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Cash Out - les coulisses des exits en musique
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Cash Out - les coulisses des exits en musique

Author: FeuilleBlanche Studios

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Description

Le podcast de l'exit en musique.Vendre son entreprise, beaucoup y pensent, peu y sont réellement préparés.Pour des raisons autant professionnelles que personnelles, certains fondateurs décident à un moment de céder leurs entreprises, pas tous pour les mêmes raisons, ni dans les mêmes conditions.En se livrant sur les étapes clés de la cession de leurs entreprises, des premières négociations au jour où ils ne seront plus chez eux dans l’entreprise qu’ils ont créée, nos invités vous ouvrent les portes de cette étape cruciale et souvent taboue de la cession d’entreprise.Entre excitation et peur, clauses spécifiques, enjeux humains et financiers, plongez dans les coulisses de ces moments clés pour tout entrepreneur.Dans un échange rythmé par deux entrepreneurs qui côtoient depuis plus de quinze ans l’écosystème startups et M&A, les entrepreneurs révèleront leur vision, leur ressenti et leur point de vue et se livreront sur leur vie d’après.

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74 Episodes
Reverse
Qui oserait entrer dans les bureaux d’une société new yorkaise sans avoir rendez-vous et demander à parler au patron ? Qui demanderait aux autorités financières de créer un nouvel agrément pour pouvoir développer sa boîte ? Qui tenterait de convaincre le salarié d’un partenaire européen pour qu’il développe la filiale d’une entreprise américaine au Danemark ? Tous ces moments ont jalonné l’histoire éclaire de Cambiste, société facilitant l’investissement sur le marché des devises, rachetée deux ans seulement après sa création par la banque danoise Saxo Bank.Une chose est sûre, son fondateur, Pierre-Antoine Dusoulier, ne manque ni de culot, ni d’idées !Au cours de cet épisode, l’entrepreneur évoque également :ses tentatives avortées de créer un Dashlane et un Qonto,l’art de faire une “bonne” acquisition,les rôles de Jean de la Rochebrochard et Xavier Niel dans la création de sa deuxième société, IBanFirst…À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si on vous donnait les commandes pour composer votre propre équipe de foot, qui choisiriez-vous ? Mbappé ? Dembélé ? Lacazette ? C’est ce que Mon Petit Pazon propose avec son jeu de Fantasy football. Adopté par 4 millions de fans, le concept a aussi tapé dans l'œil de la Ligue de Football Professionnel, d’abord pour des questions juridiques puis, quelques années plus tard, dans l’optique d’un rachat !Un peu “pirate” à ses débuts, la société a aussi connue un contentieux avec l'Équipe qui lui a finalement permis de franchir un nouveau cap en créant son propre algorithme de notation. Imaginé comme un projet perso entre trois amis, rien ne prédestinait Mon Petit Gazon à devenir une société, ni à être revendue. Son rachat, en 2022, est un pari, autant pour les trois associés que pour la Ligue et le fonds CVC.Dans cet épisode, Martin Jaglin raconte :l’équation qu’ils ont imaginé pour choisir leur acquéreur final,la campagne de crowdfunding qui a tout changé,la partie de foot qu’ils doivent à Martin Solveig mais aussi,ce fameux jeu dans le Web3 qui leur trotte dans la tête…À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À 23 ans, Louis Debouzy sait ce qu’il veut. Il rêve de créer un centre de santé capable de répondre à l’ensemble des besoins des personnes très dépendantes - des soins infirmiers à la commande de repas en passant par l’achat de matériel médical. Il s’agit DU projet de sa vie. Et la première pierre de ce futur édifice n’est autre qu’Amabilis, une société d’aide à domicile spécialisée dans l’accompagnement de personnes très dépendantes. Sûr de sa vision et un brin arrogant, il n’hésite pas à provoquer un peu la concurrence. Une attitude qui révèle surtout un besoin : se créer des ennemis pour libérer sa combativité. Cela ne l’empêchera pas de faire sa place dans ce milieu très concurrentiel et lui permettra même de rencontrer celui qui deviendra son futur acquéreur. Dès les premières années, il reçoit et refuse plusieurs propositions d’achat. Sept ans plus tard, il finit pourtant par organiser lui-même la vente de sa société. Un choix difficile qui laisse encore planer un doute dans son coeur et son esprit. Louis Debouzy se livre sur les raisons de sa cession, la peur du jugement des autres mais aussi la difficulté d’entreprendre seul. Il interroge aussi l’existence de cette fameuse quête de sens et évoque le vide et la perte d’identité que l’on peut ressentir post-cession. Sa casquette d’entrepreneur n’était apparemment pas bien loin… En exclusivité, il nous dévoile les deux prochaines sociétés qu’ils développent... Et qui n’ont rien à voir avec le paramédical !À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec 90 % de croissance contre 30% pour ses concurrents en pleine pandémie, l’agence d'intérim QAPA arrive très vite dans le radar de ses concurrents. Leur intérêt tombe à pic pour l’agence en quête de cash pour financer sa croissance.Un board plus tard, la machine est lancée ! Débutées en janvier, les discussions s’intensifient avec Adecco. C'est Laurent Delaporte qui entre dans l’arène pour négocier l’avenir de QAPA, promouvoir ses effectifs et son produit pendant que Stéphanie Delestre, la fondatrice historique, s’assure du bon développement de l’entreprise. S’engage un jeu d’équilibriste où tous les mots ont un poids qui peut être décisif.Huit mois de négociations plus tard, QAPA est finalement cédé à Adecco. Le signing du deal, lui, présage déjà d’une suite en dents de scie. Laurent Delaporte et Stéphanie doivent assurer la transmission pendant 2 ans avec un earn out à la clé de 30%.Mais rapidement, le navire tangue… Intégrer un grand groupe peut s'avérer complexe. Des luttes internes se jouent et questionnent les ambitions de QAPA et de ses dirigeants. Un nouveau round de discussions s’engage et Adecco, “bon repreneur” accepte de laisser partir les deux anciens dirigeants sans remettre en cause le earn out prévu. Pour Laurent Delaporte c’est le début d’une nouvelle vie où la transmission a pris le pas sur la gestion d’entreprise !À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Je suis pas Zuckerberg, je fais pas partie de la grande noblesse entrepreneuriale qui crée des licornes. »Pourtant, notre invité, l’entrepreneuriat, il l’a dans le sang. Issu d’une famille d’entrepreneur viticole, Henri de Lorgeril, grandit entouré de modèles de “bosseurs” qui ont fait renaitre de ses cendres la maison familiale de 1620.Alors de la bouteille, il en a. En 2019, Henri cofonde Avizio aux côtés de Maxime Cohendet, dans un premier temps, il se présente comme un service de peer assessment avant de pivoter pour devenir un cabinet de chasseurs de tête par cooptation pour les startups et entreprises à forte croissance.À notre micro, Henri revient sur :le lancement des speedboats pour élargir l’offre et multiplier la croissance d’Aviziola période difficile des négociations qui l’ont presque découragé de vendrela transmission culturelle familialele stress lié à l’annonce aux équipesPour ce qui est de la suite, comme pour le vin, Henri se laisse encore quelques années chez Avizio pour se bonifier avant de reprendre l’entreprise familiale et boucler la boucle.Dans cet épisode, on évoque Vincent Klingbeil, Edwina Bassil, Bernard Olivier Becker, Asphalte, PongoPour ce flashback, Henri a choisi d’être accompagné par :Itinéraire d'un enfant gâté, BO du filmPiany Pianino, ThylacineLove Yourself, EminemÇa se voit, JacquesLiberation, Harold von LennepTailler la route, Grand Corps Malade - Ben Mazué - Gael FayeStone - 2THÀ vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Du dating, à la finance en passant par les médias et le voyage : écrire que Réda Berrehili est un touche-à-tout est une lapalissade. Le trentenaire semble être né pour être entrepreneur. Il a le culot propre aux audacieux. Il a le verbe des ambitieux.  À 11 ans, il codait un site internet sur les Pokémon. Quand il a dû liquider une entreprise puis quitter son appartement pour aller vivre sur le canapé de sa sœur, son premier réflexe a été de monter une nouvelle société. “One shot, one opportunity représente l'entrepreneur que je suis”. À l’image de son aventure chez Squarebreak, devenue Onefinestay, qui se terminera par une cession en 2017 au groupe Accor pour un montant compris entre 20 et 30 millions d’euros, alors que la startup arrive à court de cash.Avec sincérité, Réda Berrehili raconte, par le menu, une cession particulière, avec une stratégie de grand groupe dont il ne maîtrise pas les choix. S’en suivra une période faite d’incompréhensions, de tensions et de prise de conscience de ses propres limites dans le management d’équipe. Pas de quoi arrêter cet épicurien qui est déjà passé à autre chose. Avide de comprendre le monde qui l’entoure, il a désormais en tête de dessiner le futur de la banque privée autour de la technologie blockchain avec la startup Klub. Rendez-vous au prochain épisode.Dans cet épisode, on cite Nadia Larguet, Moovjee, Frédéric Montagnon, 212 founders, Tranché !, Javier Cedillo-Espin, Hugues van Heesewijk, Maxime Lesaulnier, Accor, Sébastien Bazin, David ToutainPour ce flashback, Réda a choisi d’être accompagné par :Lose yourself - EminemMoney for nothing - Dire StraitsPNL - Deux frèresFor a few dollars more - Ennio MorriconeCes gens-là - Jacques BrelOn my knees - Rüfüs Du SolThe Next Epiosde - Dr DreÀ vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce sont des larmes qui ont coulé sur les joues de Jonathan Buttigieg le jour de la vente de son entreprise. Comme un aboutissement. Un soulagement. Deux ans après, à l'évocation de la cession de WP Media à group.One, pour un montant compris entre 25 et 75 millions d’euros, il ne peut s’empêcher d'ailleurs d’être rattrapé par les émotions. Il faut dire que rien ne prédestinait ce natif de la région lyonnaise à devenir un entrepreneur à succès. Il sort complètement des modèles habituels. Pas d’études supérieures. Pas de réseau. Pas d'amis entrepreneurs. Il est parti de zéro. Issu d’une famille modeste, il a dû renoncer à deux de ses rêves d’enfance en raison de l’argent. Un papa tombé dans la drogue, une mère qui sacrifie tout pour ses enfants…  Le bagage familial est lourd à trimballer. Ce seront ses carburants pour avancer. Il se fixe un objectif : à 35 ans, il sera indépendant financièrement.C’est ce voyage riche en émotions que vous propose Jonathan Buttigieg. Laissez-vous guider par un entrepreneur qui parle librement de ses blessures personnelles. Évidemment, la cession de l’éditeur de logiciel ne sera pas un long fleuve tranquille. Cela aurait été trop simple pour réussir, cette fois-ci, à aller jusqu’au bout de son rêve.À vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si le succès économique de Marco Vasco, vendu en 2017 entre 50 et 100 millions d’euros au Groupe Figaro, était né sur un banc de Shanghai, à 5 h du matin, une nuit de 2007 ? En écoutant son fondateur Geoffroy de Becdelièvre raconter les 11 ans d’histoire de l’entreprise jusqu’à la cession, on peut le penser. Ce fameux pivot cher à la tech a été le déclencheur d’un business florissant, jusqu’à atteindre plus de 60 millions d’euros de chiffre d’affaires allié à une rentabilité à faire pâlir tous les entrepreneurs de startups.L’aventure entrepreneuriale de Geoffroy de Becdelièvre est aussi une manière de prouver que l'intuition a parfois du bon et qu’elle vaut toutes les études de marché. Sentant une inflation des coûts d’acquisition en ligne, il développe un spécialiste du voyage sur mesure sur internet avec un puissant référencement naturel. Évidemment, l'histoire est trop belle pour ne pas attirer les regards. La mariée est belle. Après une levée en secondaire lui assurant déjà un peu de cash, il est temps de franchir le pas et de vendre Marco Vasco. C’est cette plongée dans la cession de son entreprise, dans les détails des 3 offres reçues et dans la vie d’après, empreinte de liberté de décision, que Geoffroy de Becdelièvre vous embarque. Bonne écoute !Dans cet épisode, on cite GP Bullhound, Guillaume Bonneton, Cambon, Laurent Azout, Charles Letourneur, David Amsellem, Nicolas Bazin, Marc Feuillée, TooGoodToGoPour ce flashback, Geoffroy a choisi d’être accompagné par :Sweet Dreams (Are Made of This) - Annie Lennox, Dave Stewart et EurythmicsL’aventurier - IndochineJames Blunt - You’re beautiful Publicité Loto - Au-revoir présidentWonderful Life - Katie MeluaRiders on the Strom - Jim Morrison and The DoorsÀ vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Est-ce que si j’avais connu la fin, je me serais quand même lancé dans l’aventure ?" Pour Yannick Socquet, peut-être pas.Flashback : il reprend en 2012 Brioude Internet avec son père, avant de la revendre 9 ans plus tard à Big Success. Entre les deux : les montagnes russes.Difficulté financière, problèmes sociaux, licenciements : l’entrepreneur commence à culpabiliser. Est-ce qu’il n’aurait pas entrainé sa famille dans une galère ?2021 : la Lune de Miel.Après avoir redressé la boîte, son père et lui revendent Brioude Internet à Big Success, pour un projet ambitieux dans lequel ils se projettent.Ensuite, la désillusion.Il y a toujours deux versions d’une même histoire. Pour Yannick, très vite la frustration grandit, mois après mois, avec le sentiment que ses nouveaux associés ne lui accordent à lui et à son entreprise pas l’importance qu’ils méritent au sein du groupe.Perte énergie et perte d’envie, le départ est imminent.Jusqu’au bout, les négociations seront âpres, et le rachat de ses actions incertain.On vous laisse découvrir cet épisode riche en émotions et rebondissements.Pour ce flashback, Yannick a choisi d’être accompagné par :Gerry & The Pacemakers - You'll Never Walk AloneNeg Marron - Le BilanGrand Corps Malade - Les Voyages En TrainJean-Jacques Goldman - Quand tu dansesNaps - La kiffanceRueda - Champions League AnthemÀ vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sentiment d’être en garde à vue entrepreneuriale au moment de céder sa boite au tribunal de commerce côté pile.Le sentiment, quelques années plus tard, de n’avoir jamais été aussi aligné au moment de céder Digital Native Group à Eleven pour plusieurs millions d’euros, côté face.- Finalement, tu as réussi !- Non, c’est un partout, balle au centre.C’est l’histoire d’un entrepreneur à toute épreuve, passé par un “échec profond” dont il a fallu se relever, mentalement, financièrement et qui va se relancer en créant l’une des plus belles agences de stratégie en France sur le DtoC, ou Direct to Consumer. L'histoire de Vincent Redrado commence dans les paillettes d’une levée de fonds auprès des plus grands acteurs de la tech française avec les retombées médias, les conférences, et l’égo qui va avec. “Je n’y suis pas allé pour les bonnes raisons” explique-t-il avec le recul de celui qui a pris le temps de comprendre ce qu’il avait accompli et ce qu’il avait raté dans sa première aventure entrepreneuriale. Une aventure qui s’est terminée dans la douleur, la solitude et les doutes à la barre du tribunal de commerce. Une conclusion menée proprement, même si rien ne l’y obligeait. Quand on est entrepreneur, ou en école de commerce, personne ne vous prépare à ça, aux milliers de documents à fournir, à la faute de gestion potentielle ou supposée, au dépôt de bilan, à cleaner une boite pour la fermer ou la revendre à la barre du tribunal. Personne ne vous prépare non plus à tout un écosystème et des entrepreneurs qui du jour au lendemain ne vous appellent plus.Il revient donc de loin, mon invité sur Cash out, quand il raconte la construction de son groupe et sa cession à Eleven.Trois contacts via Linkedin pour 3 offres de rachats, le tout en seulement trois ans d’activité.👉 Qu’est-ce qui a fait pencher le cœur de Vincent vers l’offre Eleven ?👉 Comment l’appel à ses amis d’enfance a été clé ?👉 Comment a-t-il mené les négociations ?👉 Comment projette-t-il l’avenir de son groupe au sein de cette nouvelle gouvernance ?👉 Et lui, comment se projette-t-il comme associé ?Spoiler : Vincent est un auditeur régulier de Cash out, et ce qu’il a retenu des précédents épisodes, c'est qu’un signing sur Docusign ou Yousign, c’est trop fade pour un tel moment de vie.Résultat ? Malgré une signature électronique pour valider la cession, il a réuni autour d’une table associés, avocats et conseils. Une façon sûrement de rendre réel ce que nous ne pouvons que considérer, même s'il ne le reconnait pas encore, comme une réussite.Bravo l’ami !Dans cet épisode, on cite Benjamin Huteau, Samuel Guez, Olivier Mathiot, Pierre Kosciusko-Morizet, Ambroise Huret, Corinne Lejbowicz, Yoann HébertPour ce flashback, Vincent a choisi d’être accompagné par :Starálfur - Sigur RósA Sky Full of Stars - ColdplayEverything in Its Right Place - RadioheadGame of Thrones - Ramin DjawadiChasing Cars - Snow PatrolAn End Has a Start - EditorsIt’s ok - Tom RosenthalA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De la crise financière à la crise sanitaire : c’est le voyage entrepreneurial de Yann Rivoallan, co-fondateur avec Candice Delorme et David Sobel, de The Other Store, rebaptisée The OZ entre-temps. Créée en 2008, l’entreprise, qui accompagne les marques dans leur activité e-commerce et dans leurs ventes omnicanal, a été cédée en 2022 au Groupe Hopps pour un montant compris entre 10 et 20 millions d’euros.The Other Store est née avec l’explosion des réseaux sociaux et l'apparition des pages Facebook qui allaient complètement révolutionner la relation des consommateurs avec les marques et les revendeurs. Après des hauts et des bas, la plateforme a bénéficié des confinements du Covid pour croître fortement. Une période qui a aussi été révélatrice pour Yann Rivoallan : il veut faire autre chose. Toujours actionnaire, mais plus opérationnel. L’ex-DGl suivra d’un peu plus loin qu’imaginé la vente de l’entreprise. Avec ses avantages et ses inconvénients. Pour raconter cette histoire, Yann Rivoallan convoque le stoïcisme, mais pas que. Cet épisode prouve une fois de plus que l’émotion emporte parfois tout sur son passage, aussi pragmatique et détaché que tout entrepreneur puisse essayer d’être.Dans cet épisode, on cite Candice Delorme, David Sobel, Thibaut Sailly, Frédéric Biousse, Sandrine Lilienfeld, Bruno Médina, Isabelle de Baillenx, Frédéric Pons, Jean-Paul VillotPour ce flashback, Yann a choisi d’être accompagné par :You Can't Always Get What You Want - The Rolling StonesL'Odyssée de l'espace - Stanley KubrickFashion - Lady GagaNocturnes, Opus 9 - ChopinOrelsan - La quêteJump - Kris KrossÀ vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a bientôt 20 ans, en 2004, Augustin Paluel-Marmont et Michel de Rovira, deux amis d'enfance, choisissent leurs prénoms pour baptiser leur entreprise de biscuits gourmands, confectionnés au départ dans une cuisine et avec l’aide quelques amis boulangers. Du porte-à-porte des débuts dans le 18eme arrondissement de Paris à la distribution dans des milliers de cafés Starbucks aux Etats-Unis, la petite PME de copains est devenue une marque incontournable des supermarchés et épiceries, avec ses yaourts à boire, ses gâteaux apéritifs, ses crèmes desserts et autres infusions.En 2019, les deux entrepreneurs ont définitivement laissé les commandes de leur entreprise au géant français Danone, pour plus de 100 millions d’euros. Au micro de Cash Out, Augustin Paluel-Marmont revient pendant 90 minutes sur cette cession, la préparation indispensable et les anecdotes qui ont émaillé ces mois de négociations. Mais il dresse surtout une histoire entrepreneuriale unique, née dans un carnet de notes au cours d’une randonnée dans les Cévennes. En écoutant cet échange, vous comprendrez mieux pourquoi Michel et Augustin est devenu un cas d’école dans les écoles de commerce et ce qui motive son co-fondateur, qui fourmille d’idées pour la suite.Dans cet épisode, on cite David Hoppenot, Mako Moulages, Ambroise Huret, Eric Toulemonde, Raphaël Du Vignau, Artemis, François Pinault, Patricia Barbizet, Alban Gréget, Alexandre Guillou, Emmanuel Faber, Charlotte et Hassan, Howard Schultz, Laurent Marcel, Blanche de Noyelle AvramescoPour ce flashback, Augustin a choisi d’être accompagné par :Trois Cafés Gourmands - À nos souvenirsManu Chao - Me gustas tuMoi Lolita - Julien DoréJamboree - Changer le mondeN’to Trauma - Joachim PastorÀ vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est une évidence, mais qui mérite d’être rappelée à chaque fois : une cession n’est pas toujours un long fleuve tranquille. L'histoire de Julien Coulon en est une énième preuve. Côté pile, le co-fondateur de Cedexis a cédé son entreprise pour plus de 100 millions d’euros, huit ans après sa création. A priori, c’est ce qu’on appelle une réussite. Mais côté face, l’entrepreneur ne pourra pas oublier un processus long, difficile, voire douloureux.De levée de fonds en approches de rachats, de divergences de vues stratégiques en conflits financiers ouverts, Julien Coulon raconte au micro de Cash Out les coulisses d’une signature à laquelle il a été exclu. Jusqu’au bout, même loin de tout, il a ressenti de la déception et de la trahison. Plongez dans un épisode rocambolesque qui confirme qu’être accompagné par un avocat dans la rédaction d’un pacte d’associés peut vous éviter bien des surprises, dans les bons comme dans les mauvais moments.Devenu lui-même investisseur, Julien Coulon s’évertue désormais à accompagner des entrepreneurs en prodiguant des conseils qu’il aurait adorés recevoir à l’époque…Dans cet épisode, on cite Marty Kagan, Yves Rocher, AWS, Madrona, Samsung, Foxconn, Nokia, Content Square, Microsoft, Richard Menneveux, AB Tasty, Planity, Axeptio, Alain BenistPour ce flashback, Julien a choisi d’être accompagné par :Sinnerman - Nina SimoneChan Chan - Buena Vista Social ClubLenny Kravitz - Are You Gonna GO My WayErik Sati - Gymnopédies 1The Korgis - Everybody's Got To Learn SometimeConquest of Paradise - VangelisDaft Punk - Get LuckyÀ vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plus de 30 millions d’euros. C’est la somme déboursée par l’entreprise allemande CoachHub pour racheter MoovOne, une solution française de coaching en ligne, en 2021, à deux frères trentenaires, ou à peine. Revenir sur cette vente, c’est s’arrêter sur une aventure familiale. Celle d’Hugo et Axel Manoukian, mais aussi de leur père Alain, ancien coach de son état. Pour Cash Out, Hugo Manoukian revient sur les ressorts de leur association fraternelle efficace, même si elle n’a pas été exempte de difficultés.En 7 ans, ils ont bâti une entreprise de 80 salariés, construit un réseau de 500 coachs d’entreprise partenaires et réalisé plus de 10 millions d’euros de revenus récurrents annuels. Comment ? En convainquant la majorité du CAC 40 d’abandonner les programmes d’e-learning pour basculer vers leur plateforme d’e-coaching. Le tout sans lever de fonds. Un exemple de bootstrapping qui ferait pâlir d’envie de nombreux entrepreneurs biberonnés aux tours de table.Venez écouter l'histoire des “frères Manouk” racontée par l’aîné Hugo où l’accomplissement professionnel est indissociable des émotions ressenties avant, pendant et après la vente.Dans cet épisode, on cite Marc Oiknine, Alpha Capital, Axel Manoukian, Village by CA, Matt Schmid …Pour ce flashback, Hugo a choisi d’être accompagné par :Ain’t no mountain high enough - Marvin Gaye et Tammi TerrellSpace oddity - David BowieSurvivor - Destiny’s ChildTailler la route - Grand Corps Malade, Ben Mazué et Gaël FayeOne More Time - Daft PunkIl est où le bonheur - Christophe MaéBest Life - Naps feat Gim’sA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À 28 ans, Ulric Musset est un entrepreneur compulsif. A 12 ans, il code une plateforme pour que les écrivains partagent leurs écrits avec les lecteurs; à 15 ans, un jeu vidéo; à 18 ans, une solution baptisée SaveSMS; à 19 ans, un Tinder de la mode. Au micro de Cash Out, il revient sur ce parcours jusqu’à co-créer Vauban en 2018. Cette startup, qui facilite l'administration des fonds d'investissement dans les startups les plus prometteuses, a été rachetée en entre 70 et 150 millions d’euros par l’Américain Carta en 2022. Cette vente a été plus qu’une simple transaction. Ce fut un rocambolesque voyage. A l’issue de six mois d’un processus de levée de fonds éreintant, les deux fondateurs trouvent un accord avec un investisseur qui va dépenser 25 millions de dollars pour entrer au capital. Mais à une semaine de conclure le deal, ils sont démarchés par Carta. Démarre alors un trajet intense de trois mois entre renoncement, due diligence express, séjour américain, fête déguisée… le tout avec Google en toile de fond. Ceci n’est pas un Kamoulox. Ulric Musset vous explique tout cela en détail, avec de nombreuses anecdotes et beaucoup de sourires. Dans cet épisode, on cite Ludovic Huraux, Rémy Astié, Cyril Pluche, Henry Ward.Pour ce flashback, Ulric a choisi d’être accompagné par :Le Bon, la Brute et le Truand - Ennio MorriconeCon Te Partirò - Andrea Bocelli“Hard work, that's what they say” : Hardwork - U.S. Drill Sergeant Field RecordingsDrums of drakar - AmoeBacrewConquest of Paradise - VangelisSend me a postcard - Shocking BlueA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avant de basculer dans une vie d’auteur, de scénariste et de producteur, Alexandre Pachulski a été un entrepreneur avisé, co-fondateur de Talentsoft, un éditeur de logiciel RH, cédé à Cegid en 2021 pour un montant évalué entre 500 millions et un milliard d'euros. Il a composé pendant 15 ans un trio très complémentaire avec Jean-Stéphane Arcis et Joël Bentolila, capable d’imposer des nouveaux standards de gestion numérique des ressources humaines, à une époque où l’écosystème tech en France n’en était qu’à ses balbutiements. Ce chemin les a conduit à faire de Talentsoft une entreprise concurrente de géants mondiaux comme SAP ou Oracle.Au micro de Cash Out, Alexandre Pachulski détaille le chemin professionnel mais aussi personnel vers cette cession rapide et sans réelles anicroches. Accompagné par des musiques finement choisies, le cinéphile et mélomane ne cache pas les profondes émotions et doutes qui l’ont traversés au moment de signer la vente. On vous laisse découvrir un récit mêlant business, entrepreneuriat, envies, rêves, et même un peu de mélancolie au moment de dire au-revoir à ses équipes et de basculer dans sa nouvelle vie. Pour y écrire un remake ? On vous laisse le découvrir. Dans cet épisode, on cite Jean-Stéphane Arcis, Joël Bentolila, U2, Marc Bienhoff, Steve Jobs, Seventure Partners, Highland, Goldman Sachs, Michel Gondry, Snapchat…Pour ce flashback, Alexandre a choisi d’être accompagné par :Jigsaw Falling into Place - RadioheadEverybody's Got to Learn Sometime - Beck HansenThe Barn - Family Of The YearNicholas Britell - Bande originale de la série SuccessionJe suis venu te dire que je m’en vais - Serge GainsbourgLe premier jour du reste de ta vie - Etienne DahoBill Conti - Gonna Fly Now (B.O de Rocky) A vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec le cash out de Julien Adam, oubliez le cérémonial habituel d'une cession à plusieurs millions d’euros. Mais si, vous savez, celui avec une dizaine de personnes autour d’une table et des heures à signer 50 à 100 pages. Non, dans son cas, le contrat de vente se résume à trois pages et trois minutes. Il faut dire que cette opération revêt un caractère particulier. Alors que l’entrepreneur avait revendu sa première entreprise au groupe Figaro en 2014, c’est à son associé et ami d’enfance qu’il cède cette fois ses parts dans le réseau de magasins de produits bio frais, Au bout du champ… L’accord est rapide. Ils se connaissent par cœur. Ils ont une totale confiance l’un envers l’autre. Malgré tout, Julien Adam va être traversé par le doute, des mois après l’opération.  En vacances à des milliers de kilomètres de la France, tout d’un coup, il cogite… On vous laisse découvrir l'histoire complète dans cet épisode dans lequel vous apprendrez également le nom de la nouvelle aventure de l’entrepreneur qui n'aime jamais autant créer plutôt que développer un projet des années durant. Après l’éducation, l’alimentation, place au coaching managérial.Dans cet épisode, on cite Joseph Petit, François Morin, Philippe Piedlievre, Nicolas Lombard, Adrien Ledoux, Aurélie Valence Chazalon, Oh la Vache !, KayrosPour ce flashback, Julien a choisi d’être accompagné par :Earth, Wind & Fire - Boogie WonderlandLa gozadera, Raya RealLes copains d'abord - Georges BrassensLa valse à mille-temps - Jacques BrelThe Beach Boys - Surfin' USABack in Black - AC/DCBlack Eyed Peas - Don’t stop the partyA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Le signing, c’était un non événement.”Et pourtant.Et pourtant, Victor Wacrenier en a vu des choses lunaires lors du process de cession d’AppScho.Flash back :Il quitte la fintech et N26 direction l’Edtech avec un objectif : digitaliser la vie des étudiants en proposant aux écoles et universités de concevoir leur application sur-mesure, un campus de poche en quelque sorte.En 2019, Victor et son associé Antoine Popineau sont approchés par deux de leurs concurrents en l’espace d’une semaine. L’offre de Ready Education, un acteur américain retient leur attention. LOE, négociations et due diligence se succèdent. “C’est la meilleure période de ma vie, je fais de la data 14h par jour”. Une aubaine pour ce fan d’Excel. Mais ça, c’était sans compter sur la pandémie et sur les VCs qui refusent de signer à ce prix là. Victor doit faire le deuil de ce deal.Déstabilisé par l’arrêt du monde, il continue d’aller au bureau tous les jours et sur les conseils de son banquier d’affaire, Mathieu Daouphars, il continue d’échanger avec le CEO de Ready Education toutes les semaines.Stratégie payante. Après la réouverture des campus, AppScho explose et alors que la startup s’apprête à faire un bridge, les investisseurs de Ready Education reviennent à la charge. Cette fois-ci c’est la bonne. C’est le retour de la “due dil”, Victor est ravi : “ c’est la deuxième meilleure période de ma vie” avec des tableaux Excel à profusion. Oh joie !Tout se passe comme sur des roulettes, à 2 VCs près.Alors que les américains sont en route pour signer le deal, les VCs commencent une guerre à l’euro près en arguant que le prix de vente ne leur convient pas.Plot twist, la cession à lieu et Victor sera projeté Head of Operation de Ready Education, avec pour mission de réussir le build-up et de multiplier d’ARR par 10. Prépare toi Excel, Victor revient en force !Une énergie débordante, un franc parler et une playlist qui dépote, Victor ne rentre pas dans les cases. Sorry Excel.Pour ce flashback, Victor à choisi d’être accompagné par :Brutality Will Prevail - Forever RestlessSlayer - South of HeavenChildish Gambino - This is AmericaTurbonegro - Prince of the RodeoInfant Annihilator - NecropocalypseThe Mars Volta - Cygnus...Vismund CygnusHalford - ResurrectionDans cet épisode, on cite :TechFrance, cofondé par VictorGuillaume Ledoux, son avocatA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
S’il a vendu Spotless pour près d’un milliard, “c’est de la chance”!Pierre le Tanneur en est convaincu. Et pourtant…à l’écouter, si la vie a placé sur sa route d’heureux hasards, des signes du destin, c’est plus que de chance dont il est question quand on se penche sur le récit du succès de Spotless.Si vous ne connaissez pas Spotless, vous connaissez forcément l’une de ses marques : Eau Ecarlate, Catch, etc.Flash back, bien avant les débuts du Groupe. Sans que ce soit formellement dit, Pierre le Tanneur est destiné à reprendre un jour les rênes de l’entreprise familiale : les lessives Saint Marc. Pourtant, en 1985, son père vendra l’entreprise à Alfred Bonnie, Président de Reckitt. Celui-ci en est certain, c’est Pierre qui reprendra un jour cette place.Elipse. A l’enterrement de son père, un cousin lui glissera un papier dans la poche de sa veste de costume. Un papier qu’il ne ressortira que plus tard à un autre enterrement, celui de la mère de ce même cousin. Sur ce papier, un numéro qui le conduira à s’intéresser au LBO de la marque Eau Ecarlate, détenue par le fameux Alfred Bonnie, celui qui avait repris l’entreprise de son père. Et celui-ci sera formel, seul Pierre peut reprendre l’entreprise. Il baissera même le prix de vente pour mettre toutes “les chances” pour faire pencher la balance.5 LBO, 240 covenants passés, 1 Management Buy In : l'épopée de l’entreprise ne se résume pas qu’aux chiffres. Le groupe devient Spotless pour appuyer ses ambitions internationales. En 4 ans, le groupe passe de 90 millions à 240 millions de chiffre d’affaires.« Ça aurait pu être une jolie histoire, mais là c’est devenu une histoire spectaculaire. »Pour Pierre, il faut penser à la sortie. Et ce qu’il va mettre en place est une leçon de cession pour tout entrepreneur, jusqu’aux dirigeants les plus aguerris.La première question est évidente : “qui peut acheter Spotless ?”.Dans le monde, ils sont précisément dix.Alors, pendant deux ans, Pierre et ses collaborateurs mettent en place toutes les pièces du puzzle :Tour de piste des acquéreurs potentiels, sous prétexte de partenariats, bien que l’intention soit évidente. Bien vu !Passer d’une direction par marque à un Comex Groupe. Pas bête !Intégration d’une seule et même norme comptable pour faciliter le rachat. Smart !Passage des systèmes d’informations vers ceux de l’acquéreur le plus probable. Très smart !Sollicitation d’un cabinet d’audit pour préparer des dossiers pour chaque acquéreur potentiel pour illustrer les intérêts stratégiques et financiers d’un possible rachat de Spotless, marque par marque, segment de marché par segment de marché. Très très smart !Et ça va payer. 940 millions d’euros pour être exact. En dollars, on dépasse bien le milliard. Et ce sera donc Henkel, le spécialiste allemand des produits d’entretien ménager.Très vite, Pierre sera sollicité par des fonds d’investissements. Il va suivre différents projets pendant deux ans, avant de créer son propre fonds d’investissement avec deux associés, Momentum.Provoqués ou bien accueillis, les moments sont la clé de succès dans la vie d’un entrepreneur, qu’on croit à la chance, ou non.Merci à notre ancien invité, Jérémy Bendayan, d’avoir provoqué ce moment, qu’on vous fait vivre en musique avec :Wonderful Like - Katie MeluaLucky - Kat EdmonsonMain Title - Carlos Rafael Rivera - The Queen’s GambitAlone again - Diana KrallA pretty love song - Isabella RosselliniLovely day - Stacey KentA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De GO (gentil organisateur) au Club Med à la direction des BigBoss, le chemin parcouru depuis 25 ans par Hervé Bloch s’étire autour d’un fil rouge : travailler dans la bonne humeur. Avec Digilinx, l’entrepreneur a fait de sa bonhomie naturelle et de sa capacité à créer des rencontres d’affaires un business florissant. A tel point qu’il a revendu son entreprise entre 10 et 20 millions d’euros à European Digital Group, soutenu financièrement par le fonds de private equity Montefiore Investment. Mais cette brillante issue, un an après une vente avortée à cause de son ex-femme, ne saurait cacher un chemin semé d’embûches. En écoutant cet épisode, vous découvrirez un personnage chaleureux et enthousiaste, jamais avare de name dropping - on ne se refait pas pour celui qui revendique 30 000 contacts sur LinkedIn - qui a le doux rêve d’entreprendre avec ses deux filles, encore adolescentes.Ce conteur d’histoires, au réseau professionnel, n’est pas avare d’anecdotes et de conseils précieux, sur les motivations pour entreprendre, l’idée, le développement ou la négociation. Laissez-vous embarquer dans cet épisode très riche, qui ne manque ni de sel ni de soleil.Dans cet épisode, on cite Vincent Klingbeil, Eric Bismuth, European Digital Group, Montefiore Investment, AB Tasty, Jeremy Bendayan, Yariv Abehsera, TravelSki, Jacques-Antoine Granjon, ADM Value, Tessi, Dzeta Conseil, Benjamin Garçon, Noémie de Galembert, Olivier Goy, Raphaël de Boishéraud, Renaud Simard, Gilbert Trigano,Pour ce flashback, Hervé a choisi d’être accompagné par :Les sunlights des Tropiques - Gilbert MontagnéFever - DuaLipa, AngèleMon fils ma bataille - Daniel BalavoineEnvole-moi - Jean-Jacques GoldmanUne belle histoire - Michel FugainFreed From Desire - GalaA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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