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HeyA - Les voix de femmes arabes et amazighs : Parcours inspirants, sororité, fierté, transmission

HeyA - Les voix de femmes arabes et amazighs : Parcours inspirants, sororité, fierté, transmission
Author: Bochra Fourti
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© HeyA
Description
Heya, c’est le podcast qui donne voix aux femmes arabes et amazighs qu’on entend trop peu.
Des récits vrais, puissants, incarnés. Des femmes qui prennent leur place, racontent leurs parcours inspirants, leurs doutes, leurs rêves, leurs silences aussi.
Ici, on ne rentre pas dans les cases : on les bouscule, on les redessine. On célèbre la richesse des identités plurielles, la force des chemins atypiques et l’héritage culturel porté avec fierté.
Heya, c’est un espace inclusif, féministe et francophone où l’arabité est une force, pas un poids.
Un espace de transmission culturelle, de sororité et de reconnaissance, où chaque récit de femme compte.
À celles et ceux qui doutent, avancent, cherchent à se reconnaître ailleurs que dans les récits qu’on leur impose.
À celles et ceux qui veulent écouter autrement, avec ouverture et curiosité.
Avec Heya, je tends le micro à des femmes arabes et amazighs aux parcours inspirants, que j’aurais aimé entendre plus tôt et que j’ai envie de transmettre à ma fille.
Je m’appelle Bochra Fourti, passionnée de récits, de voix vraies et de cette beauté complexe qu’on appelle identité.
Je crois profondément que nos histoires sont une richesse. Et que pour y croire, il faut les voir. Ou plutôt, les entendre.
Un jeudi sur deux, tu découvriras une conversation intime, sans masque ni filtre, avec une femme arabe ou amazighe qui partage sa réalité.
On parlera de sororité, de féminisme, de transmission, d’héritage culturel, d’inclusion, d’identités plurielles, et de parcours de femmes inspirantes.
Des éclats de vérité, des mots qui résonnent, pour nourrir son ambition, se reconnecter à ses racines et voir son histoire comme une force.
Heya, c’est plus qu’un podcast. C’est un espace de fierté, de voix, de mémoire.
Parce que moins on transmet, plus on oublie. Et nos récits ne méritent pas l’oubli.
A mon micro, vous entendrez les récits des femmes inspirantes telles que Inès Leonarduzzi, Emel Mathlouthi, Samah Karaki, Ghada Hatem Gantzer, Rima Hassan, Fatima Daas, Myriam Francois, Shourouk Rhaiem, Hajiba Fahmi, Fatma Bouvet de La Maisonneuve, Amal Chakor, Saphia Azzedine ou Amina Kalache.
Alors viens écouter Heya. Partage. Discute. Fais tourner. Nos voix méritent d’être entendues.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
105 Episodes
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Épisode très court, mais une émotion immense : je vous dévoile enfin le lancement du premier livre de Heya Jeunesse, consacré à Tawhida Ben Cheikh, la première femme médecin du monde arabe.👉 Soutenez le projet en le précommandant dès maintenant ! https://www.ulule.com/heya-livres-jeunesse/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J’ai discuté avec plusieurs maisons d’édition. Certaines m’ont encouragée, d’autres m’ont demandé l’impensable : modifier l’essence même de Heya.Refuser, c’était risquer de tout perdre. Accepter, c’était trahir le projet. Alors j’ai choisi : ce sera l’auto-édition, ou rien.Dans cet épisode, je vous raconte ces coulisses, les refus, et la naissance d’un livre fidèle à ses valeurs : le premier tome consacré à Tawhida Ben Cheikh, première femme médecin du monde arabe.Pour être les premiers informés du lancement et bénéficier des contreparties exclusives, cliquez ici:https://www.ulule.com/heya-livres-jeunesse/coming-soon---------------------Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de légitimité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Farida Ouchani, comédienne franco-marocaine au parcours riche et engagé. Elle est l’un des rares visages de femme issue de l’immigration maghrébine de sa génération à s’imposer dans le cinéma français.En plus de son métier d’actrice, Farida a plusieurs cordes à son arc : elle est aussi metteuse en scène, autrice et très active dans le milieu associatif.Son dernier film, Sur la route de papa, actuellement en salles, suit avec tendresse et humour un père qui entreprend un voyage chargé de mémoire pour renouer avec son histoire et ses origines.Farida y joue Mima, une mère et grand-mère forte et cultivée qui casse les clichés souvent associés aux femmes musulmanes.Dans cet épisode, Farida revient sur son enfance, son lien profond avec ses racines et son engagement pour une représentation plus juste et plus large des femmes issues de l’immigration.Nous avons également discuté :• de ses combats personnels, de sororité• des raisons pour lesquelles elle ne se lance dans la comédie qu’après 30 ans• de pourquoi son dernier rôle dans Sur la route de papa l’a particulièrement touchée• de sa vision d’un cinéma français plus inclusifUn épisode plein d’authenticité qui m’a beaucoup touchée.Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour – Farida Ouchani.----------------------------------------------------- Pour suivre FaridaLinkedIn : @faridaouchani Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastLien du questionnairehttps://form.typeform.com/to/d2Sjo9NpIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Farida Ouchani, comédienne franco-marocaine au parcours riche et engagé. Elle est l’un des rares visages de femme issue de l’immigration maghrébine de sa génération à s’imposer dans le cinéma français.En plus de son métier d’actrice, Farida a plusieurs cordes à son arc : elle est aussi metteuse en scène, autrice et très active dans le milieu associatif.Son dernier film, Sur la route de papa, actuellement en salles, suit avec tendresse et humour un père qui entreprend un voyage chargé de mémoire pour renouer avec son histoire et ses origines.Farida y joue Mima, une mère et grand-mère forte et cultivée qui casse les clichés souvent associés aux femmes musulmanes.Dans cet épisode, Farida revient sur son enfance, son lien profond avec ses racines et son engagement pour une représentation plus juste et plus large des femmes issues de l’immigration.Nous avons également discuté :• de ses combats personnels• des raisons pour lesquelles elle ne se lance dans la comédie qu’après 30 ans• de pourquoi son dernier rôle dans Sur la route de papa l’a particulièrement touchée• de sa vision d’un cinéma français plus inclusifUn épisode plein d’authenticité qui m’a beaucoup touchée.Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre FaridaLinkedIn : @faridaouchani Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastLien du questionnairehttps://form.typeform.com/to/d2Sjo9NpIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que le regard de l’opinion publique évolue, il devient urgent de questionner : comment penser la responsabilité morale, voire légale, des médias dans leur contribution au génocide à Gaza ? Quels recours existent et quels exemples historiques peuvent nous éclairer ?Dans cet extrait, Myriam François, journaliste et doctorante spécialiste des questions de colonialité, nous invite à réfléchir au rôle des médias dans la propagation de discours de haine et la déshumanisation du peuple palestinien.🔥 Partagez largement, abonnez-vous sans attendre, et laissez votre avis pour faire vivre ce podcast et amplifier ces voix essentielles !--------------------------Pour suivre MyriamInstagram : @myzfrancoisPour rejoindre la communauté Heya Instagram: @heya_podcastLien du questionnairehttps://form.typeform.com/to/d2Sjo9NpIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, un épisode un peu à part, plus intime, à l’occasion de la Fête des Mères.En tant que mère et fille, j’ai souvent l’impression d’être un pont entre deux générations :entre ce qu’on m’a transmis, et ce que je souhaite transmettre à mon tour.S’il y a une valeur que je veux léguer à mes enfants, c’est la liberté.La liberté de penser, de questionner, de dire non.Mais aussi de ne pas avoir peur, de dire ce qu’on croit juste.C’est ce besoin de liberté qui m’a poussée à enregistrer cet épisode.J’y reçois Nour Bettaieb, la fille de Sonia Dahmani, avocate, chroniqueuse, femme libre… aujourd’hui emprisonnée pour ses prises de parole.Nour nous parle de sa mère, de leur lien, du vide qu’elle laisse, et de tout ce qui continue de tenir debout malgré tout.Ce que vous allez entendre, c’est la voix d’une fille, portée chaque jour par l’espoir de revoir sa mère.Merci à Nour pour sa confiance et merci à vous d’écouter.Heya - des récits de femmes arabes et amazighe. Identités plurielles, transmission culturelle, sororité. Parce qu’on est légitimes.----------------------------------------------------- Pour suivre NourInstagram : @nourbettaiebPour rejoindre la communauté Heya Instagram: @heya_podcastLien du questionnairehttps://form.typeform.com/to/d2Sjo9NpIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de vous partager ma conversation avec Nawal Ibtissam Benali.Nawal est journaliste, podcasteuse et créatrice de la plateforme « Ya ça chez nous », qui vise à déconstruire et analyser les dynamiques du racisme anti-noir propres à l’Afrique du Nord et à ses diasporas. Elle est d’origine amazighe, née en Tunisie, et a passé la majeure partie de sa vie en France.Fière de son héritage, elle s’engage activement pour la reconnaissance et la valorisation de l’identité amazighe. Après des études littéraires et une formation en journalisme, elle s’est construit une carrière riche, éclectique et non linéaire. Depuis quelques années, elle se consacre pleinement à ses thématiques de prédilection : l’identité, l’appartenance, et les dynamiques de pouvoir qui les façonnent. Dans cet épisode, on a parlé :de ses racines amazighes et de ce qu’elles représentent pour elle,de pourquoi il est préférable d’utiliser le mot « amazigh » plutôt que « berbère »,du tiraillement que peuvent ressentir certaines personnes entre arabité et africanité,et du sujet sensible mais essentiel qu’est le racisme au sein même de nos communautés. J’ai pris beaucoup de plaisir à enregistrer cet épisode, car il nous invite à réfléchir et à déconstruire des sujets qui sont généralement tabous. Sans plus attendre, je vous laisse avec la HeyA du jour : Nawal Ibtissam Benali.Heya - des récits de femmes arabes et amazighe. Identités plurielles, transmission culturelle, sororité. Parce qu’on est légitimes. ----------------------------------------------------- Pour suivre NawalInstagram : @nanupharr Pour rejoindre la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Nawal Benali.Cette semaine, je suis ravie de vous partager ma conversation avec Nawal Ibtissam Benali.Elle est journaliste, podcasteuse et créatrice de la plateforme « Ya ça chez nous », qui vise à déconstruire et analyser les dynamiques du racisme anti-noir propres à l’Afrique du Nord et à ses diasporas. Nawal est d’origine amazighe, née en Tunisie, et a passé la majeure partie de sa vie en France.Fière de son héritage, elle s’engage activement pour la reconnaissance et la valorisation de l’identité amazighe. Après des études littéraires et une formation en journalisme, elle s’est construit une carrière riche, éclectique et non linéaire. Depuis quelques années, elle se consacre pleinement à ses thématiques de prédilection : l’identité, l’appartenance, et les dynamiques de pouvoir qui les façonnent. Dans cet épisode, on a parlé :de ses racines amazighes et de ce qu’elles représentent pour elle,de pourquoi il est préférable d’utiliser le mot « amazigh » plutôt que « berbère »,du tiraillement que peuvent ressentir certaines personnes entre arabité et africanité,et du sujet sensible mais essentiel qu’est le racisme au sein même de nos communautés. J’ai pris bcp de plaisir à enregistrer cet épisode, car il nous invite à réfléchir et a déconstruire des sujets qui sont généralement tabous. Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre NawalInstagram : @nanupharr Pour rejoindre la communauté de Heya Instagram: @heya_podcast Ici, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Myriam François.Myriam est journaliste, chercheuse, animatrice de podcast et réalisatrice de documentaires. Elle a travaillé pour des médias prestigieux tels que la BBC, The Guardian et Al Jazeera.Son parcours académique est impressionnant, elle a notamment un doctorat de l’université d'Oxford portant sur la société postcoloniale et les mouvements anticoloniaux.Myriam s’est imposée dans les médias anglo-saxons comme une figure incontournable du dialogue interculturel et de la réflexion sur les dynamiques sociopolitiques façonnant notre monde.Dans cet épisode, nous avons discuté de :· la différence de traitement du sujet de la diversité entre la France et le Royaume-Uni,· la responsabilité légale de certains médias occidentaux dans leur contribution au génocide à Gaza,· religion,· la place de l’Islam en France.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour – Myriam Francois.----------------------------------------------------- Références citées :🎧 Lien de l’épisode avec Amina: #54 - Amina Kalache - Journalise engagée au sein du média indépendant ´´Le Média´´ | HeyA📺 Lien du show “Uncensored” de Piers Morgan auquel Myriam a participé :"You're A Complete HALFWIT!" Piers Morgan Furiously CLASHES With Guest On Israel-Hamas Ceasefire🎞️ Lien du dernier film de Myriam « A la recherche d´Alaa » : Searching for a granddaughter he's never met | Finding AlaaPour suivre MyriamInstagram : @myzfrancoisPour rejoindre la communauté Heya Instagram: @heya_podcastPour rejoindre la communauté de Heya Instagram: @heya_podcast Ici, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Myriam François.Journaliste, Myriam a travaillé pour de prestigieux médias tels que la BBC, The Guardian ou Al Jazeera. Elle est aussi chercheuse et réalisatrice de documentaires.Elle a un parcours académique impressionnant dont un doctorat de l’université d'Oxford portant sur la société postcoloniale et les mouvements anticoloniaux. Myriam s’est imposée dans les médias Anglo saxons comme une figure incontournable du dialogue interculturel et de la réflexion sur les dynamiques sociopolitiques qui façonnent notre monde. Dans cet épisode, nous avons discuté:de la différence de traitement du sujet de la diversité entre la France et le UKde la définition de la blanchitéde racisme anti-blancde la responsabilité légale de certains médias occidentaux pour leur contribution dans le g*n*cide à Gaza, mais aussi de religion et de la place de l’Islam en France. Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ---------------------------------------------------------Pour suivre MyraimInstagram : @myzfrancoisPour suivre Heya Instagram: @heya_podcastPour rejoindre la communauté de Heya Instagram: @heya_podcast Ici, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Manèle Labidi, scénariste et réalisatrice franco-tunisienne.Après des études en sciences politiques et une carrière initiale dans la finance, Manèle décide de se consacrer pleinement à sa passion : le cinéma.Rapidement, elle s’impose dans le paysage cinématographique international avec son premier long-métrage, Un divan à Tunis.Son dernier film, Reine Mère, une chronique familiale douce-amère qui ose le fantastique, traitant avec tendresse et modernité des thèmes de l’exil, de l’identité et du déclassement social. C’est un film intime et politique avec un super casting dont Camélia Jordana et Sofiane Zermani.Dans cet épisode, Manèle revient sur son enfance et son parcours atypique. Nous avons également discuté :· des raisons qui l’ont poussée à réaliser son dernier film Reine Mère,· comment l’Histoire modèle notre présent et les histoires,· du manque de représentations de l’« arabe »,· des obstacles rencontrés dans sa carrière.Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour – Manèle Labidi.Heya - des récits de femmes arabes et amazighe. Identités plurielles, transmission culturelle, sororité. Parce qu’on est légitimes. ----------------------------------------------------- Pour suivre ManèleInstagram : @manelelabidi Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Sofya Benzakour, créatrice de contenu lifestyle et entrepreneure. Elle est la cofondatrice de la marque de vêtements « Bahaar ».Dans cet épisode, Sofya revient sur son enfance à Fès au Maroc, son arrivée en France et son parcours professionnel : de l’architecture, en passant par la création du contenu et l’entreprenariat.Nous avons également discuté :- De la perception du métier d’influenceur/euse dans notre société- Du manque de représentativité des personnes nord-africaine au sein de l’industrie de la mode- Des défis rencontrés en tant qu’entrepreneure- Et du poids de la tradition sur les sujets liés au mariage des filles une fois la trentaine atteinteSans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Sofya Benzakour.Heya - des récits de femmes arabes et amazighe. Identités plurielles, transmission culturelle, sororité. Parce qu’on est légitimes.-------------------------------------------Pour suivre Sofya et BahaarSofya : @sofyabenzakourBahaar : @bahaar_paris Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je suis ravie de partager ma conversation avec Rania Talala, fondatrice d’Ardi Concept store, premier lieu culturel palestinien à Paris. Dans cet épisode Rania retrace son parcours, de professeur de français à chef d’entreprise.Elle revient sur les raisons qui l’ont poussées à se lancer dans l’aventure Ardi alors qu’elle était une maman célibataire de 3 enfants, sans économie ni expérience entrepreneuriale. Elle nous raconte les défis rencontrés et le soutien infaillible de sa communauté qui ira jusqu’à financer 50% du projet.Une fois la dimension financière du projet réglée et alors qu’elle imagine le plus dur derrière, elle est confrontée à un véritable parcours du combattant lors de la recherche d’un local. Son dossier est automatiquement rejeté, ceci en lien avec la nature de son engagement. Alors qu’elle était très active sur les réseaux sociaux et via son blog, Rania décide de se retirer de la toile pour permettre à son projet déclore et exister. Nous avons aussi discuté de la condition palestinienne, de résistance mais aussi de la maladie auto-immune qu’on lui a diagnostiquée récemment. Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour - Rania Talala.Heya - récits de femmes arabes et amazighes. Identités plurielles, transmission, sororité. Parce qu’on est légitimes. ----------------------------------------------------- Pour suivre Rania et ArdiInstagram : @les_petits_plats_palestiniens @ardi.concept.storeRejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Rania Talala, fondatrice d’Ardi Concept store, premier lieu culturel palestinien à Paris. Dans cet épisode Rania retrace son parcours, de professeur de français à chef d’entreprise.Elle revient sur les raisons qui l’ont poussées à se lancer dans l’aventure Ardi alors qu’elle était une maman célibataire de 3 enfants, sans économie ni expérience entrepreneuriale. Elle nous raconte les défis rencontrés et le soutien infaillible de sa communauté qui ira jusqu’à financer 50% du projet.Une fois la dimension financière du projet réglée et alors qu’elle imagine le plus dur derrière, elle est confrontée à un véritable parcours du combattant lors de la recherche d’un local. Son dossier est automatiquement rejeté, ceci en lien avec la nature de son engagement. Alors qu’elle était très active sur les réseaux sociaux et via son blog, Rania décide de se retirer de la toile pour permettre à son projet déclore et exister. Nous avons aussi discuté de la condition palestinienne, de résistance mais aussi de la maladie auto-immune qu’on lui a diagnostiquée récemment. Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Rania et ArdiInstagram : @les_petits_plats_palestiniens @ardi.concept.storeRejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je suis particulièrement émue de partager ma conversation avec Ines Abdel Razek, Directeur Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l’ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L’Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d’une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l’OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Inès revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l’a incité à s’installer en Palestine afin de s’engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l’évolution de son identité, de l’invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l’ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu’elle a eu d’appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Le parcours et l’histoire d´Inès m’ont profondément touché.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Inès Abdel Razek.Récits de femmes arabes et amazighes ✊🏽 Identités plurielles, transmission culturelle, sororité. Parce qu’on est légitimes.---------------Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je partage un extrait de ma conversation avec Inès Abdel Razek, Directrice Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l’ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L’Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d’une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l´OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Ines revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l’a incité à s’installer en Palestine afin de s’engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l’évolution de son identité, de l’invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l’ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu´elle a eu d’appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Kaouthar Trojette, coach exécutive pour femmes cadres et dirigeantes.Née en Belgique, Kaouthar grandit au sein d’une famille modeste et aimante. Scolarisée dans une école catholique, elle se souvient ne pas se sentir à son aise dans cet environnement. A ses neuf ans, ses parents décident de revenir au pays et s’installer en Tunisie. Après l’obtention de son baccalauréat, Kaouthar part étudier en France et débute une carrière d’ingénieur. Son poste lui offre la possibilité de vivre plusieurs expatriations notamment en Colombie, au Royaume Uni et en Inde.Bien que ces expériences soient enrichissantes, le métier et le mode vie d’ingénieur terrain sont très contraignants.Après plusieurs années intenses elle est diagnostiquée d'une péri ménopause. Cette annonce constitue un déclic. Elle décide ainsi de mettre en pause ce rythme de travail effréné et songe à changer de vie.Elle se connecte alors à son corps, prend du temps pour elle et décide de se lancer dans le coaching.Nous avons discuté du lien entre le corps et le mental, des dérives du développement personnel et de l’importance de résoudre les problèmes systémiques à l’échelle collective. Kaouthar parle également du fonctionnement neuro-somatique et partage avec nous des tips pour améliorer la confiance en soi. Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour - Kaouthar Trojette.----------------------------------------------------- Pour suivre KaoutharLinkedIn : Kaouthar Trojette | LinkedInToutes Puissantes ! | Ausha Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Kaouthar Trojette, coach exécutive pour femmes cadres et dirigeantes et fondatrice du podcast "Toutes puissantes".Née en Belgique, Kaouthar grandit au sein d’une famille modeste et aimante. Scolarisée dans une école catholique, elle se souvient ne pas se sentir à son aise dans cet environnement. A ses neuf ans, ses parents décident de revenir au pays et s’installer en Tunisie. Après l’obtention de son baccalauréat, Kaouthar part étudier en France et débute une carrière d’ingénieur. Son poste lui offre la possibilité de vivre plusieurs expatriations notamment au UK, en Colombie et en Inde.Bien que ces expériences soient enrichissantes, le métier et le mode vie d’ingénieur terrain sont très contraignants.Après plusieurs années intenses elle est diagnostiquée d'une péri ménopause. Cette annonce constitue un déclic. Elle décide ainsi de mettre en pause ce rythme de travail effréné et songe à changer de vie.Elle se connecte alors à son corps, prend du temps pour elle et décide de se lancer dans le coaching.Nous avons discuté du lien entre le corps et le mental, des dérives du développement personnel et de l’importance de résoudre les problèmes systémiques à l’échelle collective. Kaouthar parle également du fonctionnement neuro-somatique et partage avec nous des tips pour améliorer la confiance en soi. Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre KaoutharLinkedIn : Kaouthar Trojette | LinkedInToutes Puissantes ! | Ausha Rejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Ines Leonarduzzi, cheffe d’entreprise, autrice et fondatrice de l’ONG Digital for the Planet. Vous laurez compris Inès a plus d’une corde à son arc et un parcours très inspirant. Dans cet épisode, elle retrace son enfance en Normandie au sein d’un couple mixte : papa italo-croate et une maman Berbère d’Algérie. Éduquée par son grand-père imam, elle a été scolarisée dans une école catholique. Inès revient sur son adolescence et ses complexes passés issus de l’effet pervers des diktats de la beauté de l’époque. Elle se livre sans filtre sur le harcèlement subi à l’école et ses conséquences sur la petite fille qu’elle était. Elle partage également la difficulté qu’elle a eu plus jeune à appréhender et maîtriser sa double identité. Inès évoque avec beaucoup d’émotions les précieux conseils transmis par son grand-père qui ont contribué à bâtir la femme qu’elle est devenue. Enfin, nous avons discuté d´amour de soi, de transclasses, du poids des diplômes en France et de maternité.Un épisode à cœur ouvert que j’ai pris un plaisir immense à enregistrer.Sans plus attendre, je laisse place à la HeyA du jour – Inès Leonarduzzi. ----------------------------------------------------- Pour suivre InèsInstagram: @inesleonarduzziRejoignez la communauté Heya Instagram: @heya_podcastIci, on parle d’identités plurielles, de voix arabes, de parcours de femmes inspirantes, de diaspora maghrébine, de sororité, de féminisme, d’inclusion, de récits de femmes et de transmission et d’héritages culturels.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Inès Leonarduzzi, cheffe d’entreprise, autrice et fondatrice de l’ONG Digital for the Planet. Vous laurez compris Inès a plus d’une corde à son arc et un parcours très inspirant. Dans cet épisode, elle retrace son enfance en Normandie au sein d’un couple mixte : papa italo-croate et une maman Berbère d’Algérie. Éduquée par son grand-père imam, elle a été scolarisée dans une école catholique. Inès revient sur son adolescence et ses complexes passés issus de l’effet pervers des diktats de la beauté de l’époque. Elle se livre sans filtre sur le harcèlement subi à l’école et ses conséquences sur la petite fille qu’elle était. Elle partage également la difficulté qu’elle a eu plus jeune à appréhender et maîtriser sa double identité. Inès évoque avec beaucoup d’émotions les précieux conseils transmis par son grand-père qui ont contribué à bâtir la femme qu’elle est devenue. Enfin, nous avons discuté d´amour de soi, de transclasses, du poids des diplômes en France et de maternité.Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre InèsInstagram: @inesleonarduzziPour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.