans doute, la raison pour laquelle, l’entendre jouer est toujours fort en émotion.C’est toujours intense, mais notre bonhomme a aussi l’humilité des plus grands. Alors au lieu de se mettre en avant, il a imaginé son nouvel album comme une aventure humaine, collective et qui fait la part belle aux mots, à la poésie et à la mélodie.Le résultat s’intitule « Chant Song », et on y entend la prose de Jacques Prévert, James Joyce, Blaise Cendrars…Mais aussi Daniel Balavoine, avec une reprise poignante de « Tous les cris les SOS ».Le tout magnifié par Lou Tavano, qui est l’une des chanteuses les plus bluffantes de la scène française ! Le reste du groupe, c’est aussi la grande classe : Jean-Philippe Viret à la contrebasse, Laurent Derache à l’accordéon et Sébastien Giniaux au violoncelle et à la guitare. On pourra tous les applaudir en deux temps, mardi au Duc des Lombards, dans le cadre de la soirée Showcase du festival Jazz sur Seine…Et le 18 novembre au Studio de l’Ermitage, dans le cadre du festival Jazz'n'Klezmer.Ça n’arrive pas tous les jours ! Raison de plus pour sortir trompettes, tambours, et cotillons : l’ouverture d’un nouveau club de jazz, demain à Paris !Longue vie, au Jass Club, avec deux « s », qui va se tenir à l’emplacement de l’ancien Barbizon, au 141 rue de Tolbiac, dans le 13e arrondissement.Pour cette soirée inaugurale, il y aura une double affiche : d’abord l’un des padre de la trompette jazz en France, Eric Le Lann, à 19h30, en quartet…C’est toujours la classe ! Suivi de la chanteuse Ellen Birath, avec à ses côtés, la crème de la nouvelle scène, Noé Codjia à la trompette ou Bastien Brison au piano, pour un set entre jazz, soul et pop.On est tellement impatients qu’on célèbre déjà la nouvelle dans notre Deli, avec un morceau d’Ellen Birath, il y a quatre ans, dans le cadre des Paris Jazz Sessions, « Alone Again », sa version du tube de Gilbert O’Sullivan !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.




