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Les conférences du Vent Se Lève

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Trois décennies après la fin de la Guerre froide, la popularité du concept de totalitarisme n’a pas faibli. Au cœur des programmes scolaires, et fréquemment employée dans le débat public, la notion est pourtant ignorée voire rejetée par une grande partie des historiens actuels. Ils reprochent au « totalitarisme » d’être une abstraction ne décrivant que superficiellement le nazisme, le stalinisme ou la Révolution française – dont une historiographie très diffusée en a fait la matrice du totalitarisme. Comment alors comprendre l’omniprésence d’un concept faisant ombre à des clés de compréhension historique plus pertinentes ? L’histoire du terme de totalitarisme nous apprend qu’il est une catégorie plus polémique que scientifique. S’il s’agissait pendant la Guerre froide d’assimiler l’adversaire soviétique au nazisme, c’est-à-dire au dernier degré du mal, le « totalitarisme » sert désormais à disqualifier tout projet ambitieux d’émancipation collective. En expliquant avant tout les crimes des régimes totalitaires par la volonté de transformer le monde d’après un idéal, le concept de totalitarisme insuffle dans la société l’idée insidieuse qu’« il n’y a pas d’alternative » puisque toute alternative à notre monde au nom de l’égalité contiendrait la potentialité d’un crime de masse. Nous avons discuté de ces enjeux avec Johann Chapoutot, historien du nazisme, et Sophie Wahnich, historienne de la Révolution française. La conférence était animée par Hector Turkawka.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après deux ans de forte hausse des prix de l’électricité (+40 % pour les particuliers, doublement en moyenne pour les entreprises et les administrations), la France et l’Union européenne sont en train de réformer le marché de cette source d’énergie indispensable. Au-delà des factures, c’est aussi le financement des investissements nécessaires pour le parc de production et l’avenir d’EDF qui sont en jeu. Or, la réforme en cours est bien moins rassurante que ce qu’annonce le gouvernement. Les prix continueront à fluctuer en fonction de la spéculation et le risque d’une plainte pour “concurrence déloyale” devant la Commission européenne n’est pas exclu. Par ailleurs, les menaces sur EDF restent nombreuses : projets risqués à l’étranger dont les coûts s’envolent, absence de souveraineté sur les turbines Arabelle rachetées à General Electric, concurrence des acteurs privés dans les énergies renouvelables… Alors que le gouvernement s’obstine à vouloir transformer ce bien public en un marché, syndicalistes et politiques se battent pour un vrai monopole public de l’énergie et des tarifs corrects pour tous les usagers. Une loi votée le 29 février à l’Assemblée nationale est un premier pas en ce sens. Après cette première victoire, comment transformer l’essai ? Pour comprendre tous ces enjeux, Le Vent Se Lève recevait le 11 mars dernier Anne Debrégeas, syndicaliste Sud-Énergie et économiste spécialiste du marché de l’électricité et Gwenaël Plagne, syndicaliste FNME-CGT et secrétaire du CSE-C d’EDF. La conférence était animée par William Bouchardon, directeur de la rubrique économie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De la gauche à l’extrême-droite, l’héritage de Jean Jaurès, père du socialisme français, est fréquemment revendiqué. Galvaudée, sa figure est alors érigée en autorité, celle de l’apôtre de la paix ou d’une gauche qui savait encore être patriote. Mais derrière ces images convenues, peu se réfèrent directement à son œuvre théorique, masquée par l’ombre portée de son action politique et par l’aura du martyr. Ainsi, la littérature sur la conception philosophique de l’État jaurésien est abondante, mais en général mal connue au-delà des cercles universitaires. C’est l’ambition de cette table-ronde que de rendre accessible à un public élargi la pensée de Jaurès sur une institution qui fait débat à gauche, l’État. En effet, au contraire de Marx et d’Engels qui prévoient le dépérissement de l’État, Jaurès en propose une lecture positive, qui fait de “l’État juste” un outil protecteur à partir duquel peut se réaliser un socialisme républicain. Pour Jaurès, la synthèse entre la tradition républicaine issue de la Révolution française et celle du mouvement ouvrier, la Sociale, doit aboutir à la réalisation d’une République démocratique, sociale et laïque, au cœur d’une théorie socialiste de l’émancipation. ➜ Pour discuter de la question, nous recevons Gilles Candar, historien, président de la Société d’études jaurésiennes, Clothilde Combes, doctorante en droit public, spécialiste de l’État juste selon Jaurès et Hugo Rousselle-Nerini, historien du droit, spécialiste des droits sociaux. La conférence était animée par Léo Rosell.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mardi 30 janvier, Le Vent Se Lève et l’Institut La Boétie vous invitent à une grande conférence avec Jean-Luc Mélenchon, Christophe Ventura, Martine Bulard et Didier Billion. Le déclenchement de deux conflits régionaux, aux retentissements et répercussions mondiales, avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, et l’opération israélienne à Gaza suite aux attaques du 7 octobre, ont rendu visibles les changements immenses qui ont déjà eu lieu dans l’ordre international. Pour une majorité du monde, l’alignement sur les États-Unis et leurs alliés n’est plus du tout une évidence. Ce grand glissement s’observe aussi à travers d’autres phénomènes de relations internationales, au-delà même des conflits armés : rivalité commerciale, scientifique, industrielle entre la Chine et les États-Unis ; élargissement des BRICS et volonté déclarée de leur part de dédollariser les échanges ; dynamiques démographiques contraires entre continents etc. À l’occasion du la publication du livre de Christophe Ventura et Didier Billion, chercheurs en relations internationales, « Désoccidentalisation : repenser l’ordre du monde », le département de relations internationales de l’Institut La Boétie, en partenariat avec le média indépendant Le Vent Se Lève, organise une conférence intitulée « La désoccidentalisation du monde est-elle une bonne nouvelle ? ». Cette discussion fera intervenir les deux co-auteurs du livre, ainsi que Martine Bulard, journaliste au Monde Diplomatique spécialiste de géopolitique, et Jean-Luc Mélenchon, co-président de l’Institut La Boétie et militant engagé de longue date pour une diplomatie altermondialiste. Lors de leur échange, ces intervenants présenteront leurs thèses sur le déclin relatif des États-Unis d’Amérique, la montée en puissance de la Chine et de l’Asie, et les conséquences de ces dynamiques pour la paix du monde, le droit international, la bifurcation écologique ou la place de la France.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quels sont les coûts et les causes de ce mal-travail ? Qui en sont les coupables ? Comment en sortir et obtenir de nouveaux droits pour l’ensemble des salariés au sein de l’entreprise ? Comment faire en sorte que les habitants de ce pays puissent bien vivre de leur travail, et surtout, bien le vivre ? Le Vent Se Lève reçoit Sophie Binet (secrétaire générale de la CGT), Isabelle Mercier (secrétaire nationale de la CFDT en charge du travail) et François Ruffin (député de la Somme) pour un grand débat autour de ces questions.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La finance ne constitue pas un bloc unifié. Elle est clivée entre plusieurs factions antagonistes, qui se livrent une guerre féroce pour l’hégémonie. Ces affrontements trouvent une traduction dans les institutions européennes, chaque État soutenant les revendications de la fraction dominante de leur finance. Ainsi, l’Allemagne plaide pour une création monétaire restrictive et une certaine régulation financière, en conformité avec les intérêts de ses banques de détail. Elle se heurte aux demandes des acteurs financiers d’autres pays, davantage dominés par le shadow banking, en faveur d’une politique monétaire plus expansionniste et d’une régulation financière moindre. ➜ Pour analyser cette géopolitique européenne de la finance, Le Vent Se Lève reçoit l’économiste Frédéric Lemaire (auteur d’une thèse sur la régulation financière européenne) et le sociologue Théo Bourgeron (co-auteur avec Marlène Benquet de l’ouvrage La finance autoritaire).La conférence est présentée par Alessandro Ferrante (rédacteur au Vent Se Lève, spécialiste des questions financières).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La hausse des taux d’intérêt par les banques centrales a fragilisé le secteur bancaire, dont une partie importante des actifs ont vu leur valeur diminuer. En une semaine seulement, trois banques ont fermé début mars aux États-Unis, dont la seizième plus importante du pays : la Silicon Valley Bank. Cette chute de dominos a créé une véritable panique bancaire, et les cours des grandes banques mondiales se sont écroulés. Après les États-Unis, l’Europe a été touchée de plein fouet avec la chute de Crédit Suisse, une des trente banques systémiques au monde. La faillite d’une de ces banques est susceptible d’entraîner l’ensemble du système bancaire. Face à ces risques majeurs, les banques centrales et les autorités ont déployé des moyens colossaux pour éviter de nouvelles faillites retentissantes. Ces réponses créent les conditions d’une future crise de plus grande ampleur encore, et la situation n’est toujours pas au beau fixe pour les banques régionales américaines. De plus, l’équilibre entre les objectifs de la politique monétaire et ceux de la stabilité financière semble de plus en plus instable, fragilisant ainsi la crédibilité des banques centrales. Il est dès lors urgent d’enclencher une réforme profonde de la sphère financière et en lui imposant une réglementation plus stricte. À se complaire dans les griffes des marchés financiers, les États vont payer le prix fort de la prochaine crise financière qu’ils ne font rien pour éviter. Pour en parler, le média Le Vent Se Lève et l’Institut La Boétie ont reçu Dominique Plihon, professeur émérite d’économie à l’université Paris Nord, co-auteur de la note de l’Institut La Boétie sur la crise bancaire et Laurence Scialom, professeure d’économie à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense et membre du Conseil d’Administration de l’Observatoire de l’Éthique Publique. La conférence était animée par Alessandro Ferrante du Vent Se Lève.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Depuis plus de quatre ans, le journaliste australien Julian Assange est enfermé dans la prison de haute sécurité de Belmarsh au Royaume-Uni. Les États-Unis, où il encourt 175 années de prison, réclament son extradition pour « espionnage ». Aucun gouvernement européen n’a esquissé le moindre geste pour s’opposer à la persécution du fondateur de WikiLeaks.
Au-delà des questions relatives aux droits de l’Homme que cette affaire soulève, elle est également symptomatique de l’état de servitude du Vieux continent à l’égard de Washington. À travers les poursuites contre Julian Assange, c’est la démarche de WikiLeaks et le journalisme même qui sont menacés : la mise à disposition d’informations d’intérêt public sur les questions de politique étrangère et de « sécurité nationale ».
Le 31 mai 2023 à Paris, Le Vent Se Lève et le Comité de soutien Assange accueillaient pour en parler Stella Assange, épouse et ancienne avocate de Julian Assange, Rony Brauman, médecin humanitaire et ex-président de Médecins sans frontières, Arnaud Le Gall, député LFI-Nupes spécialiste des questions internationales et Cédric Villani, mathématicien et ancien député.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1871 : LA DÉMOCRATIE DES COMMUNARDS AU CARREFOUR DES CONTRADICTIONS RÉPUBLICAINES
« Le Paris ouvrier, avec sa Commune, sera célébré à jamais comme le glorieux fourrier d’une société nouvelle. Ses martyrs seront enclos dans le grand cœur de la classe ouvrière. » - Karl Marx, La Guerre civile en France
Pour l’anniversaire du début de la Commune de 1871, révolution sociale et prolétarienne ayant émergé en pleine guerre franco-prussienne, Le Vent Se Lève et la Fédération Francophone de Débat organisaient à une journée de conférences et de formation à l’art oratoire.
Redécouvrez en podcast la conférence de Ludivine Bantigny et Roger Martelli autour de la démocratie et de la commune, enregistrée le 18 mars 2023 à l'ENS de Paris.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
LA RÉPUBLIQUE SOCIALE ET LES TENDANCES DE LA RÉVOLUTION COMMUNALISTE : ENTRE BLANQUI, PROUDHON ET MARX
« Nous avons la mission d’accomplir la révolution moderne la plus large et la plus féconde de toutes celles qui ont illuminé l’histoire. » - La Commune, Déclaration au peuple français, 19 avril 1871
Pour l’anniversaire du début de la Commune de 1871, révolution sociale et prolétarienne ayant émergé en pleine guerre franco-prussienne, Le Vent Se Lève et la Fédération Francophone de Débat organisaient une journée de conférences et de formation à l’art oratoire.
Redécouvrez en podcast la conférence d'Olivier Chaïbi, Julien Chuzeville, Édouard Jourdain et Hugo Rousselle Nerini autour des tendances de la révolution communaliste de 1871, enregistrée le 18 mars 2023 à l'ENS de Paris. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Le gouvernement provisoire de la République française s’engage à garantir l’existence de l’ouvrier par le travail. Il s’engage à garantir du travail à tous les citoyens. Il reconnaît que les ouvriers doivent s’associer entre eux pour jouir du bénéfice de leur travail. Le gouvernement provisoire rend aux ouvriers, auxquels il appartient, le million qui va échoir à la liste civile. » - Loi du 25 février 1848
Pour l’anniversaire de la révolution du 25 février 1848, dans laquelle la France s’embrase à nouveau dans un élan romantique et social et proclame à nouveau la République, Le Vent Se Lève organisait une journée de conférences en partenariat avec la Fédération Francophone de Débat.
Découvrez la dernière conférence de la journée en podcast, une discussion entre Hugo Rousselle Nerini, Christos Andrianopoulos et Frédéric Thibault.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur sans laquelle la vertu est impuissante. » Robespierre
Pour le 230e anniversaire de la mort du roi - le 21 janvier 1793 -, Le Vent Se Lève organisait une journée de conférences en partenariat avec la Fédération Francophone de Débat.
Découvrez la troisième conférence de la journée en podcast, une discussion entre Jean-Clément Martin, historien spécialiste de la Révolution française, Marc Belissa, historien spécialiste de l'époque moderne et Anne Simonin, historienne chargée de recherche au CNRS.
Terreur et VertuHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La Révolution et la République sont indivisibles. L’une est la mère, l’autre est la fille. L’une est le mouvement humain qui se manifeste, l’autre est le mouvement humain qui se fixe. La République, c’est la Révolution fondée […] On ne sépare pas l’aube du soleil. » Victor Hugo
Pour l’anniversaire de la révolution du 25 février 1848, dans laquelle la France s’embrase à nouveau dans un élan romantique et social et proclame à nouveau la République, Le Vent Se Lève organisait une journée de conférences en partenariat avec la Fédération Francophone de Débat.
Découvrez cette première conférence de la journée en podcast, une discussion entre Mathilde Larrère et Michèle Riot-Sarcey.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les retraites sont au cœur de la conflictualité sociale depuis plusieurs décennies. Alors que la réforme proposée par Emmanuel Macron et Élisabeth Borne suscite une opposition déterminée, le sociologue et économiste Bernard Friot, professeur émérite à l’université Paris X Nanterre et à l’origine de l’association d’éducation populaire Réseau Salariat, publie un nouveau livre : Prenons le pouvoir sur nos retraites (La Dispute, paru le 10 février).
À cette occasion, Bernard Friot nous présentait en avant-première son livre, un plaidoyer pour les retraites, synonyme pour lui de la “libre activité”. L’auteur s’attaque à deux questions que tout le monde se pose : qu’est-ce qui explique l’obstination des classes dominantes à mener depuis des décennies des contre-réformes sur les retraites malgré leur si forte impopularité ? Et pourquoi les mobilisations contre ces réformes ont presque toujours échoué ? Il explique et met en débat une série de propositions politiques pour sortir de la défaite, prendre le pouvoir sur nos retraites et en faire un levier pour libérer le travail.
Bernard Friot débattait avec la syndicaliste Sylvie Durand et l'économiste Michaël Zemmour.
Découvrez cette conférence-débat en podcast, organisée par Le Vent Se Lève en partenariat avec les éditions La Dispute et la librairie Libertalia.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. » Saint-Just
Pour le 230e anniversaire de la mort du roi - le 21 janvier 1793 -, Le Vent Se Lève organisait une journée de conférences en partenariat avec la Fédération Francophone de Débat.
Découvrez la deuxième conférence de la journée en podcast, une discussion entre Stéphanie Roza, chargée de recherches au CNRS, Yannick Bosc, Historien de la Révolution française et Hugo Rousselle Nerini, chercheur à l'Université Panthéon-Assas, président de la FFD.
La Terreur : première révolution sociale ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« La démocratie est un État où le Peuple souverain, guidé par des lois qui sont son ouvrage, fait par lui-même tout ce qu'il peut bien faire, et par des délégués tout ce qu'il ne peut pas faire lui-même. » - Robespierre
Pour le 230e anniversaire de la mort du roi - le 21 janvier 1793 -, Le Vent Se Lève organisait une journée de conférences en partenariat avec la Fédération Francophone de Débat.
Découvrez la première conférence de la journée en podcast, une discussion entre Côme Simien, auteur et chercheur à l'IHMC et Hugo Rousselle Nerini, chercheur à l'Université Panthéon-Assas, président de la FFD, autour de la question de la souveraineté populaire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Intégrer un milliard d'individus supplémentaires en une génération, dans un contexte économique difficile et en pleine crise climatique : c'est l'urgence africaine à laquelle Kako Nubupko, commissaire à l’agriculture, aux ressources en eau et à l’environnement de l’Union économique et monétaire ouest-africaine, cherche une solution.
Pour y répondre, cet ancien ministre togolais défend le recours à un néo-protectionnisme écologique axé sur la protection des communs, la révision de certains accords de libre-échange, mais aussi la création d’une agence africaine de la dette.
À l'occasion de la sortie du dernier essai de Kako Nubupko, « Une solution pour l'Afrique : du néoprotectionisme aux biens communs » (Éditions Odile Jacob), l'Institut Rousseau et Le Vent se Lève ont organisé une conférence autour de l'auteur, avec Nicolas Dufrêne, directeur de l'Institut Rousseau, et Étienne Espagne, économiste du développement et de l'environnement. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Parcoursup à nos navigations sur le web ou les réseaux sociaux en passant par les rencontres amoureuses et l’achat d’un billet de train, notre vie quotidienne est désormais conditionnée par les algorithmes. Il en va de même dans le travail, dans le management des entreprises et dans celui des salariés, dans l’attribution et le contrôle des prestations sociales, dans la santé ou encore dans la finance. Cette question est souvent considérée comme étant l’apanage de spécialistes, alors qu’elle est en fait très politique et nous concerne toutes et tous. Elle est directement liée à la question du pouvoir qui s’exerce aux différents niveaux. En effet, les algorithmes sont avant tout la traduction de la volonté de quantifier le monde et d’imposer des critères de décision et d’évaluation qui relèvent des partis pris des classes qui dominent la société.
Silo et la Fondation Gabriel Péri, en partenariat avec Le Vent Se Lève, ont invités quatre auteurs et autrices du Silomag#15, Le pouvoir algorithmique (juillet 2022) à débattre de ces enjeux.
Avec :
- Fabrice Flipo, philosophe, chercheur au Laboratoire de Changement Social et Politique, Université de Paris, auteur de l’article « L’impératif de la sobriété numérique« .
- Hélène Jeannin, sociologue et chercheuse à Orange Innovation, autrice de l’article « La surveillance par l’IA, un modèle qui se généralise« .
- Matthieu Trubert, ingénieur chez Microsoft France et co-animateur du collectif numérique UGICT-CGT Construire le numérique autrement, auteur de l’article « Le management algorithmique: quel usage en entreprise ? » .
- Simon Woillet, responsable de la rubrique idées du Vent Se Lève et membre de l’Institut Rousseau. Il a dirigé l’ouvrage collectif Gouverner par l’image. Les nouvelles architectures du pouvoir à l’ère numérique (Le Bord de l’eau, 2021).
La rencontre était animée par Gauthier Fradois, politiste, coordinateur du Silomag#15.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trois décennies après la signature du Traité de Maastricht, les promesses de lendemains qui chantent semblent lointaines. Dérégulation, privatisations, austérité : la construction européenne semble au contraire avoir ouvert la voie à la mondialisation dans toute sa brutalité. Si les constats sont de plus en plus alignés, aucun consensus ne se dégage quant à l’issue à donner aux impasses de l’Union européenne. Trente ans après Maastricht, la reconstruction d’un contrat social passera-t-elle par la rupture avec le cadre européen ou par la transformation de celui-ci ?
Avec :
- Frédéric Farah, auteur de divers livres sur la mondialisation et le néolibéralisme, dont Europe : "la grande liquidation démocratique" (Bréal)
- Chloé Ridel, directrice adjointe de l'Institut Rousseau et auteur "D'une guerre à l'autre - L'Europe face à son destin" (L'aube)
- Alma Dufour, députée France Insoumise-NUPES et militante écologiste, figure de la lutte contre le déploiement d'entrepôts Amazon sur le territoire français.
La table-ronde était animée par Vincent Ortiz, rédacteur en chef adjoint du Vent Se Lève.
➜ Découvrez cette conférence, donnée le 21 septembre 2022 à l'École normale supérieure à Paris.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de la sortie du dernier livre de François Ruffin, « Je vous écris du front de la Somme », aux Liens qui libèrent, Fakir, Le Vent se lève et le SNJ-CGT organisaient une conférence autour du rapport de la gauche et du travail. François Ruffin, député de la Somme, débattait avec Sophie Binet, secrétaire générale de l’Ugict-CGT. La conférence était animée par Laëtitia Riss, rédactrice en chef du Vent Se Lève.
➜ Découvrez le de cette conférence, donnée le 7 septembre 2022 à la Bourse du Travail à Paris.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au sortir des législatives 2022, Le Vent Se Lève organisait une discussion avec Evgeny Morozov pour analyser les mutations du système économique dominant. Chercheur spécialiste des implications politiques des géants du numérique, Evgeny Morozov est l'auteur de plusieurs ouvrages de référence sur la question: L'aberration du solutionnisme technologique : pour tout résoudre, cliquez ici (Fyp, 2014) et Le mirage numérique : pour une politique du Big Data (Fyp, 2015).
➜ Découvrez le podcast de cette conférence, donnée le 25 juin 2022 à la Maison des Métallos à Paris. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le divorce historique entre la gauche et les classes populaires est-il en train de se refermer ? Le large score de Jean-Luc Mélenchon à l'élection présidentielle et le succès électoral de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale (NUPES) semblent l'attester. Pourtant, une partie des classes populaires continue à s'abstenir massivement ou à se réfugier dans le vote Rassemblement national.
Face à cet état de fait, plusieurs stratégies s'opposent pour les reconquérir. Chantal Mouffe est une théoricienne majeure du populisme de gauche et l'auteure de nombreux livres, dont « L'Illusion du consensus » et « Hégémonie et stratégie socialiste » avec Ernesto Laclau. François Ruffin commence son second mandat de député de la 1ère circonscription de la Somme, il est auteur et cinéaste.
➜ Découvrez la captation de cette conférence, donnée le 25 juin 2022 à la Maison des Métallos à Paris.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment lier l’impératif écologique et la nécessité pour les pouvoirs publics de créer des emplois ? Quels sont les secteurs-clés où ces emplois sont nécessaires ? Quels sont les échelons et les acteurs pertinents pour la mise en place d'une garantie à l'emploi vert ?
Le 19 mars 2022, Le Vent Se Lève et Le Vent du Changement co-organisaient une journée de conférences sur le thème « Garantir l'emploi, reconstruire le pays », en partenariat avec les laboratoires d’idées Hémisphère gauche et l’Institut Rousseau, auteurs de la note "Pour une garantie à l'emploi vert ».
Avec :
– Cécile Cornet, députée du parti Ecolo à la Chambre des représentants de Belgique depuis 2020,
– Yannick Saleman, chef de projet au Shift Project. Il pilote les chantiers emploi, finance et macroéconomie/résilience du Plan de transformation de l’économie française,
– Sébastien Rome, député NUPES de l'Hérault depuis juin 2022 et ancien élu localHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'expérimentation Territoire zéro chômeur de longue durée favorise une réappropriation du travail pour les premiers concernés. Quel rôle pour les pouvoirs publics, nationaux et locaux, dans l'instauration d'un droit à l'emploi ?
Le 19 mars 2022, Le Vent Se Lève et Le Vent du Changement co-organisaient une journée de conférences sur le thème « Garantir l'emploi, reconstruire le pays », en partenariat avec les laboratoires d’idées Hémisphère gauche et l’Institut Rousseau, auteurs de la note « Pour une garantie à l'emploi vert ».
Avec :
– Laurent Grandguillaume, président de l’association Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée,
– Alexandre Ouizille, président d’Hémisphère Gauche et porte-parole de la campagne Un Emploi Vert Pour Tous Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel projet politique sous-tend la revendication d’un droit et d’une garantie à l’emploi ? Quelles distinctions philosophiques et politiques entre la garantie à l'emploi et la proposition d'un revenu universel visant toutes deux à en finir avec la précarité des travailleurs ? Quelles sont les implications d’une participation active de l’Etat dans la mise en place d’une garantie à l’emploi ?
Le 19 mars 2022, Le Vent Se Lève et Le Vent du Changement co-organisaient une journée de conférences sur le thème « Garantir l'emploi, reconstruire le pays », en partenariat avec les laboratoires d’idées Hémisphère gauche et l’Institut Rousseau, auteurs de la note « Pour une garantie à l'emploi vert ».
Avec :
- Chloé Ridel, Directrice adjointe de l’Institut Rousseau et porte-parole de la campagne Un Emploi Vert Pour Tous,
- Dany Lang, Économiste, membre des Économistes atterrés,
- Daniel Zamora, Sociologue à l’Université de Cambridge et à l’Université libre de Bruxelles, spécialiste des questions de travail et de redistribution,
- Anton Jäger, Historien de la pensée politique et post-doctorant à l’Université de Leuven)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conférence « Écologie et numérique » qui a ouvert notre journée de conférences consacrée à la souveraineté numérique le 15 janvier 2022 au centre Panthéon de l'Université Paris 2.
Un événement organisé par Le Vent Se Lève, Le Vent du Changement, l'Institut Rousseau et Le Portail de l'intelligence économique.
Avec les interventions de :
* Gauthier Roussilhe, Chercheur spécialisé dans les enjeux environnementaux de la numérisation.
* Richard Hanna, Chargé de mission interministérielle numérique écoresponsable à la DINUM.
* Adrien Jahier, Consultant et auteur d’une note pour l’Institut Rousseau sur la sobriété numérique.
Présentation :
L’impact environnemental du numérique est longtemps demeuré une tâche aveugle de l’écologie politique. Aujourd’hui, il n’est plus possible de nier que l’industrie du numérique contribue à l’accroissement de C02 dans l’atmosphère - que l’on pense à l’énergie consommée par les serveurs informatiques ou aux conditions polluantes dans lesquelles s’effectue l’extraction de métaux rares. Dans ces conditions, comment penser une réorganisation de l’industrie numérique soumise à une régulation environnementale ? Un tel changement de paradigme est-il concevable dans un monde où les chaînes de valeur sont globalisées et dominé par une technologie numérique américaine ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conférence « Démocratie et numérique » qui a ouvert notre journée de conférences consacrée à la souveraineté numérique le 15 janvier 2022 au centre Panthéon de l'Université Paris 2.
Un événement organisé par Le Vent Se Lève, Le Vent du Changement, l'Institut Rousseau et Le Portail de l'intelligence économique.
Avec les interventions de :
• Diana Filippova, romancière et essayiste, auteure de Technopouvoir. Dépolitiser pour mieux gouverner, (Les liens qui libèrent, 2019).
• Fabienne Greffet, maître de conférences en science politique, spécialiste des campagnes électorales en ligne et du militantisme numérique.
Présentation de la conférence :
La lutte pour l'indépendance numérique engage désormais l'avenir industriel, démocratique et géopolitique des nations. Des données critiques de nos services publics (en particulier de santé et de sécurité) aux données de nos grandes entreprises industrielles, rien ne semble échapper à la prédation des géants numériques américains et à la culture de la forfaiture si répandue chez nos élites dirigeantes.
De la maîtrise des infrastructures à la maîtrise des couches logicielles, une bataille culturelle s'impose aujourd'hui dans le champ technologique. Entre la conception défaitiste et dangereuse du "cloud de confiance" porté par le gouvernement, et la vision réaliste et volontaire de nos intervenants, ce colloque est l'occasion de sortir des préjugés sur "l'impuissance" des acteurs français et européens du numérique, pour écrire un nouveau récit mobilisateur. Celui de la souveraineté numérique de notre pays et de ses institutions critiques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conférence « Le droit américain, une arme de guerre économique ? » qui a ouvert notre journée de conférences consacrée à la souveraineté numérique le 15 janvier 2022 au centre Panthéon de l'Université Paris 2.
Un événement organisé par Le Vent Se Lève, Le Vent du Changement, l'Institut Rousseau et Le Portail de l'intelligence économique.
Avec les interventions de :
- Frédéric Pierucci, Fondateur du cabinet de consulting Ikarian en compliance et prévention de la corruption, ancien cadre dirigeant d'ALSTOM et auteur du Piège américain (JC Lattès, 2019).
- Juliette Alibert, Avocate spécialisée dans les Droits de l’Homme, affiliée à la Maison des lanceurs d’alerte et au collectif Interhop.
- Jean-Baptiste Soufron, Avocat spécialisé dans la défense des droits numériques, ancien secrétaire général du Conseil national du numérique.
Présentation de la conférence :
La lutte pour l'indépendance numérique engage désormais l'avenir industriel, démocratique et géopolitique des nations. Des données critiques de nos services publics (en particulier de santé et de sécurité) aux données de nos grandes entreprises industrielles, rien ne semble échapper à la prédation des géants numériques américains et à la culture de la forfaiture si répandue chez nos élites dirigeantes.
De la maîtrise des infrastructures à la maîtrise des couches logicielles, une bataille culturelle s'impose aujourd'hui dans le champ technologique. Entre la conception défaitiste et dangereuse du "cloud de confiance" porté par le gouvernement, et la vision réaliste et volontaire de nos intervenants, ce colloque est l'occasion de sortir des préjugés sur "l'impuissance" des acteurs français et européens du numérique, pour écrire un nouveau récit mobilisateur. Celui de la souveraineté numérique de notre pays et de ses institutions critiques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Conférence « Géopolitique du numérique » qui a ouvert notre journée de conférences consacrée à la souveraineté numérique le 15 janvier 2022 au centre Panthéon de l'Université Paris 2.
Un événement organisé par Le Vent Se Lève, Le Vent du Changement, l'Institut Rousseau et Le Portail de l'intelligence économique.
Avec les interventions de :
• Tariq Krim, Entrepreneur et pionnier du web français. Fondateur de netvibes, jolicloud et polite. Initiateur du mouvement slow web. Ancien vice président du Conseil national du numérique.
• Ophélie Coelho, spécialiste des enjeux géopolitiques du numérique, membre du conseil scientifique de l’Institut Rousseau.
• Clotilde Bômont, Chercheure au centre de recherche et de formation GEODE et doctorante à l’Université Panthéon-Sorbonne
• Jean-Paul Smets, PDG de Rapid.Space, co-fondateur de l'alliance Euclidia, fondateur de Nexedi et créateur du logiciel libre "'ERP5".
Présentation de la conférence :
La lutte pour l'indépendance numérique engage désormais l'avenir industriel, démocratique et géopolitique des nations. Des données critiques de nos services publics (en particulier de santé et de sécurité) aux données de nos grandes entreprises industrielles, rien ne semble échapper à la prédation des géants numériques américains et à la culture de la forfaiture si répandue chez nos élites dirigeantes.
De la maîtrise des infrastructures à la maîtrise des couches logicielles, une bataille culturelle s'impose aujourd'hui dans le champ technologique. Entre la conception défaitiste et dangereuse du "cloud de confiance" porté par le gouvernement, et la vision réaliste et volontaire de nos intervenants, ce colloque est l'occasion de sortir des préjugés sur "l'impuissance" des acteurs français et européens du numérique, pour écrire un nouveau récit mobilisateur. Celui de la souveraineté numérique de notre pays et de ses institutions critiques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 28 et 29 juin 2019, Le Vent Se Lève organisait son Université d'été.
Lors de cette conférence, Marie-Noëlle Lienemann (Sénatrice GRS), Marie-Françoise Bechtel (Haute fonctionnaire, ancienne directrice de l'ENA), Henri Guaino (ancien conseiller spécial du président de la République) et Patrick Weil (politologue) débattront sur la question : « Aéroports de Paris et l’État stratège ».
Présentation : Salomé Saqué et Vincent Ortiz (Le Vent Se Lève).
Les 28 et 29 juin 2019, Le Vent Se Lève organisait son Université d'été.
Lors de cette conférence, Aurore Lalucq (Eurodéputée Place publique), Ludovic Torbey de la chaîne Osons Causer et Antoine Vauchez (sociologue - CNRS) débattront sur la question : « L’Europe dans l’impasse ? ».
Présentation : Antoine Cargoët (Le Vent Se Lève).
Les 28 et 29 juin 2019, Le Vent Se Lève organisait son Université d'été.
Lors de cette conférence, Emmanuel Todd (anthropologue et essayiste), François Boulo (avocat et gilet jaune), Raquel Garrido (avocate) et Antoine Cargoët (Le Vent Se Lève) débattent sur la question : « Après les gilets jaunes ».
Présentation : Raphaëlle Martinez (Le Vent Se Lève).
Alors que l'urgence climatique est devenue un élément central de la recomposition politique, dans quelle direction devons-nous aller pour faire aboutir un projet de transition radicale ?
Afin de dégager des pistes concrètes, Le Vent Se Lève, en partenariat avec La Fabrique écologique, l'Institut de la Transition Environnementale de la Sorbonne et Alternatiba, a convié des grandes figures de l’écologie française : des universitaires, des activistes et des responsables politiques pour une grande journée de débat sur la construction d'une écologie populaire.
Pour travailler à la question « Réindustrialisation verte et rupture avec les traités de libre-échange », nous avions invité Bruno Grandjean (président de l’Alliance pour l’Industrie du Futur), Lucile Schmid (La Fabrique Écologique) et Jean-Louis Vignolo (Syndicaliste GE-Alstom Belfort).
Présentation : Pierre Gilbert (Le Vent Se Lève).
Alors que l'urgence climatique est devenue un élément central de la recomposition politique, dans quelle direction devons-nous aller pour faire aboutir un projet de transition radicale ?
Afin de dégager des pistes concrètes, Le Vent Se Lève, en partenariat avec La Fabrique écologique, l'Institut de la Transition Environnementale de la Sorbonne et Alternatiba, a convié des grandes figures de l’écologie française : des universitaires, des activistes et des responsables politiques pour une grande journée de débat sur la construction d'une écologie populaire.
Pour travailler à la question « Municipalisme, étatisme... quel échelon pour diminuer de moitié nos émissions en 10 ans ? », nous avions invité Éric Piolle (Maire de Grenoble), Cédric Villani (Candidat à la mairie de Paris) et Yves Marignac (Association Négawatt). Damien Carême (Maire de Grande-Synthe) est intervenu pour représenter la voix des villes moyennes.
Présentation : Géraud Guibert (La Fabrique Écologique) et Laëtitia Riss (Le Vent Se Lève).
Date de la conférence : nov. 2019
Alors que l'urgence climatique est devenue un élément central de la recomposition politique, dans quelle direction devons-nous aller pour faire aboutir un projet de transition radicale ?
Afin de dégager des pistes concrètes, Le Vent Se Lève, en partenariat avec La Fabrique écologique, l'Institut de la Transition Environnementale de la Sorbonne et Alternatiba, a convié des grandes figures de l’écologie française : des universitaires, des activistes et des responsables politiques pour une grande journée de débat sur la construction d'une écologie populaire.
Pour travailler à la question « L’urgence climatique peut-elle unir les forces de changement ? », nous avions invité Delphine Batho (Députée Génération Écologie), François Boulo (avocat et gilet jaune), Adrien Quatennens (Député FI) et Marie Toussaint (Eurodéputée EELV).
Présentation : Salomé Saqué (Le Vent Se Lève).
Date de la conférence : nov. 2019
L’écologie est un terme qui semble aller de soi en 2021, relativement banalisé dans le discours politique. Protection de l’environnement, rapport entre êtres humains et nature, réchauffement climatique, alimentation, énergie, mobilité… L'écologie regroupe un ensemble d’idées assez complémentaires mais aussi d’une grande diversité. Quelles recompositions politiques observe-t-on autour de l’écologie ? Tous les citoyens se sentent-ils concernés par l’écologie? Que peut-on espérer du possible référendum à venir sur la révision de l’article 1 de notre Constitution ? Nous abordons ces questions avec Marie Toussaint, député européenne Europe Écologie Les Verts, co-fondatrice de « Notre Affaire à Tous » et juriste en droit international de l'environnement.
Une émission animée par Lou Plaza, et produite par Le Vent Se Lève.
Avec Hamit Bozarslan, directeur d’études à l’EHESS.
Hamit Bozarslan est directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS) et spécialiste du Moyen-Orient, en particulier de la Turquie et de la question kurde. Nous l’avons interrogé sur un acteur central de la vie politique turque : l’AKP - le Parti de la Justice et du Développement - au pouvoir depuis 2002 et dont Recep Tayyip Erdoğan est le leader.
La Nouvelle politique est une émission présentée par Lou Plaza, produite par Le Vent Se Lève.
Cette émission a été mixée et montée par Guillaume Chaudron-Rousseau.
Pour le premier épisode de la Nouvelle Politique, nous recevons Mathieu Gallard, directeur de recherche chez IPSOS, pour parler de la possibilité que Donald Trump soit réélu le 3 novembre 2020.
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