Happy Work

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Grâce à mon métier, je reçois beaucoup, beaucoup de témoignages et, je dois bien vous avouer que, parfois, la réalité dépasse la fiction. Il ne se passe pas une journée sans son lot d’anecdotes. 1️⃣ Le manque de respect2️⃣ L’absence de feedback3️⃣ Le manque de recul4️⃣ Le manque de confiance : micro-management5️⃣  Le manque d’optimisme Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Oui, manager son manager, c’est possible. Certes, nous n’osons pas toujours le faire, mais, par expérience, je peux vous l’affirmer, c’est absolument fondamental pour être bien dans votre travail. Mais, pour manager son manager, il y a une méthode, et c’est cela que je vais vous expliquer dans cet épisode :1️⃣ Comprendre les motivations de votre manager 2️⃣ Mettre vos demandes en perspectives par rapport à SES objectifs. 3️⃣ Savoir parler du JE et du NOUS4️⃣ Fixer des étapes Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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4 étapes simples détaillées dans cet épisode :1️⃣  Les accepter : vous n’êtes pas un robot2️⃣ Les comprendre : faire un temps d’arrêt pour ne pas les laisser prendre toute la place3️⃣ Les gérer : agir sur la source de l’émotion et vous projeter vers l’avenir.4️⃣ En tirer du positif, apprendre de ses expériences, même (surtout) les négatives « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j'apprends. » Nelson Mandela. Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Depuis la pandémie, nous sommes nombreux et nombreuses à réfléchir sur la nouvelle relation que les salariés ont avec leur travail. Force est de constater que les changements sont nombreux, et c’est pour cela que j’ai souhaité faire un sondage sur mon compte Linkedin. Le résultat de ce dernier m’a plutôt étonné à vrai dire, en tous cas, certains de ses éléments.Il est peu surprenant qu’en ces temps de problématique de pouvoir d’achat, seulement 2% des 5 545 personnes ayant répondu souhaitent travailler moins pour travailler moins. Par contre, ce qui m’a vraiment surpris, c’est que 42% ait choisi la seule réponse qui ne parle pas d’argent et souhaitent juste vivre mieux leur vie personnelle.Quand on ajoute ces 42% aux 46% qui souhaitent travailler mieux et gagner autant, cela fait tout de même 88% des personnes qui pensent avant toute chose à leur bien-être et à leur équilibre vie privée / vie professionnelle. Eh oui, le travailler plus pour gagner plus ne fait plus recette. Seuls 10% des répondants ont choisi cette réponse.Est-ce si étonnant ? Pas vraiment, et en voici les raisons1️⃣ Travailler plus… pour plus de mal-être ?2️⃣ La valeur travail remise en question par la pandémie elle-même3️⃣ Le travailler mieux ne veut pas dire produire moins Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Nous le constatons avec la réforme de la retraite, faire accepter le changement n’est pas forcément chose simple. Et contrairement à ce que certains aiment à penser, les français ne sont pas plus rétifs que d’autres pays au changement… l’être humain n’aime pas le changement. Pour s’en convaincre, essayer donc de retirer le doudou préféré d’un bébé juste avant de dormir… vous verrez s’il aime ça ! Ce qui se passe avec la réforme des retraites est un cas d’école et, du temps où j’étais manager, j’ai du gérer un certain nombre de transformations complexes, en négociant avec les syndicats et je crois qu’il existe quelques passages obligés pour que le changement, sans dire qu’il sera accepté par toutes et tous, ne génère pas une opposition globale. 1️⃣ Comprendre les raisons de la potentielle résistance au changement2️⃣ Agir sur ces raisons avant d’entamer le changement3️⃣ Négocier le changement4️⃣ Planifier  Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Je parle souvent des qualités et défauts des managers et un reproche que l’on me fait parfois, c’est de ne pas parler assez des personnes qui ne sont pas manager ; c’est vrai. Même si je suis profondément convaincu qu’un manager a la qualité d’équipe qu’il mérite, il n’en reste pas moins que tous les salariés, managers ou non, ont des qualités et des défauts. Au-delà de ce poncif, il faut être attentif à ses propres qualités et défauts et être conscient que ce sont ceux-ci qui vont déterminer la façon dont nous sommes regardés et évalués dans l’entreprise. Ainsi, dans cet épisode, je vous propose la liste des qualités les plus importantes que tout salarié devrait avoir. La liste n’est pas faite par ordre d’importance. Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Bonne nouvelle, nous ne sommes pas des robots et nous avons des émotions ! Mais saviez-vous que nous étions 3 fois plus sensibles aux émotions négatives qu'aux positives ? Et oui, si dans la même journée, une personne vous fait un compliment, une autre une critique... c'est la critique que vous retiendrez, et si vous n'y prêtez pas attention, cette émotion négative va petit à petit prendre toute la place dans votre cerveau.Mais ce n'est pas une fatalité et cet épisode vous donne les 5 étapes pour gérer au mieux ces émotions négatives et, surtout, en tirer profit !1️⃣ Faîtes une pause2️⃣ Analysez les causes de l'émotion3️⃣ Déterminez les conséquences potentielles de l'émotion4️⃣ Déterminez un plan d'action pour supprimer cette émotion5️⃣ AgissezBonne écoute !Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Je ne sais pas si vous le savez, mais dans les mois à venir, une nouvelle loi travail va être en négociation… ça promet d’être agité, d’autant plus que l’un des sujets sera probablement la semaine de 4 jours. Et si je fais cet épisode, c’est pour donner quelques faits concernant la semaine de 4 jours car je lis et j’entends déjà, notamment certains députés, dire d’énorme bêtises et contresens à propos de cette semaine de 4 jours. 1️⃣ Il existe plusieurs possibilités pour la semaine de 4 jours : la méthode Belge… et l’autre2️⃣ Toutes les études montrent l’efficacité économique de la semaine de 4 jours : l’expérience anglaise Il n’est jamais trop tard pour bien faire… mais espérons que cette loi travail soit pour une fois orientée vers le bien-être des salariés. La France est le plus mauvais élève européen en termes de bien-être au travail et j’espère que, pour une fois, nos députés et politiques écouterons ce qui se passe dans la tête des salariés… tout le monde y a intérêt. Et oui, investir dans le bien-être est rentable… je croise les doigts pour que le MEDEF en ait conscience. Tous les éléments chiffrés sont dans l’épisode. Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Je dois bien vous avouer que je suis un tantinet chafouin, pour ne pas dire carrément en colère. Pourquoi ? Parce que je suis lassé de lire des articles qui analysent le quiet quitting comme la preuve que les gens ne veulent plus travailler ! Vous savez, le quiet quitting, c’est ce qui fait que les salariés ne fournissent « que » le travail pour lequel ils sont payés. Selon une étude IFOP, 43% des salariés des entreprises de plus de 10 salariés admettent s’impliquer juste ce qu’il faut, ce qui est en hausse de 6 % par rapport à une étude de 2003.  Et, dans cette même étude, 37% admettent volontiers être des quiet quitters. Ce que je trouve absolument hallucinant, c’est l’analyse qui est faite de ce mouvement. Nous sommes dans une société ou plus de 10% des salariés vont faire un burn-out, ou plus de 44% des salariés se déclarent en détresse psychologique et personne ne dit clairement quelque chose d’évident : nous refusons de nous tuer à la tâche, c’est tout ! Il serait temps que notre société remette le travail à sa juste place. Et je dis bien remettre car cette surenchère de la présence de notre vie professionnelle dans notre vie en général est une chose récente que le numérique a fait accélérer. Pendant des années, le chômage de masse a permis aux entreprises de compter sur une implication hors norme du fait de la peur du chômage. Le prix à payer du plein emploi sur un nombre grandissant de catégories socio-professionnelle, c’est que les salariés pensent avant toute chose à leur confort et à leur santé. En quoi est-ce choquant ? Si un travail me fait souffrir, contrairement à il y a quelques années, j’ai le choix d’en changer. La pression est sur les employeurs. Vous pensez que c’est nouveau ? Eh bien figurez-vous que l’un des tous premiers théoriciens du capitalisme, Adam Smith, expliquait dans son livre fondateur (La richesse des nations) qu’un patron devait payer pour la santé de ses ouvriers et payer l’éducation des enfants de ceux-ci s’il voulait réussir. AU 18ème SIECLE !!! Eh oui, pour avoir des employés motivés, il faut en prendre soin. Et si ce n’est pas l’entreprise qui s’en charge, le salarié s’en occupera lui-même, maintenant, il a le choix.  Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.com  Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Tous les jours, nous commettons des erreurs, des petites et des grandes, parfois. Nous n’aimons pas cela, bien sûr, mais nous n’avons pas le choix, en tant qu’être humain, nous ne sommes pas infaillibles ! Par contre, nous devrions changer notre regard sur les erreurs. Au lieu de les considérer comme quelque chose de négatif, nous devrions les considérer comme autant d’opportunités non seulement d’apprentissage… mais également d’avoir des idées nouvelles. Eh oui, un grand nombre d’inventions ont vu le jour grâce à des erreurs : le micro-onde, l’imprimante jet d’encre, le Viagra et… le post-it ! Vous ne le saviez pas ? Je vous raconte cette histoire incroyable dans cet épisode. Et à la fin de celui-ci, découvrez « la journée de la lose »… une idée que vous pourriez mettre en place dans votre équipe pour commencer à mettre en place une culture du droit à l’erreur.Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Il y a très exactement 6 ans, je publiais un article pour analyser la motivation des salariés au travers de la pyramide de Maslow. Vous savez, Maslow, c’est ce psychologue américain qui, dans les années 40 a commencé à expliquer les raisons de la motivation de l’être humain au travers de ses besoins : physiologique, sécurité, amour, estime et accomplissement de soi.Et la semaine dernière, avec mon partenaire Edenred France, j’ai fait un sondage sur Linkedin à propos des avantages que vous souhaiteriez avoir. Vous aviez le choix entre des titres restaurants, des titres cadeaux, un co-financement de vos déplacements ou des titres CESU… eh bien le résultat est sans appel avec 45% des 3 193 répondants, pour qui ce sont les titres restaurants qui arrivent en premier.Pourquoi cela est-il si important ? Parce que le principe même de la pyramide de Maslow, c’est d’expliquer que tant chaque individu n’atteint pas le niveau qu’il estime satisfaisant d’un étage, il ne passera pas au suivant. Concrètement, comment parler de sens donné au travail à quelqu’un qui n’arrive pas à boucler ses fins de mois.Manger… la priorité des salariés, plus que de se faire des cadeaux… ou, plus exactement, et cela devrait faire partie d’une autre étude, quand il s’agit « d’à côté », le pouvoir d’achat sur le « basique est prioritaire ».Voici donc cette « nouvelle » pyramide de Maslow appliquée au monde du travail.1️⃣ Les basiques : le besoin de sécurité2️⃣ L’intérêt du métier : source d'implication3️⃣ Reconnaissance par la hiérarchie : source de motivation4️⃣ Autonomie & droit à l’erreur : source de créativité et de prise d'initiative5️⃣ Sens donné à son travail : source de fidélisationEt pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.