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Deli Express
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Deli Express

Author: TSFJAZZ

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Description


De 12h à 13h, toute l’actu du jazz se déguste à point et avec convivialité. La pause du déj' à la sauce TSFJAZZ, c’est une heure d’interviews, de rencontres, d’avant-premières, d'explorations d’albums & rééditions, de célébration…


Sans oublier, nos désormais incontournables sessions musicales : plus de 150 par saison ! De 12h à 13h, c'est toute l'actualité du jazz qui se déguste à point. 
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ils nous ont tant fait planer ! Pendant longtemps, ça a même été leur marque de fabrique. Celle qui les a hissés à la pointe de la nouvelle scène bruxelloise. Mais pour leur troisième album, nos invités avaient en tête un son plus sombre, pour faire écho à la jungle urbaine dans laquelle ils évoluent. Le résultat est tout simplement magnétique et fait la passerelle entre jazz, techno, ambient et hip-hop. C’est totalement addictif !Ça s’appelle « 4N4LOG CITY » : et c’est le tout nouveau Glass Museum, un trio composé d’Antoine Flipo aux claviers, Martin Grégoire à la batterie, et Issam Labbene à la basse.Bienvenue messieurs ! Merci d’avoir pris la route aux aurores pour être avec nous ce midi.Pour vous applaudir en concert, ça se passe ce soir à Paris, du côté du Hasard Ludique, dans le 18e.Et vous voici tout de suite, sur la scène du Deli Express.Noël, c’est dans même plus une semaine. Mais à la radio, c’est déjà la période des cadeaux, avec un titre de Christmas par jour, enregistré dans nos studios par de nombreux artistes.Tous les morceaux seront rassemblés dans une grande émission animée par Pia Duvigneau, le 25 décembre, à 19h…Et on entendra notamment, Estelle Perrault et le pianiste Rob Clearfield en duo, avec Let it Snow.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Break the rules »« Casser les règles »…Pour notre invité, ce n’est pas juste un titre ! En l’occurrence, l’un de ceux qu’on trouve sur son nouvel album.Non ! Pour le flûtiste Jî Drû, c’est une philosophie, un état d’esprit.Ça fait 30 ans, qu’il fait valser les frontières musicales. Il est soul dans son esprit, jazz dans son cœur et son ambition. Et il est allé fureter partout : de l’afrobeat à l’électro, de Tony Allen à Doctor L. Ce qui rend son œuvre si riche et passionnante, c’est aussi que Jî Drû envisage la création de façon collective. C’est du partage ! De groove, d’énergie, de bonnes vibrations. Et il a trouvé en la chanteuse Sandra Nkaké, une alter-ego qui a les mêmes valeurs musicales.On les retrouve donc ensemble sur son nouvel album, « Poems For Dance » qui sort chez Label Bleu et qu’il présente ce soir au Studio de l’Ermitage, à Paris, dans le 20e.Avant ce soir concert, voici Jî Drû à la flûte et au chant, Sandré Nkaké au chant, Mathieu Penot à la batterie et Pierre-François Blanchard aux claviers ! J-8 avant Noël.Et pour que la fête soit encore plus folle et joyeuse et parce que la planète jazz défile toute l’année dans nos studios, on a demandé à plusieurs groupes de nous interpréter des chansons de Noël. Celle de leur choix. On diffusera le tout, le 25 décembre au cours d’une grande émission, à 19h, présentée par Pia Duvigneau.Et parmi les artistes qu’on va retrouver, il y aura les guitaristes Stochelo Rosenberg et Rocky Gresset, soit la crème de la crème du jazz manouche. Et à leurs côtés, le contrebassiste William Brunard…Voici Rudolph the Reindeer Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’était il y a quasiment un an, le 27 janvier dernier, on décrochait notre Deli Phone pour souhaiter de vive-voix, et en direct, un joyeux anniversaire au contrebassiste Henri Texier.Il célébrait alors ses 80 ans. 80, dont une soixantaine au service du jazz.A la fin de l’entretien, Henri nous glissait qu’il venait de former un nouveau groupe, qu’il avait enrôlé Hermon Mehari, tout simplement l’un des jeunes trompettistes les plus chauds du moment. Et qu’il y avait un nouveau disque dans les tuyaux. On avait hâte, et on avait raison ! Déjà, parce qu’Henri Texier c’est un regard ouvert sur le monde et ses injustices, une parole qui pèse. L’auteur d’une œuvre engagée, voyageuse et poétique. Des compositions fortes dans lesquelles il a décidé de se replonger pour ce nouvel album, « Healing Songs ».Le monde traverse des temps troublés, l’époque est anxiogène, Henri est donc allé piocher dans ses répertoires passés des morceaux qui lui font du bien. Des titres qui disent ses indignations mais qui l’aide à les transcender. Il y a de la gravité mais aussi beaucoup de douceur, et on en a sacrément besoin.Et pour les faire revivre, Henri s’entoure d’une nouvelle équipe de choc :Sébastien Texier au saxophone et à la clarinette, Hermon Mehari, on l’a dit, à la trompette, Emmanuel Borghi aux claviers, Gautier Garrigue à la batterie…Il y a même un autre batteur, et pas des moindres, en invité : c’est Manu Katché, présent sur trois titres.C’est un répertoire à découvrir en concert le 28 janvier au New Morning, à Paris, et qu’on est honorés d’explorer ce midi, avec son auteur.  (c) Sylvain GripoixHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je ne sais pas où vous étiez le 19 mai 2024...Moi-même, je ne m’en souviens plus.Par-contre, ce soir-là « the place to be », c’était clairement le Festival International de Jazz de Saint-Louis, au Sénégal, où se tenait plus qu’un concert.L’aboutissement d’un rêve pour notre invité : le batteur Raphaël Pannier qui réunissait sur scène, son quartet et huit percussionnistes sénégalais, emmenés par Khadim Niang, l’un des grands maîtres actuels des tambours sabars.Le sabar, c’est à la fois, une tradition musicale, une famille de huit tambours, une danse et une cérémonie, qui le fascine depuis sa plus sa plus tendre enfance. Depuis qu’il a été complètement happé par un documentaire sur le sujet… Je ne sais pas ce qui s’est joué à l’époque, mais son amour pour les rythmes et les émotions qu’ils procurent sont probablement nés à ce moment-là, et ne l’ont plus jamais quitté. Ça faisait longtemps que Raphaël Pannier voulait créer un pont entre le jazz et la culture sabar, et pour concrétiser cette envie, il a aussi convié le contrebassiste François Moutin, le saxophoniste Yosvany Terry et Thomas Enhco qu’on entend au piano et au Fender Rhodes.Le concert a été enregistré, parce qu’il y avait dès le départ, la volonté d’en faire un disque. Il vient de sortir sous le titre de « Live in Saint Louis, Senegal »...Un répertoire qu’on explore ce midi avec son auteur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vingt ans ! Et je ne dis pas ça en mode « Guignols de l’Info ».Non, ça fait vingt ans, que son talent et sa fraîcheur nous envoient du rêve. Depuis qu’il a remporté le concours de Montreux, sous le regard attentif d’Herbie Hancock et du regretté Chick Corea.Dès le départ, Harold López-Nussa s’est révélé être un pianiste véloce, virtuose, solide, et aux antennes grandes ouvertes. Un homme pétri de classique, passionné de jazz, mais qui adore aussi les pas de côté. On se souvient encore de son morceau « Jazztón », il y a cinq ans, qui était le clash ultime entre jazz et reggaeton.Après le Covid, Harold López-Nussa a quitté La Havane pour s’installer à Toulouse. Un changement pas forcément évident. Mais au milieu des doutes, la lumière est notamment apparue grâce à Blue Note, le label de nombre de ses héros, qui l’a contacté pour que lui aussi intègre cette grande et prestigieuse famille.Et après un premier essai plus que réussi chez Blue Note, il remet ça avec « Nueva Timba ». Un album qui réserve son lot de moments de grâce et de groove. Et dont la matière première a été enregistrée sur la scène du Duc des Lombards. Harold a ensuite retravaillé, ou plutôt enrichi certains morceaux en studio, en ajoutant des textures et des pistes supplémentaires.Ce répertoire, il le présente en concert, ce soir, à Paris, à l’Athénée Théâtre Louis Jouvet.Mais la fiesta, c’est dès ce midi dans Deli Express ! Voici Harold Lopez-Nussa au piano, Grégoire Maret à l’harmonica, Thibaud Soulas à la contrebasse et Ruy Adrian Lopez-Nussa à la batterie.Messieurs, quel immense plaisir de vous recevoir à la radio. Tellement qu’on a aussi invité Léonor Matet, rédactrice en chef adjointe du magazine Polka, à passer ce Deli avec nous.  (c) Ryan McNurneyHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce groupe, c’est tout simplement de la dynamite ! Quelle joie d’accueillir ce midi, une jeune formation, qui a seulement deux ans d’existence, et dont le premier album nous a littéralement bluffé !Sapocaya célèbre toute la richesse des groove brésiliens d’hier et d’aujourd’hui.Quand on les écoute, on pense à Hermeto Pascoal. Par endroits, à Milton Nascimento ou au percussionniste Airto Moreira. Bref, que du bon et que du lourd !Ses membres puisent aussi dans les traditions indigènes d’Amazonie et dans les sons de la nature.Leur disque s’intitule « Elementos » et franchement, c’est une folie ! Et un formidable panorama de la scène brésilienne actuelle, puisqu’ils font défiler pleins d’invités enregistrés directement au Brésil.Ce répertoire, on l’explore ce midi avec une grosse partie des effectifs de Sapocaya. On pourra aussi faire la fête avec eux, mardi prochain, on sera le 9 décembre, au New Morning, à Paris.Mais tout de suite, voici les donc sur la scène du Deli Express. Attention, il y a du monde !On commence par les soufflants : Jamayê Viveiros à la trompette, Tristan Boulanger au trombone Léo Morini au saxophone et à la clarinette, et Charlotte Isenmann à la flûte.Avec aussi, César Aouillé à la guitare, Simon Voituriez à la basse, Taylor Philemon à la batterie et Arlet Feuillard aux percussions.« This is Love » ! C’est de l’amour !Ce n’est pas moi qui le dis, mais la chanteuse Georgia Cécile.Elle fait partie des artistes qu’on pourra applaudir dans 10 petits jours, le 15 décembre Salle Pleyel, pour notre fête annuelle You & the Night & the Music. Elle va nous faire vivre un moment entre jazz et soul…Et comme on n’a pas envie d’attendre, la voici déjà sur TSFJAZZ, avec un extrait de sa récente session musicale dans Deli Express.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J’en ai déjà des frissons !J’ai la chair de poule, parce que je sais qu’on va vivre un moment fort en émotion.C’est toujours le cas avec le clarinettiste Yom. Je ne sais pas quel est son secret, mais il fait partie de ces musiciens qui nous font instantanément basculer dans une autre dimension.Avec lui, c’est toujours hypnotique, puissant. Il a le pouvoir de nous mettre en transe. Et c’est le cas depuis le premier jour ! Depuis son album, « The New King of Klezmer Clarinet ». C’était en 2008. Mais à l’époque, on était loin d’imaginer qu’il emmènerait son instrument aussi loin des sentiers battus, et que rien ne l’arrêterait.Il était fait pour croiser la route des frères Ceccaldi ! Théo au violon, et Valentin au violoncelle. Deux autres empêcheurs de tourner en rond. Deux musiciens qui font aussi constamment bouger les lignes, et ça fait du bien.Ensemble, ils ont imaginé un album tout simplement beau, trippant et intense : "Le Rythme du Silence" qui vient de sortir sur le label Komos et qu’ils présentent en concert de ce soir à samedi au Théâtre de la Concorde, à Paris.Toutes les dates sont complètes depuis pas mal de temps. Raison de plus pour ouvrir en grand nos shakras, ce midi et se réjouir de leur venue à tous les trois, dans Deli Express ! (c) Nicolas SenegasAvant de les accueillir, tic tac, tic tac...On est à J – 12 avant notre fête annuelle, You & the Night & the Music, Salle Pleyel. On est notamment impatients de retrouver China Moses, qui a sorti cette année un album impeccable, entre jazz, funk & soul."it’s complicated… » , c’est son titre, et en minuscule, s'il vous plaît. Avant de l’applaudir à Pleyel, revoici sa récente session live dans Deli Express.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Enchanté Paul Cornish

Enchanté Paul Cornish

2025-11-2645:49

Le piano-jazz est un art en perpétuel mouvement. Et parmi ses nouvelles têtes chercheuses, il y a notre invité : Paul Cornish ! Il y a encore quelques mois, on ne connaissait pas son existence. Jusqu’à ce qu’on l’entende faire des merveilles dans le groupe de Joshua Redman.Mais sur son tout premier album, « You’re Exaggerating ! », notre cher Paul va plus loin. Il nous expose son esthétique, résolument moderne et novatrice.Pas étonnant qu’il ait tapé dans l’œil du prestigieux label Blue Note. Il faut dire qu’il poursuit la voie tracée par deux de ses aînés, Jason Moran et Robert Glasper, qui eux ont aussi redéfini le genre au début des années 2000.C’est d’ailleurs à leur écoute, que Paul Cornish s’est plongé à fond dans le jazz. Il n’a fait ensuite qu’élargir le spectre, se liant notamment d’amitié avec le grand Herbie Hancock. Paul vient de Houston. Il vit désormais à Los Angeles. Mais ce soir, c’est à Paris qu’on pourra l’applaudir sur la scène du Duc des Lombards, où il vient présenter ses compositions et son univers, en trio.On en profite ce midi pour faire davantage connaissance.Voici Paul Cornish à notre piano, en compagnie de Jermaine Paul à la contrebasse et Jonathan Pinson à la batterie.  (c) Piper FergusonDu côté de l’histoire, Blue Note vient par-ailleurs d’exhumer des enregistrements historiques d’un saxophoniste obscur, John Hardee, surtout actif dans les années 40 et au début de la décennie suivante, avant de se retirer de la musique pour se consacrer à l'enseignement à Dallas.« Tenor Sax » est une compilation digitale qui rassemble trois sessions gravées entre 1946 et 1948 avec trois groupes différents, notamment celui que voici tout de suite sur TSFJAZZ, « Tired » !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça fait quinze ans que ça dure !Quinze ans, qu’ils font souffler un vent de cool attitude sur la scène française. Et bien au-delà, puisqu’ils cartonnent notamment en Asie.Les membres du RP3, le Rémi Panossian Trio sont de retour avec un huitième album, d’ailleurs baptisé « 88888888 ».On y retrouve tout ce qu’on adore chez vous depuis toujours : De l’énergie à revendre ! Des compositions canons, sans jamais se la raconter. Mieux : avec une bonne dose de fun. C’est important l’humour en musique, et c’est encore une fois le cas, ici, avec des compositions telles que « You Must Believe in Spring Roll ».Donc, merci du fond du cœur de nous faire à la fois sourire et groover depuis quinze ans…Merci et applaudissements à Rémi Panossian au piano, Maxime Delporte à la basse et Frédéric Petitprez à la batterie.C’est à Séoul que vous avez enregistré vos nouveaux morceaux : un mix toujours parfait entre jazz, énergie rock, mélodies aussi accrocheuses qu’un tube pop. Sur ce nouveau disque, vous regardez même du côté de l’électro, du disco et de choses plus expérimentales.On va donc remuer dans tous les sens ce soir au New Morning et après-demain au Théâtre de Fontainebleau pour le festival Jazz au Théâtre où vous vous produisez.Mais la fête dès ce midi dans Deli Express !Plaisir d’offrir, joie de recevoir...Pour ouvrir cette émission, je voulais absolument partager avec vous, cette merveille qui vient d’arriver au courrier.La rencontre de deux maestros, deux musiciens sans peurs et sans frontières.Le pianiste Roberto Fonseca et le violoncelliste Vincent Segal  sortiront le 30 janvier, un album tout simplement sublime, en duo, « Nuit Parisienne à La Havane ».Une session touchée par la grâce. La preuve, avec le titre, Soul Kiss, avant de les applaudir le 20 décembre au Duc des Lombards, et le 8 février au Théâtre du Châtelet, pour le festival Le Châtelet Fait son Jazz.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus qu’incontournable…Indispensable ! Et ça fait près de trente ans que ça dure ! Près de trente ans, que Jazz au Fil de l’Oise nous fait adorer l’automne.Grâce au festival, la saison n’est plus seulement synonyme de jours plus courts, mais de programmations toujours impeccables, et qui font vibrer le jazz pendant deux mois, à travers tout le Val d’Oise.Il n’y en n’a pas beaucoup des rendez-vous aussi longs et qualitatifs, convoquant aussi bien la crème du genre que les talents de demain. Les répertoires confirmés que des créations inédites.Samedi au Foyer Communal de Neuville, on retrouvera un aventurier, un homme qui imagine d’autres lendemain pour le piano : c’est Edouard Ferlet.Parmi les projets qui lui tiennent à cœur en ce moment, il y a Pianoïd, qui interroge les relations entre son instrument, et les machines qui lui permettent de décupler ses possibilités.Un terrain de jeu qui l’emmène tellement loin qu’il y a déjà consacré deux albums ainsi qu’un EP de remixes, et un autre où il ajoute des voix…Celles notamment de Lou Tavano, Macha Gharibian, et Marion Rampal.Au passage, Edouard brouille les pistes entre jazz, électro, pop et chansons. Il vient tout nous expliquer ce midi dans Deli Express.                  Jazz au Fil de l’Oise cette année, c’est aussi la venue d’un quartet qui fait bouger les lignes depuis plus de quinze ans maintenant. Flash Pig célèbre la beauté et l’esthétique du film In the Mood For Love de Wong Kar-Wai, à travers l’album « The Mood For Love ».Pour les applaudir, eux, ça se passe vendredi à l’Espace Rive Gauche de Mériel. Et pour ouvrir notre émission, voici un extrait de leur passage dans nos studios l’an passé, avec donc Maxime Sanchez au saxophone, son frère Adrien Sanchez au piano, Florent Nisse à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« One Nation Under a Groove » !C’était en 1978 l’un des hymnes du groupe Funkadelic. Ça pourrait être aussi la philosophie de notre invité, le saxophoniste Braxton Cook.Il a été, il y a une dizaine d’années, l’un des acteurs de toute une évolution de la scène américaine, auprès du trompettiste Christian Scott ou du groupe Butcher Brown. Une génération qui a totalement décloisonné le jazz, en puisant aussi dans le hip-hop et le R&B.Il a d'ailleurs même bossé avec Rihanna. On n’en connaît pas beaucoup dans son cas.Chapeau ! Big Up ! Respect ! Et aussi, merci et bienvenue, parce que Braxton Cook est sur la scène du Deli Express ce midi.En plus de faire des étincelles au saxophone, le chant prend de plus en plus de place dans ton univers. C’est le cas sur ton nouvel album, « Not Everyone Can Go », que tu présentes depuis hier et ce soir encore au Duc des Lombards, à Paris, et ce midi dans Del Express.Te voici avec Lucas Kadish à la guitare, Paul Reinhold à la basse, Curtis Nowosad à la batterie. Et toi, Braxton, on va aussi t'entendre au chant, à la guitare et à la flûte.Et ce midi, c'est un peu "cinquante nuances de saxophones", puisqu'on commence avec le ténor Hank Mobley.Un homme qui a été central dans l’émergence du hard-bop, ce jazz qui remettait en avant ses racines blues et gospel, dans les années 50.Hank Mobley a d’ailleurs été l’un des premiers Jazz Messengers, l’un des groupes phares du genre. En 1957, il sortait même l’album « Jazz Message Number 2 », sur le label Savoy. Ce disque, enregistré avec deux quintets, vient d’être réédité en vinyle, et en voici un extrait, « B For B.B », en compagnie notamment du trompettiste Donald Byrd ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Éclaireur, guide, pionnier...Choisissez le terme que vous préférez. Ce qui est sûr, c’est que le contrebassiste Omer Avital appartient à cette catégorie d’artistes qui montrent le chemin.Au début des années 90, ça a été l’un des tous premiers musiciens israéliens à tellement rêver de jazz, qu’il est parti vivre sa passion à fond, à New York. Il ne le savait pas encore, mais ce faisant, il a ouvert la voie à toute une génération qui a suivi exactement le même chemin, et qui est ensuite devenue centrale sur la scène internationale.Dans la Big Apple, Omer a rapidement fréquenté des légendes, de Roy Haynes à Jimmy Cobb, pour n’en citer que deux.Il a aussi affiné son esthétique, entre hard-bop et influences moyen-orientales.Aujourd’hui, Omer Avital va encore plus en loin. Il a écrit toute une suite pour un ensemble d’une trentaine de musiciens : l’Orchestre Andalou d’Israël-Ashdod.Le résultat s’intitule « North African Dream ». Un répertoire intense et passionnant, mêlant jazz et traditions musicales judéo-arabes, à découvrir sur l'album du même nom, et en concert ce soir à l’Alhambra, dans le cadre du festival Jazz’n’Klezmer.Omer Avital officiera donc en tant que compositeur et chef d’orchestre. On explore cette suite, en avant-première dans notre Deli.  (c) Shmulik BalmasDeux maestros, deux références sur leurs instruments respectifs : le pianiste cubain Gonzalo Rubalcaba et le mandoliniste brésilien Hamilton De Holanda.En voir un des deux en concerts, c’est déjà un cadeau. Alors en duo, ça va être magique, ce soir à la Seine Musicale de Boulogne Billancourt.Les deux hommes ont récemment sorti ensemble l’album « Collab », dont on écoute un extrait ce midi, avant de les applaudir donc, dès 20h30. ça s’appelle Mandalagh ! On referme ce Deli avec l’un des nouveaux princes parisiens du piano : Noé Huchard, qui fait des merveilles en ce moment dans le groupe The Hook Up et dans le quintet de Neil Saidi et Noé Codjia.Il s’apprête aussi à sortir un nouvel album en trio : « Young and Fine ». Ce sera le 12 décembre.Il en jouera d’ailleurs deux pièces en avant-première ce soir à 19h dans l’émission mensuelle d’Ibrahim Maalouf, Improbox. En studio, il y aura aussi le magicien Eric Antoine.Mais pour nous, la magie commence dès maintenant avec un extrait de ce prochain disque. Voici Gotta Get Away ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
D’excellents musiciens, la planète jazz en est évidemment remplie…Mais des personnalités qui ont dès le départ, une vision claire et l’ambition de faire bouger les lignes, ça court moins les rues.C’est le cas de notre invité, le batteur Makaya McCraven, qui est même le chef de file de la nouvelle scène de Chicago.Son œuvre s’inscrit d’ailleurs clairement dans l’héritage frondeur et avant-gardiste de sa ville d’adoption. Mais cet esprit, il le transpose dans quelque chose de totalement neuf.Enfant à la fois du jazz et du hip-hop, il n’a jamais voulu choisir. Alors à la place, il a élaboré une mixture unique et a développé toute une façon de procéder qui est devenue la Makaya’s touch !Son truc ? Enregistrer des heures et des heures de concerts ou de séances d’improvisation…Puis reprendre les bandes et les couper, les éditer, les remixer, le malaxer dans tous les sens, pour donner naissance à de tous nouveaux morceaux.C’est comme ça qu’on l’avait découvert et qu’il nous avait fasciné en 2015, avec l’album « In the Moment ».Une décennie plus tard et pour mieux mesurer le chemin parcouru, Makaya McCraven sort « Off the Record », un double disque qui compile quatre EP’s inédits, enregistrés entre 2015 et aujourd’hui, dans des endroits, et avec des groupes différents. C’est un répertoire qu’il présente en concert ce soir au New Morning, à Paris, et dès ce midi dans notre Deli Express.  (c) Jacob BlickenstaffAu début du mois, on a commémoré les sept ans de la disparition de Roy Hargrove, fauché en pleine gloire, à 49 ans.Roy Hargrove qui a été le musicien le plus important de sa génération, et qui avait les deux pieds bien ancrés à la fois dans la tradition, qu’il perpétuait avec énormément de style, et la modernité, puisqu’il n’a cessé de dresser des ponts entre le jazz, le hip-hop et la soul.Un EP totalement inédit paraîtra dès le 7 janvier, avec au menu, quatre titres enregistrés en 2009 et 2017 dans les locaux de la radio public, à Seattle. Ça va s’appeler « Roy Hargrove Live at KNKX », et il y a un premier morceau qui paraîtra vendredi. Ce titre, le voici d'ores et déjà sur TSFJAZZ, « Top of My Head » !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Viaggio » ça signifie « voyage » en Italien.Et franchement, on n’en connait pas beaucoup des accordéonistes qui ont fait traverser autant de paysages à leur instrument.Notre invité est de cette trempe-là !Mieux : c’est un maître, un pionnier, une référence, qui a ouvert la voie à tous ceux qui ont suivi. Quel honneur de vous accueillir, ce midi, Richard Galliano !Bienvenue !Richard, vous avez totalement décloisonné l’approche de l’accordéon. Vous l’avez à la fois emmené, hors de ses sentiers battus, et sur les scènes les plus prestigieuses du monde.Classique, jazz, chanson, musiques argentines, brésiliennes, de films…Rien ne vous arrête !Cette vision à 360 degrés, elle est d’abord née d’une envie profonde : donner sa juste place à votre instrument. Elle est aussi le fruit de plusieurs rencontres.Avec le jazz, à l’adolescence, via les enregistrements du trompettiste Clifford Brown.Avec Claude Nougaro, dont vous avez été l’ami, l’accordéoniste et le directeur musical.Ou avec Astor Piazzolla, qui vous a soufflé un jour, un précieux conseil :"Il faut que tu crées ton new musette, comme moi j’ai inventé le nuevo tango ».Votre musique Richard Galliano, elle est libre, belle, intense, mélodique et on l’aura compris, sans œillères, ni frontières. L’une des pierres angulaires de votre discographie, c’est l’album « Viaggio », paru initialement en 1993, avec Biréli Lagrène à la guitare, et les regrettés Pierre Michelot et Charles Bellonzi, respectivement à la contrebasse et à la batterie. Ce disque, vous venez de le rééditer sous le titre de « New Viaggio ». Un répertoire que vous interpréterez en concert, le 12 décembre au New Morning, avec une nouvelle équipe, notamment Adrien Moignard à la guitare.Le 12 décembre, ce n’est pas une date qui a été choisie au hasard, ce sera votre anniversaire : vos 75 ans, que vous passerez donc sur la scène…Ça va être un beau moment ! Mais on se régale dès ce midi dans Deli Express !  (c) Vincent CatalaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus qu’une voix, plus qu’une chanteuse : un exemple, un modèle d’engagement et d’intégrité.Abbey Lincoln a été une combattante ! Elle a lutté contre les injustices, à commencer par la lutte pour l’égalité des droits civiques, aux Etats-Unis, dans les années 60.Sa carrière, elle, s’est étendue sur cinq décennies. Abbey a enregistré quasiment jusqu’à la fin. Son dernier album est sorti en 2007, trois ans avant sa disparition à 80 ans. Et au fil du temps, elle s’est imposée comme une autrice-compositrice, à la plume percutante et bouleversante…Un songbook qui fascine notre invitée : Marion Rampal.Elle aussi, tisse, une œuvre forte et à part, depuis une dizaine d’années. Il y a toujours beaucoup de poésie chez elle, et une conscience aiguë de l’histoire des musiques qui lui sont chères. Pas étonnant, quand on a partagé la route et la scène avec Archie Shepp ou Raphaël Imbert.Marion Rampal célèbre donc, l’héritage d’Abbey Lincoln sur son nouvel album, "Song For Abbey".  Un recueil d’une grande classe, entre jazz et folk, qui sort aujourd’hui, elle qu’elle présente les 26 et 27 novembre au Bal Blomet. Des concerts qui affichent déjà complets. Mais il y a une belle tournée à venir.En attendant, on est comme des fous, car Marion Rampal est sur la scène du Deli Express :Bienvenue Marion ! On est ravis de te recevoir en ce jour de sortie.Te voici avec Julien Omé à la guitare, Auxane Cartigny au piano, Simon Tailleu à la contrebasse et Raphaël Chassin à la batterie. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Istanbul est une formidable terre de jazz.Il y a un festival génial, qui se déroule chaque début d’été depuis une trentaine d’années, et pas mal de clubs de jazz.C’est dans l’un d’entre eux, au Chin Chin, dans le quartier de Beyoglu que le trompettiste Hermon Mehari de passage dans la ville, a découvert notre invité : le pianiste Jef Giansily. Un Parisien qui est parti vivre à Istanbul, il y a vingt ans.C’est devenu son Eldorado. Il accompagne pleins de pointures de passage en Turquie, développe ses groupes, ses répertoires et a même fondé une école de musique…RESPECT !Et de sa rencontre avec Hermon est née, une complicité bien sûr, mais aussi l’envie de fonder un quintet qui ferait la passerelle entre ses villes d’origine et d’adoption.Ce groupe, c’est la classe ! Il est à la fois intrépide et élégant, et développe des compositions percutantes ! Celles que Jef Giansily a imaginé pour l’album « Insight », qu’il présente en concert ce soir au Sunside…Et dès ce midi dans Deli Express.Voici Jef au piano, Hermon Mehari à la trompette, Pierre Bernier au saxophone ténor, Apostolos Sideris à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous êtes déjà fans de la nouvelle génération ?Place à présent à « la toute nouvelle génération » !Il y a encore deux ans, le saxophoniste Jérémie Lucchese était étudiant au Conservatoire Supérieur de Paris. Aujourd’hui, c’est l’un des nouveaux visages d’une scène jazz parisienne en perpétuel mouvement. Un jeune cat qui fait de plus en plus parler de lui, et qui place la poésie au cœur de son premier album, « Essais pour l’imaginaire Vol. II ».Un répertoire 100 % maîtrisé qu’il vient nous présenter ce midi avec son quintet.Retenez bien leurs noms : Thomas Gaucher à la guitare, Levi Harvey au piano, Cyril Drapé à la contrebasse et Paul Lefèvre à la batterie.Soyez les bienvenus à TSFJAZZ.Pour commencer, on se plonge ce midi encore dans la programmation du prochain « Châtelet Fait son Jazz ».L’édition 2026 se tiendra du 6 au 9 février au Théâtre du Châtelet, à Paris, avec au programme, trois concerts par soir + une jam session, à chaque fois.Et ça va être un défilé d’artistes tellement stylés et talentueux !Ne serait-ce que Kenny Barron, l’un des boss du piano-jazz.Il y aura aussi côtés pianistes, Shai Maestro et son tout nouveau groupe, le trio de Mario Canonge…Ou une rencontre entre Roberto Fonseca et le violoncelliste Vincent Ségal.Les chanteuses Gabi Hartmann, China Moses et Célia Kameni seront également de la partie, tout comme le oudiste Dhafer Youssef,ça va intense, comme à chaque fois avec lui.Le saxophoniste Isaiah Collier proposera, lui, une création autour du centenaire de John Coltrane.On retrouvera le batteur Arnaud Dolmen et son groupe Vitygroove, ainsi que le quintet de Neil Saidi et Noé Codjia.Et alors, l’ouverture sera assez folle aussi, avec un trio de gospel-soul, tout droit venu de Westpoint dans le Mississippi : les voici tout d’abord sur TSFJAZZ : Annie & the Caldwells ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La beauté, la grâce, l’évidence…Voilà ce qui nous traverse à l’écoute de « Ballads », le nouvel album, que dis-je, la nouvelle merveille de nos invités : à ma droite, le pianiste Alain Jean-Marie. A ma gauche, le contrebassiste Diego Imbert.C’est la deuxième fois qu’ils se retrouvent en studio pour faire dialoguer leurs instruments, leurs cœurs et leurs âmes.La première, c’était pour célébrer le répertoire de Bill Evans. Cette fois, ils ont choisi de remettre la romance au pouvoir ! Mais aussi la douceur, la finesse. En voilà un programme auquel on souscrit à 100% !Nos deux pointures sont allées piocher dans les plus belles ballades du Great American Songbook, de Stardust à The Nearness of You, en passant par une série d’autres joyaux.Pour frissonner avec eux, rendez-vous le 13 novembre…Ils se produiront au Sunside, à Paris.Mais avant le 13 novembre, il y a le 29 octobre. Mais oui, aujourd’hui, ce n’est pas n’importe quel jour : c’est votre anniversaire, Alain Jean-Marie ! Ça fait 80 ans que vous êtes né à Point-à-Pitre, en Guadeloupe…Alors, « Bon Fet / joyeux anniversaire » !Quel honneur à chaque fois de vous recevoir !Vous êtes un modèle et une source d’inspiration pour tellement de monde, et vous avez déjà accompli tellement de choses, qu’on va avoir du mal à être exhaustif.Mais quelques points clés : le piano est entré dans votre vie à 8 ans. Et depuis vos premiers cours chez une voisine, vous n’avez plus jamais arrêté d’en jouer.Vous êtes pétri de biguine, mais le jazz, et plus particulièrement le bebop que vous avez découvert à la radio, vous a aussi très vite fasciné.Et d’ailleurs, au cours de votre carrière vous n’avez cessé de faire le pont entre les deux, notamment à travers votre série d’albums, Biguine Réflections.Avant de vous établir à Paris en 1973, vous avez passé trois ans à Montréal, et d’ailleurs là-bas vous vous êtes même essayé à la fusion avec votre groupe Liquid Spirit.Et alors, Alain, toutes les légendes avec lesquels vous avez joué au fil des ans, c’est fou ! Chet Baker, Abbey Lincoln, Sonny Stitt, Charlie Haden, Charlie Rouse, Dee Dee Bridgewater, Johnny Griffin, et j’en passe.Il y a eu aussi bien sûr, votre complicité avec Barney Wilen…Au cours de cette toute petite heure, on va essayer de revenir sur quelques-uns de ces moments.Mais tout de suite, place à la musique, vous voici en duo avec Diego Imbert sur la scène du Deli Express. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le projet à l'honneur ce midi, et plus qu’un album ! C’est une parenthèse enchantée. Une plongée dans un monde remplit d’espace, de magie et de poésie.On le doit à deux jeunes talents de la scène de Munich…D’abord, Shuteen Erdenebaatar. Une pianiste mongole, née et élevée à Oulan-Bator. Alors qu’elle faisait déjà du piano, elle a eu la révélation du jazz à 17 ans, en découvrant Brad Mehldau et Ahmad Jamal.A ses côtés, on retrouve Nils Kugelmann. Si je vous disais qu’il est contrebassiste, ce serait déjà la classe ! Mais notre bonhomme fait aussi des merveilles à la clarinette. Et même plus précisément à la clarinette contralto au son profond, chaleureux, presque mystique.Ce qui rend leur album, « Under the Same Stars », encore plus envoûtant ! Alors ce midi, c’est clair, on va vivre un pur moment de grâce, car ils sont tous deux nos invités.Ce midi, on poursuit aussi notre exploration de la programmation du Châtelet Fait son Jazz.La prochaine édition se tiendra du 6 au 9 février au Théâtre du Châtelet, à Paris.Hier, je vous parlais de la soirée d’ouverture avec Célia Kameni, le saxophoniste Isaiah Collier qui célèbrera le centenaire de la naissance de John Coltrane, et le trio de gospel-soul Annie & the Caldwells, tout droit venu de West Point dans le Mississippi.Le lendemain, donc le samedi 7, on pourra applaudir le quintet du saxophoniste Neil Saidi et du trompettiste Noé Codjia, soit deux des musiciens les plus incontournables de la nouvelle scène parisienne.Le pianiste Shai Maestro sera aussi de la partie, avec son quartet et le répertoire d'un nouvel album à paraître début 2026.On retrouvera également la chanteuse China Moses et son univers entre jazz & soul, avec la musique de son projet "It's Complicated..."Chaque soirée se conclura avec une jam session, à partir de minuit. Et les places seront en vente dès lundi sur le site du Théâtre du Châtelet.Mais cette émission, on la dédie à la mémoire d’un pionnier, d’un aventurier, d’un guide !On a appris hier la disparition à 83 ans de Jack DeJohnette, l’un des batteurs les plus intrépides et essentiels de l’histoire du jazz. Et l’un de ces musiciens qui ont ouvert la voie, montré le chemin.Jack DeJohnette a été l’un des compagnons de Miles Davis dans sa révolution électrique. L’une des pièces maîtresses du trio de Keith Jarrett. Et un homme prêt à toutes les expérimentations, toutes les explorations, lors d’innombrables sessions pour le label ECM : directement sous son nom, ou avec John Abercrombie, Dave Holland, Anouar Brahem ou John Surman.A ses débuts, il avait aussi amené la génération flower power vers le jazz, au sein du quartet de Charles Lloyd.Le voici ici, avec son groupe Special Edition, en 1983, avec Ebony, extrait de l'album "Inflation Blues" !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Django Célébration

Django Célébration

2025-10-2344:06

Sa musique n’en finira jamais de nous éblouir.On n’arrêtera jamais de célébrer son génie et sa poésie.L’héritage de Django Reinhardt est au cœur d’une nouvelle collection baptisée « Django Célébration ». Une série dont chaque album mettra à l’honneur des solistes de différentes générations.Et pour le premier volume, c’est du lourd, puisqu’on retrouve deux esthètes du jazz manouche !Stochelo Rosenberg, tout simplement l’un des plus grands guitaristes du genre en activité, et l’une de ses figures les plus respectées. Stochelo a été adoubé par Stéphane Grappelli lui-même qu’il a accompagné dans les années 90.Et Rocky Gresset, révélé durant la décennie suivante et qui s’est immédiatement imposé comme un guitariste qui compte et qui ne cesse d’impressionner le public, ses pairs guitaristes. Tout le monde, à commencer par nous ici !« Et d’ailleurs, c’est ton anniversaire Rocky…Alors, happy birthday ! C’est toi qui nous offre un cadeau formidable en étant avec nous ce midi ».A vos côtés, on retrouve William Brunard à la contrebasse…« William, c’est toi, qui assure la direction artistique de ce magnifique projet initié par Label Ouest et le Sunset… »Et c’est d’ailleurs dans ce club parisien, le Sunset, que vous vous produisez tous les trois depuis hier et ce soir encore, à raison de deux concerts à chaque fois : 19h30 et 21h30.Vus voici aussi ce midi à l’affiche de notre Deli Express !  Crédit Une : Philippe VitauHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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