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Les Petits rats d'Hamelin

Author: Les Petits rats d'Hamelin

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Les P'tits rats d'Hamelin : le podcast incontournable dans la gestion des nuisibles
Bienvenue dans Les P'tits rats d'Hamelin, le podcast officiel d’Hamelin.info (http://Hamelin.info), média indépendant reconnu comme une référence dans l’univers de la lutte antiparasitaire. Ce rendez-vous audio et vidéo explore les nombreuses facettes de ce domaine essentiel, en mettant en lumière des experts et des professionnels engagés dans la dératisation, la désinsectisation et la désinfection.
Pourquoi écouter Les P'tits rats d'Hamelin ?
Ce podcast est conçu pour répondre aux besoins des professionnels, des passionnés et de toute personne intéressée par la maîtrise des nuisibles. Que vous soyez un technicien confirmé, un gestionnaire de services ou simplement curieux, vous y trouverez :
Des interviews exclusives : Découvrez les témoignages et les expériences de professionnels expérimentés du secteur.
Des débats enrichissants : Participez à des discussions captivantes sur les dernières tendances, technologies et stratégies utilisées dans la lutte contre les nuisibles.
Des astuces pratiques : Apprenez à améliorer vos techniques et à optimiser vos interventions, que ce soit pour éliminer des rongeurs, des insectes ou pour désinfecter efficacement des espaces.
Boostez votre carrière avec nos conseils
Chaque épisode est une mine d’informations pour vous aider à progresser dans votre métier. Nos invités partagent des idées novatrices et des solutions concrètes pour relever les défis du quotidien. Grâce à ces contenus, vous pourrez :
Mieux comprendre les réglementations en vigueur dans la lutte antiparasitaire.
Identifier les outils et équipements les plus performants du marché.
Découvrir des formations et certifications utiles pour élargir vos compétences.
Une touche de convivialité et d’humour
Nous croyons fermement que l’apprentissage peut être agréable. Chaque épisode de Les P'tits rats d'Hamelin est conçu pour informer tout en offrant un moment de détente. Nos animateurs, passionnés et dynamiques, vous garantissent une ambiance chaleureuse et accessible.
Restez connecté à l'actualité de la lutte antiparasitaire
Avec Les P'tits rats d'Hamelin, vous serez toujours au fait des dernières avancées dans les domaines de la dératisation, de la désinsectisation et de la désinfection. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode, qu'il s'agisse d’un entretien exclusif avec un expert, d’un retour d’expérience inspirant ou d’un débat animé sur les nouveaux défis de notre secteur.
Retrouvez tous les épisodes sur www.hamelin.info (http://www.hamelin.info). En écoutant Les P'tits rats d'Hamelin, vous rejoignez une communauté passionnée qui œuvre pour un environnement plus sain, plus sûr et sans nuisibles.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
66 Episodes
Reverse
Un simple oubli dans un rapport ou un contrat peut coûter des centaines de milliers d’euros à un restaurant. Dans cet épisode, Jean‑Xavier Monvoisin, ancien restaurateur devenu expert en hygiène publique, partage ses conseils pour anticiper les contrôles sanitaires en restaurant éviter les erreurs fatales et comprendre le rôle réel d’un professionnel de la lutte contre les nuisibles. Découvrez comment vérifier vos plans de maîtrise sanitaire, sécuriser vos passages d’expert et protéger la réputation de votre établissement. Un épisode indispensable pour tous ceux qui veulent allier conformité, crédibilité et efficacité sur le terrain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la prospection commerciale, chaque mot et chaque geste comptent. Jean‑Xavier Monvoisin, ancien chef cuisinier devenu expert en hygiène et gestion des nuisibles, partage avec Kevin Granada Rios son expérience pour éviter les erreurs classiques et adopter les bons réflexes. Comment savoir quand un restaurateur est réellement disponible ? Pourquoi aborder trop tôt certains sujets peut fermer des portes ? Quel rôle joue le bouche-à-oreille pour renforcer votre crédibilité sans être intrusif ?Cet épisode révèle les subtilités d’une prospection efficace dans le secteur de l’hygiène, adaptée aux restaurants, hôtels et commerces, et montre comment transformer vos visites commerciales en véritables leviers de confiance. Jean‑Xavier explique notamment comment présenter ses services, comme la désinsectisation restaurant, de manière professionnelle et respectueuse, afin de bâtir une relation durable avec les clients et sécuriser leur établissement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour Jean‑Xavier Monvoisin, assurer la dératisation d'un restaurant n’est pas seulement une question de conformité réglementaire : c’est une véritable nécessité pour éviter sanctions, fermeture administrative ou perte de confiance des clients. Ancien chef cuisinier ayant vécu de près les contraintes d’hygiène dans les cuisines professionnelles, il apporte aujourd’hui son expertise en lutte antiparasitaire pour guider les restaurateurs. Il explique comment organiser des contrôles réguliers et efficaces, identifier les zones à risque, mobiliser le personnel autour des bonnes pratiques et sécuriser l’ensemble des locaux face aux nuisibles. Hygiène irréprochable, suivi rigoureux et interventions adaptées sont au cœur de ses conseils pour garantir un établissement sûr, protéger la réputation de la marque et instaurer une relation de confiance durable avec les clients.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fort de 10 ans en cuisine professionnelle, Jean‑Xavier Monvoisin a été confronté aux contraintes sanitaires et aux risques liés à la lutte contre les nuisibles en restaurant. Devenu expert en dératisation et désinsectisation, il livre un témoignage concret sur les bonnes pratiques à adopter, entre hygiène stricte et exigences du terrain, pour sécuriser la confiance des clients et éviter les incidents coûteux.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à la recrudescence médiatique des punaises de lit, la confusion est partout : diagnostics bâclés, automédication risquée, discours alarmistes… et des clients souvent laissés seuls dans un stress extrême.Dans ce dernier épisode, Kévin Granada reçoit Vincent Ergen (consultant) et Benoît Cottin (entomologiste) pour remettre de l’ordre et du discernement sur un sujet aussi sensible que complexe.Ensemble, ils abordent :– les limites du diagnostic visuel (une piqûre ne fait pas preuve)– les bons réflexes pour valider une infestation réelle– la différence entre faible présence et nidification massive– les méthodes de traitement adaptées selon le contexte (vapeur, cryogénie, aspiration, insecticide)– les erreurs à éviter : déménagement précipité, traitements répulsifs, confusion avec d'autres nuisibles– et la dimension psychologique trop souvent ignorée dans la prise en chargeUn épisode lucide, sans dramatisation ni solution miracle, qui redonne de la méthode là où règne trop souvent l’urgence.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’audit est souvent vécu comme une formalité, parfois redouté, rarement bien compris.Dans cet épisode, Vincent Ergen, consultant et auditeur externe, décrypte la réalité d’un audit en contrôle des nuisibles : ses étapes, ses objectifs, et surtout, ses erreurs fréquentes.Accompagné de Benoît Cottin, entomologiste et praticien, il revient sur :– les normes et référentiels (BRC, IFS, AIB, HACCP...)– le rôle de l’auditeur indépendant dans une dynamique tripartite (prestataire – client – site)– les dérives courantes : rapports incomplets, analyses de tendance absentes, postes mal renseignés– l'importance de comprendre les données terrain pour anticiper et structurer la prévention– la distinction entre contrôle, accompagnement et mise en conformitéL’épisode aborde aussi la cartographie des nuisibles, les indicateurs trop souvent mal interprétés, l’enjeu de la traçabilité, et les recommandations pratiques pour tirer un audit vers le haut.Un contenu technique mais accessible, destiné aux prestataires, responsables QHSE, et à tous ceux qui doivent “rendre des comptes” — ou s’y préparer.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment faire progresser son chiffre d’affaires quand on est à la tête d’une entreprise de contrôle des nuisibles — sans s’éparpiller, ni se brûler les ailes ?C’est la question posée dans ce 3e épisode du Club des Dératiseurs. Kévin Granada (Cosmos) et Vincent Ergen (consultant) partagent leurs stratégies, leurs erreurs, et les ajustements nécessaires pour maintenir une activité rentable… sans sacrifier la qualité de service.Au fil de l’échange, ils abordent :– la diversification des prestations (désinfection, colmatage, audit, etc.)– l’identification du “bon client” et la capacité à dire non– la gestion des garanties et du SAV, souvent sous-estimée– l’équilibre entre volume d’intervention et rentabilité réelle– et la place du digital, de la communication et de l’image dans le développement d’une structureCe n’est ni une masterclass, ni un plan tout tracé.Mais un échange honnête, basé sur l’expérience et les ajustements du quotidien.Un épisode utile pour celles et ceux qui veulent structurer leur croissance sans perdre l’essentiel : leur métier, leur équipe, leur équilibre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode, le Club des Dératiseurs explore un sujet aussi quotidien que stratégique : la relation entre les prestataires et leurs distributeurs.Kévin Granada et Benoît Cotin, deux professionnels ancrés sur le terrain, partagent sans filtre leurs attentes concrètes envers les distributeurs. Car au-delà des tarifs ou de la disponibilité produit, ce qui fait vraiment la différence, c’est la capacité à comprendre le métier, à accompagner, et à livrer… quand il le faut.On y parle :– des délais de livraison non respectés qui mettent en péril les tournées,– des supports techniques trop marketing ou mal adaptés au terrain,– de la différence entre une vraie relation de confiance… et une vente ponctuelle,– des workshops : ce qu’on en attend réellement (et pourquoi certains tombent à plat),– de l’importance d’un vrai accompagnement dans le choix des produits biocides, selon le contexte d’infestation et le profil du client.Pour Kévin et Benoît, un bon distributeur est un partenaire, pas juste un fournisseur. C’est quelqu’un avec qui on construit une continuité de service, capable de répondre en urgence mais aussi de conseiller en conscience, y compris quand il s’agit de dire « non, ce produit n’est pas adapté à ta situation ».Un épisode indispensable pour comprendre ce qui fait une collaboration efficace dans le secteur de la lutte antiparasitaire.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Monter sa boîte dans la lutte contre les nuisibles, ce n’est pas juste une question de Certibiocide, de camion ou de pièges bien posés.Dans ce premier épisode du Club des Dératiseurs, Kévin Granada et Benoît Cottin racontent les coulisses de leur création d’entreprise de dératisation : les premières galères, les erreurs (évitées ou pas), les doutes, les investissements qu’on croit bons… et ceux qui le sont vraiment.Ils abordent :– la différence entre être technicien et être dirigeant,– l’importance du business plan (même si on n’aime pas ça),– la gestion de la trésorerie dans les premiers mois,– les pièges classiques à l’installation,– et l’illusion que « se lancer suffit ».Un échange franc, sans vernis, entre professionnels qui ont vécu la création d’entreprise au plus près du terrain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’appâtage est une méthode centrale dans la lutte contre les blattes, notamment en milieux urbains et industriels. Malgré les progrès en matière d’insecticides, la réussite d’un traitement repose sur une combinaison de paramètres techniques : dosage, emplacement, formulation et comportements des insectes.1. Quantité et répartition des appâtsL’efficacité dépend plus de la multiplication de petits points de gel que de la quantité globale.Les appâts doivent être placés à proximité des refuges, dans des zones sombres et protégées.Un nettoyage préalable est indispensable pour ne pas altérer l’attractivité des gels.2. Rotation des substances activesDeux causes d’échec :Résistance (tolérance à la molécule active) → nécessite un changement de principe actif.Aversion alimentaire (rejet de la matrice alimentaire) → impose une variation des bases alimentaires (sucrée, protéinée…).3. Choix des matrices alimentairesLes blattes peuvent développer une aversion comportementale si une même matrice est trop souvent utilisée.L’alternance entre gels synthétiques (neutres, stables) et gels organiques (plus attractifs) améliore l’efficacité.4. Emplacement stratégiqueLes blattes évitent les zones exposées (lumière, ventilation).Les gels doivent être placés près des zones d’activité, jamais en plein champ visuel.Éviter d’associer gel et insecticide au même endroit, pour ne pas provoquer de rejet.5. Surveillance et ajustementsL’usage de pièges à glu et de relevés réguliers permet d’évaluer l’efficacité du programme.En cas d’échec : revoir la quantité, le positionnement, ou la formulation.ConclusionUn appâtage efficace des blattes nécessite une approche méthodique, fondée sur la précision de l’application, la rotation des actifs et des matrices, et une surveillance constante. Cette stratégie adaptative est la clé pour prévenir l’échec et maîtriser durablement les infestations.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le dernier épisode du Club des Dératiseurs propose un éclairage rare et concret sur un sujet souvent perçu comme inaccessible dans le secteur 3D : les marchés publics.Aux côtés de Kevin Granada, Romain Lasseur partage son expérience pour aider les professionnels de la dératisation, désinsectisation et désinfection à mieux comprendre les appels d’offres et à structurer leur démarche commerciale.Parce que répondre à un marché public ne s’improvise pas, l’épisode aborde :Les attentes réelles des collectivités et établissements publicsLes pièges fréquents qui plombent une candidature, même techniquement solideLes leviers pour construire une réponse efficace, adaptée au terrain et conforme à la réglementationEt la nécessité, pour les prestataires 3D, de se positionner de façon stratégique et durableUn épisode clair, sans jargon, qui donne des clés pratiques à tous les professionnels souhaitant professionnaliser leur approche des marchés publics et faire évoluer leur structure dans un secteur en pleine mutation.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce troisième épisode du Club des Dératiseurs, Kevin Granada échange avec Romain Lasseur sur un sujet souvent négligé dans le secteur de la 3D : la cession d’entreprise dans les métiers de la lutte contre les nuisibles.À travers son expérience, Romain partage les réflexions concrètes que tout dirigeant du secteur sanitaire et antiparasitaire devra un jour affronter :Comment transmettre une entreprise de dératisation, désinsectisation ou désinfection sans en compromettre l’efficacité ?Comment faire vivre les process, les compétences et les engagements qualité au-delà de la personne qui a tout structuré ?Et comment valoriser l’activité dans un marché où l’opérationnel repose souvent sur le fondateur ?L’épisode aborde :La distinction entre activité indépendante et entreprise structurée dans la gestion des nuisiblesLa nécessité de formaliser les protocoles d’intervention et la relation clientLa capacité à rendre une entreprise transmissible sans perdre son ADN métierL’importance de préparer la sortie du dirigeant dans un environnement concurrentielUn épisode essentiel pour les dirigeants de la filière hygiène publique et antiparasitaire qui souhaitent pérenniser leur structure et anticiper une transmission réussie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce deuxième épisode, Kevin Granada poursuit son échange avec Romain Lasseur pour aborder une question centrale : qu’est-ce qui fonde réellement la légitimité d’un professionnel de la 3D ?🔍 Le Certibiocide, s’il est indispensable, ne peut suffire à définir un technicien compétent.Romain insiste sur l'importance de la formation continue, de l’expérience de terrain, et surtout de la remise en question permanente.L’épisode explore les différences entre un technicien hygiéniste exécutant et un vrai applicateur hygiéniste, capable d’analyser, d’anticiper et d’adapter ses méthodes aux réalités du terrain.On y parle aussi de :l’impact des enjeux environnementaux et éthiques sur le métier,la posture professionnelle comme clé de l’expertise,la nécessité d’un regard critique sur les pratiques, même après plusieurs années d’expérience.Un épisode fort, qui redéfinit ce que veut dire “être expert” dans un métier encore trop souvent résumé à un certificat.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce premier épisode du Club des Dératiseurs, Kevin Granada reçoit Romain Lasseur, biologiste, entrepreneur et expert reconnu du secteur. Ensemble, ils posent les bases : quel est réellement le rôle du dératiseur dans la société ? Pourquoi ce métier reste-t-il aussi invisible malgré son impact direct sur la santé publique ?Urbanisation, climat, déchets, politique de prévention… Romain partage une vision claire et sans détour de la gestion des nuisibles, en soulignant les limites des approches actuelles et la nécessité de repenser le secteur. Un épisode essentiel pour comprendre les enjeux sanitaires, techniques et stratégiques de la dératisation aujourd’hui.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Franck Munoz, directeur de Pest Control France chez Elis, met en avant l'importance de la lutte contre les nuisibles pour la santé publique et l'écologie. Il explique que, face à des nuisibles porteurs de maladies infectieuses graves, le Pest Control joue un rôle clé dans la prévention des risques sanitaires. L'impact de ces nuisibles est amplifié par la mondialisation et le changement climatique, facilitant l'introduction de nouvelles espèces, telles que les moustiques tigres et les rongeurs, qui menacent l'environnement et la santé humaine.Munoz souligne également que le secteur du Pest Control ne doit pas être perçu comme une simple intervention ponctuelle, mais comme un engagement continu envers la prévention et la protection des entreprises et des collectivités. Des solutions innovantes et respectueuses de l'environnement, telles que l'utilisation de méthodes non létales, d'appareils connectés et de technologies avancées comme l'intelligence artificielle, façonnent l'avenir du secteur pour un contrôle écologique plus efficace.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
PROSANE, l'Association des Professionnels pour la Protection de la Santé des Environnements, met l’accent sur la formation comme levier stratégique pour la professionnalisation et la valorisation des compétences dans le secteur dynamique de la gestion des nuisibles. L'association propose des solutions pratiques, comme le Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) pour certifier les compétences des techniciens spécialisés. Ce CQP, reconnu par le Répertoire National des Certifications Professionnelles, constitue un gage de professionnalisme pour les acteurs du secteur.Cependant, le coût de la formation représente un frein, notamment pour les PME, avec des démarches administratives complexes. Pour y répondre, PROSANE a développé un outil interactif qui aide les entreprises à simuler les financements disponibles et à optimiser leurs démarches administratives. En outre, l’association a recruté un expert pour accompagner les entreprises dans la gestion de la formation, maximisant ainsi les opportunités de financement et assurant une meilleure planification des formations.L'objectif est d’accompagner les entreprises dans la montée en compétences de leurs équipes, de garantir un service de qualité et de soutenir la professionnalisation d’un secteur en constante évolution.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Inde, la gestion des nuisibles est un défi complexe en raison de la diversité climatique. Aryan Group, basé à Kolkata, s’est imposé comme un acteur majeur du secteur grâce à une approche intégrée alliant sécurité, ménage et lutte antiparasitaire.L’entreprise :Fondé en 2005, Aryan Group applique une stratégie de services unifiés pour optimiser l’efficacité. Sa division nuisibles connaît une croissance annuelle de 21 % avec un taux de fidélisation de 98 %.Méthodologie :L’entreprise suit le principe des 4D :Deny Entry (empêcher l’entrée)Deny Food (éliminer les sources alimentaires)Deny Shelter (supprimer les abris)Destroy (éradiquer les nuisibles)Culture interne :La politique de porte ouverte favorise la communication entre les équipes et la direction, améliorant ainsi les interventions et la satisfaction client.Anecdotes terrain :Une sauterelle découverte dans un pot de cornichons exporté a été attribuée à la logistique post-production.Une infestation complexe chez un client pharmaceutique a été résolue après l’échec de plusieurs opérateurs.Orientation écologique :Aryan Group mise sur des solutions durables :Introduction de poissons guppys pour lutter contre les moustiques.Développement de répulsifs naturels (citronnelle, plantes, solutions à base de plantes).Collaboration avec AMUL pour des traitements non chimiques dans la filière laitière.Conclusion :Par son innovation, son efficacité opérationnelle et son engagement écologique, Aryan Group s’impose comme un leader dans la lutte antiparasitaire en Inde, avec une ambition d’expansion internationale.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Créer une entreprise de dératisation nécessite une préparation minutieuse, notamment en choisissant le statut juridique adapté, comme l'Entreprise Individuelle, la SASU, ou la Micro-entreprise. Il est essentiel de se conformer aux réglementations, comme la certification Certibiocide, et de maîtriser les compétences techniques et physiques requises pour le métier de dératiseur. Le respect des normes de sécurité, l’utilisation d’Équipements de Protection Individuelle (EPI) et la connaissance des méthodes de dératisation sont également primordiaux. De plus, souscrire une assurance Responsabilité Civile Professionnelle et choisir un véhicule adapté au transport du matériel sont des étapes indispensables pour garantir la sécurité et l’efficacité des interventions.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2025, les conditions de travail des techniciens hygiénistes et autres professionnels de la gestion des nuisibles évoluent, notamment en matière de salaires, primes, horaires et congés. La revalorisation salariale reste limitée à 1 %, une hausse qui ne concerne que les entreprises adhérentes à l’accord. Les primes d’ancienneté continuent de s’appliquer, allant de 2 % après 2 ans jusqu’à 18 % après 20 ans, tandis que la prime panier, destinée aux techniciens en déplacement, est fixée à 10,10 € par jour travaillé.Les interventions en dehors des horaires classiques sont soumises à des majorations :Travail de nuit (21h-6h) : +50 %Travail du dimanche et jours fériés : +100 %Astreintes : rémunérées avec une prime équivalente à 26 % du SMIC horaire brut et comptabilisées comme du temps de travail effectif.Côté congés, les techniciens hygiénistes bénéficient de 5 semaines de congés payés, ainsi que de jours d’absence pour événements familiaux, dont 4 jours pour un mariage ou un PACS, 3 jours pour une naissance ou une adoption et 1 jour pour un déménagement (tous les 5 ans). Après 10 ans d’ancienneté, un jour de congé supplémentaire est accordé.Ces évolutions ont un impact direct sur le quotidien des techniciens hygiénistes, rendant essentielle une bonne maîtrise des droits en vigueur et des nouvelles dispositions applicables en 2025.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La mise sur le marché des produits biocides est strictement régulée par la directive EU 528/2012. Toute entreprise souhaitant obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) doit suivre une procédure d’enregistrement, soit au niveau national, soit via une autorisation européenne. Cette dernière n’est possible que si les substances actives (SA) ont été préalablement approuvées au niveau européen pour le type d’utilisation concerné (TP). L’évaluation des SA est menée par une autorité compétente d’un État membre avant d’être soumise au Comité des Produits Biocides (BPC) de l’ECHA. En plus des SA, les formulants et co-formulants sont également examinés pour garantir leur innocuité et leur efficacité.Une bonne substance active doit être efficace tout en étant sans effet inacceptable pour l’homme et l’environnement. Son choix dépend de l’usage souhaité : un effet retardé est privilégié pour un gel anti-cafards/fourmis, tandis qu’un effet choc (Knock Down ou Kill Down) repose sur des critères comme la vitesse d’action, la liposolubilité et la tension de vapeur. La rémanence d’un produit dépend de la stabilité et de la volatilité de la SA. Cependant, l’utilisation excessive d’une même SA peut entraîner des résistances chez certaines espèces, comme observé avec les organochlorés et organophosphorés au XXᵉ siècle, et aujourd’hui avec les pyréthrinoïdes.Une approche durable et intégrée consiste à alterner les modes d’action et les méthodes d’application (chimiques et non chimiques) pour limiter les résistances et réduire l’usage des produits biocides.Enfin, la formulation joue un rôle clé dans l’efficacité d’un biocide. Elle garantit la stabilité du produit, facilite la solubilisation de la SA et optimise son action sur le site ciblé. Certaines formulations permettent même d’empêcher l’absorption de la SA par des surfaces poreuses, assurant ainsi une meilleure efficacité contre les arthropodes rampants. La formulation est donc tout aussi essentielle que la substance active pour garantir un traitement adapté et performant.Un outil d’aide à la prise de décision a été développé pour faciliter le choix des biocides en fonction de leurs caractéristiques et des besoins du terrain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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