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Stetho et Baskets

Author: Dorothee D

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Description

Un podcast de voix de médecins.
Mes invités viennent confier leur relation à la pratique sportive, qu’elle soit passionnelle ou épisodique. Nous découvrirons comment concilier une activité professionnelle souvent fort prenante avec l’assiduité que demande la pratique sportive? 
L’activité physique peut-être choisie pour rechercher une performance, ou être un exutoire, en tous cas elle améliore le bien être personnel et permet de lutter contre la sédentarité. 
Tous les témoignages sont singuliers. 
bonnes écoutes. 

Venez partager votre vécu du sport quelqu’il soit. Relayez le podcast autour de vous, c’est le meilleur moyen de le faire connaitre et vivre. Venez me dire si l’une de vos connaissances ou ami(e) pourrait porter sa voix sur l’un des épisodes. 
contactez moi par MP ou mail sthetoetbaskets@gmail.com

  
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
21 Episodes
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Fabienne a couru pendant les années d'études et n'a plus arrêté depuis. Elle fonctionne à l'objectif. Ce qui a mis un coup d'accélérateur à sa motivation et ses performances, a été l'adhésion à un groupe de course. Cette volonté de progresser s'est exprimée via une course qu'elle faisait tous les ans où l'objectif a été amélioré annuellement. Grâce à l'émulation de groupe et l'énergie apportée via l'amitié, à 4 copines elles se sont préparées au marathon de Paris. Pendant sa grossesse actuelle Fabienne a gardé la marche très active en moteur d'activité physique. elle anticipe déjà la reprise de la course avec un programme adapté au post partum.son choix professionnel de médecine générale s'est fait suite à l'inspiration transmise par son médecin de famille. Un métier qui ait du sens était le critère indispensable de Fabienne. Elle a aussi fait un clinicat avant l'installation. Maintenant elle a trouvé un rythme de travail qui lui convient avec quasi 4 jours par semaine. Mots clefs : assiduité, groupe, volontéJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elise, qui a choisi de devenir médecin généraliste pour travailler partout nous retrace son parcours sportif et professionnel.A partir de la course à pieds, Elise a pu explorer d'autres sports. Elle a aussi pu investir sa 3e vie comme elle la qualifie, celle qui permet de prendre du temps pour soi. Durant une expérience unique de 3 jours avec le Credir, qu'elle a vécue lors de sa période d'épuisement elle a découvert la boxe et la poterie. Cela lui a permis de s'impliquer ensuite dans ces disciplines.Elle pratique aussi le piano, ayant saisi une opportunité lors de cours de l'un de ses enfants. Ne pas toujours repousser en « je ferai ça plus tard ».Comment tenir sur la durée, comment se motiver. Elise nous livre ses clés, de la playlist boostante pour la course à pieds, à la fidélisation et l'inscription dans la durée, du temps consacré aux activités.Elise nous parle de son exerce professionnel, qu'elle a modelé pour qu'il colle aux mieux à ses envies et ses valeurs ; afin de l'apprécier longtemps. Celui-ci n'est plus un fardeau. Le botte secrète d'Elise c'est la diversification des domaines d'activité.« Il faut aller bien pour être de bons soignants».Mots clefs : diversité, pause, implicationStage rebond du CREDIR :https://www.credir.org/3-jours-pour-reprendre-confiance-prevenir-ou-sortir-du-burnout/J’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vanessa nous confie comment concilier plusieurs activités différentes, entre son activité professionnelle principale de dermato, son activité artistique et ses entraînements sportifs. comment trouver un bon équilibre et favoriser son bien-être afin de prendre soin des autres sereinement. Après son enfance à la Réunion, Vanessa est arrivée à Bordeaux. Elle a découvert quelques sports étant jeune. Vanessa s’est mise à la course à la fin de l'internat, ceci couplé à un changement d’habitudes de vie. Elle faisait quelques randonnées. La reprise de la course s’est faite par les 20 min du bac en fractionné, puis progressivement Vanessa a allongé les durées et distances et s’est rapprochée de la nature, jusqu’à pratiquer maintenant assidûment le trail. Vanessa a dû faire face à une blessure mais depuis elle est de nouveau bien dans l’ambiance du trail. Afin d’améliorer ses performances et son bien-être, Vanessa a opté pour le coaching individuel depuis mars 2023. Et surtout son prochain objectif est l’une des courses du Grand Raid de la Réunion: la Mascareigne en octobre 2024. (70 km et 4000 m de dénivelé +)Elle a choisi la spécialité de dermatologie en ayant pu découvrir cette discipline en stage d’externat. En sortie d’internat Vanessa a choisi de faire d’abord des remplacements puis de s’installer ultérieurement. Elle s’est plongée dans l’art via l’aquarelle pendant le confinement de 2020 avec des cours en ligne. Elle a découvert ensuite la technique du cyanotype, une ancienne technique de photographie. Depuis, Vanessa en produit beaucoup, en vend, a déjà exposé et anime des ateliers. Elle a récemment organisé une retraite en collaboration avec une hypnothérapeute. Via l’art et le trail, Vanessa peut se reconnecter au moment présent et profiter de la nature. Pour soutenir son projet en faveur du Mécenat Cardiaque via l’association Grand Ker: https://mecenat-cardiaque.org/news/summits-of-my-heart-gravir-des-sommets-pour-sauver-des-enfants/https://mecenat-cardiaque.igive.iraiser.eu/projects/grand-ker?page_payment=2Pour découvrir Vanessa et toutes ses facettes:  instagram : vanessa_fenelonL'aquarelliste qui a inspiré Vanessa : Marie London instagram: @tribulationsdemariepuis cours en ligne avec Trupti KarjanniMots clefs : art, nature, libertéJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Benjamin pratique la natation en compétition depuis ses 7 ans . Les entraînements nombreux mais il n’a pas bénéficié des aménagements réservés aux cycles sport-études. Adepte du sport tôt le matin qui lui permet de rester énergique pour la suite de la journée. Il a choisi de s’entrainer quelques temps aux Etats-Unis.Il a choisi la chirurgie esthétique pour sa diversité et l’attrait du beau et de la réparation. Il aime transmettre, c’est ce qu’il fait avec les internes et externes et via les réseaux sociaux. Après l’internat il a complété le cursus par une formation supplémentaire en chirurgie de la main.Il s’est construit un planning alternant entre les entrainements le matin et la soir, avec de la natation et de la préparation physique. Mais il a aussi plusieurs lieux d’activité et arrive à trouver un équilibre dans tous ses déplacements pro et ses compétitions.Benjamin est un grand passionné. Et il est mu par le fait de ne pas avoir de regrets. Une discipline et une volonté de fer !C’est un acharné du travail, motivé, qui se fixe des objectifs pour lesquels il se met en mouvement sans procrastiner.  La compétition est son moteur, le challenge à relever. L’un de ses secrets serait-il « une endurance de chirurgien » comme il le dit ?L’un des prochains objectifs : le record de France des 200*4 nages ou 400*4 nages. On va rester aux aguets !Il a d’autres cordes à son arc… l’écriture dès le lycée, et il a participé à un jeu télévisé d’aventure.N’hésitez pas à aller le suivre @dr.benjamin.debuc sur instagram. Cet épisode est un regain de dynamisme, et Benjamin distille plein de petits conseils, mais quelle énergie incroyable, quelle organisation épatante et volonté stupéfiante ! Il a assurément des aptitudes hors du commun !Références: Livre : Aelig et le peuple célesteEpisode 1 de « forces civiles » jeu d’aventures  https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=YldgUCxPeD4&si=pf6mSVY3tvOILtp3Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jérôme, tout sourire, nous explique s’être lancé dans l’athlétisme à 8 ans sous impulsion de sa maman. Il a fait plusieurs championnats de France. Après avoir pensé aux études d’ingénieur, il se dirige en médecine avec l’encouragement de son médecin généraliste.Il a fait une pause sportive pendant la 1ere année de fac.Puis avec un groupe de copains, il a eu idée de créer une épreuve d’athlétisme lors d’une compétition interfacs. Pour préparer cette épreuve ils ont créé un club d’athlétisme. Celui-ci a été Il a glissé de la course de vitesse vers la course sur tapis puis les longues distances. Il a participé à un groupe addidas  ce qui lui a permis de courir en groupe un soir par semaine. De fil en aiguille il a rallongé les distances. Son premier 10 km a été fait au ressenti.Côté médecine il a quitté Paris pour Nice avec le choix de médecine d’urgence pour voir « la vraie vie » hors des hôpitaux parisiens. Le choix de Nice pour le climat et sa topographie géographique, et le côté pratique des stages en hôpitaux périphériques. Il a pu reprendre le sport avec un club à Nice. Après une blessure, il fait la rencontre de la formule Ironman. Et la transition triathlon a pris forme, en autodidacte initialement, puis avec un club et un coach. Il doit apprendre à bien équilibrer ses efforts entre les différentes épreuves. Il nous explique l’intérêt d’avoir un coach en plus du travail en club, afin d’avoir un entrainement personnalisé pour les objectifs individuels de la saison. Son organisation actuelle lui permet de s’entrainer quand il en a envie.Nous évoquons aussi sa vision actuelle de la médecine, de son exercice.Les mots de l’épisode : amusement, se faire plaisir, régularitéJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Axelle aimait faire du sport enfant, mais elle a ensuite arrêté devant un problème de croissance. Quand elle a rencontré son mari la course est devenu un moyen de faire connaissance. Les débuts à la course n’ont pas été faciles.Elle a eu ses 5 enfants en 7 ans (dont 3 pendant l’internat) avec de l’aquagym et la rando.Pendant la période covid, Axelle a connu une baisse de moral l’ayant amenée à prendre un suivi psy. Mais elle s’est rendu compte que le temps passé dans le cabinet pouvait aussi être remplacé par du sport et cela lui a fait le plus grand bien !La logistique familiale est bien huilée entre le sport et la musique de tous. Son mari et elle ne peuvent pas avoir les mêmes objectifs au niveau sportif, car il est nécessaire d’assurer la continuité par rapport aux enfants.Elle nous raconte son marathon de Paris.Depuis qu’elle a changé de région, elle trouve dommage de ne pouvoir courir prendre de la hauteur dans la nature.En voyant des traileurs elle pensait que c’était un sport dangereux… mais elle s’y est mise et y a pris goût !Elle a fait la Sainté Lyon dans son parcoursLes maitres mots de l’épisode : la famille, le bien-être psychique, l’équilibre « au moment du covid je me suis sentie impuissante, triste, je ne pouvais pas aider les autres ».« Le temps passé à aller chez le psy, j’allais le passer à courir avec les chiens »« Le but c’est d’avoir un sport qui nous transporte et nous fasse grandir, pas au détriment de la famille »« on ne peut pas avoir tous les deux des objectifs aussi importants sportifs »J’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christine, qui a eu un coup de foudre pour la médecine par hasard, (et pour laquelle certains professeurs de lycée n’auraient pas prédit une si belle carrière) a trouvé une place qui n’est pas ordinaire. La lecture d’un livre relatant le vécu d’un médecin écossais l’a confortée dans son choix.Les travaux pratiques d’orthopédie vont permettre de peaufiner le choix. Le parcours ne sera pas aisé en étant une femme dans une spécialité réputée masculine. Elle nous précise ses sacrifices de vie personnelle pendant la 6e année pour atteindre cette spécialité.Elle a choisi de la chirurgie de la main, qui est une spécialité qui se pratique assis. Et Christine a su combattre les préjugés concernant le choix de l’orthopédie pour une femme. Même ses grossesses ont été programmées pour que cela coïncide très bien à sa carrière professionnelle.Malgré le mauvais vécu du sport scolaire et les petites fraudes lors des courses d’endurance au parc, Christine s’est lancée dans la course dès 42 ans. Elle voulait surtout bien vieillir sans devenir vieille. C’était ce sport le plus rentable pour la perte calorique par rapport au temps passé. Le 1er pas fut une course solidaire de 5 km qui a mené ensuite jusqu’au semi de Lyon. Christine a adjoint aussi le tennis. Puis son corps lui a envoyé quelques messages négatifs et elle a quitté ses sports d’impacts et s’est dirigée vers l’aquagym et du renforcement musculaire avec un coach à domicile.Christine a su trouve un excellent équilibre entre sa vie pro, dont elle est encore passionnée et sa vie personnelle.Les mots clefs de l’épisode : chirurgie, bien vieillir, adaptation Référence au podcast de Lucile Woodward avec Nathalie Simon : https://open.spotify.com/episode/1INKGoBn5wSzsF55RcYewB?si=101222de67bd445dLivre du médecin Ecossais : « les années d’illusion » de A.J.Cronin.« On m’a dit quand j’étais externe que les filles ne faisaient pas d’orthopédie »  « J’ai demandé si je pouvais faire de la chirurgie de la main, était-ce un problème d’être une fille ? non, mais tu vas l’entendre pendant tout ton internat m’a-t-on répondu »« Quand je disais je veux faire de la chir, les filles me disais tu es folle, tu es une fille, une fille ne fait pas de chir, car tu n’auras pas assez de temps pour t’occuper de ta famille et de tes enfants » « L’internat et le clinicat on bosse comme des malades, maintenant j’ai plus de temps en gagnant plus »« Mon patron m’a dit que j’avais moins bossé que les autres car j’étais une femme, ma famille était plus importante que mon clinicat »   « Mais c’était moi qui opérais le plus. On nous reproche d’être une femme. »« Je voulais faire un semi avant mes 50 ans »   « les endorphines sont énormes »« L’arthrose est mieux supportée chez les sportifs »  « il faut faire du renforcement musculaire »J’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un épisode très riche et étoffé avec Bertrand, médecin esthétique, qui va bien au-delà du sport. Nous parlons du sport régulier pratiqué avec assiduité. Il insiste sur la régularité du sport, qui s’inscrit dans la durée. Du fait de préserver surtout une belle et longue régularité plutôt qu’un excès pour permettre de conserver son potentiel de longévité.Bertrand a d’abord rencontré le sport à travers les arts martiaux, le judo, le karaté, le taekwondo. Il pratique actuellement la boxe et ceci depuis 19 ans. La boxe thailandaise l’a aussi attiré par la culture qu’elle représente.On reparle des sacrifices nécessaires pendant la 1ere année de médecine, qui se répètent pour la 6e année.Il a découvert l’esthétique en travaillant comme aide opératoire, puis l’idée a été confortée lors d’une rencontre avec un médecin esthétique.On abord aussi aussi la notion de beauté. Il qualifie le gel d’acide hyaluronique, matériau comme l’or, le métal ou le verre, que l’on sublime avec ses mains.  Il ne se qualifie pas d’artiste mais d’artisan, car pour l’artiste il y a une notion de subjectivité sur une beauté qui est propre. Et il serait dangereux pour un médecin esthétique de vouloir s’exprimer tel Picasso. Il aime vouloir créer du beau. Bertrand parle d’injecter avec ses oreilles, c’est-à-dire surtout en écoutant ses patients, via une prise en charge globale où l’on écoute les patients dans ce qu’ils sont.Avec Bertrand nous avons parlé de plusieurs sujets  non sportifs mais liés au bien-être physique et psychique avec son expérience au Tibet en étant jeune adulte et sur les opportunités à saisir, les portes à ouvrir, pour ne jamais regretter. On parle d’autonomisation, de maturité de l’humain.Bertrand parle de 2 références qui l’ont inspiré :Le film Yes man et les petits mouchoirs.Un épisode riche et de développement personnel qui n’est pas restreint à sa pratique sportive et son exercice médical.Les mots clefs : ne pas regretter, l’assiduité, artisan« Si on veut ménager sa monture, bien dormir c’est important »« On a perdu un cycle de sommeil depuis 50 ans »« Cela doit faire partie intégrante de votre planning professionnel »« J’ai choisi la simplicité, je ne me suis jamais mis de contrainte, de challenge »« J’ai assez de pression au travail. Le sport doit rester agréable »« Plus on aiguise son regard au niveau artistique plus cela deviendra automatique et aisé »« Besoin d’être tiré vers le haut pour avancer. Je ne veux pas dépasser les autres mais progresser. »« Toujours dire oui à la vie »Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : nature, filiation, résilienceJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bérénice a toujours été très active depuis l’enfance. Elle a essayé plusieurs sports puis la danse à 8 ans, qui l’a passionnée. Elle en ressentait les effets bénéfices sur le corps. Elle avait choisi l’option sport au lycée. Elle détestait s’ennuyer et avait toujours envie de faire plus. Elle n’a pratiqué que la natation pendant les mois du concours de 1ere année, elle était surtout focalisée sur le travail. Elle a expérimenté le sport étudiant via le siuaps se demandant si cela manquait à son équilibre d’étudiante. Elle a eu 2 de ses 4 enfants pendant l’internat. Elle a réduit ses congés maternité au minimum. Elle sait pouvoir compter sur son entourage pour permettre une organisation familiale satisfaisante.Entre les différentes grossesse, Bérénice a pratiqué le pilates et a repris le sport après le 3e enfant notamment la course à pieds, qui était pourtant un souvenir désagréable du sport scolaire, et ce fut une révélation.Elle s’est inspirée d’un programme de Lucile Woodward pour se lancer et de ceux de la clinique du coureur, et a ajouté un régime high fat low carb qui lui a convenu. Elle a franchi son premier 10 km sous l’heure en 5 mois.Bérénice a repris la danse il y a quelques mois, d’abord avec des cours en ligne pour s’y remettre.   Et elle pratique aussi des activités avec ses enfants que ce soit en vélo, la nage.Bérénice a une véritable trousse à outils pour sa pratique médicale : ostéopathie, médecine du sport et en traumatologie du sport et actuellement en micronutrition.Dans quelques mois ce sont de nouveaux projets migratoires qui vont voir le jour, un nouvel élan pour la famille.Les maitres mots de l’épisode : organisation, famille, hyperactivité.« la médecine je n’ai pas encore fait le tour »« j’ai perdu quelques années de vie pendant les études sur le plan de la santé »https://lacliniqueducoureur.com/coureurs/programmes-de-course-a-pied/https://lucilewoodward.com/et Bérénice fait référence à Anais que l’on écoute là : https://smartlink.ausha.co/stetho-et-baskets/anaisHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous entendrez l’enthousiasme de Marion, hyperactive, curieuse d’apprendre et entrepreneur dans l’âme. L’installation en libéral fut une évidence pour Marion, qui a rapidement diversifié son activité avec du temps de médecine du sport. Médecin d’un centre de formation de jeunes footballeurs dont l’enjeu est de devenir professionnels, ils ont plutôt tendance à parler de leurs soucis de santé tardivement ou à les taire. Le dilemme fut d’apprendre à travailler en équipe multidisciplinaire. Elle a découvert le cross fit qu’elle a pris en passion, tellement ardemment qu’elle s’est formée pour devenir pour coach et a investi avec son mari dans la salle dont ils sont propriétaires. Elle a découvert tout l’aspect marketing qui était nouveau pour elle. Elle continue à se former de manière régulière. Marion a une organisation très bien ficelée entre sa vie de famille et ses multiples casquettes professionnelles. Marion a transformé sa passion en métier complémentaire.Comment garder un juste équilibre entre l’épanouissement professionnel et le bien-être personnel.Marion s’investit dans la perspective de la labellisation sport santé de sa salle. Cette démarche est complètement en accord avec ses valeurs et ce qui la motive dans la pratique sportive et dans cette envie de démocratisation et facilitation de l’activité physique. Considérer que bouger c’est une motivation vitale. La santé par le sport à travers l’âge. D’ailleurs le crossfit est à la base une méthode de préparation physique.Marion nous rappelle qu’il est important de commencer et de ne pas se comparer.Les maitres mots de l’épisode : enthousiasme, entreprise, multi activitésAllez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! J’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Passionnée d’équitation dès le jeune âge, après un passage en natation, Céline s’est perfectionnée en endurance équestre. Dans cette discipline le bien-être du cheval est l’élément clef. Le type de cheval est très important sur sa performance dans le type d’équitation. Et justement Céline n’avait pas le cheval le plus prédestiné pour l’endurance équestre. Le choix de la fac de médecine était un choix de cœur. Elle a bien fait de ne pas écouter les mises en garde de certains enseignants peu encourageants.  Puis elle a repris l’équitation avec son poulain devenu plus grand, qui s’est avéré être un excellent compétiteur de saut d’obstacle. Céline s’est dit qu’elle ne pourrait pas répondre à ses besoins elle a fait le choix généreux de le confier à un cavalier professionnel.Ensuite elle a pris le versant sport bien-être avec la course avec son compagnon. Ce n’était pas pour la recherche d’une performance mais plutôt pour rester en bonne santé. Elle nous livre des éléments de son organisation qui lui permet de rester en bonne santé psychique et de garder la tête hors de l’eau. Céline a trouvé un équilibre de vie précieux.Céline s’est installée dans le même cabinet que sa mère, la transmission familiale est complète.Après avoir eu ses enfants elle a accueilli d’autres enfants… mais en format chien. Un Finois de Laponie d’abord avec lequel elle a repris le sport en binôme poilu. Elle expérimente alors le canicross en faisant progresser son chien. Depuis elle a 2 chiens et elle profite à fond de ce lien aux animaux. Elle vous explique tous les secrets de ce sport avec ses chiens ! Et cette incroyable aventure du partage !Un épisode encore riche en découvertes !Et une spéciale dédicace sur la fin à @adel.louafi qui nous recommande l’endurance fondamentaleLe site où vous pourrez contacter le club et Céline pour des renseignementshttps://cani-vikings.wixsite.com/cani-vikingshttps://www.instagram.com/canivikings/Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : nature, partage, chienJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la première partie de notre entretien avec Blandine diffusé sur le podcast La Consult’, nous avons parlé des débuts de la carrière de traileuse de Blandine en parallèle de son internat de gynéco-obstétrique. Blandine nous a livré aussi des éléments sur son organisation équilibrée pour concilier son travail et le sport.Blandine a fait le choix de s’installer en Lozère où la nature est présente et la vie paisible.Dans cette deuxième partie Blandine parle de la confiance en soi, de l’importance de pouvoir s’épanouir dans une activité en dehors de la médecine ceci contribuant à une bonne santé psychique. Elle parle, avec son expérience, du fait de s’octroyer des pauses, ceci permettant d’être plus efficient, et de prendre soin de soi. On aborde aussi le fait de faire face au risque de blessure et comment s’adapter quand celle-ci arrive.Elle évoque ses projets d’avenir tant sur le plan sportif que médical. Elle nous parle d’objectifs et du chemin pour y arriver quel qu’il soit.Une expression de grande reconnaissance à Blandine de nous avoir accordé du temps pour ces confidences instructives que ce soit sur le sport ou la carrière de médecin.Un énorme merci à Anne-Lise du @podcastlaconsult pour cette opportunité de collaboration. Ce fut très riche humainement et même techniquement. Une rencontre de 2 médecins podcasteuses qui sont passionnées !Merci Anne-Lise.Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : nature, effort, équilibreJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On se lasse transporter en nature. Enfance sportive pour Lise, mais plutôt contrainte avec le choix de la gym car son père était prof de gym.Elle a découvert aussi l’escalade qu’elle a arrêté en fin de lycée. Quand elle est entrée en 2e année de médecine elle a choisi de courir car c’était difficile d’aller s’entrainer à l’escalade (il n’y avait pas encore eu le boom des salles indoor). Elle a beaucoup couru, mais progressivement, et a associé de la musculation. Les études de médecine étaient à Lyon, ce qui a permis aussi de ne pas être trop loin des pistes pour la saison hivernale.Puis Lise a connu la maternité et n’a pas arrêté de courir, elle a perdu son surpoids d’enfance. La course lui permettait de vider un trop plein d’énergie. Elle a continué à pratiquer le sport même en étant très jeune maman. Quand son fils a eu une leucémie, elle a continué à être active pendant les traitements de son fils, même à égayer les moments d’isolement. Ils ont connu l’association « A chacun son Everest », et par cette voie son fils est allé en immersion dans un chalet à Chamonix une semaine. Lise nous explique qu’avec cette association, ils considèrent que la maladie c’est comme une montagne à gravir et retourner à la vie normale ensuite. Son fils a eu un coup de cœur pour l’escalade.Mère et fils ont donc investi ensemble la grimpe. Après Strasbourg, Lise a déménagé à Marseille, ville qui présentait un terrain de jeux intéressant pour aller grimper fréquemment.Maintenant elle a choisi la vie insulaire. Mais son fils vient régulièrement la retrouver sur l’île de Beauté où ils partagent aux vacances des sessions de grimpe.Lise pratique aussi le trail, l’alpinisme, la cascade de glace, et le vélo de route. Sa vie en nature ne s’exprime pas que dans les activités pratiquées mais dans son mode de vie. Et la transmission et le partage avec son fils sont des fils conducteurs très solides. Cet épisode permet d’aborder ces thèmes de transmission, et comment on continue à pratiquer une activité malgré la maladie. https://www.achacunsoneverest.com/ Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : nature, filiation, résilienceJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mettez votre maillot, chaussez vos bonnets et lunettes et … plongez avec Alexia !Malgré des cours de natation jeune enfant, Alexia n’arrive pas à nager avec aisance et san crainte, ce sera une rencontre décisive avec une institutrice qui va permettre de lever le blocage et qui lui donnera envie de pratiquer la natation. Mais pas n’importe laquelle, celle « des dames qui dansent ». Alexia est arrivée par hasard dans le milieu de la natation synchronisée et s’y est épanouie et a progressé jusqu’au firmament des compétitions.Elle va lever le voile sur les entrainements, sur ce monde qui était exclusivement féminin, sur la compétition jusqu’aux championnats du monde. Elle a oscillé entre la synchro amateur bonne ambiance à la rigueur compétitive et recherche de performance. Elle nous parle des notations en compétitions qui sont liées à la réputation du club.Le parcours est émaillé de joies mais aussi de moments émotionnellement moins agréables. Elle nous explique comment elle a réussi à concilier le sport de haut niveau et la médecine.Elle a suspendu un certain temps la pratique de la natation. Sur la reprise en fin d’études, elle trouve une ambiance moins bon enfant que précédemment. Elle va participer à de compétitions de différents niveaux jusqu’aux championnats du monde. Elle s’est un temps retrouvée sur le banc de touche suite à l’annonce d’un parcours de projet enfant.Alexia court aussi. Elle décrit la course comme étant un sport plutôt évacuateur et qui a une fonction de remplacement. Place à la course Marseille Cassis par exemple. Le relais de la natation a été pris avec la danse.On parle aussi sans tabou des premières règles dans un sport où il est difficile de cacher ce changement.Son choix de spécialité, dont elle parle avec passion, qui a pour cœur le bien être psychique et l’équilibration de maladies mentales fait sens et elle n’hésite pas à encourager positivement les patients à avoir une activité sportive. En tant que psychiatre Alexia aide les patients à se rendre compte du bénéfice du sport. Pour Alexia le médecin doit se faire porte-parole, avoir ce côté moteur pour ramener les gens vers le sport. Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : engagement, compétition, fémininJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Attention ! Delphine va vous montrer qu’on peut tomber amoureux d’un sport et s’y engager pleinement même si on le découvre à l’âge adulte !Delphine se décrit comme une enfant modérément sportive faisant même assez peu d’activité sportive pendant les études. Son mari est très investi dans le côté sportif. Puis elle a choisi de transmettre la valeur du sport à ses enfants. Pour Delphine c’était important que ses enfants pratiquent du sport, et elle a eu raison ce fut déterminant pour elle.Elle souhaitait faire un peu de sport pour de l’entretien physique, pour espérer se sentir mieux dans son corps, ainsi que pour gérer les changements corporels liés à l’âge.Lors du stage d’aviron d’un de ses fils, nait une passion familiale. Delphine a un coup de foudre quand elle essaye ce sport. Elle le décrit comme apaisant. Elle nous en dévoile plus sur l’aviron, et les entrainements qui peuvent parfois être contraints par la météo.Elle s’est d’ailleurs récemment investie dans l’arbitrage et le conseil d’administration du club comme secrétaire. Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : découverte, passion, familleJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Matthieu, médecin généraliste, triathlète a fait le championnat de France de paratriathlon en 2023.Une enfance sportive avec majoritairement de la natation. Malgré sa maladie qui nécessitait des interventions chirurgicales répétées, Matthieu est toujours revenu vers le sport.Pendant la première année de médecine, Matthieu a repris pas mal de sport. Et grâce aux traitements ses douleurs ont disparu.La découverte d’un homme courant en short à fleurs (colin Harolds) et gagnant toutes les courses l’a fait se tourner vers le triathlon.En sachant rebondir vers d’autres spécialités quand il s’est rendu compte que le choix de spécialité n’était pas celui qui convenait. Un stage en hôpital périphérique (hors CHU) lui a permis de se reconstruire moralement. Matthieu s’est inscrit aussi dans un club de triathlon. Il est aussi passé par la case coaching.Il nous relate les catégories debout PTS 2 à 5 du handicap. Il explique que cela permet de se confronter à des handicaps similaires, n’ayant as les capacités complètes.Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : résilience, engagement, adaptationJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le cantalou Stéphane, athlète et médecin généraliste et polyvalent nous parle de son enfance en classe études ski. Il a pratiqué le sport avec son frère, et pourtant sans transmission familiale. Un attachement ancré pour sa région.Il est multifacettes : traileur et médecin du sport notamment de l’équipe de France de trail ; médecin urgentiste. Il a aussi une activité de médecin libéral entrepreneur.Mais beaucoup d’autres cordes à son arc. Il a réalisé un Saspas créatif et novateur ; permettant l’ouverture d’une antenne médicale d’urgences à la station du Lioran, qui existe encore. Au sein de son parcours il est urgentiste à Aurillac, médecin pompier volontaire, puis de la fonction publique territoriale ; il a quitté son Auvergne pour la Corse ; puis retour en Auvergne. Ensuite un virage en médecine libérale. La création d’une maison de soins non programmés qui est comme un trail mais sans ligne d’arrivée. Il a découvert la course à pied en 2009. A partir de l’oxygène challenge, puis l’année suivante la Pastourelle dans le Cantal et les templiers (70km) On parle équilibre médecine rapide (urgences) vs médecine lente (la médecine du sport).Bien sûr on termine en parlant de l’UTPMA. Un projet HUMAIN.Si vous connaissez l’UTMB, venez rencontrer l’UTPMA ! Création de l’UTPMA en partant de Oxygène challenge avec la vocation de faire connaitre sa région.Qui participe à la prochaine ? (juin 2024)  Et il nous livre un vécu POSITIF sur son activité de médecin.Allez l’écouter et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode ! Les maîtres mots de cet épisode : nature, partage, polyvalence, créativitéJ’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP. Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps. Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
 On se tient droit, on fait de belles pointes de pied et…  C’est parti ! Dans cet épisode Laurence, à l’accent chantant, va vous faire découvrir une discipline qui est récente et a fait sa place en France.   Le fil rouge de Laurence ? la danse. De la barre classique et un engagement déjà jeune en danse, Laurence a continué à entretenir cette passion. Dès l’enfance elle a pratiqué le sport. Malgré la suite logique de s’investir professionnellement en danse, elle a préféré prendre la voie de la médecine plutôt que celle de la danse. Mais l’implication en danse reste infaillible à travers les années.  Laurence nous parle d’un passage où la santé a été fortement en péril et qui lui a permis de se dire qu’elle avait peut-être trop laissé le travail piétiner sa vie. Des changements ont été décidés après cette bataille de santé, afin de retrouver un équilibre de vie indispensable.   Laurence exerce une spécialité chirurgicale à gardes et a travaillé longuement en libéral. Elle a décidé récemment de bifurquer et côté perso elle s’est inscrite à des nouvelles activités physiques pour maintenir son niveau de danse.   Actuellement elle est investie dans la pole dance, activité qui peut être pratiquée à tous âges, et demande à Laurence beaucoup d’humilité car démarrée tardivement. Elle nous précise ne plus pouvoir progresser de la même façon que si elle avait démarré comme jeune adulte.   Allez l’écoutez et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode !   Les maîtres mots de cet épisode : danse, engagement, reconstruction     Veuillez excuser le changement de mode de captage de son en début d’épisode…  Merci pour votre indulgence.   J’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP.   Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps.   Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs ! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi !    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Valérie a eu une enfance sportive. Elle a fait de l’athlétisme avec l’UNSS, plutôt format course de vitesse.  Elle a ensuite fait une longue pause, a eu ses enfants, puis elle a repris le sport en 2022.  Avec une de ses amies elle va réinvestir l’activité physique. Valérie nous confie l’importance de la motivation en duo. C’est un facteur très important dans son assiduité à l’activité physique.  Son mari très sportif leur a concocté un programme.  Valérie nous parle de l’importance de l’activité physique pour faire face aux changements hormonaux, aux modifications du corps.  Allez l’écoutez et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode!  Les maîtres mots de cet épisode: émulation réciproque, volonté, motivation, périménopause J’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP.  Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps.  Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi!  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hélène va nous confier comment en partant de son enfance plutôt remplie de vélo, elle va faire une pause durant l’internat et ensuite reprendre par la course. La famille a une grande place dans cette organisation.  Les priorités changent.  Hélène évoque le fait que se donner du temps pour une activité physique c’est se donner RDV à soi-même. Caler sa séance de sport est aussi important que s’offrir le temps d’un soin, ou un café avec une copine.  Elle fait bénéficier à ses patients, dans son activité de médecin, de conseils sur l’utilité de l’activité physique pour la bonne santé. Elle met en valeur le fait que même une activité minime est bénéfique.  En fermeture de l’épisode Hélène fait l’éloge de sa spécialité. Des propos chaleureux qui trouvent toute leur place dans le contexte actuel mouvementé de la médecine.  Allez l’écoutez et venez me dire ce que vous avez pensé de cet épisode!  Les maîtres mots de cet épisode: famille, organisation, priorités.  J’espère que cet épisode vous a plu, venez m’en dire plus en commentaires et en MP.  Faites circuler le podcast autour de vous, le meilleur moyen pour lui d’exister et de vivre longtemps.  Venez partager votre parcours perso, il inspirera des auditeurs! Et si vous connaissez quelqu’un qui connait quelqu’un (..) dont la relation avec le sport est en lune de miel, passion ou divorcée, dites le moi!  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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