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Ça bouge, dans les médias

Author: le podcast de MediaConnect, filiale de l'AFP

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Description

« Ça bouge, dans les médias » est une série d'interviews de quelques minutes, réalisées toutes les deux semaines et désormais, face à des acteurs ou experts des médias. Pour raconter et décrypter cet écosystème, bouleversé à bien des égards.

Un podcast réalisé par l'équipe éditoriale de MediaConnect (https://mediaconnect.com/), filiale de l’AFP et salle de presse numérique.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
80 Episodes
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Un « OVNI médiatique » fait irruption dans la galaxie Bayard Jeunesse C’est ainsi qu’Héloïse des Montiers, directrice de la jeunesse du groupe Bayard, décrit la nouvelle version de Phosphore. Après 44 ans en version papier, le magazine d’actualité destiné aux lycéens devient 100 % numérique. Désormais, les 14-19 ans recevront chaque semaine un SMS leur donnant accès à un nouvel espace d’information, conçu pour une lecture rapide et intuitive sur smartphone. Fini les pages à tourner, place au « swipe » et au « scroll », avec des formats interactifs pensés pour leurs usages. Ce virage répond à une réalité : seuls 3 % des adolescents lisent encore un magazine papier, contre 62 % qui s’informent via les réseaux sociaux (sondage CSA, 2022). Héloïse des Montiers est l’invitée de « Ça bouge dans les médias ». 20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.Parmi les thèmes abordés :Le pari audacieux du formatSéduire les adolescents... et rassurer les parentsExister face aux créateurs de contenuPayer pour s'informer en ligne, le blocage culturelHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous vous en souvenez peut-être : ce sujet de TF1 avait marqué les esprits.À l’occasion des 80 ans du Débarquement, la chaîne avait diffusé dans son JT une reconstitution immersive, en images de synthèse, des combats du 6 juin 1944.Grâce à la réalité augmentée, virtuelle et mixte, TF1 tente de repousser les  limites de la narration journalistique, en donnant vie à des sujets autrefois difficiles à filmer, car relatifs au passé, au futur, ou à l’infiniment petit. Ces formats engagent les audiences. Le sujet consacré aux « limites planétaires » a dépassé les 15 millions de vues (TV + réseaux sociaux). Et celui sur l’histoire du changement climatique a été élu meilleure vidéo de l’année par l'Association Mondiale des Éditeurs de Presse d'Information.Yani Khezzar, responsable de l'innovation de l’information à TF1, est l’invité de notre podcast « Ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux. Au programme :🔵 Les coulisses de fabrication des sujets🔵 L'impact sur les médias étrangers🔵 L’équilibre entre innovation visuelle et exigence éditoriale🔵 Les sources d’inspiration technologiques et culturellesHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’audiovisuel français est-il en pleine panne créative ? L’affirmer serait « très malhonnête », selon Alexia Laroche-Joubert. Pour la PDG de Banijay France, la filière de l’audiovisuel classique a bien des arguments à faire valoir.Malgré tout, face à la concurrence des plateformes, la baisse des audiences TV et la tendance des chaînes linéaires à recycler les programmes d’hier, le défi créatif paraît immense.  En tant que premier groupe de production indépendant au monde, Banijay est passé maître dans la production des programmes de flux et de fiction, pour les chaînes de TV… et les plateformes. De « Koh-Lanta », à « Star Academy », en passant « TPMP » ou « N’oubliez pas les paroles », jusqu’à la dernière série « Culte », signée pour Amazon Prime.Sa dirigeante en France, Alexia Laroche-Joubert, est l’invitée de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.Parmi les thèmes abordés :Le savoir-faire créatif de la production françaiseCe qui freine la prise de risque de certaines chaînes de TVLa concurrence asymétrique des plateformesL’enjeu de la protection de la propriété intellectuelle (IP)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus que 7 jours avant son grand retour. Le 14 janvier prochain, le festival « Médias en Seine » rouvrira ses portes pour une 7e édition, à nouveau façonnée par le groupe Les Echos–Le Parisien et franceinfo.« Médias, l’ère des défis » sera le thème de cette année… Des enjeux à la fois technologiques, économiques et démocratiques. Pour alimenter la réflexion, plusieurs conférences et des invités de premier plan sont au programme, dont : Rodolphe Belmer (PDG Groupe TF1), le vidéaste Hugo Travers, Pierre Louette (PDG Groupe Les Echos-Le Parisien), Melissa Bell (correspondante internationale chez CNN), ou Agnès Vahramian, nouvelle directrice de la radio franceinfo et l’invitée de notre podcast « ça bouge dans les médias ».15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.L’ancienne correspondante au Moyen-Orient et aux Etats-Unis revient quelques temps forts de l’événement. Notamment la révélation des nouveaux résultats du Baromètre La Croix-Verian-La Poste, sur la confiance des Français dans les médias. Dans la précédente édition, 57% d’entre eux disaient se méfier des médias dans leur traitement des grands sujets d’actualité. Parmi les thèmes de l’épisode :La remise en cause du concept de fatigue informationnelleLe modèle franceinfo pour sécuriser la confiance du publicLa concurrence des plateformes de divertissementHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Il faut arrêter de mettre des ours polaires partout pour parler du réchauffement climatique ! »Lancé en 2020, le média « Vert » s’est donné pour mission de sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux écologiques, avec une approche « simple et funky ». Un travail pédagogique, qui passe également par des formations au sein des rédactions, pour « transformer le paysage médiatique » face à l’urgence climatique.« Vert » refuse l’étiquette de média militant, mais accepte volontiers celle de média engagé. Son dernier son appel aux dons vise à financer son projet « Chaleurs actuelles », pour renforcer son travail d’enquête, « sur l’extrême droite, ses climatosceptiques et ses médias ». Plus de 180 000 € récoltés à date.Pour assurer son indépendance, « Vert » a fait le choix d’un modèle sans publicité, qui repose à 90% sur les dons et où chacun des 6 000 abonnés souscrit à un prix totalement libre.Son cofondateur et rédacteur en chef, Loup Espargilière est l’invité de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.Le dernier épisode de cette année ! Parmi les thèmes abordés : Le travail de transformation des rédactions à travers le prisme écoloLe portrait-robot des lecteurs du média VertLe lien entre extrême-droite et désinformationLe pari économique du modèle VertHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est un étonnant camion jaune aux allures de « food truck »… Peut-être l’avez-vous croisé cet automne ?Sur une aire d’autoroute, un parvis de gare ou une place du marché, le « NewsTruck TropMytho », de l’association Lumières sur l’info, a sillonné l’Île-de-France du 1er au 19 novembre. Avec un objectif : aller à la rencontre des citoyens éloignés de l’actualité.À son bord, des journalistes de divers horizons, embarqués dans cette tournée expérimentale d’éducation aux médias et à l’information (EMI), pour (re)nouer le dialogue avec un public parfois défiant vis-à-vis des médias. Plus de 1500 personnes ont ainsi été abordées, autour d’un café, par ces professionnels de l’information.Depuis 2017, Lumières sur l’info se rend dans des établissements scolaires pour donner des outils face aux « fake news ». Reconnue d’intérêt général, l’association espère, via des opérations comme celle du camion itinérant, toucher bien au-delà des bancs de l'école. Son président, Damien Fleurot, également rédacteur en chef adjoint du service politique de TF1, est l’invité de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux. Parmi les thèmes de l’épisode :la genèse de la campagnela réception du publicles difficultés de financement d’une association d’EMIl’absence de coordination des acteurs d’EMIHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Arrivé à la tête des rédactions des Echos en mai dernier, Christophe Jakubyszyn, a clos une année de crise de gouvernance au sein du titre du groupe LVMH. L’ancien présentateur et directeur de la rédaction de BFM Business se retrouve désormais chef d’orchestre du quotidien économique de référence, chargé de mettre en musique et d’amplifier sa transformation numérique. Fort d’un voyage d’étude entrepris l’été dernier aux Etats-Unis, auprès des équipes du Wall Street Journal, Christophe Jakubyszyn mène aux Echos une réorganisation profonde. Le fonctionnement du journal a été repensé pour rendre son bouclage « permanent », au plus près de l’actualité économique 24h/24, et engager les audiences. Ces abonnés, numériques à 80%, en appellent d’autres : Les Echos entend conquérir les jeunes décideurs et les femmes, qui composent 30% du lectorat du journal. À tous ces publics, Les Echos lance une invitation-slogan :« Prenez un temps d’avance ». Le journal, fondé en 1908, aime à rappeler qu’il a su déceler nombre de signaux faibles qui ont fait les grandes tendances économiques. De l’essor des voitures électriques, à l’intelligence artificielle, en passant par la révolution Netflix.  Christophe Jakubyszyn est l’invité du nouvel épisode de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15-20 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux.   Parmi les thèmes abordés :  Les conditions de son accession à la tête du journalLes enseignements de son voyage d’étude au Wall Street JournalLa stratégie de conquête des femmes et des jeunes décideursLa concurrence BFM Business/La Tribune        Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Certaines agences de communication l’assument : elles proposent des formations spéciales « Cash Investigation » à leur client. Quelle conséquence sur le travail des journalistes de l’émission ? « Cela en fera sans doute une meilleure interview », balaye Luc Hermann, co-directeur de l’agence de presse « Premières Lignes », qui produit la célèbre émission présentée par Elise Lucet sur France 2. Pour le journaliste producteur, l’enjeu est ailleurs : « les communicants font tout pour nous faire les poches ! » En d’autres termes : certains mettraient tout en œuvre pour leur faire barrage. Pour les empêcher de révéler ce qui a fait la réputation de l’émission : des enquêtes capables de faire trembler le monde des affaires. La dernière en date, était consacrée au cabinet de conseil McKinsey. Sans mettre la totalité des communicants dans le même sac, Luc Hermann perçoit dans ces tentatives d’entraves, une grande influence de la figure anglo-saxonne du « spin doctors », à partir des années 2000. Il est l’invité de ce nouvel épisode de notre podcast « ça bouge dans les médias ». 15 minutes d’interview pour vous aider à comprendre leurs enjeux. Parmi les thèmes abordés : Quels types d’entraves la rédaction de « Cash Investigation » subit-elle ?Que penser du « media training » assuré par des journalistes au service des communicants ?Les communicants doivent-ils tout dire aux journalistes ?Que dire des communicants qui aident les journalistes à effectuer leur travail ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’actualité est ainsi faite : parfois, les événements s’entrechoquent.  Fin septembre, la direction de BFM a donc lancé BFM 2, petite sœur 100% numérique de la célèbre chaîne d’information en continu. Un nouveau canal, en direct, pensé pour offrir de la complémentarité, tout en s’inspirant des codes du « stream ». Et un nouveau territoire d’expression pour les plus de 300 journalistes de la chaîne, qui pourront passer d’une antenne à l’autre, si l’actualité l’exige. Challengée par CNews sur le linéaire, BFMTV augmente ainsi sa force de frappe numérique. Suivie par 20 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux, la marque revendique, sur le seul mois de septembre, 172 millions sur ses sites et applications, pour 102 millions de vidéos vues. Une offre numérique riche, étoffée par le succès de ses productions podcasts. Dont « L’Afterfoot » (RMC), solide leader du marché, ou « Le Titre à la Une », format natif signé BFM. Dans cet épisode, rencontre avec l’architecte du numérique dans le groupe : Julien Mielcarek, Directeur délégué à l’information digitale de BFM et RMC. Parmi les thèmes abordés :  les difficultés d’un lancement de chaîne  l’évolution des usages et des algorithmes la concurrence de CNewsle bilan de la stratégie podcast du groupe Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’été dernier, sa chaîne YouTube a franchi le cap du million d’abonnés. Mais à la différence de ses confrères Squeezie ou Mister V, Gaspard G n’a pas fait le choix du divertissement, mais celui de l’actualité. Au programme : enquêtes de terrain, décryptages et portraits de personnalités.Pari gagnant pour le jeune homme de 26 ans, qui parvient même à interviewer des personnalités de premier plan. Le dernier en date s’appelle Emmanuel Macron. Un entretien mené en mai dernier, dans l’avion présidentiel, sur le vol retour d’un reportage consacré à la crise en Nouvelle-Calédonie. Gaspard G ne s’est pas seulement frayé un chemin dans la jungle des créateurs de contenus, il apporte sa contribution pour en structurer l’écosystème. Car en plus d’être secrétaire général de l’UMICC (Union des Métiers de l’Influence et des Créateurs de Contenu), le youtubeur a aussi fondé l’agence « Intello » en 2021. Son objet : accompagner dans leurs projets une vingtaine de créateurs de contenus spécialisés dans la vulgarisation des savoirs. Parmi eux : César Culture G… ou Claire Chazal. Parmi les thèmes abordés :  Son ambition d’« information servicielle »Les coulisses de son interview du Président MacronSes rapports avec les journalistes « traditionnels »Le développement du « smart content »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
📣 C'est reparti pour une nouvelle saison de notre podcast, « Ça bouge dans les médias » !Sarkozy/Kadhafi, Bettencourt, ou Cahuzac : ses journalistes ont révélé de véritables affaires d’Etat.Loué ou critiqué, le média d’investigation Mediapart, lancé en 2008 par Edwy Plenel, assume le fait d’être un journal qui « dérange les puissants » et cumule aujourd'hui plus de 220 000 abonnés.Pour assurer son indépendance éditoriale, le titre s'évertue à garantir son indépendance économique. Dès l'origine, le média a donc fait le choix, « à contre-courant » à l'époque, de l'abonnement payant. Refusant publicité, subventions publiques, ou droits voisins des GAFAM. Aujourd’hui 98% de ses revenus proviennent de ses lecteurs et Mediapart a annoncé plus de 2 millions d’euros de résultat net sur l'année 2023. Carine Fouteau a eu la lourde tâche de succéder à Edwy Plenel cette année. La nouvelle présidente et directrice de la publication, est l’invitée de ce nouvel épisode de notre podcast. La suite du journal sans ses fondateursL’impact de ses enquêtes sur la vie publiqueLe modèle économique du titreLes accusations en partisanisme dont il fait l’objetHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel est le point commun entre Anne-Sophie Lapix, David Pujadas et Ruth Elkrief ? …Eh bien tous ont été formés au Centre de Formation des Journalistes.Au top du classement des meilleures écoles de journalisme de France, le CFJ, prestigieux établissement fondé en 1946 par le journaliste et résistant Philippe Viannay, recrute chaque année une cinquantaine d’étudiants, parmi plusieurs centaines de candidatures.Mais comment ces aspirants journalistes sont-ils formés, dans un contexte où désinformation, IA, défiance et précarité viennent percuter la profession ?Stéphanie Lebrun, directrice du CFJ, également cofondatrice de la société de production Babel Doc, répond à toutes ces questions. Elle est l‘invitée de notre podcast #69. Le dernier de la saison ! Parmi les thèmes abordés :L’adaptation des étudiants aux nouvelles technologiesLes armes fournies par l’école pour affronter la désinformationLe souci du CFJ de représenter la société pour répondre à la défianceLes limites fixées à l’engagement des étudiants : le cas du conflit israélo-palestinien Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a « streamé » avec Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot ou Fabien Roussel.Chaque semaine dans son émission « Backseat », Jean Massiet et ses chroniqueurs passent en revue l’actualité politique sur Twitch.Suivi par plus 240 000 personnes sur la plateforme, le vidéaste dit appartenir au mouvement de « l’éducation populaire » et s’est donc fixé un objectif : vulgariser et analyser la politique pour sa jeune audience, âgée de 24 ans en moyenne. Sa manière à lui de sensibiliser cette génération qui se détourne de la chose publique et boude les médias traditionnels.Avec la dissolution de l'Assemblée nationale, Jean Massiet a décidé de multiplier ses émissions et de s’impliquer personnellement : le « streameur », passé par différents cabinets politiques, vient de signer une tribune appelant à voter pour le Nouveau Front Populaire aux prochaines législatives anticipées. Dans ce nouvel épisode de notre podcast, il revient pour MediaConnect sur :les raisons du succès de son émission « Backseat »son regret d’avoir accepté de participer à l’émission « Quelle époque » (France 2)son refus d’inviter des membres du Rassemblement Nationalle « business model » de son émission  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jusqu’à 5 000 photos, 400 dépêches et 40 vidéos par jour. Le tout en 6 langues ?C’est la promesse de l’AFP, dans sa couverture des prochains Jeux olympiques et paralympiques de Paris, du 26 juillet au 8 septembre.Avec plus de 200 journalistes mobilisés, la célèbre agence de presse compte bien se démarquer grâce à sa dimension internationale. Avec un traitement éditorial de l’événement, entre le sportif et l’extra-sportif, entamé il y a maintenant plus de 10 ans.Pierre Galy, son chef du département des sports, est l’invité de ce nouvel épisode de notre podcast « ça bouge dans les médias ».Parmi les thèmes :le dispositif de couverture globale de l’événementla singularité de l’AFP vis-à-vis de la concurrencela place du chauvinisme dans une agence attachée au factuella question des critiques dans le traitement médiatique de l’événementHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec 11 millions d’abonnés sur TikTok, Gala assoie chaque jour un peu plus son rang de 3e compte média le plus suivi au monde sur le réseau social. Devant MTV.Le secret ? Des vidéos coulisses, captées au plus près des célébrités françaises et internationales, lors de grands événements. Des vidéos courtes, brutes, sans commentaire, presque sans montage et immensément virales.Désormais propriété du Groupe Le Figaro, Gala s’est ainsi taillé la réputation de rendre accessible l’inaccessible. A l’image du dernier dîner d’Etat à Versailles, en l’honneur de Charles III.Dans ce nouvel épisode de notre podcast, son directeur de la rédaction, Matthias Gurtler, nous raconte cette « succès story » numérique aux 3 milliards de vues… sur une plateforme chinoise néanmoins menacée dans plusieurs Etats.Parmi les thèmes :les ingrédients d’une recette devenue viralel'avenir incertain du réseau social Tik Tokla monétisation d’une audience considérablel'impact du rachat sur la vie du magazineHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J-1 pour la chaîne M6 : demain, son offre de streaming « 6Play » deviendra « M6+ ». Au programme : 30.000 heures de contenus, principalement issus des programmes phares du groupe.La plateforme de M6 fait peau neuve, quatre mois après le lancement de TF1+, l’offre de streaming du concurrent TF1. Dans un contexte où le temps moyen des Français devant la TV linéaire ne cesse de baisser, au profit de plateformes vidéo de plus en plus nombreuses ces dernières années.Comme la « Une », M6+ a fait le choix d’un modèle hybride, entre la formule gratuite financée par la publicité (AVOD) et l’abonnement (SVOD) pour accéder à certains avantages.  Au-delà des contenus, M6 annonce investir 40 millions d’euros dès cette année et compte par ailleurs sur son moteur de recherche boosté à l’IA.Henri de Fontaines, membre du directoire de M6 et directeur du streaming, est l’invité de ce podcast #65.Parmi les thèmes :l’offre M6 et son modèle hybride AVOD / SVODla concurrence TF1+la problématique de trop-plein de contenusl’espérance de vie de la TV linéaireHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On voulait vulgariser et partager leurs savoirs.» Combiner l’expertise universitaire à l’exigence journalistique : telle est la mission de la rédaction de The Conversation France. Dans une époque où règnent la désinformation et l’opinion, ses journalistes ne collaborent qu’avec des académiques et des chercheurs, dans l'objectif de fournir une analyse de l'actualité, à la fois rigoureuse, fiable et indépendante. Déclinaison française d’un réseau international, née en 2015, The Conversation France a noué un partenariat avec 90% des universités du pays et comptabilise désormais plus de 6 millions de pages vues par mois. A la tête de cette rédaction inhabituelle, son directeur Fabrice Rousselot (ancien directeur de la rédaction de Libération), nous en raconte les coulisses, dans ce nouvel épisode de notre podcast dédié au monde des médias. Parmi les thèmes abordés : -la collaboration entre les experts et les journalistes -la garantie d’une ligne éditoriale objective et factuelle -les difficultés rencontrées pendant l’épidémie du COVID-19 -le modèle économique atypique d'un média à but non lucratifHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, place à une rédaction tout à fait singulière. Son nom ? « Citizen Facts. » Ses membres ne sont pas journalistes de métier, mais lycéens, sages-femmes, informaticiens, ou retraités... Tous détestent les fausses informations qui circulent en ligne et n’ont qu’une envie : démonter celles-ci. Un projet citoyen né pendant la crise du Covid-19, face à la montée en puissance des théories du complot et porté par la journaliste Aude Favre, fondatrice de la chaîne YouTube WTFake!, invitée de notre podcast cette semaine. Les enquêtes, menées en « open source », grâce aux compétences de chacun, ont fait l’objet d’une mini-série documentaire diffusée sur ARTE à l’automne dernier. Celle-ci nous plonge dans les coulisses du travail de cette rédaction virtuelle, qui s’efforce de démystifier des sujets bien réels, tels que le discours des « anti-vax », des « anti-IVG » ou la pratique du « greenwashing ». « Citizen Facts » compte aujourd’hui 2 000 « enquêteurs citoyens ». Européens, pour la plupart et tous bénévoles. Aude Favre nous raconte cette folle aventure.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ne l’appelez plus L’Obs, mais bien Le Nouvel Obs. Le célèbre hebdomadaire a officiellement fait peau neuve le 21 mars dernier. Changement de nom. Changement d’identité visuelle. Mais surtout : changement de site Internet, son plus gros chantier. Dans un contexte délicat pour les magazines d’actualité, les ventes du titre ont reculé de 7% en 2023 et l’hebdomadaire, lancé il y 60 ans par Jean Daniel et Claude Perdriel, est de nouveau déficitaire. Il s’est donc fixé un objectif de taille : augmenter le nombre de ses abonnés numériques de 20%, d'ici à 2025. Face à ces nombreux défis, sa directrice générale Julie Joly nous explique comment le newsmag, adossé au groupe Le Monde, entend écrire ce nouveau chapitre de son histoire. Parmi les thèmes abordés : Les grands axes de la nouvelle formule Les ambitions numériques du titre La ligne « clairement progressiste » du newsmag L’absence assumée de synergie éditoriale au sein du groupe Le MondeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les révélations ont eu l’effet d’une détonation.Des accusations de viol et agressions sexuelles portées contre le psychanalyste Gérard Miller en janvier dernier. Ces témoignages, recueillis et publiés par le magazine ELLE, ont ainsi marqué le point de départ de l’affaire, qui totalise désormais plusieurs dizaines d’accusations.Signée Cécile Ollivier et Alice Augustin, l’enquête a aussi permis de rappeler l’ambition du titre féminin : creuser le sillon d’une ligne éditoriale bien plus sociétale, dans un monde post-#MeToo.Une ligne portée par Ava Djamshidi, ancienne grand reporter au Parisien, désormais la rédactrice en chef du ELLE. Sous l’impulsion de Véronique Philipponnat, directrice du magazine et invitée de notre podcast, cette semaine.Emblématique et historique, le titre lancé en 1945 par Hélène Lazareff, revendique aujourd’hui près de 10 millions de lecteurs mensuels au global. Parmi les thèmes de l'épisode :Les raisons du virage éditorial du magazineSa vision transgénérationnelle du féminismeLa déclinaison internationale de la marqueLa santé économique du titre Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, l'Arcom publie son rapport annuel sur la représentation des femmes en TV et radio. L'an passé, celui-ci faisait état de « résultats quantitatifs en progrès. » Alors cette semaine, à quelques jours du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, « Ça bouge dans les médias » avec Christelle Chiroux, directrice adjointe de l’information à TF1 et directrice déléguée de sa Fondation. En charge de la médiation et de la RSE au sein du groupe, elle porte l'initiative des « Expertes à la Une », programme d'accompagnement qui vise à renforcer la présence des expertes dans les médias, pour leur assurer une meilleure représentation. La 4e promotion sera dévoilée demain, mercredi 6 mars. 15 femmes, expertes de thématiques variées (géopolitique, environnement, aérospatial, etc.) vont ainsi bénéficier du parrainage de journalistes du groupe TF1, mais aussi d'ateliers de coaching et media training, opérés par des entreprises extérieures. Dans cet épisode, Christelle Chiroux revient notamment sur :-Le programme de tutorat de la 4e promotion-Les craintes des femmes expertes-Les origines de l’initiative des « Expertes à la Une »-L’engagement interne et externe du groupe TF1 sur ces questions>>> Pour accéder à l'interview écrite donnée par Christelle Chiroux à MediaConnect en 2023, c'est par ici !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment sont creusés les tunnels du métro ? D’où viennent nos noms de famille ? Les athlètes peuvent-ils encore battre des records ?Qu'il s'agisse de science, d'histoire, ou de sport, Explore Media s’est fixé la mission de diffuser la connaissance au plus grand nombre. Avec une ligne de conduite : le faire de façon ludique. C’est ce qu’on appelle désormais l’« edutainment » ; à savoir du contenu éducatif divertissant.« Très souvent, les réseaux sociaux peuvent être décriés comme des plateformes futiles où on va perdre du temps », se désole son cofondateur Jérémie Nacache, invité cette semaine de notre podcast « Ça bouge dans les médias. »Lancé en 2017, Explore Media s’est depuis déployé sur toutes les plateformes, en France et à l’étranger. Suivi par des millions de personnes, ce média 100% social, réputé pour ses contenus viraux, a atteint le milliard de vues en 2023. Des contenus, pour partie, produits avec des marques.Parmi les thèmes de cet épisode :les caractéristiques éditoriales de l’« edutainment »la nécessité de composer avec les algorithmes des plateformesla perception du public vis-à-vis du « brand content »les défis de leur stratégie internationaleHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lancer un journal papier en 2023 ? Un dominical ? Et en 80 jours ? C’est le pari que s’est lancé Bruno Jeudy.« J’ai l’âge raisonnable de mener une mission aussi peu raisonnable ! », constate, à 60 ans, le directeur délégué de la rédaction de La Tribune dimanche, également passé par Le Parisien, Le Figaro, Paris Match, ou Le JDD. Le voici, cette semaine, invité de notre podcast « ça bouge dans les médias ». Déclinaison généraliste du site économique La Tribune, le journal dominical est arrivé dans les kiosques le 8 octobre dernier, porté par une vingtaine de journalistes. Et s'est vu immédiatement vu qualifié d'alternative au Journal du dimanche, depuis son changement de ligne éditoriale. Racheté par la branche médias de CMA CGM, du groupe de l’armateur Rodolphe Saadé, La Tribune Dimanche assume sa volonté de récupérer des déçus du JDD, en se positionnant comme un « journal de la nuance » et du pluralisme. 4 mois et 18 numéros plus tard, quel bilan ? Les objectifs fixés ont-ils été atteints ? Bruno Jeudy raconte, au micro de MediaConnect, cette aventure semée d’embûches. Parmi les thèmes de l’épisode :Les aléas du lancement d’un médiaLe positionnement du journal vis-à-vis des extrêmesLa découverte de nouvelles fonctions pour Bruno JeudyLes ambitions du journal Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Vaquita est un marsouin du Pacifique, et surtout, le mammifère marin le plus menacé de la planète. Symbole de la résistance, il prête son nom au média numérique d’investigation lancé par le journaliste Hugo Clément en novembre 2022.  L’ambition de Vakita : enquêter, pour sensibiliser le plus grand nombre aux sujets liés à la planète et encourager le passage à l’action. Vakita se veut résolument orienté vers les solutions. Un média porté des équipes convaincues qu’il est possible de concilier journalisme et engagement.  Aujourd’hui « Ça bouge dans les médias » avec son rédacteur en chef : Axel Roux. L’ancien responsable des enquêtes de l’émission « Sur le front », revient sur plusieurs points tels que :  S’engager sans dénaturer l’idée même du journalisme L’impact concret des enquêtes de Vakita Convaincre au-delà de son cercle de personnes déjà convaincues Assurer son indépendance éditoriale vis-à-vis de ses actionnaires Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Thierry Ardisson l’a confié récemment au « Figaro » : ils sont capables de « régénérer les écrans.» Ils ? Ce sont les contenus du média « Le Crayon », dédié au débat et lancé sur You Tube en 2020, à destination des 18-35 ans. Parmi ses cofondateurs, son CEO Wallerand Moullé-Berteaux, 26 ans, et l’invité de notre tout premier épisode podcast de l’année 2024. Cette semaine, « ça bouge dans les médias » avec le cofondateur d’un média, dont l’ambition est de passer par la discussion, la réflexion, pour « réunir la société française. » Un média, désormais suivi, au global sur les réseaux sociaux, par plus de 700 000 abonnés. Classé au « 30 under 30 » de Forbes France, Wallerand Moullé-Berteaux est à la tête d’un groupe média, dans lequel figurent, en plus de la chaîne « Le Crayon » : une agence RP pour les dirigeants (« Le Surligneur »), une agence de contenu pour les entreprises (« Le Pinceau ») et depuis peu, un autre média (« Les pépites de France »), dédié au tourisme et au patrimoine. Dans cet épisode, l'entrepreneur média revient notamment sur les sujets suivants :Le pari de l’opinion pour nourrir la réflexionLa pluralité de profils des jeunes générations abonnées au CrayonDu linéaire au flux, les opportunités offertes à la TV pour se réinventer L'objectif stratégique de « led media company » choisi pour développer Le CrayonHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Place au dernier épisode de l'année 2023 ! Cette semaine, « ça bouge dans les médias » avec Eric Chol, directeur de la rédaction de L'Express. À l’occasion des 70 ans de l’emblématique « newsmag », la rédaction s’est plongée dans ses archives, pour les mettre à l’honneur dans un numéro spécial. Environ 200 pages de récits et photos, pour raconter l’histoire du journal, mêlée à celles d'une France et d'un monde, profondément transformés en l’espace de sept décennies. Lancé en 1953, par les iconiques Françoise Giroud et Jean-Jacques Servan-Schreiber, L’Express a toujours porté haut ses engagements. Opposé à la guerre d’Indochine et militant pour la décolonisation, à ses débuts, le titre assume volontiers sa ligne libérale et pro-européenne d’aujourd’hui. Et affiche clairement ses ambitions, sous l’impulsion de son propriétaire Alain Weill : devenir le «The Economist français. » Dans cet épisode, Eric Chol rappelle quelques-uns des temps forts qui ont jalonné l’histoire de L’Express. Sans oublier ses prises d’engagement, au nom de la défense des libertés. Le directeur de la rédaction nous explique également sa vision éditoriale et son positionnement, dans le secteur très concurrentiel des « newsmagazines » en France. Il esquisse aussi l’avenir de L’Express dans les 70 prochaines années.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
57% des Français disent se méfier de ce que disent les médias sur les grands sujets d’actualité, selon le dernier baromètre Kantar pour La Croix, de la confiance des Français dans les médias.  Dans un contexte où la désinformation et la défiance vis-à-vis des journalistes sont grandes, comment donner le goût de s’informer ? Et surtout, quels outils fournir pour naviguer au mieux dans ce flot d'actualités ? Telles sont les missions de l’association« Entre les lignes », née en 2010. Cette semaine « ça bouge dans les médias » avec Fanny Lattach, ex-journaliste à l’AFP et désormais directrice adjointe de cette association. Aujourd'hui, « Entre les lignes » compte un réseau d’environ 250 journalistes bénévoles, issus de rédactions partenaires (AFP, Groupe le Monde, Contexte) engagés au service de l’éducation aux médias. Ces professionnels de l'information œuvrent principalement au sein des établissement mais aussi en dehors. Dans cet épisode, Fanny Lattach revient notamment sur l'approche pédagogique de l’association, la formation des journalistes bénévoles. Mais aussi les questions récurrentes posées lors des ateliers, ou les outils fournis aux jeunes publics vis-à-vis des influenceurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On m’a souvent dit : raconte-moi une histoire, mais on ne m’a jamais dit comment raconter une histoire. La narration ça s’apprend. » Après 20 ans d’expérience en radio, Jules Lavie, désormais rédacteur en chef au Parisien et présentateur du célèbre podcast « Code Source »  , s’est depuis bien rattrapé.  Cette semaine, « ça bouge dans les médias » avec la voix du podcast à succès. Né en mai 2019, ce format quotidien totalise 700 000 à 800 000 téléchargements chaque mois en France. Au point d'être entré dans le club fermé des 3 podcasts d’actualité les plus suivis du pays.  En quatre ans, le crédo du programme n’a pas changé : des histoires qui font l’actualité, racontées par ses témoins et des journalistes de la rédaction du Parisien. Le journal, « populaire et de qualité » selon Jules Lavie, reste le point de départ de chaque épisode de « Code Source ». Derrière le rideau, s’organise ainsi une véritable synergie entre la rédaction et l’équipe du podcast, au service de la marque.  Dans cet épiosde, Jules Lavie se confie sur sa source d’inspiration journalistique. Il nous explique l’importance du storytelling dans la transmission de l’information, nous dévoile les coulisses d’un épisode de « Code Source »  et se livre sur sa stratégie pour de rester attractif malgré l’hyper-concurrence du podcast d’actualité en France.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Lorsque l’on révèle la fortune de Cyril Hanouna, ça intéresse beaucoup, ça fait plus d’1 million de vues. » Cette semaine, « ça bouge dans les médias », avec Gilles Tanguy, fondateur et directeur de la rédaction de l’Informé : un pure player indépendant, né en 2022 et spécialisé dans l’investigation économique.  Sa promesse : « Chaque jour, la rédaction de l’Informé révèle des informations exclusives que les entreprises et leurs dirigeant(e)s, préfèrent cacher, dans tous les secteurs de l’économie.» En moyenne, 4 à 6 scoops économiques sont ainsi révélés au quotidien. Pour y parvenir, l’équipe de Gilles Tanguy est composée de journalistes expérimentés, au réseau établi.  Dans cet épisode, le fondateur du pure player indépendant, nous décrit les spécificités de l’investigation économique et nous donne son point de vue sur la pratique du « off » dans ce journalisme-là. Il revient également sur l'importance de l'indépendance éditoriale de sa rédaction vis-à-vis de son actionnaire Xavier Niel, mais aussi sa stratégie globale pour conquérir de nouveaux abonnés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Les femmes ont le droit d’ouvrir un compte bancaire, de gérer leurs biens et de travailler sans le consentement de leur mari seulement depuis 1965. À ce jour, 25% des femmes ne possèdent pas de compte bancaire personnel. » Rappel historique de Valérie Lion, rédactrice en chef de « ViveS Média », cette semaine, au micro de MediaConnect. Lancé en 2021 au sein du groupe Bayard, « ViveS» qui entend toucher un maximum de femmes, en tant que « média d’alerte et de solutions », pour les sensibiliser à la question d’indépendance économique et financière. Pour Valérie Lion, il s’agit-là de « la dernière brique » permettant l’émancipation totale des femmes. Après celles atteintes par le travail et par le corps. Pour atteindre son objectif, « ViveS Média » a donc été pensé comme un média global, fait de contenus pensés pour être accessibles, engageants et entraîner le passage à l'action ;  à savoir, une newsletter hebdomadaire, un podcast (« Osons l’oseille »), des vidéos de formation, mais aussi un forum annuel, ou un baromètre en collaboration avec l'IFOP, LFDE et Boursorama. Valérie Lion nous détaille l'action de ce collectif de journalistes passionnés et engagés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine nous discutons avec Hervé Poirier, rédacteur en chef de la revue Epsiloon. Ce jeune magazine scientifique "pop" vise à "dépoussiérer" le genre de magazine de science.  Pour rappel, le journaliste et son équipe quitté la rédaction de Science & vie en 2021 pour des questions d'indépendance éditoriale.  Aujourd'hui, avec ses 35 000 abonnés, la rédaction a pour ambition de faire d'Epsiloon “𝘭𝘦 𝘫𝘰𝘶𝘳𝘯𝘢𝘭 𝘥𝘦 𝘳𝘦́𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘧𝘳𝘢𝘯𝘤𝘰𝘱𝘩𝘰𝘯𝘦."  Dans cet épisode, Hervé Poirier nous partage sa vision du journalisme. Pour lui, informer doit se faire par la transmission d'émotions. Le rédacteur en chef estime aussi que le journaliste doit refuser la position du sachant et se placer en dessous du lecteur.  Epsiloon c’est aussi, un record historique de financement participatif sur la plateforme Ulule. Et à ce jour, 95% des revenus de la revue proviennent des abonnés. Pour Hervé Poirier, la transparence est une absolue nécessité pour tisser un lien confiance avec le lecteur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les podcasts de MediaConnect sont de retour ! Nouvelle saison, nouveau nom. Désormais, ça bouge, oui… Mais « ça bouge dans les médias ». Au programme, des interviews, avec des acteurs et experts, pour raconter et décrypter cet écosystème, bouleversé à bien des égards. On commence cette semaine avec Kati Bremme, directrice de l’innovation à France TV, rédactrice en chef de Méta-Media et à la manœuvre d’un dossier de 178 pages publié cet été, consacré aux conséquences de l’IA dans les médias. Alors on a poursuivi la discussion. Et abordé une multitude de questions, comme la progression de la vraisemblance au détriment de la vérité, l’autorité des médias contestée, dans un contexte de défiance grandissante. Mais aussi le sort à réserver aux « crawlers », ces logiciels qui « pillent » les contenus des médias, ou le casse-tête du cadre européen, pour réguler sans porter atteinte la compétitivité des entreprises tech. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la saison des festivals bat son plein, de plus en plus de voix s'élèvent pour questionner leur impact environnemental. Comment rendre ces événements plus éco-responsables ? C’est le défi que s’est lancé Climeet. La start-up française est à l’origine d’un calculateur carbone dédié aux acteurs de l’événementiel. Pour les aider à mesurer et réduire les émissions liées aux manifestations publiques qu’ils organisent.  Climeet revendique aujourd’hui plusieurs dizaines d’entreprises utilisatrices, comme L’Oréal, Moët & Chandon ou Décathlon et compte depuis quelques jours l’Elysée parmi ses clients. Mais aussi des investisseurs bien connus, tels que Frédéric Mazzella (Blablacar) ou Cédric Ringenbach (Fresque du Climat).  Dans ce dernier épisode de la saison, Béatrice Eastham, présidente et directrice générale de Climeet, nous en dit plus sur l'outil et affirme son ambition : « accompagner la filière de l’événementiel pour qu’elle soit l'une des premières à respecter l'Accord de Paris sur le climat (COP21). »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que le gouvernement vient une fois de plus de faire machine arrière, en annonçant un nouveau de report de la présentation de sa loi sur l'immigration*, l’entreprise each One, quant à elle, trace sa route.  Lancée en 2015, la société s'est fixée une mission de taille : inclure par le travail, en offrant une solution de recrutement et de formation aux réfugiés et nouveaux arrivants.  Sa promesse ? Trouver un emploi en seulement 3 mois, grâce à un programme de formation en présentiel. Pour des métiers très divers : vente, hôtellerie, secteur bancaire, data analyse, etc.   Des entreprises telles que Monoprix, les Galeries Lafayette ou BNP, ont ainsi fait confiance à each One dans l’embauche de nouveaux salariés.  Invité de notre podcast cette semaine, son cofondateur Théo Scubla, nous a également expliqué le sens de son dernier  livre, « Le Grand Rapprochement » (Ed. Le Cherche-Midi), miroir totalement inversé d'une théorie bien connue, aux consonances certes proches, mais diamétralement opposée dans sa vision du monde. * Épisode enregistré avant l'annonce de ce nouveau report.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si recharger sa voiture électrique prenait aussi peu de temps que de faire son plein ?  C’est en tout cas l’ambition affichée à terme par Electra, scale-up française spécialisée dans les bornes de recharge dite « ultra-rapide ». Perçue comme un frein à la démocratisation de la voiture électrique, la question de la recharge est donc au cœur de l’équation de l’entreprise, lancée en 2021. Dans une France, qui compte désormais 780 000 véhicules électriques en circulation, sur un parc global de 38 millions de voitures, Electra a déployé à ce jour 60 stations de bornes sur le territoire, dans la plupart des grandes agglomérations. Et en projette 2 000 à terme, en Europe. Avec son président Aurélien de Meaux, nous discutons notamment de : la place de la France dans cette course mondiale, l’impact (ou non) de la crise de l’énergie sur le prix des recharges, la concurrence des mastodontes Total, Engie, ou Tesla... Et cette question : Electra et l’Union Européenne seront-elles prêtes, face à l’interdiction annoncée des ventes de véhicules thermiques neufs en 2035 ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, 67% des personnes en situation de handicap interrogées, disent rencontrer des difficultés pour se déplacer, selon une étude de l'Ifop pour APF France Handicap, publiée en 2020. Dans ce contexte, Rajae El Harrak, fondatrice et CEO, a créé VeebyA, une application dédiée aux réservations de transports des personnes en situation de handicap.  Destinée à la région Île-de-France dans un premier temps, l'application lancée en septembre 2022, permet ainsi d'accéder à un réseau de chauffeurs formés au transport de personnes à mobilité réduite (TPMR).  Elle-même en situation de handicap et donc confrontée à des problèmes d'accessibilité, l'entrepreneure a voulu ainsi répondre au manque d'inclusivité dans les transports. Son prochain objectif : assurer le déploiement optimal de sa solution lors des JO 2024, où 350 000 personnes en situation de handicap sont attendues dans la région francilienne.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si les plantes pouvaient illuminer les villes de demain ? Présente dans la dernière saison de « Qui veut être mon associé » sur M6, la start-up française Aglaé a mis au point un procédé permettant d’illuminer les plantes. Grâce à sérum nutritif, directement injecté dans les végétaux, sans altération génétique.   Aglaé se pose en solution d'éclairage responsable des communes, complémentaire des lampadaires. De quoi ouvrir la voie à une nouvelle ère du développement urbain. Dans le même temps, la start-up travaille, dans un cadre événementiel, avec des marques telles que Chanel, L'Oréal ou Disney. Dans cet épisode, sa fondatrice Sophie Hombert nous en dit plus sur cette idée tout droit sortie de la planète Pandora d'« Avatar.»Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un contexte de toute puissance des réseaux sociaux, de désinformation et de détournement des jeunes générations des médias « traditionnels », l'application SWEN tente d'apporter une solution à l'équation. Signification de "news" à l'envers, SWEN s'adapte donc aux nouveaux usages de consommation de l'information, via des contenus 100% vidéo, à destination d'un public de moins de 30 ans et accepte ainsi volontiers son surnom de « TikTok de l'info ». Conscients de l'enjeu, une centaine de médias ont déjà fait le pari de suivre Théophile Gucia, son cofondateur et invité de notre podcast cette semaine. Avec cet outil, l'entrepreneur, espère non seulement sensibiliser les plus jeunes à l'information mais aussi leur proposer un outil sûr et vérifié pour se forger leur propre opinion. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Les études se suivent et se ressemblent : les femmes de la tech sont sous-représentées, s’estiment sous-payées (67%) et se disent victimes de sexisme (49.5%) [chiffres Web Summit 2022]… Parmi les causes : les stéréotypes, une crise des représentations, la formation, ou la crainte de se retrouver en ultra-minorité au milieu d'hommes. L’an dernier en France, la Mission French a donc lancé le « Pacte parité », désormais signé par environ 160 start-up, pour plus de parité dans l’écosystème. Parmi leurs engagements : atteindre un minimum de 20% de femmes dans leur CA d’ici à 2025 ou former 100 % des managers sur les enjeux de diversité et lutte contre les discriminations. Un texte porté par Clara Chappaz, directrice de la Mission French Tech, invitée de notre podcast cette semaine. L’occasion de tirer avec elle un premier bilan. Et poser cette question : faut-il être plus coercitif, s’en remettre au législateur (Cf. loi Copé-Zimmermann de 2011) pour atteindre des résultats en la matière ?  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) vient de mettre à l’épreuve le système bancaire, c’est la chute du géant américain FTX qui donnait quelques sueurs froides au monde de la crypto, il y a quelques mois. Malgré les secousses, malgré la mort du bitcoin souvent annoncée, la plateforme Coinhouse, qui accompagne ses clients dans leurs investissements cryptos, a maintenu sa position d’acteur de référence en France. L’occasion d’échanger avec son CEO et cofondateur Nicolas Louvet, le faire revenir sur les événements FTX, leur impact sur son activité et la façon dont lui et ses équipes doivent mener leur barque au quotidien, en ces temps agités. Des temps également marqués par les dérives frauduleuses de certains acteurs, contre lesquels Nicolas Louvet s’élève dans cet épisode. Et à cause desquels le CEO appelle donc à une meilleure régulation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 « J'ai envie de donner aux jeunes des raisons d’espérer et de diffuser une petite musique différente. » Journaliste et présentateur vedette d’« Enquête exclusive » sur M6, Bernard de La Villardière vient de lancer Réel, son nouveau média en ligne, 100 % vidéo et accessible sur tous les réseaux sociaux. Deux ans après avoir créé Neo, média dédié aux territoires, le journaliste enfile à nouveau sa casquette d’entrepreneur, pour faire de Réel « une alternative dans le paysage médiatique actuel. » Bernard de La Villardière revendique une approche « postive ». Avec des reportages et interviews, consacrés aux « acteurs du changement », sur des thématiques liées à l'innovation, l'environnement, ou aux actions solidaires. Il s'agit de mettre en avant « toutes les initiatives porteuses de solutions.» Fidèle à son franc-parler, le journaliste exprime dans cet épisode sa volonté de rompre ainsi avec les codes d'un journalisme qu'il juge parfois « culpabilisant. » Pour son lancement, Réel a levé 1,3 million d’euros auprès de business angels. Son modèle économique repose notamment sur le brand content et donc le partenariat avec certaines marques. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous ne la connaissez peut-être pas. Pourtant, vous êtes probablement déjà passés par une de ses plateformes. Fondée en 2012, l'entreprise Mirakl est un éditeur français de logiciels, qui aide les acteurs e-commerce et B2B à façonner leur propre « marketplace ».  Des places de marché, pour permettre aux entreprises clientes d’agréger des vendeurs partenaires, étoffer leur catalogue, accroître leur volume d’activité et donc générer plus de revenus.  Mirakl accompagne des clients bien connus. Ils s’appellent Carrefour, Maison du Monde, ou Galeries Lafayette. L’entreprise promet de leur offrir des outils pour rivaliser face aux géants de la Tech, à commencer par le mastodonte Amazon. Dans contexte macroéconomique tourmenté, y compris pour l’e-commerce, Mirakl vient pourtant d’annoncer une « année record » en 2022 : 6 Mds $ de volume d’affaires et 135M $ de revenus annuels récurrents, pour la licorne valorisée plus 3 Mds $ et entrée dans le club très fermé des « centaures ».  Dans cet épisode, Isabelle Bénard, directrice de produit et membre du comex de Mirakl, nous détaille les secrets de cette réussite. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, l'insuffisance cardiaque est liée à 70 000 décès chaque année et touche plus d'un million de personnes (Fédération Française de Cardiologie). Face à cette pathologie, la start-up CorWave a développé une pompe cardiaque nouvelle génération.  Contrairement aux dispositifs traditionnels, celle-ci a été pensée pour s'adapter au niveau d'activité physique du patient. Une technologie biomimétique, qui s’inspire de la nage ondulatoire des animaux marins et permet à la membrane de la pompe d'onduler avec fluidité.  L'espoir que CorWave suscite est tel, que la Commission européenne, via son fonds EIC Fund, a même investi 2,5 millions d'euros dans le projet. Le premier investissement de l'instance dans une société privée.  Commercialisée d’ici à quelques années, son directeur général, Louis de Lillers, nous en dit plus sur cette technologie de rupture.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Carton plein pour le dernier salon NFT Paris et ses plus de 10 000 visiteurs. Un succès qui illustre l'intérêt grandissant du public pour le Web3.  Pour accompagner cette transition vers l’internet nouvelle génération, Bilal El Alamy, cofondateur de PyratzLabs, accélérateur de start-up de l'écosystème Web 3, lance début mars son école dédiée à cette verticale : la Blockchain Business School. Ce nouvel établissement a été pensé pour pallier le manque de connaissances, dont pâtit encore cette nouvelle industrie. Des clés pour naviguer dans l’internet nouvelle génération et comprendre ses nouveaux usages. L'ambition de Bilal El Alamy : un « MBA » de la Blockchain pour former les futurs champions du secteur. Enjeux et modalités des formations détaillés par son fondateur, dans cet épisode. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, 8.5 millions d’adultes sont obèses. (Ligue contre l'obésité, 2021) Face à cette question de santé publique, la start-up franco-américaine Allurion a conçu un ballon gastrique innovant : une capsule végétale à ingérer, remplie d’eau une fois qu’elle atteint l’estomac. L’effet d’un anneau gastrique… mais sans chirurgie. A l’approche du 4 mars, journée mondiale de lutte contre l’obésité, son directeur international, Benoit Chardon, nous en dit plus sur le fonctionnement de ce ballon de la taille d’un pamplemousse. Une innovation déployée en 15 minutes, pensée donc pour créer la sensation de satiété chez le patient. D’après l’entreprise, les patients peuvent s'attendre à une perte de poids moyenne de 10 à 15% au bout de quatre mois, moment à partir duquel le ballon biodégradable finit par se dissoudre naturellement. Dans cet épisode, Benoît Chardon nous détaille également toutes les étapes du programme, placé sous l’encadrement d’une équipe médicale et proposé aujourd’hui par une soixantaine de cliniques en France (600 dans le monde). La medtech vient d’annoncer son introduction à la bourse de New York, avec une valorisation estimée à 500 millions de dollars, qui vise notamment à amplifier ses investissements en R&D.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous le savez, nous en consommons (beaucoup) trop. A l’origine de maladies graves, le sucre agit sur notre cerveau comme une drogue. D’après la start-up Yacon & Co, près de 90% de la population mondiale souffre de symptômes liés à la consommation de sucre. Face à ce constat, Raphaella Nolleau, sa cofondatrice, s’attaque sans excès au marché de la gourmandise avec une alternative 100% végétale. Grâce au yacon, un tubercule originaire du Pérou, qualifié de « poire de terre » et alternative au sucre blanc, que l'entreprise décline en pâte à tartiner ou en sirop. Ce sirop contient moins de calories et un indice glycémique plus bas que les substituts au sucre déjà connus sur le marché. « 4 fois moins de sucre que le sucre blanc et 3 fois moins de sucre que le sirop d’agave» », précise la l'entreprise, qui entend développer une filière de yacon en France, d'ici à 2024. Il y a quelques mois, Yacon & Co a intégré HECTAR campus agricole, fondé par Xavier Niel, qui vise notamment à accélérer l’accompagnement des entrepreneurs de l’agritech, pour en faire de futurs champions. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Depuis le 1er février, les tarifs de l'électricité ont augmenté de 15%. Ils auraient même dû augmenter de 100 %... Sauf que la hausse est contenue par le bouclier tarifaire du gouvernement, qui devrait coûter 45 milliards d'euros cette année aux finances publiques.   Une mesure bienvenue pour les revenus modestes, mais très coûteuse et mal ciblée, selon Sylvain Le Falher, cofondateur de la start-up Hello Watt et invité de notre podcast cette semaine.      « Le conseiller énergie des particuliers », comme la start-up aime se définir, s’engage à conjuguer économie et sobriété pour aider les particuliers à réduire leur facture énergétique.  Grâce à son application, qui permet aux utilisateurs d’analyser leur consommation d’énergie. Grâce aussi à de l’accompagnement dans l’installation d’outils au service de la transition énergétique de leur logement. Dans un contexte où les « passoires thermiques » deviennent progressivement interdites à la location.      A notre micro, Sylvain Le Falher est aussi revenu sur la polémique créée par l'étude d'Hello Watt publiée en janvier sur les DPE (diagnostics de performance énergétique). D’après laquelle, 71% de ces diagnostics ne correspondent pas aux mesures des compteurs Linky et Gazpar.   Attaqué par certains professionnels sur secteur sur la méthode de calcul, le cofondateur de la sart-up s’est expliqué.   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elle se définit comme « l’école qui casse les codes ». Chloé Hermary est la fondatrice d'Ada Tech School, école informatique inclusive, qui vise un objectif : faire sauter tous les feins qui viendraient pénaliser les personnes discriminées et sous représentées dans les formations des professions de la tech. Parmi elles, les femmes, qui représentent à peine 23% des effectifs des métiers du numérique (source : Femmes Numérique, 2020). L'approche d'Ada Tech School vise non seulement à apporter plus « d'égalité et d'équité » au système, mais aussi proposer une solution concrète au contexte de pénurie des talents tech, secteur où « 40% des postes créés restent non-pourvus », comme le rappelle Chloé Hermary... qui revendique 70% de femmes sur les bancs de son école. Pour réussir ce tour de force, l'établissement, basé à Paris et à Nantes, propose donc une approche alternative à la pédagogie traditionnelle. A l'Ada Tech School, pas de notes, par exemple, et les enseignants n'accompagnent pas les apprenants avec du théorique, mais sur des projets pratiques, en soutien continu. Un modèle repensé de fond en comble et détaillé par sa fondatrice, dans cet épsiode.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, on s’attaque aux tabous de la santé masculine.‍️ Du diagnostic, au traitement, jusqu’au suivi des soins, Charles.co, plateforme d'e-santé consacrée aux hommes, les accompagne avec l’aide de professionnels de santé, face à divers troubles ou pathologies. Qu'il s'agisse du sommeil, de la fertilité, la perte de cheveux... ou la santé sexuelle, qui concentre de nombreux non-dits. A titre d'exemple, à peine 26% des hommes qui présentent une dysfonction érectile ont déjà consulté un professionnel de santé à ce sujet (IFOP, 2019). Dans cet épisode, le cofondateur de l'entreprise, Simon Burellier, nous explique notamment pour quelles raisons ces tabous demeurent tenaces.   Fondée en 2019, la start-up s'est fait connaître du grand public dans la précédente saison de « Qui veut être mon associé », émission diffusée sur M6.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ces deux générations sont liées par la précarité. En France, 8,6 % des personnes de plus de 65 ans, soit 1 067 000 personnes, sont touchés par la pauvreté (Insee, 2021), quand 20% des 18-29 ans se situent sous le seuil de pauvreté (commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, 2021). Pour lutter contre ce phénomène, la start-up Colette met ainsi en relation les moins de 30 ans à la recherche d’un logement, et les plus de 60 ans disposant d’une chambre libre dans leur domicile. L'occasion également pour ces personnes âgées de briser la solitude dont elles peuvent être victimes, en créant ce lien avec les plus jeunes générations. Dans cet épisode, Justine Renaudet, cofondatrice de Colette, nous détaille ainsi les avantages à la fois sociaux et fiscaux de cette cohabitation entre générations. Notamment les 35% d’économies estimées en moyenne sur le loyer d'une chambre chez l'hôte, comparés à la location d'un studio à Paris. Colette et revendique à ce jour un réseau de 1 000 hôtes sur un marché estimé à 100 000 chambres toujours vacantes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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