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Bignon Lebray, le podcast

Author: Bignon Lebray

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Description

Ils sont des artisans du droit liés par la même passion.

Inventifs, perfectionnistes et engagés pour leurs clients, ils savent traiter les problématiques les plus complexes et décryptent pour vous les grands enjeux juridiques contemporains. Avec un facteur clé de réussite : l'humain.

Retrouvez chaque semaine votre série de podcast exclusive qui aborde des enjeux de fond par une approche pragmatique et authentique.

Retrouvez toute l'actualité du droit sur Bignon Lebray (https://www.bignonlebray.com/)  
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
15 Episodes
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Cette semaine, Jean-Marie Tocchio nous explique les mécanismes juridiques au coeur de la réindustrialisation de la France. Enjeu essentiel au bon fonctionnement de l'économie, l'industrie française nécessite des investissements conséquents, dans lesquels l'avocat a un rôle prépondérant. Jean-Marie est rattaché au département fusion-acquisision de Bignon Lebray. L'avocat accompagne les projets industriels de la création de site à la réhabilitation ou la modernisation de sites existants, avec une expertise particulière pour les joint venture. « Pour construire les schémas contractuels d'un projet, on pose la question de savoir si on assume les risques, si on assure ou si on transfère. La discussion entre les aspects juridiques et business est l'une des clés d'un projet réussi. » La création de nouveaux sites industriels soulève des problématiques allant de la création de richesses et d'emploi à la protection de l'environnement. Si l'Etat réalise systématiquement des analyses pour vérifier la conformité des sites aux normes en vigueur, toute la responsabilité du site demeure sur les épaules de l'industrie. Il est donc essentiel de connaître en permanence les risques encourus par chaque partie prenante à chaque phase de la construction du projet. Lorsqu'il parle de sa profession d'avocat, Jean-Marie souligne l'authenticité des relations qu'il entretient avec ses clients : « Le droit est une culture de la langue et de l'échange. Il nous permet de très bien communiquer avec les équipes. » Retrouvez Jean-Marie Tocchio sur LinkedIn pour tout comprendre sur les enjeux juridiques de la réindustrialisation.  Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, Sébastien Pinot, avocat en droit public des affaires, expliquecomment s'articulent les relations entre entreprises privées et personnes publiques dans le cadre de la conclusion puis de l’exécution de leurs contrats  Quelles sont les principales sources de litiges entre personnes publiques et entreprises privées ?     Entreprises privées, comment identifier les zones à risques en répondant à un appel d’offre public ?      Comment se prémunir et résoudre les difficultés que peuvent rencontrer les deux entités dans l’exécution d'un contrat obtenu par appel d’offre ?     « Les personnes publiques ont une culture du service public et du contrôle des dépenses pour déployer les projets ; les personnes privées ont la culture de la satisfaction du client et des objectifs de rentabilité. Cela peut révéler des intérêts antagonistes au fur et à mesure de l’exécution d’un projet. »     Sébastien accompagne les entreprises durant les phases d’appel d’offre afin de leur permettre d’identifier et de maîtriser leurs risques et de maximiser leurs chances de succès pour obtenir le contrat. Son équipe accompagne les personnes publiques et les entreprises pour négocier les contrats nécessaires à la réalisation des projets publics. L’équipe intervient ensuite durant la vie des contrats afin d’anticiper et de résoudre les difficultés entre les parties dans une optique gagnant – gagnant et leur permettre de renouer une relation de confiance. Enfin, Sébastien défend les entreprises et les personnes publiques devant les tribunaux si le litige doit être tranché par les magistrats.     L’avocat n’a pas seulement pour mission d’intervenir au moment où survient le litige. « Bien souvent, on intervient à la fin du processus alors que beaucoup de décisions commerciales et financières ont été prises. Avant tout, l’avocat doit avoir un rôle de conseil en amont pour éviter les litiges ».      Pour avoir un aperçu sur le rôle des avocats dans le cadre des contrats du secteur public, retrouvez Sébastien sur LinkedIn.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, Delphine Nowak, avocate spécialisée en droit immobilier, nous parle risques à identifier avoir avant de se lancer dans un projet d'achat foncier. Acheter un bien immobilier est une aventure qui se prépare. Le foncier est rare et cher, ce qui provoque souvent une précipitation chez l'acheteur. Or faire l'impasse sur les vérifications nécessaires implique le risque de se retrouver face à des conséquences lourdes. Delphine accompagne les entreprises et promoteurs immobiliers en amont de l'opération d'achat et en aval de la signature. Sa mission : alerter et prévenir ses clients pour qu'ils acquièrent le bien en connaissance des risques. Avec son équipe, elle cherche à « sécuriser les opérations pour qu'elles puissent sortir de terre et satisfaire le promoteur et le client qui se porte acquéreur. » L'achat d'un foncier occupé implique de prévoir l'éviction du locataire qui a y installé ses locaux professionnels. Il s'agit d'une cause récurrente de litiges entre propriétaire, acquéreur et locataire, qui donne lieu à des questions d'indemnisation très règlementées. La démolition d'un bien est elle aussi sujette à des questions similaires. Elle nécessite de faire appel à des experts pour sécuriser non seulement le bâtiment concerné mais aussi son environnement et son voisinage. Suivez Delphine Nowak sur LinkedIn pour tout savoir du droit immobilier et de la construction. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Dans ce nouvel épisode, Alban Van de Vyver et Edouard Waels nous éclairent sur les rouages des management packages. Avocats en Droit des Sociétés, Alban et Edouard interviennent sur des opérations de fusion-acquisition  et de capital investissement.  Qu’est-ce qu'un management package ? Quel sont les principaux points de négociation du management package ? Quelles sont les conditions à respecter pour mettre en place ce mécanisme ?    Lors d’une opération de levée des fonds ou de LBO, une entreprise doit structurer son management et fidéliser ses cadres salariés. C'est tout l’intérêt des management packages, un ensemble d’outils d’intéressement pour les cadres. Il s’agit de les inviter à entrer au capital de leur entreprise.   « Rien de tel pour la réussite d’un projet que tout le monde marche dans le même sens. L'idée c'est d’aligner les intérêts des parties prenantes et de faire en sorte qu’il n'y ait pas de sortie de route. »   Une telle démarche suppose également la signature d’un pacte d’associés. Il apporte un socle commun de droits et d’obligations à respecter. Des clauses de good ou bad leaver y sont mises en place afin de palier au potentiel départ anticipé d’un cadre salarié.    Le management package est un sujet d’actualité, régulièrement chahuté par l’administration fiscale. Afin de prendre toutes les précautions d’usages, il convient de détacher autant que possible la fonction de salarié de celle d’actionnaire investisseur.       Les parties prenantes à de telle opérations ont plus que jamais intérêt à se tourner vers des spécialistes pour être mettre en place ces mécanismes sensibles et complexes.   Retrouver Alban Van de Vyver et Edouard Waels sur LinkedIn pour tout savoir du management package. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tanguy Dubly est avocat en droit des sociétés. Expert sur les sujets de fusion-acquisition, levée de fonds et pactes d'associés, il nous apporte dans cet épisode un éclairage sur l'actionnariat salarié. L'actionnariat évoque souvent des investisseurs, des parties prenantes externes à l'entreprise. Pourtant une société peut décider de déléguer des actions à ses collaborateurs afin de faciliter leur recrutement ou dans une stratégie de fidélisation. Devenir actionnaire de son entreprise, c'est faire un pari qui susceptible de se transformer en belle opération financière au moment de la revente ses actions. Les intérêts des deux parties convergent : le salarié a tout intérêt à œuvrer pour la réussite d’une société dont percevra les fruits. Il existe deux types de mécanismes : Les Attributions d'Actions Gratuites (AGA) fonctionnent selon une logique de court-terme. Il s’agit d’un don direct d’actions au salarié. Les BSPCE, Bons de Souscription des Parts de Créateur d'Entreprise permettent au salarié d’exercer une option pour souscrire des actions à moindre coût lorsque l’entreprise aura pris de la valeur. Ce dispositif s’inscrit dans une logique d'investissement et d'engagement. Les actions gratuites font du salarié un associé à part entière de l'entreprise. Une telle opération nécessite dès lors de sécuriser les actions cédées. Il convient donc de rédiger un pacte d'associés pour s’assurer que le salarié ne puisse pas céder ses parts à n’importe qui, ni n’importe quand. Tanguy rappelle que ces outils sont très efficaces mais requièrent un suivi particulier de la part de l’entreprise. Lorsque Tanguy aborde son métier, il le fait avec passion. Exercer dans le droit des sociétés, c'est « être au cœur des décisions stratégiques de l'entreprise, avoir des échanges constructifs sur des problématiques qui évoluent sans cesse, avec des clients qui ont chacun leurs spécificités. C'est ce qui fait la richesse du métier. » Suivez Tanguy Dubly sur LinkedIn pour tout connaître de l'actionnariat en entreprise. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Dans ce nouvel épisode, Jacques Goyet, avocat spécialisé en fusions-acquisitions, Président du Directoire et Gérald Berge, consultant formateur pour le groupe Valuego nous expliquent comment assurer sereinement la transmission d'entreprise entre vendeur et acquéreur.  Pourquoi se faire accompagner lors d’une fusion-acquisition ?  Comment anticiper les enjeux du nouveau dirigeant ?  Comment encadrer le périmètre de mission de l’ancien dirigeant ?  Quelles sont les solutions juridiques pour faciliter la période de transition ?   Autant de questions mettant en avant le rôle central de l'avocat. Au travers de son témoignage Jacques Goyet présente son expérience et son expertise, qu’il met au service soit de l'acquéreur, soit du vendeur dans leur aventure humaine afin de transformer cette période de transition professionnelle intense en une véritable construction de l'après.  « Vendre l'entreprise de sa vie avec des salariés qu'on connait par cœur est un problème essentiellement humain. C'est une situation très difficile. Brutalement, vous êtes face à une nouvelle gouvernance de l'entreprise avec des décisions qui ne sont pas de votre ressort.» précise Gérald Berge.  Il est donc important de définir d'entrée de jeu l'étendu des missions de l'ancien dirigeant et de trouver un cadre juridique adapté à la situation.  Au cours des premiers mois, le nouveau dirigeant est confronté à toutes sortes d'enjeux commerciaux et relationnels auprès de ses clients et son personnel. Face à ces bouleversements, la présence de l'ancien dirigeant dans les locaux rassure et instaure un climat apaisé.  Attention cependant à ne pas sous-estimer les conflits potentiels entre ancien et nouveau dirigeant et l'impact émotionnel de la transition pour le vendeur. Les clauses d'accompagnement sont souvent considérées par les parties comme accessoires, lors des fusions-acquisitions. Pourtant, elles conditionnent souvent la réussite ou l'échec de la transition entre le vendeur et l'acquéreur.  Il existe plusieurs solutions juridiques pour faciliter la période de transition. On peut imaginer que l'ancien propriétaire reste mandataire social, lui faire signer un contrat de travail ou une convention de services. Chacune de ces solutions présente ses avantages et ses inconvénients. Une autre solution, sans doute la plus simple, est celle du portage salarial. L'ancien dirigeant devient alors salarié d’une société qui rend les prestations, sans contraintes administratives.   Retrouvez Jacques et Gérald sur LinkedIn pour vous faire accompagner tout au long de votre fusion-acquisition.  Bonne écoute !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien Lecat est avocat en droit des affaires au sein du cabinet Bignon Lebray. Il intervient en particulier dans le domaine du transport et de la logistique. Dans cet épisode, il revient sur les spécificités juridiques du secteur du transport.     Le transport logistique est un marché mondial très concurrentiel dont les règles peuvent paraître incongrues pour le grand public. Dans ce domaine au carrefour du consommateur et des usines, le législateur est particulièrement impliqué afin de garantir la sécurité des marchandises et le bon déroulé du commerce . Comme pour toute profession réglementée, le transporteur est protégé par des règles strictes concernant sa rémunération, ses contrats ou sa responsabilité. En cas d'incident de livraison, il est présumé responsable de toute marchandise qu'il transporte. En contrepartie de cette responsabilité, le transporteur bénéficie d'une protection particulière. Les indemnités de responsabilité sont plafonnées, et il peut intenter une action directe en paiement de sa prestation de transport auprès du destinataire si l’expéditeur ne le paye pas.   « Dans le droit du transport, il faut avoir des réflexes différents. Le meilleur moyen pour éviter une sortie de route, c’est d’aller voir son avocat pour baliser le chemin », indique Julien. Intégrer le secteur du transport logistique, c'est mettre un pied dans la commission des transports qui est très réglementée, et où faire appel à un avocat est indispensable avant de se lancer.   Retrouvez Julien Lecat sur LinkedIn pour tout savoir sur le droit des transports et les sujets logistiques.   Bonne écoute !      Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Barbara Bertholet, avocate spécialisée en droit de la propriété intellectuelle revient sur les enjeux relatifs à l’exploitation de brevets et de savoir-faire.   Qu’est-ce qu’une invention brevetable ? Qu’est qu’un savoir-faire ? Quels droits découlent du dépôt de brevet ? Quelle différence entre une licence et une cession de brevet et de savoir-faire ?  Autant de questions qu’une entreprise innovante doit se poser en parallèle de ses recherches.  Au travers de cet échange, Barbara Bertholet présente son rôle d’avocat auprès des Biotechs, Medtechs et entreprises du secteur de la santé.  Ecoutez son analyse des principaux points d’attention à retenir dans les contrats de licence de brevet et de savoir-faire. Retrouvez Barbara Bertholet sur LinkedIn pour tout savoir de l'actualité des brevets du marché de la santé ou pour obtenir un accompagnement adapté à vos besoins. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode consacré aux relations entre acteurs publics et start-ups dans les domaines de la recherche scientifique et technologique, Nicolas Moreau et Juliette Goutorbe, avocats en droit de la propriété intellectuelle, vous livrent les clés pour comprendre les spécificités juridiques de ces collaborations.     Les start-ups qui innovent dans les domaines de l'informatique, des biotechnologies et de l’innovation médicale concluent régulièrement des partenariats avec des acteurs publics et parfois aussi avec des industriels.      Dans ces domaines, les questions de propriété intellectuelle, et en particulier de brevets et de droit d'auteur sur les logiciels sont primordiales pour les projets de recherche.     Nicolas et Juliette interviennent quotidiennement auprès de ces start-ups innovantes en les guidant notamment dans la contractualisation de leur collaboration avec ces partenaires.     « Lever des fonds est le leitmotiv des start-ups. Il est important de s’assurer que les contrats ne vont pas effrayer les investisseurs. Il faut les rassurer. » affirme Nicolas, qui insiste sur l’idée que l’investisseur vérifie systématiquement que la start-up qui l’intéresse est bien « propriétaire de la technologie sur laquelle elle se fonde ». Celle-ci doit surtout s’assurer que « ses droits de propriété intellectuelle sont sécurisés en matière de logiciels. »     «Notre rôle est d’accompagner nos clients dans la mise en forme contractuelle et juridique de leurs partenariats. » explique Juliette. « Les domaines scientifique et technologique sont hyper-concurrentiels et rapides, les start-ups n’ont pas envie de collaborer avec leurs voisins sans avoir sécurisé leurs droits. » Les instituts de recherche et les industriels sont particulièrement demandeurs de collaborations avec des start-ups, et le cabinet Bignon Lebray doit s’assurer que « nos clients retirent un maximum de droits de ce type de collaboration. »     Au travers de ce podcast Nicolas et Juliette présentent leurs métiers d'avocat avec passion : « J'ai l’impression de mettre ma pierre à l’édifice du progrès technologique et de l’innovation » précise Nicolas.        Pour en savoir plus sur les prérequis juridiques des start-ups qui collaborent avec des partenaires publics ou privés, écoutez le podcast Bonne écoute 🎧 !  Retrouvez Nicolas et Juliette sur LinkedIn pour tout savoir sur les questions de propriété intellectuelle.     Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Durant cet épisode, Neil Roberston, avocat intervenant dans le milieu du sport, revient sur les coulisses juridiques du monde du sport, notamment sur les enjeux de la rédaction des contrats et la gestion des litiges. Lorsque nous assistons à un match, nous sommes loin de nous imaginer les coulisses juridiques qui l’ont rendu possible. « En France on a de la chance, on a eu la Ryder Cup en 2018, on va avoir la Coupe du Monde de Rugby en 2023 et surtout les J. O. en 2024. On a des événements exceptionnels, des actualités à fortes retombées médiatiques et cela crée beaucoup d’activité pour un avocat. » Passionné par le sport, Neil Robertson, avocat en Droit des sociétés – Fusions-Acquisitions et Private Equity, intervient dans ce domaine depuis une vingtaine d’années. Il gère à la fois des questions d’acquisition de clubs, de sponsoring et de transferts de joueurs. Grâce à sa double culture anglo-saxonne, son expertise est précieuse sur le terrain international. Dans le domaine du sport professionnel, il faut organiser un dialogue serein entre agents, sportifs, clubs, mais aussi familles. En effet, les litiges nécessitent un véritable travail de négociations compte tenu des enjeux financiers qui peuvent être colossaux. Le joueur a un réel « droit d’image»,  il incarne non seulement le club dans lequel il joue mais aussi et surtout des marques, des sponsors. Le joueur doit à chaque instant respecter les stipulations de ses multiples contrats : publicitaires, contrat de travail, contrat de prestation de service. « Le monde du sport est très dur et différent du monde des entreprises » précise Neil. « Les joueurs ont des contrats de durée déterminée et y mettre fin n’est pas facile. Il faut une faute grave, un contentieux important. » Le moindre dérapage est prévu dans les clauses du contrat et peut faire l’objet d’une « sanction qui peut aller d’une simple amende jusqu’à la suspension du joueur. » Aujourd’hui, le monde du sport se transforme. « Les joueurs sont sanctionnés de plus en plus sévèrement, les arbitres sont très stricts.» Les fédérations, les clubs et les compagnies d’assurances sont d’une grande vigilance sur l’encadrement du sport. La moindre erreur peut avoir des répercussions médicales ou financières lourdes. Dans le sport aussi bien professionnel qu’amateur, il faut être en capacité de gérer non seulement un aspect sportif, mais aussi une structure et des ressources humaines pour avancer. Que ce soit par curiosité de la découverte de ce milieu au travers des enjeux juridiques ou pour découvrir une nouvelle spécialité proposée par le cabinet Bignon Lebray nous vous souhaitons une bonne écoute !  Retrouvez également Neil Robertson sur LinkedIn pour en savoir plus sur ses activités Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, Alain Vamour, avocat en droit administratif au sein du cabinet Bignon Lebray, nous explique les rouages du permis de construire. Alain explique qu'avant le dépôt officiel d'un permis de construire, tout projet immobilier de grande envergure doit obtenir en amont une validation politique officieuse des élus de la collectivité. En tant que représentants de leur territoire, ils peuvent avoir des attentes particulières sur des sujets variés, qu'il s'agisse de l'esthétique du bâtiment, de sa hauteur ou de son empreinte environnementale. En effet, l'ambition écologique des élus peut considérablement dépasser les exigences demandées par les documents d'urbanisme. Une fois la validation politique acquise, l'instruction du dossier de permis de construire peut commencer. A l'issue de celle-ci, l'arrêté de permis de construire peut prendre plusieurs formes. S'il est rédigé, il est judicieux de consulter un avocat afin de vérifier si le document ne cache pas de mauvaises surprises : lourdes taxes d'urbanisme, prescriptions techniques renchérissant le coût de construction... "Notre métier est assez simple. Il s'agit de lire ce que personne ne lit" résume Alain. Il arrive également que l'arrêté de permis de construire obtienne pour réponse un silence de la part de la commune. En pratique, ce silence équivaut à une autorisation tacite non écrite. Il appartient néanmoins au promoteur de vérifier que la commune a bien transmis son dossier aux services préfectoraux. Dernière étape : l'affichage du permis de construire. Alain en souligne la portée : "C'est quasiment aussi important que l'achat du terrain. Sans panneau, le projet est susceptible d'être contesté pendant une année" par des riverains, des associations ou des opposants politiques. Face à chacun de ces enjeux, l'avocat a un rôle d'accompagnateur et de conseil. Il doit rendre compréhensible des règles compliquées et proposer des solutions. "Les soucis des clients arrivent sur notre bureau et ils savent qu'il sera traité". Retrouvez Alain Vamour sur LinkedIn pour tout comprendre sur les aspects juridiques de la construction. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, François Vignalou, avocat en droit fiscal, nous parle de la transmission d'entreprise. Pour tout dirigeant qui part en retraite, la transmission d'entreprise est une épreuve délicate. A qui transmettre le contrôle de la société ? Comment s'y prendre ? Comment se projeter vers l'après ? François effectue un triste constat : "Une entreprise sur deux n'est pas transmise, faute de repreneurs". Il convient donc de se faire accompagner par des professionnels (avocat, notaire, expert comptable) pour mener sereinement cette opération. Selon que le repreneur soit un enfant du dirigeant, des salariés ou un fonds d'investissement, les modalités de transmission sont différentes et requièrent une expertise juridique Si le champ d'intervention de François Vignalou est fiscal, il est aussi - voire surtout - du ressort de l'humain. L'avocat accompagne donc le dirigeant vers sa vie d'après en lui proposant des solutions pour continuer à se sentir actif. Cela peut notamment prendre la forme d'organismes sans but lucratifs (OSBL), et plus particulièrement de fonds de dotations. Véritables outils de philanthropie, ils permettent de donner leur chance à des personnes en difficulté. Suivez François sur LinkedIn pour tout savoir sur la transmission d'entreprise et demander un accompagnement personnalisé. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, Jérémie Boublil et Lise-Aure Jourdain, avocats en droit social au sein du Cabinet Bignon Lebray, nous expliquent comment la crise sanitaire a bousculé les habitudes de travail au sein des entreprises. Lise-Aure et Jérémie interviennent pour les entreprises en conseil et en contentieux sur des sujets très divers : rédaction de contrats de travail, ruptures conventionnelles, quotidien des ressources humaines, transferts d'entreprises, prud'hommes. Membres du réseau Méritas, ils coopèrent également avec de nombreux professionnels du droit des entreprises à l'étranger. La négociation fait partie du quotidien du métier d'avocat. Lors d'un conflit entre un employeur et un salarié, il est souvent dans l'intérêt de chaque partie de trouver des solutions qui soient matière à satisfaire chacun. Le rôle des avocats de chaque camp est alors d'organiser une négociation en face à face avec les parties afin de créer un espace de parole libre et identifier des solutions personnalisées basées sur des rapports humains. Les questions liées au télétravail n'ont jamais été aussi importantes qu'aujourd'hui, à l'heure où elle s'inscrit durablement dans les contrats de travail et les accords d'entreprise. Néanmoins, il subsiste de véritables zones grises sur le plan juridique, notamment concernant les marges de manoeuvre d'un employeur confronté à un salarié ayant déménagé pendant la crise sanitaire et refuserait de retourner travailler en présentiel. Une situation rendue encore plus complexe lorsque ledit salarié en télétravail s'installe à l'étranger. Le télétravail pose par ailleurs la question du management à distance. Un impératif qui nécessite de mettre en place une culture du feedback ainsi que des règles claires pour limiter le surmenage des salariés. Aujourd'hui le visage du travail se transforme. L'activité partielle et le télétravail offre de nouvelles possibilités aux entreprises dans l'aménagement de leur parc immobilier. Il s'agit par exemple de transformer des locaux vides en espaces de coworking et de bien-être afin de réduire les risques psychosociaux des salariés. Suivez Jérémie et Lise-Aure sur LinkedIn pour tout savoir sur le nouveau visage du travail et leur demander un accompagnement personnalisé sur vos enjeux. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce premier épisode, Ondine Prévoteau, avocate en charge du droit immobilier au sein du cabinet Bignon Lebray, nous explique les subtilités des baux commerciaux. Des PME aux grands groupes, toutes les entreprises sont touchées par les questions immobilières, ne serait-ce que pour les locaux dans lesquels elles exercent leur activité. Le statut des baux commerciaux est strictement encadré par le Code de Commerce, et de nombreux éléments non repris dans les contrats vont néanmoins s’imposer aux parties. Qu'il s'agisse des modalités de renouvellement de bail ou de la répartition des charges et travaux de remise en état, il est crucial d'anticiper les réponses aux situations conflictuelles, dès la signature du contrat, pour éviter les mauvaises surprises à long terme. La crise sanitaire a également posé des questions inédites en la matière, notamment au sujet de l’exigibilité des loyers des entreprises pendant une période d'inactivité imposée par un événement de force majeure. A l'heure actuelle, l'absence de réponse juridique précise par les textes amène les tribunaux à statuer au cas par cas et les parties, face à l’aléa judiciaire, s’orientent beaucoup vers la négociation. Ondine recommande donc aux entreprises souhaitant louer un local de se faire accompagner avant la signature de tout contrat et de se faire conseiller dès les prémices d’une situation litigieuse. Son intervention, souvent accompagnée de celle d’autres professionnels tels que des experts en évaluation immobilière, experts comptables, ou huissiers apporte une vision claire des situations juridiques, et des réponses pragmatiques et adaptées afin de défendre au mieux les intérêts de ses clients. Suivez Ondine Prévoteau sur LinkedIn pour lui demander un accompagnement adapté à vos besoins. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce premier épisode, Ondine Prévoteau, avocate en charge du droit immobilier au sein du cabinet Bignon Lebray, nous explique les subtilités des baux commerciaux. Des PME aux grands groupes, toutes les entreprises sont touchées par les questions immobilières, ne serait-ce que pour les locaux dans lesquels elles exercent leur activité. Le statut des baux commerciaux est strictement encadré par le Code de Commerce, et de nombreux éléments non repris dans les contrats vont néanmoins s’imposer aux parties. Qu'il s'agisse des modalités de renouvellement de bail ou de la répartition des charges et travaux de remise en état, il est crucial d'anticiper les réponses aux situations conflictuelles, dès la signature du contrat, pour éviter les mauvaises surprises à long terme. La crise sanitaire a également posé des questions inédites en la matière, notamment au sujet de l’exigibilité des loyers des entreprises pendant une période d'inactivité imposée par un événement de force majeure. A l'heure actuelle, l'absence de réponse juridique précise par les textes amène les tribunaux à statuer au cas par cas et les parties, face à l’aléa judiciaire, s’orientent beaucoup vers la négociation. Ondine recommande donc aux entreprises souhaitant louer un local de se faire accompagner avant la signature de tout contrat et de se faire conseiller dès les prémices d’une situation litigieuse. Son intervention, souvent accompagnée de celle d’autres professionnels tels que des experts en évaluation immobilière, experts comptables, ou huissiers apporte une vision claire des situations juridiques, et des réponses pragmatiques et adaptées afin de défendre au mieux les intérêts de ses clients. Suivez Ondine Prévoteau sur LinkedIn pour lui demander un accompagnement adapté à vos besoins. Bonne écoute !
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