DiscoverOn n'est pas des robots
On n'est pas des robots
Claim Ownership

On n'est pas des robots

Author: Carole Méziat

Subscribed: 9Played: 93
Share

Description

On ne peut pas faire toujours plus, toujours plus vite, toujours aussi bien, sans que ça craque.
À l'intersection entre la psychologie, la neurobiologie et l'analyse culturelle, On n'est pas des robots vise à nous observer, nous questionner, nous comprendre, nous challenger.
Et petit à petit nous réapproprier notre temps, notre énergie, notre attention.
Pour réussir à les mettre sur ce qui compte vraiment.

Ces sujets vous interpellent aussi ? On en parle sur LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/carolemeziat/) !
Envie d'aller plus loin que les podcasts ? Rejoigngnez la newsletter On n'est pas des robots (https://www.onnestpasdesrobots.com/newsletter/) 
Et si vous aimez le podcast, aidez le en lui mettant 5 étoiles sur Spotify et un avis sur Appel Podcast 🙏 
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
71 Episodes
Reverse
En 3 ans, j'ai coaché pas loin de 100 personnes différentes. Et il n'y a pas une heure de coaching où notre rapport à l'autre ne s'invite pas.     Ça prend plein de formes :   > Flipper avant une grosse présentation. > Se taire en réunion de peur de dire une grosse connerie. > Louper un évènement social et se sentir exclus voire rejeté. > Se mettre une pression de malade parce qu'on se sent sans cesse évaluer (et qu'on a peur de louper notre prochaine promotion). > Fuir devant la question "tu fais quoi dans la vie ?" de peur d'être jugé ("j'ai pas très bien compris mais ça a pas l'air incroyable").     Nos relations sociales jouent un rôle crucial dans notre vie.   Quand elles vont mal, on se sent littéralement en danger. Notre corps est en danger. On répond à une menace psychologique par les mêmes mécanismes qu'une menace physique. Le cœur s'accélère, on transpire, on se rigidifie. Le corps se prépare à combattre. Une réaction physiologique du stress. Qui n'est pas sensée durer.     Qui d'entre se sent pleinement en confiance dans son job ?   Je veux dire : avec les autres.   Sentez-vous que vous pouvez être pleinement accepté ? Que vous pouvez dire des conneries ? Vous planter ? Exprimer une opinion contradictoire sans avoir peur que ça vous retombe dessus ?   Quand cessez-vous d'être méfiant envers les autres ? Quand arrêtez-vous d'avoir peur qu'on vous évalue en permanence ? D'être jugé ? Qu'on fasse un mauvais feedback à votre chef ? Qu'un opportuniste récupère une partie de votre périmètre ?     Quel paradoxe !   On bosse dans la même boite et on se sent en compétition permanente.   Avec toutes les conséquences que ça a : stress chronique, guerres de pouvoir, décisions pourries, besoin de tout tracer, commérages… qui bouffent notre créativité et prennent trois fois plus de ressources que le vrai travail à produire.   Ça faisait longtemps que j'avais envie de creuser ce sujet dans On n'est pas des robots 🤖, et c'est enfin chose faite.   J'avais besoin de comprendre l'étendue de l'impact de nos liens sociaux sur nous, sur nos vies, sur notre performance. J'avais besoin de comprendre comment on fait pour se sentir pleinement en confiance dans un environnement, avec les autres. Comment on peut le mettre en place dans l'entreprise. Si c'était vraiment possible ou illusoire.   J'ai eu l'honneur de poser toutes ces questions à Samah Karaki.   Samah est neuroscientifique et auteure des livres Le travail en équipe et Le talent est une fiction. Elle a fondé le Brain Social Institute qui utilise notre compréhension des sciences cognitives et sociales pour améliorer l'apprentissage, la culture organisationnelle et la justice sociale et environnementale. Elle fait partie de ces personnes qui analysent la société dans toute sa complexité, qui prône l'humilité, celle de voir qu'on est tous biaisés, qu'on a tous nos intérêts, et que sans cette prise de conscience on ne changera pas le monde…   Merci 1000 fois à Samah pour ses partages.   Sur ce je vous laisse avec notre conversation. — 🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici Pour travailler avec moi : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour un coaching avec moi   🦾 Les livres mentionnés par Samah : Le conflit n'est pas une agression - rhétorique de la souffrance, responsabilité collective et devoir de réparation de Sarah Schulman Santé Planétaire - soigner le vivant pour soigner notre santé de Howard Frumkin & Samuel Myers   🦾 Retrouver Samah : La fondation Brain Social Institute Son LinkedIn Samah Karaki Ses livres : Le Travail en équipe - Un peu de neurosciences pour les pros qui veulent collaborer autrement (2021) Le talent est une fiction : déconstruire les mythes de la réussite et du mérite (2023)  
On lit partout que pour être en bonne santé, il faut faire du sport 🏃🏻 .   On nous qu'il faut faire 10 000 pas par jour (ou marcher 30 minutes, au choix), se lever régulièrement (en tout cas ne pas rester toute la journée dans la même position), pratiquer un sport au moins 3 fois par semaine…   Le mouvement est roi 👑 .   On nous dit que ça impacte non seulement notre santé physique, mais également notre bien-être et nos performances cognitives 🧠 .   Autant sur la santé physique, on a pas mal d'info sur comment ça agit.   Autant sur la santé mentale, ça reste flou.   On nous dit "c'est bon pour vous". Pour mieux gérer son stress.   Mais : 1️⃣  On ne nous explique pas clairement pourquoi. Et 2️⃣ Ça va en réalité bien plus loin que la gestion du stress.   ❔ On parle de ma santé court terme ou bien de ma santé long terme ? ❔ Qu'est-ce qui se passe quand je fais du sport et qui est bon pour mon cerveau ? ❔ Y a-t-il des différences entre marcher, courir, jouer au foot, danser, faire du yoga, de l'équitation ou du curling 🧹 (merci d'avoir lu ma phrase jusque là :D) ?     J'ai besoin de comprendre pour appliquer 🧑‍🏫 .   Et surtout pour appliquer correctement.   Pour savoir quoi privilégier, en fonction de mes vrais besoins.   Pour savoir quand me motiver ou quand laisser parler ma flemme.   Pour prendre conscience des impacts réels d'y aller ou de ne pas y aller.       Et j'ai eu la chance de pouvoir poser ces question à Olivier Dupuy dans On n'est pas des robots 🤖 .   Olivier est chercheur et maitre de conférence en physiologie de l'exercice à la faculté des sciences du sport de l'université de Poitiers.   Et il est spécialiste des liens sport - cerveau.   J'ai pris conscience de beaucoup de choses pendant cette interview :  On atteint notre capital sportif max à 25 ans, et notre santé cardiovasculaire à cet âge détermine notre santé cognitive 25 ans plus tard, le renforcement musculaire a ses propres impacts sur le cerveau, tout ça ne marche pas aussi bien si on a un mauvais sommeil…   Difficile de tout dire dans un post, vue la richesse de cet échange.   Si comprendre l'impact de l'activité physique sur le cerveau vous intéresse, vous pouvez écouter notre conversation entière.   Je conseille ce podcast à tout le monde, et en particulier aux parents.   Car s'il y a UN message que je retiens de mon échange avec Olivier, c'est qu'on a plutôt intérêt à cultiver notre santé cardio-respiratoire le plus tôt possible dans notre vie.   Et sinon quelque soit votre âge, le plus tôt possible… c'est maintenant ⏳ !    — 🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici Pour travailler avec moi : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour un coaching avec moi   🦾 Le livre mentionné par Olivier : Le syndrome du paresseux par Boris Cheval et Matthieu Boisgontier   🦾 Retrouver Olivier : Par email Olivier Dupuy  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si comme moi, vous cumulez les facteurs aggravants (à savoir vous être introverti ET timide)… …prendre la parole est sûrement une épreuve pour vous.   Et si comme moi, vous ne supportez pas que vos propres limites se mettent entre vous et vos objectifs… …prendre la parole est sûrement aussi une énorme source de frustration.   C'est un sujet franchement pas évident. Il suffit de se retrouver en léger déséquilibre (je ne connais pas extrêmement bien mon sujet, je ne connais pas les gens, il y a des experts dans la salle, il y a tout le gratin de la boite…) pour être en panique totale 😱.   Et soit : ❌ Se barrer en courant > "J'ai poney ce jour-là, c'est vraiment dommage"). ❌ Passer à l'attaque > "Si on fait un rétro planning, il me reste 274,5h, je peux m'entrainer tous les soirs environ 2,3h, et si je démarre maintenant ça peut passer" (état de stress à 30 secondes de l'intervention : 🚨🚨🚨).   🤖 Pourquoi on flippe autant de parler devant des gens ? 🤖 Et paradoxalement, pourquoi on fantasme tant de pouvoir le faire ? 🤖 Quels ingrédients font une bonne prise de parole ? Est-ce une simple question de technique ? 🤖 Quelles sont les étapes à suivre pour créer un discours et se préparer à une prise de parole importante ? 🤖 Comment se lancer et se permettre de progresser (sans se mettre dans des situations pas possibles) ? 🤖 Comment éviter les symptômes physiques du stress (la voix, les mains qui tremblent) ? …   Autant de questions auxquelles on a répondu avec Nicolas Mel, coach et formateur en prise de parole en public, dans le nouvel épisode d'On n'est pas des robots 🤖.   Une conversation à la fois riche et conviviale, qui j'espère : ✅ Dédramatisera le sujet pour les plus anxieux d'entre vous ✅ Permettra d'aller plus loin pour les plus à l'aise d'entre vous. Merci 1000 fois Nicolas pour tous tes conseils. —   🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici Pour travailler avec moi : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour un coaching avec moi   🦾 Le livre de Nicolas : Silence. Ou les meilleurs secrets pour prendre la parole avec aisance et éloquence en toutes circonstances.   🦾 Retrouver Nicolas : Sur son site coachingprisedeparole.fr Sur LinkedIn Nicolas Mel Sur Youtube Nicolas Mel Sur Instagram Nicolas Mel Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si un manager lisait tous les mails qu'il reçoit, il dormirait 4h par nuit.   Et on n’est même pas en 2010 quand Caroline Sauvajol-Rialland fait ce constat en tant que responsable de l'information & de la communication pour les Managers & Top Managers de La Poste.   L'email, c'est le (fléau) quotidien du cadre.   Qui n'a jamais été angoissé à l'idée de partir en week-end laissant derrière lui ses 257 mails non lus ? (et si j'avais loupé un truc important ?)   Qui n'a jamais été dépité d'avoir déjà 10 mails non lus le lundi alors que tout était clean vendredi soir en partant ? (ils n'auraient pas pu envoyer ça avant ? ou après ?)   Qui ne s'est jamais épuisé à écouter sa réunion d'une oreille tout en essayant d'écouler le nombre de mails reçus depuis le matin ? (et si on me pose une question et que je n'ai rien écouté ?)   Et là où le sujet est traitre, c'est que nous aussi, on en envoie des mails.   Quand on a besoin de communiquer une info. De relancer quelqu'un. Quand on a besoin d'obtenir une info. Et si on en a besoin pour lundi matin, on a intérêt à envoyer notre email au plus tôt.   Et nous aussi, on veut qu'on nous réponde tout de suite. Ça prend que deux minutes et on pourra passer à autre chose.  Alors on envoie un Teams pour dire "Au fait, t'as vu mon mail ?"  No comment…    C'est comme ça que tout fonctionne.   C'est comme ça que les autres fonctionnent.   Et c'est comme ça qu'on fonctionne.     C'est pourquoi j'étais impatiente de pouvoir échanger avec l'experte de ce sujet.   Auteure des deux livres "Mieux d'informer pour mieux communiquer" et "Infobésité" et accompagnant les entreprises depuis plus de 10 ans sur ces sujets, Caroline Sauvajol-Riallandétait LA personne à qui demander :   Sommes-nous tous infobèses ? A quoi peut-on voir que c'est trop ? Quels sont les impacts ? Pour nous et l'entreprise ? Où  sont les bénéfices, vu que ça dure depuis si longtemps ? Quels sont les facteurs de risques, à titre individuel et collectif ? Qu'est-ce que les entreprises pourraient faire ? Qui dans devrait s'emparer du sujet ? Quelle tendance on observe ? Est-ce qu'on va vers du mieux ? Du pire ? Comment se protéger à titre individuel en attendant ? Ça veut dire quoi "être info-responsable" ?   Cette conversation ultra pragmatique permet à la fois : De prendre conscience que rien ne changera si on ne régule pas nos manières de communiquer.  Et de démarrer le travail par des actions concrètes et actionnables tout de suite sans attendre de manière naïve que le nombre de mails quotidien ne chute.   Merci infiniment Caroline pour tes partages et ta démarche qui est d'utilité publique.    —   🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici Pour travailler avec moi : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appelpour un coaching avec moi   🦾 Les livres de Caroline : Infobésité: Comprendre et maîtriser la déferlante d'informations Mieux s'informer pour mieux communiquer : Maîtriser l'information pour mettre en place une communication efficace Les relations publiques   🦾 Retrouver Caroline : Sur LinkedIn Caroline Sauvajol-Rialland Sur le blog de SoComment  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est absurde de penser que ce qu'on mange n'impacte pas notre cerveau. Ce n'est pas parce que ça ne se voit pas qu'il ne se passe rien. D'ailleurs ça se voit. Comme les kilos en trop. C'est juste qu'on n'écoute pas.   En fonction de ce qu'on mange, on a des pics d'énergie, des baisses d'énergie, des palpitations, on se sent faible, on peine à se concentrer, on est irritable, on tremble, on se sent lourd, on veut dormir.  Ce que nous mangeons nourrit notre cerveau. Ou l'encrasse. Ça dépend pas mal de ce qu'on lui donne.   Avant de penser à "quoi manger" ça me parait essentiel de comprendre que mal s'alimenter, d’autant plus tous les jours, a FORCÉMENT des conséquences sur comment on se sent, ce qu'on est capable de faire, notre niveau d'énergie, notre état de fatigue. Ce n’est pas juste une histoire d’augmentation de mon risque d'AVC dans 25 ans. C'est une histoire de "là j’en chie, parce que mon corps n’a pas ce qu’il lui faut pour fonctionner".   J'insiste. On a normalisé une alimentation qui nous diminue tous les jours. On ne réalise pas à quel point ce qu’on mange est une source MAJEURE de notre état mental. Comme ces comportements sont notre baseline, et l'ont toujours été, on ne voit pas que ça nous impacte. On ne sait pas ce que ça fait de manger SUFFISAMMENT et JUSTE des choses qui sont vraiment bonnes pour notre corps.   Maintenant que j'ai dit ça, trouver de vraies infos sur ce qu'il faut ou pas manger pour notre santé mentale, c'est pas de la tarte 🥧. Les 3 étapes faciles et pas chères pour s'affamer pour perdre 5 kilos avant l'été et ruiner sa santé, ça oui. Mais des conseils scientifiques et non dogmatiques qui placent la santé avant tout, là… y a plus grand monde.   Alors quand je suis tombée sur 📕Bien manger pour ne pas déprimer de Guillaume Fond, qui est psychiatre et chercheur, je me suis dit que je tenais quelque chose. Je ne me suis pas trompée. Guillaume m'a fait le plaisir de partager son savoir dans On n'est pas des robots.   On a abordé : Les liens réels entre alimentation et cerveau La journée alimentaire type pour la santé mentale Les aliments à éviter, les aliments à ne surtout pas oublier Jeûner / pas jeûner ? Féculent / pas féculent ? Fruits / pas fruits ? Viande / pas viande ? Les premiers résultats de sa vaste étude ALIMENTAL sur les liens entre alimentation et dépression   Vous en ressortirez prêt à adopter le régime méditerranéen (et comprendrez vraiment pourquoi).   Merci infiniment Guillaume et j'ai hâte de suivre tes prochains travaux. —   🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici Pour travailler avec moi : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour un coaching avec moi   🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode : Base de données Open Food Facts pour évaluer vos aliments et trouver des alternatives Série France TV Les pouvoirs extraordinaires du corps humain Etude AMADEUS sur la santé mentale et la souffrance des soignants Étude ALIMENTAL sur les liens alimentation / dépression (résultats à venir début 2024) Plateforme Mental foods (en projet)   🦾 Retrouver Guillaume: Sur Instagram @dr_guillaume_fond Sur sa chaine Youtube Guillaume Fond Ses deux livres Bien manger pour ne plus déprimer (2022) et Je fais de ma vie un grand projet (2018)
Dopamine, ocytocine, sérotonine, endorphine, cortisol, adrénaline…      On lit partout le rôle crucial de ces hormones sur notre bien-être, notre mal-être, notre stress, nos choix, notre résilience, notre immunité, notre lien à l'autre…     Certaines seraient bonnes, certaines seraient mauvaises. Certaines seraient ok mais en petite quantité. Certaines serviraient même à nous manipuler. Et seraient utilisées en politique, par les algos, la pub…        Perso, j'étais perdue.     Déjà : à quoi servent-elles précisément ? y en a-t-il des plus saines que d'autres ? ai-je vraiment un contrôle dessus ?     Ensuite : je ne peux pas vraiment m'y soustraire. Ces hormones nous composent, nous régulent.  Alors comment faire pour ne pas les subir et ne pas être exclave de mon fonctionnement biologique ?      J'ai eu la chance de poser ces questions à Guillaume Attias.  Guillaume est expert en neurosciences et sciences cognitives (vous connaitrez la différence entre les deux après 5 minutes du podcast).   Son approche BMO décrypte très précisément ce qui se passe dans notre cerveau à chaque décision que nous prenons pour rendre ces décisions intentionnelles.        Avec au cœur de ça : le rôle crucial de nos hormones.     Au travers d'exemples très concrets, comme ce carré de chocolat auquel on n'arrive pas à résister, ce stress chronique qui nous épuise, ou cette reconnaissance qu'on n'arrive pas à ressentir, Guillaume répond à ces questions :     ✅Qu'est-ce qui est vraiment à l'origine de nos comportements ?   (la manière dont on les explique est une post-rationalisation de décisions déjà prises par notre cerveau en quelques millisecondes)     ✅Comment fonctionnent toutes ces hormones qui nous poussent à agir, parfois à notre insu ?  (hmmm le carré de chocolat…)     ✅Comment agir (efficacement) sur ces hormones pour moins subir nos circonstances et trouver la motivation et la persévérance d’adopter de nouveaux réflexes ?      Et bien d'autres : ✅Comment baisser notre stress ? ✅ Pourquoi on progresse par paliers / phases de stagnation ? ✅ Peut-on progresser à tout âge ? ✅Comment mieux vivre l'incertitude ?        On n’est pas rentrés dans le détail de chaque hormone (il aurait fallu 12h de podcast).      On a fait mieux : on a tenté en 1h de vous fournir une vision (souvent manquante) des principes de fonctionnement sous-jacents que vous pourrez ensuite décliner à chaque hormone et chaque contexte que vous vivez. 🔥     Qui vous permettra de passer au-delà des "la dopamine c'est mal", "l'ocytocine c'est bien", "le cortisol c'est mal". Pour vous poser la vraie question : "de quoi j'ai besoin là maintenant pour retrouver un état qui me convient bien et comment l’obtenir ?".  Guillaume, merci mille fois pour tous ces éclairages. Cette conversation n'était qu'un début, mais quel début !   —      🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici    Pour travailler avec moi : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour un coaching avec moi      🦾 Retrouver Guillaume:    Sur le site de BMO   Sur LinkedIn Guillaume Attias   En rejoignant la liste secrète des cérébro-curieux   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ceux que j'ai coaché ne seront pas surpris.     Je reprends On n'est pas des robots avec un sujet sur lequel je ne déconne pas.     Comment ne pas vous retrouver épuisé à peine un mois après être rentré de vacances ?     Mettez votre focus sur CE sujet.     Le sommeil, c'est la base de l'hygiène de base.     Quand on dort mal, tout part en vrille.     Quand tout part en vrille, on dort mal. Et tout part encore plus en vrille.      Quand on dort mal, tout est insurmontable.     Prendre du recul devient simplement impossible. On n'a plus l'énergie de rien.        Et dans ces périodes, c'est tellement difficile de retrouver un bon sommeil.        Et pourtant quand on sait :   À quoi sert chaque moment du sommeil : les 3 premières heures n'ont pas la même fonction que les 3 dernières heures du matin  Que mal dormir impacte nos hormones et donc : notre niveau de stress, de faim et de satiété, notre capacité à gérer nos émotions, à mémoriser, à nous concentrer…  Qu'on a perdu en une siècle 1h30 de sommeil en un siècle (à cause de l'électricité) et qu'il y a peut-être un "léger" lien avec l'augmentation des troubles de l'humeur de la dépression.   On en conclut vite que c'est sûrement notre levier le plus pertinent pour retrouver de la respiration.        Ma conversation avec Aurélie Meyer-Mazel est un cours sur l'architecture du sommeil.     Moi qui avais déjà beaucoup lu sur le sujet, j'ai encore appris plein de choses.    Sans tomber dans l'orthosomnie (recherche obsessionnelle du sommeil parfait), cet épisode vous donnera ce que vous avez besoin de savoir pour :   Diagnostiquer si réellement vous dormez bien/assez.  Comprendre pourquoi votre sommeil n'est pas réparateur.  Savoir quelle est la journée type pour un sommeil vraiment utile.  Comment une sieste bien pratiquée peut éponger votre dette de sommeil et augmenter votre performance cognitive.     C'est le nouvel épisode d'On n'est pas des robots.    —    🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici   Pour toute info concernant mes services : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour coacher avec moi       🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode : Une application de cohérence cardiaque avec la petite bulle : RespiRelax.   Sur Google Play  Sur l'App Store      🦾 Retrouver Aurélie :    Sur sur site Aurélie Meyer-Mazel Business  Sur LinkedIn Aurélie Meyer-Mazel    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
📅 Me contacter sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réserver un appel pour coacher avec moi ou en savoir plus sur mes accompagnements  🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots  —   Vous recevez une prime.  Ça vous fait plaisir mais pour une raison inconnue, ça ne change pas que vous ne vous sentez pas considéré.  Tout le monde vous dit "félicitations" "ça veut dire qu'ils veulent te garder" "ils savent comment fidéliser les gens dans ton entreprise".  Mais pour vous, il y a un truc qui bloque.  Ça ne vous convainc pas.  🔻 Vous vous dites que l'argent c'est bien, mais que ça ne veut pas dire grand-chose.  🔻 Vous ruminez tous les échecs que vous avez eus dans l'année.  🔻 Vous vous dites que si vraiment on comptait sur vous, vous l'auriez ressenti pendant l'année.  🔻 Vous êtes à l'affût du moindre signal qui vous prouvera qu'en fait, c'était du vent.  Pour vous sentir pleinement reconnu, il vous manque quelque chose.  Des situations comme ça, j'en ai vu plein.  Et j'ai découvert un concept qui m'a permis de les voir différemment.  👉 Et si vous ne parliez tout simplement pas le même *langage de la reconnaissance* que votre chef ?  Je vous parle en détail dans cet épisode.  Au programme :  ⚡ Les 5 langages de la reconnaissance : quels sont-ils et quels sont leurs différences.  ⚡ Détecter les situations où des différences de langages peuvent conduire à des frustrations.  ⚡ Identifier quel est votre langage et décrypter vos expériences passées à la lumière de ce concept.  ⚡ En tant que manager, exprimer votre reconnaissance dans un langage que vos collaborateurs vont comprendre.  Si j'avais eu cet angle de lecture avant, ça m'aurait évité bien des frustrations.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
📅 Me contacter sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réserver un appel pour coacher avec moi ou en savoir plus sur mes accompagnements  🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots  —   Lien vers les deux podcast HubermanLab mentionnés dans l'épisode :  https://hubermanlab.com/controlling-your-dopamine-for-motivation-focus-and-satisfaction/  https://hubermanlab.com/how-to-increase-motivation-and-drive/  —      🔻 Il n'y a AUCUN MONDE dans lequel on peut vouloir toujours plus de kiff et ne pas se sentir de plus en plus démotivé dans la vie.  🔻 Il n'y a AUCUN MONDE dans lequel on peut se livrer trop régulièrement à une activité plaisante sans que cette activité ne devienne de moins en moins plaisante.  🔻 Il n'y a AUCUN MONDE dans lequel restaurer son niveau de motivation ne passe pas par une période de destimulation vraiment dure d'environ deux semaines.     Ce n'est pas négociable. C'est comme ça que notre corps fonctionne.     Un tableau pas très optimiste…     MAIS.     Une fois qu'on a compris ça, il y a quand même des choses qu'on peut faire.     🧠 On peut recâbler son cerveau pour devenir accro aux habitudes qui nous servent et qu'on veut maintenir.  🧠 On peut se conditionner à apprécier l'effort (vraiment) pour se mettre dans une dynamique de growth mindset.  🧠 On peut utiliser ce qu'on connait de l'addiction aux jeux pour maintenir ces efforts dans la durée, même quand c'est dur (et justement parce que c'est dur).    Et c'est tout l'objet de cet épisode 2 sur la Dopamine.      Je vous présente 3 leviers neurobiologiques pour rester motivé (même quand c'est dur)     Par curiosité, vous avez appris des choses dans ces épisodes ?   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
📅 Me contacter sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réserver un appel pour coacher avec moi ou en savoir plus sur mes accompagnements  🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots  —   Lien vers les deux podcast HubermanLab mentionnés dans l'épisode :   https://hubermanlab.com/controlling-your-dopamine-for-motivation-focus-and-satisfaction/  https://hubermanlab.com/how-to-increase-motivation-and-drive/    —   Nous sommes programmés pour survivre.     🔻Pas pour être heureux.  🔻Pas pour être en paix.  🔻Pas pour réussir.  🔻Pas pour trouver du sens.  🔻Pas pour nous sentir bien.  🔻Même pas pour nous sentir en sécurité.     Nous sommes programmés pour SURVIVRE. En tant qu'espèce.     Dans un monde où il faut aller chasser et cueillir pour nous nourrir. Dans un environnement dangereux où on peut mourir à tout moment.     PAS dans un monde où tout est abondant et facile d'accès.      Et ça a des conséquences neurobiologiques qu'on ne peut pas ignorer.     Il fallait être motivé pour braver les danger.   Pour ça notre espèce a inventé le système dopaminergique ou système de la récompense.   Pour nous motiver à agir.  Ce système est au cœur de TOUT ce qu'on fait (et qu'on ne fait pas) dans la vie.  Mais ce système n'a pas du tout été conçu pour une société comme la notre.     Et c'est pour ça qu'on devient fou…     C'est tout l'objet de cet épisode : Dopamine (part 1) : Pourquoi on en veut toujours plus (et ça nous rend fou).     J'y aborde :  🧬 Comment fonctionne ce système de la récompense (en profondeur)  🧬 Comment on devient addict malgré nous aux notifications, au sucre, à cocher les items de sa todolist…  🧬 Pourquoi plus on recherche le plaisir moins on se sent bien (ça s'explique biologiquement)  🧬 Comment faire pour arrêter d'osciller entre des périodes où on est super motivé et des périodes où on perd toute envie de faire quoi que ce soit  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
📅 Me contacter sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réserver un appel pour coacher avec moi ou en savoir plus sur mes accompagnements   🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots        —      C'est plus fort que nous, on a l'impression de vivre toujours la même chose.  Et à force, on se fatigue. On n'en peut plus de nous et de nos modes de fonctionnements.     🔻 Pourquoi je traite toujours tout en last minute ?  🔻 Pourquoi je me retrouve toujours dans le rush ?  🔻 Pourquoi je ne garde pas mon calme devant quelqu'un d'incompétent ?  🔻 Pourquoi je suis si stressé que je passe 6h sur ces slides alors qu'il m'en faudrait que 2 ?  🔻 Pourquoi j'ai autant peur de me tromper en réunion ?      À part si 100% des gens réagissent toujours pareil que vous, la réponse est la suivante :   À cause de vos pensées.      Tellement répétées qu'elles sont devenues automatiques.  Et vous conduisent à répéter les mêmes schémas.     Mais comment casser ces automatismes ?     🔸 Prendre conscience de ces pensées.  🔸 Les décortiquer. Les comprendre. Voir leurs origines et impacts.  🔸 Les challenger. Les faire évoluer. Vers des pensées plus utiles. Plus raisonnés.      En développant ce qu'on appelle sa métacognition.      Cette capacité à observer ses pensées.     🔹 À ne pas les confondre avec la réalité.  🔹 À ne pas croire qu'elles sont universelles.  🔹 À ne pas croire qu'elles sont inéluctables.      La base de la sagesse et de la pensée critique.      J'en parle en détails dans ce nouvel épisode de On n'est pas des robots Métacognition, cette compétence de vie sous-estimée.     Vous n'analyserez plus jamais les situations pareil. 🤯     👉 La métacognition, vous en aviez déjà entendu parler ?  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-on tous égaux devant la charge mentale ? C'est une histoire de génétique, d'apprentissage, d'intelligence ? Alors pourquoi certaines personnes semblent beaucoup mieux la gérer ?   Et pourquoi on en parle autant aujourd'hui ?  Est-ce que vraiment, il y a un siècle, on avait moins de charge mentale ? Et donc suis-je condamné à subir les déboires de notre époque sans rien y faire ?   J'ai eu la chance de pouvoir poser ces questions à Marie Prevost. Elle est co-fondatrice de La Fabrique à Neurones, un centre de neurosciences appliquées dont la mission est d'utiliser notre compréhension grandissante du cerveau pour contribuer à l'équilibre entre bien-être et performance.   Je suis convaincue que la science a une rôle énorme à jouer dans la transformations de nos modes de travail.   Non seulement parce qu'elle nous permet de cibler les leviers d'actions les plus efficaces pour améliorer le compromis bien-être VS productivité.   Mais surtout, parce que dans notre culture du travail ultra rationnelle, elle permet de légitimer des comportements qui vont à l'encontre de ce qu'on a toujours fait et de ce que tout le monde fait. En d'autres termes, c'est plus facile de dire à son chef : "Non, je ne traiterai pas ton urgence pendant le comité projet même si je ne l'anime pas, parce que la recherche montre que multitasker (en l'occurence écouter une réunion et résoudre ton problème) revient à faire les deux actions en plus de temps, avec plus d'erreurs et en me fatiguant plus. Ah, tu veux les études ? Je reviens !" Que : "Non, je ne traiterai pas ton urgence pendant le comité projet même si je ne l'anime pas, parce que c'est trop dur et après je suis crevée".   Donc cet épisode qui décrypte en détail les facteurs qui nous mettent en surcharge mentale, ce qu'on peut (doit ?) pour éviter de s'y retrouver, ce qu'on peut faire quand c'est trop tard est un peu votre argumentaire anti regard suspect pour quand vous voulez rentrer chez vous à précisément 15h18 pour vous aérer l'esprit pendant le trajet et vous y remettre après ou quand vous voulez demander de 24h de plus pour un livrable alors que vous avez le temps, mais que c'est pas une question de temps, c'est une question de laisser maturer le sujet.   Dans la deuxième partie de l'épisode, on a aussi parlé d'apprentissage. De comment accélérer notre montée en compétence sur un nouveau sujet ou sur un nouveau savoir-faire et s'assurer que ça dure.   On apprend tous, mais honnêtement, vous êtes-vous déjà posé la question de si vous appreniez efficacement ?   La science est catégorique : apprendre par cœur, relire, surligner, passer deux heure d'affilée sur un sujet est à l'opposé d'un apprentissage efficace.   Quelles sont les étapes indispensables à suivre ?  En combien de temps puis-je raisonnablement attendre de moi de me sentir à l'aise sur un tout nouveau sujet ? Qu'est-ce qui fait qu'avec l'âge ma capacité d'apprentissage diminue et comment garder un cerveau le plus affuté possible malgré ça ?   Une autre série de questions auxquelles Marie a pu apporter sa connaissance du cerveau pour répondre. Marie beaucoup Marie pour la qualité et la fiabilité scientifique de tes réponses. —   🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots Pour toute info concernant mes accompagnements : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour coacher avec moi    🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode :  Livre : Les Vacances de Momo Sapiens: Notre cerveau, entre raison et déraison de Mathias Mathias Pessiglione 🦾 Retrouver Marie et La Fabrique à Neurones : Le site de La Fabrique à Neurones  Le profil LinkedIn de Marie Prevost  L'adresse email de Marie marie.lafabriqueaneurones@gmail.com 
Combien de pauses faut-il que je fasse dans une journée pour rester efficace ? Quoi faire de pertinent pendant ces pauses ? Des pauses de combien de temps ? Tous les combien ?   Est-ce que je vais le sentir que j'ai besoin d'une pause ou c'est déjà trop tard ?   Télétravail ou pas télétravail ? C'est quoi un environnement physique de travail idéal ? Quels sont les principes clé à suivre pour chouchouter ma charge mentale ? C'est moi qui fais n'importe quoi ou ce qu'on me demande n'est pas humainement viable ?     On entend tout et son contraire.     J'ai eu la chance de pouvoir poser ces questions à Gaetan De Lavilleon.   Gaetan est docteur en neurosciences. Il est co-fondateur de Cog'X, une agence de conseil en ressources cognitives. En gros : il accompagne les entreprises à mettre en place un cadre de travail qui respecte les contraintes de nos cerveaux et tire au mieux partie de leurs capacités.   Parce qu'on ne va pas se mentir : 1> Notre cerveau, c'est notre outil de travail principal. 2> Et à titre purement perso, c'est mon bien le plus précieux. J'ai envie qu'il fonctionne le mieux possible, le plus longtemps possible.     Alors intégrer "un peu" d'ergonomie du cerveau dans nos modes de travail me parait un mal nécessaire.     Cette conversation m'a reposé les fondamentaux à prendre en compte si je veux : 1> Préserver mes ressources cognitives. 2> Être vraiment efficace et ne pas être dans une illusion d'efficacité. 3> Et surtout : donner des arguments à mes collègues quand j'agis à l'encontre des conventions établies (genre quand je ressens le besoin d'un truc bizarre comme "je préfère manger toute seule, je passe la journée en réunion")     Cette interview est d'utilité publique à titre collectif et individuel.   Merci 1000 fois Gaetan pour tes partages à la fois étayés, nuancés et actionnables.  —    🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots Pour toute info concernant mes accompagnements : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour coacher avec moi     🦾 Retrouver Gaëtan et Cog'X : Le site de Cog'X Le profil LinkedIn de Gaëtan De Lavilleon  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi je SAIS qu'il faut que je prenne soin de moi, mais je ne le FAIS pas ?   Je ne suis pas stupide.   Je SAIS qu'il faut faire des pauses.   Je SAIS que ça ne sert à rien de forcer si je n'arrive plus à réfléchir.   Je SAIS qu'il faut que je baisse le niveau de pression que je me mets, et que ça va me permettre d'être plus concentrée, plus créative, plus assertive.     Mais dans la réalité, je ne fais rien de tout ça.   J'y arrive quand je reviens de vacances. Pendant 3 semaines. Et ensuite je repars dans mon tunnel.   Et je vous jure que depuis que je coache précisément sur CE sujet, je me culpabilise encore plus de ne pas toujours y arriver.    Il m'arrive encore de bosser jusqu'à ne plus pouvoir voir mon job en peinture.     Si vous cherchez quelqu'un pour répondre à cette question, ne cherchez plus.   Après un burnout qui l'a empêchée de travailler plusieurs mois, Rahaf Harfoush a fait 3 ans de recherches intensives pour comprendre "pourquoi on sait qu'on doit faire des pauses et on ne le fait pas ?".   Bien sûr la réponse n'est pas "parce qu'on est tous débiles".   Ses réflexions ont abouti au livre "Overbookés" que je ne peux QUE vous recommander.   C'est un bijou déculpabilisant.       Vous n'êtes pas bête. Vous n'êtes pas faible.    Vous êtes juste un humain.   Avec des besoins physiologiques et des limites cognitives.   À qui on a appris qu'il fallait bien travailler à l'école. Faire des efforts. Se battre et faire des sacrifices pour réussir. On n'a rien sans rien, n'est-ce pas ?   À qui on a montré qui méritait de réussir. Qui avait de la valeur dans la société. Via les réseaux sociaux. Via les salaires. Via les intitulés de post. Si t'es pas Head of Something à 35 ans, t'a raté ta carrière.   Tout ça nous conduit à une course effrénée à plus de "on ne sait même plus quoi". Mais sans quoi on a l'impression d'être nul.   On déconstruit tout ça dans ma conversation avec Rahaf Harfoush dans On n'est pas des robots.   Pour tous les accros à la performance (comme moi), cette conversation est thérapeutique.   On parlé :   > De son burnout > De comment apprivoiser notre créativité  > Des deux plus grosses erreurs dans nos habitudes de travail qui font que l'on s'épuise > Des questions à se poser pour challenger notre besoin inépuisable de reconnaissance extérieure > De métriques que certains pays commencent à intégrer dans le PIB pour penser un monde "post croissance" > Des solutions possibles dans un monde où les métiers du savoir sont menacés par l'IA     Un condensé de sagesse étayé par des études et expérimentations concrètes.   —  🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots Pour toute info concernant mes services : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour coacher avec moi   🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode : Livre Four Thousand Weeks by Oliver Burkeman Poème The Cherry Blossom Tree Poem by Kylee Bartz   🦾 Retrouver Rahaf : Sur Instagram @foushy Sur son LinkedIn Rahaf Harfoush Son livre Overbookés  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 🦾 Encore plus de contenu et d'analyses sur nos modes de vie et de travail dans la newsletter On n'est pas des robots   —    Vous connaissez la newsletter Futur(s) de 15Marches ?     Je ne sais plus comment je suis tombée dessus.     La première fois, je n'ai pas bien compris le concept. C'était trop loin de ce que j'avais l'habitude de lire. La deuxième fois, non plus. Au bout de la troisième fois, j'ai commencé à percuter.     C'était juste génial.     Un OVNI. J'aurais aimé créer un truc comme ça. Qui mêle fiction et faits avérés. Qui mêle imagination et réalité.     Tous les jeudis, Noëmie Aubron 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗲 𝘂𝗻 𝗳𝘂𝘁𝘂𝗿 𝗽𝗼𝘀𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲 𝗮̀ 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗮𝘂𝘅 𝗳𝗮𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁.   Elle raconte, au présent et en nous immergeant totalement, un avenir possible, extrapolé du présent. Une dystopie toutes les semaines dans votre boite mail. Un récit court, parlant, qui interroge les directions que notre société est en train de prendre.     Et non seulement elle vous propulse dans ce futur possible. Mais en plus les indices de base sont documentés. Tous ces changements qu'on ne voit pas. Ou qu'on fait semblant de ne pas voir. Ou qu'on pense trop loin de nous. Toutes ces tendances qui émergent, qui ne donneront peut-être rien, ou qui fonderont notre futur.     Son job lui-même est fascinant. 𝗘𝗹𝗹𝗲 𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗻𝗴𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗿𝘁𝘀. Pour avoir devant nous tous les futurs possibles. Et pouvoir le choisir en conscience.         Alors qui de mieux que Noëmie pour questionner nos modes de travail de manière innovante, avec un pas de côté ?     Deux de ses fictions sur le futur du travail servent de base à notre échange.      On a parlé de :   Pourquoi écrire des fictions ? Quel processus suit-elle pour les créer ?   Quelle est la contre-tendance du job à mission ?   Où pourrait nous mener la fragmentation du travail ?   À quoi s'expose-t-on si on va vers une généralisation de l'IA ?   Quelles tendances sous-estimées risquent de chambouler nos modes de vie ?  Comment capter de par nous-même ces signaux faibles de ce qui change autour de nous ?   Notre conversation m'a permis de me décentrer. D'ouvrir mes yeux sur d'autres choses. De voir le monde depuis des angles différents. D'utiliser mon imagination pour imager le monde du présent.     J'espère que cette conversation vous fera voyager autant que moi.       Merci infiniment our notre échange. Si ça éveille votre curiosité, je vous invite vivement à vous abonner à la newsletter 15Marches (lien dans les notes de l'épisode).   —    🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici    Pour toute info concernant mes services : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour coacher avec moi      🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode :    Livre Ecotopia par Ernest Callenbach (1975)  Fictions de la newsletter Futur(s) lues pendant l'épisode :   Travail Minimum Viable (Mai 2021)  Création assistée (Novembre 2022)      🦾 Retrouver Noëmie :   Sur la Newsletter 15Marches  Sur le Site de 15Marches  Sur son LinkedIn Noëmie Aubron  
🦾 Retrouvez les coulisses du podcast dans la newsletter On n'est pas des robots       —        3 choses que je retiens sur l'avenir du travail de ma conversation avec Laetitia Vitaud.     Laetitia Vitaud, c'est LA référence du futur du travail. Cette autrice dont vous voyez passer les articles provoquants et éclairants toutes les semaines sur LinkedIn.     Autant vous dire : j'étais honorée mais je ne faisais pas la fière en préparant mes questions.     Je n'ai pas été déçue. J'ai été challengée. Et j'en retiens 3 choses.     1 > Être productif ne veut rien dire.     Productivité = Ratio qui mesure une unité d'un facteur de production.  Donc ça dépend de cette unité.   C'est pas pareil si on prend la productivité d'une personne ou d'une heure de travail.  "Si tu fais plus d'heures mais que tu ne produis pas beaucoup plus, ta productivité se dégrade."     Ça fait clairement écho à mon épisode sur la différence entre valeur, effort et temps avec Mathilde Le Coz.     Pensez-y la prochaine fois que vous vous trouvez ou non productif.        2 > Les métiers qui se féminisent deviennent de moins en moins payés relativement au reste de la population.      Exemple : La magistrature. Par rapport à il y a 40 ans, ce métier est devenu non mixte. Il y a aujourd'hui majoritairement des femmes. Et c'est aussi beaucoup moins payé aujourd'hui.     2 bis > Au contraire, les rares cas de métiers avant occupés par les femmes puis maintenant occupé par les hommes ont été revalorisés.     Exemple : l'informatique. Avant, les "calculatrices" était majoritairement des femmes.  Laetitia parle de masculiniser les professions féminines pour revaloriser les salaires.  Je pense qu'on pourrait revaloriser tout court. Justement parce qu'on sait que ce biais existe.         3 > L'essentiel des métiers de demain n'est pas où on le pense.     L'essentiel des métiers de demain pour lesquels on n'arrive déjà pas à recruter aujourd'hui, sont les métiers du soin et de l'éducation.   En volume, on parle de milliers de personnes.     Le travail du savoir va être impacté par l'IA. Mais le soin, l'éducation : on n'a pas de robots qui peuvent tout faire.  Or on ne peut pas s'en passer.   Ce sont donc des milliers de personnes (==> femmes) qui vont faire ce travail gratuitement.     Perso ça me fait pas mal réfléchir.        Bien sûr on est allé beaucoup plus loin dans ma conversation avec Laetitia.     On a aussi parlé :   > Des causes principales du burnout, et de comment inverser la tendance  > De comment mesurer la productivité et de la différence entre "valoriser" et "rémunérer"   > De notre modèle économique basé sur un foyer type d'il y a plus de 50 ans   > De l'importance de maintenir les infrastructures qui permettent aux gens de travailler  —        🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici    Pour toute info concernant mes services : contactez-moi sur LinkedIn, par email (carole@onnestpasdesrobots.com) ou réservez un appel pour coacher avec moi           🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode :       Roman Les sources de Marie Hélène Lafond  Roman Pleine et douce - Camille Froidevaux-Metterie     🦾 Retrouver Laetitia : Sur Instagram @laetitiavitaud   La newsletter Laetitia @Work      Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🤖 Si vous cherchez un coach sur ces sujets de rapport au travail, pour mener une carrière exigeante sans sacrifier votre santé et votre vie perso, sentez-vous libre réservez un appel pour qu'on en parle : réserver un appel 🤖     —     Ma conversation avec Anne-Laure Le Cunff, fondatrice de Ness Labs, est une piqûre de rappel des fondamentaux de l'hygiène mentale au travail qu'on oublie de mettre en pratique car :     ❌On veut toujours tout faire bien du premier coup.  ❌On confond l'illusion d'être productif avec le fait d'être vraiment productif.  ❌On court après des choses qui ne sont pas bonnes pour nous - 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒𝑧 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑚𝑖 𝑙𝑒 𝑠𝑢𝑐𝑟𝑒.  ❌On peut adorer son travail à s'en exténuer - 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑎𝑑𝑜𝑟𝑒𝑟 𝑚𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑠'𝑒𝑛 𝑒́𝑐œ𝑢𝑟𝑒𝑟.  ❌On peut être son propre bourreau - 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑠'𝑒𝑚𝑝𝑒̂𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑'𝑒𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠𝑝𝑙𝑢𝑠.     Bref, on peut passer des années à forcer sur notre pauvre cerveau et l'épuiser à petit feu. Comme on prendrait petit à petit du poids faute d'une alimentation équilibrée.     Pourtant la science avance. On avait l'excuse de l'ignorance. On ne l'a plus.     On ne sait pas tout mais on sait certaines choses. Par exemple :     ✔️Le cerveau a besoin de vide pour créer de nouvelles connexions neuronales et trouver des solutions créatives - 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑛𝑒 𝑙𝑢𝑖 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑗𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠.  ✔️ Le cerveau met du temps pour amorcer une tâche complexe - 𝑛𝑜𝑛, 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑖-ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑠𝑜𝑖 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝐴 𝑎̀ 𝑍 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑢𝑓𝑓𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡.  ✔️ Le cerveau doit faire des erreurs pour apprendre - 𝑜𝑢𝑖, 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑟𝑖𝑠𝑒𝑧 𝑑'𝑒𝑟𝑟𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑟𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑧 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑏𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑔𝑟𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛.  ✔️ L'information qu'on consomme, les gens avec qui on passe notre temps, notre alimentation… ont un impact sur notre santé mentale - 𝑜𝑢𝑖, 𝑙𝑒 𝑐𝑒𝑟𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑜𝑟𝑔𝑎𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒.  ✔️ Nous sommes câblés pour vouloir plus, mais tout ne se vaut pas. Avoir plus de certaines choses n'est pas corrélé au bien être.     C'est dur de faire différemment même quand on sait tout ça.     La première étape est de comprendre ce que chacun de nos comportements a comme impact réel sur notre cerveau.     Je vous garantis que ça donne envie de changer.     C'est tout l'objet de ma conversation avec Anne-Laure Le Cunff dans ce nouvel épisode de On n'est pas des robots.    Un immense merci à Anne-Laure pour la solidité scientifique et le caractère actionnable de ses conseils.   —      🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici   Et pour toute info concernant Moins Mais Mieux, ma formation en ligne sur la gestion du temps, contactez moi en direct (promis je ne mords pas) : sur LinkedIn ou par mail carole@onnestpasdesrobots.com     🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode :     Un article de Ness Labs sur la métacognition  Mon épisode sur la métacognition : 22. Métacognition, cette compétence sous-estimée | Thématique #4   🦾 Retrouver Anne-Laure :     Sur le site de Ness Labs    La newsletter Maker Mind  
🤖  Pour réserver un appel (gratuit et sans engagement) et rejoindre mon programme My New Way, c'est par ici : réserver un appel 🤖      —    C'est la guerre des talents.     On veut susciter un max d'engagement des collaborateurs.     Mais trop d'engagement peut-il être nocif ?     C'est en tout cas le constat que partage Mathilde Le Coz, DRH France du cabinet Mazars et Présidente au Lab RH au micro d'On n'est pas des robots cette semaine.        Réfléchissez-y une seconde.     Vous êtes déjà plein à craquer.     Vous n'avez qu'une envie c'est que le week-end arrive pour pouvoir souffler.     Et un collègue débarque dans votre bureau "Tu peux m'aider là-dessus ? Je ne m'en sors pas."        Vous ne pouvez pas le laisser là :     " Ça ne se fait pas. "  " Et si c'était moi à sa place ? "  " Et si la prochaine fois c'est dans l'autre sens et que c'est qui ai besoin de lui ? "  " On pourrait me dire que je ne la joue pas assez collectif "  " Et si ça se trouve ce sera pas long "        Vous vous entendez dire "Ok, comment je peux t'aider ?".     Juste avant de le regretter.  Juste avant de vous demander : “dans quelle m*** je me suis encore fourré ?”  Et pour une fois vous ne vous êtes pas carrément proposé de vous-même, sans rien qu'on vous demande, parce que vous le voyiez peiner.        Qu'est-ce qui vous pousse à toujours être trop gentil ?     Exactement ce qu'évoque Mathilde dans l'épisode.     " L'engagement peut être nocif. Le collectif peut être nocif. "   " Parfois, on est tellement engagés émotionnellement que le collectif aliène. Le sur-engagement aliène "   " C'est difficile de se mettre en marge d'un système global."         La solution ?     " Il faudrait tous qu'on ait un déclic. "        En attendant…     Si je n'avais qu'un conseil à vous donner, ce serait celui-là :      La prochaine fois que vous vous sentez obligé de dire “oui” alors que vous aimeriez dire “non”, demandez-vous :      À long terme, est-ce que je sers vraiment le collectif en rognant sur mes propres besoins ?        Vous ne maitrisez pas le déclic des autres.     Mais vous pouvez provoquer le vôtre.     Et c'est déjà un pas immense.   Je remercie 1000 fois Mathilde pour ses partages. J'espère que cette conversation vous plaira.  —     🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici      🦾 Retrouver Mathilde :     Sur LinkedIn Mathilde Le Coz   Le site du Lab RH   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
🤖  Pour réserver un appel (gratuit et sans engagement) et rejoindre mon programme My New Way, c'est par ici : réserver un appel 🤖  ---- Votre entreprise prend-elle soin de vous ?     4 aspects sont à regarder ↓    1 > Prend-elle soin de vous physiquement ?     C’est-à-dire vous donne-t-elle suffisamment d'autonomie, de flexibilité, de marge de manœuvre pour agir et vous organiser ?     2 > Prend-elle soin de vous psychiquement ?     C’est-à-dire met-elle les moyens en place pour que vous vous sentiez bien, pour éviter votre risque de burnout et préserver votre santé mentale ?     3 > Prend-elle soin de vous socialement ?     C’est-à-dire assure-t-elle un partage des ressources et des salaires raisonnable/équitable entre les employés, quel que soit leur échelon ?     4 > Enfin, prend-elle soin de l'environnement ?     C’est-à-dire œuvre-t-elle dans le sens de l'habitabilité du monde, qui est incontestablement menacée ?     Ce sont les 4 éléments essentiels du care dont parle Grégory Pouy, auteur des célèbres podcast Vlan! et Ping! à mon micro dans On n'est pas des robots.     Une grille de lecture qui peut aider à dégrossir, si vous sentez que quelque chose ne vous convient pas totalement.     Je remercie mille fois Grégory pour cette conversation qui m'a fait beaucoup de bien et qui je l'espère aura le même effet sur vous.    —  🦾 Pour rejoindre ma newsletter : Cliquez ici     🦾 Ressources mentionnées dans l'épisode :   Le livre recommandé par Grégory : Apprivoiser son ombre de Jean Monbourquette. 🦾 Retrouver Grégory :   Sur ces deux podcasts :  L'historique Vlan!  Le nouveau Ping!, sur le leadership et le care en entreprise Sur LinkedIn Grégory Pouy Sur son compte Instagram @gregfromparis  Crédit photo : Mary Lou MauricioHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J'avais envie de vous parler de mon programme de coaching mais d'une manière un peu légère.      Un peu comme si on allait prendre un café et que vous me demandiez "mais tu fais quoi exactement ?".     Et ça donne cet épisode un peu spécial où je m'auto-réponds à ces questions :      Qu'est-ce que c'est que ce programme My New Way ? t=3'10  A qui ça s'adresse exactement ? t=5'20  Qu'est-ce que ça apporte concrètement (basé sur les bilans de mes coachés) t=9'00  Comment ça marche une fois qu'on rejoint le programme ? t=16'10  Quand est-ce que ça démarre (et autres infos logistiques) ? t=20'28  Est-ce que ça marche tout le temps ? (bah oui on veut tous le savoir ! ;)) t=21'00  Le mot (philosophique et important !!!) de la fin t=23'39     Dans l'idéal, j'aurais eu cette conversation avec une autre personne. Qui aurait pu me faire préciser là où c'est encore flou. J'ai un peu trop improvisé cet épisode pour pouvoir organiser ça !      J'espère néanmoins que vous aurez toutes les infos pour :   Vous dire que ça peut vous aider et vous sentir à l'aise pour réserver un appel pour qu'on en parle.  Reconnaitre les personnes que vous connaissez qui sont dans cette situation et pour qui vous vous dites "mais il lui faudrait trop un truc comme ça !". Dans ce cas, please, transmettez lui cet épisode ou le lien vers mon agenda !   Vous serez uniquement 3 personnes. On démarre quand on est complet. Et le prochain lancement n'aura pas lieu avant l'automne.  Prenez votre plaid et un café, et plongez-vous dans l'envers de mon activité.    J'espère que ce format d'épisode un peu informel vous plaira 🤗 .     Je vous retrouve la semaine prochaine pour une véritable interview cette fois !  Encore une conversation qui m'a fait beaucoup réfléchir sur notre rapport au monde et au travail, et sur comment on peut faire avancer les choses dans une direction qui nous parait plus juste et plus saine.     À la semaine prochaine !  Carole ----     🤖  Pour réserver un appel (gratuit et sans engagement) et rejoindre le programme My New Way, c'est par ici : réserver un appel  🤖  Pour voir tous les détails sur le programme par écrit : accéder à la page de présentation My New Way Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
loading
Comments 
Download from Google Play
Download from App Store