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Les Petits rats d'Hamelin
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Les P'tits rats d'Hamelin : le podcast incontournable dans la gestion des nuisibles
Bienvenue dans Les P'tits rats d'Hamelin, le podcast officiel d’Hamelin.info (http://Hamelin.info), média indépendant reconnu comme une référence dans l’univers de la lutte antiparasitaire. Ce rendez-vous audio et vidéo explore les nombreuses facettes de ce domaine essentiel, en mettant en lumière des experts et des professionnels engagés dans la dératisation, la désinsectisation et la désinfection.
Pourquoi écouter Les P'tits rats d'Hamelin ?
Ce podcast est conçu pour répondre aux besoins des professionnels, des passionnés et de toute personne intéressée par la maîtrise des nuisibles. Que vous soyez un technicien confirmé, un gestionnaire de services ou simplement curieux, vous y trouverez :
Des interviews exclusives : Découvrez les témoignages et les expériences de professionnels expérimentés du secteur.
Des débats enrichissants : Participez à des discussions captivantes sur les dernières tendances, technologies et stratégies utilisées dans la lutte contre les nuisibles.
Des astuces pratiques : Apprenez à améliorer vos techniques et à optimiser vos interventions, que ce soit pour éliminer des rongeurs, des insectes ou pour désinfecter efficacement des espaces.
Boostez votre carrière avec nos conseils
Chaque épisode est une mine d’informations pour vous aider à progresser dans votre métier. Nos invités partagent des idées novatrices et des solutions concrètes pour relever les défis du quotidien. Grâce à ces contenus, vous pourrez :
Mieux comprendre les réglementations en vigueur dans la lutte antiparasitaire.
Identifier les outils et équipements les plus performants du marché.
Découvrir des formations et certifications utiles pour élargir vos compétences.
Une touche de convivialité et d’humour
Nous croyons fermement que l’apprentissage peut être agréable. Chaque épisode de Les P'tits rats d'Hamelin est conçu pour informer tout en offrant un moment de détente. Nos animateurs, passionnés et dynamiques, vous garantissent une ambiance chaleureuse et accessible.
Restez connecté à l'actualité de la lutte antiparasitaire
Avec Les P'tits rats d'Hamelin, vous serez toujours au fait des dernières avancées dans les domaines de la dératisation, de la désinsectisation et de la désinfection. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode, qu'il s'agisse d’un entretien exclusif avec un expert, d’un retour d’expérience inspirant ou d’un débat animé sur les nouveaux défis de notre secteur.
Retrouvez tous les épisodes sur www.hamelin.info (http://www.hamelin.info). En écoutant Les P'tits rats d'Hamelin, vous rejoignez une communauté passionnée qui œuvre pour un environnement plus sain, plus sûr et sans nuisibles.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
81 Episodes
Reverse
Le secteur de la lutte contre les moustiques connaît une forte dynamique d’innovation afin de répondre à l’augmentation de ces nuisibles. Les pièges connectés constituent une avancée majeure : grâce à l’intelligence artificielle, ils comptent les moustiques capturés, distinguent les espèces, différencient mâles et femelles et permettent un suivi en temps réel des populations. Ces données facilitent la planification des interventions et l’ajustement précis du fonctionnement des pièges, tout en réduisant la capture d’espèces non ciblées.Les innovations portent aussi sur l’autonomie des équipements : batteries longue durée, systèmes solaires plug and play, pièges rechargeables ou interconnectés pouvant couvrir de vastes zones avec une seule alimentation. Les professionnels utilisent également des drones pour appliquer des larvicides sur de grandes étendues d’eau.Lorsque les méthodes classiques ne suffisent plus, deux stratégies biologiques se développent en Europe : la stérilisation des mâles par irradiation et l’utilisation de mâles infectés par une bactérie rendant les œufs non viables. Ces techniques visent à réduire durablement les populations dans les zones fortement infestées.Enfin, les innovations doivent aussi être durables, écologiques et socialement acceptables. Les nouveaux pièges cherchent à limiter l’usage des biocides, à rester efficaces et à s’intégrer discrètement dans l’environnement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’automne, de nombreux nuisibles d’automne – insectes envahisseurs cherchant chaleur et abri – tentent de pénétrer dans les bâtiments. Pour les professionnels de la lutte antiparasitaire, cette période constitue une phase critique durant laquelle il faut anticiper avant que les insectes ne s’installent définitivement dans les murs, combles ou espaces techniques. Sans prévention, ils réapparaissent en hiver et peuvent attirer d’autres parasites secondaires.La protection efficace repose sur une intervention réalisée au bon moment : les traitements et travaux d’exclusion doivent être effectués avant les premiers regroupements d’insectes. Une action tardive rend les traitements extérieurs inefficaces, car les nuisibles d’automne sont déjà installés dans des zones inaccessibles. Les conditions climatiques peuvent exiger un traitement complémentaire.L’article insiste sur l’importance d’utiliser des insecticides rémanents pour créer une barrière durable, active plusieurs semaines. L’application doit être complète : façades exposées, avant-toits, rebords de toit et tous les points d’entrée potentiels. Une couverture insuffisante augmente les risques d’infestation hivernale.Le respect strict de la réglementation est essentiel, notamment concernant les surfaces traitables selon les produits employés. Les zones perméables peuvent être traitées plus largement, tandis que les surfaces imperméables imposent des limites techniques.La communication client joue un rôle clé : expliquer que la présence d’insectes morts après l’intervention est normale, que la mortalité n’est pas instantanée et que certains nuisibles d’automne peuvent encore apparaître en cas d’automne prolongé. Si le traitement a été réalisé trop tard, les insectes déjà réfugiés à l’intérieur ne pourront pas être éliminés par des méthodes classiques.En conclusion, la lutte contre les nuisibles d’automne repose sur l’anticipation, l’usage de produits adaptés, une application rigoureuse et une information transparente destinée aux clients. Cette approche garantit une protection durable des bâtiments durant toute la saison froide.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Simon Dorrival, ancien commercial chez Armosa, décide de se lancer dans l’entrepreneuriat en lutte antiparasitaire après plusieurs années passées dans le secteur. Désireux de liberté et convaincu d’être prêt techniquement, commercialement et administrativement, il étudie le marché, rencontre ses futurs confrères et comprend les besoins des clients finaux.L’opportunité de créer son entreprise apparaît lorsqu’un ami confronté à une infestation se forme au Certibiocide. Ensemble, ils fondent Noxius Hygiène Solutions, après avoir aligné leur vision, signé un pacte d’associés et structuré l’ensemble des aspects essentiels au lancement : budget, stocks, contrats, administration. Bien entouré (avocat, développeur), Simon apprend à réfléchir comme chef d’entreprise et à gérer investissements, TVA et trésorerie.Pour démarrer, il met en place un plan de prospection : activation du réseau, réseaux sociaux, phoning, site web optimisé et visites terrain. Il cible en priorité les métiers de bouche et les régies immobilières, secteurs où les besoins en dératisation et désinsectisation sont constants. Sa stratégie repose sur un accompagnement personnalisé et l’usage de produits innovants.Les premières semaines sont difficiles : peu de demandes, doutes, remise en question. Mais le métier apporte une forte dimension humaine, car le technicien intervient pour résoudre des problématiques sanitaires cruciales. Simon insiste sur la pédagogie auprès des clients, la gestion des échecs possibles et l’importance de créer une relation de confiance.Les débuts impliquent aussi d’accepter des chantiers très exigeants, comme le nettoyage de combles infestés. Malgré cela, il se sent plus en forme qu’avant, estimant que l’action terrain est moins fatigante que la vie de commercial. Il encourage ceux qui souhaitent entreprendre dans la lutte antiparasitaire à se lancer : le métier est valorisant, les relations clients sont fortes et le coût d’entrée est faible (environ 5 000 euros pour du matériel, un site et des supports commerciaux). Selon lui, réussite rime avec résilience, discipline et engagement total.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’automne marque une période critique pour les invasions de nuisibles, car la baisse des températures pousse insectes et rongeurs à chercher refuge dans les bâtiments industriels, agroalimentaires ou logistiques. Pour éviter ces intrusions, une stratégie préventive doit être mise en place avant l’arrivée du froid. Chaque site étant unique, l’article propose dix actions essentielles permettant de réduire efficacement les risques d’infestation.Les premières mesures reposent sur les bonnes pratiques de fabrication, l’inspection des infrastructures et le scellage des fissures afin de bloquer les points d’entrée. L’identification des zones à risque, l’adaptation de l’aménagement paysager et la prévention contre les nuisibles hivernants (comme les mouches automnales ou les punaises diaboliques) sont également clés. L’article insiste sur l’importance de traiter les murs exposés au soleil, d’appliquer des traitements résiduels en fin d’été et de maintenir une étanchéité optimale des bâtiments.La lutte contre les rongeurs nécessite une surveillance permanente : installation de stations de contrôle, élimination des cachettes, suivi régulier des dispositifs et balisage du périmètre. Ces actions permettent d’intercepter les intrusions dès leur apparition et de protéger durablement les sites.En résumé, la prévention, la surveillance et la collaboration entre équipes techniques, maintenance et hygiénistes sont essentielles pour limiter les invasions de nuisibles en automne.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le moustique tigre, vecteur de maladies comme la dengue, le chikungunya ou le Zika, poursuit son expansion en Europe, rendant les méthodes traditionnelles de lutte de moins en moins efficaces. Pour y répondre, de nouvelles techniques de lâchers biologiques sont expérimentées : la méthode de l’insecte stérile (mâles rendus stériles par irradiation), l’incompatibilité cytoplasmique via la bactérie Wolbachia, et la technique de remplacement visant à diffuser durablement cette bactérie dans les populations. Toutes reposent sur la capacité à réduire la reproduction du moustique sans recourir massivement aux insecticides.Les résultats montrent une diminution réelle des populations, bien que l’impact sur les épidémies humaines soit variable. La technique de remplacement par Wolbachia est la plus prometteuse, avec des réductions significatives des cas de dengue dans certaines zones étudiées. Toutefois, l’efficacité de ces approches dépend de nombreux facteurs : densité initiale des moustiques, fréquence des lâchers, durée des campagnes et intégration dans une stratégie globale de lutte.Ces méthodes ne constituent donc pas une solution unique, mais un levier complémentaire dans une approche intégrée incluant la gestion des gîtes larvaires, la surveillance environnementale et l’information du public. Leur réussite nécessite un encadrement scientifique rigoureux, une bonne acceptabilité sociale et une coordination solide entre acteurs de terrain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le groupe WhatsApp de la fs3D réunit aujourd’hui plus de 130 professionnels de la 3D et s’impose comme un véritable espace collaboratif dédié à l’échange d’expériences et au partage de solutions. Créé par Franck Dabi, PDG de L’As du Nuisible, ce groupe fonctionne comme une plateforme d’aide professionnelle en dératisation, où techniciens et dirigeants peuvent poser des questions, analyser des cas clients, discuter réglementation, techniques ou produits, et bénéficier de l’expertise collective.Les échanges sont dynamiques, parfois vifs, mais toujours encadrés dans une logique d’entraide. Les membres profitent de réponses rapides à leurs problématiques de terrain, qu’il s’agisse d’identifier un insecte, de gérer un client difficile ou de choisir le bon matériel. Le groupe permet également de développer des opportunités business, notamment grâce à la sous-traitance et à la mise en relation entre professionnels, générant environ 20 000 euros de chiffre d’affaires par mois.À terme, la fs3D ambitionne de devenir un label de qualité fédérant les bonnes pratiques du métier. Le groupe WhatsApp continue de grandir, illustrant l’importance d’un réseau solidaire pour accompagner les acteurs du secteur et renforcer l’accès à une véritable aide professionnelle en dératisation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le secteur nuisibles, de plus en plus de dirigeants s’interrogent sur la cession d'entreprise : départ à la retraite, volonté de changement ou opportunité économique. Le marché est particulièrement dynamique, porté par une vague de baby-boomers qui préparent leur départ et par l’intérêt croissant des repreneurs.Les sociétés de dératisation attirent largement : groupes comme Elis, Anticimex ou Rentokil, entrepreneurs en reconversion, mais aussi entreprises du bâtiment ou de la propreté séduites par la rentabilité du secteur. Comme l’explique Christophe Berthier (Synercom), vendre sa société peut représenter une véritable porte de sortie avantageuse. Le témoignage de Jean-Paul Dufrenne (Servigeco, PROSANE) l’illustre bien : lorsqu’il a mis son entreprise sur le marché, dix-sept repreneurs se sont présentés.L’article montre ainsi pourquoi ces entreprises se revendent facilement, quels types d’acheteurs se positionnent, et comment ce contexte crée un terrain favorable pour les dirigeants souhaitant transmettre leur activité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une inspection en lutte antiparasitaire ne se limite pas à contrôler les pièges ou les stations : elle évalue surtout la solidité du système documentaire d’une entreprise. Licences Certibiocide, rapports de service, plans de traitement, fiches de sécurité, preuves d’intervention… La moindre omission peut entraîner des non-conformités lors d’un audit ou d’un contrôle sanitaire.L’article revient sur les erreurs les plus fréquentes : documents non mis à jour, rapports incomplets, archivage incohérent ou absence de preuves réglementaires. Il détaille ensuite les bonnes pratiques pour structurer un suivi documentaire fiable : centralisation des dossiers, mise à jour régulière, cohérence entre les informations, conservation des preuves et formation des équipes.La formation et la communication interne jouent un rôle clé : techniciens, responsables qualité et encadrement doivent maîtriser les exigences légales et collaborer pour assurer une traçabilité claire et durable. Une documentation bien tenue devient alors un véritable outil de professionnalisation, facilitant les audits HACCP, IFS ou BRC et renforçant la crédibilité de l’entreprise auprès des clients et autorités.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La blatte germanique est l’un des nuisibles les plus difficiles à éliminer : prolifération rapide, adaptation extrême, refuges multiples… Un simple oubli peut ruiner tout un traitement.Dans cet article, nous passons en revue 10 conseils essentiels pour réussir un contrôle professionnel, depuis l’inspection initiale jusqu’au suivi final.Vous découvrirez :• comment identifier précisément les foyers d’infestation de cafard ;• pourquoi la biologie de l’insecte doit guider chaque étape du traitement ;• les zones critiques à ne jamais oublier (moteurs, plinthes, gaines techniques…) ;• les bonnes pratiques en cuisine et en milieu sensible pour rester conforme à l’HACCP ;• comment surveiller l’évolution de l’infestation et ajuster le protocole ;• les stratégies pour éviter la réinfestation après traitement ;• et comment gérer les phénomènes de résistance, de plus en plus fréquents.Un article indispensable pour les techniciens hygiénistes, responsables hygiène et professionnels du pest management qui veulent sécuriser leurs interventions et garantir des résultats durables.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce troisième épisode, Thibault Cabaret aborde un sujet crucial : le salaire du technicien hygiéniste et les défis du recrutement et de la fidélisation dans le secteur. Il partage ses méthodes pour attirer des profils compétents, soulignant que le savoir-être prime avant tout, et comment la formation continue joue un rôle clé.Si le salaire reste un élément important, Thibault met l'accent sur l’importance de la culture d’entreprise et des opportunités d’évolution pour retenir les meilleurs techniciens. Un épisode incontournable pour ceux qui cherchent à comprendre comment attirer et garder des dératiseurs dans un secteur où la demande dépasse l’offre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode, Thibault Cabaret nous parle de la dératisation dans les hôtels et le secteur du luxe, où l’exigence est maximale. De la discrétion à la réactivité, il explique comment les prestataires doivent s’adapter aux besoins de clients haut de gamme, souvent multisites, et assurer une prestation impeccable pour protéger l’image de marque.Un dératiseur dans ce milieu doit être non seulement un expert, mais aussi respecter des règles strictes de présentation et de comportement, tout en anticipant les problèmes pour garantir la tranquillité des lieux.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce premier épisode du Club des Dératiseurs, Thibault Cabaret, directeur de Services3D, revient sur les profondes mutations du marché. Il explique comment les grandes entreprises de nettoyage s’invitent dans le secteur de la gestion des nuisibles via la sous-traitance, et les conséquences que cela entraîne : guerre des prix, perte de qualité et risques liés au manque de compétences spécialisées.Thibault partage également son choix stratégique de se détourner des bailleurs sociaux pour se concentrer sur des clients à plus forte valeur ajoutée comme l’industrie, l’agroalimentaire ou le luxe.Un échange riche qui met en lumière les nouveaux défis du métier de dératiseur et la nécessité de préserver expertise et technicité face aux pressions économiques.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un simple oubli dans un rapport ou un contrat peut coûter des centaines de milliers d’euros à un restaurant. Dans cet épisode, Jean‑Xavier Monvoisin, ancien restaurateur devenu expert en hygiène publique, partage ses conseils pour anticiper les contrôles sanitaires en restaurant éviter les erreurs fatales et comprendre le rôle réel d’un professionnel de la lutte contre les nuisibles. Découvrez comment vérifier vos plans de maîtrise sanitaire, sécuriser vos passages d’expert et protéger la réputation de votre établissement. Un épisode indispensable pour tous ceux qui veulent allier conformité, crédibilité et efficacité sur le terrain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la prospection commerciale, chaque mot et chaque geste comptent. Jean‑Xavier Monvoisin, ancien chef cuisinier devenu expert en hygiène et gestion des nuisibles, partage avec Kevin Granada Rios son expérience pour éviter les erreurs classiques et adopter les bons réflexes. Comment savoir quand un restaurateur est réellement disponible ? Pourquoi aborder trop tôt certains sujets peut fermer des portes ? Quel rôle joue le bouche-à-oreille pour renforcer votre crédibilité sans être intrusif ?Cet épisode révèle les subtilités d’une prospection efficace dans le secteur de l’hygiène, adaptée aux restaurants, hôtels et commerces, et montre comment transformer vos visites commerciales en véritables leviers de confiance. Jean‑Xavier explique notamment comment présenter ses services, comme la désinsectisation restaurant, de manière professionnelle et respectueuse, afin de bâtir une relation durable avec les clients et sécuriser leur établissement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour Jean‑Xavier Monvoisin, assurer la dératisation d'un restaurant n’est pas seulement une question de conformité réglementaire : c’est une véritable nécessité pour éviter sanctions, fermeture administrative ou perte de confiance des clients. Ancien chef cuisinier ayant vécu de près les contraintes d’hygiène dans les cuisines professionnelles, il apporte aujourd’hui son expertise en lutte antiparasitaire pour guider les restaurateurs. Il explique comment organiser des contrôles réguliers et efficaces, identifier les zones à risque, mobiliser le personnel autour des bonnes pratiques et sécuriser l’ensemble des locaux face aux nuisibles. Hygiène irréprochable, suivi rigoureux et interventions adaptées sont au cœur de ses conseils pour garantir un établissement sûr, protéger la réputation de la marque et instaurer une relation de confiance durable avec les clients.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fort de 10 ans en cuisine professionnelle, Jean‑Xavier Monvoisin a été confronté aux contraintes sanitaires et aux risques liés à la lutte contre les nuisibles en restaurant. Devenu expert en dératisation et désinsectisation, il livre un témoignage concret sur les bonnes pratiques à adopter, entre hygiène stricte et exigences du terrain, pour sécuriser la confiance des clients et éviter les incidents coûteux.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à la recrudescence médiatique des punaises de lit, la confusion est partout : diagnostics bâclés, automédication risquée, discours alarmistes… et des clients souvent laissés seuls dans un stress extrême.Dans ce dernier épisode, Kévin Granada reçoit Vincent Ergen (consultant) et Benoît Cottin (entomologiste) pour remettre de l’ordre et du discernement sur un sujet aussi sensible que complexe.Ensemble, ils abordent :– les limites du diagnostic visuel (une piqûre ne fait pas preuve)– les bons réflexes pour valider une infestation réelle– la différence entre faible présence et nidification massive– les méthodes de traitement adaptées selon le contexte (vapeur, cryogénie, aspiration, insecticide)– les erreurs à éviter : déménagement précipité, traitements répulsifs, confusion avec d'autres nuisibles– et la dimension psychologique trop souvent ignorée dans la prise en chargeUn épisode lucide, sans dramatisation ni solution miracle, qui redonne de la méthode là où règne trop souvent l’urgence.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’audit est souvent vécu comme une formalité, parfois redouté, rarement bien compris.Dans cet épisode, Vincent Ergen, consultant et auditeur externe, décrypte la réalité d’un audit en contrôle des nuisibles : ses étapes, ses objectifs, et surtout, ses erreurs fréquentes.Accompagné de Benoît Cottin, entomologiste et praticien, il revient sur :– les normes et référentiels (BRC, IFS, AIB, HACCP...)– le rôle de l’auditeur indépendant dans une dynamique tripartite (prestataire – client – site)– les dérives courantes : rapports incomplets, analyses de tendance absentes, postes mal renseignés– l'importance de comprendre les données terrain pour anticiper et structurer la prévention– la distinction entre contrôle, accompagnement et mise en conformitéL’épisode aborde aussi la cartographie des nuisibles, les indicateurs trop souvent mal interprétés, l’enjeu de la traçabilité, et les recommandations pratiques pour tirer un audit vers le haut.Un contenu technique mais accessible, destiné aux prestataires, responsables QHSE, et à tous ceux qui doivent “rendre des comptes” — ou s’y préparer.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment faire progresser son chiffre d’affaires quand on est à la tête d’une entreprise de contrôle des nuisibles — sans s’éparpiller, ni se brûler les ailes ?C’est la question posée dans ce 3e épisode du Club des Dératiseurs. Kévin Granada (Cosmos) et Vincent Ergen (consultant) partagent leurs stratégies, leurs erreurs, et les ajustements nécessaires pour maintenir une activité rentable… sans sacrifier la qualité de service.Au fil de l’échange, ils abordent :– la diversification des prestations (désinfection, colmatage, audit, etc.)– l’identification du “bon client” et la capacité à dire non– la gestion des garanties et du SAV, souvent sous-estimée– l’équilibre entre volume d’intervention et rentabilité réelle– et la place du digital, de la communication et de l’image dans le développement d’une structureCe n’est ni une masterclass, ni un plan tout tracé.Mais un échange honnête, basé sur l’expérience et les ajustements du quotidien.Un épisode utile pour celles et ceux qui veulent structurer leur croissance sans perdre l’essentiel : leur métier, leur équipe, leur équilibre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode, le Club des Dératiseurs explore un sujet aussi quotidien que stratégique : la relation entre les prestataires et leurs distributeurs.Kévin Granada et Benoît Cotin, deux professionnels ancrés sur le terrain, partagent sans filtre leurs attentes concrètes envers les distributeurs. Car au-delà des tarifs ou de la disponibilité produit, ce qui fait vraiment la différence, c’est la capacité à comprendre le métier, à accompagner, et à livrer… quand il le faut.On y parle :– des délais de livraison non respectés qui mettent en péril les tournées,– des supports techniques trop marketing ou mal adaptés au terrain,– de la différence entre une vraie relation de confiance… et une vente ponctuelle,– des workshops : ce qu’on en attend réellement (et pourquoi certains tombent à plat),– de l’importance d’un vrai accompagnement dans le choix des produits biocides, selon le contexte d’infestation et le profil du client.Pour Kévin et Benoît, un bon distributeur est un partenaire, pas juste un fournisseur. C’est quelqu’un avec qui on construit une continuité de service, capable de répondre en urgence mais aussi de conseiller en conscience, y compris quand il s’agit de dire « non, ce produit n’est pas adapté à ta situation ».Un épisode indispensable pour comprendre ce qui fait une collaboration efficace dans le secteur de la lutte antiparasitaire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.





