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Je suis indépendant.e

Author: Je suis indépendant.e

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Le podcast des indépendants
Imaginez un monde sans chef et sans hiérarchie. Un monde où des chemins de traverse, sinueux remplaceraient souvent les autoroutes rectilignes. Vous le sentez ce petit parfum d’aventure là ? Il hume le risque et l’excitation. Il ouvre le champ des possibles. Imaginez enfin que dans ce monde, travailler pourrait être un synonyme d’aimer. Une utopie? Et bien non: bienvenue dans l’univers des indépendants. 
En Suisse, ils représentent près de 10% de la population active. Alors forcément, ils sont un peu singuliers ces professionnels qui préfèrent l’autonomie à la sécurité, ces passionnés, ces créatifs, ces audacieux surtout.
Je m’appelle Laetitia Wider. Je suis journaliste, et pour toutes les raisons que je viens de citer, « Je suis indépendante ». Et je tends le micro à mes pairs. Ouvrez vos oreillles ! 

Ce podcast est né d'une campagne de crowdfunding (https://wemakeit.com/projects/je-suis-independant-e)lancée durant le confinement. Il entend donner la voix aux travailleurs indépendants, dont on a découvert, à l'occasion de cette crise du Covid-19, la précarité du statut, et l'infinie richesse en ressources pour rebondir.  Vous entendrez ici le récit de parcours atypiques, des doutes, des joies, des défis, des peurs. 

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22 Episodes
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Vous écoutez un épisode spécial réalisé en partenariat avec le Centre Patronal.   Partant du constat, que nous les indépendantes et indépendants, nous ne sommes pas toujours les reines de l’administratif, dans cet épisode on fait le point sur la prévoyance. Vous savez, ce qui devrait nous permettre d’avoir une retraite descente, et qu’on néglige bien souvent, par flemme, par manque de moyen, par négligence ou par ignorance. Alors on reprend les base avec Sandy Hennemann, conseillère à la clientèle au Centre Patronal. Cet épisode est un partenariat  avec le « Centre Patronal, l’entreprise au service des entreprises et de l’économie privée »    Et si vous aussi, vous voulez soutenir mon travail, n’hésitez pas à me contacter via la page instagram du podcast . 😀 Podcast produit par Laetitia Wider / akouOeido médias  🎤 Soutenir le podcast en faisant un don mensuel ou unique sur la cagnotte tipeee  🎙️ Sponsoriser un épisodeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
  C’est un invité un peu special que je reçois dans cet épisode. Déjà, parce que son parcours de vie est tout à fait singulier. Mais aussi, parce que que j’ai rencontré Nico à une période très particulière de ma vie, un moment de bascule où j’avais les pied entre deux continents et une montagne d’incertitudes à l’horizon. On s’est retrouvé tous les deux en plein désert mexicain, à suivre une formation de yoga très bancale, un peu sectaire et pas franchement formatrice. Nos esprits critiques se sont reconnus et nous ont permis de faire front contre la bêtise. Au milieu ce magma obscur, c’est toujours très rassurant de percevoir la lueur d’une âme éclairée. L’épilogue de cette histoire-là, qui n’est pas celle que vous allez écouter aujourd’hui, c’est que j’ai conservé une relation assez distante avec le yoga alors que Nico lui, en a fait un métier passion.    Et c’est ça l’histoire qu’on va vous raconter aujourd’hui : celle d’un mec brillant qui a suivi le fleuve, d’école d’ingénieur en stages internationaux jusqu’au cœur de la Sillicon Valley. Elle pourrait s’arrêter là, et être une enième succes story dans la start-up nation sauf qu’un jour, à 27 ans, c’est le court circuit. Nico perd le sens de tout. Il entame alors un repli du monde, et se dessine vagabond des mers, en quêtes des antipodes géographiques et intérieurs.    Dans cet épisode on va parler intuition, sens, déconstruction des schémas, écoute de soi.Prêt pour ce voyage ? Il commence à l’envers, sur la côte basque Cet épisode a été soutenu par le « Centre Patronal, l’entreprise au service des entreprises et de l’économie privée »    Et si vous aussi, vous voulez soutenir mon travail, n’hésitez pas à me contacter via la page instagram du podcast .  🧘🏼‍♂️ L'instagram d'antipodes  😀 Podcast produit par Laetitia Wider / akouOeido médias  🎤 Soutenir le podcast en faisant un don mensuel ou unique sur la cagnotte tipeee  🎙️ Sponsoriser un épisode 🧠 Le paradoxe de Jevons (évoqué par Nico dan s l'épisode) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Vous écoutez  "Je suis indépendant.e",  le podcast qui donne de la voix à l’audace d’entreprendre. Aujourd’hui, on va voyager un peu. Cet épisode est le premier, mais pas le dernier, qui franchit nos frontières helvétiques. Nous voilà donc, sous le soleil portugais de Lisbonne, une ville qui est un peu devenue le nouvel eldorado des digital nomades et de nombreux indépendants européens en quête de climat plus doux.    Gregory, me reçoit chez lui, dans cet appartement qu’il a investi il y a quelques mois, après avoir quitté la vie parisienne. A l’étage inférieur,  des ouvriers s’affairent, et ça, c’est une nouvelle qui ravit moyennement la podcasteuse en goguette que je suis.   Analyste culturel, conférencier, expert en stratégie marketing,  auteur & podcasteur, Greg s’affiche multifacettes, une vraie boule à disco. Son podcast Vlan, est d’ailleurs  l’un de ceux qui m’a donné envie de créer le mien. Quand j’ai vu sur les réseaux sociaux qu’il avait déménagé à Lisbonne, j’ai eu envie d’en savoir plus. Allez, petite visite guidée.  Cet épisode a été soutenu par le « Centre Patronal, l’entreprise au service des entreprises et de l’économie privée »    Et si vous aussi, vous voulez soutenir mon travail, n’hésitez pas à me contacter via la page instagram du podcast .  😀 Podcast produit par Laetitia Wider / akouOeido médias  🎤 Soutenir le podcast en faisant un don mensuel ou unique sur la cagnotte tipeee  🎙️ Sponsoriser un épisode L'instagram de Vlan podcast  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut !  Ca fait un moment, hein ? Je ne sais pas vous, mais moi, vous m’avez manqué. J’étais partie pour faire une petite pause de quelques mois, et entre doutes, tergiversations, cogitations,recherche de fond infructueuses, envie de tout arrêter et parfois de pleurer, presque une année, s’est écoulée, comme ça, en un claquement de doigt.   Mais je suis arrivée à la conclusion, que ce podcast je l’aimais, et à priori vous aussi, et que de ne pas avoir trouvé la formule magique pour le financer, n’était pas une raison suffisante pour l’arrêter.  Donc, la voilà, la saison 3 qui démarre, avec une nouveauté de taille, j’ai décidé de profiter de mes escapades hors des frontières suisses pour vous faire découvrir, ailleurs aussi, des indépendantes et des indépendants inspirants.  Bref, on voyagera un peu. Et qui dit saison 3, dit nouveau générique. Aller, c’est parti !   Vous écoutez  "Je suis indépendant.e",  le podcast qui donne de la voix à l’audace d’entreprendre.    Cet épisode nous emmène dans les hauteurs. Il a été enregistré à la fin de l’été, en Valais,  à 1250 m d’altitude. C’est dans l’univers d’une rousse qui n’a pas que le cheveux flamboyant que je vous emmène .    Stélina est créatrice textile, et son truc à elle, c’est l’engagement. On lui doit ainsi, une des premières marques de culottes menstruelles Suisse, colorée et décomplexée, à son image. Chacune bien installée avec notre de thé en main, la discussion démarrer dans l’atelier boisé.      😀 Podcast produit par Laetitia Wider / akouOeido médias  🎤 Soutenir le podcast en faisant un don mensuel ou unique sur la cagnotte tipeee  🎙️ Sponsoriser un épisode L'instagram de Ounâ  L'instagram de Je suis indépendant.e Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a l’allure juvénile mon invité du jour : baskets, jeans, écharpe souple avec toujours une pointe d’élégance. Mais plus que dans son look, on le remarque surtout dans cette lueur de malice, vous savez celle qu’on trouve dans le regard des enfants quand ils sont tout entiers absorbés par les histoires qu’ils imaginent. Pourtant, Jacques n’est plus un enfant, du moins civilement, il est même en âge d’être à la retraite. Enfin, ça serait peut-être dans une vie parallèle, où il n’aurait pas cultivé ce goût de la transmission, cette passion pour la création et pour les gens. Jacques est un artiste, un peintre abstrait. En parallèle, il enseigne depuis plus de 40 ans, le dessin aux adultes. Ces cours ne désemplissent pas, certains de ses élèves lui sont d’ailleurs fidèles depuis des décennies.  Entre les rouleaux de feuilles, les chevalets et les pinceaux, il m’attend, et il est un peu anxieux à l’idée de cet entretien. 🎨 Le site de Jacques Walther ➡️ Pour soutenir financièrement le podcast sur Tipeee 🎤 La page du podcast "Imaginez un monde sans chef et sans hiérarchie. Un monde où des chemins de traverse, sinueux remplaceraient souvent les autoroutes rectilignes. Vous le sentez ce petit parfum d’aventure là ? Il hume le risque et l’excitation. Il ouvre le champ des possibles. Imaginez enfin que dans ce monde, travailler pourrait être un synonyme d’aimer.  Une utopie ?  Et bien non :  Bienvenue dans l’univers des indépendants. En Suisse, ils représentent près de 10% de la population active. Alors forcément, ils sont un peu singuliers ces professionnels qui préfèrent l’autonomie à la sécurité, ces passionnés, ces créatifs, ces audacieux surtout. Je m’appelle Laetitia Wider. Je suis journaliste, et pour toutes les raisons que je viens de citer, « Je suis indépendante ». Et je tends le micro à mes pairs. Ouvrez vos oreillles ! "Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, une fois n’est pas coutume, je vais vous raconter un conte de fée. Enfin… on va un peu bouleverser les codes, je vous préviens. Parce que dans le rôle de la princesse un peu badass, avec son culot et son insolante liberté, j’ai choisi Tami ! Cette brésilienne est arrivée en Suisse en 2014, pour y rejoindre son prince charmant. C’était après des mois de sac à dos, à arpenter seule les routes du monde, de l’Argentine à l’Asie en passant par l’Australie. Tatoueuse, illustratrice, graphiste, cette artiste pluridisciplinaire, réalise aussi des fresques avec son univers pictural très onirique. Elle a appris à dessiner sur les peaux en autodidcacte et est devenue l’une des tatoueuses les plus en vue du moment. Dans cet épisode on va parler d’audace, de liberté, de maternité, du Brésil, d’art, mais surtout d’amour. Et il y’en avait dès l’accueil, dans cet appartement veveysan qui sentait bon le café et le gâteau moelleux.   NDLR: Tami Hopf a soutenu le podcast en offrant ses prints et ses tatouages en contreparties du crowdfunding de "Je suis indépendant.e" 🎨 Le site de Tami 🎆 Son instagram ➡️ Pour soutenir financièrement le podcast sur Tipeee 🎤 La page du podcast "Imaginez un monde sans chef et sans hiérarchie. Un monde où des chemins de traverse, sinueux remplaceraient souvent les autoroutes rectilignes. Vous le sentez ce petit parfum d’aventure là ? Il hume le risque et l’excitation. Il ouvre le champ des possibles. Imaginez enfin que dans ce monde, travailler pourrait être un synonyme d’aimer.  Une utopie ?  Et bien non :  Bienvenue dans l’univers des indépendants. En Suisse, ils représentent près de 10% de la population active. Alors forcément, ils sont un peu singuliers ces professionnels qui préfèrent l’autonomie à la sécurité, ces passionnés, ces créatifs, ces audacieux surtout. Je m’appelle Laetitia Wider. Je suis journaliste, et pour toutes les raisons que je viens de citer, « Je suis indépendante ». Et je tends le micro à mes pairs. Ouvrez vos oreillles ! "Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour inaugurer cette nouvelle saison,  quoi de plus logique que de commencer avec une artiste, je dirais même une artisane de la culture. Mais oui, vous savez la culture, celle qui fait habituellement danser nos oreilles, vibrer nos cœurs. Celle qui nourrit nos âmes et les rassemble.  Sara, c’est avec un archet qu’elle réalise ce miracle là. Cette violoncelliste atypique, mordue de rencontres et de détours inattendus a choisi d’écrire une partition un peu dans la marge. Que ce soit en accompagnant Sophie Hunger sur une tournée pendant 2 ans, en s’occupant de chevaux, ou en baladant son violoncelle de sentier de randonnée en cabane de montagne, Sara se réinvente constamment. Pendant le confinement, elle est d’ailleurs l’une des premières à avoir proposé des concerts sur skype.  Ce petit gabarit à la créativité sans limite m’ouvre les portes de son chalet, à Leysin. Elle vient d’y emménager avec sa fidèle compagne, Poilue.  🎼 Le site de Sara Oswald ➡️ Pour soutenir financièrement le podcast sur Tipeee 🎤 La page du podcast 🎥 Vincent Munier, l'éternel émerveillé "Imaginez un monde sans chef et sans hiérarchie. Un monde où des chemins de traverse, sinueux remplaceraient souvent les autoroutes rectilignes. Vous le sentez ce petit parfum d’aventure là ? Il hume le risque et l’excitation. Il ouvre le champ des possibles. Imaginez enfin que dans ce monde, travailler pourrait être un synonyme d’aimer.  Une utopie ?  Et bien non :  Bienvenue dans l’univers des indépendants. En Suisse, ils représentent près de 10% de la population active. Alors forcément, ils sont un peu singuliers ces professionnels qui préfèrent l’autonomie à la sécurité, ces passionnés, ces créatifs, ces audacieux surtout. Je m’appelle Laetitia Wider. Je suis journaliste, et pour toutes les raisons que je viens de citer, « Je suis indépendante ». Et je tends le micro à mes pairs. Ouvrez vos oreillles ! " Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
EMMANUELLE - AUTRICE

EMMANUELLE - AUTRICE

2020-12-2446:43

Pour clôturer cette première saison, j’accueille Emmanuelle. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette autrice tout juste trentenaire, manie les mots sans langue de bois. Drôle, incisive, elle a d’abord étudié la photographie. Sans doute parce que ce qu’elle aime plus que tout, c’est observer le monde et le raconter. Mais elle a préféré la plume à l’objectif, quitte à parfois surprendre et déplaire par son franc parler. Scénariste pour le cinéma, Emmanuelle va bientôt publier son premier roman dans une fameuse maison d’édition française. On la retrouve, légèrement fatiguée, à la sortie d’un tournage.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus   SOUTENIR LE PODCAST  TOUS NOS LIENS SPONSORISER UN OU PLUSIEURS ÉPISODESHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un épisode rempli de digressions et de poésie qui vous attend aujourd’hui. Je vous emmène rencontrer Karim dans sa caverne d’Ali Baba : une bouquinerie en plein cœur de Neuchâtel. Si vous passez parfois par là, vous l’avez peut-être aperçu avec son chignon haut sur crâne, déclamer dans la rue les vers d’un jeune poète prometteur ou le passage d’un roman de Romain Gary, son auteur fétiche. Il fait ça Karim, comme ça, juste pour le plaisir du partage et l’amour de la littérature.  C’est une personnalité qui travaille pour vivre et carbure à la rencontre. A 40 ans, il cumule les petits jobs pour vivre son rêve d’indépendance. Un rêve de lecteur surtout. Ce grand gaillard me reçoit un soir de novembre dans sa librairie. Il fait un peu frais entre les pierres centenaires, mais Karim réchauffe à lui tout seul le lieu de sa généreuse personnalité. La théière est sur son réchaud. La visite peut commencer.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus   SOUTENIR LE PODCAST  TOUS NOS LIENS Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un épisode spécial que vous écoutez. Plus court que d’habitude, et sans doute un peu plus énervé. Je m’entretiens avec Christophe Roduit. Il est copropriétaire de 3 bars-restaurantsincontournables de le paysage lausannois. Avec d’autres patrons de restaurants, de clubs et de bars vaudois, il se sont réunis dans un mouvement qu’ils ont tout simplement nommé #quivapayerladdition. Car avec les fermetures liées à la crise sanitaire, certains d’entre eux sont à deux doigts de mettre la clé sous la porte. Alors leur mouvement réclame une aide d’urgence immédiate. On retrouve un Christophe, un peu fatigué, il en est à sa 3ème cigarettes en moins de 15 minutes.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF,l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Véronique, je l’ai rencontrée en préparant un autre projet, sur les proches aidants. Vous savez ce sont ces membres d’une famille qui vont assister, accompagner, soigner l’un des leurs durant sa maladie. Véronique, elle s’est occupée de son mari, pendant plus de 20 ans. Et ça, ça l’a forgée, pour ne pas dire marquée à vie.  Alors aujourd’hui, cette art-thérapeute accompagne des gens qui ont connu une grosse cassure. Parce ce qu’elle l’a expérimenté dans son cœur et dans sa chair, c’est un peu devenu sa signature : elle répare les âmes en morceaux mais aussi les objets brisés selon un art ancestral japonais, le kintsugi.   C’était cet été, derrière la porte de son atelier, cette femme solaire, avec ses cheveux roses et ses grandes lunettes papillon me tend une tasse de thé pour m’accueillir, et  entame la visite guidée.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette semaine de la Toussaint, un peu particulière 2020 oblige, j’ai choisi de vous faire rentrer dans l’univers de Sandra. Notre première rencontre, si elle était probablement banale pour elle, ne l’était pas pour moi. C’était il y a 6 ans, et je venais de perdre mon papa. Inimaginable alors de lui penser une cérémonie religieuse, lui qui avait autant de lien avec les dogmes que moi avec les extras-terrestres. J’aurais eu l’impression de le trahir si son dernier adieu était habillé de psaumes et de textes lithurgiques. Mais heureusement, il y a eu Sandra, elle venait de lancer son activité d’officiante de cérémonies laïques. C’est elle qui a pris en charge ce moment délicat, avec beaucoup de douceur et de finesse.  Avec Sandra nous avons parlé de la mort évidemment, mais surtout de la vie. Car ce sont les vivants qui affrontent la mort, l’absence et le vide. Cet épisode a été enregistré au début de l’été, quand tout allait mieux. Et j’ai commencé par lui demander comment elle avait vécu cette période de confinement, où beaucoup ont été en privé d’adieux.  Nous avons parlé de la difficulté de ne pas pouvoir faire ses adieux durant cette crise du Covid (3'38), de la nature particulière des cérémonies laïques (6'25), de son enfance et de son parcours (12'26), des premières céremonies (17'17), de la difficulté à gérer certaines morts violentes (18'15), de sa grand-mère médium (22'22), de sa carrière de journaliste (27'17), de l'envie d'indépendance (32'10) , de la notion de paresse qui colle si mal à l'indépendance (38'00),  de son combat contre le cancer et de la précarité de l'indépendant face à la maladie (38'54), son regard sur la mort (44'02), la concurrence  dans le métier(45'51) et enfin d'audace (49'28)! Et si le sujet vous intéresse, Sandra Widmer Joly a également écrit un guide sur la mort. Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aller écouter une rediffusion d'un épisode enregistré au printemps dernier, à la sortie du semi-confinement. A l'heure où les mesures pour freiner le virus se durcissent une nouvelle fois,  les travailleurs.euses du sexe risquent encore d'être en première ligne des victimes collatérales de cette lutte contre le Covid19. Alors écoutez ou réécoutez, le témoignage de Yumie, et son point de vu construit et argumenté sur le travail du sexe.  Je dois vous le dire, cet épisode me tient particulièrement à cœur. Déjà parce, cette semaine, nous allons fêter les un an de la grève des femmes. C’était le 14 juin 2019, et sans emphase je crois qu’on peut dire que c’était une journée historique. Alors il me semblait important de marquer le coup, en recevant ici, une femme majuscule: indépendante, affirmée, forte, déconstruite et évidemment féministe. Et au détour des réseaux sociaux, je suis tombée sur une interview de Yumie. Et j’ai su que c’était elle. Yumie a 25 ans, elle est originaire de Normandie, et elle est travailleuse du sexe. Son métier, elle l’a choisi. Elle l’aime. Et comme toutes les passionnées, elle le sublime et le défend avec ferveur et réalisme, loin des poncifs et de clichés.  Alors, la première question que j’ai posé à Yumie, c’est comment, en société, elle expliquait la nature de son travail?  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus qui ont également soutenu le projet.  Et place au podcast ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fichtre! "Interjection qui marque l’étonnement, l’admiration", nous dit le Larousse. Et c’est ce mot qu’il a choisi pour habiller ses activités d’illustrateur et de graphiste. Et c’est vrai qu’il est suprenant Mathias Forbach, de son vrai nom. Cet artiste, un peu bohème, un peu torturé, juste ce qu’il faut, questionne et affronte ses vulnérabilités et ses peurs à la pointe de son stylo.  S’envoler par exemple, dans une carlingue, à 10 000 mètres d’altitude, un exploit inimaginable. Mais ça c’était, avant. Avant qu’il ne relooke complètement deux avions Swiss. Rien de moins que ça. Alors avec ce timide barbu de 37 ans, nous avons parlé d’identité, de complexe de l’imposteur, de zone de confort, et de Vevey aussi, sa ville de naissance et de cœur, où cet épisode a été enregistré !  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout le monde la surnomme Moody, petit diminutif de son prénom aux accents perses : Moloudi. On sent déjà une promesse d’ailleurs. Et l’ailleurs, pour Moody, c’est la marge. Celle des pages qu’elle aime noircir de mots ou de collages, celle d’où elle observe le monde avec lucidité, de son esprit bien déconstruit. En tous cas pas celles où l’on colle des étiquettes. Les carcans, les boites, les cases, elle déteste ça. Moody cuisine, dessine, accompagne, invente et se réinvente constamment. Créative, plurielle et tout à fait singulière, elle ne gagne pas sa vie, elle la vit. On la retrouve dans son petit antre lausannois, juste à côté de ses plants de tomates.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cet épisode de rentrée, je vous emmène du côté de Neuchâtel, dans une maison un peu particulière. Cette demeure contemporaine, ce n’est pas la caverne d’Ali Baba, mais celle d’Élodie. Cette trentenaire, autodidacte, chineuse affûtée parcourt les brocantes, rénove des meubles, déniche des artistes suisses et décore aussi les intérieurs des autres.  Dans sa maison familiale, c’est bien simple quasiment tout est à vendre. Son concept s’appelle «J’aime pas les dimanches». Et ça tombe sous le sens quand on est aussi hyperactive qu’elle. C’est entre ses murs couleur réglisse, ses canapés en velours olives et ses commodes vintage qu’on la retrouve.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un arrosoir à la main, que je retrouve Christian, chez lui, à quelques encablures du Lac de la Gruyère. C’est ici que ce contemplatif, amoureux de la nature s’est créé un refuge loin des tumultes de sa trépidante vie de galeriste. Fondateur de la Galerie C à Neuchâtel, ce presque quinquagénaire mène une vie plurielle, bistrotier, diététicien, cuisinier amateur, épicurien, évidemment. Avec lui nous avons abordé la fragilité de l’existence et l’importance de la mener pleinement, avec passion, absolu et beauté. Mais avant, nous évoquons son tout nouveau projet.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus  et à Marie Marchand de l'agence azimut qui ont également soutenu le projet. Et place au podcast ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est dans son tout petit bureau, en plein cœur de Neuchâtel que je retrouve Florence. Elle et moi, on se suit de loin, depuis longtemps. A l’époque, nous étions toutes les deux salariées dans la même entreprise de médias. On n’a pourtant jamais travaillé ensemble. Alors sans vraiment la connaître, je l’ai toujours estimée pour sa force de caractère, son authenticité, son goût de l’humain. Florence, comme on dit, est une plume. Elle joue des mots pour conter les vies grâce aux pratiques narratives. Intervenante en thérapie sociale et animatrice en journal créatif, elle accompagne les parcours avec sa palette riche en couleurs. Et le champs des nuances est tellement vaste, qu’elle-même a parfois du mal à les décrire Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus  et à Boris de la boutique Pyrma Mobilier à Lausanne qui ont également soutenu le projet.  Et place au podcast !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je dois vous le dire, cet épisode me tient particulièrement à cœur. Déjà parce, cette semaine, nous allons fêter les un an de la grève des femmes. C’était le 14 juin 2019, et sans emphase je crois qu’on peut dire que c’était une journée historique. Alors il me semblait important de marquer le coup, en recevant ici, une femme majuscule: indépendante, affirmée, forte, déconstruite et évidemment féministe. Et au détour des réseaux sociaux, je suis tombée sur une interview de Yumie. Et j’ai su que c’était elle. Yumie a 25 ans, elle est originaire de Normandie, et elle est travailleuse du sexe. Son métier, elle l’a choisi. Elle l’aime. Et comme toutes les passionnées, elle le sublime et le défend avec ferveur et réalisme, loin des poncifs et de clichés.  Alors, la première question que j’ai posé à Yumie, c’est comment, en société, elle expliquait la nature de son travail?  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus  et à Boris de la boutique Pyrma Mobilier à Lausanne qui ont également soutenu le projet.  Et place au podcast ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je reçois Jorge. A 47 ans, son parcours ressemble à un numéro d’acrobate, jalonné de grands écarts et de pirouettes.  Producteur de musique, roi de la nuit, directeur d’hôtel, restaurateur, puis blogueur et journaliste, il est aussi commerçant depuis le mois d’octobre dernier. Les casquettes se succèdent pour ce passionné d’automobile et d’horlogerie, mais elles sont toujours portées avec élégance. C’est sans doute pour ça qu’il a été élu comme l’un des 10 journalistes les mieux habillés de la planète par le magazine américain Adweek. Oui, oui, rien que ça. C’est pourtant, en t-shirt noir, tout simple, que Jorge m’accueille chez lui, juste quelques jours avant la réouverture de sa boutique. Et il revient sur cette étrange période, où confiné, il a vu ses revenus et son optimisme se réduire comme peau de chagrin.  Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux.  Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants.  Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui.  Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci. Et place au podcast ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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