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Deli Express

Deli Express
Author: TSFJAZZ
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© TSF Jazz
Description
De 12h à 13h, toute l’actu du jazz se déguste à point et avec convivialité. La pause du déj' à la sauce TSFJAZZ, c’est une heure d’interviews, de rencontres, d’avant-premières, d'explorations d’albums & rééditions, de célébration…
Sans oublier, nos désormais incontournables sessions musicales : plus de 150 par saison ! De 12h à 13h, c'est toute l'actualité du jazz qui se déguste à point.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pas besoin de bouée, ni même de savoir nager pour s’y aventurer.Ce midi, on plonge dans l’univers doux et onirique de Ninanda, un quartet emmené par la pianiste Nina Gat et la batteuse Ananda Brandão.Il y a une énergie quasi télépathique entre ces deux formidables musiciennes qu’on croise dans de plus en plus de groupes sur la scène parisienne.Mais elles avaient envie de construire leur propre cabane musicale. Et d’y mettre pleins de choses !Des rythmes prenants, du jazz, de la folk, de la musique brésilienne.Des harmonies vocales aussi, parce qu’elles chantent, en anglais, français, portugais et hébreu.Franchement, ça ne ressemble à rien d’autre, c’est envoûtant. Et je ne suis pas le seul à le penser : Ninanda a remporté deux tremplins et pas des moindres, l’an passé : le Rezzo Jazz à Vienne et le Prix René Urtreger de l’Ecuje.Quatre jours avant la sortie de leur premier album, « A Place Where" sur le label Komos, quelle joie de vous accueillir sur la scène du Deli Express. Voici donc Nina Gat au piano et au chant, Ananda Brandão à la batterie et au chant, Mathieu Scala à la contrebasse et Maxime Boyer à la guitare.Avant de vous entendre en live, je précise qu’on pourra vous applaudir en concert le 8 juin, au Son de la Terre, à Paris.Mais juste avant, on souhaite un joyeux anniversaire au contrebassiste Cecil McBee qui a 90 ans aujourd’hui. C’est beau !Dont 66 au service de la musique, lui, qui a commencé sa carrière en 1959 auprès de Dinah Washington.Au milieu de la décennie suivante, il a notamment fait partie du quartet de Charles Lloyd, celui qui a révélé Keith Jarrett. Et dans les seventies, Cecil McBee a été l’une des pièces maîtresses de Strata-East, un label au fonctionnement alors inédit : Tous les artistes qui y étaient affiliés disposaient d’une liberté totale et du plein contrôle de leur musique.Pour la toute première fois, une grande partie des disques Strata-East arrivent d’ailleurs sur les plateformes digitales.Quelques albums sont aussi réédités ces jours-ci en vinyle et en CD, notamment les deux volumes du Live at Slugs, de Music Inc, un quartet emmené par le trompettiste Charles Tolliver, avec Cecil McBee à la contrebasse et à la composition du morceau que voici sur TSFJAZZ : Wilpan’s ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un grand bol d’air, une respiration salutaire, un moment de grâce !Le label Aztec Musique vient de sortir un live inédit de Mario Canonge et Alain Jean-Marie.Mais oui, vous avez bien entendu, deux pianistes ensemble ! C’est dans cette configuration qu’ils avaient donné un concert événement le 30 janvier 2009 à l’Olympia.Pour son plaisir personnel et pour ses archives, Mario Canonge l’avait enregistré, mais avait complètement oublié l’existence de cette banden qu’il a récemment retrouvé chez lui, en faisant du rangement.Et devant la beauté et la majesté de ce qu’il a entendu, il s’est dit qu’il fallait mettre ce live dans les mains du plus grand nombre.C’est désormais chose faite. L’album s’intitule "Con Alma", il est d’une élégance folle, à la croisée du jazz et de la biguine, des standards des deux genres et de leurs propres compositions.Il y a neuf morceaux, dont le titre que voici en ouverture de Deli !Happy vendredi à tous !Dans quelques heures, c’est le week-end, la dolce vita.L’occasion, par exemple, d’aller en concert !Les Lyonnais, prenez votre voiture et foncez à Chassieu où Kareen Guiock Thuram célèbre ce soir au Karavan Théâtre la musique de Nina Simone. Faites-nous confiance : vous allez passer une super soirée ! En fin d’émission, on va d’ailleurs se mettre dans l’ambiance, avec sa version d’ I Love You Porgy ! Et si vous êtes à Paris, alors ?Si vous êtes à Paris, allez au Duc des Lombards ce soir et demain ! Vous pourrez dire que vous l’avez entendue avant tout le monde.Lucy-Anne Daniels est l’une des nouvelles étoiles du jazz vocal en Grande-Bretagne.Une chanteuse qui s’inscrit clairement dans le sillage des voix historiques, Betty Carter ou Sarah Vaughan. D’ailleurs, il y a quelques mois, sur la prestigieuse scène du Royal Albert Hall, à Londres, elle célébrait l’héritage de Sarah Vaughan, entourée par le BBC Orchestra.Lucy-Anne Daniels, avait illuminé notre mois de janvier avec le trio vocal Flight Call qui était passé nous voir en studio.Elle est donc de retour ce soir et demain, au Duc des Lombards, en compagnie notamment du saxophoniste et clarinettiste Giacomo Smith, l’une des figures les plus passionnantes de la scène londonienne.Et pour nous ce midi, te voici Lucy-Anne Daniels avec Edouard Pennes à la contrebasse et David Grebil à la batterie. (c) Elie Koepke NyjoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Allez, on ressort nos pantalons patte d’eph, et on remonte en 1977.Notre invité est alors âgé de 16 ans, et il est totalement scotché par les concerts de Count Basie, Charles Mingus et de l’orchestre de Thad Jones & Mel Lewis, auxquels il assiste à la Grande Parade du Jazz, l’ancêtre du Nice Jazz Fest.Je ne sais pas à quel point ça a été un moment de bascule? Ce qui est sûr, c’est qu’à partir de là, Franck Amsallem s’est pleinement dédié au piano et au jazz.Il est même allé poursuivre son rêve aux Etats-Unis où il a vécu pendant 20 ans, et partagé la scène avec Gerry Mulligan, Joshua Redman ou même Harry Belafonte !Aujourd’hui, c’est un pianiste incontournable de la scène parisienne. Si vous avez vos habitudes au Duc des Lombards, vous l’avez peut-être croisé. Il y anime régulièrement les jam sessions.La force de Franck Amsallem c’est notamment sa curiosité, et sa soif de musiques toujours intactes.Il adore, par exemple s’entourer de la nouvelle génération.Mais pour son onzième album, il avait envie d’un retour aux sources.Il voulait d’abord renouer avec la formule magique du trio. Depuis toutes ces années, il est aussi tellement subjugué par la beauté et la force des standards, qu’il a choisi d’honorer ce répertoire.Le résultat s’intitule « The Summer Knows (un été 42) », avec aussi au programme trois de ses compositions.Le tout enregistré à New York avec des musiciens américains : David Wong à la contrebasse et Kush Abadey à la batterie.Ce disque, Franck le présente en concert samedi soir au Sunside, à Paris.Et dès ce midi, te voici sur la scène du Deli Express, en compagnie de Thomas Bramerie à la contrebasse et Jesus Vega à la batterie. (c) Jean-Baptiste MillotHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, on part des racines africaines du jazz et on va jusqu’au Bayou !C’est la trajectoire effectuée par notre invité sur son nouvel album, « New African Orleans ».J’ai dit « album » ? Mais c’est bien plus que ça ! C’est un passionnant carnet de route, qui nous emmène au Sénégal, au Nigéria et à la Nouvelle-Orléans.Ce disque est un pont entre deux rives, une reconnexion.On le doit à un magicien de la basse, Alune Wade ! Qui est aussi un formidable chanteur, comme on peut l’entendre sur ce nouvel album, qui est festif et cuivré…C’est une grande fête, où l’on croise des musiciens sénégalais, cubains, nigérians, français, américains.Il y a trois relectures, brillantes et hyper originales d’Herbie Hancock, Fela Kuti et Jimi Hendrix. Le reste, ce sont des compositions irrésistibles qu’on va découvrir au cours de cette émission.Alune Wade a même filmé son road trip entre toutes ces destinations, et va le sortir en documentaire.En attendant, on pourra l’applaudir, le 4 juin au Studio de l’Ermitage à Paris. Quelques jours plus tard, le 7, on te retrouvera à Angoulême pour Musiques Métisses. Et le 13 juillet, il sera à l’affiche du festival Marseille Jazz des Cinq Continents…Le voici donc aussi ce midi, sur la scène du Deli Express, en compagnie de Camille Passeri à la trompette, Harry Ahonlonsou au saxophone, Axel Foucan au trombone, Baptiste Andreani au soubassophone, Cédric Duchemann aux claviers, Alix Gofic à la batterie ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En mai, fais ce qu’il te plaît.Mais en mai, procure-toi des billets pour Jazz à Saint-Germain des Près !Depuis 2001 à Paris, c’est le rendez-vous printanier qui fait le mieux rimer jazz & belle vie.Tout le monde attend le mois de mai, sa douceur de vivre, les jours qui rallongent sérieusement, l’envie de flâner et d’écouter de la magnifique en live.Et les programmes de Jazz-à-Saint-Germain-des-Près, c’est toujours la classe ! Surtout que les concerts sont joués dans des écrins magnifiques : Par exemple, l’Odéon Théâtre de l’Europe où se produira ce soir pour l’ouverture, Youn Sun Nah en duo avec le pianiste Bojan Z, et en invité – ce sera une première, et ça promet d’être magique - le saxophoniste Thomas De Pourquery.La Monnaie de Paris…Autre décor de rêve où l’on assistera demain au premier concert d’un nouveau quintet, Poetic Ways, avec Célia Kameni et le saxophoniste Raphaël Imbert.Au cours de cette intense semaine, vous pourrez aussi vous rendre au Théâtre de l’Alliance, avec des concerts de Charlotte Planchou, Paul Lay ou pour la clôture, lundi prochain, la pianiste Leila Olivesi.Et je ne vous parle même pas de la Maison de l’Océan ! C’est là qu’on retrouvera notre invité, vendredi soir, avec un concert événement.Le pianiste Yaron Herman présentera à la fois, son nouveau groupe, et son nouvel album, « Radio Paradise ».Et c’est vrai que c’est un p’tit paradis ce disque ! Dans sa profondeur, son lyrisme, sa liberté, le côté prenant de ses mélodies.C’est un projet enregistré avec deux saxophonistes, Alexandra Grimal, qui est une figure des musiques improvisées, et Maria Grand, son "son" de ténor, singulier et plein de caractère.L’une et l’autre se succèdent selon les plages, et parfois, on les entend toutes les deux, ensemble.Le tout est porté par une rythmique tout terrain : Haggai Cohen Milo à la contrebasse et un compagnon de longue de date de Yaron Herman, le batteur Ziv Ravitz.C’est donc ce groupe qu’on pourra applaudir vendredi soir à Jazz à Saint-Germain des Près. Et ce disque, qu'on explore ce midi Deli Express, avec son auteur. (c) Hamza DjenatHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et vous, votre Zoot, vous l’aimez comment ?En big-band, en octet ou en orchestre symphonique ? Remarquez, vous préférez peut-être quand il prend la forme d’un studio, d’un label, ou d’un festival+.Quelle que soit la forme que ses membres adoptent, le Zoot est l’un des collectifs les plus dynamiques et passionnants de la scène parisienne…C’est notamment pour ça qu’on l’adore !Plutôt que d’attendre qu’on vienne les chercher, cette bande de jeunes trentenaires a décidé, il y a bientôt dix ans, de se prendre en main, en se fédérant, et en faisant tout eux-mêmes.Le studio dont je parlais, ils l’ont monté avec leurs petites mains, dans une cave, au fond d’une cours du 11e arrondissement. C’est là qu’ils enregistrent la plupart de leurs album…Notamment celui qu'ils viennent nous présenter.Le Zoot Collectif fait swinguer la capitale, et joue partout : des bars de quartier aux plus grandes salles.C’est un aréopage de cracks de la composition et de l’arrangement. L’une de leurs raisons d’être, c’est d’ailleurs de proposer des créations originales.Leurs deux chefs de file, le trompettiste Noé Codjia et le saxophoniste Neil Saidi viennent de sortir l’album « Indi-gêne ? ». Cette fois, ils sont en quintet.Avec un répertoire qui évoque le meilleur des Jazz Messengers et de toute la galaxie de musiciens qui a gravité autour du groupe de Blakey au tournant des années 50 et 60.On l’explore ce midi dans Deli Express.Bienvenue à tous !Vous voici, Noé et Neil, avec Noé Huchard au piano, Luca Fattorini à la contrebasse et Malte Arndal à la batterie.Lui aussi, c’est un trentenaire du jazz qu’on adore !Le trompettiste Daoud s’est auto-proclamé « vilain petit canard du jazz ». Un vilain petit canard assez productif, ma foi ! Un an après la sortie de son premier album, Good Boy, notre ami toulousain vient de signer sur le label ACT Music, celui du trio E.S.T.Et il vient de dévoiler un nouveau morceau, Plato’s twins, à l’énergie presque drum’n’bass, avec en invité le tromboniste britannique Corto Alto.Le voici en ouverture de DeliHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invité est passé par ici. Il repassera par-là. Et rien ne l’arrête ! Fred Nardin est l’un des boss de l’Amazing Keystone Big Band, depuis sa fondation, il y a une quinzaine d’années.C’est aussi le directeur musical de Stefano Di Battista, ou même de Pascal Obispo, qui ne peut plus se passer de ses services et que Fred accompagne partout en France, sur scène et en studio.Tout le monde se l’arrache ! Et pour cause, c’est l’un de nos pianistes les plus brillants et les plus chauds !Il a tout ! Le toucher, le swing, un appétit de musique insatiable et une immense culture jazzistique, lui qui a grandi en ayant comme héros, McCoy Tyner, Kenny Barron et Mulgrew Miller. C’est-à-dire, la crème de la crème du piano.A force de mettre son immense talent au service des autres, Fred Nardin n’avait pas pris le temps de sortir de disque sous son nom depuis quelques années.Ça a été long ! Mais l’attente est désormais terminée. Trio +, c’est son nouveau disque, est d’une grâce et d’une classe folle ! Naviguant entre jazz et pop, entre Thelonious Monk et la French Touch, avec une reprise du Nightcall de Kavinsky, qu’on vous a beaucoup joué sur TSFJAZZ.La base du projet, c’est donc le trio que le pianiste forme avec Viktor Nyberg à la contrebasse et Romain Sarron à la batterie. Et au fil des plages, il y a des invités ! C’est le « + » du titre.Anne Sila, Stefano dont on parlait à l’instant, le trompettiste Raynald Colom, les guitaristes Sébastien Giniaux et Maxime Fougères, Inor Sotolongo aux percus…Et le saxophoniste Max Pinto, qui est présent ce midi aux côtés du trio de Fred Nardin.Bienvenue à tous. On est heureux de vous accueillir. Surtout que pour vous applaudir en concert, il faudra patienter jusqu’à la rentrée, avec trois soirs du 11 au 13 septembre au Duc des Lombards.Raison de plus, donc pour savourer votre venue dans notre Deli !Focus en fin d'émission sur Zaza Desiderio, un batteur et percussionniste né à Rio de Janeiro et installé en France depuis une quinzaine d'années.Il a partagé la scène avec Quincy Jones, Brad Mehldau ou Milton Nascimento. Et on l'a aussi croisé dans le groupe de la flûtiste Naïssam Jalal.Zaza Desiderio est installé à Lyon, mais c'est à Paris qu'on pourra l'applaudir jeudi soir, au Sunside, où il présentera son nouvel album, Osmoses...Un répertoire aux confins de ses influences : Brésil, jazz et classique, avec Rémi Ploton aux claviers et Michel Molines à la contrebasse. Extrait dans notre Deli !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce midi, on fait de la place, on pousse les meubles. Et même les murs, si on peut !Ce midi, il y a du monde sur notre scène.Ils sont huit. Ce sont les membres du Hot Sugar Band.Si on a besoin d’espace, c’est aussi parce que depuis 15 ans, ce groupe basé à Paris affole tous les adeptes du lindy-hop. Cette danse qui a émergé dans le Harlem des années 1920, en plein essor du swing.Mais oui, on guinche, on se trémousse pendant les concerts du Hot Sugar Band.Leur truc à eux, c’est le jazz des années 30 et 40. Les débuts de l’orchestre de Count Basie. L’époque du contrebassiste John Kirby.Ou même les premières années de la carrière de Billie Holiday.Ils en ont même fait tout un disque : « Eleanora – The Early Years of Billie Holiday », enregistré avec Nicolle Rochelle, une chanteuse du New Jersey installée en France…Et qui sera à leurs côtés, jeudi soir. Le groupe se produira au Duc des Lombards.Avant cela, tout ce beau monde est installé sur la scène de notre Deli Express.Bienvenue !Voici, Julien Ecrepont à la trompette, Timothée Weeger à la clarinette, Thomas Gomez au saxophone alto, Galaad Moutoz au piano, Vincent Simonelli à la guitare, William Brunard à la contrebasse, Jonathan Gomis à la batterie. Et donc, Nicolle Rochelle au chant !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Attention, révélation ! Attention, talent ! Attention, magnifique moment en perspective !Ce midi on ouvre notre scène à l’une des nouvelles étoiles du jazz vocales. Tellement, que Lucia remportait il y a trois ans, la Sarah Vaughan Competition, le concours international le plus prestigieux du genre, succédant notamment à Samara Joy. Elle est née et a grandi à Veracruz, au Mexique, passe dans ses chansons, de l’anglais à l’espagnol, et puise autant son inspiration dans le Great American Songbook que dans ses racines latines. Avant de vous applaudir demain soir au Duc des Lombards, quelle joie de faire votre connaissance, Lucia, ce midi, dans notre Deli Express !Bienvenido !Votre premier album porte votre nom. IL sortira le 16 mai. Et rien que pour nous, vous voici en duo avec le pianiste Antonio Mazzei.Impossible de refermer ce Deli Express, sans évoquer la mémoire d’Andy Bey, pianiste et chanteur à la voix chaude, céleste et pleine de soul, dont on a appris la disparition à 85 ans.Andy Bey a été un compagnon de route d’Horace Silver, Gary Bartz ou Max Roach. Il avait aussi débuté sa carrière avec ses sœurs au sein du groupe Andy & the Bey Sisters.Il y a plusieurs facettes, plusieurs dimensions dans son œuvre.La face spirituelle et funky. Des reprises inattendues, comme le River Man de Nick Drake. Ou sa parfaite maîtrise du répertoire des standards auxquels il a consacré plusieurs albums.Le voici ici en 1974 avec un extrait de son album "Experience & Judgment" : Trust Us to Find a Way !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chacun de ses concerts est une célébration du groove !Le bassiste Marcus Miller écume les scènes depuis l’adolescence : des plateaux du Saturday Night Live où il a officié à ses débuts, aux salles les plus prestigieuses du monde entier auprès de Miles Davis, dont il a été le bras droit dans les années 80. Depuis, il a repris le flambeau d’un jazz sans cesse connecté aux pulsations de son époque.C’est l’un des esthètes de la basse électrique, et nous sommes honorés de le compter parmi les artistes qui participeront au TSFJAZZ Chantilly Festival le samedi 5 et le dimanche 6 juillet. Marcus montera sur scène le premier jour, en plein air, dans le parc du Château. Ça va être magique !Nous sommes tellement impatients qu’on lui passe un coup de fil ce midi dans notre Deli Express !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Quel temps fait-il à Paris ? »Ce n’est pas une question que je pose à mon assistant vocal, genre : « Ok Moogle, tu peux me dire, la météo de ce matin, s'il te plaît ? Je prends un parapluie, ou pas ? »Non ! « Quel temps fait-il à Paris ? », c’est l'un des titres de la B.O. des Vacances de Monsieur Hulot de Jacques Tati. Ce morceau, notre invité le reprend sur son nouvel album, « Cookin’ in the Couve", signé donc Ben Paterson. Un pianiste actif depuis 20 ans. D'abord à Chicago où il a démarré sa carrière avec un vétéran local du saxophone, Von Freeman, puis à New York.On l’entend, par exemple, faire des merveilles sur le deuxième album de Samara Joy, Linger Awhile. Mais, comme il fait partie des pianistes incontournables de la Big Apple, il a collaboré avec pleins d’autres pointures."Ben, nous sommes ravis de te recevoir ! Je sais que tu viens d'atterrir. Tu as directement foncé à la radio pour passer ce Deli avec nous. Tu es à Paris pour plusieurs soirs de ce concert au Duc des Lombards. A partir de 19h30, tout à l’heure, on pourra t’applaudir en quartet. Et de demain à samedi, ce même quartet va accompagner la chanteuse Catherine Russell, toujours au Duc.En attendant, te revoici rien que pour nous en piano solo".Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si on débutait ce Deli en disant tout simplement « merci » !Merci à notre invitée, Gabi Hartmann, de mettre de la lumière dans nos vies !Merci Gabi pour tes chansons classes, rêveuses et colorées ! Pour ta capacité à nous offrir autant de joyaux musicaux.Avec toi, j’ai même envie de dire qu’un autre genre de tubes est possible !Tes mélodies sont belles et imparables, sans jamais être tapageuses…Elles sont tellement fortes, qu’on a souvent l’impression de les connaître depuis toujours…Elles ont ce super-pouvoir-là !Après un premier album paru il y a deux ans, et qui était déjà impeccable, tu places la barre encore plus haut, avec « La Femme aux yeux de sel » ! Il est irrésistible ce disque, que tu as construit comme un conte. On y découvre Salinda, habitante d’une île déserte, dont les yeux de sel fondent à chaque fois qu’elle verse une larme.A partir de cette histoire, tu nous embarques dans une quête où tu nous racontes, Gabi, tes doutes, tes colères, tes émerveillements.Tu nous fais aussi voyager, à travers le monde. Au Brésil, en Guinée, en Afrique du Sud, en Argentine, à New York.Et à travers les styles. Ça, c’est l’une de tes marques de fabrique depuis le début : jazz, pop, folk, soul, musiques du monde…C’est à la fois doux et puissant, et il y a du beau monde autour de toi.Déjà deux des saxophonistes les plus stylés du game : Oan Kim et Laurent Bardainne - avec lesquels tu as bâti une bonne partie de ce répertoire -, la flûtiste Naïssam Jalal, le guitariste Ignacio Maria Gomez. On retrouve aussi Jesse Harris. Et il y a même un quatuor à cordes enregistré à Buenos Aires.Ce répertoire tu le présenteras en concert, notamment le dimanche 6 juillet à notre TSFJAZZ Chantilly Festival Et d’ailleurs, ne dormez pas. Si vous voulez faire la fête avec nous, ça se passe pour commencer sur le tsfjazzchantilyfestival.comOn te retrouvera le 13 octobre à Paris, sur la scène du Trianon.Et rien que pour nous ce midi, puisqu’on explore ensemble « La femme aux yeux de sel ».Bienvenue Gabi…Te voici sur notre scène avec Florian Robin au piano, Jérôme Arrighi à la basse, Arthur Allard à la batterie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Allez, ce midi, on vous sert un Deli 100 % gratte ! 100 % guitare !Et on se place sous la protection de deux saints-patrons, et pas des moindres : Jimi Hendrix et Django Reinhardt !Le premier est tout simplement l’un des héros de Thomas Naïm.Il le vénère depuis qu’il est ado, lui doit ses premiers émois guitaristiques, et l’envie de se dédier pleinement à l’instrument.Cinq ans après « Sounds of Jimi », qui était sa première incursion dans l’univers du Voodoo Child, il replonge dans son répertoire d’Hendrix, mais cette fois il le fait en solo et en acoustique, pour mieux en révéler la fragilité et la poésie.Au détour de de ce répertoire, il y a même deux clins d’œil à John Lennon.Le résultat est désarmant de finesse. C’est un album baptisé « May This Be Love », que Thomas Naïm vient nous présenter en fin d’émission.« On a hâte, Thomas…A tout à l’heure ! »100 % guitare, vous disais-je !Notre premier invité est l’un des grands maîtres, l’une des grandes références du jazz manouche. Une tradition qu’il a emmené sur les scènes du monde entier.Quel honneur de recevoir Angelo Debarre !Angelo, tu as commencé la guitare en famille. Tu avais huit ans ! Et même si tu l’as délaissé un temps pour faire de la batterie, tu l’as définitivement adopté en 1984. Là, tu étais âgé de 22 ans.Et dès à la fin de cette décennie, tu t’es imposé comme l’un des jeunes guitaristes les plus charismatiques du jazz manouche. A peu près à la même époque, tu as rencontré Serge Camps, lui aussi guitariste, et alors propriétaire d’un bar-cabaret, la Roue Fleurie dans le quartier parisien de la Butte Montmartre.Ensemble, vous avez formé un trio qui prolongeait l’héritage de Django, tout en s’aventurant du côté des musiques d’Europe de l’Est.A vos côtés, on retrouvait aussi le contrebassiste Franck Anastasio.Votre disque ensemble, Gypsy Guitars est vite devenu une référence, et même l’un des étendards de ce renouveau.Ce qui rend encore plus savoureuse, la parution, trente-six ans plus tard, de l’album Gypsy Guitars 2. Un bijou de tendresse et de swing. Et un répertoire que vous présentez tous les trois messieurs, en concert ce soir à Paris, du côté du Bal Blomet…Et donc tout de suite dans notre Deli Express ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au départ, le Skokiaan était un alcool frelaté, fabriqué en Afrique du Sud…Une boisson ultra toxique pouvant rendre fou ou aveugle…A la fin des années 1940, c’est devenu une chanson, reprise aux Etats-Unis par Louis Armstrong…Et aujourd’hui, c’est aussi le nom d’une fanfare aux grooves explosifs : le Skokiaan Brass Band !Un groupe fondé par des musiciens lyonnais, il y a dix ans, suite à un voyage initiatique à la Nouvelle-Orléans.Le Skokiaan débarque à Paris dans une semaine pile, mercredi 16 avril, pour un concert au New Morning.On se met déjà dans l’ambiance à la fin de ce Deli, avec un extrait de leur nouvel album, "Skoki Mama".Attention, ça va remuer !!! On pourra aussi les applaudir le 25 mai au festival Couleur Jazz, le 1er juillet à Jazz à Vienne et le 25 juillet au Surgères Brass Festival.Ce midi, on prend à présent notre machine à remonter le temps, et on s’arrête en 1978.Pour notre invité, ce n’est pas n’importe quelle année. En 78, Emmanuel Bex débarque de sa Normandie natale dans le Sud-Ouest du batteur Bernard Lubat…Il intègre sa compagnie et participe à son festival Jazz à Uzeste.Et là, il voit Eddy Louiss et son orgue Hammond B3 !Tout le fascine d’emblée, le son bien sûr. Mais aussi ce qu’Eddy Louiss fait avec l’instrument, jusqu’où il l’emmène.Ce moment va changer sa vie ! Lui donner envie de se mettre lui-même à l’orgue Hammond, dont il va devenir l’un des ambassadeurs les plus audacieux et aventureux de la scène française. Alors Emmanuel Bex tenait à lui dire merci !Et quasiment dix ans après la disparition d’Eddy Louiss, il orchestre une grande fête musicale à sa mémoire, à travers tout un album, tout simplement ébouriffant, coloré, jouissif : « Eddy m’a dit », c’est le titre, vient de sortir sur le label Peewee !Un répertoire à géométrie variable, tellement Eddy Louiss a exploré différentes directions durant sa carrière…Une grande fiesta qui convoque du beau monde : Arnaud Dolmen, Michel Alibo, Fidel Fourneyron, Dominique Pifarély André Minvielle, Simon Goubert, et même deux fanfares.Ça nous en fait des choses à raconter avec Emmanuel Bex, notre invité !Mais pour commencer, focus sur un contrebassiste et chanteur israélien qui déchaîne les foules, et qu’on ne présente plus sur TSFJAZZ, tant on suit tous ses développements avec des étoiles dans les yeux, depuis vingt bonnes années…Il a trouvé la formule parfaite entre jazz, pop et groove du Moyen-Orient…Quelle joie de savoir qu’Avishai Cohen participera à notre TSFJAZZ Chantilly Festival le week-end du 5 juillet, en plein air, ça va être fabuleux, et dans le parc du Château.Avishai montera sur scène le dimanche, et présentera son nouvel album, Brightlight. Un répertoire aussi lumineux que son titre…La preuve, en ouverture de ce Deli !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Musiciens slash architectes !La première est batteuse, le second pianiste.Ensemble, Lada Obradovic et David Tixier bâtissent des paysages sonores envoûtants, et pleins de reliefs.Ils forment le Obradovic – Tixier Duo, et viennent de sortir leur sixième album ensemble, « Jiggled Juggler », un nouveau voyage sonore qui nous emmène jusqu’en Inde et en territoires électroniques.Ce « jongleur bousculé », est tout sauf bancal : ça fourmille d’idées, c’est percutant, les mélodies sont fortes…Et c’est un répertoire à découvrir en concert ce soir à Paris, au Studio de l’Ermitage.Et dès ce midi dans Deli Express ! Nous sommes le 7 avril...Et c’est un 7 avril, en 1938, que le trompettiste Freddie Hubbard a vu le jour. Il a été aux avant-postes de plusieurs évolutions du jazz, dès le début des années 60, et un compagnon de route de John Coltrane, Art Blakey, Herbie Hancock ou même Ornette Coleman.Freddie Hubbard sera l’un des héros du Disquaire Day qui se déroule ce samedi dans le monde entier, avec la parution, grâce au label Resonance Records, d’un live inédit capté en 1967 dans un club Bronx, le Blue Morocco.« On Fire », c’est son titre !On le retrouve en quintet, avec notamment Bennie Maupin au saxophone, et Kenny Barron au piano…Un live qui s’ouvre avec un classique de son répertoire : Crisis, que voici pour ouvrir ce Deli !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux musiciens, combien d’affinités ? L’harmoniciste Olivier Ker Ourio et le pianiste Manuel Rocheman en partagent tellement depuis une trentaine d’années, qu’ils ont arrêté de les compter !Ce qui est sûr, c’est qu’ils adorent jouer ensemble !Ils font même des concerts à deux. Comme ce fut le cas, en novembre 2023 au Petit Duc d’Aix en Provence, et au Hot Club de Lyon. Des concerts qu’ont été capté sur le vif, juste pour eux…Mais à la réécoute, il y avait tellement de chaleur et de plaisir de jouer à deux, qu’ils ont décidé de sortir tout un disque.Le résultat s’intitule Affinities, qui en plus de célébrer leur complicité, honore un autre disque, Affinity, que Bill Evans et Toots Thielemans ont sorti en 1978.Olivier, Manuel, c’est un plaisir de finir la semaine en votre compagnie.Ce midi, on se souvient aussi de Hugh Masekela, né un 4 avril en 1939.Figure historique du jazz en Afrique du Sud, Hugh Masekela avait fui son pays au début des années 60, d'abord pour Londres, puis New York, où il avait notamment connu un immense succès en 1968 avec le morceau Grazing in the Grass, qu'on va écouter en fin d'émission.Il avait regagné sa terre natale, à la fin de l'apartheid où il a vécu jusqu'à sa disparition en 2018, à 78 ans.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre invitée a un super pouvoir ! Mais oui, Clelya Abraham a le pouvoir d’écrire des morceaux à l’énergie solaire et aux mélodies toujours percutantes.Son deuxième album, Atacama, en apporte une preuve éclatante !Ce disque, c’est tout un voyage. Et pas seulement parce qu’il tire son nom d’un désert chilien !Non, la pianiste et chanteuse y mêle avec beaucoup de brio et de naturel, toutes ses influences : ses racines guadeloupéennes, son amour pour les groove africains et brésiliens, la soul ou même le maloya réunionnais.Ce disque, c’est un bijou, à découvrir en concert ce soir au New Morning à Paris, après-demain à La Passerelle Scène Nationale de Saint-Brieuc…Ou encore le 17 avril pour nos auditeurs cannois : Clelya Abraham se produira au Théâtre Alexandre III.En attendant, quelle joie de l’accueillir sur notre scène, en compagnie de Kevin Lazakis à la guitare, Samuel F’hima à la contrebasse et Ananda Brandao à la batterie. (c) Jérémy BruyèreEt pour ouvrir notre Deli, focus sur l’une des artistes qui va illuminer notre prochain TSFJAZZ Chantilly Festival, qui se tient cette année le samedi 5 et dimanche 6 juillet, dans le parc du château de Chantilly : Sophye Soliveau.Un talent éclatant ! Et un répertoire d’une richesse et d’une profondeur rare, pour une musicienne encore au début de son parcours !Elle est harpiste et chanteuse, et développe un univers entre jazz et soul…Certaines de ses chansons ont la force et l’évidence des grands classiques du genre.On est tellement heureux que Sophye Soliveau participe à notre festival. Elle montera sur scène, le dimanche 6.Et ce sera aussi classe que le morceau que voici sur TSFJAZZ : Leave !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nissa la bella ! On a plus que jamais envie d’entonner l'hymne du Pays niçois quand on lit la programmation du prochain Nice Jazz Fest !Du jeudi 24 au dimanche 27 juillet vont défiler pêle-mêle, les nouvelles reines de la soul Raye et Jorja Smith, les pointures John Scofield, Avishai Cohen, Christian McBride, Sullivan Fortner et China Moses.La nouvelle génération sera aussi représentée par Nubya Garcia, Monsieur Mâlâ, Tyreek McDole ou Ekep Nkwelle…Au total, 28 concerts sont attendus, répartis sur deux scènes, avec pour la première fois, l'ajout d'un quatrième concert jazz chaque soir, au Théâtre de Verdure.On explore tout le programme dans la seconde partie de notre Deli !Et pour ouvrir le bal, voici l’une des étoiles montantes de la scène suisse ! La pianiste Manon Mullener, est dingue de jazz et de musiques afro-cubaines.Deux influences qui s’entremêlent brillamment sur son nouvel album « Stories ».Les histoires en question sont des témoignages qu’elle a recueillis lors de ses différents voyages, à Cuba, New York ou au Mexique…Des parcours de vie qui lui ont inspiré ces nouvelles compositions, mais aussi la parution d’un livre qui porte le même titre, et réalisé avec la complicité de la dessinatrice Mathilde Ducrest.Manon Mullener présente tout demain soir au Duc des Lombards. Des concerts en entrée libre.La voici avant cela sur la scène du Deli Express en compagnie de Damian Nueva à la basse et Lucien Mullener à la batterie !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a pile un an, on recevait ici même l’un des nouveaux phénomènes du jazz afro-cubain : El Señor Rolando Luna, l’un des pianistes du groupe El Comité, et un compagnon de route d’Omara Portuondo et Ibrahim Maalouf.Rolando déborde tellement d’énergie et de créativité que le Duc des Lombards lui a confié une carte blanche de trois soirs, avec à chaque dois des formules différentes !Ça a commencé mercredi, avec un piano solo.Hier, Rolando Luna se produisait en trio.Et ce soir, on le retrouvera en duo avec le trompettiste Carlos Sarduy. Ça commence à 19h30, et c’est immanquable !Rolando Luna, que voici ici en compagnie du contrebassiste Felipe Cabrera et du batteur Lukmil Perez. C’était donc l’an passé sur la scène du Deli Express, avec Son a Emiliano !C’est la crise ! Les temps sont durs !Qu’à cela ne tienne ! Notre invité a décidé de sortir non pas un, mais deux albums, simultanément.Et je ne parle pas de disques bricolés dans une chambre, non ! Le guitariste Khalil Chahine a vu les choses en grand. Le premier, « Le Dé », est tout simplement luxuriant, et convoque l’Orchestre Philharmonique de Nice, sous la direction de la violoniste Line Kruse, et des solistes tels que l’harmoniciste Olivier Ker Ourio et le saxophoniste Eric Séva.Le second, « Espoir », puise sa force et son inspiration dans l’univers de la poésie. Khalil Chahine est parti de textes de Victor Hugo, Arthur Rimbaud ou Verlaine pour écrire ce répertoire où l’on croise des flûtes, un cor une clarinette.Un double répertoire monumental qu’il présente en concert mercredi au Bal Blomet à Paris, on sera le 2 avril.Et dès ce midi dans notre Deli Express... Te voici Khalil, en duo avec la violoniste Lien Kruse !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les vrais hommes pleurent ! Real Men Cry !A travers le titre de son nouvel album, David Linx l’affirme avec force : que le monde est beau quand la sensibilité prend le pouvoir !Alors pour ses soixante ans, il nous revient avec un recueil de douze chansons à la fois puissantes et délicates, toujours au plus près de ses émotions.Et il s’entoure une nouvelle fois d’une équipe de rêve ! La crème de la crème de la nouvelle scène française : Grégory Privat au piano, Chris Jennings à la contrebasse et Arnaud Dolmen à la batterie. Il y a même un nouveau venu dans son univers, le trompettiste Hermon Mehari.Ils sont venus, ils sont tous là, sur la scène du Deli Express où ils s’installent dans dix minutes, avant leur concert de ce soir au Studio de l’Ermitage, à Paris.« A tout de suite, les amis » ! (c) Jeff LudovicusLes vrais hommes pleurent ! Les vrais hommes débordent d’émotions ! En ont assez de devoir rentrer dans des petites cases !Depuis qu’il a déboulé sans prévenir sur la scène jazz, le saxophoniste Kamasi Washington, bâtit une œuvre unique, cosmique, monumentale, spirituelle et qui casse tous les cadres, tous les formats.Ses morceaux peuvent durer jusqu’à quinze minutes, son premier album était triple.On est comme des fous, car Kamasi Washington fait partie des musiciens qui vont se produire à notre TSFJAZZ Chantilly Festival qui se déroule cette année, le samedi 5 et le dimanche 6 juillet. Lui, montera sur scène le dimanche.Avant cela, on pourra aussi l'applaudir dans quelques jours, mardi, Salle Pleyel, à Paris.On est tellement impatients que le voici d’ores et déjà sur TSFJAZZ, avec The Garden Path ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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