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Author: On The Way

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Proposé par BNP Paribas Personal Finance (https://personal-finance.bnpparibas/fr/), On The Way est le podcast qui explore les chemins de la consommation responsable. Entrepreneurs, acteurs du monde de l’entreprise ou encore chercheurs : On The Way donne la parole à ceux qui agissent jour après jour pour construire une consommation plus durable. Bienvenue et bonne écoute…
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
74 Episodes
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Land&Monkeys: When fun and sustainability meet in a vegan bakery!Forget the traditional bakeries, Land&Monkeys arrives and shakes the codes! This 100% vegan bakery not only offers tasty products, it reinvents the 21st century business model by placing sustainability and plants at the heart of its activity.Meet Rodolphe Landemaine, the visionary at the helm of Land&Monkeys. A successful baker and founder of Maison Landemaine bakeries, he decided to take on a new challenge: create a 100% plant-based bakery that combines taste pleasure, respect for the environment and a positive impact on the planet. On the menu? Breads, pastries, and snacks 100% vegetable made with quality ingredients, without any compromise on taste.But that’s not all! Land&Monkeys is also committed to:Reducing its environmental impact by minimizing waste and favouring local supply chains.Supporting sustainable agriculture by collaborating with producers committed to environmentally friendly practices.Promoting a healthier and more accessible diet by offering quality vegan products at affordable prices.Through this bakery, we are reminded that to have fun above all goes through the plate! It is through gluttony and the joy of sharing a good meal that we can convince and inspire as many people as possible. Every food choice counts for the planet, a flexitarian diet, with twelve vegetarian meals and two meat meals a week, can make a real difference.Curious about Land&Monkeys' plant innovation?Don’t wait any longer, listen to the episode of On The Way with Rodolphe Landemaine on all your favorite listening platforms.All other episodes are also to discover right here.Enjoy!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Land&Monkeys : Quand le plaisir et la durabilité se rencontrent dans une boulangerie… vegan !Oubliez les boulangeries traditionnelles, Land&Monkeys débarque et bouscule les codes ! Cette boulangerie 100% vegan ne se contente pas de proposer des produits savoureux, elle réinvente le modèle économique du XXIe siècle en plaçant la durabilité et le végétal au cœur de son activité.Au micro d’On The Way, rencontrez Rodolphe Landemaine, le visionnaire à la tête de Land&Monkeys. Boulanger pâtissier à succès et fondateur des boulangeries Maison Landemaine, il a décidé de relever un nouveau défi : créer une boulangerie 100% végétale qui allie plaisir gustatif, respect de l'environnement et impact positif sur la planète. Au menu ? Des pains, viennoiseries, snacks et pâtisseries 100% végétales élaborés avec des ingrédients de qualité, sans aucun compromis sur le goût.Mais ce n'est pas tout ! Land&Monkeys s'engage également à :Réduire son impact environnemental en minimisant les déchets et en privilégiant des circuits d'approvisionnement locaux.Soutenir l'agriculture durable en collaborant avec des producteurs engagés dans des pratiques respectueuses de l'environnement.Promouvoir une alimentation plus saine et accessible en proposant des produits vegan de qualité à des prix abordables.À travers cette boulangerie, on nous rappelle que se faire plaisir passe avant tout par l'assiette ! C'est par la gourmandise et la joie de partager un bon repas que l'on peut convaincre et inspirer le plus grand nombre. Chaque choix alimentaire compte pour la planète, un régime flexitarien, avec douze repas végétariens et deux repas carnés par semaine, peut faire une réelle différence.Alors, curieux de goûter à l'innovation végétale de Land&Monkeys ?N’attendez plus, écoutez l’épisode d’On The Way avec Rodolphe Landemaine sur toutes vos plateformes d’écoute préférées.Tous les autres épisodes sont également à découvrir juste ici.Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cet épisode, nous nous dirigeons vers l’Espagne. Nos équipes à Madrid ont eu la chance d’interviewer Juan Luis Cabeza, PDG de Social Energy, une entreprise spécialisée dans les panneaux solaires. Il est impliqué dans le monde de l’entrepreneuriat depuis l’âge de 15 ans, lorsqu’il a lancé sa première entreprise. Sa principale motivation est de bâtir des entreprises qui créent de la richesse et la partagent avec les autres. Il croit fermement qu’au XXIe siècle, les entrepreneurs et les entreprises devraient assumer leurs responsabilités et créer un tout nouveau modèle d’affaires où les gens passent en premier. Dans cet épisode, Jose Luis parle de son éveil environnemental, de son parcours d’entrepreneur et de la façon dont Social Energy a commencé. Depuis le début, ils croient fermement que les gens peuvent être autonomes en énergie, avec un engagement profond envers la responsabilité sociale. Chez Social Energy, alors que les préoccupations environnementales ont un poids important, la dimension sociale est tout aussi cruciale. De nombreux employés viennent de milieux marqués par des défis et des conditions de vie difficiles. C’est pourquoi l’entreprise les soutient en les aidant à acquérir des compétences précieuses et à leur donner la chance de bien réussir au travail et dans leur vie personnelle.Un témoignage très inspirant d’un PDG charismatique ! Cet épisode est disponible sur toutes vos plateformes d’écoute préférées.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
For this episode we head to Spain. Our teams in Madrid had the chance to interview Juan Luis Cabeza, CEO of Social Energy, a company specialized in Solar Panels. He has been involved in the entrepreneurship world since the age of 15, when he started his first business. His main drive is to build businesses that create wealth and share it with others. He strongly believes that in the 21st century, entrepreneurs and companies should take on responsibility and create a whole new business model where people come first. In this episode, Jose Luis opens up about his environmental awakening, his journey as an entrepreneur, and how Social Energy started. Right from the beginning, they’ve strongly believe that people can be self-sufficient in energy, with a deep commitment to social responsibility. At Social Energy, while environmental concerns hold significant weight, the social dimension is equally crucial. Many employees come from backgrounds marked by challenges and difficult living conditions. That’s why the company supports them by helping them to learn valuable skills and give them chances to do well both at work and in their personal lives.A very inspiring testimonial by a charismatic CEO ! This episode is available on all your favorite listening platforms.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Para este episodio nos dirigimos a España. Nuestros equipos en Madrid tuvieron la oportunidad de entrevistar a Juan Luis Cabeza, CEO de Social Energy, empresa especializada en paneles solares. Desde los 15 años ha estado involucrado en el mundo del emprendimiento, cuando comenzó su primer negocio. Su principal impulsor es crear empresas que generen riqueza para compartir con otros. Juan Luis cree firmemente que, en el siglo XXI, los emprendedores y empresarios deben asumir la responsabilidad y desarrollar un modelo de negocio completamente nuevo donde las personas se sitúen en el centro. Durante este episodio, Juan Luis comparte su despertar ecológico, su camino como emprendedor y los comienzos de Social Energy. Desde su creación, la empresa ha combinado la convicción de que las personas pueden ser autosuficientes en energía con un fuerte compromiso social. En Social Energy, aunque el enfoque ambiental es muy fuerte, el aspecto social también es crucial. Muchos de los empleados provienen de entornos donde han enfrentado desafíos y condiciones de vida difíciles. Por eso, la empresa busca apoyarlos, ayudándolos a desarrollar habilidades valiosas y brindándoles oportunidades para tener éxito en sus vidas personales y profesionales. ¡Un testimonio muy inspirador por un CEO carismático! Puedes escuchar este episodio en tus plataformas favoritasHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au micro d’On The Way cette semaine : Sylvie Borias, directrice de l’Engagement & de la RSE au sein du Groupe Bel. Peut-être que le nom du Groupe Bel ne vous évoque rien ? Mais si on vous dit Vache Qui Rit, Boursin, Babybel ou encore Pom’Potes, cela vous parle plus, n’est-ce pas ? Eh bien, ce sont toutes des marques de ce groupe familial fort de 150 ans d’existence. Le saviez-vous ?Aujourd’hui, le secteur de l’agroalimentaire est responsable d'un tiers des émissions de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale.Dans ce contexte, le groupe Bel s’est engagé depuis de nombreuses années pour développer l’accès à une alimentation plus saine et plus durable pour tous. Au menu de ce récit captivant :Le parcours et le déclic écologique de SylvieLa révolution durable en marche au Groupe Bel depuis plusieurs années : portions anti-gaspi, alternatives végétales, juste rémunération des producteurs…Des conseils applicables dès maintenant et facilement pour une alimentation plus saine et plus responsable Des portions justes et des alternatives végétales pour une planète préservéeL’engagement du Groupe Bel pour un secteur alimentaire plus durable et plus sain se décline à travers de nombreuses initiatives concrètesPrivilégier les portions individuelles pour limiter les surplus et éviter qu’ils ne finissent à la poubelle. L’objectif est de proposer des produits dont les quantités sont adaptées nutritionnellement aux besoins réels des consommateurs, qui respectent l’environnement et qui restent accessibles au plus grand nombreSoutenir le développement de pratiques agricoles plus durablesDévelopper des alternatives végétales gourmandes et innovantes Un rayonnement qui dépasse les frontièresLes initiatives du Groupe Bel ne se limitent pas aux frontières françaises. Le groupe déploie ses actions à l’échelle européenne et mondiale, contribuant ainsi à un impact international de ses actions d’engagement.  Alors n’attendez plus, écoutez l’épisode d’On The Way avec Sylvie Borias sur toutes vos plateformes d’écoute préférées. Tous les autres épisodes sont également à découvrir juste ici. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On The Way this week: Sylvie Borias, Director of Engagement & CSR at Bel Group.Did you know that?Today, the agri-food sector is responsible for one-third of global greenhouse gas emissions.In this context, the Bel group has been committed for many years to developing access to healthier and more sustainable food for all.On the menu of this captivating story:Sylvie’s ecological journey and clickThe sustainable revolution underway at Groupe Bel for several years: anti-waste portions, plant alternatives, fair compensation for producers…Effective advice now and easily for a healthier and more responsible dietFair portions and plant alternatives for a preserved planetGroupe Bel’s commitment to a more sustainable and healthy food sector is expressed through numerous concrete initiatives:Favour individual portions to limit surpluses and prevent them from ending up in the trash. The objective is to offer products whose quantities are nutritionally adapted to the real needs of consumers, which respect the environment and remain accessible to the greatest numberSupporting the development of more sustainable agricultural practicesDevelop tasty and innovative plant alternativesAn influence that goes beyond bordersBel Group initiatives are not limited to French borders. The group deploys its actions on a European and global scale, thus contributing to an international impact of its commitment actions.Don’t wait any longer, listen to the episode of On The Way with Sylvie Borias on all your favorite listening platforms.All other episodes are also to discover right here.Good listening!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le secteur de la mode compte parmi les industries ayant un des impacts les plus importants sur les changements climatiques et renforce les inégalités socio-économiques à travers le monde. Selon Agence de la transition écologique - ADEME, la production textile utilise 4% de l’eau potable disponible dans le monde et représente avec 1,2 milliard de tonnes de Gaz à Effet de Serre, soit jusqu’à 10% des émissions mondiales. Ces chiffres sont malheureusement en hausse constante, boostés par la fast fashion qui fait qu’à l’heure actuelle, 130 milliards de vêtements sont consommés par an.   La production n’est pas l’unique responsable de la pollution liée au textile. En effet, le transport puis l’entretien comptent pour des parts très importantes. Ainsi comme le précise Oxfam , on considère qu’un jean peut parcourir jusqu’à 65 000 km du champ de coton au magasin de vente, soit 1,5 fois le tour de la planète. Enfin, chaque année, avec l’entretien de nos vêtements génère 500 000 tonnes de microparticules de plastiques (trop petites pour être filtrées dans les stations d’épuration) non biodégradables et qui se retrouvent dans les océans.   Fort de ces constats alarmants, Victoire et Thibault Satto ont décidé d’agir pour éclairer sur une mode plus responsable et durable en créant le média « The Good Goods ». Avec The Good Goods, l’idée est de pouvoir mettre en lumière des marques et des créateurs éthiques, respectueux de l’environnement et transparents. Ils proposent un annuaire qui répertorie les acteurs engagés du secteur et qui respectent la charte qu’ils ont élaborée. L’objectif est d’aider toute l’industrie à se transformer sur tous les pans, de la production jusqu’à la distribution pour contribuer à un meilleur  futur et d’aider le consommateur à se repérer pour faire des choix éclairés.    Pour ce 10ème épisode de notre podcast, Thibault nous partage son parcours, ses convictions et les défis auxquels son équipe est confrontée pour œuvrer au quotidien auprès des marques afin de construire une mode engagée. Il nous donne également ses petites astuces pour consommer plus durable. « Pour tout marque la transition écologique et pour tout personne d'ailleurs c'est un work in progress. Ça prend du temps et l'idée c'est de les accompagner ».    Très bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
The fashion sector is one of the industries with one of the most significant impacts on climate change and it reinforces socio-economic inequalities around the world. According to the Ecological Transition Agency - ADEME, textile production uses 4% of the drinking water available in the world and represents 1.2 billion tonnes of greenhouse gases, i.e. up to 10% of global emissions. Unfortunately, these figures are constantly rising, boosted by fast fashion, which currently means that 130 billion pieces of clothing are consumed per year. Production is not the only responsible for textile-related pollution. Indeed, transport and maintenance account for very important parts. Thus, as Oxfampoints out, it is considered that jeans can travel up to 65,000 km from the cotton field to the sales store, i.e. 1.5 times around the planet. Finally, each year, with the maintenance of our clothes generates 500,000 tonnes of plastic microparticles (too small to be filtered in wastewater treatment plants) that are non-biodegradable and that are found in the oceans as well as in our bodies. On the strength of these alarming observations, Victoire and Thibault Satto decided to act to shed light on a more responsible and sustainable fashion by creating the media "The Good Goods". With The Good Goods, the idea is to be able to highlight ethical, environmentally friendly and transparent brands and creators. They offer a directory that lists the players involved in the sector and who respect the charter they have drawn up. The objective is to help the entire industry to transform on all fronts, to production to distribution to contribute to a better future and to help consumers find their way around to make informed choices. For this 10th episode of our podcast, Thibault shares with us his journey, his convictions and the challenges his team faces in working daily with brands to build committed fashion. He also gives us his little tips for more sustainable consumption. “For everything marks the ecological transition and for everyone else it is a work in progress. It takes time and the idea is to support them”. Very good listening! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hortense Harang, co-fondatrice de Fleurs d’Ici et de wetradelocal.io ne porte pas son prénom par hasard. C’est le marché des fleurs qu’elle a décidé de révolutionner – ou plutôt de rétablir comme dans le temps. Et finalement, pas besoin de réinventer la poudre, il suffit d’un peu de bon sens et de beaucoup de digital !     Après plusieurs années en tant que journaliste, un passage en communication, en politique et en conseil, Hortense trouve finalement sa voie dans l’entrepreneuriat social sans jamais perdre de vue son fil rouge : l’intérêt général.    Mais comment allier entreprise profitable et intérêt général ? Est-ce possible ? Si oui, pourquoi personne ne s’y met ?     Dans cet épisode, Hortense nous informe que le local ne constitue que 7% de l’offre dans nos grandes enseignes françaises de la distribution. Et pour cause, il est plus simple de se fournir de l’ail venant d’Argentine que celui qui pousse à 20km de chez soi… Et ce constat est aussi valable pour les fleurs !     En effet, les roses rouges à la Saint Valentin n’ont rien de glamour… Fabriquées dans des pays en développement, au Kenya notamment, dans des conditions de travail douteuses et à l’impact écologique aberrant, le grand voyage qu’entreprennent ces roses au mois de février chaque année, laisse fortement à désirer.     Mais pourquoi ? Pourquoi faire venir des produits aussi fragiles d’aussi loin ? Comment justifier qu’il soit plus simple de se fournir à l’autre bout du monde (par l’intermédiaire de la Hollande) plutôt que grâce à nos fermes florales ? Pourquoi ne respectons-nous plus les saisons ?     Plusieurs réponses à cela : tout d’abord les producteurs de fleurs en France se font de plus en plus rares, les fermes florales locales n’ont pas résisté à la plateforme géante hollandaise. Il y a aussi les industriels et les grands noms fleuristes qui y voient un gain économique et logistique : « vous savez exactement ce que vous aurez, à telle date et à tel prix. » Facile lorsqu’on n’a pas de saison : on peut garantir des quantités énormes de fleurs, identiques et à bas coût. Et enfin les modes de consommation. Notre époque nous a habitué à avoir tout, tout le temps, et ce, peu importe la saison et notre localisation. Hortense, qui a passé son enfance à attendre la saison des cerises comme si c’était Noël, le sait bien : ce n'est plus le cas aujourd’hui.     Et pourtant Hortense a décidé d’y remédier ! Face à l’urgence climatique et persuadée que c'est en faisant chaque jour des choix de consommation plus responsables qu'on peut infléchir le cours des choses le cours de l'histoire, le cours de l'économie, le cours de la société, Hortense se lance dans l’aventure Fleurs d’Ici.     Dans cet épisode, découvrez le parcours de Fleurs d’Ici : comment relancer la filière en France, comment convaincre les fleuristes de proposer des fleurs locales, comment donner envie aux consommateurs de choisir une violette plutôt qu’une rose… ?  Hortense délivre les étapes de création de Fleurs d’Ici, jusqu’au succès florissant (c’est le cas de le dire) de l’entreprise : 300 nouvelles fermes florales en France, des fleuristes qui se présentent d’eux-mêmes pour travailler avec Fleurs d’Ici et des consommateurs qui ne reviendront pas en arrière. Pour cela, il a fallu casser les codes et prouver qu’il était possible de revenir au local, sans altérer l’efficacité des entreprises.   Remettre l’ancien rythme des saisons au goût du jour grâce à une utilisation du digital poussée et efficace : c’est l’histoire de Fleurs d’Ici, au micro d’On The Way.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hortense Harang, co-founder of Fleurs d'Ici and wetradelocal.io is not named by chance. It is the flower market that she has decided to revolutionize – or rather restore as in time.   And finally, no need to reinvent the powder, just a little common sense and a lot of digital!  After several years as a journalist, a career in communication, politics and consulting, Hortense finally found his way into social entrepreneurship without ever losing sight of his common thread: the general interest.   But how can we combine a profitable company with a general interest? Is it possible? If so, why is no one doing it?      In this episode, Hortense informs us that the local represents only 7% of the offer in our major French retailers. And for good reason, it’s easier to get garlic from Argentina than if it grows 20 km from home… And this is also true for flowers!  Red roses on Valentine’s Day are not glamorous… Manufactured in developing countries, in Kenya in particular, in questionable working conditions and with aberrant ecological impact, the great journey these roses undertake in February each year leaves much to be desired.     But why? Why bring such fragile products from so far away? How can we justify making it easier to buy from the other side of the world (through Holland) rather than through our flower farms? Why do we no longer respect the seasons?      Several answers to this: first of all flower producers in France are becoming increasingly rare, local flower farms have not resisted the giant Dutch platform. There are also the industrialists and the big florists who see in it an economic and logistical gain: «you know exactly what you will have, at a certain date and at a certain price.» Easy when you don’t have a season: you can guarantee huge quantities of flowers, identical and at low cost. And finally, consumption patterns. Our time has accustomed us to having everything, all the time, regardless of the season and our location. Hortense, who spent his childhood waiting for the season of cherries as if it were Christmas, knows it well: this is no longer the case today.     And yet, she decided to remedy it! Faced with the climate emergency and convinced that it is by making more responsible consumer choices every day that we can change the course of things the course of history, the course of the economy, the course of society, Hortense takes us on Fleurs d'Ici adventure.      In this episode, discover the path of Fleurs d'Ici: how to relaunch the sector in France, how to convince florists to offer local flowers, how to give envy to  consumers choose a violet rather than a rose…?   Hortense delivers the stages of creation of Fleurs d'Ici, until the company’s flourishing success (it’s the case to say it): 300 new flower farms in France, florists who present themselves-even to work with Fleurs d'Ici and consumers who will not go back. To do this, it was necessary to break the codes and prove that it was possible to return to the local, without altering the efficiency of the companies.   Bringing the old rhythm of the seasons back to the modern day thanks to a powerful and efficient use of digital: this is the story of Fleurs d'Ici, on the microphone of On The Way.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous avons eu la chance pour ce 2ème épisode de rencontrer Fabienne Morgaut, Directrice RSE de Maisons du Monde, et présidente de la fondation. Inspirez-vous de son parcours riche et atypique : ses études de communication, sa passion pour la nature et les grands singes, ses aspirations pour les voyages l’ont menée à travailler dans un premier temps dans une association qui s’occupe de la forêt tropicale.  C'est à la naissance de sa fille qu'elle a vraiment pris conscience des enjeux de écologiques et a souhaité rejoindre Maison du monde, pour développer la démarche RSE au sein de l'enseigne de meubles et décoration. Fabienne nous explique les démarches mises en place par l’entreprise de distribution pour concevoir des produits avec un impact moindre sur l’environnement : traçabilité des produits, meubles certifiés FSC, ainsi que la création d’un canapé éco-conçu primé par le Ministère de l’Ecologie et l’ADEME.  Créer une stratégie RSE est essentiel mais il est indispensable d'embarquer les collaborateurs afin d'incarner cette stratégie jusqu’au point de vente, en adaptant son offre pour donner au consommateur l’envie d’agir à travers son acte d’achat.  Très bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
For this second episode, we had the opportunity to meet Fabienne Morgaut, CSR Director of Maisons du Monde & President of the Maisons du Monde Foundation. Get inspired by her rich and atypical career path that has led her to develop the CSR strategy in the French furniture and home decor company. Enjoy listening! We had the chance for this 2nd episode to meet Fabienne Morgaut, CSR Director of Maisons du Monde, and president of the foundation. Get inspired by her rich and atypical career: her studies in communication, her passion for nature and great apes, her aspirations for travel led her to work initially in an association that takes care of the forest tropical. It was when her daughter was born that she really became aware of ecological issues and wished to join Maison du monde, to develop the CSR approach within the furniture and decoration brand. Fabienne explains the steps taken by the distribution company to design products with a lower impact on the environment: product traceability, FSC-certified furniture, as well as the creation of an eco-designed sofa awarded by the Ministry. of Ecology and ADEME. Creating a CSR strategy is a must, but it is essential to involve employees in order to embody this strategy right up to the point of sale, by adapting its offer to give consumers the desire to take action through their act of purchase. Very good listening!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Obsolescence logicielle, prix des pièces détachées, achats compulsifs, manque d’informations ou encore manque d’entretien...Si 85% des Français envisagent la réparation de leurs produits en panne, seulement 30% le font vraiment : un écart justifié par une réparation parfois plus coûteuse que l’achat d’un produit neuf ! Ce coût perçu ou réel est un frein évident à la réparation, alors que cette dernière permet d’allonger la durée de vie des produits, de limiter l’exploitation de nouvelles ressources et donc de contribuer à préserver la planète.Pour inverser cette tendance et accompagner l’évolution des habitudes de consommation des Français, l’ADEME, l’Agence de la Transition Écologique, a pour mission de mettre en place plusieurs leviers d’action qui tendent à améliorer le cycle de vie des produits notamment électriques et électroniques en rendant la réparation plus accessible à tous.Dans cet épisode d’On The Way, Raphaël Guastavi, Directeur Adjoint Économie Circulaire à l’ADEME nous explique comment l’ADEME a mis l’accent sur la nécessité de produire et de consommer différemment, en privilégiant la sobriété et la préservation des ressources.Il nous partage tout d’abord son parcours, empreint dès le début d’une sensibilité pour l’environnement et l’écologie. Puis comment, d’une spécialisation sur l’étude des déchets des ménages et leur traitement au sein des collectivités locales, il œuvre aujourd’hui à l’échelle nationale, pour diminuer l’impact environnemental des ménages et des entreprises.Entre fonds Réparation, fonds Réemploi, bonus réparation et réparateurs agréés QualiRépar ; Raphaël nous explique comment l’ADEME contribue à accompagner les Français dans la réduction de leurs impacts environnementaux grâce à l’économie circulaire en favorisant le réemploi et la réparation.Un podcast inspirant pour celles et ceux qui aspirent à une consommation plus responsable et plus durable, disponible sur toutes vos plateformes d’écoutes préférées !Et retrouvez-y également tous les autres épisodes “On The Way” !Bonne écoute !Et pour aller plus loin, vous trouverez ci-dessous les références des études et articles cités par Raphaël :Vous vous posez des questions avant un achat ? Trouvez toutes les réponses sur le site Épargnons nos Ressources !Dans un contexte où des évolutions dans nos modes de vie, nos modes de consommation et de production s'imposent, l'ADEME a lancé un nouveau baromètre sur les questions de sobriétés et modes de vie pour mieux appréhender les évolutions des pratiques et conditions de mise en œuvre de démarches collectives et individuelles de sobriété et les incidences positives et négatives sur les différents publics. La consommation de biens «durables» ou «semi-durables» occupent une place de plus en plus importante dans la répartition des dépenses des ménages, notamment dans le domaine du logement et de ses équipements (meubles et électroménagers), de la communication (technologies de l'information et de la communication) et des loisirs (par exemple, les équipements sportifs). Cette étude est la suite d'une première étude de l'ADEME visant à poursuivre l'évaluation environnementale de produits de consommation.Découvrez les impacts économiques et environnementaux associés à l'allongement de la durée d'usage d'équipements électriques et électroniques, à l'échelle d'un foyer français dans cette nouvelle étude. Cette étude vise à connaître les perceptions et les pratiques des Français en 2019 en matière de réparation et de caractériser leurs évolutions par rapport aux résultats de la précédente étude en 2014, Outil de lutte contre l’obsolescence – programmée ou non - pour éviter la mise au rebut trop précoce des produits et préserver les ressources naturelles nécessaires à leur production, découvrez l'indice de réparabilité.
Software obsolescence, spare parts prices, compulsive purchases, lack of information or even lack of maintenance...While 85% of French people plan to repair their broken products, only 30% actually do so: a gap justified by a repair that is sometimes more expensive than buying a new product! This perceived or real cost is an obvious obstacle to repair, even though it makes it possible to extend the life of products, limit the exploitation of new resources and therefore contribute to preserving the planet.To reverse this trend and support the evolution of French consumers' consumption habits, ADEME, the Agency for Ecological Transition, has set up several levers of action that aim to improve the life cycle of products, particularly electrical and electronic products, by making repair more accessible to all.In this episode of On The Way, Raphaël Guastavi, Deputy Director of Circular Economy at ADEME, explains how ADEME has emphasized the need to produce and consume differently, by prioritizing sobriety and the preservation of resources.First of all, he shares with us his career, marked from the beginning by a sensitivity for the environment and ecology. And how, from a specialization in the study of household waste and its treatment within local authorities, it is now working on a national scale to reduce the environmental impact of households and businesses.Between Repair funds, Reuse funds, repair bonuses and QualiRépar approved repairers; Raphaël explains how ADEME contributes to supporting the French in reducing their environmental impacts through the circular economy by promoting reuse and repair.An inspiring podcast for those who aspire to a more responsible and sustainable consumption, available on all your favorite listening platforms!And you can also find all the other "On The Way" episodes!Enjoy!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Découvrez le dernier épisode de notre podcast en compagnie de Nicolas Chabanne, initiateur de la démarche « C’est qui le patron ?! ».  Vous avez peut-être déjà croisé cette marque dans les rayons de votre supermarché, notamment à travers sa fameuse brique de lait bleue, mais connaissez-vous son histoire ?   « C’est Qui Le Patron ?! » est née de la volonté de redonner aux consommateurs le contrôle sur ce qu’ils achètent.   Nicolas partage son parcours inspirant, depuis ses racines dans le sud de la France jusqu’à la création d’une révolution dans l’industrie alimentaire. Il raconte comment une simple discussion a conduit à la naissance de cette célèbre brique de lait bleue et comment les consommateurs sont devenus les acteurs du changement. En effet, ce produit a été élaboré en suivant le cahier des charges voté par ces consommateurs engagés ! Une brique de lait solidaire qui a changé la donne, rémunérant justement les producteurs et devenant le lait le plus vendu de France, sans publicité ni force de vente.    Mais ce n’est pas seulement l’histoire d’un homme. Il s’agit d’une histoire collective, celle de millions de consommateurs engagés qui ont choisi de prendre le contrôle de leurs achats et d’avoir un impact positif sur l’environnement, leur santé et la société. Aujourd’hui, « C’est qui le patron ?! » c’est 19 produits équitables créés et vendus en grande distribution, plus de 3 000 producteurs soutenus partout en France et plus de 13 000 sociétaires engagés dans l’aventure.   Installez-vous confortablement, plongez dans ce récit inspirant de consommateurs qui transforment le monde, une brique de lait à la fois ; et découvrez comment vous pouvez vous aussi vous impliquer. Parce que, comme le rappelle Nicolas Chabanne, notre carte bancaire est comme un bulletin de vote pour faire entendre notre voix : chaque achat que nous faisons peut avoir un impact positif sur le monde qui nous entoure !   Cet épisode est disponible sur toutes vos plateformes d’écoutes préférées ! Et retrouvez-y également tous les autres épisodes “On The Way” ! Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Discover the last episode of our podcast with Nicolas Chabanne, initiator of the “C'est qui le patron ?!” You may have seen this brand on the shelves of your supermarket, especially through its famous blue carton of milk, but do you know its history?   “C’est qui le patron ?!” was born from the desire to give consumers control over what they buy.   Nicolas shares his inspiring journey, from his roots in the south of France to the creation of a revolution in the food industry. He tells us how a simple discussion led to the birth of this famous blue carton of milk and how consumers have become players of change. Indeed, this product was developed following the specifications written by these committed consumers! A carton of milk based on solidarity that changed the game, paying justly the producers and becoming the most sold milk in France, without advertising or sales force.    But it’s not just the story of one man. It is a collective story of millions of engaged consumers who have chosen to take control of their purchases and have a positive impact on the environment, their health and society. Today, “C’est qui le patron ?!” is 19 fair trade products created and sold in mass distribution, more than 3,000 producers supported throughout France and more than 13,000 members engaged in the adventure.   Sit back, immerse yourself in this inspiring story of consumers transforming the world, one carton of milk at a time; and find out how you too can get involved. Because, as Nicolas Chabanne reminds us, our bank card is like a ballot paper to make our voice heard: every purchase we make can have a positive impact on the world around us!   This episode is available on all your favorite listening platforms! You can also find all the other episodes “On The Way”!   Good listening!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La pandémie du covid-19, ponctuée par ses confinements successifs, a fortement contribué à un retour à la nature et à éveiller les consciences sur les enjeux climatiques auxquels nous devons faire face. Cette période incertaine a aussi vu émerger de très belles initiatives, initiées par des citoyens engagés qui veulent agir et être acteurs du changement. C’est le cas de Stacy Algrain, étudiante à Sciences Po et activiste, que nous avons eu la chance de recevoir à notre micro, et qui a fondé en 2020 le Think and Do Tank Penser L’après. Il s’agissait d’une série de webinaires qui réunit des profils aussi variés que Jean Jouzel, éminent paléoclimatologue, Jean-Marc Jancovici, associé fondateur de Carbone 4 et président de The Shift Project, ou encore Laurence Tubiana, économiste et Présidente de la Fondation européenne pour le climat. Aujourd’hui, ils sont désormais 40 bénévoles engagés pour éduquer, inspirer et pousser les 18-35 ans à agir pour une transition écologique, sociale et solidaire. Si Stacy revient sur son parcours et sur les raisons de son engagement, c’est aussi la voix d’une génération qui s’exprime à travers son témoignage. Une génération appelée « Millenials », qui loin d’être fataliste, déborde d’énergie pour faire bouger les lignes. Convaincu que l’action doit se faire auprès des politiques, Stacy nous livre les enjeux de son quotidien, ses convictions, ses rêves et ses ambitions pour créer un monde meilleur. Également persuadée que c’est par l’information et l’éducation du plus grand nombre que les choses pourront s’améliorer, c’est finalement le process des petits pas qui pourra aussi porter ses fruits. En effet, combiné à de grandes actions politiques, si chaque jour un peu plus de citoyens avancent dans le bon sens pour la planète, nous arriverons à construire un monde meilleur, plus inclusif, plus juste et surtout plus respectueux de l’environnement.     Prolongez l’expérience et inspirez-vous en regardant les webinaires Penser L’après menés par Stacy,   Très bonne écoute !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
The covid-19 pandemic, punctuated by its successive confinements, has strongly contributed to a return to nature and to raising awareness of the climate issues we must face. This uncertain period has also seen the emergence of very good initiatives, initiated by committed citizens who want to act and be agents of change. This is the case of Stacy Algrain, a student at Sciences Po and activist, whom we were fortunate to have at our microphone, and who in 2020 founded the Think and Do Tank Penser L’après. It was a series of webinars that brought together profiles as varied as Jean Jouzel, eminent paleoclimatologist, Jean-Marc Jancovici, founding partner of Carbone 4 and president of The Shift Project, or Laurence Tubiana, economist and President of the European Climate Foundation. Today, there are now 40 volunteers committed to educating, inspiring and pushing 18-35 year olds to act for an ecological, social and united transition. While Stacy reflects on her journey and the reasons for her involvement, it is also the voice of a generation that is expressed through her testimony. A generation called "Millennials" who, far from being fatalistic, are bursting with energy to shake things up. Convinced that action must be taken with politicians, Stacy shares with us the challenges of her daily life, her convictions, her dreams and her ambitions to create a better world. Also convinced that it is by informing and educating as many people as possible that things can improve, it is ultimately the process of small steps that can also bear fruit. Indeed, combined with major political actions, if every day a few more citizens move in the right direction for the planet, we will succeed in building a better, more inclusive, more just world and above all more respectful of the environment.   Extend the experience and be inspired by watching the Penser L’après webinars led by Stacy, Very good listening! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que deviennent les savonnettes des chambres d’hôtels une fois les clients partis ? C’est la question que s’est posée Pauline Grumel et, visiblement, elle était la première en France à s’y intéresser sérieusement.     En effet, les hôtels jettent leurs savons après le passage de leurs clients et ce, même après une seule utilisation. Question d’hygiène. Pourtant ces savons restent réutilisables…      Fort de ce constat, Unisoap naît en 2017 : une association à but non lucratif ayant pour objectif de collecter les savons usagés, shampooings, gels douche et conditionners solides des hôtels, afin de les recycler via des ESATs et de les distribuer une fois recyclés aux personnes dans le besoin.      En 2018, le premier partenariat avec un hôtel en région Lyonnaise signe le début du développement d’Unisoap. Ce n’est que le début car les partenariats s’enchaînent et bientôt les hôtels viendront d’eux-mêmes vers Unisoap afin de rejoindre le mouvement. En effet, conscients que l’engagement RSE constitue maintenant un critère de choix décisif pour les clients, les hôtels sont de plus en plus nombreux à s’en soucier.     Si l’idée initiale était d’exporter les savons recyclés vers les pays en voie de développement, Unisoap répondra finalement à un besoin bien plus proche : la France. En effet, les associations telles que le Restos du Cœur, Le Secours Populaire, L’armée du Salut, etc. alertent quant à la nécessité de récolter des produits d’hygiène. 3 millions de français n’ont pas la possibilité de s’acheter ces produits d’hygiène de base. Quand on sait que l’hygiène touche non-seulement à la santé mais aussi à l’intégrité et à la dignité des personnes, il est plus que primordial de pouvoir l’accorder au plus grand nombre.  C’est le combat de Pauline et son association qui s’engagent à faire don de tous ces produits aux personnes en situation de précarité. Depuis sa création, Unisoap a récolté 7 tonnes de savon et a distribué 15 000 pains de savons aux personnes dans le besoin. Et tout le monde s’y retrouve puisque la démarche Unisoap est un véritable élément différenciateur pour les hôtels, qui permet de séduire des clients soucieux de réduire leur impact.      Grâce à la carte proposée sur le site de l’association, il est très simple de trouver son futur hôtel partenaire et, ainsi, contribuer à la préservation des ressources et au succès d’Unisoap. Avec plus de 51 millions de savons jetés chaque année par les hôtels en France, le potentiel de développement est fort et nous ne sommes qu’au début de l’aventure !  Pour aller encore plus loin, en ce moment, Unisoap s’associe à Solikend (plateforme de réservation d’hôtels où les paiements sont 100% reversés à l’association de votre choix) pour vous faire bénéficier d’une réduction exceptionnelle de 50% sur votre prochaine réservation de séjour dans un établissement partenaire avec le code : UNISOAP2022… En avant les vacances écoresponsables !!!     Dans cet épisode de On The Way, Pauline Grumel nous raconte son parcours, sa prise de conscience et comment son association travaille aujourd’hui autour d’une triple démarche : environnementale, sociale, solidaire… Bonne écoute !   Et pour soutenir Unisoap, foncez faire un don à l'association ici ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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