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Autochtone

Autochtone
Author: Maud Calves
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© Maud Calves
Description
🌎 Histoires immersives d'Amérique du Sud.
Dans ce podcast, Maud part à la rencontre d'habitants et d'habitantes d'Amérique du Sud, dont l'histoire personnelle résonne avec celle de leur pays. Autochtone, c'est le podcast voyage pour faire entendre les voix du monde et questionner le regard que l'on porte dessus. Un format immersif au plus près des rencontres, au côté d'inconnus, pour un nouveau regard sur le voyage et la richesse de l'inattendu.
✨Ce podcast n'existe pas sans votre aide. N'hésitez pas à le soutenir en vous abonnant et en mettant des commentaires, des cœurs, des paillettes...
Retrouvez toutes les coulisses du tournage sur le compte instagram  (https://www.instagram.com/autochtonelepodcast/)Â
Et un site (https://www.autochtonepodcast.fr/)Â qui n'attend que vous =)Â
Logo : Romain Didier
Un podcast voyage immersif rĂ©alisĂ© par Maud Calvès Â
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
30Â Episodes
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Autochtone, c’est le podcast voyage qui fait le portrait d’habitant·es du monde dont l’histoire personnelle résonne avec celle de leur pays.Cette saison, on change de rythme : deux fois plus d’épisodes, et deux formats complémentaires. Le temps de tourner de nouveaux épisodes, ailleurs. Rendez-vous donc deux fois par mois avec : 🔹 Les mises à jour : on revient et on actualise des problématiques historiques, politiques ou économiques évoquées dans les saisons précédentes. En se basant toujours sur les réalités de celles et ceux qui vivent sur place.🔹 Les regards croisés : plusieurs récits, un seul thème universel, pour prendre du recul et mieux comprendre le monde.Si vous venez d’arriver, rendez-vous à la saison 1.Pour les autres : bienvenue dans la suite du voyage.Logo : Romain Didier Crédit musique : Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeefHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elles s’appellent Anita, Luz Mila, Graciela, Rissel et Marie. Elles vivent au Pérou, en Argentine, en Bolivie ou en Albanie. Elles sont mères, cheffes d’entreprise, commerçantes, agricultrices… Et elles ont toutes accepté de répondre à cette question : Que signifie être une femme dans le monde d’aujourd’hui ?Dans ce tout nouveau format Regards croisés, je vous propose un voyage à travers leurs récits. Un moment d'immersion, à leurs, côtés pour questionner leurs visions du genre dans leur monde. 👉 À Huaraz, Anita reconstruit sa vie après un divorce et un passé mouvementé.👉 Dans une communauté autochtone du nord du Pérou, Luz Mila porte seule le poids du foyer et de la mémoire, dans un environnement en mutation.👉 En Argentine, Graciela a trouvé la liberté dans la solitude, loin des attentes sociales.👉 En Bolivie, Rissel brise les stéréotypes dans un pays où le machisme tue.👉 Et en Albanie, Marie transforme une contrainte familiale en projet de vie rural et solidaire.À travers ce voyage, Autochtone donne la parole à des femmes dont les histoires, bien que locales, résonnent universellement. Des récits qui pourraient aussi être ceux de millions d’autres femmes. Dans ce nouveau format, chaque épisode propose un thème, un regard collectif, une manière de relier les voix individuelles à une réflexion plus large. Ici, les témoignages s’enrichissent les uns les autres. Parce qu’aucune réponse n’est isolée, et que ce sont souvent les différences qui font naître les points communs.🎙️ Autochtone, c’est un podcast de voyage, immersif, qui questionne les habitant-es du monde dont l'histoire personnelle résonne avec celle de leur pays.Logo : Romain Didier Crédit musique : Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeefTime Passing - Marimba Instrumental Chevalier Kaleidoscopoical Nymphs - Instrumental - Dubery Galtier Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode d’autochtone, direction la Bulgarie, au cœur de la vallée des roses. Chaque année, cette région vit au rythme d’une récolte millénaire, réputée dans le monde entier pour son huile essentielle précieuse. C’est là que je rencontre Baba Minca, 75 ans, cueilleuse de roses. Elle vit dans le village d’Asen, non loin de Kazanlak, capitale de la rose et ville connue pour son grand festival annuel. La Bulgarie en exporte des centaines de kilos chaque année vers plus de trente pays, mais la cueillette reste un travail exigeant et peu rémunéré.Grâce à Louiza, une hôte rencontrée via le couchsurfing, j’accède à une petite exploitation familiale. Ici, la culture locale se mêle au lien social : les retraités se retrouvent à l’aube pour cueillir ensemble, avant que la rosée ne sèche et que la teneur en huile ne diminue. Dans le champ, les gestes sont précis : pincer doucement sous les pétales, remplir les sacs de fleurs encore fraîches.Baba Minca raconte sa vie simplement. Avant, elle travaillait dans l’armement à Kazanlak. À la retraite, elle est revenue à la terre, cultivant la rose de Damas comme complément de revenu et surtout pour le plaisir. Membre d’une coopérative, elle vend sa récolte à la distillerie locale, où l’or liquide prend forme. Entre deux saisons, elle préside un club de retraités, organise des voyages et chante dans un groupe traditionnel.À travers ce voyage en Bulgarie, cet épisode mêle rencontre et récits de vie, témoignages d’une génération marquée par le socialisme et la transformation du pays. Au-delà des chiffres et des marchés, il parle d’attachement à la terre, de plaisir simple et de transmission. Une immersion au parfum de roses, où chaque geste compte, et où la beauté du matin se cueille avant que le soleil ne monte.Merci à Baba Minca évidemment, Luiza Toteva pour avoir grandement facilité la réalisation de cet épisode un peu complexe et à Marie Salinier pour le prêt de sa voix.Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Logo : Romain Didier Crédit musique : Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeefTrying To Get Closer, Kearns LordWholesome, Kevin Mac Load Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Né au Brésil, Roberto grandit à São Paulo, loin de la mer et des vagues. Pendant des années, le surf restait pour lui un rêve inaccessible. Sa vie prenait d’autres chemins : études, travail à l’étranger, voyages, et même le journalisme de guerre. En Angola et au Mozambique, il a couvert des conflits qui l’ont marqué profondément. Jusqu’au jour où il a tout quittéÀ Londres, par hasard, il découvre le surf. La première fois, c’est dans une eau glaciale, mais il s’en moque : il vient de trouver ce qui allait guider sa vie. Trois ans plus tard, il se forme pour enseigner. Le surf devient son métier, sa thérapie, sa liberté.Aujourd’hui, il vit à Florianópolis, dans le sud du Brésil. Chaque matin, il enfile un short, prend sa planche et marche jusqu’à la plage. Son bureau, c’est l’océan. Il travaille quelques heures, forme des voyageureuses venu-es du monde entier, puis repart à l’eau. Pas de pression, pas de plans à long terme. Quand la saison se termine ici, il part ailleurs, suivant les vagues et les rencontres.Dans cet épisode d’autochtone, Roberto raconte cette reconversion inattendue : passer du tumulte des champs de bataille à la sérénité des plages brésiliennes. Sur la plage, au milieu des parasols et des rires, il transmet aussi l’envie de se lever sur une planche et de ne plus jamais redescendre. L'aventure continue sur Instagram ! (c'est là qu'il y a toutes les coulisses)Merci à Roberto pour son récit et Thomas Julienne pour la voix-off. Tous les épisodes sont à retrouver sur votre web radio Allo la planète. Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Logo : Romain Didier Crédit musique : Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeefTravel Invitations Instrumental Heber SuffrinContemplate Instrumental WilkinsonBeautiful field of peace Instrumental Le Roux Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode d’Autochtone, cap sur le Pérou, et plus précisément Lima, pour un voyage gourmand et chaleureux. Nous partons à la rencontre d’Arturo Rano Espinosa Melina, 55 ans, maître incontesté du ceviche dans le quartier de Barranco. Dans son restaurant niché au cœur d’un marché, il prépare chaque jour, avec l’aide de sa mère et d’Anita – son ex-compagne et collègue –, près de 70 plats à base de poisson frais. Ici, le ceviche n’est pas seulement un mets : au Pérou, il est patrimoine culturel national depuis 2004, célébré chaque 28 juin.Arturo nous ouvre les portes de son quotidien. Lever à 4h, passage au marché au poisson où sa mère, experte du désarêtage, choisit les plus beaux produits venus de la côte nord. Puis direction le marché aux légumes pour rapporter coriandre, piment, oignons et patates douces, indispensables à la cuisine péruvienne. Entre les cris des vendeurs, les étals de crabes et les filets de requin, on plonge dans une ambiance vivante et immersive, reflet de la culture locale.Au fil des témoignages, Arturo raconte son parcours : chauffeur de camion au Pérou et au Venezuela, vendeur de ceviches dans la rue avant d’ouvrir son établissement après la pandémie. Ses récits évoquent aussi ses rêves – découvrir Rome ou la tour Eiffel – et sa philosophie : travailler avec amour, profiter de chaque jour, et cuisiner pour rendre les autres heureux.Logo : Romain Didier Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Crédit musique : Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeefThe journey ahead - Dan Phillipson Woset in the closet - Color parade Mangrove - Lowlight Merci à Julien Hervé pour la voix-off.Autochtone est aussi sur instagram pour retrouver les coulisses ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue à El Chaltén, capitale du trekking et de l’escalade en Patagonie argentine. Un paysage mythique, dominé par le Fitz Roy, sommet emblématique qui attire grimpeurs et grimpeuses du monde entier. Ici, la montagne n’est pas qu’un décor : elle façonne les vies et forge les destins. C’est dans ce cadre grandiose que vit Milena Gómez, grimpeuse de haut niveau et guide en Patagonie argentine, connue pour avoir escaladé le Fitz Roy à trois reprises. Mais derrière l’exploit, il y a les risques : météo changeante, parois de granite abruptes, avalanches de pierres causées par le réchauffement climatique, et un milieu où les femmes restent minoritaires. Dans les années 70, seuls deux Français avaient ouvert la voie ; aujourd’hui, les alpinistes s’y relaient dans une quête d’aventure et d’exploration.Milena raconte ses ascensions : 25 heures d’effort continu pour la première, une seconde réussie avec Dörte Pietron, et une troisième interrompue par des chutes de pierres. Ses témoignages révèlent la dureté de la montagne et la force mentale nécessaire pour continuer. Mais aussi les discriminations : moqueries sexistes, équipements inadaptés, absence de reconnaissance. Malgré ces obstacles, elle a trouvé dans l’escalade un lien profond avec la nature, presque spirituel.Dans cet épisode immersif d’Autochtone, l'on ârle aussi du Cerro Torre, montagne mythique aux histoires controversées, et de tragédies , comme la mort du grimpeur Corrado “Kora” Pesce. Milena livre un regard lucide : la montagne décide toujours. Pour découvrir l'aventure en Patagonie sur instagram, c'est ici.Le récit de Milena est aussi disponible sur la webradio Allo la planète.Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Merci à Marion Calvès pour la traduction. Logo : Romain Didier Crédit musique : Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeefHuntley, Hamish Fletcher Huntley Time Passing Marimba Instrumental, Eric Chevalier Contemplate Instrumental Wilkinson, Hugh Robert Edwin WilkinsonHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode immersif d’Autochtone, cap sur la Bolivie et le lac Titicaca, plus haut lac navigable du monde perché à 3 840 mètres d’altitude. C’est à Copacabana, petite ville bolivienne au bord du lac Titicaca, que nous rencontrons Silverio Aruata, 73 ans, conducteur de bateau depuis l’enfance. Issu de la communauté aïmara, il a vu son village passer d’une vie agricole paisible à une économie presque entièrement tournée vers le tourisme. Dans les années 70, l’eau était limpide, la pêche abondante, et les habitants cultivaient carottes, pommes de terre ou haricots. Aujourd’hui, hôtels, restaurants et bateaux dominent le paysage, et l’agriculture a presque disparu.Au fil du récit, Silverio livre son témoignage sur les effets du tourisme : emplois précaires, inégalités économiques et surtout pollution. Chaque vendredi matin, lui et son syndicat ramassent près d’une tonne de déchets sur la plage, conséquence directe des centaines de milliers de visiteurs annuels. Les eaux sacrées sont contaminées par les rejets d’hôtels et par les rivières venant de La Paz, au point que certaines familles ont abandonné la pêche.Entre deux récits et une rencontre sincère sur la berge, Silverio partage aussi son attachement profond à la culture locale : légendes du lac, respect de la nature, culte du soleil et de la lune, traditions vestimentaires et culinaires en recul face aux burgers et jeans. Le bateau Kamisaki, son outil de travail, est aussi un symbole.Pour continuer l'aventure en Bolivie sur instagram, c'est ici.Logo : Romain Didier Merci à Laurent Calvès pour la voix-off. Le récit de Silverio est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Crédit musique : Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeefDreamingLucifer, DanAyalonThermal PrigidaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode d’autochtone, cap sur l’Argentine. Direction Rio Grande, grande ville de la côte Ouest, bien moins touristique que la Patagonie voisine. Ici vit Graciela, 72 ans, qui ouvre les portes de sa “Casa Azul” aux mochileros, ces voyageurs à vélo, en moto ou en stop. Un phénomène courant en Argentine, même si aucun chiffre précis n’existe. Chaque année, 7 millions d’étrangers visitent le pays, et beaucoup suivent la mythique route 40 ou la route 3, qui passe par Rio Grande avant Buenos Aires.Graciela, née d’une mère biologique de 15 ans et adoptée par une famille aimante, a travaillé dans l’administration municipale. Elle s’est mariée presque par hasard, puis est devenue mère de trois enfants. Sa fille Lisa, victime à 45 jours d’une mort subite du nourrisson, a survécu mais avec des séquelles neurologiques. Pendant 15 ans, Graciela a multiplié les allers-retours entre Rio Grande et Buenos Aires pour sa rééducationEn 1999, elle transforme sa maison en première auberge de jeunesse de Rio Grande : 40 chambres, pleines de backpackers l’été et de saisonniers l’hiver. Sans parler anglais ni français, elle communique avec gestes et sourire, offrant une immersion dans la culture locale. Dans cet espace de rencontres locales et de témoignages, les voyageurs partagent repas et récits du monde entier.Aujourd’hui, Graciela vit seule, heureuse, entre son atelier d’artisanat et les visiteurs de passage. Son message est clair : “Si vous voulez voyager, faites-le. Rêvez, c’est gratuit.” Une leçon de liberté et de découverte, portée par une femme qui a su repartir de zéro et créer un lieu unique pour celles et ceux en voyage en Argentine, en quête de lien, de simplicité et de sens.Elle nous raconte tout cela dans le prochain épisode d’Autochtone.Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Merci Graciela et merci à Marine Piol pour la voix-off. Pour suivre l'aventure sur instagram, c'est ici.Le récit de Graciela est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Logo : Romain Didier Crédit musique :Arecife by espacio negativoAwamamba, AMbeef Tomh - ThaïsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Direction le Pérou pour une rencontre avec Freddi, 26 ans, membre de l’ethnie quechua, aujourd’hui rabatteur devant une boîte de nuit de Cusco. Originaire de la communauté de Ninamarca, dans la province de Paucartambo, il a grandi à 3 800 mètres d’altitude avec ses douze frères et sœurs, dans deux maisons modestes où il partageait un lit avec six d’entre eux. On y mange ce qu’on cultive : pommes de terre, maïs, oignons, et on troque pour le sucre, le riz ou l’essence. Fier de sa langue quechua, héritée de l’empire inca, Fredi déplore qu’elle disparaisse peu à peu, victime de la discrimination et de l’exode vers les villes.À 10 ans, il arrive à Cusco sans parler espagnol. Il découvre le racisme, travaille dans la rue, vit dans un squat, et gagne quelques soles en vendant des cigarettes ou en portant des charges. Plus tard, le service militaire du Pérou l’envoie affronter des narcotrafiquants ; une balle au pied le ramène à la vie civile. Aujourd’hui, il suit des cours de céramique le jour et attire les touristes la nuit devant le Chango, unique discothèque du centre historique.Son travail est aussi un poste d’observation sur le monde nocturne : 400 personnes certains soirs, venues du Brésil, du Chili, d’Europe. Il voit circuler cocaïne, marijuana et ecstasy, surtout parmi les touristes, et assiste à leurs excès avant leurs excursions matinales vers la vallée sacrée. Mais il y trouve aussi l’occasion d’une immersion culturelle : échanger, apprendre des autres et transmettre sa culture quechua.Pour retrouver l'aventure au Pérou sur instagram, c'est ici.Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Le récit de Freddi est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Crédit musique : Euphoria fe77a main version Shortie soundroll main version Sleeping beauty mountaineer main versionArecife by espacio negativo Awamamba, AMbeefMerci à Yann Gaudin pour la traduction.Logo : Romain Didier Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Esther est cireuse de chaussures dans les rues de La Paz, en Bolivie. Un métier très mal perçu par la société bolivienne, mais dont elle est fière, puisqu'il lui permet de scolariser ses 4 filles. Guide touristique en parallèle, Esther nous fait découvrir un La Paz hors des sentiers battus. Dans cet épisode d'Autochtone, on sillonne avec elle parmi les ruelles des marchés très variés et les pavés du cimetière de La Paz. Dans ce pays, ce métier est si mal vu que beaucoup portent des cagoules pour éviter d’être reconnus. Esther, elle, assume son visage et son histoire. Fille de cireur, mère de quatre enfants et grand-mère, elle connaît chaque rue de son quartier et emmène les visiteurs dans des circuits hors des sentiers touristiques, pour une véritable immersion dans la culture locale. Depuis le téléphérique rouge, la vue sur La Paz est spectaculaire : une ville construite dans une cuvette, entourée de plateaux et de sommets enneigés de plus de 6 000 mètres, offrant un décor unique pour un voyage en Bolivie.Son parcours est jalonné de petits boulots – boulangerie, charpenterie, laboratoire pharmaceutique – avant de choisir le cirage pour sa flexibilité. Mais cette liberté a un prix : le regard des autres et la double discrimination d’être une femme dans un univers longtemps masculin. Aujourd’hui, les femmes y sont plus nombreuses, certaines venues des villages pendant les vacances, et la solidarité a remplacé une partie des tensions. Dans la rue Figueroa ou au mercado Lanza, Esther gagne 3 à 4 € par jour. Grâce à une ONG, elle complète ses revenus avec des visites guidées à 10 €, faisant découvrir un visage méconnu de la ville.Au fil de son témoignage, on traverse les marchés, on découvre les habits traditionnels de cholitas, les fêtes étudiantes, et on s’arrête au cimetière général, construit en 1826. Là , les tombes sont décorées d’objets symboliques et une glace à la cannelle conclut la visite, comme le veut la tradition. Esther partage aussi les rituels de la fête des morts et des natitas. Esther sera ravie de discuter avec vous. Vous pouvez la contacter sur facebook pour échanger. Si vous êtes de passage dans la capitale, un tour de la ville avec elle est un must-do. Il est organisé par l'association Hormigon Armado, qui aide les cireurs et cireuses de chaussures de La Paz à obtenir un meilleur avenir économique. Pour suivre l'aventure en Bolivie sur instagram, c'est ici.Le récit d'Esther est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Musique : Awamamba, AMbeefArecife by espacio negativoKaelixx - Butterfly KissesBleeping DemoTime Passing Marimba Instrumental ChevalierMerci à Joséphine Fonteneau pour la traduction. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Colombie, Stiven a grandi dans le quartier le plus pauvre de Medellin : la Comuna 13. Une zone tenue par les narcotrafiquants, devenu enjeu politique et zone de guerre. Comme toujours, ce sont les civils qui trinquent et Stiven en est le parfait exemple. DĂ©sormais, ce secteur est l'un des plus touristiques de la ville, grâce Ă l'Ă©mergence du street-art et aux perspectives d'avenirs diffĂ©rentes. Au cĹ“ur de MedellĂn, la Comuna Trece est marquĂ©e par une gĂ©ographie singulière. Sa colline 7, la plus grande, ouvre sur une route menant Ă la cĂ´te pacifique et aux CaraĂŻbes, points de dĂ©part de la cocaĂŻne pour ce pays d'AmĂ©rique du Sud. L’absence de routes carrossables a longtemps permis aux narcos d’échapper Ă la police : vingt minutes Ă pied sĂ©parent la route principale du sommet, un avantage stratĂ©gique pour le narcotrafic en Colombie. Dès 1999, le gouvernement lance 24 opĂ©rations militaires ; seule l’opĂ©ration Orion, le 16 octobre 2002, met fin aux combats ouverts. Mais elle s’accompagne d’une alliance avec les paramilitaires, qui prennent ensuite le contrĂ´le de la ville. En 2006, quatre cartels se disputent MedellĂn ; trois ans plus tard, l'on recense plus de 3 000 morts. Un pacte de non-agression en 2013 stabilise les territoires, sans faire disparaĂ®tre les trafics.C’est dans ce dĂ©cor que Stiven grandit. Sa mère, arrivĂ©e avec lui alors qu’il avait deux ans, falsifie son CV pour Ă©chapper aux prĂ©jugĂ©s. La pauvretĂ© est extrĂŞme : 300 $ par mois de revenus, parfois l’impossibilitĂ© de payer le loyer. Enfant, il apprend Ă Ă©viter les narcotrafiquants, les “frontières invisibles” et le langage des sifflements qui annoncent les fusillades. Ă€ 11 ans, il assiste Ă un double meurtre devant chez lui. La peur, la guerre et les traumatismes rythment son quotidien.Pourtant, une rencontre change tout : l’anglais et le tourisme. Avec des amis, il organise donc des visites guidĂ©es de la Comuna Trece. Son activitĂ© lui permet d’entrer Ă l’universitĂ©, puis de fonder une entreprise d’exportation de cafĂ© et d’avocats. Aujourd’hui, il prĂ©sente la culture locale – hip-hop, graffiti, breakdance – pour montrer que des alternatives existent. Son tĂ©moignage raconte l’histoire de son quartier, entre espoir, mĂ©moire des guerres et volontĂ© de transformer l’image d’un lieu longtemps associĂ© au narcotrafic en Colombie. On en parle dans le nouvel Ă©pisode d'Autochtone, en immersion dans l'ancien quartier le plus dangereux de Colombie. Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part Ă la rencontre du monde. Pour suivre l'aventure sur instagram, c'est ici.Le rĂ©cit de Stiven est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Merci Ă TimothĂ©e Loubière pour la voix de la traduction. Logo : Romain Didier Musique : Mast, Silent Partner New Morning Selfless Sensho Whirlwind Love HĂ©bergĂ© par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après une vie au Vénézuéla, Maria-Claudia a dû prendre un nouveau départ en Colombie, ajoutant son histoire à tant d’autres récits de vie marqués par l’exil en Amérique du Sud.Il lui a fallu des années d'économies pour acheter une maison sur l’île de ses rêves, mais Maria n’a même pas le temps de poser les portes. Son pays, le Vénézuéla, sombre dans une crise économique abyssale, et la jeune propriétaire doit fuir en Colombie pour tenter de retrouver un semblant d’avenir économique. Aujourd'hui, après de nombreuses péripéties, Maria-Claudia est organisatrice de soirées, cuisinière et gérante d'une auberge de jeunesse : La Familia Buena Aventura.Sa cour, ornée de graffs et de hamacs, est un lieu de culture locale et de passage où se croisent voyageurs, volontaires et amis, donnant naissance à mille témoignages et rencontres.Son parcours raconte l’exil de millions de Vénézuélien·nes, conséquence directe d’une crise qui a frappé de plein fouet l’Amérique du Sud : chute du prix du pétrole, pénuries, inflation, instabilité politique. Après la perte de son emploi et de son deuxième fils, elle décide de partir. Arrivée à Palomino, elle enchaîne les petits boulots, vend ses carrot cakes, économise, et finit par créer son propre lieu.Maria Claudia parle fort, rit beaucoup, mais sait aussi écouter. Dans cet échange, elle se livre sur ses forces, ses fragilités, et ce que signifie être une femme face aux épreuves. Elle évoque son rapport au regard des autres, son féminisme et sa volonté de rester indépendante, offrant l’un de ces témoignages qui éclairent les réalités humaines derrière les grands mouvements migratoires.Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Le voyage en Colombie et les informations sur le Vénézuéla continuent aussi sur instagram, ici.Le récit de Maria-Claudia est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Pour retrouver l'hôtel de Maria-ClaudiaMerci à Amandine Burban pour la traduction.Crédits musique :Aras, hazeANewStart by TheBows, Wilmot Redd Breakfast Alone, Brotherhood, YoungRichPixies Amazing Journey, Clean Break Goodbyes, IanPost, Moment in time Weekend in Tattoine, Unicorn HeadsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant la pause estivale, Autochtone met à l'honneur d'autres podcasts voyages. Dans "Surprises Interculturelles", Charlotte Courtois vous aide à mieux comprendre les cultures du monde. Dans cet épisode, Charlotte raconte cette fois où elle pensait que son chauffeur de tuktuk se moquait d'elle. Parmi les clés de la découverte de l'Autre et du management interculturel, et si nous parlions du rapport au "Non" ? Expatrié ou expatriée, voyageur et voyageuse, curieux et curieuses de cultures et de diversité, ce podcast est pour vous !Pour plus de vidéos des actions de Konstelacio, rendez-vous sur sa page Youtube Charlotte Courtois est conférencière en diversité culturelle et fondatrice de l'ONG Konstelacio qui sensibilise les enfants tout autour du monde au dialogue entre les cultures.Bonne écoute!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant la pause estivale, Autochtone met à l'honneur d'autres podcasts voyages. Dans "Surprises Interculturelles", Charlotte Courtois vous aide à mieux comprendre les cultures du monde. Dans cet épisode, l'histoire de Charlotte tient en une phrase : "Rien ne se passe jamais comme prévu". Lorsque Charlotte Courtois se rend en Inde pour tourner un clip avec son ONG Konstelacio, elle doit jouer au jeu du chat et de la souris avec une danseuse gitane. Une expérience qui met ses nerfs à rude épreuve, mais qui lui apprend les joies de l'adaptabilité et de la spontanéité. Sur la base d'une anecdote toute simple, Charlotte nous parle d'un de ces pays où les choses se passent rarement comme prévu et de la face positive cachée de cet aspect culturel qui peut parfois nous rendre dingues.Expatrié ou expatriée, voyageur et voyageuse, curieux et curieuses de cultures et de diversité, ce podcast est pour vous !Pour retrouver les liens mentionnés dans l'épisode :La vidéo retour en images sur le projet Lyra LE clip qui a été si compliqué à tourner Et un petit teaser "carte postale vidéo" de Jaipur Pour plus de vidéos des actions de Konstelacio, rendez-vous sur sa page Youtube Charlotte Courtois est conférencière en diversité culturelle et fondatrice de l'ONG Konstelacio qui sensibilise les enfants tout autour du monde au dialogue entre les cultures.Bonne écoute!Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant la pause estivale, Autochtone met à l'honneur d'autres podcasts voyages. Dans cet épisode de "Quelle Odyssée Aujourd'hui ?", Mathilde Cosséraconte son périple seule, en Interrail. Avec ce premier voyage solo, Mathilde découvre tous les bénéfices de voyager seule. Pour la première fois, elle arrête de se soucier des autres et prend conscience qu'elle est sa priorité. Pour retrouver le podcast de Jérémy Chaleroux, RDV sur instagram : quelle_odyssee_ajd📩 Si vous souhaitez lui écrire, c’est juste là : jeremy@odyssee-podcast.frBonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant la pause estivale, Autochtone met à l'honneur d'autres podcasts voyages.Dans cet épisode de "Quelle Odyssée Aujourd'hui ?", Léo Jolly raconte sa rencontre avec une communauté Aymara en Bolivie.Léo peint les rêves des habitant-es de cette communauté pour documenter le savoir de ces communautés ancestrales et explorer le pouvoir de notre créativité. Pour cela, Léo a marché 900km dans le désert de sel d'Uyuni. Si vous avez des questions pour réaliser votre aventure ou un rêve, Léo Jolly répond à toutes vos questions sur instagram ou Linkedin. Vous pouvez également visiter son site internet juste ici !Pour retrouver le podcast de Jérémy Chaleroux, RDV sur instagram : quelle_odyssee_ajd📩 Si vous souhaitez lui écrire, c’est juste là : jeremy@odyssee-podcast.frBonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant la pause estivale, Autochtone met à l'honneur d'autres podcasts voyages.Dans cet épisode de Bourlinguez , Romane raconte le Sénégal. C'est en pleine période électorale que Romane a traversé ce pays, les rencontres qu'elle a fait (entre autres grâce à Couchsurfing) et les discussions avec ses hôtes étaient souvent marquées par la politique.Elle partage dans cet épisode quelques éléments de contexte permettant de mieux appréhender les enjeux de cette élection, tout en dressant en toile de fond le portrait d'une société ayant soif de justice et d'égalité.  Bourlinguez, c'est le podcast qui donne la parole à celles et ceux qui voyagent.N'hésitez pas à suivre le podcast sur sa page instagram et à lui donner un maximum d'étoiles !Musique d'intro et d'outro : "J'ai Bourlingué ", écrite et interprétée par Serge Raphaël Identité Graphique : Chloé HueberHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant la pause estivale, Autochtone met à l'honneur d'autres podcasts voyages.Dans cet épisode de Bourlinguez , Sixte raconte sa traversée de l'Irak en stop.Sixte est parti il y a un an et demi faire le tour du monde en stop, rejoint par son ami George. Ils se retrouvent à la frontière Jordanie-Irak pour traverser ce pays berceau de la civilisation, mais que l'on associe plus spontanément à la guerre ou au terrorisme.Sixte et son ami découvriront l'hospitalité des différentes communautés qui peuplent ce pays : sunnites, chiites, kurdes, chrétiens et yezidis, mais également les stigmates de son histoire récente.Bourlinguez, c'est le podcast qui donne la parole à celles et ceux qui voyagent. N'hésitez pas à suivre le podcast sur sa page instagram et à lui donner un maximum d'étoiles ! Pour suivre Sixte sur Instagram : @auxcoeursdumondeMusique d'intro et d'outro : "J'ai Bourlingué ", écrite et interprétée par Serge Raphaël Identité Graphique : Chloé HueberHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marie gère une chambre d'hôte dans le nord de l'Albanie. Elle est aussi à la tête d'un local pour permettre aux agriculteur.ices du coin de venir transformer gratuitement leur produit chez elle.Son temps, elle le passe principalement à s'occuper des autres. Son mari, sa famille, le voisinage... Elle a toujours fait ça. Il faut dire que penser à soi, quand on a grandi dans une dictature communiste, ce n'est pas naturel.Son histoire est marquée par la dictature communiste d’Enver Hodja, qui a isolé l’Albanie pendant près de 40 ans. Alors qu’elle rêvait de devenir avocate, un cousin lointain s’échappe du pays. Jugée “criminelle” par association, elle est contrainte d’étudier l’agronomie, métier qu’elle n’aimait pas mais qui lui a permis, des années plus tard, de bâtir son exploitation. Dans son village, les traces de cette époque sont encore visibles : bunkers, souvenirs, récits de vie qui se transmettent encore aujourd’hui.Marie porte un regard nuancé sur ce passé : égalité de revenus, plein emploi, électricité pour tous, mais absence de libertés. Aujourd’hui, elle se définit comme une femme forte, guidée par la famille et la solidarité. Elle refuse la richesse excessive, préférant vivre simplement, aider ses voisins et développer le tourisme local, en multipliant les rencontres avec voyageurs et habitants pour faire découvrir sa région.Bienvenue dans le quotidien d’une femme qui a traversé les bouleversements du socialisme et construit sa vie autour du travail, de l’entraide et des liens humains qui font la richesse d’une société. De la préparation du fromage aux repas partagés, de l’histoire nationale aux gestes simples, on découvre l’Albanie, à travers les yeux de Marie.Autochone, c'est le podcast voyage reportage qui part à la rencontre du monde. Merci à Arlinda pour la traduction. Merci à Pascale Palacin et au studio Factory 5.42 pour son aide à rejoindre l'Albanie en temps de crise. Pour suivre l'aventure sur instagram, c'est ici.Le récit de Marie est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Pour retrouver la chambre d'hôtes de MarieCrédits musique : Awamamba, AMbeef Musique de fond : arecife by espacio negativoOver and over, Stanley GurvichKetsa, MultiverseKetsa, Memorues Renewed Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Segundo cultive du cacao en Équateur. Entre les aléas climatiques et les fluctuations du marché, l'avenir économique n'a jamais été serein. Mais cette ferme, c'est l'héritage familial et la promesse de moments de solitude précieux. Sa ferme se trouve au cœur de la réserve de Mache Chindul, en Équateur. 120 000 hectares de forêt primaire protégée, riche de plus de 1 000 espèces de plantes et 700 animaux. Avec lui, on découvre les réalités de l’agriculture du cacao : un travail exigeant, peu rentable, où la force et la patience remplacent parfois les revenus. Segundo produit la variété « national », à la coque violette et aux arômes fins, mais fragile. Le pays est l’un des cinq premiers producteurs mondiaux, avec plus de 300 tonnes exportées chaque année, principalement vers l’Europe.Le voyage commence à Mompiche, petit village côtier, avant une longue exploration vers la ferme : routes boueuses, traversées de rivière sur bambous, forêt dense. L’arrivée chez Segundo révèle une maison en bois simple, entourée de poules, chiens, cocotiers et orangers. Entre récolte à la machette, ouverture des cabosses et séchage des fèves, on mesure l’écart entre la graine et la tablette de chocolat que nous dégustons.Segundo raconte l’histoire familiale : son grand-père venu de Colombie, son père cherchant un bout de terre isolé, et lui reprenant l’exploitation à 20 ans après le décès paternel. Aujourd’hui, comme plus de 150 000 familles d'Équateur, il dépend des cours instables du cacao : environ 40 dollars pour 100 kilos, moins encore avec les frais de transport. En 2025, Segundo a été victime d'une maladie qui a considérablement réduit sa production. Si vous souhaitez le soutenir, n'hésitez pas à me contacter. Un reportage impossible sans l’aide d’Ignacio, revendeur de chocolat bio. Retrouvez son entreprise : Momza, sur instagramAutochtone c'est le podcast reportage qui voyage à la rencontre du monde.L'aventure Autochtone continue sur instagramPlus d'infos sur le siteLe récit de Graciela est aussi disponible sur la webradio Allo la planète. Logo : © Romain DidierCrédit musique : Awamamba, AMbeefArecife by espacio negativoLussa Calma Evolutta, Bottega BaltazarEscape, GregMcKayVueltaal sol, Tomas NovoaSapphire prigidaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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