DiscoverHajime, entretiens sur et en dehors des tatamis
Hajime, entretiens sur et en dehors des tatamis
Claim Ownership

Hajime, entretiens sur et en dehors des tatamis

Author: Hajime, entretiens sur et en dehors des tatamis

Subscribed: 9Played: 202
Share

Description

Bonjour et bienvenue dans « Hajime », le podcast de L’Esprit du Judo. Un magazine, un site web, une grosse communauté judo et désormais un podcast qui donne la parole à ceux qui font le judo français et mondial :  professeurs experts, entraîneurs, champions d’hier et d’aujourd’hui, judokas anonymes mais engagés qui ont des choses à dire…
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
88 Episodes
Reverse
Les best sont à Budapest, en version collective. C’était aujourd’hui les meilleures nations de judo qui s’affrontaient en équipe mixte, la bonne idée de l’olympiade de Tokyo, avec les trois garçons et les trois filles, le risque de match nul et la fameuse roulette à la fin pour les départager. Dans les meilleures nations, il y a la France évidemment, le pays qui a emporté les deux titres olympiques depuis la première de Tokyo, et qui s’est toujours classé sur le podium mondial, le plus souvent en finale derrière le Japon, comme c’est le cas depuis 2018, à partir de la deuxième édition. Sur cette édition 2025, la France voulait collectivement cautériser des championnats d’Europe par équipes ratés, et une performance individuelle en demi-teinte. Il était question de regroupement, de dynamique collective. Mais qu’en a-t-il été réellement ? Découvrez-le en écoutant ce huitième et ultime épisode de notre série de podcasts « les best sont à Budapest », consacrée à ces championnats du monde 2025.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les best sont à Budapest. Attention, les Sud-Coréens débarquent ! Malheureusement, ce sont surtout des Coréennes, et cela concerne Romane Dicko. On l’espérait pourtant cette médaille d’or de notre numéro une mondiale des +78kg. On l’espérait comme un baume cicatrisant sur le sentiment diffus, mais persistant, d’un échec ici à Budapest. Échec ? Il faudra temporiser tout cela, avec la mise en perspective qui s’impose, il faudra relativiser. Mais aussi savoir lire les messages clairs que cette année 2025 nous envoie. Décryptage dans ce nouvel épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les best sont à Budapest mais, pour les leaders estampillés, les dossards rouges et les dossards dorés, c’est la souffrance assurée. Ils prennent cher dans des combats difficiles, avec parfois des yuko et des waza-ari à remonter, comme c’était le cas par exemple pour la championne olympique des -78kg Alice Bellandi, surprise par un o-uchi-gari malin de la Chinoise Ma Zhenzhao avant de parvenir à placer son sode, et subissent même des défaites amères alors que l’année dernière encore, ils planaient au-dessus des eaux, et des autres.Qui a donc eu le dernier mot ce mercredi ? Réponse dans ce nouvel épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les best sont à Budapest. Et devinez quoi ? Ils sont Japonais. Cette incontournable vérité, on aimerait parfois l’oublier, notamment lors des départs en fanfare vers les grands rendez-vous, quand tous les espoirs sont permis. Mais ce serait vraiment nier l’évidence, puisque depuis le début des championnats du monde réunifiés, équipes masculine et féminine ensemble, soit depuis Essen en 1987, le Japon a tout simplement toujours fini devant. Aujourd’hui, les invincibles ont enfoncé le clou en tapant très fort dessus. Trois engagés, trois finales, deux titres, on ne peut pas faire mieux. Un récital à retrouver dans ce nouvel épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les best sont à Budapest et les nôtres n’en faisaient pas partie en ce premier jour de semaine. Comment ça va ? Comme un lundi… Trois représentants, pour trois échecs rapides, il n’y a donc rien à dire, pourriez-vous penser. Mais comme dit l’adage, soit je gagne, soit j’apprends. Et il faut bien convenir qu’il est question de cela aujourd’hui pour le clan français.On en parle en détail dans ce nouvel épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les best sont à Budapest, et on sait de qui il s’agit ! Car oui, la journée est folle, elle est historique, elle fait infiniment de bien, et il va falloir débriefer ça, maintenant. Elle avait commencé à petit rythme pourtant cette journée, comme si celle d’hier avait jeté une ombre. Tout le monde était noué d’ailleurs, avec cette crainte de la faute, de la chute, de l’échec qui ne les quitte pas. Un championnat du monde, c’est ça. Et ça se passe dans ce nouvel épisode, déjà historique, de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette fois encore, c’est le tapis qui a décidé. Ou, plutôt, ceux qui sont dessus, ici et maintenant. Là encore, rien n’est écrit à l’avance, il faut s’emparer de son dû, ou le laisser au camarade d’en face. Entre ceux qui ont cru en leur destin jusqu’au bout et tous les autres, cette deuxième journée des championnats du monde 2025 ne fut pas avare en petites et grandes histoires, comme vous allez le constater en écoutant ce nouvelle épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jó reggelt kívánok Budapest ! Comme on dit en bon magyar. Les Jeux de Paris sont effacés, les lames sont aiguisées, et tant pis pour ceux qui sont un peu lents à la parade. Ils se font couper en deux, mêmes s’ils sont l’un des onze numéro un mondiaux présents, même s’ils sont l’un des sept champions olympiques à avoir remis le couvert, même s’ils sont l’un des dix champions du monde à défendre ici leur titre. Qui a succombé? Quelles têtes se sont hissées au-dessus de la mêlée pour ce premier temps fort international de la nouvelle olympiade, vous saurez tout de cette première journée des championnats du monde 2025 en écoutant la nouvelle série de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Malgré, en ce dernier jour, quatre engagées sur quatre dans le bloc final, les responsables français savaient à mi-journée que la Russie avait réussi son sprint final, avec une troisième médaille d’or, mais aussi la même en argent, médailles assurées avant d’avoir fait le combat puisque leurs deux poids lourds étaient finalistes. Infortune du tirage au sort, les deux +78kg françaises au sommet, amenées à se rencontrer elles aussi, l’avaient fait au niveau des demi-finales. Pour rivaliser avec le rush russe, il aurait fallu que nos deux -78kg, Fanny-Estelle Posvite et Audrey Tcheumeo, soit présentes dans l’équation. Elles avaient l’une et l’autre gagné le droit de se battre pour une médaille, mais aucune des deux ne parvenait à atteindre la finale, on vous explique comment et pourquoi dans cet ultime épisode de notre série « Podgorica, c’est chaud ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En ce troisième jour de combats, le championnat continental est à son pic, la mêlée est générale, et il faut être costaud pour tenir les lignes. La première impression qui émerge comme une évidence : le judo ne suffit pas, la tactique non plus, il faut une cohérence globale technique et tactique, physique et mentale pour l’emporter sur l’autre, abattre son jeu, comme au poker, et voir si l’adversaire a mieux. Mais il n’y a pas de bluff possible, et tout le monde est « all in » à chaque main. Il faut faire tapis avec ce que l’on a, à commencer, c’est la base, par l’acceptation de la souffrance. C’est le premier des rapports de force, le premier des duels. Et des duels, il y en aura eu à la pelle dans ce Sportski Centar Morača, comme vous allez le comprendre en écoutant ce nouvel épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Podgorica, c’est chaud, même si l’équipe de France, qui bouillonne depuis deux jours, a pris en fin de journée un grand seau d’eau froide. Dura lex diront certains, en finissant par Sed lex comme il se doit. La loi est dure, mais c’est la loi. Tout ceci se discute, et c’est ce que nous allons faire car la France a perdu aujourd’hui une médaille et un titre très importants, sans que les raisons coulent de source, sinon que c’est marqué quelque part dans un classeur des règlements, le nouveau, pas celui de l’année dernière.Mais gardons ce qui fâche pour la fin. Ne nous laissons pas doucher l’enthousiasme et débutons par ce qui fait plaisir : la belle dynamique maintenue du judo français sur ce championnat d’Europe 2025. Avec quatre médailles le premier jour, pour deux titres, la France avait fait une première levée parfaite. Il fallait enchaîner. Et ce fut le cas, comme vous pouvez le découvrir dans ce nouvel épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et oui, le temps est déjà chaud en cette fin avril pour les championnats d’Europe 2025, ici, à Podgorica, au Monténégro, quand les orages de printemps ne viennent pas s’en mêler.Mais chaud sur le tapis surtout, où le judo tente de se glisser dans la faille ouverte par la commission d’arbitrage de la fédération internationale. Moins prolixe en pénalités, les arbitres laissent en effet un peu les combattants se débrouiller par eux-mêmes, ce qui est un problème pour certains qui ne savent plus comment faire quand la troisième pénalité ne tombe pas au bout de deux fausses attaques peu crédibles, mais ce qui permet à d’autres, qui en ont les moyens, de s’exprimer vraiment sans arrière-pensée, ce qui nous fait à la fois des vacances et du spectacle. Le vrai spectacle du judo, celui du talent, porté à son meilleur niveau de maîtrise. En ce premier jour, le spectacle a été largement assuré par les maîtres à jouer du judo français et c’était beau à voir. Ou à revivre dans ce nouvel épisode de notre podcast Hajime.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nommé responsable de l'équipe de France seniors masculine en début d'année, Daniel Fernandes a pris le temps de nous présenter son projet sur cette olympiade post-JO de Paris qui s'annonce excitante dans le sillage de cette semaine inoubliable pour le judo masculin tricolore à l'Arena Champ-de-Mars. Posé et serein, le vice champion du monde 2003 ne part pas seulement en quête des plus belles médailles, loin de là... À découvrir dans ce nouvel épisode d'Hajime, le podcast de L'Esprit du Judo.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quoi qu’on dise du tournoi de Paris qui s’annonce, quels que soient les éloges ou les critiques, les éternels « c’est plus comme avant » – qui ont d’ailleurs dû commencer dès le tournoi qui a suivi le premier, celui de 1971, parce que la star Shozo Fujii n’était pas revenue, il reste une constante à ce rendez-vous de février, un invariant dont tout le monde a fini par intégrer sans trop y penser la consistance et la force, et c’est vous, le public. Présents en masse dans cette Accor Arena que le judo français et international retrouvait après la parenthèse olympique de l'Arena Champ-de-Mars, vous avez pu prendre le pouls de ce long cheminement qui recommence jusqu'aux Jeux de Los Angeles, avec certains protagonistes de ce prolifique week-end parisien fermement décidés à s'inscrire durablement dans l'histoire de l'équipe de France. De nouvelles têtes ? De nouveaux héros ? Il est temps d’aller voir, dans ce nouvel épisode d'Hajime, le podcast de L'Esprit du Judo, qui a marqué la séquence et a gagné le droit de rejouer en prévision des championnats d’Europe à venir, qui prend la tête du marathon qui débute.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis quatorze ans maintenant, c’est à l’entrée de l’hiver que se joue la bataille nationale, en quatorze catégories, quatorze hunger games hexagonaux, sans piège et sans violence, mais avec beaucoup de déçus. Car il n’en reste qu’un à la fin, ou presque, pour obtenir la prestigieuse sélection pour le Grand Chelem de Paris de février, espérer y briller et enchaîner avec d’autres grandes sélections, espérer être l’un des rares élus qui puisent changer le cours de son destin et devenir, au-delà d’un impact national, l’un de ceux que l’on suit plus haut et plus loin, dans les sphères européenne et mondiale. Qui a brillé en Saône-et-Loire? Qui a échoué? Qui a pris date pour cette nouvelle olympiade? Tour d'horizon de ces championnats de France seniors première division 2024 dans ce nouvel épisode d'« Hajime », le podcast de L’Esprit du Judo.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que l’équipe menée par Stéphane Nomis brigue un second mandat à la tête de la fédération française en ce mois d’octobre 2024, Sébastien Nolésini, directeur général de France Judo, revient sur ces quatre années passées aux commandes. L’occasion de rappeler les nombreux chantiers lancés, dont le programme 1000 Dojos, la Dojo Academy ou encore la gestion du dossier du grand dôme de Villebon-sur-Yvette, mais aussi d’évoquer l’avenir dans la foulée de Jeux olympiques et paralympiques inoubliables à Paris cet été. Avec un rôle moteur qu’il compte bien voir dépasser le cadre national, notamment sur le volet de nouveaux formats de compétitions internationales inspirées du modèle de la Judo Pro League initiée en 2022, ou sur celui de l’évolution de l’arbitrage mondial, sujet sur lequel il dévoile que la France et le Japon coopèrent depuis des mois pour des propositions concrètes formulées à la fédération internationale.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il n’y a que Nacer Zorgani pour pouvoir raconter pareille aventure : il aura disputé deux fois les Jeux de Paris :  la quinzaine olympique au micro comme speaker des épreuves de boxe ; puis les Jeux para sur les tatamis en +90kg catégorie J2, malvoyants. Pour comprendre ce parcours haut en couleur, sa passion du combat et ressentir son énergie communicative… le mieux est de l’écouter.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Né à Ivry-sur-Seine, en banlieue parisienne, Breton d’adoption avec un passage décisif au Dojo de Cornouaille chez Nicolas Cloteaux, licencié au Levallois Sporting Club, ce gaillard a connu les honneurs des podiums sur le tard. Médaillé de bronze aux mondiaux de Birmingham l’an passé, mais peu épargné par les blessures, y compris durant cette prépa olympique, Jason Grandry sait pourquoi il est là.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est en taulier que le double champion du monde 2022 et 2023 se présente sur les tatamis de l’Arena Champs-de-Mars trois ans après sa médaille olympique de Tokyo. L’or est, sans forfanterie, clairement l’objectif pour le Tarbais de l’AS Bourg-la-Reine. Un étudiant en journalisme que nous avons la chance de compter dans nos rangs à la rédaction de L’Esprit du Judo, qui compte bien écrire sa propre histoire…Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le premier déclic de cette jeune combattante de vingt-quatre ans a eu lieu en 2022, aux championnats d’Europe. Les mots de l’entraîneur Cyril Pagès ont résonné fort et libéré Prescillia Lézé qui a notamment battu ce jour-là la championne paralympique en titre. Le second ? L’année suivante pour aller décrocher l’or continental dans sa catégorie des +70kg. Programmée pour 2028, la Vauclusienne n’a pas vraiment envie d’attendre… En attendant son entrée en lice ce samedi 7 septembre 2024, écoutez son accent du Sud dans ce nouvel épisode d’Hajime, le podcast de L’Esprit du Judo.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
loading
Comments