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Racines mauriciennes
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Racines mauriciennes

Author: La Gazette de la Mauricie

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Description

Racines mauriciennes, ce sont les récits des gens de chez nous. Ici, on se raconte nos histoires. Vous êtes invité.e à travers chacun des épisodes à découvrir les anecdotes, les aventures et les mémoires de celles et ceux ayant façonné notre belle région, la Mauricie. Embarquez avec Valérie Deschamps et découvrez des secrets parfois beaucoup trop bien gardés. Bienvenue dans nos racines mauriciennes! Cette série est produite par La Gazette de la Mauricie et présentée par la Société Saint-Jean-Baptiste de la Mauricie. Elle est aussi rendue possible grâce à la contribution du Gouvernement du Québec et de son programme Québec ami des aînés. Réalisation: Valérie Deschamps et David Leblanc; Animation: Valérie Deschamps; Musique et trame sonore: Anthony Gagnon Boisvert; Montage sonore: Pierre Brouillette-Hamelin et Dominic Brouillard; Illustration: Chloé Germain-Thérien
18 Episodes
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PARTIE 2 - Dans la vie, connaître notre histoire, ça peut passer par des écrits, des arbres généalogiques, des souvenirs cachés-beaucoup-trop-loin. Mais notre histoire, ça passe aussi par les jasettes et les rencontres. Nous sommes déjà rendus à la fin de ce magnifique projet que fut Racines Mauriciennes. Après avoir rencontré des hommes et des femmes de partout dans la région, je me suis demandé à quoi ressemblaient mes propres racines, en Mauricie. C’est donc cette rencontre-là, entre deux générations de Deschamps – mon père et moi – que je vous invite à écouter au cours de ces deux derniers épisodes de Racines Mauriciennes. François Deschamps : Mon père, mes racines. Rires, souvenirs, émotions et amour sont au menu.
Dans la vie, connaître notre histoire, ça peut passer par des écrits, des arbres généalogiques, des souvenirs cachés-beaucoup-trop-loin. Mais notre histoire, ça passe aussi par les jasettes et les rencontres. Nous sommes déjà rendus à la fin de ce magnifique projet que fut Racines Mauriciennes. Après avoir rencontré des hommes et des femmes de partout dans la région, je me suis demandé à quoi ressemblaient mes propres racines, en Mauricie. C’est donc cette rencontre-là, entre deux générations de Deschamps – mon père et moi – que je vous invite à écouter au cours de ces deux derniers épisodes de Racines Mauriciennes. François Deschamps : Mon père, mes racines. Rires, souvenirs, émotions et amour sont au menu.
Dans une vie, on croise des centaines d’humains. Il y a ceux qui ne sont que de passage et ceux qui laissent un petit fanion sur le bord de notre route. Christian Bouchard en a certainement laissé un dans la mienne ainsi que dans la vie de plusieurs autres personnes. Que ce soit par l’enseignement, par sa plume ou par sa voix, cet humaniste a marqué jeunes et moins jeunes au cours des années. Faites la rencontre de Christian Bouchard dans cet épisode de Racines mauriciennes.
Nos mères et nos grands-mères ont toutes déjà été propriétaires d’une machine à coudre. Ça faisait partie du trousseau, comme on le dit si bien. À Trois-Rivières, pendant 70 ans, c’est chez Hamel et Fils Machines à coudre qu’on se rendait pour prendre soin de notre toute belle à fil et aiguille. En 2020, Normand Hamel, fils de Marcel Hamel, fondateur de cette entreprise trifluvienne, a accroché ses derniers outils de réparation. Cet épisode de Racines mauriciennes raconte cette histoire de passion transmise de père en fils.
À Saint-Étienne-des-Grès, sur le chemin des Dalles, le fleurdelisé flotte dans le vent en ornant la résidence de Francine Boulanger. Le drapeau national affiche ses couleurs, mais également celles de cette fière Stéphanoise. Nous commençons l’année de Racines mauriciennes avec le récit d’une passionnée du Québec, de sa culture et de sa langue… une femme engagée depuis toujours, Francine Boulanger.
C’est à se demander si elle tire son énergie et ses convictions des femmes l’ayant précédée ou du courant de la rivière Batiscan. Assurément, Johane Germain incarne ces deux forces jour après jour. Cet épisode de Racines Mauriciennes nous amène sur les rives de celle qui voit encore danser le matin « les belles brumes » sur son dos. Direction Saint-Adelphe pour y rencontrer l’inspirante Johane Germain.
Notre folklore est rempli d’histoires de bois et de bûchage. Les Jos Montferrand, Jos Violon, Tom Caribou ou même les bûcherons de la chasse-galerie font partie des classiques de notre culture québécoise. Mais si je vous disais qu’il existe aussi une femme de chantier qui mériterait de faire partie de nos légendes ? Si je vous disais que cette femme se trouve chez nous, en Mauricie ? 5 pieds 1 pouce de femme des bois, mes ami(e)s ! Racines mauriciennes vous présente ce mois-ci Lucille Boisvert, femme de chantier.
Même si je dois avouer qu’au mois d’octobre on a plus un goût de sirop de citrouille que de sirop d’érable, on dirait qu’il n’y a pas vraiment de mauvais moment pour apprécier les souvenirs que ce goût nous apporte. Histoires des sucres en famille et entre ami.e.s, ce n’est pas ça qui manque à Claire et Richard Boucher. Le retour de doux souvenirs familiaux à l’érablière portant aujourd’hui le nom Ferme du Loup, c’est exactement ça ce qui s’est passé. Voyageons dans les souvenances de cette famille fondatrice de l’érablière sur le chemin des Allumettes à St-Paulin dans cet épisode de Racines Mauriciennes.
Me croiriez-vous si je vous disais qu’il est possible pour un homme de dresser une mouffette ? D’apprivoiser une corneille ? Un peu plus et il lui donnait un nom. Oh. Attendez… Après vérification dans nos vallons mauriciens, cet homme existe. Il demeure à quelques pas de l’autoroute 55, tout juste à côté de la sortie 211 à St-Boniface. Jacques Bournival, a une vie remplie d’histoires et de complicité avec les animaux. Si un livre existait sur sa vie, on pourrait le titrer Le Bestiaire de Bournival. On vous en présente un extrait dans cet épisode de Racines Mauriciennes.
Présents depuis le tout début de la colonie française, les Caron ont fait leur place sur le territoire québécois. À la fin du XXe siècle et au début du XXIe, c’est le tour de Gaétan Caron et sa femme Christiane Julien d’entrer dans la tradition familiale et de faire partie de nos Racines mauriciennes.
Le printemps s’installait lors de notre visite dans le secteur Saint-Louis-de-France. Les dernières neiges fondaient au soleil qui lui, réchauffait le toit de tôle de la vieille demeure de la rue Louis-de-France. C’est que cette maison, ainsi que celle voisine, appartiennent aux Caron depuis de nombreuses générations. « C’était mon arrière-grand-père qui habitait ici. À côté, c’est mon grand-père qui l’a construite après s’être marié. Aujourd’hui, j’habite là où mon arrière-grand-père a vécu et ma fille, où mon père et moi avons grandi. Après toutes ces années, c’est encore dans la famille ! », raconte fièrement Gaétan.
Quand le mot liberté prend un nouveau sens, une deuxième vie. Quand le concept de « réalité thérapie » s’installe pour le bien non seulement de certains individus, mais également d’une collectivité. Quand ces paroles prennent forme et s’inscrivent dans la philosophie d’un homme : Pierre Houde. Phare sur le fondateur de la Maison de transition Radisson à Trois-Rivières.
Sous sa plume, histoires du quotidien et histoires du millénaire ont pris racine dans le récit mauricien. Son regard attentif, son écoute et ses questionnements de « chien de garde de la démocratie » ont permis à la population d’avoir l’heure juste. Louise Plante a su, pendant 34 ans, mettre en mots la grande comme la petite histoire des gens de notre région. Cette fois-ci, c’est la sienne qui sera racontée dans cet épisode de Racines mauriciennes.
Les mots font foi de tout. Ils peuvent rester décennie après décennie dans la mémoire collective. Qu’ils soient écrits ou tout simplement dits, ils transforment parfois notre quotidien et, en l’occurrence, notre société. Maniant les mots tant pour lui que pour les autres, Michel Héroux a trouvé sa place au sein d’une famille journalistiquement notoire en Mauricie. Cette nouvelle histoire présentée par Racines mauriciennes est celle d’un homme de parole, un « rédacteur de bien commun ».
Café à la main, l’homme que je connais depuis ma naissance me raconte ses débuts quelque peu surprenants. Ouverture, humanité et vie l’ont guidé à travers les années. Après ses études en théologies, Denis se dirige à Shawinigan pour commencer sa « vie de prêtre ». Les guillemets sont importants quant à cette partie de l’histoire. Quand on pense à « un homme d’Église », on pense aux différents rites religieux et différents sacrements, mais pas dans le cas de Denis. Ce ne sont pas ces traditions d’église qui lui ont ouvert la voie, mais plutôt les gens qu’il a côtoyés.
Il n’y a pas d’âge pour partager du bonheur. Ce désir d’aider, après de nombreuses années de bénévolat, brille toujours dans les yeux de Simone Hémon et Gertrude Berthiaume. Deux femmes qui ont donné pendant longtemps, et qui continuent de donner. Les récits de ces deux dames se sont croisés au Centre d'action bénévole de Grand-Mère il y a plus de quarante ans.
Arborant fièrement la blancheur rayonnante de ses courts cheveux, Louise Hamel raconte son parcours professionnel avec un fier sourire. C’est que cette fierté du travail accompli chez l’animatrice bien connue de la région, témoigne d’un chemin qu’elle a défriché à mains nues. Cette route n’était pas encore totalement pavée pour les femmes.
Dans Racines mauriciennes, l’animatrice Valérie Deschamps, nous propose de l’accompagner à travers son périple en Mauricie alors qu’elle va à la rencontre de Pierre, Louise, Simone et bien d’autres personnes aînées de notre territoire à la recherche des histoires fascinantes du monde ordinaire; ces histoires qui au fil du temps ont tricoté notre identité collective régionale.
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