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Histoires d'Entreprises
Author: Martin Videlaine
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© Martin Videlaine
Description
Comprendre ce qui a fait grandir les sociétés dans le temps long pour mieux les faire grandir demain, c’est tout l’enjeu d’Histoires d’Entreprises.
Un podcast sponsorisé par BlueBirds.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
113 Episodes
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Bonjour à tous,Très heureux de participer aujourd’hui au Podcasthon organisé par Altruwe.C’est l’occasion de vous faire découvrir une association que m’a recommandée mon associée Siham Sentissi : El Baraka Angels au Maroc. Je ne me risquerai pas à traduire précisément El Baraka, mais même en Français, tout le monde comprend « avoir la baraka ». Voilà une expression arabe qui a infusé dans notre langage.El Baraka Angels a été lancée par une femme aussi discrète que remarquable : Selwa Zine.En l’écoutant, je me suis rappelé cet épisode avec le Groupe SOS et Nicolas Froissard qui veut rendre le monde plus chouette. Ces deux-là s’entendraient bien. Nicolas répète à l’envie qu’il faut nommer nos héros.Selwa est une héroïne. Ecoutez-la. C’est sans fioritures, droit au but, mais surtout, c’est beauPour me faire part de vos commentaires ou faire des suggestions d’invités, c’est par ici : LinkedIn/MartinVidelaine Un podcast co-réalisé avec Siham Sentissi. Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je suis reçu par Paul Jeannest, co-fondateur et CEO de RaiseLab.RaiseLab est un objet particulier né il y a peu mais qui a mûri pendant plusieurs années avant de naître véritablement. La société tente de répondre à une question en apparence simple : « Comment faire collaborer les grands groupes et les start-ups ? » La question est simple, la réponse l’est moins. Si vous connaissez les deux univers, vous savez à quel point ces mondes sont différents. Ils sont différents au point parfois de ne pas se comprendre. Pourtant, ils ont besoin l’un de l’autre ces deux mondes. Le premier pour avoir accès plus vite à des innovations auxquelles ils n’auraient parfois même pas pensé. Le second pour grandir car une innovation sans chiffre d’affaires, c’est un peu la mer sans les vagues. Comment Paul s’y prend-il pour marier ces deux mondes ? On lui a posé la question. Et pour compléter sa réponse, Paul a invité Stéphanie Zolesio, CEO Casino Immobilier & FinTechs. Le monde du grand groupe et ses besoins d’innovations, elle connaît. Pour suivre Paul sur LinkedInPour suivre Stéphanie sur LinkedInSont cités dans cet épisode :Gonzague de Blignières, co-fondateur de RAISE, à écouter à notre micro #46Antoine Baschiera et Sébastien Paille, co-fondateurs d’Early MetricsDavid avec Goliath, initiative fondée par RAISE et Bain & CompanyLa Recherche & Innovation chez L'OréalDécouvrir l'étude « Les startups à la conquête des plans stratégiques du SBF 120 » réalisée par RaiseLab et RAISE SherpasSi cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je suis reçu à Orly par Christine Ourmières-Widener, Président Directrice Générale d'Air Caraïbes, French bee et Hi Line Cargo. Air Caraïbes évoque des destinations faites le plus souvent de palmiers et de plages. Quant à French bee, ce sont les Etats-Unis mais pas que. Pour assurer Paris-New York et gagner de l’argent sur l’une des lignes les plus concurrentielles au monde, il faut avoir quelques petits secrets et se les appliquer. Vous en découvrirez un ou deux en nous écoutant Christine et moi. Christine Ourmières-Widener a fait toute sa carrière dans l’aviation. Air France, City Jet, Tap et j’en passe. Surtout elle a connu tous les types d’actionnaires : les sociétés cotées, les sociétés étatiques et enfin les sociétés familiales. Car derrière Air Caraïbes et French bee, surprise, se cache une famille d’entrepreneurs. Cette famille ne fait aucun bruit, elle est discrète au point de s’être rendue invisible. En un mot, elle travaille et prend des risques. Venez découvrir avec moi la folle histoire mais surtout la belle histoire de Air Caraïbes et French bee. Et comme je vous vois venir, je vous rassure, oui, nous parlons des défis environnementaux de l’aviation. Vous en apprendrez très certainement beaucoup comme moi sur ce que nous pouvons faire pour décarboner cette industrie et que voler reste ce qu’il a toujours été : une liberté. Pour suivre Christine sur LinkedInSont cités dans cet épisode :M. Marc Rochet, ex Directeur Général d'Air Caraïbes et Président de French beeM. Jean-Paul Dubreuil, fondateur d'Air CaraïbesM. Paul-Henri Dubreuil, Président du Groupe DUBREUILSi cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouvelle diffusion ce jour d’un épisode enregistré il y a deux ans et qui a sa place dans l’actualité. J’avais été reçu par Jacques Bourgeais, Directeur Général depuis 15 ans de la coopérative Cavac. Cavac est une coopérative agricole vendéenne qui réalise environ 1Md€ de CA. Née de la fusion de deux autres coopératives en 1965, Cavac a grandi dans l’agriculture et l’élevage animal avant d’entrer dans la transformation de ses produits puis la distribution – Gamm vert en Vendée, ce sont eux – et plus récemment la fabrication d’isolants de construction à partir de chanvre.Jacques nous rappelle que la raison d’être de Cavac au sortir de la seconde guerre mondiale était de nourrir la population en plein babyboom. C’est évidemment encore vrai, gardons-le en tête. A l’échelle européenne, nous évoquerons les évolutions de la PAC. Et Cavac vend certains de ses produits sur les bourses mondiales. Être agriculteur ou éleveur aujourd’hui, ce n’est pas seulement vivre de la terre et des animaux, c’est aussi maîtriser la vente des fruits de son travail sur des marchés électronisés dont les prix dépendent entre autres de la météo aux Etats-Unis ou de la guerre en Ukraine. C’est cela être agriculteur aujourd’hui : faire le grand écart entre des problèmes éminemment locaux et se savoir exposé aux soubresauts météorologiques ou politiques aux quatre coins de la planète.Jacques nous rappelle le gros travail qu’il reste encore à accomplir pour mieux faire connaître son métier. Ni naïf, ni pessimiste, Jacques nous prend par la main et nous emmène dans l’agriculture contemporaine.Écoutez son histoire et celle de « la Cavac »Pour suivre la CAVAC sur LinkedInSi cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je suis reçu à Paris par Paola Fabiani, fondatrice de Wisecom et vice-présidente et porte-parole du Medef. Un Français sur deux saute au moins un repas par jour. Comment en est-on arrivé là ? « Je n’ai sûrement pas la réponse magique » me dit Paola avec humilité. Ce retour et le ton doux qu’emploie Paola illustrent beaucoup de la conversation que nous avons eue : sans détour, franche, apaisée et j’oserais dire chaleureuse. C’est surtout de la générosité que j’ai ressentie chez mon invitée. Dans cet épisode, vous découvrirez Wisecom, l’entreprise créée par mon invitée. Vous découvrirez aussi j’espère le Medef sous un angle nouveau, bien loin de l’image parfois caricaturale que nous nous faisons de la première association des chefs d’entreprise en France. Et comme au Medef, on observe tout le pays, j’ai interrogé mon invitée sur l’état du pays. Comment en est-on arrivé à ce que ce que nos citoyens vivant aux numéros pairs de la rue mangent à leur faim mais pas ceux vivant aux numéros impairs ? C’est donc tout un peuple qui aurait faim ?Il faudra nous revoir Paola pour explorer les raisons de notre croissance en diminution depuis 50 ans.Il faudra nous revoir pour tenter de trouver le chemin d'une économie respectueuse de l’environnement capable de tous nous nourrir et nous loger. Ce chemin existe-t-il ?La réponse n’est pas dans cet épisode.Pour suivre Paola sur LinkedIn Sont cités dans cet épisode : 🔥 Patrick Martin, président du Mouvement des entreprises de France🔥 Geoffroy Roux de Bezieux, Entrepreneur, investisseur et Président d'honneur du MEDEF🔥 Brice Alzon https://www.linkedin.com/in/brice-alzon-735623/?originalSubdomain=fr🔥 Le MEDEF Paris 🔥 L’Economiste David Ricardo 🔥 Le réseau d’entrepreneurs Croissance + 🔥 Fabrice Le Saché Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je suis reçu dans les locaux des Equipes du Made in France par Arnaud Montebourg, devenu multi-entrepreneur depuis qu’il a quitté la politique. Politique un jour, politique toujours, nous parlons donc dans l’épisode du jour de ses aventures entrepreneuriales notamment chez Alfeor, mais nous parlons surtout de politique industrielle. C’était son dada bien avant que cela ne devienne chez moi. J’ai acquis depuis quelques mois une conviction chevillée au corps que je partage avec mon invité du jour : la seule et unique manière de sauver notre modèle social en souffrance et en même temps de stopper le lent processus d’appauvrissement du pays qui m’a vu naître, la France, c’est qu’il y ait plus d’usines sur notre sol. Beaucoup plus.La grande question, c’est comment faire ? J’y réfléchis depuis environ 2 ans. J’essaie de faire un peu plus que cela avec la société que je dirige et ce podcast. Arnaud Montebourg, lui, il est sur le sujet depuis 2012, depuis qu’il fut Ministre du « Redressement Productif » avant de céder son siège à un certain Emmanuel Macron. Il en connaît donc un rayon. Alors, comme pour tout sujet politique, ici la politique industrielle de la France, vous partagerez parfois les points de vue de mon invité. Parfois moins. Parfois pas du tout. Parfois aussi penserez-vous comme il me le dit avec sa gouaille charmeuse « Mais c’est idiot ce que vous dites-là Martin » ! J’ai aimé rencontrer l’ancien Ministre. J’ai aimé rencontrer l’entrepreneur. J’ai aimé rencontrer l’homme de conviction qui vous ne lâche pas des yeux. Mais surtout, j’ai aimé rencontrer l’homme qui aime son pays. Cela valait bien de se faire un peu bousculer, mais toujours chaleureusement, pour mon premier entretien du genre. Bonne écoute ! Pour suivre Arnaud Montebourg sur LinkedIn Sont cités dans cet épisode : 🔥 Thierry Breton🔥 Philippe Tibi 🔥 Olivier Lluansi🔥 Yves Perrier, ancien directeur général d'Amundi🔥 Michel Barnier, ancien ministre🔥 Bruno le Maire🔥 Gilles Attaf, Président de la certification Origine France Garantie, à réécouter sur Histoires d'Entreprises épisode #57🔥 La Mémère, marque équitable de glaces 100% bio🔥 Le podcast Les Vrais Souverains, animé par Arnaud MontebourgSi cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous ! N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Credit-Photo_Jean-Francois-PagaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je suis reçu par Pierre Fleck, PDG de Frans Bonhomme.Sauf si vous travaillez dans le secteur de la construction, il y a peu de chances que vous connaissiez Frans Bonhomme.Elle fait partie de ces sociétés qui sont pourtant partout dans notre quotidien mais tout autant invisibles. Elle s’est épanouie dans la distribution de tubes PVC, ces mêmes tubes qui servent à la canalisation d’eau dans votre appartement, votre maison et partout dans nos villes. En un mot, Frans Bonhomme nous rend un fier service. En écoutant Pierre nous raconter l’histoire séculaire de Frans Bonhomme, j’ai eu le sentiment qu’elle a vécu en 5 ans ce qu’elle avait déjà vécu pendant les presque 100 ans qui nous séparent aujourd’hui de sa date de création : un marché porteur, une période de crise déclenchée avec le Covid et un redémarrage en trombe dans un secteur en forme de point d’interrogation pour les prochains mois : la construction. Pas d’étincelles dans cet épisode, pas de grand lancement, pas de froufrou. Seulement l’histoire belle et forte d’hommes et de femmes qui se sont serrés les coudes au plus fort de la tempête et repartent toutes voiles dehors. Elles sont nombreuses ces sociétés discrètes, résilientes et essentielles comme Frans Bonhomme. Nous devrions davantage les écouter. Nous devrions davantage écouter leur histoire. Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je suis reçu par Matthieu Jehl, PDG d’ArcelorMittal France.Peu de sociétés sont aussi liées qu’ArcelorMittal à notre pays. Pour employer un terme à la mode, ArcelorMittal est systémique. Sans ArcelorMittal, l’industrie française ne serait pas. Et réciproquement.Sans surprise donc, ArcelorMittal se retrouve à la convergence de la plupart des problématiques économique, sociales et environnementales de notre temps.ArcelorMittal est le premier industriel français émetteur de CO2. Comment devenir neutre en carbone en 2050 ? Ce faisant, ArcelorMittal réduirait de 10% les émissions de gaz à effets de serre de toute l’industrie française. Aidé de l’Etat, ArcelorMittal s’est mis en ordre de marche. Pas de greenwashing ici.J’ai eu deux Matthieu Jehl en face de moi pendant cet entretien.· Celui qui dirige avec quelques collègues l’un des tous premiers fleurons de l’industrie française ;· Celui qui prend parfois la parole à titre personnel. Je lui ai retrouvé deux qualités que j’apprécie toujours chez mes interlocuteurs : des convictions fortes, peu importe que je les partage ou non, et l’humilité de dire parfois « je ne sais pas »A la question, « Y-a-t-il un chemin suffisamment vertueux économiquement pour nourrir notre modèle social qui soit sans impact sur l’environnement », il me répond : « Je ne sais pas. Personne n’en a encore apporté la preuve. Je suis comme toute notre génération Martin, je le cherche ce chemin ».Cela tombe bien, c’est le thème d’Histoires d’Entreprises. Ce qui est certain, c’est que nous aurons toujours besoin d’acier. Nous aurons toujours besoin d’ArcelorMittal.Un épisode captivant. Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je suis reçu par Antoine et Olivier Roset qui dirigent avec leurs pères respectifs, Pierre et Michel, le Groupe Ligne Roset.Nous connaissons tous ou presque la marque Ligne Roset et ses meubles haut de gamme made in France au design tout à la fois chic, original et accessible.Vous ne savez peut-être pas en revanche que la société est née en 1860. Antoine et Olivier sont la 5ème génération à la tête de la société fondée par leur arrière arrière grand-père qui lui aussi s’appelait Antoine Roset.Bien sûr que dans cet épisode nous parlons des produits de la Ligne Roset comme le Togo, canapé mythique que la société créa il y a 50 ans. En nous écoutant, vous découvrirez avec moi comment une idée devient un croquis puis un projet puis un objet dans lequel la société se convainc qu’il va rencontrer son marché.Ces objets que nous ne regardons plus parce que nous sommes habitués à leur image, eux nous regardent. Ils nous voient nous asseoir, fatigués après une longue journée de travail. Ils nous regardent rire à table en famille ou entre amis. Ces objets traversent notre histoire personnelle et Ligne Roset avec eux.En plus de 150 ans d’histoire, Ligne Roset a servi des centaines de milliers de familles. Son histoire a rencontré la nôtre. Elle s’est construite une âme que nous partageons avec toutes celles et ceux qui pensent, dessinent, conçoivent et fabriquent ces objets qui font vivre notre quotidien. Au fond, Ligne Roset fait partie maintenant de notre patrimoine national.Venez découvrir son histoire avec moi.Sont cités dans cet épisode : 🔥 Les frères Bouroullec 🔥 Le designer allemand Peter MalyPour en savoir plus : 🔥 « Le monde de Cinna, c’est un monde où les idées reçues sont faites pour être bousculées. »🔥 Découvrir le métier d'Eric, tapissier des ateliers cinna sur BRUT🔥 En savoir plus sur le Togo dans L'Officiel - Anatomie d'un objet : Togo, une icône réinventéeSi cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaineToutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je suis reçu à Paris par Wilfried Granier, PDG et co-fondateur de Superprof.Superprof, reconnaissez que le nom claque ! Superprof, super entrepreneur, super histoire, super perspectives ! Parti d’une envie de s’améliorer à la guitare, Wilfried réalise que le moyen de trouver un « prof » particulier n’est pas si facile que cela. Il était déjà entrepreneur, alors il alloue 5000 €uros de sa société pour développer un petit site et réalise 27€ de CA la première journée. Superprof est née. Un mois plus tard, ce sera 5K€ par mois. A la fin de la même année, 30K€ par mois. Le démarrage est fulgurant. Un an plus tard, Wilfried et son associé se lancent en Espagne. Aujourd’hui, Superprof est présent dans 50 pays et vient d’ouvrir en Chine. La société devrait réaliser cette année environ 40M€ de CA. Cela devrait être 100M€ d’ici deux ans. Super croissance, pardon pour le jeu de mots, mais je n’ai pas mieux ici. Mais surtout, croissance autofinancée : pas de levée de fonds, pas de grandes annonces, juste l’envie de rendre services à toutes celles et ceux qui veulent devenir un peu meilleur dans leur discipline ou tout découvrir en même temps que d’arrondir les fins de mois de millions de professeurs à travers le monde. Avec Wilfried, on se sent comme à la maison. Il m’a accueilli avec un pain au chocolat, le premier en 70 épisodes. C’est le genre de détail qui dit déjà beaucoup de la personnalité que j’ai en face de moi. Il y a chez Wilfried un petit supplément d’âme. Peut-être fallait-il ce supplément d’âme pour incarner l’un des plus beaux métiers du monde qui pourtant souffre tant dans notre pays : le professeur. Partez à la découverte d’une histoire magnifique et d’une société bien de chez nous à la conquête du monde, Superprof. Pour suivre Wilfried sur LinkedIn Sont cités dans cet épisode : 🔥 L'entrepreneur Loic de Kerdrel 🔥 Airbnb et son fondateur Brian CheskySi cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaineToutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je suis reçu par Ismael Belkhayat, CEO et co-fondateur avec Sophia Alj - son épouse - de Chari. Pour vous donner un aperçu de l’importance que Chari est en train de prendre au Maroc, la société a représenté en 2021 la moitié des fonds publics et privés souscrits par l’ensemble de la tech marocaine. Vous avez bien entendu, 50%. Pour le dire autrement, Chari est LA société de la tech marocaine qu’il va falloir suivre ces prochaines années. Chari s’est donnée pour mission initiale de faciliter l’épanouissement des 45 000 épiciers marocains héritiers d’une histoire multiséculaire et de les faire entrer dans le digital. Défi gigantesque. Ismael le dit lui-même : « beaucoup d’entre eux ne savent pas lire, mais ils ont tous un ERP dans la tête, ils calculent plus vite que ma calculette ! » L’histoire de Chari débute en 2020. Ismael prend conscience qu’à certains moments de la journée, son copain épicier n’arrive pas à s’occuper de son réapprovisionnement tout en servant ses clients. Il faut désynchroniser ces tâches, mais surtout rendre les achats et les livraisons de ces épiciers bien moins chronophages. L’idée d’un numéro de livraison naît en même temps que la société. L’engouement est instantané. Orange Ventures finance les premiers 150K€ de besoin en fonds de roulement. Puis ce sera Station F en France, Y Combinator aux US, la fondation Bill et Melinda Gates, l’université Mohammed VI et j’en passe : tous voudront aider ou financer Chari. Chari s’étend désormais dans de nouveaux territoires africains en même temps qu’elle étend son offre aux paiements et à d’autres services encore. Chari veut devenir une super app utilisée partout en Afrique. Partie de zéro, la société réalise en ce moment 10MUSD par mois et affiche une croissance qu’Ismaël ne nous a pas dévoilée. Peu importe. Chari montre le chemin de cette tech africaine spécifiquement marocaine qui devrait tous nous inspirer, où que nous vivions. Episode exceptionnel que je réalise aujourd’hui avec Siham Sentissi. Siham dirige la filiale marocaine de BlueBirds que j’ai créée. Pour suivre Ismael sur LinkedInPour suivre Sophia Alj sur LinkedIn Sont cités dans cet épisode : 🔥 Oliver Samwer, Fondateur et CEO de Rocket internet🔥 L’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) au Maroc🔥 Le programme Investing In Innovation (i3) et l'accélérateur africain d'innovation IMPACT Lab🔥 Plug & Play Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaineToutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je suis reçu à Rueil par Caroline Gaye, Directrice Générale d'American Express France. Pour les amateurs de bande dessinée, les diligences Wells et Fargo que Lucky Luke défend deviendront les diligences « American Express » en 1850. Les diligences ont disparu. La société est maintenant cotée à Wall Street et réalisera cette année un Chiffre d’Affaires dans le monde supérieur à 50Md$.Bien sûr que American Express est globalisée, mais c’est aussi une société très anciennement française. C’est en 1895 qu’Amex s’installe rue Scribe, à deux pas de l’Opéra Garnier qui vient tout juste d’être inauguré. En débarquant à Paris, les touristes américains échangent leurs travellers chèques contre des Francs et s’en vont faire leurs emplettes au Printemps juste à côté, né il y a seulement 30 ans et déjà mondialement connu. Si je vous raconte tout cela en introduction, c’est pour que vous commenciez à mesurer d’une part la relation que la marque américaine entretient avec la France et d’autre part son ADN reposant sur les services, ce qu’elle appelle le « Powerful backing ». Comprenez, « Amex sera toujours là pour vous ». La société est devenue un des leaders des services de paiements en France. Mais Amex fait bien plus que cela. Elle rembourse votre abonnement Netflix, vous donne droit à des réductions, facilite vos trajets, et j’en passe. Elle vous enverra même sans frais à des concerts de musique. Amex sert les 2/3 du CAC 40 et tous les ministères. C’est fou non ? En écoutant Caroline aujourd’hui, j’ai mieux compris pourquoi et comment Amex réinvente la relation client dans le secteur bancaire. Amex n’est pas une banque, c’est un établissement de paiements, mais bon, vous m’avez compris. Si vous êtes en charge de la relation client de votre entreprise, allez voir de près ce que fait Amex. Vous en ressortirez au moins avec quelques idées. Et si vous êtes particulier, vous vous laisserez facilement convaincre en écoutant Caroline qu’il y a très certainement une formule Amex vous correspondant. (Croyez-moi, je n’ai pas été payé pour vous le dire !) Amex, la plus américaine des sociétés françaises ou la plus française des sociétés américaines ? Faites-vous votre avis en nous écoutant. Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaineToutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, rediffusion de l'épisode le plus écouté de la Saison 2023 ! Joyeuse fêtes 🤩Je suis reçu par Christopher Guérin, CEO de Nexans. Vous verrez rarement les produits de Nexans et pourtant ils sont essentiels. Nexans conçoit, fabrique, pose et entretient les câbles électriques, de préférence de haute tension, mais pas que. Nexans fait partie de ces sociétés dans l’ombre qui accompagne tambour battant notre transition énergétique. Car soyons clairs, notre transition énergétique est une transition vers le tout électrique. C’est donc sans surprise que Nexans accumule en ce moment les commandes comme jamais dans son histoire plus que centenaire. Christopher revient avec moi aux origines de la société, quand Paris n’était pas encore électrifié et que les premiers appartements à pouvoir s’éclairer à partir d’électrons étaient au rez-de-chaussée et au 1er étage. Au-dessus, c’était encore la bougie ! Puis nous observons le présent avec Christopher. Il nous décrit aujourd’hui un monde en permacrise. Elles ne se suivent pas les unes les autres ces crises, elles s’empilent les unes aux autres nous dit-il dans son livre « Pour aller dans le bon sens ».Mais surtout, nous plongeons avec Christopher dans le monde qui nous attend. Il nous prévient : nos ressources en matières premières ne suffiront pas à approvisionner la transition énergétique de la planète entière. Il n’y aura pas assez de cuivre, pas assez d’aluminium, pas assez de lithium. Nous sommes focalisés sur les hydrocarbures, lui nous dit : nous allons manquer de métaux. Sans métaux, pas de société moderne, tout s’arrête. Alors Christopher invente un nouveau paradigme pour diriger sa société : ● Il ne communiquera plus jamais sur ses objectifs de croissance, se mettant à dos une partie des analystes de marché ● Et il se focalisera exclusivement sur la valeur apportée par les clients en y intégrant des critères environnementaux et sociaux. C’est sa méthode « E3 » qu’il décrit dans son livre que je tente de vous faire découvrir dans l’épisode qui suit Je suis sorti de cet entretien troublé. Voilà un homme primé de plusieurs prix de management, qui pense le temps long mais rend compte de ses actions auprès de ses investisseurs tous les trimestres. Il leur raconte comment il crée de la valeur différemment. Il leur raconte surtout comment il prépare Nexans et comment nous devrions tous nous préparer à un monde de ressources rares. Comment fait-il ? Pour le savoir, il faudra nous écouter Pour suivre Christopher sur LinkedIn Est cité dans cet épisode : 🔥 Timothée Parrique et son livre ‘’Ralentir ou périr’’Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis.N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaineToutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je suis reçu à Barcelone par Wayne Griffiths, PDG de Seat et de Cupra. Episode en anglais cette fois !It’s an honor to be here warmly welcomed by a team currently building the future of the car industry from where it was born in Spain . Today, we will talk together about Cupra. Cupra sold just over one hundred fifty thousand vehicles worldwide in 2022 and showed growth of more than 50% in the first half of 2023. That speaks for itself.If we spend time today on Cupra and less on SEAT, it is because the brand is still very new. It was born in 2018, going against the trend of the industry which has been rationalizing its brands for decades. Do you remember Pontiac, Hummer, Saab, Rover, Lancia, Talbot among others? All these brands have ceased production. With Cupra, the automobile industry is reborn and takes a new turn. New lines, new emotions, new relationships with drivers, new motorization towards electric. Everything is new. You had to be a little crazy to embrace such a project. Wayne defines himself more as a rebel with a cause. I start the interview with a David Bowie song. This gives you an idea of the character of the man I meet. But how did Wayne get the idea to take on such a bet? How did he convince everyone around him? How did he know how to surround himself to meet the gigantic challenges of a project whose investment exceeds 10 billion Euros? But above all, how did he go about it? For those who know a little about the automotive industry, they imagine (probably not enough) the industrial, technological, financial, commercial, human Everest, which he and his team had to climb to be able to look at themselves in the mirror today and say: “it’s a success” Wayne runs Cupra today. It is natural that he embodies the brand more than his colleagues. But as I write these lines, I think of all those who believed in it with him, of those who turned an idea into a project and then into cars of a new kind that embrace the challenges of our time. They can be proud. Discover with me how a new automotive company is born, grows and is now tackling many markets. All this in 5 years. It’s crazy, I tell you. Follow Wayne Griffiths on LinkedIn To share your feedback or make guest suggestions, you can do so here: LinkedIn/MartinVidelaine A podcast co-produced with Agnès GuillardHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En janvier dernier, j'étais reçu par Amir Sharifi, Chief Investment Officer de Hy24. Il est aussi et surtout aujourd’hui Senior Managing Director d’Ardian, « petite » société de gestion avec 140 Milliards d’euros sous gestion. Chez Ardian, il a également créé et a dirigé la Fondation Ardian qui accompagne les enfants et les jeunes en facilitant leur parcours scolaire. Et puis Amir a créé la Bourse Habib Sharifi il y a quelques mois en honneur à son père récemment disparu. Bref, Amir est un garçon un peu occupé.
Alors pourquoi vous parler de Hy24 en plus d’avoir le plaisir le retrouver Amir qui avait servi il y a bien longtemps dans mes équipes ? Pour deux raisons finalement assez simples. D’abord parce que l’on ne peut pas parler de transition énergétique sans parler d’hydrogène et ensuite parce que parler d’hydrogène, en toute subjectivité, c’est un peu compliqué. Il va falloir des trésors de pédagogie à nos dirigeants pour expliquer les tenants et les aboutissants de ce qui se passe dans le domaine. Amir et moi nous sommes donc risqués à l’exercice. Il y a une troisième explication à cet épisode : la raison d’être de Hy24 est l’émergence de l’industrie de l’hydrogène à grande échelle.
Si vous vous demandez quand nos constructeurs vous proposeront un véhicule qui rejettera de l’eau et seulement cela à la place des gaz qui sortent de nos pots d’échappement, si vous vous demandez pourquoi ces véhicules roulent déjà en Californie ou en Corée du Sud et pas chez nous, si vous vous demandez en quoi l’hydrogène peut remplacer le pétrole, et pas seulement dans nos voitures ou nos camions, alors écoutez-nous.
Ecoutez aussi le témoignage d’un fils d’immigré dont le père poète fuit l’Iran un peu après la Révolution islamique de 1979 et dont la peine qui suivit sa perte se mua en geste d’amour : l’amour de la planète.
Avec Amir, vous vous laisserez convaincre sans difficulté que le monde de l’investissement, celui-là même que nous sommes si souvent prompts à critiquer parce que nous ne le comprenons pas, et bien ce monde travaille à marche forcée à notre décarbonatation en même temps qu’il travaille à notre approvisionnement en énergie.
Ecoutez avec moi l’histoire de Hy24 premier fonds en taille de la planète dédié au financement de l’hydrogène.
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Aujourd’hui, je suis reçu par Aurélie Gobinet Gmuender, Présidente depuis peu de Partnaire. L’histoire de Partnaire est l’histoire belle d’une société créée par un homme, le père d’Aurélie, qui s’est dit un matin de 1987, « Tiens, si je rachetais une petite agence d’intérim à Orléans plutôt que de me rendre en Afrique du Sud où mon employeur souhaite m’envoyer ? »
Et d’une agence, Philippe Gobinet créa un groupe spécialisé dans les Ressources Humaines qui réalisera cette année environ 600M€ de CA, en France et dans le reste de Europe. Il aura fallu 36 ans pour en arriver là. Une vie de travail.
Aurélie ne s’était pas destinée à prendre les rênes de la société familiale. Elle avait d’abord embrassé une carrière dans des grands groupes. Et puis voilà, le destin en a décidément autrement. Ce sera elle, aidée de son frère et de sa sœur, qui prendra les commandes de l’une de nos plus belles ETI familiales. Dans cet épisode, Aurélie nous raconte comment atterrir dans une société fondée, pensée et dirigée par son propre père. Et comment ce dernier l’a préparée à lui céder sa place.
Partnaire continue de grandir sur un marché pourtant très concurrentiel où grands groupes, pure players tech et consorts tentent chaque jour de prendre des parts de marché à l’autre. Alors quel est le secret de Partnaire ?
Bien sûr avec Aurélie nous abordons les avantages concurrentiels que propose une société familiale et l’agilité et l’indépendance qui la caractérisent. J’ai souvent été surpris de ses réponses qui finalement pourraient s’adapter à toutes nos sociétés et pas seulement à celle qu’elle dirige. Mais nul doute que Partnaire fait les choses mieux que d’autres sans quoi la société ne continuerait pas de s’épanouir. Pour savoir quoi, il faudra nous écouter.
Parnaire, une société comme je les aime : en bonne santé, en croissance, avec des projets plein les cartons et des valeurs solides comme un roc : celles d’une famille. Ecoutez son histoire
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Aujourd’hui, je reçois André Comte-Sponville, écrivain, philosophe, conférencier et accessoirement indépendant.
On ne présente plus André Comte-Sponville qui fait partie de ces philosophes qui ont rendu leur discipline accessible à tous en plus d’avoir été pour eux-mêmes une ligne de vie. Si vous ne l’avez pas encore fait, filez lire le « Petit traité des grandes vertus ». Cet ouvrage ne l’a pas rendu célèbre par hasard.
J’ai découvert André Comte-Sponville en me perdant un jour sur Youtube. Y était filmé une conférence qu’il avait donnée à Genève sur le bonheur au travail. J’avais été séduit dans l’instant.
C’était donc un peu un fan qui recevait ce matin le philosophe. Et puis pour ceux qui me connaissent, le bonheur au travail est un de mes thèmes fétiches s’agissant du lieu où nous passons le plus clair de notre temps : le bureau (ou le bureau chez soi, ce qui revient un peu au même tout en étant un peu différent, nous évoquons le sujet dans l’épisode qui suit). « Le bonheur, tout le monde est pour. Travailler, on s’en passerait volontiers ! » nous rappelle André Comte-Sponville. Alors le bonheur au travail serait-il une chimère ?
Si comme beaucoup de Français vous préférez le créneau 18h30-23h00 de votre journée, les samedis et les dimanches aux autres jours de la semaine, juillet et août aux autres mois de l’année, si comme plus d’un Français sur deux vous êtes à la recherche active d’un nouvel emploi, indiquant au passage que « vous n’êtes pas complétement heureux là où vous êtes aux heures de travail », peut-être trouverez-vous matière à être un peu plus heureux en écoutant André Comte-Sponville.
Car le bonheur au travail, non, ce n’est pas une chimère. Il est là, à portée de main.
Allez savoir pourquoi en nous écoutant !
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Aujourd’hui, je suis reçu par Renan Devillières, CEO et fondateur d’OSS Ventures. Renan venait de perdre l’une de ses devs stars quand nous nous sommes rencontrés. Difficile de faire une contre-offre quand OpenAI (ChatGPT) offre à votre employée un million de dollars de stocks. Cela ne lui enlevait en rien sa bonne humeur, on rigole beaucoup dans cet épisode.
OSS Ventures fait partie de ces joyeuses sociétés dites « Venture Builders ». Elle identifie des projets susceptibles de devenir des entreprises, va chercher les entrepreneurs intéressés par ces projets et monte tout : les statuts de la société, l’équipe, l’offre, le compte en banque, les premiers tests clients, etc. Et fait le pari que ces sociétés grandiront. En 3 ans, OSS Ventures a lancé 19 sociétés. 15 grandissent et ont trouvé leurs marchés.
Je me demandais ce qui freinait la croissance d’OSS. Les projets ? Ils en ont déjà trop, il suffit de voir leurs murs tapissés de post-it pour s’en convaincre. Des entrepreneurs ? Ils ont reçu l’année dernière 8 000 candidatures ! De l’argent ? Leurs caisses sont pleines. Mais quoi alors ? Il faudra nous écouter Renan et moi pour le savoir.
L’histoire d’OSS Ventures commence lorsque Renan visite une usine de Tesla aux Etats-Unis. C’est le choc. Il comprend l’immense retard que l’Europe a pris dans l’industrie et se donne pour mission d’apporter sa pièce à l’édifice. Il quitte alors San Francisco pour revenir à Paris.
Partez avec moi dans la nouvelle révolution industrielle en cours, celle de la tech au service des machines. Celle où les compétences sont d’abord de l’autre côté de l’Atlantique ou en Extrême Orient.
Avec Renan, on parle d’entrepreneuriat, de tech, de nos usines, de la naïveté de l’Europe, de l’immense avance que les Etats-Unis et la Chine ont pris sur nous et que nous ne voyons pas « parce qu’on ne sait pas ce qu’on ne sait pas ».
A 36 ans, Renan a donc créé 20 sociétés. Il en a cédé une et s’est servi de l’argent gagné au passage pour lancer OSS Ventures. Il le dit lui-même. Pour être venture builder, il faut déjà avoir fait au moins un cycle de création de société et de revente. Croyez-moi, cela vaut la peine de l’écouter, vous allez en apprendre des choses.
Quel projet !
Et je vous prie de m’excuser si le son est imparfait par moment, nous avons découvert des interférences après l’enregistrement que nous avons gommé dans la mesure du possible.
Pour suivre Renan sur LinkedIn
Sont cités dans cet épisode :
🔥 Michaël Valentin et Charles Bouygues, cofondateurs de OSS Ventures
🔥Thibaud Elzière, multi-entrepreneur français qui a créé le start-up studio eFounders
🔥 Waste X qui révolutionne le recyclage industriel
🔥 Mehdi Ben Abroug
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Aujourd’hui, je suis reçu par Gilles Attaf, Président d’Origine France Garantie et des Fédérations Françaises de l’Industrie. Quand le mot France apparaît dans les deux organisations qu’il préside, beaucoup de choses sont déjà dites. Gilles aime son pays. Il aime aussi l’industrie. Et puis il aime celles et ceux qui la font cette industrie. Alors sans surprise, il a fait de l’industrie en France le combat de sa vie professionnelle.
Quand nous fermions les usines dans les années 90, lui se battait déjà pour qu’elles restent. Quand dans les années 2000 nous bénissions tous le concept d’une économie « fabless » sur notre sol, lui disait déjà qu’il n’y croyait pas. Et quand aujourd’hui nous tentons de réindustrialiser le pays, lui a pris sans rancune son bâton de pèlerin et embarque toutes celles et ceux qui y croient comme lui.
Il est comme tous les entrepreneurs de la planète Gilles, il déploie une énergie folle. Mais je crois pouvoir dire que Gilles a ce petit supplément d’âme qui fait qu’on a envie de le suivre. Moi, il m’a fallu quelques minutes seulement pour me demander « Comment puis-je l’aider ? »
Tous ceux qu’il croise sur sa route l’écoutent, le suivent, l’aident. Du simple carriste dans les usines qu’il fait certifier, en passant par les chefs d’entreprises qui rejoignent les clubs régionaux des FFI jusqu’à nos Ministres ou le patron de la BPI, tous l’aident. Tous ont compris qu’avec son physique de première ligne au rugby, Gilles sait bien qu’on ne marque jamais un essai seul. On le marque avec toute l’équipe. Et cette équipe pour Gilles s’appelle la France.
Pour suivre Gilles sur LinkedIn
Sont cités dans cet épisode :
🔥 Le Salon du Made in France et sa fondatrice Fabienne Delahaye
🔥 L'association Origine France Garantie et son fondateur Yves Jégo
🔥 En savoir plus sur les Forces françaises de l’industrie, cofondées par Gilles Attaf & Laurent Moisson
🔥 A nouveau ;-) l'épisode Histoires d'Entreprises avec Nicolas Dufourcq, DG de la BPI France
🔥Thomas Huriez, le fondateur de 1083
🔥La maison Brousseau menée par menée par Aymeric et Alexandra Broussaud
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Aujourd’hui, je suis reçu par Bruno Colmant, Président du Conseil d’Administration de Brederode. J’aurais aimé que Bruno nous raconte à vous et moi l’histoire séculaire de l’une des principales sociétés belges. Bruno m’avait prévenu, ce ne sera pas possible. Ses fonctions et la nature même de la société lui imposent une discrétion qui n’aurait pas souffert mes questions. Tant pis, si vous êtes curieux et patients, je vous renvoie au site internet de la société. Son histoire y est longuement racontée. En un mot, Brederode ne serait rien sans la Belgique et le pays ne serait pas tout à fait le même sans la société. Bruno n’a pas atterri à de telles fonctions par hasard. Il faut être sage – il l’est du haut de ses 62 ans –, avoir quelques compétence bancaires et financières et aimer son pays. Et deux trois choses encore.
M’interrogeant de plus en plus sur la trajectoire socio-économique que notre pays poursuit, je suis allé poser la question à Bruno relativement au pays qui l’a vu naître.
Où va la Belgique ? Réponse partielle dans l’épisode. On y parle aussi de l’Allemagne, des Pays-Bas et évidemment de la France.
Je le savais en branchant les micros, Bruno n’a pas seulement une vision pour la Belgique, il s’inquiète de son appauvrissement comme moi je m’inquiète du nôtre. Le nombre des personnes vivant sous le seuil de pauvreté a atteint 22% en Belgique. Presque un quart de la population, rendez-vous compte.
En France, les salaires ne sont pas automatiquement indexés sur les prix en magasin. (C’est un peu différent en Belgique). Qui dit donc inflation, dit baisse du pouvoir d’achat et donc appauvrissement. Tous les Français le ressentent en ce moment. Or en matière de lutte contre l’inflation, Bruno en connaît un rayon.
Posez avec Bruno et moi un nouveau regard sur le plat pays voisin que nous aimons tant. Vous comprendrez en l’écoutant un peu plus ce qui nous arrive. Et si vous êtes chef d’entreprise, Bruno partage avec moi quelques exercices à mener pour vous préparer au monde qui arrive.
Si vous écoutez Histoires d’Entreprises, vous savez que je vous encourage à aller plus souvent à Bruxelles. Cet épisode ne fait pas exception. Notre avenir à tous s’y écrit.
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