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Radio Marc Bloch
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Radio Marc Bloch

Author: Centre Marc Bloch

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Radio Marc Bloch est un podcast produit par le Centre Marc Bloch (https://cmb.hu-berlin.de/fr/), le centre franco-allemand de sciences humaines et sociales situé à Berlin. Au travers de deux rubriques (Dialogues, et Partenaires), enregistrées en français, en allemand ou en anglais, Radio Marc Bloch vous permet de retrouver l'actualité de nos 250 chercheuses et chercheurs et de nos nombreux partenaires. Des conflits politiques à l’écologie en passant par les migrations, la globalisation ou la philosophie, nous aborderons sur cette chaîne une large palette de sujets pour examiner ensemble l’évolution de nos sociétés européennes. Bonne écoute, en espérant vous retrouver à la Friedrichstraße, au cœur de Berlin pour l'une de nos nombreuses manifestations! 


Pour toute question, suggestion, commentaire, écrivez-nous à: podcast@cmb.hu-berlin.de  
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70 Episodes
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Chercher, enseigner, publier – de préférence à l’international: les injonctions du monde universitaire sont multiples, et souvent peu propices à un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Dans un contexte marqué par la précarité croissante des jeunes chercheur·es, il ne semble jamais y avoir de « bon moment » pour devenir parent dans le milieu universitaire. Dans la série de l’été « ParenThèses », nous allons revenir sur des parcours de chercheur·es qui conjuguent au quotidien parentalité, recherche et enseignement – et explorer ensemble les défis spécifiques à la parentalité dans l’univers académique.Dans le quatrième et dernier épisode de cette série, Marie Janot-Caminade, docteure en science politique et sociologie, revient sur son parcours de mère et de chercheuse. Spécialiste de sociologie du genre, elle aborde la question de la parentalité – et plus particulièrement de la maternité – dans une perspective double qui mêle vécu et analyse sociologique.   Une série conçue et réalisée par Alice Lacoue-Labarthe, doctorante associée au CMB.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Forschen, lehren, publizieren – am liebsten international: Die Anforderungen der akademischen Welt sind vielfältig und nicht selten nur schwer zu vereinbaren mit gutem Gleichgewicht zwischen Berufs- und Privatleben. In einem Kontext, der von der wachsenden Prekarität junger Wissenschaftler:innen geprägt ist, scheint es nie den „richtigen Zeitpunkt“ zu geben, um im akademischen Umfeld Eltern zu werden. In der Sommerreihe „ParenThèses“ werfen wir daher bewusst einen Blick auf die Lebenswege von Wissenschaftler:innen, die jeden Tag versuchen, Elternsein, Forschung und Lehre miteinander zu verbinden – und wir blicken gemeinsam auf die besonderen Herausforderungen, die Elternschaft im akademischen Bereich mit sich bringt.In der dritten Folge dieser Serie unterhalten sich Esther Möller und Daniel Tödt über ihre Erfahrungen als Eltern und Historiker:innen während der Dissertations- bzw. Habilitationsphase. Gemeinsam sprechen sie über die Vor- und Nachteile des Lebens als Eltern und Forscher:innen in Deutschland – ein Leben, das man wohl am treffendsten als ‚privilegiertes Prekariat‘ beschreiben könnte.Diese Serie wurde von Alice Lacoue-Labarthe, assoziierte Doktorandin am CMB, konzipiert und realisiert.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chercher, enseigner, publier – de préférence à l’international: les injonctions du monde universitaire sont multiples, et souvent peu propices à un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Dans un contexte marqué par la précarité croissante des jeunes chercheur·es, il ne semble jamais y avoir de « bon moment » pour devenir parent dans le milieu universitaire. Dans la série de l’été « ParenThèses », nous allons revenir sur des parcours de chercheur·es qui conjuguent au quotidien parentalité, recherche et enseignement – et explorer ensemble les défis spécifiques à la parentalité dans l’univers académique.Dans le deuxième épisode de cette série, Laure Piguet et Éric Wittersheim échangent autour de leurs expériences de parentalité pendant le doctorat, revenant chacun·e sur les difficultés communes à leurs parcours respectifs. Elle est postdoctorante en histoire contemporaine à l’Université de Fribourg, il est chercheur en anthropologie à l’EHESS, et leurs témoignages permettent aussi de souligner les évolutions et, a contrario, les constantes de l’approche de la parentalité dans le milieu de l’enseignement et la recherche.Une série conçue et réalisée par Alice Lacoue-Labarthe, doctorante associée au CMB.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chercher, enseigner, publier – de préférence à l’international: les injonctions du monde universitaire sont multiples, et souvent peu propices à un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Dans un contexte marqué par la précarité croissante des jeunes chercheur·es, il ne semble jamais y avoir de « bon moment » pour devenir parent dans le milieu universitaire. Dans la série de l’été « ParenThèses », nous allons revenir sur des parcours de chercheur·es qui conjuguent au quotidien parentalité, recherche et enseignement – et explorer ensemble les défis spécifiques à la parentalité dans l’univers académique.Dans le premier épisode de cette série, Marieke Louis et Hélène Camarade discutent de mobilité, un aspect central des parcours de recherche. Maîtresse de conférences en science politique et professeure en études germaniques, elles ont toutes les deux été confrontées aux défis que représentent les mobilités en tant que mères. Nous nous intéressons aux questions pratiques liées à cet aspect des carrières de chercheur·es, mais aussi à l’impact – positif comme négatif – de la parentalité sur les travaux de recherche.Une série conçue et réalisée par Alice Lacoue-Labarthe, doctorante associée au CMB.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’heure où l’Allemagne vient de renvoyer 81 réfugiés afghans vers leur pays d'origine dirigé, depuis août 2021, par le régime Taliban, Radio Marc Bloch revient sur les tensions profondes qui traversent les politiques d’asile et l’action humanitaire internationale.Dans cet épisode, Giulia Scalettaris, anthropologue, maîtresse de conférences en science politique à l’université de Lille et chercheuse CNRS en délégation au CMB, échange avec Joël Glasman, historien de l'Afrique, spécialiste de l’humanitaire et professeur à l’université de Bayreuth. Ensemble, ils discutent de son ouvrage Le HCR et la crise afghane. Une bureaucratie internationale à l’épreuve (Karthala, 2023), récemment publié et également disponible en anglais chez Berghahn.Fruit d’une enquête de terrain au long cours, ce livre interroge de l’intérieur le fonctionnement du Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR) face aux déplacements massifs de populations afghanes, notamment au Pakistan. Entre logique humanitaire, contraintes bureaucratiques et équilibres géopolitiques, il offre une plongée critique dans les rouages d’une des plus grandes organisations humanitaires internationales.Depuis le CMB, Giulia Scalettaris dirige le projet ANR AMORE (Afghan Europeans. The Invention of a Mobility Regime), consacré aux mobilités des demandeurs d’asile et réfugiés afghans dans l’Union européenne. Ce projet éclaire en miroir les tensions entre frontières, circulations et politiques migratoires en Europe.Ce dialogue avec Joël Glasman permet de croiser deux approches complémentaires, entre anthropologie politique et histoire globale de l’humanitaire. Ils interrogent les tensions entre pratique et idéal, et les façons dont les sciences sociales peuvent nourrir une action humanitaire plus ajustée. Comment le HCR arbitre-t-il entre éthique et pragmatisme ? Comment sont définis les critères du statut de réfugié ? Que reste-t-il du principe de protection face aux politiques de dissuasion ? Autant de questions cruciales que ce nouvel épisode met en discussion.Pour aller plus loin :-Scalettaris, G. (2023). Le HCR et la crise afghane. Une bureaucratie internationale à l’épreuve. Paris : Karthala / version anglaise : The UNHCR and the Afghan Crisis. The Making of the International Regime, Berghahn (open access).-Scalettaris, G & al (2019). « Young Afghans at the Doorsteps of Europe: The Difficult Art of being a Successful Migrant ». Journal of Ethnic and Migration Studies, 47 (3), 519-535.-Glasman, J. (2023). Les humanités humanitaires. Petit manuel d’autodéfense à l’usage des volontaires. Belles Lettres.Épisode animé par Camille Colleu, chargé de communication au CMB.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de Radio Marc Bloch animé par Marieke Louis, Nathalie Moine, Alexandra Oeser et Fabien Théofilakis tous trois chercheur.e.s au Centre Marc Bloch, reviennent sur les enjeux posés, hier et aujourd’hui, par la libération des camps de concentration et d’extermination 80 ans après la défaite du nazisme. C’est sur l’actualité des commémorations que commence ce dialogue venant rappeler que les enjeux mémoriels sont toujours pris dans les enjeux politiques du moment. Quels regards, contradictoires ou complémentaires, peuvent alors nous apporter les sciences sociales ? Parler des camps aujourd’hui, c’est en effet revenir sur de nombreuses controverses à commencer par celles autour du concept de « libération ». C’est s’interroger sur ce qu’on savait ou non des crimes commis, mais c’est aussi analyser comment a été produite la documentation sur les camps, celle, moins connue, des Soviétiques notamment. Parler des camps 80 ans après, c’est aussi poser de nouvelles questions de recherche, se confronter à des problématiques moralement sensibles comme celle de la survie dans les camps ou celles du rire. Il a enfin été question du rôle des mémoriaux, et de leur utilité, mais aussi de la nécessité de restituer toutes les histoires individuelles, qui rappellent que tout le monde était et reste concerné par cette histoire, sans pour autant tomber dans le relativisme du nazisme et de la Shoah.Pour aller plus loinNathalie Moine est historienne chargée de recherche au CNRS et affectée depuis 2024 au Centre Marc Bloch. Elle a notamment publié sur ce sujet "La commission d'enquête soviétique sur les crimes de guerre nazis : entre reconquête du territoire, écriture du récit de la guerre et usages justiciers", Le Mouvement Social (2008).Alexandra Oeser est professeure de sociologie à l’Université Paris 10 Nanterre et a effectué une délégation au Centre Marc Bloch (2023-2025). Elle a notamment publié: Enseigner Hitler, les adolescents face au passé nazi aux Éditions de la MSH (2010) et Rire du passé nazi en Allemagne. L'Eigensinn des adolescents face à l'histoire scolaire du nazisme, Sociétés contemporaines (2015).Fabien Théofilakis est historien, maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Il a notamment co-dirigé en 2005 avec Anne Bernou‑Fieseler Dachau : Mémoires et histoire de la déportation – Regards franco‑allemands, Paris, Éditions Tirésias, ouvrage traduit en allemand en 2006 (Das Konzentrationslager Dachau: Erinnerung, Erlebnis, Geschichte. München : Martin Meidenbauer). Et pour aller encore plus loin nos invité.e.s vous conseillentUne exposition au Deutsches Historisches Museum (24/05-23/11/25), "Gewalt ausstellen: Erste Ausstellungen zur NS-Besatzung in Europa, 1945-1948".Sandrine Lefranc et Sarah Gensburger (dir.),La mémoire collective en question(s). PUF, 2023Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode Radio Marc Bloch donne la parole à Mahaut Ritz, docteur en philosophie et chercheuse associée au Centre Marc Bloch à l’occasion de la publication en janvier 2025 de son livre issu de sa thèse de doctorat : Repenser la précarité : de la flexibilité à la dépossession (Éditions Otrante, La Fresnaie-Fayel).  La publication de ce travail, rédigé au Centre Marc Bloch, était l’occasion de faire se réunir deux anciennes doctorantes associées au CMB. Claire Tomasella, sociologue et aujourd’hui maîtresse de conférences à l’Université d’Aix-Marseille, revient avec Mahaut Ritz sur son ouvrage et sur la manière dont il articule et fait dialoguer la philosophie et les sciences sociales afin de revisiter la notion de précarité comme notion sociologique, politique et critique en France. Comment une philosophe aborde-t-elle une notion aussi éminemment sociologique que celle de précarité ? Quel intérêt représente l’exploration approfondie des agencements conceptuels sur lesquels reposent les outils diagnostiques utilisés par les sciences sociales ? Mahaut Ritz revient sur la sociogenèse de la « précarité » apparue en France dans les années 1970 face à l’essor de nouvelles formes d’emploi dites « précaires ». Le contexte discursif de la fin des années 2000 et du début des années 2010, qui a vu naître le projet de recherche à l’origine de Repenser la précarité, renferme ses propres enjeux. Il hérite de plus de quarante ans de recherches et de tentatives critiques, devenues entre-temps internationales, qui ont cherché à saisir le problème de la qualité de l’emploi, du déficit de la protection sociale et de l’instabilité des conditions sociales d’existence. Or, l’emploi prolifique de ce concept servant à décrire des réalités précaires multiformes, dont les degrés de précarité peuvent parfois être très éloignés les uns des autres, remet en question son efficacité analytique et critique, bien qu’il continue de servir à décrire des situations et des transformations demeurées non seulement actuelles, mais aussi urgentes.Les deux chercheuses parcourent dans cet épisode l’argument qui, au regard de cet enjeu critique et social, amène Mahaut Ritz à reconsidérer la précarité au prisme de la dépossession et de la marchandisation des rapports sociaux. L’étude des sens historiques et critiques de la précarité invite finalement à se demander quel sens et quelle efficacité renferme l’emploi de la « précarité » aujourd’hui.            Un grand merci à Juliette Depreux pour son aide précieuse dans la finalisation de cette épisode. Bonne écoute ! Pour aller plus loin :Sarah Abdelnour, Moi, petite entreprise. Les auto-entrepreneurs, de l’utopie à la réalité, Paris, PUF, 2017.Daniel Bensaïd, Les dépossédés : Karl Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres, Paris, La Fabrique, 2007.Robert Castel, Les métamorphoses de la question sociale. Une chronique du salariat, Paris, Fayard, 1995.Patrick Cingolani, La colonisation du quotidien. Dans les laboratoires du capitalisme de plateforme, Paris, Éditions Amsterdam, 2021.Mahaut Ritz, « La “précarité” au prisme de l’exclusion. Un schème dépolitisant ? », Émulations. Revue de sciences sociales, n° 28, 2018.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
This new episode of Radio Marc Bloch reflects upon the conference "The power of laughter, laughing about power" which took place at the Centre Marc Bloch in Berlin the 15 and 16th of may 2025 and addressed the role of humor in politics. Alexandra Oeser, professor of Sociology at the University of Paris Nanterre and researcher at the Centre Marc Bloch debates with David Slucki, Director of the Australian Centre for Jewish Civilisation, and the Loti Smorgon Associate Professor of Contemporary Jewish Life and Culture at Monash University and Sebastian Jobs, assistant professor of North American history at the JFK Institute at the Freie Univeristät of Berlin.The debate centers around the link between laughter, race relations, Jewishness and Blackness in the US in the 19th and 21st century. Laughter can be a weapon of the weak, but also as a pedagogical tool. Yet, how do we create meaning through laughter? The discussion evokes the importance of the audience for laughter, the way that identity politics and the social and historical background of protagonists play, but also how the lofe experience of the jokemaker can help us understand complex significations of humor inscribed in social and race relations. Moreover, laughter does not stop before violence, be it the holocaust or black slavery. The question then becomes that of agency or Eigensinn, of how maintaining humanity in face of violence and suffering.For further informationAlexandra Oeser, André Gunthert and Eric Wittersheim, "The power of Laughter - Laughing about the powerful", International conference, May 2025, Centre Marc Bloch, BerlinAlexandra Oeser, "Rire du passé nazi en Allemagne". Sociétés contemporaines, n°99-100, p. 105-126Alexandra Oeser, « Le souvenir est-ce une affaire sérieuse ? », in Sarah Gensburger, Sandrine Lefranc, La mémoire collective en questions, Paris, PUF, 2023, p. 279-288. Sebastian Jobs (ed.) Uncertain Knowledge (symposium). Rethinking History 18 (2014), No. 1.Sebastian Jobs, “Alarming Plots": Spuren einer Sklavenverschwörung im amerikanischen Süden, 1802. Comparativ 28 (2018), No. 3, 73–89Sebastian Jobs, Welcome Home Boys! Military Victory Parades in New York City 1899-1946. Frankfurt/Main: Campus, 2012 (also published with University of Chicago Press 2013) David SluckiDavid Slucki, Avinoam Patt and Gabriel N. Finder (eds), Laughter After: Humor and the Holocaust (Detroit: Wayne State University Press, 2020)David Slucki, Esther Jilovsky and Jordy Silverstein (eds), In the Shadows of Memory: The Holocaust and the Third-generation (London: Vallentine Mitchell, 2016)To watcb the video clips of the mentioned scenes of Seinfeld click here and for Curb your Enthousiasm click hereHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a un an, nous avions le plaisir et l'honneur de recevoir au Centre Marc Bloch l'essayiste féministe Titiou Lecoq pour une présentation autour de son ouvrage récemment traduit en allemand "Honoré et moi" chez la Friedenauer Presse (Matthes und Seitz). Radio Marc Bloch avait alors saisi l'occasion pour vous proposer un épisode la faisant dialoguer avec l’historien Andreas Mayer autour de l’œuvre d'Honoré de Balzac! Titiou Lecoq, essayiste et journaliste féministe, notamment connue pour son podcast "Rends l'argent", sur la place des arrangements financiers dans le couple, revient avec Andreas Mayer (historien, chercheur au Centre Marc Bloch/Centre Alexandre Koyré, EHESS), sur plusieurs thématiques centrales de l’œuvre de Balzac : le couple, l’argent et la modernité. Andreas Mayer, qui dans le sillage de son histoire des études sur le mouvement au XIXe siècle  a traduit plusieurs oeuvres de Balzac pour Friedenauer Presse, évoque quant à lui autre aspect de l’œuvre de Balzac, tout à fait révélateur lui aussi de sa modernité, la question du corps et de la démarche. Si Balzac lui-même n’aimait pas son corps, l’émergence de cette question est aussi propre à une époque où promenade et mondanité se conjuguent.Cette conversation a été modérée par Marieke Louis, directrice adjointe du Centre Marc Bloch, avec le soutien de Maroussia Héron, stagiaire au Centre Marc Bloch. Elle a été enregistré le 7 juin 2024 à l'occasion d'une journée d'études "Penser la société avec Balzac" qui s'est terminée par une conférence avec Titiou Lecoq, Andreas Mayer, et l'éditeur Andreas Rötzer de Matthes und Seitz. Vous pourrez retrouver cette conférence ici.Pour aller plus loin: Titiou Lecoq, Honoré et moi (L'Iconoclaste, 2019, Le Livre de Poche, 2021, trad. allemande Balzac und ich, Friedenauer Presse 2024); Les Morues (Au Diable Vauvert, 2011); Libérées ! Le combat féministe se gagne devant le panier de linge sale (Fayard, 2017),Andreas Mayer, nouvelle édition de la Théorie de la démarche d'Honoré de Balzac (Editions Le Passage, 2025) et traduction allemande (Theorie des Gehens, Friedenauer Presse, 2022); Wissenschaft vom Gehen. Die Erforschung des Gehens im 19. Jahrhunderts (Fischer, 2013; trad. française à paraître en 2025, Les Belles Lettres)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
2024 stand das Buch „Schule des Südens. Die kolonialen Wurzeln der Französischen Theorie“ von Onur Erdur das im selben Jahr bei Matthes und Seitz erschienen war, auf der „Hotlist“ der 10 beliebtesten Bücher aus unabhängigen Verlagen. Der große Erfolg dieses Buches liegt darin, komplexe Theoriebildungen in einer sehr verständlichen Sprache und anhand von faszinierenden Biographien bekannter französischer Intellektueller, von Pierre Bourdieu über Michel Foucault und Hélène Cixous bis zu Jacques Derrida darzustellen und dabei überzeugend den prägenden Einfluss ihrer Erfahrungen im kolonialen Nordafrika herauszuarbeiten. Im Gespräch mit der Historikerin Esther Möller berichtet Onur Erdur, aktuell Vertretungsprofessor an der Europa-Universität Flensburg. über die Entstehung, den Inhalt und das Ziel des Buches. Er erläutert den besonderen Platz Nordafrikas für die „French Theory“, erklärt warum unter den acht Biographien nur eine Frau ist und welche Rolle Religion in diesen Konstellationen spielte. Onur Erdur, "Kritik der diversen Vernunft" in "Diversität. Karrieren eines Begriffs“, Mittelweg 36, 2024Onur Erdur und Andrea Westermann (eds) „Histories of Migrant Knowledge: Transatlantic and Global Perspectives“, Bulletin des Deutschen Historischen Instituts Washington, 2020. Onur Erdur, Die epistemologischen Jahre. Philosophie und Biologie in Frankreich, 1960-1980, Chronos, 2018Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 Nofretete lebte vor über 3000 Jahren im Alten Ägypten. Viel ist über sie nicht bekannt. Doch seitdem vor etwas über hundert Jahren ein von James Simon subventioniertes Grabungsteam eine Büste von ihr fand und nach Berlin brachte, entwickelte sie sich zu einer globalen Ikone, die verehrt, begehrt und umstritten zugleich ist. Basierend auf seinem Buch „Die Königin. Nofretetes globale Karriere“ (2024) spricht Sebastian Conrad, Professor für Globalgeschichte an der Freien Universität Berlin, in dieser Folge von Radio Marc Bloch über die Repräsentations- und Rezeptionsgeschichte der Nofretete. Im Gespräch mit Susann Baller beschreibt Sebastian Conrad, wie sich die Wahrnehmung und Darstellung der Nofretete im Laufe der letzten hundert Jahren wandelte, und wer sich wann, wie und wo auf Nofretete bezog. Neben bekannten Persönlichkeiten wie Zahi Hawass (Ägypten) und Beyoncé (USA) verfolgt Sebastian Conrad ebenso die Spuren weniger prominenter Rezeptionsgeschichten von Brasilien bis Japan und von Senegal bis Indien. Sebastian Conrads zentrales Argument ist: „Nofretete, wie wir sie kennen, wurde nicht einfach ausgegraben: Sie wurde gemacht“ (2024, S. 257). In Literatur, Kunst, Medien und Wissenschaft diente Nofretete als Projektionsfläche für völlig unterschiedliche Personen- und Interessengruppen und wurde so immer wieder uminterpretiert und neu geschaffen. Die Beschäftigung mit Nofretete bietet so einen Ausgangspunkt für eine Globalgeschichte der vielen Perspektiven, die zugleich kritische Fragen über globale Ungleichheiten, politische Vereinnahmung und Nationalismus umfasst. Vor diesem Hintergrund stellt sich auch die Frage nach bestehenden Restitutionsforderungen aus Ägypten, die eine Auseinandersetzung mit der kolonialen Vergangenheit von archäologischen Sammlungen verlangt.LiteraturhinweiseSebastian Conrad, Die Königin. Nofretetes globale Karriere, Berlin: Propyläen, 2024.Sebastian Conrad, The Making of a Global Icon: Nefertiti’s Twentieth-Century Career, Global Intellectual History (Februar 2024), https://doi.org/10.1080/23801883.2024.2303074.Sebastian Conrad, What is Global History, Princeton University Press, 2016.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l'heure où le mouvement Stand Up for Science nous rappelle que la liberté académique nous concerne toutes et tous, Radio Marc Bloch vous propose un épisode de notre rubrique "Partenaires franco-allemands" consacré à l'exposition "Poser pour la liberté" et à son "trio de choc" composé de Pascale Laborier, professeure de science politique à l'Université de Nanterre et ancienne directrice du Centre Marc Bloch, Pierre-Jérôme Adjedj, photographe et co-fondateur de l'agence créative Sur Mesure et Bernard Ludwig, ex-attaché de Coopération universitaire à l'Ambassade de France à Berlin. Poser pour la liberté, c'est avant tout des portraits de chercheuses et chercheurs en exil, confronté.e.s à la disruption de leur quotidien en raison de la guerre ou de multiples formes de répression. Mais c'est aussi le fruit d'une coopération inédite entre une universitaire, un artiste et un diplomate qui ont permis de sensibiliser les universitaires, les milieux politiques et surtout le grand public, en France et en Allemagne, à la question des libertés académiques. Lancée en 2020 en pleine pandémie de Covid-19, cette exposition que le confinement aurait pu condamner à la confidentialité, est devenue, grâce à cette coopération, une véritable "success story", de Saint-Etienne à Berlin en passant par nombre d'universités en Allemagne, jusqu'aux Etats-Unis et à l'Uruguay.Dans cet épisode, réalisé par Marieke Louis, directrice adjointe du Centre Marc Bloch, nous sommes revenus sur la genèse du projet, sur la confiance qu'il a fallu établir avec les chercheuses et chercheurs concerné.e;s, l'ingéniosité technique qu'il a fallu déployer et le soutien politique et diplomatique sans lequel cette exposition n'aurait pu avoir un tel écho. Nous vous souhaitons une bonne écoute et dédions cet épisode à toutes les chercheuses et chercheurs empêché.e.s et qui se battent pour défendre les valeurs fondamentales de la liberté académique et de l'autonomie de la science vis-à-vis de toute forme d'ingérence.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Befristete Verträge, prekäre Arbeitsbedingungen und geringe Entlohnung bleiben eine Realität für Wissenschaftler*innen der Geistes-und Sozialwissenschaften. Im November 2023 hat Radio Marc Bloch diesen unterschiedlichen Problemlagen in Deutschland und Frankreich und versschiedenen Ansätzen das System zu entlasten eine Podcast-Folge gewidmet. Weil sich seither politisch wenig verändert hat, ist dieses Gespräch auch über ein Jahr später noch aktuell.In dieser Ausgabe des Podcasts Radio Marc Bloch kommt Kolja Lindner, Politikwissenschaftler an der Université Paris 8, in einem „Dialog mit einem Forschenden“ zu Wort. In der Serie „Par ailleurs – Desweiteren“ unterhält sich Alix Winter sich mit ihm über Mobilität in der Wissenschaft, über den Eurozentrismus von Marx und über die Prekarität von Forschenden in Deutschland und Frankreich.    Kolja Lindner forscht zur politischen Theorie in Deutschland, insbesondere zu Marx, er behandelt Fragen sozialer Ungleichheit und Säkularismus in Frankreich und arbeitet derzeit an einem Forschungsprojekt zu problematischen Perzeptionen des globalen Südens in Essays der Autoren Marx, Adorno, Arendt und Foucault.    Er hat an der FU Berlin, Sciences Po Paris und der École normale supérieure studiert, war Doktorand am Centre Marc Bloch, Lehrbeauftragter an Sciences Po Paris und hatte Postdoc-Stellen an der Universität Erfurt und der University of Warwick.   Neben seiner wissenschaftlichen Arbeit engagiert er sich für die Verbesserung der Arbeitsbedingungen in der Wissenschaft und hat 2017 das Netzwerk für gute Arbeit in der Wissenschaft mitgegründet.    Weitere Informationen zu Kolja Linder finden sie auf seiner Webseite und wenn Sie sich über seine Forschung informieren wollen, empfehlen wir folgende Publikationen:    „Marx, Marxism and the Question of Eurocentrism“, Cham Switzerland, Palgrave Macmillan 2022:  „Die Hegemoniekämpfe in Frankreich : Laizismus, politische Repräsentation und Sarkozysmus“, Hamburg, Argument, 2017.   Auch der Podcast Politistes dans la Cité behandelt in einer Fol ge mit Manuel Cervera-Marzal das Thema Prekarität in der ForschungHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l’occasion du « mois de l’égalité » qui se tient dans de nombreuses universités, ainsi que de la journée internationale des droits des femmes, Radio Marc Bloch consacre un épisode à Hélène Camarade dont le dernier ouvrage, Résistantes allemandes. Des femmes face à Hitler,vient de paraîtrechez Nouveau monde éditions.Interviewée par Simon Godard, maître de conférences en histoire contemporaine à Sciences Po Grenoble, chercheur en délégation CNRS au Centre Marc Bloch, Hélène Camarade, professeure en études germaniques à l’université Bordeaux Montaigne, chercheuse associée au Centre Marc Bloch, revient dans ce podcast sur l’histoire des femmes dans la résistance allemande, mais aussi sur la façon dont on peut écrire une histoire du genre de la résistance. Qu’est-ce qui fait les spécificités de la résistance allemande, comment des mémoires conflictuelles et plurielles se sont-elles construites, notamment dans le cadre de la division de l’Allemagne jusqu’en 1990, et pourquoi les résistantes allemandes sortent aujourd’hui de l’invisibilisation dont elles ont longtemps fait l’objet ? C’est à ces questions que répond Hélène Camarade dans cet épisode, en s’attachant à expliciter les motivations des femmes pour entrer en résistance, les formes spécifiques de leurs actions ou les cas-limites de résistance. Elle revient aussi sur la division genrée des tâches au sein des groupes résistants et la façon dont les femmes ont pu mettre à profit dans la résistance les biais de genre de la police ou de la justice à leur égard.Cet épisode entre enfin dans l’atelier de l’historienne pour discuter les sources de cette histoire et leurs enjeux, ainsi que les formes de résistance encore méconnues que l’approche genrée permet de mettre en en lumière. L’enjeu de l’ouvrage d’Hélène Camarade n’est en effet pas seulement « de sortir de l’ombre des figures injustement oubliées, mais de renouveler l’histoire de la résistance dans son ensemble ».Pour aller plus loin :Hélène Camarade, « L’histoire des résistantes allemandes est-elle possible ? Regard critique », Allemagne d’aujourd’hui, n° 237, juillet-septembre 2021, p. 112-127. https://shs.cairn.info/revue-allemagne-d-aujourd-hui-2021-3-page-112?lang=fr Hélène Camarade, « Les résistantes allemandes à Hitler : perspectives de recherche à l’aune des études de genre », in : S. Chapuis-Desprès, F. Serrano (éd.), Femmes face à l’État : Allemagne, Espagne, France, XIXe-XXe siècles, Presses universitaires Savoie-Mont Blanc, 2022, p. 47-74. Présentation de l’ouvrage dans « Historiquement Show » le 22 février 2025 (à partir de 9’48) : https://www.youtube.com/watch?v=m77TE9YmCCM&list=PLMGAfQlj2OYGJIyAvhix0wSH4wzsJApMX&index=11Site de la Gedenkstätte Deuscher Widerstand consacré aux femmes dans la résistance :https://www.frauen-im-widerstand-33-45.de Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce 50e épisode de Radio Marc Bloch, nous tendons le micro à Isabelle Desportes à l'occasion de la sortie de son livre Depoliticising Humanitarian Action – Paradigms, Dilemmas, Resistance, paru chez Routledge et co-dirigé avec Alice Corbet et Ayesha Siddiqi.Interviewée par Marieke Louis, directrice adjointe du Centre Marc Bloch, Isabelle Desportes, chercheuse postdoctorale et coresponsable du pôle de recherche « Environnement, Climat et Énergie » au Centre Marc Bloch, est revenue sur le rapport ambigu des acteurs humanitaires à la politique, tout en le reliant aux débats qui animent le secteur aujourd’hui.Mais d'abord, qu’est-ce que la dépolitisation? En quoi ce concept permet-il de mieux comprendre les paradigmes structurant l’action humanitaire, ainsi que les dilemmes rencontrés sur le terrain ? Quels choix s’imposent aux humanitaires lorsqu’ils tentent d’appliquer des principes en apparence clairs, tels que « l’impartialité » ? Pourquoi et comment croiser les voix de la pratique et de la recherche dans un même ouvrage, tout en contribuant à briser les barrières persistantes entre les Nords et les Suds ? Qui détient aujourd’hui le pouvoir de définir ce qu’est un « bon humanitaire » ? Des street medics de Hong Kong aux collectifs féministes en Colombie, jusqu'aux feux de forêt ayant ravagé la région de Los Angeles en janvier 2025, ce dialogue rappelle pourquoi l'humanitaire et les catastrophes dites naturelles sont des enjeux résolument politiques.Pour aller plus loin: Desportes, I. (2022). Craindre le politique: La réponse humanitaire aux catastrophes dites « naturelles» en Birmanie (2015), Éthiopie (2016) et au Zimbabwe (2016-2019). Cahiers d’Outre-Mer, 75 (286), 335-371.Desportes, I. & Moyo-Nyoni, N. (2022). Depoliticising disaster response in a politically-saturated context: The case of the 2016-2019 drought responses in Zimbabwe. Disasters, 46 (4), 1098-1120.Desportes, I. (2019). Getting relief to marginalised minorities: The response to cyclone Komen in 2015 in Myanmar. International Journal of Humanitarian Action, 4 (7), 1-16.Desportes, I., Mandefro, H., and Hilhorst, D. (2019). The humanitarian theatre: Drought response during Ethiopia's low-intensity conflict of 2016. The Journal of Modern African Studies, 57 (1), 31-59. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
WuPiG ist zurück! Die zweite Staffel unseres Podcasts „Wissenschaft und Politik im Gespräch“ landet auf den Podcast-Plattformen mit sechs neuen Episoden, die sich den brennenden Themen der Nachhaltigkeit widmen: Biodiversität, Carbon Capture, Wasserstoff, Bürgerbeteiligung und noch viel mehr. Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Centre Marc Bloch produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.WuPiG #12 - Kann Kunst die Bürgerbeteiligung unterstützen? Mit Cornelius Bechtler, Bezirksstadtrat des Berliner Bezirks Pankow (B90 / Die Grünen), und Julika Gittner, Künstlerin und Fellow am RIFS.Kommunen, Städte und Bezirke setzen auf die Beteiligung von Bürger:innen, wenn es darum geht Wohn- oder Mobilitätsprojekte wie Kiezblocks zu planen. Wie laufen diese Prozesse genau ab und wie können sich möglichst viele Bürger:innen beteiligen? Wie schwierig ist es, betroffene Menschen zu erreichen und davon zu überzeugen mitzumachen? Und welche Rolle könnte Kunst dabei spielen? Welche Wege gibt es Daten künstlerisch zu vermitteln? Diese Themen diskutieren Cornelius Bechtler, Stadtrat für Stadtentwicklung und Bürgerdienste bei dem Berliner Bezirk Pankow, und Julika Gittner, Künstlerin und Fellow am RIFS.Cornelius Bechtler war fast 17 Jahre lang Geschäftsführer und Referent des Bildungswerks für Alternative Kommunalpolitik. Julika Gittner praktiziert, forscht und lehrt zu Kunst und Architektur. Sie schließt eine interdisziplinäre, praxisorientierte Doktorarbeit in Bildender Kunst und Architektur an den Universitäten von Reading und Cardiff ab, die die Rolle der Skulptur zur Vermittlung von Daten in Kampagnen für den sozialen Wohnungsbau untersucht.Die Folge wurde im Oktober 2024 aufgenommen.Der Podcast „Wissenschaft und Politik im Gespräch“ (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast am RIFS im vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderten #FactoryWisskomm-Fellowship entwickelt. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert. Die Podcast-Folgen wurden in Zusammenarbeit mit dem deutsch-französischen Forschungszentrum Centre Marc Bloch produziert.📲Schnitt: Julia Vismann📲Musik: Nicolas Pannetier📲Tonmastering: Yuliia VlaskinaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
WuPiG ist zurück! Die zweite Staffel unseres Podcasts „Wissenschaft und Politik im Gespräch“ landet auf den Podcast-Plattformen mit sechs neuen Episoden, die sich den brennenden Themen der Nachhaltigkeit widmen: Biodiversität, Carbon Capture, Wasserstoff, Bürgerbeteiligung und noch viel mehr. Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Centre Marc Bloch produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.WuPiG #10 – Nachhaltige Entwicklung in ländlichen Regionen. Mit Till Backhaus (SPD), Minister für Klimaschutz, Landwirtschaft, ländliche Räume und Umwelt des Landes Mecklenburg-Vorpommern und Katharina Beyerl, Wissenschaftliche Projektleiterin am RIFS.Wie funktionieren genau „Solidarische Landwirtschaftsbetriebe“ (SoLaWi) und welche Rolle können sie spielen für die nachhaltige Entwicklung in ländlichen Regionen in den ostdeutschen Bundesländern?Diese Themen besprechen wir in der zehnten Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.Zu Gast ist Till Backhaus, Minister für Klimaschutz, Landwirtschaft, ländliche Räume und Umwelt des Landes Mecklenburg-Vorpommern. Er spricht mit Katharina Beyerl, wissenschaftliche Mitarbeiterin am RIFS (Research Institute for Sustainability am GFZ Helmholtz-Zentrum für Geoforschung). Die Diplom-Psychologin und promovierte Geographin leitet seit 2022 die vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderte SÖF-Nachwuchsgruppe „Soziale, ökonomische und ökologische Effekte von partizipativer, nachhaltiger Lebensmittelerzeugung" [pane].Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast mit dem RIFS und mit dem deutsch-französischen Forschungszentrum Centre Marc Bloch entwickelt. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.📲Schnitt: Julia Vismann📲Musik: Nicolas Pannetier📲Tonmastering: Yuliia VlaskinaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
WuPiG ist zurück! Die zweite Staffel unseres Podcasts „Wissenschaft und Politik im Gespräch“ landet auf den Podcast-Plattformen mit sechs neuen Episoden, die sich den brennenden Themen der Nachhaltigkeit widmen: Biodiversität, Carbon Capture, Wasserstoff, Bürgerbeteiligung und noch viel mehr. Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Centre Marc Bloch produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.WuPiG #11 – Warum brauchen wir parlamentarische Veranstaltungen? Mit Thomas Heilmann, Vorsitzender der Klimaunion, CDU-MdB, und Meike Lohkamp, #Factory WissKomm- Fellow am RIFS.Parlamentarische Veranstaltungen, wie die berühmten „parlamentarische Abende“ oder sogar „parlamentarische Frühstücke“ gehören zum Alltag der Mitglieder des Deutschen Bundestags? Aber von wem und wie werden sie organisiert? Was hoffen sich wirtschaftliche, zivilgesellschaftliche oder wissenschaftliche Institutionen von solchen Veranstaltungen? Und was sind die anderen Wege für Politiker:innen an wissenschaftliche Erkenntnisse zu kommen?Diese Themen besprechen wir in der elften Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.Zu Gast ist Thomas Heilmann, Mitglied des Deutschen Bundestags seit 2017 für die Berliner CDU und Mitglied des Ausschusses für Klima und Energie. Er ist Vorsitzender der Klimaunion und Autor des 2020 veröffentlichten Politik-Bestseller NEUSTAAT, in dem er zusammen mit anderen Abgeordneten und Experten 103 Vorschläge zur grundlegenden Modernisierung des Staates unterbreitet. Thomas Heilmann tritt nicht mehr für die Bundestagswahl im Februar 2025 an.Er spricht mit Meike Lohkamp, Fellow von Juli bis Dezember 2024 am RIFS im Rahmen des #FactoryWissKomm-Fellowships. Sie ist die ehemalige Leiterin der Kommunikation der Helmholtz-Klima-Initiative in Berlin und forscht an der Universität Hamburg zu Klimakommunikation und -journalismus.Zahlen und Fakten zum Thema Klimaskepsis in Deutschland finden Sie hier bei Statista und zur Ansichten zur Existenz und zu den Ursachen des Klimawandels hier bei der BpB.Diese Folge wurde im Dezember 2024 aufgenommen.Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen: 📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast mit dem RIFS und mit dem deutsch-französischen Forschungszentrum Centre Marc Bloch entwickelt. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
WuPiG ist zurück! Die zweite Staffel unseres Podcasts „Wissenschaft und Politik im Gespräch“ landet auf den Podcast-Plattformen mit sechs neuen Episoden, die sich den brennenden Themen der Nachhaltigkeit widmen: Biodiversität, Carbon Capture, Wasserstoff, Bürgerbeteiligung und noch viel mehr. Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Centre Marc Bloch produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.WuPiG #7 – Die Biodiversitätskrise besser kommunizieren. Mit Jan-Niclas Gesenhues (Parl. Staat. BMUV) und Susanne Schmitt (Kulturanthropologin)„Offensiver Umweltschutz“ – so stellt der Grüne Jan-Niclas-Gesenhues seine Strategie für eine effektivere Umweltpolitik in seinem 2024 veröffentlichten Buch vor. Aber mit welchen Argumenten sollen Umwelt- und Biodiversitätsschutz besser kommuniziert werden? Moralische, ethische, oder sogar wirtschaftliche? Diese Fragen diskutiert der Parlamentarische Staatssekretär im Bundesministerium für Umwelt und Verbraucherschutz Jan-Niclas Gesenhues mit der Kulturanthropologin und sensorische Ethnografin Susanne Schmitt. Sie ist Fellow am RIFS (Research Institute for Sustainability – GFZ Helmholtz-Zentrum für Geoforschung) und leitet das STEAM-Projekt bei der LMU München.Dies ist die siebte Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt. Die Aufnahme fand im November 2024 statt.Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast mit dem RIFS und mit dem deutsch-französischen Forschungszentrum Centre Marc Bloch entwickelt. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.📲Schnitt: Julia Vismann📲 Musik: Nicolas Pannetier📲Tonmastering: Yuliia VlaskinaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
WuPiG ist zurück! Die zweite Staffel unseres Podcasts „Wissenschaft und Politik im Gespräch“ landet auf den Podcast-Plattformen mit sechs neuen Episoden, die sich den brennenden Themen der Nachhaltigkeit widmen: Biodiversität, Carbon Capture, Wasserstoff, Bürgerbeteiligung und noch viel mehr. Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Centre Marc Bloch produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.WuPiG #8 – Brauchen wir Carbon Capture and Storage? Mit Mark Lawrence (Direktor des RIFS) und Anja Weisgerber (CSU)Ist CO2-Speicherung der richtige Weg, um unsere Klimaziele zu erreichen? Lohnt es sich in diese Technologie zu investieren, oder ist sie zu riskant? Wie weit ist die Wissenschaft in der Entwicklung der CCS-Technologie? Und wird sie gesellschaftlich akzeptiert?Diese Themen besprechen wir in der achten Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.Zu Gast ist Mark Lawrence, Erdsystem- und Atmosphärenforscher und Wissenschaftlicher Direktor des RIFS, Research Institute for Sustainability am GFZ, Helmholtz-Zentrum für Geoforschung. Er spricht mit Anja Weisgerber, Sprecherin für Umwelt und Verbraucherschutz der CDU/CSU-Fraktion im Deutschen Bundestag. Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast mit dem RIFS und mit dem deutsch-französischen Forschungszentrum Centre Marc Bloch entwickelt. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.📲Schnitt: Julia Vismann📲Musik: Nicolas Pannetier📲Tonmastering: Yuliia VlaskinaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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