DiscoverTransition(s), le podcast des "change makers"
Transition(s), le podcast des "change makers"
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Transition(s), le podcast des "change makers"

Author: Valère Corréard

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Description


Le podcast à l’écoute de celles et ceux qui s'engagent.


La transition écologique est différente pour chacun d’entre nous, elle n'a pas une seule définition. Selon son vécu, sa situation familiale, professionnelle, là où l’on vit.... Il y a des transitions. Et, souvent, un point commun à chaque transition, une sorte de basculement, un point de départ suite à un événement, une rencontre, une lecture…. 
Ce podcast va à la rencontre de citoyens qui ont basculé dans un nouveau monde à leur échelle, ils ont basculé pour faire leur transition de vie.
Au gré de ses rencontres, Valère Corréard, directeur de la rédaction du 1er média qui décrypte le durable d'aujourd'hui et de demain (ID - L'info Durable (https://www.linfodurable.fr)), rencontre ces gens qui sont et qui font. Ici l’écologie est entendue au sens large, environnement, société, relations sociales, solidarités, ...
Si vous avez vous-même vécu un basculement pour faire votre transition, contactez-nous : transitions@linfodurable.fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
40 Episodes
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Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard reçoit Céline Stein, directrice générale d’Octopus Energy France. éline Stein est une femme animée par ses passions. La danse et l’acting, qu’elle pratique en amateur, occupent une place importante dans son quotidien. À cela s’ajoute un fort engagement militant, qu’elle a concrétisé pendant plusieurs années au sein de Greenpeace, où elle tenait des stands, distribuait des tracts, participait à des actions de protestation et s’impliquait dans les tâches administratives.Mais la naissance de ses deux jeunes enfants a marqué un tournant. Avec moins de temps à consacrer au militantisme, Céline Stein a dû repenser ses priorités. Plutôt que de mettre ses engagements de côté, elle a trouvé un compromis : faire en sorte que son activité professionnelle incarne pleinement ses valeurs. "J’ai toujours eu envie d’exercer un métier qui ait un impact positif sur la société. C’est quelque chose qui compte vraiment pour moi, qui me donne une raison de me lever le matin."Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard a reçu Olivier Lluansi, professeur au CNAM, titulaire de la chaire pour une industrie décarbonée. Olivier Lluansi n'est pas du genre à être en retard. Homme pressé sans être pressant, il comprend vite où veut aller son intervieweur et plonge immédiatement dans le sujet qu'il maîtrise sans doute le mieux : l'industrie et les territoires. "Une usine est quelque part" lance-t-il, lui qui vient d'Albertville mais qui n'hésite pas à se ranger du côté des élites "déconnectées".Dans ce podcast pour ID, cet ancien élève de l'Ecole Polytechnique donne sa vision des transitions à venir avec un regard affuté, ancré dans le modèle économique d'une France qui cherche une boussole.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Thierry Philipponnat a été militant au sein de l'ONG Amnesty International alors qu'il était adolescent. A l'époque, Pinochet gouvernait le Chili, Brejnev l'Union Soviétique. "Je ne sais pas pourquoi, la torture, j'ai jamais trouvé ça terrible" lâche Thierry Philipponnat, le regard vif, très vite embué lorsqu'il évoque les "tortionnaires" qu'il innondait de lettres.Après cet engagement, l'économiste gardera en lui l'intérêt général, ce qu'il appelle "le respect des autres". Il passera ensuite 20 ans adans l'industrie financière, avant de participer à la création de l'ONG Finance Watch. Il assiste aujourd'hui à une forme de détricotage de règles européennes qui ne sont même pas encore entrées en vigueur. Mais sa phrase fétiche en dit long : "le pessimisme de l'intelligence et l'optimisme de la volonté"(Gramsci). Il le dit sans détour, "soit on se dit, tout ça est trop désespéré, soit je ne peux pas laisser faire et je repars au combat".Pour écouter l'intégralité de cet entretien, écoutez notre podcast Transition(s) ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode du podcast Transition(s), Valère Corréard est allé à la rencontre de Jean-François Feillet, directeur qualité et RSE qui a mis en place une démarche responsable de la pêche  au sein de la marque Phare d’Eckmühl, entité de la société mère Chancerelle. L'occasion d'évoquer les parcours de la transition au sein de l'entreprise, et les enjeux d'une filière encore en manque de repères.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien Pierre est né en 1981, mais il a déjà eu plusieurs vies. Après avoir grandit aux Sables-d'Olonnes toujours près d'un ballon ovale, il va faire une carrière d'international de rugby qui le mènera au titre de vice-champion du monde en 2011. Sa carrière prendra fin en 2018, mais à peine a-t-il raccroché les crampons qu'il se lance dans l'entrepreneuriat avec le label Fair Play For Planet. Si le sport a été sa passion, il a su gérer sa deuxième vie avec une autre passion : la nature et la protection de l'environnement, au service des clubs de sport.Le décor est planté.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ilfynn a 42 ans et 3 jeunes enfants, elle est fille d'entrepreneur (une "startup" du minitel dans les années 80'), petite fille d'un pommiculteur normand et d'une grand-mère qui avait l'amour du bon sens pratique et l'aversion du gaspillage dit-elle. Elle a fait son école primaire à San Francisco, entre 1986 et 1989, où elle a été sensibilisée aux problèmes environnementaux (l'eau en particulier était déjà un vrai sujet), et été éduquée dans la "can do" attitude propre aux américains.Après des études en école de commerce, elle a passé les 15 premières années de sa carrière dans l'agroalimentaire, dans des grands groupes comme Unilever, Campbell Soup, Fromageries Bel et Jacquet Brossard, à des fonctions marketing et commerciales.En 2019, elle a décidé de quitter le salariat pour monter youzd, une market place qui vend Meubles, électroménager, déco 100% circulaires Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard reçoit Florian Palluel, responsable de l'engagement de la marque de vêtements outdoor Picture depuis 2018. Il est également impliqué avec le collectif En Mode Climat, qui oeuvre, entre autres, pour plus de régulation dans l'industrie du textile.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard reçoit Bertrand Jaouen. Ostréiculteur à Carantec (Finistère), il a quitté il y a six ans son métier d’ingénieur environnement dans une association pour reprendre l’entreprise ostréicole familiale. Une reconversion que le trentenaire ne regrette pas une seconde.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard reçoit Pauline Dumont. Celle qui aime se définir comme "coach en écologie intérieure" accompagne les mères dans leur transition écologique. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard reçoit Etienne Perrin. Après des études de commerce, il se lance dans l’entrepreneuriat pour monter Zenest puis Swimi. Créée en septembre 2022, cette start-up commercialise des gourdes isothermes réutilisables. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard reçoit Karima Lebsir, architecte et co-fondatrice de Cycle Zéro, une application qui permet aux particuliers de récupérer gratuitement des matériaux de chantier. Une manière de lutter contre le gaspillage dans le secteur du BTP qui est le plus gros producteur de déchets en France et en Europe. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mylène Grellier est une femme de 35 ans, maman d’une petite fille de trois ans et en couple depuis très longtemps. Devenue écoanxieuse après avoir regardé une conférence de l'ingénieur Jean-Marc Jancovici, elle a décidé de quitter son job dans les ressources humaines pour co-fonder un programme d'accompagnement autour de l'écoanxiété. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Christophe Boccon Gibod a un point commun avec Emmanuel Macron, ils ont été dans la même promotion de l'ENA. Pour Jean-Christophe ce sera un un passage en cabinet ministériel sous Jean-Louis Borloo et direction le monde de la finance. Pourtant, la soif d'entreprendre est là et elle prendra le pas à la quarantaine. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ne vous fiez pas aux apparences, Tristan a bien l'air candide et doux, il l'est peut-être, ce qui n'enlève rien à son audace et sa détermination. Après un de ces parcours "idéal" côté formation, il s'associe à un autre jeune ambitieux (Martin Habfast) pour créer une société qui produira une alternative végétale à la viande de poulet : Umiami. Beurk ? Attendez d'avoir goûté....d'ici là découvrez ce jeune homme qui a plus de densité qu'on ne l'imaginerait. Son passé a commencé dans une famille d'éleveur et de responsables d'abattoirs. A six ans c'est décidé ! Il sera végétarien, le temps que ses parents le laissent faire alors qu'il est habité par cette souffrance animale que ses semblables semblent ignorer. Qu'importe il ira loin, et ses idées aussi. Voici quelques phrases issues de cet entretien, pour en savoir plus...écoutez !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un virage à 180 degrés qu'elle a pris en décidant de quitter ce géant de la cosmétique, mais le sens, l'envie, la cohérence n'étaient plus là. En changeant de job Alice a du s'adapter au quotidien, vivre avec moins et découvrir au passage la sobriété. Un  nouveau paradigme. Sur le plan professionnel elle s'engagera dans un nouveau projet, à taille humaine et plein d'idéaux : Tudigo, une plateforme de financement participatif.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcastTransition(s) Valère Corréard reçoit Justine Humbert, responsable du service biodiversité et ingrédients durables pour L’Occitane en Provence. Avant de rejoindre un grand groupe, elle a fait ses armes dans l’humanitaire. Rencontre.   Justine Humbert a 32 ans, elle a une fille de 3 ans ; elle admet volontiers avoir eu une jeunesse « plutôt confortable ». C’est d’ailleurs pour rendre la monnaie de la pièce que l’humanitaire est une évidence pour Justine pendant ses études. Elle parcourt le monde, travaille pour des ONG et finit par entrer dans un grand groupe. Aujourd’hui elle est responsable du service biodiversité et ingrédients durables pour L’Occitane en Provence. Loin des clichés, elle a découvert que si un projet qui a du sens a de la valeur pour l’entreprise, elle dispose de moyens d’action inédits, elle peut alors faire bouger ces lignes si tendues pour les populations locales du Sahel qui ont la chance d’avoir de l’ « or blanc » à proximité. Le Karité, produit incontournable des cosmétiques tournées vers le naturel est au cœur d’une filière à construire pour un « pacte gagnant-gagnant » avec les femmes qui en font leur travail.    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En octobre 1992, alors que le sida fait des ravages, Luc Barruet décide de lancer Solidarité Sida pour aider quelques malades. Etudiant à cette époque, le jeune homme âgé de 25 ans s’investit à temps plein de manière bénévole pendant près de sept ans.  Un engagement qu’il poursuit aujourd’hui à la tête de l’association. Alors que depuis plusieurs années la lutte contre le sida perd du terrain, au profit d’autres causes comme le climat, Solidarité Sida continue à mobiliser une communauté jeune. “Avant d’être militant sida, nous avons été militant jeune. Ce parcours nous a amenés à bâtir un projet au milieu duquel siège la jeunesse”, reconnait Luc Barruet.  De la vente de rubans rouges dans les concerts et les festivals, à des opérations de prévention auprès du public : plusieurs actions sont proposées aux bénévoles pour s’impliquer à l’année. ID, en partenariat avec la Macif, fait le point dans ce nouvel épisode de Transitions. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marie a été confinée comme nous tous en mars 2020. Elle passait chaque jour devant un laboratoire qui faisait du pain, une vitrine toute simple, mais bien plus évidemment derrière. Sa rencontre avec ce boulanger passionné de naturel et de levain lui a fait prendre un nouveau chemin : elle allait écrire un livre sur le pain ! Son objectif : transmettre la manière de faire du pain avec de la farine et de l'eau sans que ce soit trop compliqué, une histoire de fermentation. Rencontre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Camille Romain-des Boscs aimerait bien un jour que son travail n'ait plus de sens, que tout aille mieux, mais elle n'est pas dupe, il y a tant de chemin a parcourir pour les enfants. Elle dirige Vision du Monde, une ONG d'aide à l'enfance, qui imagine un monde dans lequel chaque enfant aurait la chance de pouvoir vivre pleinement sa vie : bien grandir, manger à sa faim, boire de l'eau potable, être soigné mais aussi choisir ce qu'il pourra faire quand il sera adulte. Camille se confie au micro ID sur son enfance bien entourée avec tout l'amour familial nécessaire pour bien grandir. C'est assez jeune, adolescente, que l'engagement a commencé à prendre forme dans son esprit, notamment lors d'un voyage en Russie. Avant de s'engager pour une ONG, c'est dans les ambassades qu'elle a commencé à travailler, mais elle a vite été dégoûtée de "l'esprit de cour" avec un sentiment d'imposture. Elle a donc repris ses études pour changer de chemin, et faire sa part. Rencontre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau numéro du podcast Transition(s), Valère Corréard reçoit Brian Ejarque, 37 ans, il tient aujourd’hui une chaîne YouTube, L’ArchiPelle, qui compte quelque 158 000 abonnés sur laquelle il raconte son quotidien en quasi-totale autonomie. Il est aussi l’auteur de l’ouvrage “Oser quitter la ville ! De citadin à néo-autonomiste, comment j’ai composté mon ancienne vie”, aux éditions Eugen Ulmer Ed et paru en 2021.   Aujourd'hui, il ne regrette rien. Sa vie n'est évidemment plus la même mais c'est ce qu'il voulait alors que la pression financière en ville devenait insupoportable. “En 2017, je suis parti de la région parisienne après plusieurs années de réflexion. J’ai travaillé pendant une dizaine d’année en tant que prestataire pour une grande société d’informatique dans laquelle je gravitais autour du domaine de l’événementiel. Contrairement à la croyance selon laquelle l’expérience me permettrait de mieux gagner ma vie, au bout de dix ans finalement, j’étais dans le rouge dès le début du mois. Je n’avais pas pour autant l’impression de vivre de manière trop excentrique. La semaine où l’on m’a annoncé que l’on ne pourrait pas m’augmenter - alors que je demandais 50 euros net par mois, ce qui me parait dérisoire par rapport au service rendu -, les médias ont aussi annoncé que dans ma boîte, les actionnaires ne s’étaient jamais autant enrichis...   J’ai eu plusieurs déclics qui sont arrivés en même temps, me disant qu’il fallait partir.”  J’ai donc eu plusieurs déclics qui sont arrivés en même temps, me disant qu’il fallait partir. D’une part, parce que mon lieu de vie en région parisienne, où l’offre et la demande sont très fortes, me coûtait cher, et de l’autre parce que j’achetais des produits, de la nourriture emballées hors de prix, alors que je ne connaissais même pas la base : comment fait-on pousser cela ? Dans quel arbre ?   J’ai donc décidé de “revenir en arrière” et de reprendre en main certains aspects de ma vie : faire pousser des fruits, avoir de quoi me nourrir, des aliments de qualité... Dans le même temps, je me suis aussi réapproprié mon énergie, j’ai appris à gérer mon eau. Aujourd’hui, je consomme quatre fois moins d’électricité et j’utilise 30 ou 35 litres d’eau maximum chaque jour...”  Pour participer au podcast Transition(s), contactez-nous : transitions(@)linfodurable.fHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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