C'est Pas Commun !

"L’art n’est pas ce qui se distingue du monde de l’action, il est une manière d’y participer différemment."Cette idée, au cœur de l’esthétique pragmatiste telle que formulée par John Dewey, déplace notre regard : elle ne voit plus l’œuvre comme un objet clos ou un monument à contempler, mais comme une expérience à vivre, une enquête sensible sur le réel.Aujourd’hui, de nombreux artistes s’inscrivent dans cette tradition. Ils enquêtent, documentent, partagent, non pour “illustrer” le monde, mais pour intervenir en lui, avec d’autres, à partir de lui. Et ce mouvement, l’art n’en a pas le monopole. Il rejoint les préoccupations d’une certaine sociologie qui, elle aussi, refuse les grands systèmes abstraits pour s’ancrer dans les pratiques, les relations, les récits. Une sociologie qui fait de l’enquête une aventure commune, voire une co-création.Pour évoquer ces concepts, en lien direct avec les arts en commun, j’ai le plaisir de recevoir aujourd’hui Yaël Kreplak.Yaël Kreplak est sociologue, enseignante-chercheuse en sociologie de l’art et des institutions artistiques. Maîtresse de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, elle occupe depuis 2022 la Chaire Delphine Lévy, rattachée au laboratoire HiCSA Sorbonne (Centre de recherche universitaire Histoire Culturelle et Sociale de l’Art)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Deuxième partie d'émission en compagnie du Collectif Impatience.Olivier Boréel et Perrine Mornay.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Collectif Impatience est composé de Perrine Mornay et Olivier Boréel.Dans cet épisode, ils nous parlent de leurs trois terrains de jeux artistiques : les pièces, les formes hybrides et les recherches collaboratives.Nous évoquons ensemble les défis et les vertus des processus participatifs dans l'art : entre attention, résistance et protocoles.🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/  🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcast   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cette seconde émission en compagnie de Thierry Boutonnier, nous évoquons pêle-mêle : • les croisements entre art et justice climatique• l'équation art/écologie/économie de marché• la domestication des espaces naturels• l'équilibre entre exigence scientifique et dimension poétique dans ses oeuvres🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/  🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcast   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

"L’artiste qui veut agir ne peut rester spectateur du désastre environnemental ; il lui faut, d’une manière ou d’une autre, prendre part à la reconstruction de l’équilibre rompu." Paul Ardenne a beaucoup écrit sur le rôle joué par l’art et par les artistes dans la transition climatique dont nous faisons l’expérience. L’art pour alerter, pour révéler, l’art pour imaginer de nouveaux futurs, pour illuminer d’autres récits, et l’art pour agir aussi.Les travaux de Paul Ardenne – et bien sûr des artistes qu’il suit – nous rappellent que l’art, loin de se limiter à un geste contemplatif ou décoratif, peut devenir un outil puissant de transformation sociale et écologique – une réponse à la fois créative et politique de ces transitions plus ou moins violentes que nous traversons. L’art interroge notre rapport à la nature, aux autres, et à ces fameux « communs » à construire ou reconstruire. L’art nous offre des espaces, des endroits pour repenser ensemble notre manière d’habiter le monde.C’est précisément dans ce sillage que s’inscrit le travail de Thierry Boutonnier, artiste et activiste que j’ai le plaisir de recevoir aujourd’hui. Dans ses projets, tels que Prenez Racines ou Recherche Forêt, il transcende les frontières traditionnelles de l’art pour déployer pratiques et dialogues au cœur de communautés vivantes, qu’elles soient humaines ou non. Comment rétablir l’équilibre rompu entre matière sauvage et environnements urbains, entre les hommes et les arbres ? C’est à travers des œuvres participatives que cet artiste tente de répondre à ces défis.🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/  🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcast   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Nouvel épisode en compagnie de l’artiste Béatrice Bailet qui lors de la précédente émission nous partageait son parcours, et nous a invité à découvrir l’univers de son Inventaire des Fêtes, un projet au long cours qui questionne, célèbre et propose de réinterpréter collectivement les fêtes et rituels populaires.En s’inspirant des fêtes et rituels populaires, Béatrice Bailet crée des œuvres hybrides, à la fois poétiques et politiques. Aujourd’hui, elle nous parlera de son travail, et plus particulièrement de son projet Inventaire des Fêtes, véritable ode à la puissance créative du collectif et à la force des patrimoines culturels immatériels.🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/  🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcast   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

« La fête s’empare de n’importe quel espace qu’elle peut détruire ou dans lequel elle peut s’installer. La rue, les cours, les places, tout est bon pour cette rencontre des hommes en dehors de leurs conditions et du rôle qu’ils jouent dans une collectivité organisée. » Ces mots de Jean Duvignaud, tirés de Fêtes et civilisations, nous rappellent que les rituels populaires, loin d’être de simples célébrations innocentes, sont des moments de suspension des cadres sociaux, où l’ordre et le désordre cohabitent. La fête, par son essence même, est une mise en scène collective : elle invente des gestes, transforme les espaces, convoque des identités multiples et, surtout, ouvre un champ d’expérimentation où chacun peut réécrire les règles du jeu.En s’inspirant des fêtes et rituels populaires, Béatrice Bailet crée des œuvres hybrides, à la fois poétiques et politiques. Aujourd’hui, elle nous parlera de son travail, et plus particulièrement de son projet Inventaire des Fêtes, véritable ode à la puissance créative du collectif et à la force des patrimoines culturels immatériels.🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/  🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcast   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui, je reçois à nouveau Maëva Longvert de la compagnie Le Polymorphe avec qui nous explorerons deux concepts : l’habitabilité et le matrimoine. Comment ces concepts se rejoignent, se nourrissent mutuellement, et influencent certaines pratiques artistiques, notamment celles qui investissent l’espace public.🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/  🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcast   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce premier épisode de la saison 6 de C'est Pas Commun, Alexia Jacques-Casanova reçoit Maëva Longvert de la compagnie Le Polymorphe.En sa compagnie nous évoquons la différence entre "arts de la rue" et "art dans l'espace public" et elle nous présente deux de ses créations récentes : Nyctalope et En Vol.Nyctalope est un pièce participative à laquelle contribuent 30 femmes à chaque fois. Des femmes différentes qui sont invitées à prendre part dans chacune des villes où cette création est accueillie. En plus de ces 30 femmes qui donnent corps à la pièce, il y a donc un public, invité à une traversée dans l’espace urbain au détour duquel il va pouvoir rencontrer :- des installations textiles- des graphismes au sol sous formes de lignes et motifs- des points de diffusions sonores- et ces 30 femmes qui marchent qui chantent et qui s’emparent des différentes installations textiles qu’elles mettent en mouvement en les revêtant, en les habitantEn Vol est une installation plastique dans l’espace public qui prend la forme d’oiseaux monumentaux réalisés avec du ruban adhésif de couleur. Là encore on est sur une démarche participative et ce à deux endroits : dans la récolte de récit et dans l’activation finale de cette œuvre.🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/  🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcast   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cette émission (partie 2), Alexia Jacques-Casanova reçoit à nouveau Sarah Mathon et Sophia Antoine de la compagnie de l''île de la Tortue. Elles évoquent le "test d'humanité" auquel leur projet "Les Clameuses" a été soumis. Imaginé par le spécialiste des droits culturels Jean-Michel Lucas, ce test d'Humanité a eu un impact décisif sur la manière dont elles travaillent en tant qu'artistes des communs. Nos deux invitées détaillent également les spécificités que présentent le travail d’artiste dans des contextes de co-création, et notamment avec des personnes en situation de précarité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cette émission (Partie 1), Alexia Jacques-Casanova reçoit la Compagnie l’Île de la Tortue, et plus particulièrement Sarah Maton, fondatrice et directrice artistique ; ainsi que Sophia Antoine, collaboratrice artistique. Présentation et discussion autour du projet Les Clameuses: un collectif de femmes, toutes habitantes des quartiers prioritaires à Clichy-sous-Bois. Un collectif donc de spectatrices qui sont aussi critiques et programmatrices de spectacles. Désormais elles sont également interprètes au sein de la création « Les flammes c’était moi »Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cette émission (partie 2) Alexia Jacques-Casanova reçoit deux membres du collectif mouvant, Rara Woulib. « Deux solutions se présentent quasi logiquement pour échapper à la marchandisation et retrouver un rapport à l’art libéré de l’intérêt financier : cesser de produire des objets, qui est une des raisons pour lesquelles l’art en commun produit si peu d’œuvres au sens traditionnel du terme, et préfère les processus ; ou produire des objets qui ne sont pas symboliques mais utiles, c’est-à-dire à qui l’on attribue a priori une fin pour éviter que le marché de l’art ne lui attribue la sienne. » C’est avec cet extrait du livre de chevet de C’est pas Commun que démarre cette émission: "l’Art en Commun" d’Estelle Zhong Mengual. Il existerait donc deux solutions pour échapper à la marchandisation de l’art, deux stratégies de contournement et pour en parler, qui de mieux que la compagnie Rara Woulib ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cette émission (partie 1), Alexia Jacques-Casanova reçoit deux membres du collectif mouvant Rara Woulib. L’espace public – ou ce qu’il en reste – est un terrain de jeu sans limite ou presque pour bon nombre d’artistes et notamment celles et ceux que nous recevons ici dans C’est Pas Commun. L’espace public, grignoté d’un côté par la logique capitaliste : les publicités omniprésentes, l’usage tarifé de chaque mètre carré disponible où il faut désormais « consommer » pour pouvoir s’arrêter un instant. L’espace public policé, voire policié, afin de nous prémunir d’un danger devenu permanent et permettant aux régimes d’exception de devenir la règle : par exemple, les états d’urgences successifs que nous traversons et auxquels nous nous habituons presque confortablement depuis 2005. Face à ces restrictions, parfois pavées de bonnes intentions, des voix s’élèvent, des chemins se fraient, des rituels se créent. La compagnie Rara Woulib fait partie de ces collectifs qui œuvrent à la ré-appropriation de l’espace public par l’intervention artistique et nous invite à les y rejoindre.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

InvitéesCécile Morelle et Laëtitia Troussel-Luber (Le Composte et Banana Tragédie)DescriptionDans cette partie 2, nous retrouvons Cécile Morelle et Laëtitia Troussel Luber de la compagnie Le Composte afin d'évoquer pêle-mêle : les artistes qui les ont inspirées et poussées à s'impliquer dans les démarches participatives; leur processus de création et de maturation de projets; leur rapport à l'engagement politique et social dans l'art en commun; ou encore les conseils qu'elles donneraient à leurs pairs.Extrait Audio“Dans de Beaux Draps”, projet de la compagnie Le ComposteProgrammation MusicaleSouvenir – Irene Skylayaki🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/🎈Et Facebook https://www.facebook.com/CestPasCommunPodcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

InvitésCécile Morelle et Laëtitia Troussel-Luber (Le Compost et Banana Tragédie)DescriptionQuelles histoires racontent les tissus de notre quotidien ? Quels souvenirs se cachent sous les coutures, quels non-dits dans les plis ? Nombreux et nombreuses sont les artistes – et notamment celles et ceux que nous recevons dans C’est Pas Commun – qui s’intéressent à ce medium qu’est le textile. Un matériau à la fois précieux et populaire, omniprésent, souvent empreint d’histoire, de luttes et de symboles. Un matériau aussi dont la conception et la fabrication même est riche de savoir-faire, de secrets et de sous-entendus politiques et identitaires. Dans cet épisode, Alexia Jacques-Casanova accueille deux nouvelles artistes s’étant frottées aux possibles du textile : Cécile Morelle, Directrice Artistique, comédienne, metteure en scène, autrice et pédagogue ; et Laëtitia Troussel Luber, conteuse comédienne, autrice et metteuse-en-scène – toutes deux membres de la compagnie Le Compost. Ressources, projets et artistes cités dans cet épisode :La Compagnie Le CompostLe projet “Dans de Beaux Draps”Banana TragédieExtrait Audio“Dans de Beaux Draps”, projet de la compagnie Le ComposteProgrammation MusicalePull Marine de Valentin Stuf🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/🎈Et Facebookhttps://www.facebook.com/CestPasCommunPodcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Morgane Clerc et Flo Clerc qui forment ensemble le duo ORAN. Dans cette deuxième partie d'émission, nous évoquons avec elleux leurs inspirations et influences dans le champ de l'art contextuel notamment. Nous échangeons également sur certaines caractéristiques propres aux arts communs : l’intersection entre esthétique et activisme, ou encore le rôle de l’artiste dans les propositions participatives.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

 Pour cette première émission de la saison 5,  Alexia Jacques-Casanova reçoit Morgane Clerc et Flo Clerc qui forment ensemble le duo ORAN. Nous parlerons avec elleux de leur pratique artistique et plus particulièrement de "Les Cent Plaids" une installation éphémère actuellement visible et expérimentable à l’église Saint-Sépulcre à Roubaix. Comme son nom l’indique cette installation se compose d’une centaine de plaids cousus collectivement avec le concours des habitant·es et passantes de la Place d’Amiens.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invités Alice Faravel et Béatrice Guyot de La Folie Kilomètre Description Dans cet épisode, je reçois Alice Faravel et Béatrice Guyot, toutes deux membres actives de la Folie Kilomètre pour nous présenter leur collectif et “La Disparition de la Nuit” : deux cycles de recherche-action à la croisée de l’art et de la sociologie pour explorer le droit à l’obscurité. Ressources citées « Revoir les étoiles, naissance d’une revendication » de Razmig Keucheyan, publié dans Le Monde Diplomatique en 2019  Extrait Audio Piste issue de la recherche-action du chantier “La Disparition de la Nuit” 🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/ 🎈Et Facebookhttps://www.facebook.com/CestPasCommunPodcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invitées Sara Paubel et Stéphanie Merran de Ce Que Mes Yeux Ont Vu Description Créer ou renforcer le lien social à travers des pratiques artistiques et pédagogiques c’est le cheval de bataille de Ce Que Mes Yeux Ont Vu. Dans cette émission, Alexia Jacques-Casanova reçoit Sara Paubel et Stéphanie Merran, les deux têtes pensantes et agissantes de Ce Que Mes Yeux Ont Vu. Ressources, projets et artistes cités dans cet épisode : Ce Que Mes Yeux Ont Vu L’Oeil est la Voix à l’arc de triomphe Extrait Audio L’Oeil est la Voix – Arc de Triomphe Programmation Musicale 🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/ 🎈Et Facebookhttps://www.facebook.com/CestPasCommunPodcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité Pierre Durosoy, cofondateur et coordinateur général de Keur Eskemm Description L’association Keur Eskemm est basée à Rennes et elle œuvre activement – depuis plusieurs années maintenant – à l’engagement des jeunes génération et au dialogue interculturel au travers de projets artistiques, créatifs et expérimentaux. Dans cet épisode, Pierre Durosoy nous parle du Laboratoire Artistique Populaire, un espace situé dans le quartier de Maurepas à Rennes, qui réunit des jeunes de 18 à 30 ans autour de pratiques artistiques coopératives et expérimentales. Extrait Audio “Bienvenu au Lap” réalisé par Léonard de Souza, disponible sur Youtube 🎈Suivez C'est Pas Commun ! sur Instagram https://www.instagram.com/cestpascommunpodcast/ 🎈Et Facebookhttps://www.facebook.com/CestPasCommunPodcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.