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Le cheval ? Des métiers !
Author: Equi-ressources
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© I am an Equestrian Le Podcast
Description
Le cheval ? Des métiers ! C'est le podcast présenté par le service d'Equi-ressources pour présenter les coulisses des métiers de la filière équine.
Le service recence plus d'une cinquantaine de métiers dont la plupart sont méconnus du grand public. Dans ce podcast, des professionnels feront alors part de leurs expériences.
Le cheval ? Des métiers ! Une production Eclat Agency.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le service recence plus d'une cinquantaine de métiers dont la plupart sont méconnus du grand public. Dans ce podcast, des professionnels feront alors part de leurs expériences.
Le cheval ? Des métiers ! Une production Eclat Agency.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
42 Episodes
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Avocate depuis presque 14 ans, Anne-Sophie Hibon a décidé d’allier sa passion pour les chevaux à sa pratique professionnelle. Véritable technicienne du droit, elle s’appuie sur les experts de la filière équine pour mener à bien son activité. Grâce à ses connaissances de la filière équine et les différentes formations qu’elle a pu suivre, Anne-Sophie gère aujourd’hui des dossiers traitant de droit équin. Chercher les informations, savoir écouter le client, savoir gérer les aspects techniques et sentimentaux sont autant de qualités nécessaires au bon fonctionnement de cette activité.Métier encore trop mal connu, c’est un métier qui gagne à sortir des séries télévisées et qui regorge de nombreuses facettes, il y a autant d’avocats que de façons d’exercer et il est important de pouvoir créer un lien de confiance entre le client et l’avocat.Nous avons beaucoup apprécié découvrir ce métier d’avocat avec Anne-Sophie, nous espérons que vous aurez autant de plaisir à l’écouter !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans la nouvelle saison de podcasts « Le cheval ? Des métiers ! ». Pour cette cinquième édition, nous vous avons prévu de belles surprises avec lesquelles vous pourrez découvrir des parcours ascensionnels, des métiers atypiques mais aussi les parcours de formation en études supérieures.Nous démarrons cette saison avec Yann Adam, directeur du Pôle Hippique de Saint Lô. Bien connu dans la région Normandie, il a su faire sa place au sein de la filière équine et plus particulièrement dans le secteur du Sport/Loisirs bien qu’issu du milieu des courses.Yann a démarré sa carrière dans la sauvegarde des races de chevaux de trait de la région Nord-Pas de Calais après avoir effectué son service militaire.Mais avec un objectif de travailler dans le management, il a quitté sa passion des chevaux pour se diriger vers l’agro-alimentaire en lien avec sa formation initiale et suivre un parcours de manager et de gestionnaire, tout en poursuivant sa formation afin de mieux maîtriser les aspects de gestion et d’avoir une vision globale de stratégie d’entreprise.Et l’opportunité s’est présentée, Yann réintègre la filière en 2013 pour occuper ce poste de directeur de Pôle.Si son parcours peut sembler atypique, il est néanmoins la preuve qu’il est possible d’avoir une belle évolution de carrière au sein de la filière équine, même si on est un ovni parmi les anciens.Nous avons été très inspirés par la rencontre et l’échange avec Yann Adam, nous espérons que vous le serez tout autant !Une production Eclat Agency ⚡️Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Charlène Lourd, responsable du service équi-ressources / IFCE, accompagnée de Maude Hatano-Chalvidan, professeure en sciences de l’éducation et de la formation et de Francis Mas, ancien cavalier professionnel spécialiste des jeunes chevaux et formateur de cavaliers, débattent autour d’un sujet d’actualité : le conflit entre l’appréciation du niveau des jeunes professionnels par les professionnels expérimentés et le manque de considération de l’environnement de travail pour rendre compétent et du temps nécessaire à l’acquisition des connaissances des gens de chevaux.Un sujet qui soulève de nombreuses interrogations auxquelles nos invités ont tenté de répondre en apportant leur expertise.Qu’est-ce que la compétence et comment devient-on compétent ? Le niveau de compétence évolue-t-il au fil des années ? Attend-on le même niveau de compétences aujourd’hui qu’il y a 20 ans et aurons-nous les mêmes attentes dans 20 ans ? Pour permettre la compétence, faut-il remettre en question le système ?D’un métier à un autre, la transmission des savoirs est différente et cela est dû à des exigences qui diffèrent également. L’évolution des compétences est propre à chacun, tout le monde n’évolue pas de la même manière. Si la compétence change avec la carrière, elle évolue aussi avec l’environnement.Un débat intéressant que vous pourrez découvrir dans son intégralité en écoutant Charlène, Maud et Francis au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plongée dès l’âge de 6 ans dans l’univers du cheval, Astride Hombeck nous raconte le parcours qui l’a menée aujourd’hui au métier de responsable d’élevage.Elle intègre à 14 ans l’école de Sées et obtient un Brevet professionnel effectué par alternance, suivi par un Bac Professionnel qu’elle complètera avec un BPREA. Ce qui lui permet d’obtenir les différentes connaissances utiles lors d’une installation.Après une carrière de cavalière et de groom, elle est aujourd’hui responsable d’élevage au Haras de Brullemail (61). Gérer les sorties des poulains et des juments, assurer le suivi gynécologique avec l’appui du vétérinaire, prévoir les inséminations pour la saison, effectuer les soins quotidiens et vérifier l’état de santé du troupeau, veiller les juments lors de la période des poulinages, … Voilà ce qui anime le quotidien bien complet d’Astride.Malgré les imprévus, la joie d’accueillir les poulains et de les voir évoluer est une grande source de motivation.Découvrez-en plus sur ce beau métier en écoutant Astride, véritable passionnée, au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maud Caillaud, responsable de la formation inséminateur et Quentin, élève au sein de la jumenterie du Pin nous présentent plus en détails en quoi consiste le Certificat d’aptitude aux fonctions d’inséminateur équin.Cette formation de 5 semaines fractionnées inclut 3 semaines de pratique et 2 semaines de théorie, durant lesquelles les apprenants étudient la récolte des étalons, la préparation des doses d’insémination, la physiologie de la reproduction, les réglementations, …Véritable complément pour aborder tous les domaines liés à l’élevage de chevaux, cette formation apporte une réelle diversité de compétences et permet de varier ses activités dans un exercice saisonné.Unique centre de formation en France, la jumenterie du Pin offre la possibilité à tous types de profil d’acquérir les aptitudes d’inséminateur sans être vétérinaire, contrairement aux autres pays Européens.Envie d’en découvrir plus sur cette formation qui offre de nombreuses opportunités dans l’élevage ? Maud et Quentin vous en parlent au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Margot, enseignante en zootechnie et Maëlys et Maeva, étudiantes au sein du CFA d’Yvetot nous présentent plus en détails en quoi consiste le CAPa Palefrenier-soigneur.Un cursus en deux ans durant lequel les élèves reçoivent un enseignement de base avec des matières telles que le français ou les mathématiques complétées par l’hippologie qui reprend les généralités autour du cheval.A cela s’ajoutent les techniques professionnelles qui sont les matières en lien direct avec le cheval.Avec un statut d’apprenti, l’avantage de cette formation est de pouvoir mettre en application sur le terrain tout ce qui a été vu en théorie : apprendre à manipuler un cheval, à le soigner ou encore à bien s’occuper d’une structure.Envie d’en découvrir plus sur cette formation qui permet de nombreuses possibilités dans son projet professionnel ? Margot, Maëlys et Maeva vous en parlent au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alicia, enseignante à la MFR de Vains, et Amandine, élève au sein de ce même établissement, nous présentent le Bac professionnel Conduite et Gestion d’une Exploitation Agricole (CGEA).Une formation en trois ans qui offre un cursus progressif avec des matières générales mais aussi des matières professionnelles dépendant de la spécialité choisie par l’élève.Trois années qui permettent aux jeunes de découvrir un maximum de structures et d’activités. Un bon moyen d’arborer l’ensemble du milieu agricole, équin ou d’autres productions et ainsi affiner son projet professionnel. Mais aussi d’appréhender le monde du travail et les responsabilités qu’il implique.Pour en savoir plus sur ce que peut offrir cette formation, rejoignez Alicia et Amandine au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Charlène et ses invités font le point sur la relation entre l’Homme et le cheval au travail. Ces partenaires sont-ils liés au point de partager un bien-être commun ?Afin d’obtenir une réponse à cette question, Sophie, Tanguy et Alice vous partagent leurs différentes études qui ont permis d’apporter un peu de lumière sur ce sujet complexe. Tout commence par la définition du travail et du bien-être de façon distincte avec l’interrogation d’une possible mise en place de règles universelles.Est-ce possible de créer un lien inter-espèces dans des conditions de travail qui évoluent sans cesse et quel impact a le réel sur l’action entre l’Homme et le cheval ? Ecoutez attentivement et vous pourrez alors observer ce lien se dessiner.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous partons à la rencontre de Muriel Hamon, vétérinaire équin à la clinique de Méheudin.Plongée dans un environnement familial médical et passionnée de chevaux, l’association de ses deux attachements était indéniable pour Muriel. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est orientée vers une école préparatoire pour ensuite poursuivre ses études en école vétérinaire après avoir obtenu son concours. Animée par des missions variées, Muriel nous raconte son quotidien rythmé par les saisons en élevage, les profils mais aussi les pathologies de ses patients à quatre pattes. Un métier qui permet d’être en constante évolution grâce à un travail d’équipe, des possibilités infinies de formations continues permettant de se spécialiser et un objectif commun : la santé du cheval.Vous avez à coeur de prendre soin de la santé des chevaux ? Muriel vous en dit plus avec passion au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La nouveauté de cette quatrième saison ? Les formations phares des métiers du cheval et ses coulisses grâce aux témoignages des formateurs et des stagiaires de la promotion sont à l'honneur !
Dans cet épisode, découvrez le « Certificat de Spécialisation éducation et travail du jeune équidé » avec Alban Notteau, formateur, accompagné de Djiby et Capucine qui ont suivi la formation.
Tous les trois sont de véritables passionnés des jeunes chevaux qui s'investissent pleinement dans les étapes cruciales à l'apprentissage d'un cheval de sport.
Au micro d'Eclat Agency, ils nous présentent les objectifs de la formation, le déroulé des tests de sélection, le contenu varié des 11 mois à l'école, ses particularités et ses points forts ainsi que leurs projets de carrière et les perspectives d’emploi.
« Se perfectionner dans toutes les techniques d’éducation et de travail du jeune cheval, que ce soit à pieds ou à cheval grâce aux cours et en faisant beaucoup de tours en compétition nous permet de gagner en compétences » apprécient Djiby et Capucine qui poursuivent pour l’un par un DEJEPS afin de se spécialiser dans le coaching et pour l’autre sur une place au sein d’une écurie de valorisation.
Alban précise, lorsqu’on l’interroge sur les débouchés professionnels suite à ce certificat de spécialisation, que « l’éducation, la valorisation et le travail du jeune cheval ainsi que tous les cours dispensés pendant la formation avec l’aspect commercialisation, présentation en concours modèles et allures […] donnent aux stagiaires des possibilités variées d’insertion professionnelle dans les écuries en Normandie qui sont toujours demandeuses de bons bras droits ou de cavaliers maisons et de concours».
Vous êtes passionné par les jeunes chevaux, travailleur et êtes intéressé par le métier de cavalier jeunes chevaux ? Ecoutez Alban, Djiby et Capucine qui vous parlent de la formation dédiée et vous livrent leurs expériences au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, accompagnez-nous à la rencontre de Laurie Briot, ingénieure Recherche & Développement au sein de l’IFCE.
Passionnée par les animaux d’élevage, Laurie a effectué deux ans de classe préparatoire en biologie après le bac afin de préparer au mieux le concours d’agronomie/vétérinaire. Elle a ensuite intégré l’école d’ingénieur Agrosup Dijon où elle a alterné cours théoriques généraux et périodes de stage pendant 2 ans avant de se spécialiser en ingénierie de l’élevage en troisième année.
Le métier d’ingénieur recherche et développement nécessite de faire preuve d’autonomie et de rigueur, afin de satisfaire les besoins des protocoles de recherche, mais également d’esprit de synthèse afin de pouvoir présenter ses résultats. Laurie nous livre ainsi avec passion : « il faut toujours se poser des questions et vouloir y répondre en mettant en place des études et des mesures sur le terrain, il y aura toujours des sujets à explorer ! ».
Au quotidien, Laurie apprécie « de ne pas avoir de routine car je travaille sur des thématiques très variées, cela me permet d’apprendre de nouvelles choses tous les jours », mais également de pouvoir travailler en équipe avec des éleveurs, des entraîneurs, des collègues chercheurs venus de l’étranger ou de l’Institut National de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE).
Vous aussi êtes curieux, rigoureux et passionnés par la recherche ? Découvrez plus en détails le métier d’ingénieur R&D ! Ecoutez Laurie au micro d’Eclat Agency. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après une pause estivale, les Chroniques du Docteure Charlène, présentant les résultats de recherche de la thèse sur les carrières professionnelles, reprennent et lancent la 4ème saison des podcasts d’équi-ressources. Ce 9ème épisode aborde la question de la fin de carrière et des raisons d’interruption. Dans cette table ronde, Charlène est accompagnée de deux anciens professionnels ayant eu des parcours variés au sein d’écurie de sport, de courses et de l’élevage.
Tout au long de l’année 2023, les chroniques du Dr Charlène vous proposent des supports d’information autour des questions de l’adéquation formation-emploi et des carrières professionnelles.
Découvrez les histoires passionnantes des parcours professionnels de Pascal et Marine et les raisons expliquant leurs reconversions à la lumière des résultats de recherche de Charlène au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce dixième épisode qui clôture la saison, nous avons été à la rencontre de Léa Lebriez, assistante d’élevage à l’Elevage Soledad.
Dès le lycée, Léa savait qu’elle souhaitait travailler aux côtés des chevaux et plus particulièrement des trotteurs. Elle a ainsi suivi un Bac Pro à l’école de Grosbois et a ensuite travaillé dans plusieurs écuries de course en ayant même la chance de courir pendant plusieurs années.
La passion de l’élevage l’a ensuite rattrapée, « ce que j’aime c’est voir mes chevaux naître, grandir et évoluer » nous précise-t-elle.
Au quotidien, Léa jongle ainsi entre ses deux casquettes de lad, lorsqu’elle entraîne les chevaux le matin, et d’assistante d’élevage en période de poulinage.
Léa l’avoue, ses journées sont bien remplies mais « même si on a l’air de faire tous les jours la même chose en fait nos journées ne se ressemblent jamais, il n’y a pas de routine avec les chevaux ! »
Exercer ces deux métiers constitue un avantage certain pour Léa. En effet, entraîner les juments lui permet de mieux les connaître, d’en apprendre plus sur leurs allures et leur tempérament afin de déterminer quel étalon conviendra le mieux pour le croisement.
Léa nous livre également son conseil : « il vaut mieux viser la qualité que la quantité dans l’élevage ».
Voir naître et grandir les chevaux est votre rêve ? Le métier d’assistante d’élevage devrait retenir votre attention ! Ecoutez Léa vous en dire plus sur son quotidien rythmé au micro d’Eclat Agency.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce neuvième épisode, nous avons été à la rencontre de Charlotte Cauchie, sellier-Harnacheur chez Hermès.
Issue de l’hôtellerie de luxe, la crise sanitaire du Covid-19 a été un élément déclencheur pour Charlotte qui envisageait déjà une reconversion. Pratiquant l’équitation depuis plusieurs années et ayant un attrait pour le travail manuel, elle s’est inscrite aux tests d’entrée pour le CAP de Sellier-Harnacheur au Haras du Pin.
Après un an de formation et avoir effectué plusieurs stages, notre sellière a été recrutée, suite à des tests de sélection très stricts, chez Hermès.
Métier d'artisanat avant tout, il ne nécessite pas d'être cavalier ou passionné d'équitation mais surtout d'être curieux, courageux et d'avoir l'esprit d'équipe, "il faut être persévérant et habile de ses mains, très minutieux et avoir un attrait esthétique, les éléments de sellerie doivent être jolis et solides".
Le métier de sellier-harnacheur recrute et offre la possibilité de se mettre à son compte ou d'être employé dans des petites entreprises ou de plus importantes comme Hermès.
Aucune journée ne se ressemble lorsque, comme Charlotte, « l’artisan fait son produit de A à Z ». La remise en question est cependant courante afin de toujours améliorer sa technique et la qualité de son travail, l'objectif étant d'avoir des produits plus beaux réalisés de plus en plus vite, comme l'exige tout métier de production.
Vous avez un attrait pour le travail manuel ? Le parcours de Charlotte vous intéressera sans aucun doute ! Retrouvez son témoignage au micro d’Eclat Agency et plongez dans l'univers de ce métier mêlant savoir-faire et goût des belles choses.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce huitième épisode, nous sommes allés à la rencontre d’Elisa Laville, cavalière de spectacle en Normandie.
D’abord cavalière de saut d’obstacle, Elisa a rencontré le monde du spectacle équestre par hasard. C’est à l’âge de 18 ans qu’elle s’est véritablement lancée : elle a participé, sans trop d'espoir, au concours Equistar à Paris. « Quand j’ai démarré à Equistar, j’étais à fond dans la compétition de saut d’obstacle donc je ne voyais que par les grands cavaliers de saut, je ne connaissais pas du tout les artistes équestres. ». Elle a finalement remporté le concours et la médiatisation de sa performance lui a permis de se lancer pleinement dans cette activité.
Derrière cette artiste, se cache également une cavalière et monitrice passionnée : « Je trouve ça très intéressant de transmettre, que ça soit aux adultes comme aux enfants parce que j’apprends énormément. ». Cette diversification d’activité lui permet de pouvoir vivre pleinement de sa passion, de partager son expérience et son savoir-faire au contact des chevaux.
Ses journées sont très rythmées entre l’entraînement de ses 17 chevaux, qu'ils soient à elle ou bien lui soient confiés, sans compter les jours où elle enseigne lors de stages ou encore, durant la saison estivale qui s’articule autour des week-ends de spectacle, « C’est toujours différent. Mes journées ne sont pas monotones, je ne m’ennuie jamais dans mon travail. » nous confie-t-elle.
Le parcours passionnant d’Elisa vous intrigue ? Nous sommes persuadés que le témoignage de celle-ci au micro d'Eclat Agency vous plongera durant quelques minutes dans son quotidien trépident !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre podcast revient pour une troisième saison en Normandie. Au programme : un tour d'horizon des professionnels normands afin de vous faire découvrir toujours plus de métiers !
Pour ce septième épisode, nous avons choisi de nous intéresser au métier de lad-jockey/lad-driver afin d’en apprendre plus sur ce métier des courses de trot avec Gaétan Ligeron, driver et entraîneur de trotteurs nouvelle génération.
Pour exercer son métier, Gaétan a suivi le parcours classique : il est ainsi entré à l’AFASEC – Ecole des courses hippiques de Graignes dès la 4ème, puis a passé son CAP et a poursuivi avec deux années de BEP en alternance qui lui ont permis de compléter sa formation avec des expériences auprès des professionnels.
Véritable passionné de chevaux ayant toujours eu pour ambition de s’installer à son compte, il a sauté le pas en 2008 à l’aube de ses 30 ans, « c’était plus facile avant que maintenant, mais pour moi il vaut mieux avoir un petit chez soi qu’un grand chez les autres ».
Passion et travail sont les maîtres mots de ce jeune driver déterminé qui apprécie de ne jamais s'ennuyer au quotidien.
Dans cet épisode, Gaétan lève donc le voile sur son quotidien de jockey et d'entraîneur aux journées bien remplies.
Tous les jours, il est le premier auprès des chevaux le matin pour les nourrir. Accompagné de deux salariés, tous s’affairent pour mettre les chevaux au marcheur puis faire les box pour qu’à 7h30 le 1er lot parte à la piste.
Cependant lorsqu’on lui demande les avantages de son métier, sa réponse fuse « le cheval c’est une passion, normalement un passionné cela ne lui coûte pas de se lever le matin et s’occuper d’un cheval. Ce n’est pas une voiture, on a pas trop de weekends mais on a la récompense de driver les chevaux, d’aller en courses ! ».
Le métier de lad-driver vous intrigue ? Nul doute sur le fait que Gaétan saura vous faire découvrir son quotidien de persévérance et de respect des chevaux au micro d’Eclat Agency.
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Notre podcast revient pour une troisième saison en Normandie. Au programme : un tour d'horizon des professionnels normands afin de vous faire découvrir toujours plus de métiers !
Pour ce sixième épisode, nous sommes allés rencontrer une personne exerçant un des métiers de l’ombre et pourtant fondamental de notre filière : Mégane Bourlier est palefrenière-soigneuse.
Passionnée des chevaux, Mégane a suivi la formation classique pour exercer ce métier et obtenu un CAP palefrenier-soigneur, puis a passé un BAC pro Conduite et gestion d’une entreprise équestre (CGEH).
Durant ses années de formation, elle était en apprentissage afin de pouvoir apprendre sur le terrain, Mégane souligne en effet que « la pratique s’apprend en stage et permet d’échanger avec les professionnels pour toujours se perfectionner ».
Après avoir passé plusieurs années dans une écurie d’entraînement de chevaux de course de galop, les avoir souvent accompagnés en déplacement, Mégane a choisi d’aller exercer son métier de palefrenier-soigneur au sein du Haras d’Aspel élevant des pur-sang anglais.
Son plaisir au quotidien ? « Etre dehors avec les chevaux, les voir naître, chaque poulinage est toujours un émerveillement, puis évoluer jusqu’à partir aux ventes ou à l’entraînement ».
Mégane partage avec nous dans cet épisode sa passion pour son métier : « c’est un beau métier où l’on apprend et s’améliore tous les jours », il faut cependant « être autonome, énergique et ne pas hésiter à poser des questions ».
La passion du cheval vous anime et vous vous demandez en quoi consiste le métier de palefrenier-soigneur au quotidien ? Ecoutez Mégane vous en dire plus au micro d’Eclat AgencyHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre podcast revient pour une troisième saison qui vous embarque dans un notre tour d'horizon des professionnels normands afin de vous faire découvrir toujours plus de métiers !
Pour ce cinquième épisode, nous sommes allés au cœur de la Suisse Normande rencontrer Laury Greusard, guide équestre.
Passionné de randonnée depuis sa jeunesse, c’est ce qui l’a motivé et l’a poussé à choisir de rentrer en BPJEPS tourisme équestre, il nous explique en effet « ce qui est génial c’est la diversité, des temps dans le manège mais surtout en extérieur ».Laury apprécie aussi de rencontrer des personnes d’horizons différents.
Depuis quelques années, il a pu constater un engouement autour du retour à la nature, une volonté des cavaliers qu’il rencontre d'être au grand air avec les chevaux.
Laury partage avec nous dans cet épisode les particularités de ce métier qui l’anime au quotidien : « on a beau connaître les itinéraires, on redécouvre chaque mois de nouveaux éléments, de nouvelles vues. Le moment magique, c’est le soir lors de l’arrivée à l’étape, la soirée autour du feu de camp avec les chevaux à côté ».
Vous avez toujours rêvé de randonner mais vous ne pensez pas être assez bon cavalier ?
Selon Laury, il est bien plus important d’avoir de l’endurance que d’être bon cavalier pour goûter aux plaisirs de la randonnée !
Si vous souhaitez en savoir plus sur le métier de guide équestre qui permet d’allier passion du cheval et de la nature, écoutez Laury au micro d’Eclat Agency.
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Notre podcast revient pour une troisième saison au cours de laquelle nous poursuivons notre tour d'horizon des professionnels normands afin de vous faire découvrir toujours plus de métiers !
Pour ce quatrième épisode, nous sommes allées à la rencontre de Julie Notteau, coach de Concours de saut d'obstacles dans l’Orne, non loin du Haras national du Pin.
Même si elle a su très vite qu’elle souhaitait travailler dans les chevaux, Julie a suivi une formation générale avec un bac puis un BTS en comptabilité – gestion et a également obtenu un diplôme agricole, le BP Responsable d’Entreprise Agricole.
Elle se félicite maintenant de ce choix ; les connaissances acquises lui étant utiles quotidiennement pour gérer la partie administrative de l’écurie qu’elle tient avec son mari, Alban Notteau.
Professionnelle à la double casquette de coach et de cavalière, Julie aime mettre à profit l’expérience qu’elle acquiert avec les jeunes chevaux qu’elle a au travail pour pouvoir faire progresser ses élèves.
Lorsqu’on lui demande de nous en dire plus sur son métier, Julie répond « c’est un métier passionnant, j’aime voir évoluer les couples cheval/cavalier, m’adapter à chaque élève et créer un climat de confiance pour que ceux-ci puisse faire travailler leur cheval dans le relâchement ».
Son secret pour rester motivée ? « Il faut aimer ce que l’on fait, les gens le ressentent et on arrive à obtenir le meilleur du cavalier. Il faut aussi beaucoup de rigueur et d’exigence et ne pas entrer en formation pour monter à cheval, ce n’est pas la majeure partie de notre activité ».
Pour tout savoir sur le métier de coach de Julie, écoutez-le au merci d'Eclat Agency!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre podcast revient pour une troisième saison au cours de laquelle nous poursuivons notre tour d'horizon des professionnels normands afin de vous faire découvrir toujours plus de métiers !
Pour ce troisième épisode, nous sommes allés rencontrer Charles Cuiller, entraîneur de trotteurs dans le Calvados.
Passionné par les sensations procurées par la vitesse et les chevaux, Charles a trouvé le métier idéal pour associer ces deux éléments et n’a « jamais réellement l’impression d’aller travailler mais plutôt d’assouvir sa passion ».
Au cours de cet entretien, il nous explique comment il en est venu à s’installer en tant qu’entraîneur à l’âge de 25 ans, une fois ses 50 courses gagnées et sa licence d’entraîneur obtenue.
A notre micro, Charles nous fait part de son quotidien rythmé par les chevaux, les soins, les entraînements et bien sûr les courses, ne se déplaçant que sur les hippodromes à maximum 3h de route afin de ne pas fatiguer les chevaux.
Le métier d’entraîneur de trotteurs exige plusieurs qualités complémentaires afin de pouvoir faire face aux différents aspects du métier. Charles explique ainsi qu’il est primordial d’être « rigoureux et travailleur mais aussi d’avoir de bonnes capacités relationnelles afin de créer une relation de confiance avec les propriétaires qui confient leurs chevaux ».
Pour tout savoir sur le métier d’entraîneur de trotteurs de Charles, écoutez-le au merci d'Eclat Agency!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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