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Author: Madame Figaro

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Artistes, écrivains, chanteurs, chanteuses ou actrices, ils nous racontent leurs souvenirs et nous confient leur histoire. Toutes les semaines, Joseph Ghosn, rédacteur en chef adjoint de Madame Figaro, part à la rencontre d’une personnalité issue du monde du cinéma, de la culture, de la mode et lui propose de rebondir sur ses actualités. Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
45 Episodes
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Invitée dans l’émission « Conversations », Mélanie Laurent revient sur la genèse et le tournage de son 8e long-métrage en tant que réalisatrice. La Parisienne sort sur Prime Vidéo le film Libre sur l’histoire vraie du braqueur Bruno Sulak, incarné par Lucas Bravo. Elle raconte à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, avoir eu envie de revenir sur ce destin étonnant après avoir lu le livre Sulak de Philippe Jaenada. Elle n’avait jamais entendu parler de ce braqueur gentleman qui a défrayé la chronique dans les années 1980 : « Il était au cœur des médias. Mais la vraie question, presque sociétale, que je me pose quand je commence à vouloir faire ce film est : “Pourquoi l’histoire oublie ceux qui n’ont tué personne ? Pourquoi en France on idolâtre nos bourreaux et nos mafieux ?” ».L’actrice césarisée pour son rôle dans Je vais bien, ne t'en fais pas explique aussi avoir souhaité donner une plus grande place aux femmes pour sortir des clichés de ce genre cinématographique : « En fait, le film de braquage (...) c’était vraiment un prétexte pour raconter cette magnifique histoire d’amour et la place de cette femme dans sa vie à lui ». Et de compléter en expliquant qu’elle appréciait «de rendre le film de braquage le plus féminin possible ».Elle nous dévoile aussi une photo prise avec Lou de Laâge et Joséphine Japy prise sur le tournage de son premier film Respire. L’occasion de revenir sur son rapport à la réalisation : « Je pourrais raconter ma vie en fonction des films que je réalise ». Multipliant les projets en tant qu’actrice et réalisatrice, elle révèle ainsi tourner dans le premier film de Joséphine Japy, finir de tourner une série avec Benoît Magimel, écrire une série et avoir fini la première version de son prochain film en tant que réalisatrice… De quoi nous faire patienter.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Melvil Poupaud était l’invité de l’émission « Conversations » à l’occasion de la sortie au cinéma du nouveau film de Dominique Baumard, Les Règles de l’art. Il y interprète Yonathan, un expert en montres de luxe qui s’associe à Éric (Sofiane Zermani), un receleur et escroc. Lorsque Jo (Steve Tientcheu), cambrioleur, répond à une commande d’Éric en volant cinq peintures du Musée d’art moderne de Paris, tout s’accélère. Inspiré d’une histoire vraie, ce film offre un savant « équilibre entre comédie, film de gangsters, polar, film de braquage, film sur l’amitié (...) », explique l’acteur à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. Et de compléter : « Il y a aussi une réflexion sur l’art, sur ce que c’est que d’avoir un tableau ».Lors de l’émission, l’acteur et musicien est aussi revenu sur son rôle dans la série Ovni(s)  diffusée sur Canal +. « Je suis fan d’Ovni(s), je trouve que c’est un de mes meilleurs rôles, et quand on vient me parler de cette série, je suis toujours content parce que je sais que c’est profond. » En tournage d’une autre série actuellement, l’acteur a aussi évoqué un projet annexe à son métier : il a récemment rouvert un célèbre bar avec des amis dans le 14e arrondissement de Paris.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après avoir séduit le grand public dans le rôle du psy de la série En thérapie, Frédéric Pierrot est à nouveau irrésistible dans Les Musiciens, film choral et musical de Grégory Magne. Il y interprète un compositeur taiseux et solitaire qu’une héritière sollicite pour créer l’harmonie dans un quatuor de Stradivarius. Lors de l’émission « Conversations », l’acteur a expliqué à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, ce qui l’avait séduit dans la proposition de Grégory Magne : « Je n’ai pas dit par hasard, à un moment donné du film, que la musique était pour moi une manière d’échapper aux pesanteurs du langage. Je trouve qu’on est dans une période extrêmement délicate sur le plan du langage. (...) Il y a quelque chose qui s’est perdu. Il faut lire des beaux textes en ce moment. Des grands auteurs ».Pour entrer dans la peau de son personnage, il précise s’être inspiré d’un grand musicien et compositeur, Jean Françaix, qu’il rencontrait alors qu’il était technicien sur les tournages : « J’étais machiniste à l’époque, et je faisais un travelling d’un orchestre de Jean-Claude Casadesus qui jouait Françaix. Et il était là. »Et l’acteur d’évoquer aussi son approche du métier de comédien lors de cette interview. « Un film, c’est un travail collectif. Et les scènes, c’est quelque chose qu’on invente collectivement. Il faut absolument, à un moment donné, lâcher prise. On ne peut pas arriver avec une idée certaine de ce qu’il faut faire, ce n’est pas vrai. Il faut que ça se fasse avec les autres. Et ça c’est merveilleux. » L’acteur qui a joué des rôles particulièrement variés, notamment dans les films de François Ozon, Agnès Jaoui, Roschdy Zem ou Valérie Donzelli, est également revenu sur leur impact sur sa personnalité : « C’est curieux parce qu’on n’est aucun des personnages que l’on incarne. Et cependant, on l’est tout de même un peu, et on le reste ad vitam ». Et de compléter : « Je n’ai pas fait la guerre d’Espagne, mais j’ai fait un film dessus. (...) Et de temps en temps, quand j’entends parler de la guerre d’Espagne, je suis comme un vétéran qui l’aurait faite. » Il dévoile aussi son secret pour résister au chaos du monde : « Marcher, longtemps. Avec ma compagne, on part un mois, avec juste un sac ».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Il y a sans doute encore des fragments de punk en moi, effectivement. Dans la transgression, dans la différence, dans le fait d’oser tout simplement », explique Jean-Charles Castelbajac à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, dans « Conversations ». Le créateur était invité à l’occasion de ses multiples actualités. En effet, il collabore à l’exposition « Le Style Snoopy » pour célébrer le 75e anniversaire des Peanuts, son tailleur Bambi de la collection « Go ! Go ! Diva » est exposé au musée du Louvre pour « Louvre Couture. Objets d’art, objets de mode » et il prépare sa rétrospective. Cette émission était l’occasion d’évoquer son début de carrière : « Très tôt, j’ai commencé à conquérir Paris parce que je venais de province, de Limoges. J’ai été appelé par les guitares des Yardbirds à Paris, à Londres. Et tout de suite, j’ai eu la chance de connaître un monde de création, un monde qui était une énergie... » Sa jeunesse dans le Limousin a été une source d’inspiration : « J’aimais ces terres. Je me souviens des premières photos pour les magazines américains, j’avais un mouton sur les épaules. Je revendiquais cet attachement à la terre, notamment dans les vêtements de travail, les uniformes, la tradition du feu ».Au cours de cet entretien, le styliste est aussi revenu sur son travail avec le diocèse de Paris : il avait conçu la paramentique portée par les officiants de la cérémonie de réouverture de l’église de Notre-Dame de Paris. « L’accomplissement de 40 années de création avec l’Église (...) sous les yeux de 1,3 milliard de personnes ». Le styliste avait débuté sa collaboration avec le comité d’art sacré en 1987, en concevant des « vêtements liturgiques » pour les messes célébrées dans le milieu carcéral, puis avait créé les habits portés par le pape Jean-Paul II pour les Journées mondiales de la jeunesse de 1997. « La couleur, c’est ce qu’avait dit Jean-Paul II, est un ciment universel. C’est un ciment de la foi, mais c’est surtout un ciment de paix », explique-t-il.Pour le créateur, l’émission a aussi été l’occasion d’évoquer sa conception du style : « Je crois que la mode est le plus grand langage universel aujourd’hui. C’est pour ça que tout le monde converge (...) : la mode devient de l’art à partir du moment où elle dépasse sa dimension fonctionnelle. » Un entretien à découvrir sur notre site.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« C’est une femme abîmée, qui essaie de retrouver ses marques », explique Zita Hanrot à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, à propos du personnage qu’elle incarne dans « Aux jours qui viennent, réalisé par Nathalie Najem. Sur le canapé de l’émission « Conversations », elle évoque ce nouveau film qui porte sur l’emprise et les violences conjugales. Elle y interprète le rôle de Laura, trentenaire en reconstruction après sa séparation avec Joachim (Bastien Bouillon) et élevant seule sa fille. Lorsque Shirine (Alexia Chardard), la nouvelle compagne de Joachim, a un accident, les deux femmes vont se rapprocher. « Ce qui m’a plu et ce que j’ai encore plus remarqué en voyant le film, c’est cette solidarité qui se met en place entre ces femmes. Lorsque nous le présentions en avant-première, Nathalie Najem parlait d’une levée de boucliers ensemble », souligne l’actrice.Celle qui avait remporté le César du meilleur espoir féminin en 2016 pour son rôle dans Fatima raconte les origines de son goût pour son métier : c’est en partant à dix-neuf ans à New York chez sa meilleure amie qu’elle a « pris la décision d’œuvrer » pour sa passion et de « passer les concours des écoles nationales et du Conservatoire ». Alors qu’elle avait déjà réalisé un court-métrage intitulé La Maman des poissons, elle révèle aujourd’hui « écrire un long-métrage ». Une nouvelle étape dans son parcours cinématographique.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Quand je voudrai me souvenir de ce que j’étais de mes 16 à mes 26 ans, je pourrai réécouter cet album », explique Yoa à propos La Favorite. Invitée de l’émission « Conversations », animée par Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, celle qui a été élue Révélation scène aux Victoires de la Musique 2025 a sorti ce premier album en début d’année. « Il a pour vocation de présenter l’artiste qu’il y a derrière. (...) C’est en étant très intime dans ses récits qu’on arrive à toucher beaucoup de monde ».Au cours de cette discussion, la chanteuse qui avait déjà publié deux EP, a évoqué son processus d’écriture : « J’ai une écriture très instinctive. Souvent, je garde les premiers jets, parce que j’ai l’impression que c’est ce qui est le plus sincère. »Après l’Olympia cette année, Yoa interprétera son album à la salle Pleyel en janvier 2026. Elle se projette aussi dans le prochain chapitre de sa carrière, et confie beaucoup écrire en ce moment. « C’est drôle, car mon album se termine avec une phrase qui se répète en boucle, et qui dit “Je n’ai pas écrit la suite” », s’amuse-t-elle. Une promesse qui en dit long sur son avenir musical.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est la révélation de l’année, propulsée par le succès de Culte, série Prime Video sur la fabrication de la téléréalité « Loft Story » où elle incarnait Loana. Au Festival de Cannes, Marie Colomb a reçu le trophée Chopard de la révélation féminine, remis des mains d’Angelina Jolie. Au Festival Canneseries, elle a été lauréate du prix Madame Figaro Rising Star Award. Lors de l’émission « Conversations », au micro de Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, l’actrice est revenue sur le rôle qui lui a permis d’exploser : « J’ai eu la sensation, même si j’ai eu d’autres très beaux rôles que j’ai aimés, d’avoir pu mettre tout mon cœur dedans. (...) »Au cours de cet entretien, l’actrice qui a fêté ses 30 ans au mois de juillet, explique l’impact de l’âge sur sa carrière : « Dans nos métiers, le rapport à l’âge est compliqué. (...) Récemment, j’ai fait un casting où je pouvais intéresser, et je pense que j’aurais eu vraiment mes chances quelques années plus tôt. Mais là, l’âge est vraiment le problème. Et carrément, j’ai fait un casting avec une maquilleuse qui me maquillait pour essayer de me rendre la plus jeune possible », raconte-t-elle. Celle qui a été élevée dans la musique par un père jazzman est ensuite prise d’émotion à l’écoute d’un morceau de Miles Davis.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« J’ai le syndrome de l’imposteur en permanence. J’ai des bouffées d’angoisse. Franchement, en ce moment, ce n’est pas génial d’être dans ma peau », confie Elsa Wolinski à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. Invitée de « Conversations », la journaliste, chroniqueuse et auteure évoque avec sincérité ses « vagues à l’âme ». « Ça fait longtemps que ça me fait ça. J’ai des périodes de mieux. Mais quand tout à coup, la faille s’ouvre, c’est difficile d’en sortir », raconte-t-elle.Celle qui traite de la ménopause sans tabou dans son podcast Allez j’ose, se dit « pleine d’injonctions », contrairement à ses deux filles. « Mes enfants sont ma plus grande réussite. J’ai fait des filles qui sont bien dans leur peau, qui n’en ont rien à faire de ce que l’on peut penser, de comment elles s’habillent, de comment elles sont, de combien elles pèsent. Elles sont heureuses de vivre ».Fille du dessinateur de presse Georges Wolinski, victime en 2015 de l’attentat contre Charlie Hebdo, et de la journaliste Maryse Wolinski, décédée d’un cancer en 2021, l’auteure estime parfois que cet « héritage l’étouffe » : « Quand on a des parents qui ont écrit, qui ont dessiné, qui ont existé à travers leurs œuvres, on se sent le devoir de continuer à les faire exister, parce que je sais que c’est ça qu’il faudrait faire. Mais je n’y arrive pas. » De son père, elle a hérité son « engagement » : « Mon intérêt pour l’être humain, mes combats contre les violences faites aux femmes et les violences intrafamiliales, ça vient de lui ». Des convictions qu’elle partage notamment à travers son podcast, ses chroniques et ses réseaux sociaux.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après six années d’absence discographique depuis Panorama, Vincent Delerm est de retour avec un huitième album intitulé La Fresque. Un nom évocateur, lié à la multitude de figures — allant de ses proches à des peintres, artistes, cinéastes, personnages — ayant forgé son inspiration, à l’image de la pochette de l’album où apparaissent de nombreuses silhouettes. Une manière, selon lui, de « célébrer toutes ces personnes ensemble ». « L’image mentale que j’avais sur ce disque était une sorte de grande fête dans un champ avant l’été, où on voyait tous les gens arriver d’un peu partout. Une fête qui réunissait tous les gens d’une vie. J’imaginais la personne qui m’a appris à jouer du piano en train de discuter avec Colombo, et ainsi de suite », confie-t-il à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, sur le canapé de l’émission « Conversations ».Il se confie sur son évolution depuis ses débuts en 2002, et son travail « pour transmettre quelque chose d’intime et émotionnel ». « L’enjeu c’est d’être réglo, aligné sur qui on est, de ne pas inventer une vie qu’on n’a pas », détaille-t-il. Sans être consensuel non plus : « Mettre tout le monde d’accord, c’est un talent que je n’ai pas », avoue-t-il.Le chanteur qui avait écrit la pièce Le Fait d’habiter Bagnolet raconte également son goût pour la scène, qui représente ce qu’il « préfère au-delà de tout » : « Pendant longtemps, quand j’ai commencé, je me disais que je pourrais faire des spectacles sans sortir d’album, mais qui contiendraient des chansons. L’idée d’être du côté du théâtre me plaisait ». Un attrait pour la représentation qu’il s’apprête à retrouver, puisqu’il prépare un nouveau spectacle.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elle a repris des titres de Dalida, Ben Mazué ou encore Orelsan dans son EP Caroussel. C’est aujourd’hui pour les compositions de son premier album Fille lacrymale que Styleto est invitée de l’émission « Conversations ». Celle qui organisait des concerts pour sa famille à « chaque repas de Noël » lorsqu’elle était enfant a commencé sa carrière de chanteuse en publiant ses reprises sur les réseaux sociaux, où elle dévoilait déjà des vidéos de sa vie quotidienne. « Quand j’ai commencé la chanson, j’ai fait le choix de ne pas supprimer tout ce que j’avais fait avant parce que je n’ai pas du tout honte de mon parcours. C’est une manière très chouette de garder un lien avec les gens » raconte-t-elle à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro.Alors qu’elle « adore les reprises », l’auteure et interprète a pourtant éprouvé l’envie de se livrer à travers ses propres compositions. Sa chanson Fier de ta mère, évoque par exemple son hésitation à avoir des enfants, un sujet qu’elle aborde souvent avec ses proches : « J’ai souvent cette discussion avec mes amis, filles ou garçons. Je ne connais pas d’autres chansons qui en parlent ».Après un concert à l’Olympia complet, Styleto poursuit sa tournée en France et se produira le 5 décembre au Zénith de Paris. Écrivant actuellement de nouveaux titres, elle dit avoir « hâte de faire un autre album pour encore plus apprendre à se connaître ». Une carrière prometteuse se dessine.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée de l’émission «Conversations», Bérénice Bejo est à l’affiche d’Another End de Piero Messina. Ancré dans une réalité futuriste où la conscience des morts peut brièvement habiter d’autres corps, le film met en scène un homme qui ne réussit pas à faire le deuil de sa bien-aimée décédée dans un accident. Il se tourne alors vers cette technologie qui lui permet de retrouver l’âme de son amour dans une autre femme. Bérénice Bejo interprète la sœur du héros, celle qui lui conseille l’usage de ce procédé. «J’avais envie de faire du cinéma de genre», explique-t-elle à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. «Quand Piero Messina m’a proposé ce film, je le trouvais poétique, plein d’amour, plein de mélancolie aussi. C’est un film qui parle de deuil, de secrets, de souvenirs, de ce dont on se souvient des gens qui sont partis».Au cours de cet entretien, celle qui avait obtenu le César de la meilleure actrice pour The Artist  a évoqué ses futurs projets : une série «qui (lui) tient vraiment à cœur», la reprise de son rôle dans Sous la Seine 2, et sur le plan personnel, «des vacances en famille». Interrogée sur sa façon d’accueillir le passage des ans, elle confie avoir eu un peu de mal à passer le cap des 40 ans, mais se dit plus sereine à l’approche de la cinquantaine. «Je n’en reviens pas d’être déjà à la moitié de ma vie», fait-elle mine de réaliser en direct. Et affirme être prête à écrire un nouveau chapitre avec son époux, Michel Hazanavicius, dans un avenir proche quand les enfants auront quitté le nid familial.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Harilay Rabenjamina, est l’invité de «Conversations Art» au micro de Joseph Ghosn à l’occasion de l’exposition collective « Férocité à domicile » à la Fondation Pernod Ricard. Il a créé, pour l’événement, une installation qui représente un sujet qu’il étudie beaucoup dans son travail : le lien avec l’espace domestique.  Et plus particulièrement la relation spécifique que chacun entretien avec sa mère. Il ne s’agit pas ici de maternité, c’est-à-dire des sentiments d’une mère à l’égard de son enfant, mais bien des sentiments d’un enfant, y compris adulte, à l’égard de sa mère.L’exposition présente les œuvres de sept artistes – Chantal Akerman, Tolia Astakhishvili (avec Zurab Astakhishvili, Simon Lässig et Maka Sanadze, Cudelice Brazelton IV, Rosa Joly, Rosemarie Trockel, Harilay Rabenjamina et explore l’ambivalence du lien maternel. Avec des approches sensibles et contrastés, ces artistes appréhendent intimement la manière dont cette relation complexe construit notre présence au monde.Harilay nous parle de son désir premier : le cinéma. «Je travaille à la post-production d’un court métrage que je viens de réaliser, c’est un scénario que j’ai écrit et que j’ai développé avec des financements cinéma ». Parmi les actrices nous retrouverons Joana Preiss et Elodie Frégé et toujours dans son univers créatif «Ça se passe dans une maison, principalement donc un intérieur domestique la encore ».L’exposition «Férocité à domicile» est à découvrir à la Fondation Pernod Ricard jusqu’au 19 juillet 2025. https://www.fondation-pernod-ricard.com/fr/expo/ferocite-domicileConversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée de l’émission «Conversations», Anamaria Vartolomei est au casting du film de science-fiction Mickey 17 avec Robert Pattinson, sorti en salles en mars dernier. Elle confie à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, qu’elle a été choisie pour ce rôle sans passer les castings. «J’ai eu un syndrome de l’imposteur, je doutais de ma légitimité sur le projet», explique-t-elle. Et elle complète : «C’est la première fois que je tournais en anglais, et Bong Joon-ho, le réalisateur, est un génie du cinéma. J’avais peur de le décevoir». Puis, à propos du tournage, voilà deux ans, aux côtés de Robert Pattinson, elle affirme avoir été «impressionnée» par l’acteur : «C’est un bosseur, quelqu’un de très créatif et en même temps assez introverti».L’actrice qui a obtenu le César de la révélation féminine en 2022 pour le rôle d’Anne Duchesne dans l’adaptation de L’Événement d’Annie Ernaux par Audrey Diwan, revient également sur ce moment «joyeux» de sa carrière. «L’Événement a été un point de bascule très important pour moi. Ça a été mon premier rôle fort après My Little Princess», explique-t-elle. «Je me sens très privilégiée d’avoir eu ce César. J’ai ressenti une petite pression après parce que je voulais montrer aux gens qui ont voté pour moi que je peux être encore meilleure à la suite de L’Événement ».Après ses rôles dans Maria et Le Comte de Monte-Cristo en 2024 puis dans Mickey 17 en mars 2025, Anamaria Vartolomei sera bientôt à l’affiche de la série Merteuil de Jessica Palud et du film L’Intérêt d’Adam de Laura Wandel. Elle conclut : «Ma plus grande crainte est que ça s’arrête, alors j’ai envie qu’on me souhaite que ça continue».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité de «Conversations», l’auteur et éditeur Adrien Bosc, fondateur des Éditions du sous-sol, a sorti un nouveau roman L’Invention de Tristan, publié chez Stock. «On est à ce moment précis de schizophrénie éditoriale, où on présente une rentrée littéraire à des libraires alors qu’on est en mai pour des livres qui paraîtront en août, et où je parle de mon propre livre qui vient de sortir dans des librairies. (...) Je me retrouve aussi fragile et à l’écoute de mon éditeur que mes auteurs le sont», explique-t-il à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. À la fois enquête, roman et essai , son livre raconte l’histoire de l’écrivain américain Tristan Egolf, à travers les yeux d’un journaliste du New Yorker souhaitant dresser son portrait. La lecture du Seigneur des porcheries, l’un des trois livres d’Egolf, a provoqué une «déflagration» chez Adrien Bosc. «Plus que la fascination pour un personnage trouble, un peu génial, un peu maudit (...) sa vie se situe à un endroit dont la frontière entre les faits et la vérité est complètement effacée (...)», raconte-t-il.«Tester ce qu’il y a d’inventif dans le réel»Au cours de cet entretien, Adrien Bosc est également revenu sur sa carrière d’écrivain, et le succès de son premier roman Constellation, qui «parlait de ce vol tragique en 1949 en direction des États-Unis et de New York (...)» : l’avion s’était écrasé sur une île. Et l’auteur de dresser un parallèle entre cet ouvrage récompensé du Grand Prix du roman de l’Académie française et son nouveau roman qui lui ont permis de «tester ce qu’il y a d’inventif dans le réel». Celui qui a grandi dans les Alpilles parle aussi de cette solitude du métier d’écrivain : «Quand on écrit, on manque le présent aux autres, (...) alors j’essaie de faire durer au maximum le présent véritable.»Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
«Quand je l’ai composé, je me disais que j’avais envie de danser», explique Calypso Valois à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, à propos de son album «Apocalypso». Dans «Conversations», elle évoque son état d’esprit lorsqu’elle a écrit ses nouvelles chansons. «Un peu volontairement, j’ai fait beaucoup de morceaux assez dansants. Après, il est vrai qu’au niveau de l’écriture, j’ai une part plus mélancolique, plus sombre. Donc je me dis que ça contrebalance bien». L’auteure-compositrice-interprète confie avoir puisé son inspiration dans «les années 70», mais aussi «les années 80» et dans «certaines choses des années 90». «Parfois, j’ai l’impression que je ne suis pas née à la bonne époque» affirme-t-elle. «Artistiquement, je trouve qu’il y avait une grande liberté et une esthétique très forte.»À propos de ce décalage qu’elle ressent, Calypso Valois parle de «penchant nostalgique» à l’égard «d’époques qu’elle n’a pas connues», comme le XIXe siècle, qui réunit ses auteurs et compositeurs favoris. «J’aurais aimé vivre au XIXe siècle pour être contemporaine de Chopin, Barbey d’Aurevilly, toutes les personnes que j’admire au plus haut point», développe-t-elle.Au cours de cet entretien, Calypso Valois a également évoqué sa prochaine actualité : elle a composé la bande originale du second long-métrage de Caroline Deruas. «C’était une expérience incroyable (...) J’ai exploré plein de façons différentes sur un même film de faire de la musique» raconte-t-elle.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée de l’émission «Conversations», l’écrivaine revient sur l’affaire des viols de Mazan dans La Chair des autres, publié aux éditions Albin Michel.Dans l’émission « Conversations », elle explique à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, le point de départ accidentel de l’écriture de ce nouveau livre. « C’était à l’origine pour écrire des articles pour Paris Match. (...) Et c’est une fois que le procès s’est terminé que je me suis aperçue, un peu comme un second accident, que je ne pouvais pas m’arrêter là, qu’il fallait que j’écrive plus. (...) Et là, l’urgence de ce livre s’est invitée. » Rédiger un texte de non-fiction sur un fait de société n’est pas chose nouvelle pour l’auteure qui avait déjà publié Enfants perdus, une enquête immersive à la brigade des mineurs de Paris. « J’avais de lointains souvenirs de cette urgence de la non-fiction, de faire corps avec un sujet qui nous ébranle et dont on a la sensation qu’il faut essayer de l’encercler, d’y rentrer, de le pénétrer. »Inspirée par le traitement du fait divers effectué par Emmanuel Carrère dans L’Adversaire et citant le Rapport sur la banalité du mal d’Hannah Arendt, l’auteure analyse dans ce nouveau texte la manière dont ce  «fait divers a éclaté un peu de sa structure pour devenir un fait de société ». Celle qui dit avoir une « fascination bonne ou problématique pour les faits divers depuis l’enfance », examine alors cette affaire à travers sa propre histoire, en mêlant à son enquête des anecdotes personnelles. « Une manière de faire corps avec cette affaire, de faire corps aussi avec, parce que ça s’appelle La Chair des autres, ce que cette femme nous a donné à tous. » Au cours de cette émission, celle qui avait reçu le Grand Prix de l’Héroïne Madame Figaro pour Gabriële, a également évoqué son rapport à la langue. « Dans un mot il y a mille mondes. Il y a ce qu’il nous dit immédiatement, parfois on se trompe, mais c’est beau de penser qu’il puisse dire autre chose. (...) Un mot est aussi une présence physique, comme une petite œuvre d’art ».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée de l’émission «Conversations» Camélia Jordana est à l’affiche de Reine Mère, drame social et familial de Manele Labidi sorti le 12 mars. L’actrice y interprète Amel, une mère de famille immigrée qui, vivant avec son mari et leurs deux filles, risque de perdre son appartement des beaux quartiers et d’être envoyée dans une cité dortoir. Formant, à l’écran, un couple qu’elle dit «mythique»  avec Sofiane Zermani, elle profitait du film pour évoquer sa vision de l’amour au micro de Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. «J’aime la pluralité, la grande liberté (...) Ce qui m’intéresse, c’est la légèreté (...) La vie que je mène aujourd’hui ne me donne pas envie d’enlever des choses dans lesquelles je mets beaucoup d’énergie et d’efforts, pour les investir dans en couple». Pourtant, elle révèle être une «amoureuse de l’amour», et avoir un «cœur d’artichaut». «Quand je vois les angles morts de l’histoire de la personne en face de moi, ça m’envahit de tendresse, de compassion», ajoute-t-elle. Au cours de l’émission, la chanteuse a aussi évoqué la sortie de son nouveau titre intitulé « Win Rak » et chanté en trois langues, le français, l’espagnol et l’arabe. En l’écoutant sur le plateau, elle expliquait  «le chanter déjà différemment» et «(l)’interpréter un peu plus». «J’entends la version studio et comme je l’ai sortie le 10 janvier, je l’ai chantée dans plein d’endroits et de conditions différentes» raconte-t-elle. Puis, elle a décrit le lien entre solitude et exercice de la musique : «J’adore la solitude (...) L’intimité qu’on a à la musique, à cette chose invisible, ça nous traverse, nous arrête, nous immobilise, nous anime (...) nous fait penser, réagir, ça accompagne la vie ». Un entretien à retrouver sur notre site.Ana Girardot, Charlotte Cardin, Violette d’Urso, Arthur Teboul… retrouvez leurs discussions avec Joseph Ghosn dans « Conversations » un podcast de Madame Figaro écrit par Joseph Ghosn, produit par Figaro TV et disponible sur podcasts.lefigaro.fr/ et sur toutes les plateformes d’écoutes : Apple Podcasts,  Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le nouvel épisode de «Conversations», Billie interprète à la guitare son titre Parle-moi parfois, issu de son premier EP intitulé J’avance (1).Une chanson , sur le deuil, écrite quand elle a perdu «quelqu’un d’important» : «La musique m’aide à me découvrir», explique-t-elle. De ses premiers titres qui sont «dreamy», et «flottants dans l’air», Billie dit qu’ils «résument bien l’air du temps (où) on est tous en suspension».Fille de l’auteur-compositeur guitariste et interprète Matthieu Chedid et de l’artiste Céline Bary, petite-fille du chanteur Louis Chedid, et arrière-petite-fille de la poétesse Andrée Chedid, Billie s’est aussi confiée sur sa famille d’artistes. «Jusqu’à maintenant j’étais trop jeune pour m’y plonger, mais j’ai maintenant envie de lire des poèmes de mon arrière-grand-mère», reprend-elle.À propos de son père, elle affirme que «c’est génial de partager une passion commune» parce qu’il la «préserve tout en étant très bienveillant» : «C’est une chance inouïe de pouvoir appeler mon père quand j’ai un moment de stress, car il est déjà passé par là» ajoute-t-elle. Et de conclure à propos de sa place dans cette famille : «Mes deux parents m’ont laissé faire le chemin le plus simple possible, sans me mettre jamais de pression.»(1) J’avance, de Billie. En concert à la Maroquinerie le 27 mai.Ana Girardot, Charlotte Cardin, Violette d’Urso, Arthur Teboul… retrouvez leurs discussions avec Joseph Ghosn dans « Conversations » un podcast de Madame Figaro écrit par Joseph Ghosn, produit par Figaro TV et disponible sur podcasts.lefigaro.fr/ et sur toutes les plateformes d’écoutes : Apple Podcasts,  Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité de l’émission «Conversations», Guillaume Gallienne, comédien et sociétaire de la Comédie-Française, évoque son nouveau rôle dans La Vie devant moi, de Nils Tavernier. Celui qui a reçu quatre César en 2014 et deux Molière en 2010 et 2011 pour son spectacle et son film autobiographique Les Garçons et Guillaume, à table !, interprète pour le nouveau film de Nils Tavernier un père nommé Moshe. Dans cette adaptation du livre de Guy Birenbaum qui se déroule en 1942, ce héros échappe à la rafle du Vel’ d’Hiv’ et se cache avec sa famille durant deux années de guerre dans une chambre de bonne chez un couple. Il présente à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, son personnage : «Un homme courageux, qui fait ce qu’il doit faire».Au cours de cette émission, l’acteur qui vient de fêter ses 53 ans évoque aussi le temps qui passe. Un cap qu’il franchit avec sérénité : «Être dans la cinquantaine c’est assez marrant, on se rend compte que chaque anniversaire, c’est un an de moins. À 50 ans, on perd moins de temps, on dit oui avec enthousiasme, on dit non sans problème.»Le comédien qui a interprété à la Comédie-Française de nombreuses œuvres littéraires de Molière, Racine, Feydeau, Victor Hugo ou encore Marivaux, évoque son rapport à ces textes classiques. «Je ne peux pas vivre sans littérature. Les textes et les auteurs représentent ma fenêtre la plus intelligente sur un monde que je n’ose pas aborder en vrai, que je ne connais pas, qui est trop loin ou parfois trop proche de moi», explique-t-il. Une passion littéraire qui se retrouve dans ses prochaines actualités, puisque le comédien, qui travaille sur une adaptation de Cyrano de Bergerac en film d’animation prévue pour 2027, reprendra le rôle du maître de philosophie dans Le Bourgeois gentilhomme à la Comédie-Française, et en mai, publiera son premier livre intitulé Le Buveur de brume (1).(1) Guillaume Gallienne Le Buveur de brume, Éditions Stock collection «Ma nuit au musée», 224 pages, 19,90€. Parution le 7 mai 2025. Ana Girardot, Charlotte Cardin, Violette d’Urso, Arthur Teboul… retrouvez leurs discussions avec Joseph Ghosn dans « Conversations » un podcast de Madame Figaro écrit par Joseph Ghosn, produit par Figaro TV et disponible sur podcasts.lefigaro.fr/ et sur toutes les plateformes d’écoutes : Apple Podcasts,  Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée de l’émission «Conversations», l’actrice et metteuse en scène Anne Consigny joue actuellement seule sur scène une adaptation du roman Un barrage contre le Pacifique de Marguerite Duras qu’elle a aussi mis en scène (1). Dans ce dernier, qui se déroule en 1931 en Indochine Française, une mère habite avec ses deux enfants, Joseph et Suzanne (20 et 16 ans) sur le littoral et fait face à la maladie et à la pauvreté. À propos de ce nouveau rôle littéraire, l’actrice explique à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, son coup de cœur pour ce texte qui «parle des gens qui sont des héros de la vie. Ils n’arrivent pas à transformer le monde mais ils luttent». La comédienne confie traverser «un tsunami en ce moment» et est curieuse de voir comment cela va s’intégrer sur scène.Celle qui avait été nommée au Molière de la comédienne dans un second rôle pour Elvire et La Preuve raconte aussi qu’elle a eu l’occasion de rencontrer l’auteure deux fois au cours de sa vie. «Autant, ce texte est écrit avec bienveillance, autant je trouve que Marguerite Duras est une femme très dure», confie-t-elle, avant d’ajouter : «À la fin du spectacle, on comprend qu’il y a aussi de la douceur».Ana Girardot, Charlotte Cardin, Violette d’Urso, Arthur Teboul… retrouvez leurs discussions avec Joseph Ghosn dans « Conversations » un podcast de Madame Figaro écrit par Joseph Ghosn, produit par Figaro TV et disponible sur podcasts.lefigaro.fr/ et sur toutes les plateformes d’écoutes : Apple Podcasts,  Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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