Discover40 nuances de Next - les champions de la French Tech
40 nuances de Next - les champions de la French Tech
Claim Ownership

40 nuances de Next - les champions de la French Tech

Author: FeuilleBlanche Studio

Subscribed: 60Played: 2,165
Share

Description

Bienvenue dans le monde des champions de la Tech Française et de ses entrepreneurs du palmarès Next40.


Parce que nous avons besoin de modèles pour grandir, nos invités partagent les clés de leurs succès, les écueils par lesquels ils sont passés, leurs problématiques, leurs ambitions et leurs visions pour le monde et leurs marchés. 40 nuances de Next c'est aussi un podcast qui découvre l'homme ou la femme derrière l'entreprise, qui tâche de comprendre les ressorts qui ont construit l'invité.e, ses choix et donc sa réussite. 


Et en ce moment plus que jamais, parler du Next, c'est envisager avec nos invités le monde d'après. Dans une émission sans langue de bois rythmée et co-animée par Olivier Mathiot et Thomas Benzazon, les invités reviennent sur l'actualité et révèleront les coulisses de leurs aventures entrepreneuriales et humaines.


Parce que la solidarité entrepreneuriale est essentielle, a fortiori en ce moment, et parce que l'écosystème est toujours plus mobilisé, de nombreux partenaires se sont associés à 40 nuances de Next pour porter haut la voix des entrepreneurs : France Digitale, La French Tech, La Tribune, Maddyness, Neuflize OBC et le Village by CA.


Parce que vous entendrez encore trop peu de voix féminines parmi les dirigeants du Next40 nous avons voulu féminiser à notre manière ce palmarès des champions de la Tech en proposant à leurs dirigeants de mettre en lumière une femme entrepreneure qu'ils admirent. Place aux "Sistas" du Next40, au micro de Solène Etienne, une émission clin d'œil au collectif du même nom porté par deux femmes entrepreneures, Celine Lazorthes et Tatiana Jama.


On espère que vous trouverez dans ces échanges de l'inspiration pour vos projets, vos entreprises et vos vies.


Olivier, Thomas & Solène.



Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

228 Episodes
Reverse
Vendre sa boîte, concurrencer Facebook, méditer et décider de transformer le monde du travail.Grâce à la revente de Miyowa, Pascal Lorne aurait pu s’arrêter de travailler. C’est d’ailleurs ce qu’il fait avant de découvrir “le pouvoir de sociabilisation du travail”. En questionnement sur sa vie professionnelle, une rencontre crée le déclic. En 2015, il lance une plateforme d'intérim, Gojob, avec une ambition : “donner leur chance à ceux qui n’entrent pas dans les cases préformatées du monde du travail”. Il s’agit d’une véritable mission qui le poussera même à lancer un fonds de dotation pour s’attaquer à la question de la formation.Le modèle de Gojob se différencie par le développement d’une IA, Aglae, qui affine le matching des candidats et assiste les agents dans la qualification des profils. Les résultats séduisent les investisseurs (Amundi, la Banque des Territoires, Breega Capital, KOIS et Alter-Equity) qui misent 23 millions d’euros dans la startup en 2022 pour accompagner son développement en France et aux Etats-Unis.En filigrane de cet épisode, Pascal Lorne dévoile sa recette pour avancer au quotidien, la méditation, qu’il initie jusque dans son board. Une source d’apaisement qui lui permet de clarifier son esprit et de trancher des décisions. Juste avant Gojob, l’entrepreneur a, en effet, tenté de lancer un réseau social concurrent de Facebook et Twitter.Dans cet épisode, ce chef d'entreprise fan de l'imprévu revient sur son aventure, nous en dit plus sur sa "mission sur terre", et nous partage (entre autres) ses conseils pour briser les plafonds de verre.À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lever 700 000 euros en 3 jours pour financer un promoteur immobilier, David Peronnin et David El Nouchi, les deux co-fondateurs de ClubFunding l’ont fait. Un succès qui leur a donné des sueurs froides, mais leur a permis de confirmer leur modèle de crowdfunding immobilier qui permet à des particuliers de prêter une partie de leur épargne à des promoteurs en quête de financement. Le concept et le rendement de 10 % séduisent. L’entreprise, lancée en 2015, comptabilise 25 000 investisseurs et plus d’un millier de projets financés pour un montant d’un milliard d’euros. Sans un seul échec au compteur.La recette de ce succès ? Une sélection rigoureuse des projets et une analyse pointue des risques. Poussée par sa croissance, la société lève 125 millions d’euros auprès de Florac Investissements, Peninsula Capital, EMZ Partners et Bpifrance. De quoi nourrir ses ambitions et la vision de ses fondateurs. Avec humilité, David El Nouchi, prêche le développement d’un immobilier plus responsable et solidaire qui va au-delà du respect des critères ESG. Il revient aussi sur la disparition du mythe du banquier d’affaires qui a nourri son ambition d’étudiant et l’a poussé dans l’aventure entrepreneuriale, les rouages d’une culture d’entreprise qui fidélise les salariés et les projets qui les occuperont pour les mois et années à venir… en France et ailleurs !À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Deux personnalités. Deux histoires. Deux entrepreneures qui se retrouvent sur un constat commun : les femmes continuent de porter majoritairement la double charge des obligations domestiques et familiales. Rebecca Fisher Bensoussan et Camille Agon, co fondatrices de Yolo (You Live Only Once) étaient les grandes gagnantes de la première édition des L’Impact Awards en février dernier.Start up à impact sociétal, Yolo est un service aux entreprises qui digitalise et démocratise l’accès à des assistantes dédiées à la gestion du quotidien personnel et familial, au service des collaboratrices et collaborateurs. Selon deux études, 45% des femmes refusent un poste de niveau exécutif pour des raisons familiales et 6 salariés sur 10 seraient prêts à quitter leur entreprise pour un poste leur permettant une meilleure conciliation vie personnelle/vie professionnelle.La fameuse frontière pro/perso disparait de plus en plus, c’est pour Rebecca et Camille, la responsabilité de l’entreprise d’accompagner ces sujets personnels.Dans cet épisode, on parlera aussi de féminisme, de maternité, des histoires familiales qui les ont forgées, de rapport au travail, d’éducation.Côté Sista, si Rebecca avait dû choisir quelqu’un, son choix se serait porté sur Isabelle Rabier, co fondatrice de Jolimoi. Quant à Camille, elle aurait choisi la talentueuse Sandra Fillaudeau, dirigeante de Consicous Culture et fondatrice du podcast Les Equilibristes.Enfin, merci Rebecca d’avoir partagé ton coup de cœur littéraire “L’heure des femmes” l’histoire de Ménie Grégoire romancée par sa petite-fille Adèle Bréau.À vos écouteurs 🎧** L’impact est une association fondée par Sandrine Yana. Elle réunit des femems et des hommes engagés, dirigeant d’entreprises, haut fonctionnaire, membre d’équipe parlementaire, étudiants. L’impact se donne pour mission de faciliter l’accès à la levée de fonds pour les femmes entrepreneures et inciter les filles et jeunes filles à rejoindre les filières scientifiques pour une société plus performante et plus paritaire Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand la nièce d’Eléonore Jacopin a ses premières règles à 12 ans, sa tante cherche une app pour lui permettre de suivre ses cycles menstruels. Elle se rend compte que sur le marché français, il y a surtout des app qui ciblent des femmes sexuellement actives avec des problématiques de fertilité, de grossesse, de pathologies, bref des sujets prématurés pour une ado.Qu’à cela ne tienne, Éléonore, qui a déjà travaillé dans l’univers Tech, saute le pas et va créer Jami, une app pensée pour ses nièces et leurs copines avec une ambition : permettre à chaque adolescente de devenir actrice de sa santé et de son bien-être. Si l’éducation à la santé est quasi inexistante des programmes scolaires, Éléonore compte bien changer la donne avec son app, lancée en version bêta à la dernière édition de Vivatech sur le village FemTech.Dans cet épisode, Éléonore se confie surSes débuts en tant qu’entrepreneure et son coup de culotSa passion pour l’art qui est sa source d’inspirationSa pratique de la méditation transcendantaleSes voyages qu’elle essaie de rendre responsablesCette émission a été réalisée dans le cadre de Vivatech 2023.À vos écouteurs 🎧 et si vous avez des ados, téléchargez leur Jami ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le modèle de Virgil est simple :  la plateforme aide les jeunes actifs à accéder à la propriété dans des villes de forte densité urbaine, alors que les taux augmentent et que les prix ne baissent pas encore. Comment ? En simplifiant le parcours d’achat d’une part. Mais surtout avec un apport pouvant monter jusqu’à 100 000 euros en échange de 15% de l’appartement. En investisseur dormant, la startup se rémunère sur les services liés et lors de la vente du bien, sous 10 ans maximum. Mais Virgil n’est qu’une première brique pour ses fondateurs Saskia Fiszel et Keyvan Nilforoushan. Leur vision est bien plus grande : donner de la liberté financière. La newsletter Spoon, sur l’éducation financière et la gestion de son argent, en est une preuve. Les deux associés, descendants d’immigrés, sont persuadés qu’ils peuvent influer sur des changements sociétaux, à leur niveau, en redonnant du pouvoir aux jeunes. “Il y avait un sujet d'autonomie et de liberté assez fort chez moi dans mon enfance”, assure Saskia Fiszel. Son objectif : garder chez Virgil la même envie, le même engagement, la même intelligence, avec 27 personnes ou peut-être 200 dans quelques années. Venez découvrir une entrepreneure engagée, animée par des convictions fortes autour du sens au travail, de l'égalité des chances et de la méritocratie. Dans cet épisode, on cite Keyvan Nilforoushan, Fleur Douet, Alven, Kima, GFC, LocalGlobe, Lydia, Sista, Colombe Mandula, Chloé Hermary, Jade Francine🙏 Merci à nos partenaires de nous soutenir tout en challengeant le Next40 avec leurs questions : Neuflize OBC, La Tribune, Maddyness, La French Tech et France Digitale. À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Transformer une PME un peu désorganisée en un acteur du FT120, c’est le défi que s’est lancé Jérôme Mercier, CEO de Campings.com.“J’ai repris une boite avec une jambe cassée, il a fallu lui réapprendre à marcher, puis à courir”.A notre micro, il revient sur la reprise de la plateforme d'hébergements de camping après deux précédentes aventures à la direction de Kelkoo et de Photobox. Pour réveiller la belle endormie, il n’hésite pas à réunir les meilleurs éléments avec qui il a travaillé auparavant afin de “créer un électrochoc”.Dans cet épisode, Jérôme abordera :La complexité de travailler avec ses proches : confiance et proximité vs risques et peursComment passer au-dessus des moments difficiles et ne pas être un poids pour sa familleEntre engagement dans plusieurs associations, partenariat avec EcoTree et stratégie RSE solide, comment il agit sur l’environnement d’un point de vue pro et persoCôté “Sista”, Jérôme a choisi Lucie de Clerck, Directrice générale de l’association Entourage.C’est à l’occasion de la dernière édition, que nous ouvrons le casting aux entrepreneurs du FT120 et bientôt du FT2030 pour partir, une fois de plus, à la rencontre de ces personnes qui pensent et font le monde de demain.À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une femme sur trois démissionne quand elle rentre en parcours de PMA.Il n’y a pas que la volonté d’entreprendre qui a été transmise à notre invitée, Juliette Mauro cofondatrice de My S Life. Issue d’une famille matriarcale très engagée et très féministe, Juliette a décidé de s’emparer du sujet de la santé des femmes pour en faire un des leviers d’égalité professionnelle. Car, comme le dit très justement Juliette, "les problèmes de règles, de fibromes ou autres maladies féminines ne s’arrêtent pas à l’entrée du bureau".Juliette est aussi cofondatrice et Présidente de Femtech France qui regroupe toutes les start ups qui développent des innovations pour la santé des femmes. Cette année, elles ont été mises à l’honneur avec la création, au cœur de Vivatech, d’un village Femtech. “ On a découvert les femmes en 2023, ça serait bien de ne pas les oublier l’année prochaine.”Dans cet épisode, Juliette revient sur :Les débuts de My S Life et son parcoursSon engagement auprès de Femtech France, marché où tout est à construireLes rencontres qui ont marqué sa vie et sa relation sans aucun tabou avec sa mamanSa passion pour la lectureEt bien sûr, on termine cet épisode par son coup de cœur “sista” avec Clémence Lejeune cofondatrice de Sorella et de Leia Capital.À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“On a l’opportunité d’être les leaders sur toutes les révolutions technologiques à venir”Aujourd’hui, c’est Clara Chappaz, directrice de la French Tech qui est au micro de 40 nuances de Sista pour nous dévoiler en avant-première le nouveau programme et palmarès French Tech 2030 et rappeler le rôle et la mission de la French Tech. L’objectif ? Mettre le meilleur de l’État, le secrétariat général pour l’investissement, Bpifrance et l’accompagnement French Tech derrière nos entreprises pépites. Car comme le répète Clara, tout est à inventer et nous devons nous donner les moyens d’être les leaders sur les révolutions technologiques à venir, créer les technos dont on a besoin et réindustrialiser la France.Le palmarès French Tech 2030 sera dévoilé à l’occasion de Vivatech. Bref, beaucoup de futur.es invité.es à notre micro 🙂À retrouver aussi dans cet épisode :La prise de poste de Clara alors qu’elle découvre qu’elle est enceinteSon aventure professionnelle en AsieSon premier projet entrepreneurial abandonnéSon recrutement à la French TechSon engagement pour la parité dans la techÀ vos écouteurs ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est l’histoire d’une petite fille qui rêvait d’être astronaute et qui est devenue l’incontournable « lobbyiste des startups »Si ce terme ne lui plaisait guère au début de son mandat, Maya Noël l’embrasse volontiers. Car il est bien question d’influence et de lignes à faire bouger pour l’association dont elle a pris la direction générale.France Digitale c’est l’association qui fait le lien entre les startups et les investisseurs. Son rôle : éduquer, sensibiliser, expliquer et décrypter un écosystème qui fonctionne parfois en vase clos. Le groupe d'influence, apolitique, qui compte plus de 2000 membres, porte aujourd’hui des sujets techniques et réglementaires pour aider les entrepreneurs de la tech et s'attaque aussi à des combats plus sociétaux. Être à sa tête, c’est se donner les moyens d’avoir un impact certain.L’impact au féminin, c’est justement le sujet de l’étude réalisée par France Digitale, EY, la Journée de la Femme Digitale, sur la représentation des femmes fondatrices et dirigeantes au sein de la future génération de startups à impact en France.Bonne nouvelle, à l’image de Maya, l’impact se conjugue au féminin quand il est question de startups. N’en faisons pas pour autant l’arbre qui cache la forêt : les femmes dans la Tech sont encore sous représentées.Avec Maya, il est question : des rôles modèles : ceux qu’elle n’a pas toujours eu petite, ceux qu'elle s'est construits et ceux qu’ils faut valoriser et développer désormais pour faire bouger les lignes.du gap qui se forme dès l’école : l’attractivité des carrières scientifiques, le choix des filières, le manque de mixité dans certains cursusde la place faite à la diversité dans l’entreprise : en termes de genre, de parcours, d’ethnie, de handicap, visible et invisible.du regard que l’on porte sur les pères, différent de celui porté sur les mères : faire bouger les lignes ça commence par faire changer les regardsde la maternité des femmes entrepreneures : là aussi, il reste beaucoup à faire.des victoires notamment la récente acceptation de prise en charge par la Sécurité Sociale de la télésurveillance médicale.Habituée des passages dans le podcast 40 nuances de Next et des questions aux entrepreneurs du Next40, c’est aujourd’hui comme invitée que Maya revient à notre micro sur son parcours et y détaille ses combats.Avis à toutes et tous. Si, sur votre chemin, vous croisez un jour une petite fille qui rêve de devenir astronaute, un conseil : Invest un Her Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est la tête dans les étoiles mais le corps en Californie que Pierre-Damien Vaujour s’épanche au micro de 40 Nuances de Next sur l'aventure de Loft Orbital qu’il a co-fondée en 2017. Un pied à Toulouse, l’autre à San Francisco, la jeune entreprise opère des satellites afin de rendre l’espace plus accessible aux entreprises. Concrètement, les clients de Loft Orbital utilisent ses satellites pour y développer des applications comme le suivi de bateaux ou l’évolution d’une parcelle agricole touchée par le feu, etc. A l’image de ce que fait sur terre AWS ou Google Cloud.La startup a levé 156 millions de dollars depuis ses débuts. Elle compte désormais 100 personnes et revendique 300 millions de dollars de contrats signés. Loft Orbital est lancé dans une course à l’armement, celle d’augmenter le nombre des satellites qu’elle met en orbite à 500 km au-dessus de nos têtes, un peu plus loin que la station spatiale internationale, là où l’air n’existe plus.Vous découvrirez dans cet épisode un homme intarissable sur l’espace, passé par l’agence spatiale européenne, la NASA ou une startup américaine de la SpaceTech. Un terrain d’expression idéal qui a permis à ce passionné d’espace de rencontrer Elon Musk. Rien que ça.Côté “Sista”, Pierre-Damien Vaujour a choisi Mathilde Colin, fondatrice de Front, entrepreneure française vivant à San Francisco, “qui est une source d’inspiration”.À vos écouteurs 🎧Dans cet épisode on cite Alexandre Tisserant, Kineis, Blackrock, Elon Musk, Richard Branson, Jeff BezosPour écouter l’épisode sur Kineis :39 Alexandre Tisserant - Kinéis : La tête dans le New Space, c’est iciMerci à nos partenaires de nous soutenir tout en challengeant le Next40 avec leurs questions : Neuflize OBC, La Tribune, Maddyness, La French Tech et France Digitale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Co-fondateur de Talentsoft un éditeur de logiciel RH, Alexandre Pachulski est déjà venu au micro de 40 Nuances de Next pour parler du succès de son entreprise. Et il est acté qu’il reviendra dans Cash Out pour parler du rachat effectué en 2021 par Cegid. Mais derrière sa facette d’entrepreneur, se cache celle d’un auteur prolixe. A son compteur, déjà 6 livres, dont le dernier en date “Start-up Story - Le guide pop culture de l'entrepreneuriat”, paru chez Diateino Eds. C’est donc un épisode de 40 Nuances de Next un peu spécial que l’on vous propose en parcourant ce guide pratique émaillé de références culturelles, musicales et cinématographiques. Renvoyant au Seigneur des anneaux, au mouvement des impressionnistes, à Taxi Driver, à Radiohead, et même à Philippe Lavil, Alexandre Pachulski distille ses conseils, de la création à la vente, en passant par l’importance de la culture d’entreprise, de la confiance, du choix des clients. Pour donner plus de corps à ce guide, l’entrepreneur délivre quelques anecdotes de ses propres expériences personnelles.“Il n’y a pas de recette magique. Chacun dispose de sa propre recette et il faut apprendre à l’appliquer au bon moment. Talentsoft est née d’une demande qui m’a d’abord ennuyé”, indique-t-il dans ce podcast.Dans cet épisode, on cite Talentsoft, Claude Lelouch, Le Seigneur des anneaux, Les Incorruptibles, The Social Network, Facebook, Taxi Driver, Paul Schrader, Radiohead, Philippe Lavil, EDF, Pôle Emploi, The Master, Velvet Underground, Genesis, Phil Collins; l’Associé du Diable.A vos écouteurs 🎧  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Entrepreneur multirécidiviste, licorne et bientôt centaure, qui garde les mêmes valeurs depuis ses débuts, même après avoir levé 200 millions de dollars l’année dernière… Découvrez la formidable expansion de Swile et l’incommensurable humanité de son fondateur Loïc Soubeyrand.           🙂 Swile, c'est une startup qui aspire à remplacer les moyens de paiement des employés par une unique carte, et donc faciliter le quotidien des salariés progressivement. Lancée en février 2018, le rôle du CEO évolue avec le nombre de salariés, 700 désormais, néanmoins ses 3 piliers restent inchangés : la culture, le produit et la finance.L’enjeu de Loïc ? Dédier une application aux employés et « bâtir un écosystème hyper fort. On est persuadés que le tout est plus fort que la somme des parties. »Son ambition est intacte, même après « l’aventure absolument fantastique » de Teads, sa première entreprise qu’il a cédé pour 285 millions d’euros. « On souhaite tous être des centaures le plus vite possible. Nous, on est en très bonne voie. J'espère qu'on pourra annoncer ce statut prochainement. »Initialement appelé Lunchr, la marque devient Swile en mars 2020. Fruit de la contraction de « Smile at Work », avec le M de « Smile » qui se retourne pour devenir le W de « Work ». Très attaché à la culture d’entreprise, il met toujours l’homme avec un grand H au cœur de ses projets et promeut l’esprit d’équipe en tête de ses valeurs.« We are a team player. Évidemment, on a tous un ego, mais il faut impérativement qu’il soit au service de l'équipe. Le succès collectif fera notre succès personnel d'une manière ou d'une autre. »📈 « Moi je suis convaincue que la performance sociale, c’est le moteur de la performance économique. »Très empathique, ce qu’il se passe dans sa vie personnelle affecte sa vie professionnelle et vice versa, « tout est question d’équilibre ». Depuis deux ans, il essaye de calmer le jeu et d’avoir un bon équilibre de vie avec sa famille : ses trois enfants et sa femme, qui a d’ailleurs mis sa carrière momentanément entre parenthèses. Très à l’aise sur la question du rapport homme/femme, en toute transparence Loïc assume le fait qu’il ferait la même chose si sa femme voulait lancer son entreprise, ou partir vivre dans une autre ville.🩺 Issu d’une famille de médecins, il déjoue tous les pronostics, sans que personne ne lui mette de bâtons dans les roues. Pourtant, il commence Teads en vendant sa voiture et vit avec 800 € par mois seulement.Son moteur ? La création, l’impact sur la société et surtout son esprit de compétiteur. « Je crois que le propre d’un entrepreneur, c’est d’avoir un impact sur la société. J’aimerais beaucoup que la finance soit plus dirigée sur des projets qui font du bien à la société et pas que au portefeuille. »Changer les choses de manière globale, c’est la case « impact » de sa vision d’entrepreneur. Découvrez aussi Loïc président de la République Française ou encore sa “sista” de cœur…Écoutez cet incroyable épisode deux en un, une première en public, dans un lieu phare de l’écosystème start-up : Le Village by CA Paris (merci Fabrice Marsella pour l’accueil). C’est sûr, vous en redemanderez !Merci à mes compères Olivier Mathiot et Solène ETIENNE, ainsi qu’à nos partenaires pour leur soutien et leurs questions à nos invités: Neuflize OBC, La Tribune, Maddyness, La French Tech et France Digitale.À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand elle reprend La Redoute avec Eric Courteille en 2014, pour 1 euro symbolique au groupe Kering (Pinault), Nathalie Balla a une mission colossale : assurer la survie d’une entreprise française iconique mais donnée pour morte. Sept ans plus tard, le pari est réussi. Les espoirs originaux dépassés. Au bord de la faillite au moment de la reprise, La Redoute a réalisé 1 milliard d’euros de volume d’affaires en 2021, année de cession totale au Groupe Galeries Lafayette, pour un montant non dévoilé, déjà détenteur de 51% des parts depuis 2017.Pour réussir ce tour de force salué par tous les observateurs, les deux associés sont repartis de l’histoire de l’entreprise, afin de travailler sur un ADN commun, capable d’être compris en interne et en externe. Le choix se porte sur l’innovation, et la capacité que cette filature de 1837 a eu à se réinventer au fil des années, devenant un spécialiste de la vente par correspondance. Communication, produits et culture : Nathalie Balla et Eric Courteille imposent le digital first à toutes les strates de La Redoute.Pourtant, rien ne prédisposait le duo complémentaire à reprendre La Redoute. Quand la PME est mise en vente par PPR - devenu Kering - au même titre que Conforama ou FNAC, les offres s’accumulent. En tant que PDG pour elle, et de secrétaire général de la holding Redcats pour lui, ils sont tous les deux chargés de la cession. C’est une aubaine. D’une part, ils apprennent à travailler ensemble et adorent cela. D’autre part, ils voient défiler les offres et aucune n’emporte leur adhésion même s’ils ne sont pas décideurs. C’est à ce moment qu’ils se disent qu’il faut entrer dans la danse.“Aucun de nous ne regrette d’avoir écrit ce projet à 4 mains. On a vécu une aventure de dingue”Huit ans plus tard, ils ont complètement passé la main. Natalie Balla a hâte de replonger dans l’entrepreneuriat, avec un regard tourné vers deux secteurs qui lui sont inconnus mais qui la passionnent, l’éducation et la santé. Rien n'est acté pour l'instant.Fille d’une mère allemande et d’un père hongrois, Nathalie Balla a puisé dans ses racines sa soif incessante d’apprendre, sa capacité d’adaptation, son besoin de liberté et son indépendance.Au cours de cet échange, elle évoque également les forces d’un binôme à la tête d’une entreprise, la concurrence des marques digitales, son côté introverti, mais aussi la question de justice sociale qui lui tient à cœur…Si elle avait du faire un choix “Sista”, elle aurait choisi Cholé Hermary, créatrice d’Ada Tech School, “qui porte un sujet important, embarque les gens avec une énergie de dingue. Je l’admire.” (comme Anabelle Bignon :))Dans cet épisode, sont également cités Eric Courteille, La Redoute, Kering, Vinted, Brigitte Lemercier de NB Lemercier et Associés, l’association Solfa.A vos écouteurs 🎧Crédit Photo : Léo-Paul Ridet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Co-fondateur d’Alma, Louis Chatriot ne se définit pas comme un entrepreneur. Le regard aiguisé qu’il porte sur l’entreprise et son environnement mérite d’être écouté.Avec Alma , Louis Chatriot a créé sa troisième entreprise. Pour autant, il refuse de se définir comme un entrepreneur. Pour lui “ça n’a aucun sens”. Il est même gêné de voir la starification qui peut être faite des CEO de startups. Un recul par rapport à l’époque qu’il doit en partie à sa famille et son éducation. Fils d’une maman artiste-sculptrice et d’un papa touche-à-tout (médecine, sport automobile, théâtre), Louis Chatriot a évolué dans un environnement où l’accent a été mis sur la manière, l’engagement et la passion de faire les choses plutôt que sur l’activité en elle-même. “Fais pizzaiolo ok. Mais dès lors, tu fais les meilleurs pizzas du monde”, image-t-il en souriant. En se l’appliquant à lui-même, il s’est vite rendu compte que son premier métier de consultant chez Bain n’était pas fait pour lui.À 37 ans, Louis Chatriot ne se départit pas d’un côté enfantin. Il aime apprendre. Comprendre. Ce passionné de sciences et de technologie a créé son premier programme à 7 ans - un mot de passe - sur un Genius 2000. Au point d’énerver sa petite sœur.Aujourd’hui, il est insatiable sur l’algèbre de Boole et les Legos Technic. Son passe-temps actuel. Si vous ne savez pas ce que c’est, le mieux c’est encore de l’écouter vous l’expliquer, avec passion.Critique sur l’éducation scolaire, le Polytechnicien de formation place le jeu comme l’une des meilleures méthodes d’apprentissage. Il a ainsi toujours pensé que c’est la traction qui faisait avancer plutôt que la pression. Comme pour la croissance d’une entreprise. Comme pour une équipe. Se définissant comme exigeant, il place la discipline comme la valeur cardinale d’un développement réussi d’une entreprise, sans pour autant affirmer qu’il réussit dans cette quête.Attaché à un équilibre vie pro/vie personnelle, ce personnage facétieux n’imagine pas travailler sans s’amuser. “Ma vision du travail c’est d'être sérieux sans se prendre au sérieux”💬 Son inspiration ? La lecture d’ouvrages de science-fiction tels que Le Problème à trois corps ou Dans la toile du temps.🎧 La carte blanche sur la perversité de la réglementation, la première claque qu’il a prise, son premier recrutement, sa première décision s’il était Président, taxer l’héritage à 100%… Louis Chatriot continuera d'évoquer ses prises de position tout au long de cet échange.Dans cet épisode, on cite :Adrian Tchaikovsky,Liu Cixin,Georges Boole,Philip K. Dick,The Diff,Benedict Evans,Not Boring,Dune🙏 Merci à nos partenaires de nous soutenir tout en challengeant le Next40 avec leurs questions : Neuflize OBC, La Tribune, Maddyness, La French Tech, France Digitale, et Village by CA.A vos écouteurs 🎧  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
💡 C’est en tant que salarié chez Stripe que Louis Chatriot remarque les demandes répétées des marchands pour du paiement fractionné. S’emparant de ce faible signal, il crée Alma en 2018 avec Guillaume Deloges. La fintech française fournit des solutions de paiement fractionné et différé. Elle a levé en début d’année 115 millions d’euros en equity auprès d’un pool d'investisseurs et 95 millions d’euros sous forme de dette.Alma a commencé avec un produit de crédit technique et sur un marché très réglementé. Pour le dire autrement, en paraphrasant Louis Chatriot : comment faire en sorte de monter une entreprise sans aller en prison ?L'obsession des débuts pour les associés a été de rapidement trouver un premier marchand afin de tester la solution et de savoir si elle répondait bien à un besoin. L’enjeu : éviter de tomber dans l’écueil entrepreneurial de passer des années à créer et tenter de développer “une entreprise qui ne sert à rien”. Pour ce faire, Alma a pris des raccourcis dans sa stratégie de financement, de développement technique et sur la réglementation.💬 “Tu peux être un génie, si ta boîte n’est pas bien positionnée sur son marché dès le départ, elle ne marchera pas.”Le crédit à la consommation existe depuis des dizaines d’années. Alma n’a rien inventé. Mais la technologie a aiguisé l’appétit des marchands pour des solutions instantanées et faciles. Avec ces innovations sont apparus des nouveaux acteurs. Le Suédois Klarna est devenu en quelques années un géant mondial qui traite une dizaine de milliards d’euros de volume d’affaires sur sa plateforme.Cet environnement concurrentiel n’inquiète pas Louis Chatriot. Selon lui, Alma a toujours eu un positionnement cohérent. Au départ, l’entreprise a ciblé les PME, devenant de fait quasiment le seul acteur sur ce créneau. Peu à peu, la startup a gravi sa propre pyramide de Maslow, élargissant de fait ses cibles en prenant la parole sur le surendettement et la surconsommation. La tendance actuelle observée chez Alma tendrait d’ailleurs à lui donner raison : selon les données de l’entreprise, le panier moyen de ses clients augmente, de 40 à 60%.Affirmant être “la seule entreprise au monde qui n’a jamais prélevé de frais de retard”, qui peuvent aller jusqu’à 8% du capital restant dû - Louis Chatriot s’agace d’un modèle algorithmique qui favorise ce schéma plus rentable que les taux d’intérêt sur le crédit en lui-même. “On a compris qu’on avait une solution unique à apporter au marché”.De quoi taper dans l'œil des clients et des financiers. Alma vient de décrocher un contrat avec Apple pour assurer le paiement fractionné de ses produits vendus en ligne et dans ses Apple Store en France. Les nombreux investisseurs n’ont pas attendu cette notoriété soudaine pour s'intéresser à une startup qui n’en est bientôt plus une avec 400 salariés. Le rôle de Louis Chatriot, CEO, a d’ailleurs changé. Il faut s'adapter à une nouvelle gouvernance. À une exigence de résultats qui est montée d’un cran. Affable, le dirigeant n’y voit aucun problème. Au contraire.“ Je suis darwinien. Quand tu lèves des centaines de millions d’euros, oui tu vas perdre le contrôle de ta boite. Et c’est une bonne chose.”À cette taille d'entreprise, pour être un bon CEO, “il faut arriver à lire un peu le futur, le comprendre, l’expliquer et embarquer son équipe vers ce futur”, estime l’entrepreneur qui a besoin tous les jours d’apprendre au contact de ses équipes pour être heureux au travail. Un bien-être qui passe par une culture de la confiance, de la transparence et de la créativité, estime-t-il.🙏 Merci à nos partenaires de nous soutenir tout en challengeant le Next40 avec leurs questions : Neuflize OBC, La Tribune, Maddyness, La French Tech, France Digitale, et Village by CA.A vos écouteurs 🎧  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la première édition réussie de Paris+ Art Basel vient de se conclure, on prolonge le plaisir avec Véra Kempf, la co-fondatrice de Singulart, la galerie d’art en ligne, qui rassemble 13 000 artistes venus de 130 pays différents. L'entreprise, créée en 2017, accompagne peintres, sculpteurs et photographes vers un nouveau canal de distribution et offre aux collectionneurs la possibilité de découvrir des talents du monde entier.Jusqu’à l’arrivée du Covid et des confinements, ce monde d'initiés n’avait jamais imaginé pouvoir vendre une œuvre d’art en ligne. Et en plus avec les prix affichés. On touchait au blasphème ! C’est pourtant devenu aujourd’hui une réalité.Mais avant de casser les codes, Véra Kempf et ses trois associés ont dû s’accrocher. “Ce ne sont pas de vrais artistes que vous représentez”, pouvait ainsi entendre l’entrepreneure lors des premières foires d’art auxquelles Singulart participait. Cinq ans après sa création, l'entreprise est devenue une marque internationale, capable de vendre des œuvres de 250 euros à plusieurs centaines de milliers d’euros. Et même un Picasso, un Dali, un Renoir le temps d’un partenariat.Depuis ses 13 ans et du haut de son poste de jeune élue au Conseil Général Jeunesse de Savoie, Vera Kempf est animée par l’envie de monter des projets. “J’ai su tardivement que ça s’appelait entreprendre” confie-t-elle. Élève studieuse et appliquée, elle entre à Sciences Po. Elle rêve d’engagement public, de politique, de commission européenne, d’ONG. Mais c’est lors d’un stage à la chambre de commerce de Pointe Noire au Congo-Brazzaville qu’elle aura le déclic “A force de côtoyer des entrepreneurs, je me suis sentie très proche d’eux et je me suis dit “en fait, c’est peut-être ça que j’ai envie de faire.”Dans cet épisode de 40 Nuances de Sista, elle raconte le chemin tortueux d’une entrepreneure “stressée”. Elle revient sur sa rencontre avec Denis Fayolle et Brice Lecompte, le moment “où ça commence à prendre”, le rôle de la data, l’expérience de marque Singulart avec les artistes et les collectionneurs, le dernier projet de la maison, balthasart mais aussi la dernière levée de fonds de 60 millions d’euros, closée en un (presque) temps record entre son retour de congé maternité et le départ en congé paternité de son associé, le meilleur argument au monde pour imposer son timing et accélérer le closing.Cet échange est aussi le moyen de découvrir l’humilité et la méticulosité avec laquelle Véra Kempf s’attaque aux sujets de notre époque : environnement, mixité sociale, parentalité, diversité, valorisation du travail des femmes artistes. Elle nous partagera son goût de la lecture, se confiera même sur son groupe de lecture “le JJ Club” et on parlera du podcast “Les couilles sur la table”.Côté “Sista”, Véra a choisi son amie Emilie Vialle, la CEO de Snapkey, avec qui elle partage ses joies et ses doutes d’entrepreneure. “C’est la fille qui a le plus d'énergie au monde”. On confirme.Dans cet épisode, on cite Vincent Huguet de Malt, Carole Zibi, Denis Fayolle, Catherine Deneuve, “Les Cahiers d’Esther” de Riad Satouff, “Lean In” de Sheryl Sandberg, Daphné Aubé de Caractères.A vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Canicule à répétition, incendies de forêts, crues dévastatrices… L’été 2022 a été, pour de ,nombreuses personnes, une prise de conscience des effets concrets du réchauffement climatique. Pas pour Edwige Michau. Son propre déclic remonte à 2020, en pleine crise sanitaire. Avec son mari Geoffroy d’Autichamp, elle se demande comment agir à leur niveau pour le climat. Ils démissionnent de leurs postes dans la cosmétique et la banque d’investissement pour lancer leur propre projet. Pendant plusieurs mois, ils se forment puis décident de passer à l’action. Épargne durable ? Gestion des déchets ? Non, ce sera le marché de l’occasion pour les vêtements et articles de sport de plein air. En novembre 2021, le couple lance la plateforme Barooders, soutenue par plusieurs business angels connus de la French Tech. Et cette diplômée d’HEC, fille et petite-fille d’entrepreneurs, de confier au micro de Solène Etienne les bienfaits qu'elle tire de l’entrepreneuriat en famille.  Mais ses engagements, Edwige Michau ne les réserve pas qu’à la défense de la nature. La jeune maman défend avec ardeur la place des femmes dans la tech, au point de leur avoir réservé une part des fonds levés par sa startup.  Côté “Sista”, Edwige Michau a choisi de mettre en lumière Anne Balez, fondatrice de Lizee, “qui se bat avec qualité d'exécution assez incroyable” pour développer un logiciel qui permette aux marques de gérer la seconde main de leurs produits. Dans cet épisode, on cite Vinted, Le Bon Coin, Omaj, Décathlon, Apple, Amazon, ManoMano, Instragram, Justine Hutteau, Guirec Soudée, Benjamin Ferre, Nicolas d'Estais, Veepee, Ankortsore, Thomas Rebaud, Anthony Bourbon , Paul Lê, LVMH, Lizee A vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il était une fois deux frères devenus associés. D’un côté, Erwan Keraudy, diplômé de l’ESCP, trader en Inde pour une banque française. De l’autre, Stevan, centralien, chercheur et spécialiste du machine learning. Le business pour l’un, la tech pour l’autre. “Les deux lobes du cerveau”, confie l’entrepreneur qui ne se serait jamais lancé dans le projet sans lui.Mais la relation fraternelle n’empêche pas les règles d’engagement afin d’éliminer tout sentiment ou ressentiment dans la conduite de l’entreprise. Vous apprendrez comment l’arrivée du troisième associé, Matthieu Finiasz, (Normale Sup, Polytechnique, Berkeley), chercheur en cryptographie, a entériné l’équilibre des pouvoirs.Dans cet épisode, Erwan s’épanche aussi sur sa soif de comprendre le monde qui l’entoure, de l’accès à l’énergie qui pourrait résoudre tous les potentiels conflits armés, à la crypto en passant par la richesse de la diversité et la tolérance inculquée par ses parents. Engagé sur la promotion des femmes dans la tech, il a choisi Kat Borlongan, l’ancienne directrice de la Mission French Tech jusqu’en 2021, “une femme exceptionnelle, qui ne manque pas de talent”, comme Sista à suivre.🙏 Merci à nos partenaires de nous soutenir tout en challengeant le Next40 avec leurs questions : Neuflize OBC, Oracle, La Tribune, Maddyness, La French Tech et France Digitale.📣 Dans cet épisode, on cite : Stevan Keraudy, Matthieu Finiasz , Olvid, WhatsApp, Telegram, Paul Valé🎧 A vos écouteurs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les histoires d’entrepreneurs de la cybersécurité ressemblent parfois à des longs soliloques techniques et austères, dans lesquels la liberté de parole est souvent contrainte par la sensibilité des données concernées. Ce n’est pas le cas d’Erwan Keraudy. Pour évoquer le développement de Cybel Angel, le cofondateur et CEO convoque des anecdotes savoureuses, qui mêlent conférence de hackers à Las Vegas en sweat à capuche par 50 degrés ou le recrutement d’un ancien agent du FBI.Dans cet épisode, vous aurez un aperçu concret de la manière dont la startup française de 175 salariés a conquis la moitié du CAC 40, qui est prête à utiliser ses coûteux services pour repérer et protéger leurs données égarées sur le web. Partie à la conquête des Etats-Unis, la startup est devenue une licorne, l’une des deux du secteur en France avec Vade Secure. Et l’entrepreneur en espère d’autres pour relever les défis de souveraineté des Européens alors que la bataille fait rage face aux deux autres blocs, les Etats-Unis d’un côté, la Russie et l’Asie de l’autre.Dans cet épisode, cet ancien trader à Mumbai (Inde) évoque également l’importance de la parité, de l’égalité salariale et de la promotion des femmes dans la tech et ce que lui inspire le rachat de Twitter par Elon Musk.🙏 Merci à nos partenaires de nous soutenir tout en challengeant le Next40 avec leurs questions : Neuflize OBC, Oracle, La Tribune, Maddyness, La French Tech et France Digitale.📣 Dans cet épisode, on cite : le FBI, Todd Carroll, la Def Con, Vade Secure, Tehtris, Gatewatcher🎧 A vos écouteurs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Écouter Laure Bouguen parler de son entreprise et de son parcours, c’est prendre une bonne dose d’optimisme et d’énergie. La philosophie de vie de la créatrice d’Ho Karan, marque de cosmétique à base de chanvre pour "déstresser les urbains”, pourrait se résumer en une chanson qu’elle a choisie : “Ride like the wind” de Christopher Cross. Avec ses mots, cela donne : “Profiter du chemin et prendre du plaisir en toute chose. Il n’y a pas de destination dans l’entrepreneuriat. Il n’y a pas de destination dans la vie. On est. Si on se laisse porter, on peut voler et s’amuser”. Portée par son rapport à la nature, on vous laisse découvrir pourquoi Laure Bouguen a fait le choix de gérer son entreprise à distance, en tant que nomade du 21e siècle, pendant un an. Les profanes pourront apprendre comment son expérience de cérémonies d’ayahuasca au Costa Rica a changé sa vie. En revenant à un sujet plus terre-à-terre, la jeune femme le reconnaît : elle n’a pas choisi la facilité en se lançant dans cette activité très normée, où communiquer et réaliser des ventes en ligne relèvent parfois du miracle. Depuis les débuts de l’entreprise, née sur les fonts baptismaux d’un projet de fin d’études en école de commerce, l'imaginaire collectif derrière le chanvre - les effets psychotropes du cannabis - complique sérieusement l’activité d’Ho Karan. Des publicités sur Facebook ou Instagram ? Impossible. Utiliser la plateforme Stripe pour les paiements ? Impossible. Faire une campagne sur Kickstarter ? Impossible.Financement, marketing, stratégie, covid, licenciements… L’histoire entrepreneuriale de Laure Bouguen est une succession de hauts et de bas. Avec une rare transparence, elle raconte tout de ce chemin accidenté. Pour autant, malgré toutes ses galères, elle ne se définit pas comme une personne résiliente, un mot dans lequel “il y a une idée de douleur” selon elle. “Je préfère parler de flexibilité. Il faut accepter de changer.” Persuadée des bienfaits de ses produits naturels pour le corps et l’esprit, elle développe aussi son entreprise au gré de ses envies. Elle vient ainsi d’inaugurer un espace dans le 3e arrondissement de Paris, à la frontière entre une boutique, un spa et un lieu de restauration.  “Ho Karan, c’est un projet de vie”, confie-t-elle.Sa nouvelle idée : transformer le square du carreau du Temple à Paris en forêt comestible. Une utopie ? On ne pariera pas sur le fait que cette femme engagée ne réussisse pas à relever ce challenge.Côté “Sista”, Laure Bouguen a choisi Sarah Msika, fondatrice de Plantation, et Fleur Phelipeau, de D-Labs. Dans cet épisode, on cite Frédéric de Gombert, Horace, Audencia, entourage network, Thierry Van de Weld, Nature et découvertes, Sephora, agence RDAI, Lita.co, prix Moovjee, Mickaël Froger de Lengow, Station F, Studio Harmonic. A vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
loading
Comments 
Download from Google Play
Download from App Store