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Déferlante - podcast provocateur de plaisir

Déferlante - podcast provocateur de plaisir
Author: Supernova
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© 2023 Supernova
Description
Podcast agitateur d'émotions. Fictions très coquines. Collaborations torrides avec des auteurs érotiques. Voulez-vous devenir personnage de podcast? Osez partager votre intimité, et Supernova mettra votre récit en mots et en voix, dans un épisode personnalisé. Sur le podcast érotique qui vous met à nu.
Nouveaux épisodes les 10, 20 et 30/mois, à 20h. Supernova vous raconte des histoires à l'accent sexy, pour mieux apprivoiser le désir. Sur le site www.deferlante.be vous trouverez de véritables séries érotiques. Échanger en privé avec Supernova et découvrir les coulisses du podcast? Demandez le statut VIP, gracieusement.
Nouveaux épisodes les 10, 20 et 30/mois, à 20h. Supernova vous raconte des histoires à l'accent sexy, pour mieux apprivoiser le désir. Sur le site www.deferlante.be vous trouverez de véritables séries érotiques. Échanger en privé avec Supernova et découvrir les coulisses du podcast? Demandez le statut VIP, gracieusement.
122 Episodes
Reverse
J'ai 45 ans et j'avoue que jusqu'à présent, je n'ai connu qu une seule panne. A mes yeux, la sensualité et le désir sont les choses les plus importantes, pour une sexualité aboutie. Par contre, je peux toujours avoir une érection comme un gamin devant une image, une scène ou une personne qui me donne envie, peu importe où je me trouve. A vrai dire, il y a plus de détails qui me font bander que débander.
Longtemps, j'ai eu une gêne visible dans mon maintien, ma conversation. Une gêne qui se nourrissait d'elle-même, en fait. Progressivement, ces choses se sont estompées, notamment avec un déniaisage plutôt tardif, à mes 22 ans. L’autre jour, j’ai fait du "floating" dans un caisson d’isolation sensorielle. En me connectant à mes sensations, j’ai ressenti beaucoup de bonheur et de gratitude envers mon corps. La fois d’après, j’ai même eu une érection dans le caisson par le simple plaisir de... respirer.
André regarde comment Fred caresse mon intimité. Je me suis livrée à ces deux hommes d’apparence très anodine. Les caresses me font jouir intensément, je crie de plaisir. André pense que Fred devrait s’arrêter mais il répond: "- Encore un peu… Elle va mouiller, elle va gicler partout, attends!" Et je mouille partout, je coule, je fonds de plaisir. Lentement il se retire, j’ai soif, je bois plusieurs verres d’eau. Je me sens bien, vivante, belle.
Ce jour-là, j’étais nue sous ma robe, excitée comme une adolescente. Dans mon bas-ventre, la boule de désir me brûlait littéralement. Je mouillais et je regrettais de ne pas avoir enfilé une culotte.
Alors, mes premiers émois corporels? J'étais pré-pubère, je devais avoir 10 ou 11 ans je crois, lorsque j'ai trouvé un jour une culotte d'une amie de ma mère. La culotte n'avait rien d'extraordinaire, elle était marron clair, avec une bordure en dentelle. Allez savoir pourquoi je me souviens de ces détails après toutes ces décennies.
Je savais que deux rues plus loin, il y avait un "love hôtel". J'ai demandé une chambre pour l'après-midi. Une fois la porte refermé derrière nous, je l'ai juste laissé faire: il m'a baisée dans tous les sens, pendant plusieurs heures. D'abord, il m'a fait descendre à genoux devant lui, sûrement un fantasme inassouvi. Il l'a fait maladroitement, avec impatience, en appuyant ses mains sur mes épaules. Mon envie de le sucer et la gravité terrestre ont fait le reste.
Si je devais changer quelque chose? Je ne changerais rien à ce que mon corps est devenu. Je ne suis pas du genre à suivre des modes vestimentaires, ni du genre à vouloir confier mon corps à la science dans le but de l’embellir, ni du genre à vouloir à tout prix ressembler à quelqu’un! Non, je suis moi et c’est très bien comme ça!
Je n’ai pour l’instant jamais eu de problème d’érection. Quand je n'ai pas bandé, c’est que nous étions en crise avec ma partenaire. Et même dans ces cas-là, c’est extrêmement rare. Le simple fait de toucher sa peau m’électrise. La sensualité a une part primordiale pour moi dans l’amour et le sexe.
Ses jambes qui dépassent de son peignoir blanc sont luisantes, fraîchement épilées, les ongles de ses pieds soigneusement vernis d’un rouge écarlate. D'ordinaire, je ne suis pas particulièrement fétichiste. Elle avance son pied droit sur la pointe pour mieux me le faire admirer, sa voûte se cambre, je veux le prendre dans mes mains.
"- C’est vrai qu’elle a bien travaillé..." fit-elle d’une moue satisfaite.
C’est alors que j’aperçois un détail qui m’avait échappé de prime abord...
Encouragée et désirée, elle finissait par s'arrêter au centre. La bouche bien au-dessus de la verge, à quelque centimètres seulement. Son souffle caressait tendrement la peau fine. S'il avait pu, le gland aurait attrapé la chair de poule. A vrai dire, elle aimait sucer, longuement, sans but. D'abord, pour son plaisir à elle. Parfois, elle ressentait la fierté de faire grandir le pénis dans sa bouche.
Je fais partie d'une génération où le corps sexualisé de la femme, voire la nudité féminine, étaient partout. Dans les émissions TV, dans les séries et bien sûr dans les films. "Alerte à Malibu", "Basic Instinct", "9 semaines et demi". Même dans certaines publicités, les femmes prenaient leur douche seins nus. Le mercredi début d'après-midi était réservé pour regarder un épisode d'Alerte à Malibu, avoir une érection avant d'aller au sport.
"Elle sait que j'en baise plein d'autres. Que j'aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fessées qui claquent, en leur disant des mots crus et sales à l'oreille."
Voix masculine de l'épisode: Seb Koneko. Vous pouvez lire ses écrits ici: https://www.inkitt.com/konekoseb Special Guest: Seb Koneko.
"Je contrôle beaucoup mieux mon corps actuellement et donc j'éprouve de bien meilleurs orgasmes. Le désir est là en permanence, ou presque. Et je ne m'en prive pas... Dans la partie "découverte de nouveaux plaisirs" pour moi ça a été en premier le Tantra. Sur le conseil d'une amie, j'ai pris rendez-vous un jour et ça a été... une révélation! Un choc, quelque chose d'indescriptible: se reconnecter ainsi à son corps." Le podcast érotique Déferlante vous invite à participer à un concours anniversaire pour fêter ses 3 ans. Infos sur le site www.deferlante.be
Performance "live" sur la scène du festival de podcast PodRennes 2023. Intro pré-enregistrée de 4 minutes (pour créer l'ambiance) suivie d'une mosaïque de 5 mini-récits. Du plus doux (adolescents en train de tomber amoureux à l'arrêt du bus) jusqu'au plus torride (un massage tantra). J'ai adoré cette soirée! Merci à l'équipe du festival pour leur invitation.
Pour ces rendez-vous indécents, elle n'aimait pas porter de culotte. Porter un bustier, un harnais, un porte-jarretelles, un plug... tout ce que vous voulez, mais pas de culotte! Rien que l'idée que son sexe ou son cul soient disponibles d'emblée, ça la faisait mouiller abondamment.
Le désir n'est pas synonyme d'érection, tout comme l'éjaculation n'est pas synonyme de jouissance. L'absence d'érection, cela n'arrive pas qu'aux autres. Il faut simplement passer à autre chose, l'essentiel étant de faire plaisir à sa partenaire. Moi, je suis totalement épilé mais je n'ai rien contre le fait que ma partenaire ne le soit pas, bien au contraire. Avec l'âge j'apprécie de plus en plus les chattes fournies et poilues.
Ce que je fais avec les hommes, je le fais parce que j’en ai envie. C’est à moi que je fais plaisir d'abord. Et cela fait kiffer les mecs de voir que j’aime ça. Apparemment. Pour revenir à lui, oui... il a du pouvoir sur moi et j’aime ça. J’aime m’y abandonner. J’ai envie de me transformer en petite chienne soumise, et c’est finalement ce que je fais... en acceptant de le suivre, à quatre pattes, nue et avide de prendre enfin son sexe dans ma bouche.
Je n’ai pas de rapport particulier à la masturbation, mais... je l’ai beaucoup pratiquée après l’avoir découverte. Je n’avais pas de rapports sexuels, mais la sexualité m’intéressait d'autant plus. Assez jeune j’ai toujours eu l’esprit curieux, et peut-être même un peu pervers pour ce qui concerne le cul.
Au début, je me masturbais comme les filles, en me frottant contre le matelas. C’est con, mais c’était ainsi que beaucoup faisaient donc je faisais de même. J’ai découvert la main vers mes 15 ans, un peu par hasard. J'ai un souvenir douloureux de ma 1ère éjaculation, la prostate qui se mettait en route, sans doute.
J’ai quelques souvenirs d’érections lorsque j’étais un petit enfant, sans véritablement comprendre ce qui se passait. Moi, j'ai appris à lire tout seul, alors j’ai toujours été en avance à l’école, ce qui fait qu'en fait j'étais le plus jeune de ma classe. Les filles me voyaient plutôt comme un "petit frère" mignon et sympa, qu’il fallait protéger, plutôt qu'un "mâle alpha" de la cour de récréation. J’étais plus petit que quasiment tout le monde et je me souviens très bien que je me trouvais moche, pâle et gringalet.