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Afrique en marche
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Afrique en marche

Author: Kamal Louadj

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Description

Et si l'Afrique prenait son envol dans le contexte du monde multipolaire naissant? C’est à ce débat que L’Afrique en marche aimerait prendre part.
185 Episodes
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Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le géopolitologue français Aymeric Chauprade explique les dessous, les enjeux et la causes de la décision russe de changer de doctrine nucléaire. Selon lui, les armes hypersoniques «ont offert une supériorité écrasante aux Russes, qui ont rendu tout l’arsenal militaire occidental obsolète».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Arnaud Develay, consultant politique et journaliste indépendant, explique les causes des sanctions américaines et occidentales à l’égard des médias publics russes.
Dans cette émission de L’Afrique en marche, l’économiste et ex-ministre algérien de l’Industrie Ferhat Aït Ali Braham analyse les causes structurelles endogènes et les causes exogènes -en l’occurrence mondiales- du déclin de l’économie française. Selon lui, «les pouvoirs publics [français] n’arrivent pas à trouver de solutions depuis au moins 40 ans».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le premier secrétaire du parti du Peuple uni pour la rénovation sociale (PURS), au Cameroun, Serge Espoir Matomba, analyse les raisons qui se cachent derrière la décision des Occidentaux d’interdire les médias publics russes, RT et Sputnik, dont Sputnik Afrique. «Le temps de la tyrannie médiatique est révolu».
Lors d’un entretien accordé à L’Afrique en marche, Akram Kharief, fondateur et animateur du site d’information militaire Menadefense, analyse les dessous de la compétition stratégique entre l’Est et l’Ouest en Afrique australe. Pour lui, la Tanzanie «a tous les atouts pour garantir ses intérêts vitaux en bonne intelligence avec toutes les puissances».
Dans ce numéro de L'Afrique en Marche, Farid Benyahia, économiste et géopolitologue algérien, dresse un tableau très prometteur des possibilités et de l’avenir des relations économiques et financières entre la Russie et l’Algérie.
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Mohamed Achir, enseignant-chercheur algérien en économie, compare les teneurs des sommets économiques occidentaux et orientaux en termes de prise en charge des besoins vitaux des pays africains en développement multisectoriel. Pour lui, ce sont les Orientaux qui proposent le développement à l’Afrique.
Il serait difficile à la Turquie d’intégrer les BRICS vu «qu’elle est un membre important de l’Otan, dont elle est la deuxième armée après celle des États-Unis», affirme à Radio Sputnik Afrique le général Dominique Delawarde, retraité de l’armée française. Pour lui, les Turcs pourraient en revanche avoir un statut de partenaire privilégié.
Dans cette édition de L’Afrique en marche, un géopolitologue malien fait le point sur la situation sécuritaire dans son pays et au Sahel, appelant les hommes d’affaires et les chefs d’entreprises russes à venir investir au Mali et dans toute l’Afrique, un continent où, selon lui, «tout est à faire».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Abderrahmane Hadef, Senior-Expert algérien en développement économique, numérique, énergétique et en diplomatie économique, explique le rôle majeur que les BRICS+ sont appelé à accomplir dans la création d’une nouvelle gouvernance mondiale. Pour lui, l’Algérie a toute sa place dans ce processus.
Dans cette édition de L’Afrique en marche, Akli Moussouni, directeur des programmes du cabinet CIExpert, à Alger, analyse les politiques de développement africaines, nationales et continentales, dans le contexte de la crise financière internationale. Il identifie leur potentiel humain et matériel ainsi que leurs lacunes, qui devraient être comblées.
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Ryma Rouibi, enseignante-chercheuse à l’École nationale supérieure de journalisme et des sciences de l'information d'Alger, explique les raisons objectives et souveraines ayant motivé la décision des pays du Sahel de suspendre plusieurs médias occidentaux. Pour elle, «ces pays sont indépendants et souverains».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Bertrand Scholler, géopolitologue et stratégiste français, analyse les enjeux géopolitiques et géoéconomiques de la visite d’État de deux jours effectuée par Vladimir Poutine en Azerbaïdjan. Pour lui, le contexte de «cette visite confirme le statut de grande puissance régionale et mondiale de la Russie».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, deux économistes français, Hélène Clément-Pitiot et Renaud Bouchard, analysent le fonctionnement du système financier et monétaire international qui porte dans son ADN la génération de graves crises financières depuis des décennies, à l’image de la chute des bourses la semaine dernière.
L’ancien ministre et ambassadeur algérien, Mohamed Laïchoubi, a analysé au micro de L'Afrique en marche les derniers événements survenus dernièrement au Bangladesh, ayant conduit à l’éviction de la Première ministre Sheikh Hasina, sur fond de nouvelles tendances lourdes de la géopolitique mondiale.
Lors d’un entretien accordé à L’Afrique en marche, Akram Kharief, fondateur et animateur du site d’information militaire Menadefense, analyse les enjeux militaires et géostratégiques du probable transfert des Forces américaines quittant le Niger en Côte d’Ivoire. «Maintenir une présence opérationnelle dans le Sahel, mais surtout sur le golfe de Guinée.»
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, ambassadeur du Front Polisario auprès des Nations unies à Genève, Oubi Bouchraya Bachir, explique que «la déclaration d’Emmanuel Macron apportant un soutien décisif au plan d’autonomie marocain n’est que le dernier épisode» de la politique française à l’égard du conflit au Sahara occidental.
Nord du Mali: "Les problèmes du pays doivent impérativement être résolus par les Maliens eux-mêmes"
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Denis Degterev, professeur et chercheur à l’Institut d'études africaines à Moscou, analyse les relations russo-africaines et leurs perspectives de développement. Pour lui, l’Afrique veut "édifier des industries en tous genres à même de permettre la transformation locale des matières premières".
"La Chine est une noix difficile à casser. L'Europe, en revanche, est beaucoup plus facile à casser parce que, en fait, les élites européennes, les élites de gouvernements sont soumises à Washington par idéologie, par habitude", déclare Xavier Moreau, fondateur et directeur du centre d’analyses politico-stratégiques Stratpol, dans le nouveau podcast de L'Afrique en marche.
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