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40 années

Author: Aurélie Dhavernas@

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40 années est un podcast consacré à la découverte de métiers et de professionnels passionnants et passionnés. Dans 40 années, vous entendrez le témoignage de professionnels qui partagent le quotidien de leur job, donnent leurs conseils carrière et aident à s’y retrouver dans la jungle de l’orientation professionnelle ! Des jobs les plus originaux à ceux que l’on croit connaître, des artisans aux chercheurs : tous les métiers sont abordés, sans limite. Le seul critère ? Que ceux qui le pratiquent soit passionnés ! 
Quelles études faire ? Quels stages ? Quelle est la réalité derrière des noms de métier parfois alléchants mais incompréhensibles ? Quel est le niveau de salaire auquel prétendre ? Voici quelques-unes des questions auxquelles les invités de 40 années répondent.
Nous allons travailler 40 années, alors tâchons de faire en sorte que ce soient 40 années passionnantes !
40 Episodes
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Jullien Gault a à peine 30 ans, mais un parcours professionnel déjà long comme le bras. Après un passage en vente et une longue période à San Francisco, il se dirige vers la télévision et le recrutement de candidats pour les jeux. Vous n'imaginez pas la quantité de travail qui se cache dans les coulisses de Top Chef, du Meilleur Pâtissier ou de Tous en Cuisine ! Après avoir été casteur puis directeur de casting pour la télévision, Jullien rend un témoignage sincère et original de la vie dans les coulisses de la télévision, et de tous les métiers que cela recouvre.  Pour suivre Jullien, c'est par ici ! Tous ses conseils pour réussir un casting ? C'est ici !  https://www.julliencast.com Son compte instagram ? C'est par là ! https://www.instagram.com/julliencast/ Et sur YouTube ? Encore mieux ! https://www.youtube.com/c/JullienCast/featured
Si vous habitez à Paris, peut-être avez croisé Hubert Rabany, fondateur de Cantal-Direct, en train d'effectuer des livraisons à vélo. Cet épicurien, amateur de bons produits, distribue les trésors de producteurs auvergnats partout en France pour le plus grand bonheur de nos papilles... et des agriculteurs !  Hubert Rabany, quitter un métier qu'il aime pour un métier qu'il aime encore plus Avant de créer Cantal-Direct, Hubert a passé 8 ans chez Nestlé. Et il a adoré ! S'il a choisi de quitter l'entreprise pour monter sa propre société, ce n'était pas par rebellion, mais par conviction. Par conviction qu'il est nécessaire de changer les modes de négociation auprès des agriculteurs pour garantir leur dignité et leur qualité de vie.  Avoir des convictions... et passer à l'action ! Le modèle de Cantal-Direct est simple. Enfin, sur le papier... Hubert passe une semaine par mois dans le Cantal, à la rencontre d'agriculteurs, de fromagers, de pâtissiers... qu'il sélectionne soigneusement, avant de les proposer à la vente sur son site cantal-direct.fr. Ensuite, chaque mois il effectue une grande commande de tous les produits avant de ne les distribuer aux clients qu'il aura séduits dans les grandes villes de France. Cela vous paraît simple ? Détrompez-vous !  Création de l'entreprise, mise en place du site internet, sélection des prestataires et des fournisseurs, communication et marketing, négociations tarifaires, gestion du froid et des produits frais... Hubert doit être partout, tout le temps. Et ce n'est pas facile. Au-delà de l'extraordinaire satisfaction personnelle qu'un entrepreneur peut vivre, il y a de vraies exigences qui peuvent avoir un impact important sur la vie personnelle. A ne pas oublier !  Créer son circuit-court: comment faire ? Ecoutez l'épisode et contactez Hubert ! Il vous partagera son parcours et ses recommandations pour se lancer dans l'aventure. Et croyez-moi, il sait partager sa passion! Mieux connaître Hubert Rabany et Cantal-Direct Retrouvez-les sur cantal-direct et Instagram: www.cantaldirect.fr https://www.instagram.com/cantaldirect/ Et sur 40 anénes: 40annees.fr 
Léa Doyen a un métier bien difficile à décrire. Critique culinaire la nuit, influenceuse le week-end et spécialiste de politiques publiques auprès d'un Ministère le reste du temps. Vous savez comment on les appelle, ces personnes insatiables et curieuses de tout ? Les slasheurs. C'est quoi un slasheur ? Un slasheur, c'est une personne qui considère que vivre une seule vie professionnelle, c'est dommage. Et qu'il est plus efficace de vivre plusieurs vies professionnelles en parallèle, pour vivre toutes ses passions au maximum et enrichir son parcours. Et je peux vous dire que Léa Doyen est une shasheuse extraordinaire ! Devenir critique culinaire Léa Doyen est critique culinaire et influenceuse food. Ce qui signifie qu'elle a appris à éduquer son palais pour discerner la finesse des saveurs, et trouver les mots qui permettront à d'autres personnes de comprendre l'expérience qu'elle a vécu. Ne vous méprenez pas: c'est un art très complet, complexe, qui nécessite à la fois une très bonne connaissance de la langue française et une capacité de concentration et d'attention immenses. Loin du mythe de la gourmandise pure, il s'agit avant tout d'un travail analytique qui se travaille dans la durée. Comment Léa est-elle devenue critique culinaire ? D'abord en créant le blog "On y va pas avec le dos de la cuillère" lorsqu'elle était adolescente. Ce blog culinaire a émergé et lui a permis de rencontrer des journalistes, enregistrer des émissions de radio et même participer à de nombreux concours culinaires. Le dernier en date ? Objectif Top Chef, avec Philippe Etchebest, tout simplement !  La cuisine, mais pas que Vous avez l'impression que Léa est une rapide ? Vous avez raison. Après avoir lancé son blog, Léa a étudié les lettres classiques et les sciences politiques dans un double cursus effectué à Sciences Po Paris et la Sorbonne en parallèle. Suite à cela, Léa a rejoint une agence de communication puis travaillé comme rédactrice en chef d'un magazine culinaire. Et aujourd'hui, elle travaille au Ministère des Armées en plus de sa passion ! Je veux devenir critique culinaire... Ecoutez cet épisode pour comprendre comment ce milieu très particulier évolue, et quels sont les métiers qui y sont rattachés. Découvrez le rôles des influenceurs, la place d'Instagram...  Découvrez aussi la vie d'un slasheur: vivre ses passions à fond, de manière complètement professionnelle, et l'assumer !Aller plus loin Pour retrouver Léa, vous pouvez aller sur son site et sur ses réseaux sociaux www.ledosdelacuillere.com https://www.instagram.com/leadoyen/ Ses recettes vous mettent l'eau à la bouche ? Allez ici, vous ne serez pas déçus ! https://www.doitinparis.com/fr/recette-objectif-top-chef-24870
Dans cet épisode, redécouvrez Maître Clairette Olympio, avocate pénaliste au barreau de Seine Saint-Denis. Le quotidien bien rempli d'une avocate qui se lance, les études de droit au préalable, et bien évidemment le fameux examen du barreau: nous parlons de tout ce dont vous avez besoin pour avancer et progresser sur votre chemin de futur(e) avocat(e), ou tout simplement de curieux ! Pour aller plus loin, retrouvez 40 années sur http://40annees.fr
REDIFF // Peut-être connaissez-vous déjà Sandrine, alias coconutnsmile sur les réseaux sociaux. Si c’est le cas, c’est que vous êtes un vrai sportif ! Sandrine, diplômée d’une école de commerce et de relations internationales, coach sportif Sandrine a un parcours tout sauf linéaire. Et pourtant, c’était loin d’être une évidence au démarrage ! Bonne élève, elle s’inscrit en école de commerce après un bac S puis conclut un master en ingénierie des relations internationales. Etonnant mélange ? C’est vrai. Et cela traduit tout simplement le malaise qu’elle a pu ressentir, et ses nombreuses hésitations quand au parcours à suivre. Parce que oui, la vie en école de commerce c’est très sympa, mais ça ne répond pas à toutes les questions. Après son diplôme, Sandrine a occupé des postes en marketing puis en recrutement, avant de définitivement tourner la page de l’entreprise, convaincue que ce n’était pas pour elle. A la veille du confinement de 2020, c’est décidé: elle sera coach sportive ! Coach, relectrice, auteure… Pour devenir coach sportif, Sandrine a effectué plusieurs formations dans les disciplines qu’elle souhaitait enseigner. Elle a aussi délibérément choisi de quitter le salariat et les avantages matériels qu’elle pouvait en attendre pour se lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Si elle jouit aujourd’hui d’une immense liberté grâce à ce choix, une autre réalité doit être prise en compte: pas de congés payés, une pression supplémentaire en cas de pépin de santé, et une autonomie complète parfois assortie d’un peu de solitude. Aujourd’hui, Sandrine ne regrette en aucun cas son choix audacieux. Et quand on voit son programme hebdo… On la comprend ! Bien évidemment, Sandrine passe un temps considérable à préparer ses cours de sport, individuels et collectifs, et à les donner. Pilates, Yoga, Fitness… j’en passe et des meilleures, mais il y a tout !  Sandrine est relectrice pour une maison d’édition consacrée au bien-être: en avant-première, elle obtient des tas d’ouvrages pour lesquels elle met son regard avisé au service de l’auteur. Sandrine écrit également des articles pour des sites spécialisés, prenant régulièrement le recul nécessaire à l’exercice pour offrir à ses lecteurs un regard nouveau sur ces sujets. Et bien évidemment, Sandrine anime une communauté Instagram impressionnante à laquelle elle dispense ses nombreux et précieux conseils pour garder la forme ! Pour qui est fait cet épisode ?  Cet épisode sera parfait pour vous, si vous vous intéressez aux métiers du sport et du bien-être. Cet épisode est également fait pour ceux qui hésitent à quitter le salariat pour l’entrepreneuriat. Cet épisode est fait pour qui ont envie de se lancer dans les métiers du sport et ne savent pas bien comment démarrer. Pour aller plus loin ? Retrouvez Sandrine ici ! https://www.instagram.com/coconutnsmile/
Luca Fancello a un profil LinkedIn particulièrement trendy. Blogueur, startuppers, ses noms de poste font d’autant plus rêver qu’ils ne sont pas toujours évidents à comprendre pour qui n’est pas start-upper lui-même ! J’ai voulu me pencher sur son parcours et comprendre – enfin – ce qui se cachait derrière tous ces noms alléchants. Luca, entrepreneur dans l’âme, start-up ou non  Luca Fancello est Head of Growth chez Scalingo, une start-up Strasbourgeoise. Il est aussi auteur du blog Brewnation et, avant cela, il a monté et… arrêté son entreprise, une plateforme de bières artisanales.  Ce parcours professionnel très entrepreneurial a permis à Luca de prendre un peu de recul sur la notion d’entrepreneur. Pour lui, il est essentiel de ne pas résumer un entrepreneur à un start-upper. L’entrepreneur, c’est celui qui crée une entreprise, ou même un projet personnel, et le gère avec professionnalisme: artisan, blogueur, podcasteur… Il y a plein de moyens pour être entrepreneur, et bénéficier de l’extraordinaire courbe d’apprentissage que cela permet!  Head of Growth…ou directeur marketing ? Head of growth chez Scalingo, c’est un peu directeur du marketing ailleurs. La mission première de Luca et de son équipe, c’est de créer la vitrine numérique de l’entreprise, et de tout savoir des clients qui viennent la regarder. D’où viennent-ils, qui sont-ils, pourquoi viennent-ils ?  Le métier de Luca peut s’apparenter à une direction marketing. Mais contrairement aux idées reçues, c’est du marketing exclusivement fondé sur l’analyse de données, sur le test d’idées et la vérification quasi-immédiate de leur impact sur la visibilité et les ventes. Dans les faits, que fait Luca pendant ses journées ?  D’abord, Luca fixe une stratégie en fonction des objectifs à atteindre: quelle stratégie de contenu, de publications sur les réseaux sociaux… Ensuite, Luca produit avec son équipe: rédaction d’articles, de posts, de news, de photos…  Et finalement, Luca mesure l’impact: qu’est ce qui a marché ou non? Où faut-il s’améliorer ? Quels sont les leviers à garder, ceux à retirer, les améliorations à apporter, etc.  Et vous vous en doutez, en recommençant ensuite par la fixation de la stratégie! Bref, des journées qui mêlent habilement action et réflexion, design stratégique et production concrète. Un beau mélange et un savant équilibre. Pour qui est cet épisode ? Pour ceux qui s’intéressent à l’entrepreneuriat. Pour ceux qui veulent tester la vie en start-up. Pour ceux qui veulent tester le marketing. Ceux qui s’intéressent à la production de contenu, à la mesure de l’impact et de l’audience. Ceux qui veulent travailler dans le digital ! Pour aller plus loin Retrouvez Luca Fancello sur LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/luca-fancello-673b7652/ Et sur Brewnation ! https://brewnation.fr http://40annees.fr
REDIFF // Cela n’en a pas l’air lorsque l’on regarde la photo de l’épisode, mais Marine est initialement diplômée en droit de la propriété intellectuelle.  Marine, juriste rattrapée par ses passions Marine Forner était juriste en propriété intellectuelle. Après un Master 2 obtenu en droit de la propriété intellectuelle et commerce à l’Université de Lorraine, Marine démarre classiquement sa carrière au sein d’un cabinet d’avocats, où elle met à profit ses compétences juridiques pour accompagner les associés du cabinet dans leurs différents dossiers. Plusieurs expériences successives lui permettent d’affiner ses compétences puis… plus rien. Ses contrats s’achèvent, et elle peine à continuer. Etonnant ? Pas tellement ! Marine raconte qu’à cette époque de sa vie, elle doutait déjà fortement de son goût pour la profession de juriste et que, même si elle avait l’impression de très bien jouer la comédie… Les recruteurs voyaient probablement son manque d’enthousiasme. Ce témoignage est intéressant pour ceux qui auraient l’impression d’être dans une impasse professionnelle et de ne pas réussir à obtenir un poste dans un domaine spécifique: en réalité, est-ce vraiment là où vous souhaitez aller?  Devenir fleuriste à l’âge adulte, c’est possible!  Figurez-vous que l’idée de se reconvertir comme fleuriste est arrivée à l’esprit de Marine après… s’être souvenue de son stage de troisième. Et oui, c’est possible! Après s’être renseignée en profondeur sur le métier et sa réalité, notamment en allant rencontrer des fleuristes dans leur boutique, Marine s’est inscrite à une formation continue menant à un CAP de fleuriste.  Cours de botanique, de dessin, cours pratique d’assemblage de bouquets: si Marine a repris le chemin de l’école, c’était pour y suivre des cours bien différents de ceux de l’université de Lorraine ! Aujourd’hui, Marine Forner est fleuriste dans la boutique La fabrique d’effets dans le 17ème arrondissement de Paris, en plein coeur des Batignolles. Du mardi au samedi, 11 mois sur 12, vous la trouverez en train de s’affairer à réceptionner la marchandise, servir les clients, créer des compositions… Mais, en fait, ça fait quoi un fleuriste ?  En tout premier lieu, fleuriste, cela peut refléter une grande réalité de métiers: fleuriste en boutique, fleuriste évènementiel, fleuriste en palace… A chaque type d’activité ses horaires et ses spécificités. Le fleuriste en boutique voit ses semaines découpées en trois blocs principaux: La sélection et la gestion de la marchandise: choix des fleurs (de préférence locales et de saison), réception des livraisons, préparation des fleurs dans la boutique pour qu’elles soient capables de tenir, préparation des fleurs séchées lorsque la fleur est trop éclose pour être vendue… C’est tout une gestion de marchandise ultra fragile qu’il faut être capable de maîtriser, un beau défi! L’accueil des clients: beaucoup de clients viennent chez un fleuriste pour une occasion particulière. Mariage, naissance, enterrement… Quelle que soit l’occasion, l’accueil doit être emphatique et sensible, et le fleuriste doit faire preuve d’un grand sens de l’écoute pour satisfaire son client. La réalisation de bouquets ou de compositions florales: évidemment ! C’est le moment de grande créativité du fleuriste… qui peut être contrainte par les demandes plus ou moins précises du client.  Pour qui est cet épisode ?  Pour tous ceux qui ont un jour rêvé d’être fleuriste. Pour ceux qui rêvent encore d’être fleuriste. Pour ceux qui s’intéressent au rythme de vie des commerçants. Pour ceux qui cherchent un métier créatif en lien avec la nature. Pour ceux qui sont curieux ! Et pour aller plus loin ? C’est par ici ! Retrouvez Marine Forner sur son compte Instagram et le compte de la boutique La fabrique d’effets: https://www.instagram.com/lafabriquedeffets/ https://www.instagram.com/une_marine_parmi_tant_d_autres/ http://40annees.fr
REDIFF // Que faire quand on a le job dont on rêvait, une équipe super et un salaire sympa, mais que l’on a une boule au ventre chaque matin en allant au boulot? Pour Constance, la réponse a été radicale mais simple: on change. Constance, celle qui avait peur Fait étonnant chez Constance, elle se décrit avant toute chose comme une peureuse, une prudente. Une fille qui ne prend pas de risques, en somme ! Etonnant, lorsqu’on la voit aujourd’hui, épanouie et souriante dans sa profession de sophrologue. En effet, son parcours initial en architecture ne la prédestinait en rien à devenir thérapeute, et son goût pour le calme et les sentiers bien tracés en a pris un coup.  Après 6 années d’une formation exigeante, Constance Leduc a démarré sa vie professionnelle comme architecte. Après une première expérience dans un cadre agréable, ne se sentant pas épanouie pour autant, elle décide de tenter sa chance dans un autre cabinet d’architectes. De nouveau, en dépit d’un cadre agréable, d’une équipe sympa et de conditions confortables, elle ne trouve pas de goût à son travail et commence à se réveiller chaque matin avec une boule au ventre à l’idée d’aller travailler… Une reconversion radicale pour devenir sophrologue  Le choix de Constance a été radical, d’architecte elle est devenue sophrologue a l’issue d’une formation complémentaire de 6 mois. Constance a choisi la sophrologie pour pouvoir accompagner des personnes individuellement. Le lien entre les deux activités vous étonne ? Pour Constance, il est pourtant logique ! J’ai voulu devenir architecte en grande partie pour construire des hôtels, de beaux endroits dans lesquels les gens se sentent bien et où tout soit pensé pour qu’ils aient la meilleure vue, le meilleur confort. Ce qui est amusant c’est qu’aujourd’hui je réalise qu’avec mon métier de sophrologue, c’est la même chose !Constance Leduc, sophrologue Comme sophrologue, Constance exerce à distance, en visioconférence. Ses journées se découpent en deux parties: La préparation des séances: individualisée, elle prend au moins 1 heure pour 1 heure d’accompagnement. Reprendre le dossier du client suivi, imaginer les exercices qui vont permettre de débloquer le point nécessaire: c’est un travail de fourmi, alimenté par la formation suivie en sophrologie, les lectures quotidiennes et l’expérience que Constance acquiert. Les séances: un accompagnement se fait traditionnellement de manière individuelle. Constance y accompagne les clients qu’elle accompagne, les aide à travailler sur des exercices de visualisation, de respiration… et bien plus encore. C’est un moment d’une grande intensité pour elle, qui nécessite une dose importante d’énergie à disposition !  Pour devenir sophrologue, Constance a suivi une formation à l’IFS de Paris: n’hésitez pas à regarde ce que propose l’institut si l’aventure vous tente. Pour qui est cet épisode ? Pour tous ceux qui, pendant leurs études ou jeunes diplômés hésitent à changer de carrière. Ceux qui se demandent quels sont les critères à prendre en compte avant de changer de métier ou de filière d’études. Ceux qui s’intéressent aux métiers du soin. Ceux qui veulent comprendre ce qu’est la sophrologie. Ceux qui s’intéressent aux thérapies douces.Vous voulez aller plus loin ? C’est par ici !  Le site internet de Constance Leduc est ici https://www.constance-et-sophrologie.com Son compte Instagram, très vivant et documenté est par là https://www.instagram.com/constance.et.sophrologie/ http://40annees.fr
Charlotte Desrosiers-Natral avait une vie digne d’un film hollywoodien (ou d’une série Netflix, il faut vivre avec son temps): après avoir rencontré son mari en travaillant opur un site de listes de mariage, ça ne s’invente pas, elle devient directrice marketing pour plusieurs start-ups technologiques à Paris. Une vie à 1000 à l’heure, avec deux beaux enfants à la clé et… une pression constante. Vous me voyez venir? Ca ne pouvait pas tenir: un burn-out la force à s’arrêter et Charlotte change de vie. Charlotte, experte en rebondissements Aujourd’hui, Charlotte est podcasteuse, auteure et accompagnatrice de changements de vie. Après avoir créé le podcast “Pourquoi pas moi”, dans lequel des professionnels viennent témoigner d’une reconversion professionnelle radicale, Charlotte a publié Et si je changeais de métier, chez MANGO éditions et créé l’entreprise ‘Pourquoi pas moi’. L’objectif de tout cela? Inviter chacun à écouter sa petite voix. Wow. Voilà qui s’appelle rebondir.  Un épisode un peu à part, qui propose des outils et des ressources pour rebondir et oser avancer en s’écoutant davantage  Pourquoi vous proposer cet épisode dans 40 années ? Parce que nos carrières ne sont pas linéaires. Nous allons travailler 40 années, mais il y a très peu de chances pour que nous passions 40 années à faire la même chose. Le parcours de Charlotte montre que nos carrières peuvent passer par des courbes incompréhensibles, des vrais moments d’interrogation et de souffrance parfois. Mais que l’on peut rebondir, que c’est même la meilleure option que l’on ait devant soi !     Le side-project: une bonne idée pour avancer et changer de voie avant d’atteindre ses limites Une autre raison de vous faire rencontrer Charlotte: la discussion que nous avons sur le concept de « side projects », ou des « projets d’à côté » en bon français. Ce concept definit tout simplement les projets que l’on fait en plus de son travail et qui, un jour, peuvent ouvrir portes et fenêtre et nous permettre de donner à nos carrières un sens un peu différent !    Pour qui est fait cet épisode ? Cet épisode est vraiment pour tout le monde. Dans cet épisode 40 années x Pourquoi pas moi, nous vous proposons une invitation très forte à écouter vos convictions et prendre des décisions pour être plus heureux et épanouir pleinement ses talents.  Vous êtes curieux ? Vous souhaitez découvrir le podcast de Charlotte ? Voici son compte Instagram, sous lequel vous trouverez tout !  https://www.instagram.com/pourquoipasmoi.co/ Lien d’achat vers le livre qu’elle a écrit : https://livre.fnac.com/a15588083/Charlotte-Desrosiers-Natral-Et-si-je-changeais-de-metier-Re-donner-du-sens-a-son-travail Lien vers son site internet et toutes les infos sur le programme d’accompagnement à la reconversion pro :http://pourquoipasmoi.co    retrouvez 40 années sur http://40annees.fr
REDIFF// Si en entrant dans un restaurant vous avez l’impression d’être analysé par le regard inquisiteur d’une personne en salle, c’est probablement le sommelier. Cela peut paraître étonnant mais figurez-vous que son premier réflexe, en voyant entrer un client, va être de le jauger pour essayer de deviner ce qui lui fera plaisir. Ce client-là s’intéressera-t-il à la carte des vins ? Préfèrera-t-il des cuvées confidentielles de producteurs indépendants, ou la sécurité d’une noble appellation ? Oui, je suis comme vous : depuis que je sais cela, je ne vois plus de la même manière une soirée au restaurant!  Matthieu, de l’éco-gestion à la sommellerie de luxe  Après un parcours initial en économie et gestion à l’université de Nanterre, Matthieu rejoint la prestigieuse école Ferrandi dont il sort diplômé en management de la restauration trois ans plus tard. Non content de cette première réussite, Matthieu décide de se spécialiser dans la sommellerie et commence sa carrière dans le prestigieux restaurant étoilé du palace ‘La Réserve’, à Paris.  Sommelier… c’est quoi en fait?  Le sommelier fait partie des métiers de service dans la restauration. Cela signifie qu’il n’est pas en salle mais bien devant vous, et met toute son énergie pour vous offrir une expérience hors du commun, aussi longtemps que vous resterez dans son restaurant. Dans un endroit comme La Réserve, si cela signifie côtoyer des grands crus au quotidien… c’est en smoking et souliers cirés que s’exerce ce marathon quotidien!  Car oui, être sommelier, c’est sportif: Comme tout métier de la restauration “classique”, le sommelier a des horaires intenses et décalées par rapport à des métiers de bureau notamment. Travailler tard le soir, ne pas avoir de week-end… C’est à prendre en compte avant de se lancer!  Les services sont des prouesses physiques et mentales pendant lesquels il faut être absolument irréprochable, et effectuer jusqu’à des dizaines de kilomètres en gardant le sourire et une parfaite maîtrise de soi. Et lorsque l’on ajoute le room service… et bien l’on y ajoute aussi les escaliers. Mais alors, pourquoi vouloir se lancer comme sommelier?  Pour découvrir l’extraordinaire du monde viticole: le sommelier est l’un des métiers les plus connus des métiers du vin, mais il est une porte ouverte sur une très large quantité de métiers moins connus. Pour découvrir des crus extraordinaires, bien sûr! Chaque matin, le sommelier peut rencontrer des agents ou des vignerons qui viennent lui présenter leurs meilleurs bouteilles. Voyage garanti. Pour contribuer au splendide ballet du service d’un grand restaurant, et évoluer dans un univers d’élégance et de raffinement. Pour qui cet épisode est-il utile ? Pour ceux qui s’intéressent aux métiers de la restauration et de l’hôtellerie. Pour ceux qui s’intéressent aux métiers du vin. Pour ceux qui rêvent de mieux comprendre le fonctionnement des grands hôtels et des palaces. Pour tous les curieux!  Vous voulez aller plus loin?  Aujourd’hui, Matthieu Di Nacera travaille chez NOSSO, à Paris. Rendez lui visite si vous passez à Paris, vous ne serez déçus ni par la carte des vins ni par la qualité de l’accueil!  Pour retrouver Matthieu, c’est aussi ici:  https://www.linkedin.com/in/matthieu-di-nacera-22474411a/?originalSubdomain=fr Aller plus loin ? Ici ! http://40annees.fr
REDIFF // Si vous traînez régulièrement sur les réseaux sociaux, le nom de Sarah Sauquet ne vous est peut être pas inconnu. Professeur de lettres férue de technologies, Sarah a mis à profit une grossesse alitée pour lancer un blog littéraire – “Un texte un jour” – puis co-développer des applications pour smartphone dédiées à la vulgarisation de la littérature. Très active sur les réseaux sociaux, elle partage sa vision de la littérature et partage les clés de compréhension du monde que les œuvres littéraires portent en elle à tous ceux qui le veulent. Un sacré programme!  Sarah, une bonne élève qui aimait les lettres Sarah était une bonne élève, qui aimait l’école suffisamment pour se poser la question de devenir enseignant ou non. Après avoir un temps hésité avec le journalisme – fascinée par les pages cultures et mode des magazines féminins – elle choisit l’enseignement de la littérature et se retrouve devant une classe de lycéens à l’âge canonique de… 23 ans. Professeur, oui! Mais pas seulement Car oui, c’est ça la réalité de prof! On peut se retrouver, à peine diplômé, devant une classe de grands gaillards âgés de quelques années de moins seulement, et face à qui il faut être capable non seulement de transmettre un savoir, une méthodologie, une passion, mais également de maintenir l’ordre et affirmer son autorité. Pas si simple. Pour un professeur au collège ou au lycée, le temps de travail se découpe principalement en trois périodes: le temps passé à préparer les cours, le temps passé devant les élèves, et le temps de… correction. A cela, s’ajoutent les nécessaires heures de rencontre avec les parents, les heures d’accompagnement et d’orientation des élèves: vous pensiez que c’était un métier tranquille? Détrompez-vous!  La préparation des cours peut prendre un temps phénoménal. Environ 2 heures de préparation par heure de cours dispensée. Bien entendu il est possible de réutiliser le contenu préparé d’une année sur l’autre, mais pas dans son intégralité. C’est un travail de titan, qui nécessite une vraie passion pour la matière que l’on enseigne!  Le temps passé devant les élèves est le cœur du métier. S’il est passionnant, grâce aux échanges et à l’énergie des élèves, il peut être épuisant. Imaginez la concentration nécessaire pour rester accroché au fil de son cours tout en gérant l’attention relative des élèves: je vous garantis qu’à la fin de la journée, le silence est roi!  Le temps de correction. Nécessaire pour permettre aux élèves de progresser, pour des matières nécessitant un long travail écrit, cela peut s’apparenter à un interminable labeur qui occupe facilement les soirs et les week-ends. Sarah Sauquet a la particularité d’avoir fait de sa passion pour la littérature un métier à multiples facettes. Après plusieurs années dans l’enseignement classique, face à une classe, elle enseigne à présent à de petits groupes dans le cadre de cours particuliers. En complément, Sarah Sauquet anime un blog très riche – Un texte un jour – et gère 4 applications littéraires. Vous retrouverez tout cela sur son blog, dont le lien est à la fin de cet article!  Pour qui cet épisode est-il utile ? Pour ceux qui s’intéressent à la littérature. Ceux qui se demandent s’ils sont faits pour être enseignants. Ceux qui veulent écrire et ne savent pas comment faire. Ceux qui cherchent un regard un peu décalé sur l’actualité, enrichi du savoir et de la maturité de ce que des siècles de littérature ont apporté à l’humanité!  Vous voulez aller plus loin?  Pour retrouver Sarah Sauquet, c’est par ici !  https://untexteunjour.fr/author/heloise/ https://www.linkedin.com/in/sarah-sauquet-leca-08422083/?originalSubdomain=fr https://www.instagram.com/sarah.sauquet/ Et bien entendu... http://40annees.fr pour en savoir plus !
REDIFF // La première fois que Robin Ormond m’a dit qu’il voulait devenir metteur en scène de théâtre, je lui ai chaudement recommandé de changer d’idée. Un peu comme ces parents qui, face à l’engouement de leur enfant, leur recommande de passer le bac d’abord, le temps que cette idée leur soit sortie de l’esprit. Heureusement pour Robin – et pour la plus grande joie de tous ses spectateurs – Robin n’a pas suivi ce conseil et aujourd’hui, il vit de sa passion. Robin Ormond, 28 ans et une déjà longue carrière  Robin Ormond est metteur en scène de théâtre. Après une licence à Sciences Po, il réussit à se faire recruter comme assistant metteur en scène à la Schauspielhaus de Vienne. Belle prouesse, si l’on considère que sa seule crédibilité dans le métier était alors la pièce de théâtre qu’il avait montée pendant ses études ! Cette expérience initiale a été la première marche vers une voie professionnelle passionnante puisqu’elle a permis à Robin de persévérer immédiatement sur ce chemin. Conjuguant son talent avec une immense quantité de travail, Robin a poursuivi comme assistant du metteur en scène Simon Stone tout en finalisant son master à Sciences Po, puis poussé les portes des plus grands lieux du théâtre. Odéon à Paris, festival à Avignon, Opéra à Munich: rien ne semble l’arrêter. Est-ce donc si simple de réaliser son rêve ?  Assistant metteur en scène, metteur en scène… de quoi me parle-t-on, là ? A l’écoute de cet épisode, vous serez probablement impressionné par l’immense quantité de travail que Robin fournit. Point de répit pour celui qui choisit la passion ! Mais que fait-il de ses jours et de ses nuits ?  Comme assistant metteur en scène, Robin est d’abord le bras droit du metteur en scène qu’il accompagne. Véritable complice intellectuel et artistique du metteur en scène, il pénètre en profondeur l’intention artistique qui anime le metteur en scène et en est le garant auprès de l’ensemble des parties prenantes qui gravitent autour de lui: décorateurs, costumiers, équipe technique, comédiens… C’est très simple: si le metteur en scène n’est pas là, c’est lui qui le remplace!  Comme metteur en scène, on sort le grand jeu. Choix du texte, définition de l’intention, choix des comédiens: Robin est à l’initiative de l’intention artistique et la partage auprès de son public. Choix de la salle et de ses partenaires: tout compte!  Enfin, Robin consacre aussi une part importante de son temps à l’analyse et la traduction d’oeuvres théâtrales. Multi-tâches, vous avez dit?  Pour qui cet épisode est-il utile ? Pour ceux qui rêvent de travailler dans le théâtre. Pour ceux qui hésitent à suivre leur passion. Pour ceux qui se demandent ce que cela veut dire que d’être intermittent du spectacle. Pour ceux qui veulent découvrir les coulisses d’un théâtre. Pour aller plus loin Pour suivre Robin et découvrir son travail, retrouvez le ici:  https://www.linkedin.com/in/robin-ormond-192b769b/ https://www.instagram.com/robinormond/  Et pour savoir comment Robin a combiné ses études et sa passion, une très bonne interview du magazine Emile !  https://www.emilemagazine.fr/article/2017/12/8/robin-ormond-un-jeune-prodige-au-thtre-de-lodon Et toujours: http://40annees.fr
Si je vous demande de me décrire le métier d’instituteur, je ne prends pas beaucoup de risques: vous allez commencer par rire, puis donner une réponse sincère et affirmée, convaincus de parfaitement comprendre ce métier. Après tout, nous sommes tous allées à l’école, non? Et pourtant, à votre avis, le prof fait quoi le mercredi après-midi? Et comment organise-t-il sa classe ? Et comment choisit-les exercices qu’il donne? Alors là, je vous le donne en mille: plus de réponses! Instituteur, c’est l’archétype du métier que l’on pense connaître… Sans en soupçonner le début de la complexité! Claire, celle qui voulait devenir maîtresse Claire, 28 ans, est institutrice depuis 3 ans. Si elle rêvait de devenir maîtresse depuis toute petite, les sirènes d’autres ambitions l’ont amenée à faire une licence de droit avant de se retourner vers ses premières amours en master, avant de passer le CRPE. Aujourd’hui, elle enseigne à Paris à un double niveau CM1/CM2.  Professeur des écoles: un métier exigeant, indispensable et si mal reconnu Dans cet épisode, Claire Kassnassrallah décrit sans tabou les conditions de travail dans lesquelles elle exerce – excellentes – la liberté d’action qu’elle a dans sa classe – importante – ses horaires – près de 50h par semaine – et le salaire qui en découle – tout petit.  Pour bien comprendre le quotidien de professeur des écoles, j’ai voulu comprendre où commençait le travail de l’instituteur et où il s’arrêtait.  De la préparation des cours à la correction des copies, en passant par l’accompagnement des élèves dans leur progression personnelle et individuelle, à la relation avec les parents, Claire a décrit un quotidien hyper riche, très varié, et particulièrement exigeant. Une chose est sûre: après avoir enregistré cet épisode, j’ai bien compris l’importance des vacances des profs. Vous imaginez, vous, l’énergie qu’il faut pour être capable de tenir une classe toute une journée tout en leur transmettant un savoir absolument indispensable à leur future développement intellectuel?  Professeur des écoles est un métier exceptionnel, dans lequel des professionnels acceptent de devenir des relais parentaux avec une charge morale et un rôle sociétal absolument majeurs.  Pour qui cet épisode est-il utile ? Cet épisode est utile pour tous ceux qui s’intéressent au métier de professeur des écoles, qui préparent le CRPE public ou privé ou s’intéressent à l’enseignement dans des structures hors-contrat. Nous y avons abordé:  la liberté d’action pédagogique, les ressources qui existent et les outils permettant au professeur de progresser ce qui fait que ce métier, bien que si difficile, reste attractif: sa grande beauté et le sens de l’utilité profond qu’il porte avec lui le quotidien type d’une institutrice, ce qu’elle fait de ses journées, de ses vacances… et de ses récréations !  les sujets difficiles du moment: place des écrans dans l’éducation des enfants, violences et harcèlement à l’école, place des enfants porteurs de handicap Liens Pour découvrir une institutrice qui partage une quantité impressionnante de matériel pédagogique:  https://www.instagram.com/lilouteach/ https://lilouteach.com Et bien entendu: http://40annees.fr
REDIFF // “J’ai une invitée parfaite pour ton podcast, c’est une fille complètement dingue qui a lancé son resto en plein confinement!”. Wow. Le jour où j’ai reçu cet appel je me suis dit voilà, c’est exactement pour ce genre de moments que j’ai voulu me lancer dans l’aventure du podcasting. Elisa Gautier, celle qui n’avait peur de rien  Elisa Gautier, 27 ans, est la gérante du restaurant KIOSK à Paris. Sa particularité ? Elle en a plein, en fait. D’abord, elle a grandi entre la France et l’Angleterre, puis fait ses études à l’université McGill au Canada, puis travaillé dans un fonds d’investissement auprès de start-ups à leurs débuts, puis tout lâché en novembre 2019 pour réaliser son rêve et ouvrir un restaurant. Dommage pour elle, le COVID l’a rattrapée et… et rien ! Elle l’a quand même réalisé son rêve, et KIOSK est ouvert et cartonne.  Vous imaginez bien qu’à son jeune âge, avec une formation business et aucune expérience dans la restauration, il a fallu un sacré tempérament pour convaincre les investisseurs que le projet d’Elisa était viable, et même potentiellement très pertinent ! Et bien Elisa l’a fait. Après avoir passé son CAP cuisine et pris contact avec des dizaines de restaurateurs, elle a fini par imposer son sérieux et sa conviction que oui, elle était la bonne personne pour ouvrir un restaurant éco-responsable proposant de bons produits autour de grandes tablées à l’heure du dîner. Devenir entrepreneur en créant son restaurant Gérante de restaurant, dans la vraie vie, ça veut dire quoi?  Puisqu’Elisa a créé le restaurant KIOSK, c’était en tout premier lieu créer le concept de son restaurant: choisir la proposition de valeur qu’elle voulait apporter à ses consommateurs, sélectionner l’emplacement du restaurant, les fournisseurs, la carte, la taille de la brigade, la restauration, les meubles, les horaires, les prix, les modes de livraison, les canaux de communication, les recrutements, etc. Ca vous donne le tournis ? Normal, c’est vertigineux ! Ouvrir un restaurant, c’est monter une entreprise en se donnant la double contrainte d’avoir à gérer des produits frais et des retours clients en direct.  Cela veut aussi dire gérer une équipe! Une équipe qu’il faut d’abord recruter, sélectionner, puis manager, à l’heure où la tension sur les métiers de la restauration augmente de plus en plus. Chapeau l’artiste!  Enfin, cela signifie être garant de l’ADN du restaurant et de ce qui va être offert aux convives. En créant KIOSK, Elisa Gautier s’est donné le défi de créer un espace eco-responsable: à elle de veiller à ce que chacun suive la direction indiquée. Un épisode ressource pour tous les apprentis restaurateurs et les passionnés de food ! Cet épisode est nécessaire à tous ceux qui rêvent d’ouvrir un restaurant ou de participer à sa création. Vous y entendrez d’excellents conseils sur les différentes étapes à suivre avant d’ouvrir son restaurant, la manière de communiquer, les réseaux à solliciter, etc. Cet épisode est également passionnant pour comprendre le monde des gastronomes, des critiques culinaires et des influenceurs. Quel est leur pouvoir, comment interagissent-ils avec les restaurateurs…  Enfin, cet épisode est une bouffée d’énergie et d’optimisme. Comme une séance de coaching mais gratuite. Une chose est sûre: en terminant l’épisode, je vous garantis que vous verrez votre champ des possibles s’élargir… Vers l’infini!  Liens Pour découvrir KIOSK et le travail d’Elisa Gautier https://www.instagram.com/rdvaukiosk/  https://www.instagram.com/elizouuz/ Pour découvrir Basics of Bouffe, le podcast qu’Elisa Gautier a lancé sur la chaîne Business of Bouffe https://businessofbouffe.com/ Et toujours: http://40annees.fr
REDIFF // Si vous hésitez sur les autorisations à donner à vos enfants quant à leur usage de jeux vidéos, faites attention, cet épisode risque de vous donner envie de tout stopper. Et pourtant, on va parler d’architecture ! ça vous intrigue ? Amaury Paul-Dauphin, architecte  Le lien est pourtant très simple. Si Amaury Paul-Dauphin est devenu architecte, c’est en premier lieu grâce à l’interdiction promulguée par ses parents de jouer aux jeux vidéos ou de s’asseoir trop souvent devant le poste de télévision. Résultat, il a bien fallu trouver de quoi occuper le temps… et pour Amaury, c’est le dessin qui aura été sa planche de salut. Amoureux du beau, passionné par les métiers de la main et la richesse de l’artisanat, Amaury s’est lancé dans l’architecture sans grande hésitation, en dépit d’un cadre scolaire qui ne voyait pas bien l’intérêt d’encourager un aspirant architecte.  Après avoir passé avec succès le très original concours d’entrée à l’ENSA de Belleville – écoutez l’épisode pour en avoir tous les détails, c’est croustillant ! – Amaury a travaillé dans plusieurs cabinets d’architecte à Paris et à Tokyo. Mais comme d’habitude dans 40 années, pas de naïveté. S’il réalise aujourd’hui son rêve, il pose un regard objectif et critique sur la situation des jeunes architectes en France: précarité, contrats courts, salaires très variables… Il faut parfois savoir persévérer et s’affirmer pour y arriver !  Orchestrer la naissance d’un bâtiment Mais en fait, au quotidien ça veut dire quoi d’être architecte ? En tout premier lieu, cela signifie être un excellent chef de projet, capable de gérer l’ensemble des parties prenantes qui vont être à l’oeuvre sur un chantier: entrepreneurs des travaux publics, façadiers, menuisiers, maçons, carreleurs, décorateurs… car oui, entre l’idée de départ et la réalisation finale, c’est la qualité de la réalisation et la capacité de l’architecte à ordonnancer ses équipes qui fait la différence!  Juste après, c’est avoir un grand sens artistique, certes, mais une grande capacité d’écoute, pour comprendre exactement le besoin exprimé ou non exprimé par le client. Qu’il s’agisse de la création d’un espace d’exposition, ou l’extension d’une maison pour une personne handicapée, quel est l’objectif exact rencontré par le client? Pourquoi fait-il ce projet, et comment répondre au mieux à ce besoin profond?  Enfin, c’est être curieux, ouvert, en permanence à la recherche d’inspirations et de perception de son environnement. L’objectif ? Etre capable d’offrir un regard vraiment neuf sur un projet! Pour qui cet épisode est-il utile ? Cet épisode est fait pour tous ceux qui s’intéressent aux métiers de l’architecture, bien sûr, mais pas uniquement. Métiers du bâtiment, métiers de la construction, métiers de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme: ces professions se répondent et se complètent, et comprendre le rôle de chacun est essentiel pour donner le meilleur à son client. Cet épisode est particulièrement intéressant pour ceux qui souhaitent devenir architecte et veulent comprendre le fonctionnement des écoles, des ENSA, et se préparer aux concours. Enfin, les étudiants en architecture découvriront toutes les manières d’exercer le métier d’architecte, et termineront cet épisode avec de nouvelles idées en tête!  Pour avancer Pour suivre Amaury sur LinkedIn et Instagram: https://www.linkedin.com/in/amaury-paul-dauphin-558744130/ https://www.instagram.com/amaury_pldn/  Et toujours http://40annees.fr
REDIFF // La première fois que j’ai rencontré Domitie, je crois que je suis restée silencieuse. Pas évident de rebondir lorsque, après les salutations d’usage, on réalise avoir en face de soi la co-fondatrice de ‘Lire pour s’en sortir’, l’une des instigatrices du spectacle ‘Ami, entends-tu’ et surtout, une femme dont l’on est sûrs qu’elle ne fera toujours que des choix en pleine et absolue conscience !  « Je ne me voyais pas travailler dans un job classique » Petite, Domitie avait du mal à se projeter dans un métier de bureau classique. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’avenir lui a donné raison.  Après un baccalauréat littéraire et des études d’histoire et management culturel, Domitie démarre sa carrière dans l’évènementiel. Mais assez rapidement, frustrée par un sentiment d’absence de sens, elle réalise que ce n’est pas là qu’elle va pouvoir donner la pleine étendue de ses talents et de ses convictions.  Startuppeuse de l’associatif ! Sollicitée par un ami qui la sensibilise à l’enjeu de la réinsertion des détenus, la voilà embarquée dans sa première aventure mi-entrepreneuriale, mi-associative avec la création de ‘Lire pour s’en sortir’. Cette association, qui compte aujourd’hui plus de 5000 lecteurs dans 24 prisons, propose aux détenus un accompagnement par la littérature afin de préparer la sortie… et “d’éduquer l’imagination” comme le décrit si joliment Domitie.  Cette première étape n’est que le démarrage d’une grande aventure, puisqu’elle co-crée ensuite le spectacle ‘Ami entends-tu’ dans la cour d’honneur des Invalides, spectacle hommage à la résistance, et après un séjour à l’étranger est à présent responsable du mécénat et de la communication dans l’association Wake Up Café. Mais alors, c’est quoi son métier ?  C’est d’abord entrepreneuse, mais entrepreneuse dans l’associatif. Cela signifie peu ou prou les mêmes contraintes et le même calendrier qu’un entrepreneur non associatif: des premières années non-salariées avec une certaine instabilité financière à prendre en compte, et des horaires à rallonge dans la mesure où tout est à construire. Mais une immense liberté, la possibilité d’avoir des idées et les transformer immédiatement en action à impact, et le bonheur d’avoir quelque chose qui dure et a un impact positif sur la société. C’est aussi investisseuse: mobiliser un écosystème d’investisseurs, lever des fonds, pitcher son association inlassablement… C’est enfin communicante: rédiger des pages et des pages de dossier pour convaincre les fondations de travailler avec l’association pour laquelle elle s’engage, mobiliser un écosystème d’influenceurs et de relais pertinents… Et si cela signifie avoir l’Elysée au téléphone régulièrement, et bien allons-y! Pour qui cet épisode est-il utile ? Cet épisode est fait pour tous ceux qui cherchent à donner un sens très altruiste à leur travail. Qu’il s’agisse de travailler en association ou non, de rejoindre une structure existante ou de la créer, vous trouverez des tas d’informations essentielles à avoir en tête pour vous lancer et être pertinent dans votre travail. Cet épisode est également parfait pour tous ceux qui évoluent dans la communication, l’évènementiel et les relations publiques. Car un métier d’influence et de conviction, qu’elle qu’en soit la cause, repose sur les mêmes leviers!  Enfin, cet épisode est parfait si vous vous interrogez sur la meilleure manière de travailler au côté de personnes détenues, d’améliorer leur réinsertion, et pourquoi pas de changer le monde et en faire un meilleur endroit où vivre !  Aller plus loin Pour tout savoir sur WakeUp Café et Lire pour s’en sortir, filez écouter l’épisode !  Sinon vous pouvez regarder ici:  https://www.wakeupcafe.org https://www.wakeupcafe.org Pour creuser sur le domaine de l’associatif: https://www.carenews.com – un média dédié à l’associatif et à l’ESS Et pour suivre 40 années: http://40annees.fr 
REDIFF - Simple moteur de recherche à ses débuts, Google est devenu un véritable assistant personnel dont l’on aurait bien du mal à se passer. Que ce soit pour prendre un rendez-vous, vérifier une information ou commander un taxi, Google est là ! Mais qui se cache derrière toutes ces applications si pratiques ?  Laszlo : l’informatique créative et inventive !  J’ai rencontré Laszlo de Brissac au milieu d’une journée de travail classique pour lui : entre appels téléphoniques, réunion Meets et temps de silence pour se poser et prendre les bonnes décisions, Laszlo m’a raconté le quotidien d’un métier dont l’on soupçonne l’existence sans bien se rendre compte de ce que cela représente. Très loin des portraits caricaturaux de développeurs informatique, j’ai découvert une personnalité hyper créative qui vit son métier à la fois comme un chef d’orchestre et un artisan.  Product Manager, un métier multi-faces appelé à grandir  Product Manager, c’est en réalité assez simple comme métier : cela consiste à identifier les problèmes rencontrés par une certaine catégorie de population, puis à imaginer le meilleur moyen de répondre à ce problème et… à le faire.  Bref, si on essaie de résumer, il y a plusieurs temps dans le métier de Product Manager : L’identification du problème : être à l’écoute de son environnement, observer les problématiques rencontrées par les utilisateurs cibles, essayer de comprendre ce qui les gêne… L’une des idées de Laszlo lui est par exemple venue à l’occasion d’un voyage au Japon. Alors qu’ils arrivaient à l’aéroport, il s’est rendu compte qu’il était bien plus compliqué que prévu de commander un taxi. Et zou, l’idée de départ d’une nouvelle application était née ! Néanmoins, n’allez pas imaginer que ce travail consiste uniquement en la génération d’idées à la minute. Une fois que l’idée est née, il est nécessaire de la quantifier, de la rationnaliser. Et pour cela, le Product Manager va solliciter un panel d’experts pour vérifier qu’il y ait un véritable besoin, ou non !  La conceptualisation de la solution : à partir du problème identifier, être capable d’imaginer une réponse concrète. Une fonctionnalité, un changement dans une application, un bouton… N’importe quoi, qui va permettre de vraiment apporter une solution.  La réalisation de la fonctionnalité : une fois que le Product Manager a bien en tête le type de solution sur laquelle il veut arriver, il ne reste plus qu’à la réaliser. Et là, ça se corse ! Car il ne travaille jamais seul. Designers, développeurs, ingénieurs, spécialistes d’UX, d’UI et de bien d’autres choses se retrouvent dans son équipe pour faire émerger en vrai la fonctionnalité imaginée. Et c’est là que le Product Manager peut démontrer l’étendue de son talent : coordonner les membres de son équipe tout en gardant le cap, coacher ceux qui en ont besoin tout en gardant l’esprit clair et orienté vers l’objectif à atteindre. La transmission aux usagers : l’étape finale… le test usagers ! Avant de rendre une fonctionnalité ou un nouveau développement public, la phase de test est un peu la répétition générale du Product Manager. C’est le moment où le produit sorti de son imagination et de sa capacité à coordonner son équipe va être vraiment testé par ses usagers. Et c’est toujours eux qui ont raison !  Ce que vous découvrirez en écoutant l’épisode Dans cet épisode, Laszlo apporte un témoignage passionné et passionnant du quotidien du Product Manager. Il partage également son expérience et les choix qui l’ont amené là où il est. Enfin, il partage ses conseils pour que ceux qui souhaiteraient se lancer dans la création digitale puissent le faire. Vous verrez, ces 40 minutes d’écoute sont une ressource très précieuse pour tous ceux qui, pour une raison ou une autre, ont besoin de comprendre ce qu’il se cache derrière les métiers du digital !   Un épisode indispensable pour comprendre les métiers du software Cet épisode est parfait pour ceux qui souhaitent travailler dans le digital, qui veulent développer des applications ou des fonctionnalités innovantes. C’est également un témoignage enthousiaste et passionné d’un salarié de Google qui donne à voir de l’intérieur la vie dans la firme Californienne.  Si vous vous intéressez au design, à l’UX, à l’UI, au business du digital, à la création d’un logiciel ou d’un produit, cet épisode est pour vous. Cet épisode est également pour vous si vous souhaitez avoir des conseils pertinents sur la meilleure manière de garder le cap ou de mettre en place une organisation agile. Pour aller plus loin: http://40annees.fr
REDIFF // Tu rêves de travailler dans la musique ? J’ai une bonne nouvelle : c’est possible, même sans jouer d’un instrument ni dépasser la Callas sous la douche !  Baptiste Dedeyan, invité du premier épisode de 40 années Baptiste Dedeyan est producteur, éditeur et manager d’artistes. Cela signifie qu’il travaille dans un studio d’enregistrement, passe le plus clair de son temps auprès d’artistes et scrolle sur Spotify toute la journée. Pour arriver à cela, Baptiste a eu l’audace de créer son propre label musical : Tigrane. A 28 ans, il est donc chef d’entreprise, découvreur et coach d’artistes. Son job de rêve Mais au fond… Qu’est-ce que cela veut dire que d’être éditeur, manager ou producteur d’artistes ? Reprenons les bases :  L’éditeur musical, c’est un peu la même chose que l’éditeur littéraire… mais pour la musique. Logique. Donc c’est la personne qui, à partir d’une maquette envoyée par un aspirant musicien, sait repérer la pépite derrière le piano-voix parfois enregistré avec un simple smartphone. Une fois la pépite repérée, l’éditeur devient le partenaire de l’artiste pour le conseiller, l’aider à améliorer son œuvre : changer un accord ici, modifier une parole de chanson là-bas. Enfin, l’éditeur peut être amené à identifier l’interprète de la chanson proposée par l’artiste compositeur. Trouver la personne dont la tessiture de la voix, le style musical et l’émotion sauront donner à la proposition du compositeur toute sa splendeur !  Le manager, c’est celui qui va accompagner l’artiste dans le développement de sa carrière. Création d’une image de marque personnelle, accompagnement dans le choix des costumes de scène, des émissions de télé ou de radio sur lesquelles se positionner pour toucher son public, identification et mobilisation des partenaires-clés dont l’artiste aura besoin… Le manager est partout, tout le temps. A la croisée des chemins entre nounou, coach, agent et meilleur ami, c’est un rôle qui demande une grande disponibilité et peut allégrement mélanger le pro et le perso. Le producteur enfin c’est celui qui, à partir d’une chanson, d’un artiste et d’un public, va créer un produit. Oui oui, vous avez bien lu, comme s’il s’agissait d’un pot de yaourt : le producteur de musique est le grand assembleur final, qui rassemble musiciens, artistes, interprètes au sein d’un studio pour créer un album cohérent. Le producteur peut être amené à apporter les financements nécessaires jusqu’à ce que tout ce travaille débouche sur un produit culturel prêt à être vendu !  Aujourd’hui, ces trois métiers peuvent être réalisés au sein d’un label de musique ou d’une maison de disques. Mais pour les passionnés, on peut également exercer plein d’autres métiers dans ces structures ! Comptable, communicant, il y a de la place pour tout le monde.  Pour devenir producteur, éditeur ou manager d’artistes, pas besoin d’études spécifiques. Néanmoins, un master vient d’ouvrir ses portes et intéressera tous ceux qui souhaitent se lancer dans l’aventure : l’EMIC – Master en Management d’artistes. Ce que vous apprendrez en écoutant l’épisode Dans cet épisode, vous entendez un témoignage inédit sur la vie de ces hommes et femmes de l’ombre qui gravitent autour des artistes et rendent leur travail possible. C’est passionnant, et je suis sûre que vous n’en aviez jamais entendu parler comme cela !  Vous entendrez parler de carrière musicale, de jeunes talents cherchant à percer, de compositeurs au début de leur chemin. Vous entendrez parler de cohérence de vie, de passion, et surtout : de musique !  Il est pour moi, cet épisode ?  Bien sûr, il est pour tout le monde ! Mais surtout : Pour ceux qui cherchent à travailler dans la musique Pour ceux qui s’intéressent au milieu de l’édition, de la production musicale Pour ceux qui rêvent de devenir ou d’accompagner des artistes Pour ceux qui rêvent d’intégrer un label musical ou une maison de disque Pour ceux qui rêvent d’une vie professionnelle passionnante et qui veulent des conseils pour passer à l’acte !  Jump Back Skip FPour suivre et contacter Baptiste Dedeyan https://www.instagram.com/baptistededeyan/ Pour découvrir d'autres carrières passionnantes: http://40annees.fr
Maître Clairette Olympio est avocate pénaliste. Mais pour la rencontrer, vous n'êtes pas obligés d'aller au tribunal, Instagram peut vous suffire pour commencer !  Comme avocate pénaliste au barreau de Seine Saint-Denis, le quotidien de Maître Clairette Olympio  est un savant mélange entre urgences auxquelles apporter une réponse très rapide et longues heures d'attente avant les audiences.  En toute sincérité, cet épisode je l’ai fait pour moi autant que pour vous. La profession d’avocat me fascine, et plus encore celle d’avocat pénaliste. Nous avons abordé en détails le travail d’avocat pénaliste, son quotidien, sa beauté et ses difficultés, et les différentes manières d’y arriver.  Nous avons échangé sur les études de droit, la préparation du barreau, l'école du barreau, les prépas privées. Nous avons échangé sur la manière dont un avocat peut développer sa clientèle. J’espère que cette immersion dans le quotidien de ce métier passionnant vous donnera envie d’aller plus loin !  Pour retrouver Maître Clairette Olympio: https://www.linkedin.com/in/clairette-olympio-729076155/?originalSubdomain=fr https://www.instagram.com/olympio.avocat/?hl=fr
Sandrine Dominiak, plus connue sous le pseudonyme 'coconutsmile', est coach spotive, relectrice pour une maison d'édition, auteure... et surtout, elle vit sa vie de rêve. Mais rien ne prédestinait cette excellente élève, titulaire de plusieurs diplômes universitaires, à se lancer dans une carrière au service du bien-être ! C'est une reconversion professionnelle qui l'y a menée, après plusieurs expériences peu concluantes en entreprise.  Cet échange m’a donné beaucoup à réfléchir : quelle est cette énergie qui donne l’audace à des jeunes comme Sandrine de quitter le salariat pour se lancer dans l’aventure de l’entrepreneuriat ? Qu’est-ce que l’entreprise peut offrir à ces jeunes pleins d’énergie ? Mais aussi, comment accompagner ces profils qui rêvent de plus, de toucher à tout et de s’épanouir au maximum ?    Si vous avez la réponse… partagez la moi sur Instagram, ou sur le site internet de 40 années ! 40annees.fr Pour retrouver Sandrine, c'est ici ! https://www.instagram.com/coconutnsmile/
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