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Localocratie

Localocratie
Author: Xavier Marichal
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© Xavier Marichal
Description
Regards croisés pour stimuler la démocratie locale
La démocratie fait partie de notre vie au quotidien : la qualité des trottoirs et artères que nous empruntons, la pédagogie de l’école primaire communale, les choix urbanistiques définissant l’allure de nos quartiers, la présence ou non de commerces dans tel quartier. Vivre dans une démocratie est généralement considéré comme une chance, surtout en comparaison avec d’autres régions du monde où sévissent des régimes forts, sans élection ou avec des élections biaisées. La presse, et de nombreux podcasts, aborde régulièrement ce sujet. Souvent pour mettre en évidence ses manquements, ses faiblesses, ses limites, quand ce n’est pas l’arrogance ou le ras-le-bol de certain·es élu·es. Ou s’inquiéter de ce qu’un·e citoyen·ne belge sur quatre serait prêt·e à y renoncer pour donner le pouvoir à un leader fort qui s’attaquerait enfin aux vrais problèmes. Il y est quasi toujours question des enjeux globaux, européens, nationaux. Jamais du niveau local, communal, que les spécialistes décrivent pourtant comme celui le plus proche des citoyen·nes. Comment la démocratie opère-t-elle (ou pas) au niveau local, celui des communes et des forces qui la composent ?
Ce podcast répond à la frustration que je ressens depuis que je suis devenu conseiller communal à voir ce sujet systématiquement oublié, mis de côté, passé derrière des enjeux plus grands, plus importants… tandis que de nombreu·ses citoyen·nes se détournent d’une vie politique qui ne s’intéresse plus à leurs vies.
Je choisis volontairement un entretien d'une demi-heure environ pour rencontrer différents profils de personnes qui s’impliquent ou s’intéressent aux enjeux locaux. J’espère ainsi, avec mes limites et questions, enrichir les débats et faire un pas pour rapprocher les citoyen·nes du niveau politique qui leur est le plus proche. Ce podcast entend vous offrir des regards croisés pour stimuler la démocratie locale, la localocratie, sans tabou ni langue de bois.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
22 Episodes
Reverse
Avant toute écoute, je ne peux que vous inviter à entendre l’intention derrière ce podcast, formalisée dans un épisode qui vous expose « d’où je parle ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous le connaissez certainement et, si vous écoutez ou regardez la RTBF, vous l’avez déjà entendu. Toujours clair et didactique, ne reculant devant aucun sujet, le journaliste Arnaud Ruyssen nous présente chaque semaine des synthèses sur différents enjeux de notre temps. Et tend son micro à des spécialistes ou des citoyen·nes pour récolter leurs avis sur les enjeux abordés.C’est à lui que j’ai souhaité tendre le micro pour ce premier épisode de Localocratie. Lui qui, entre autres émissions, a animé deux saisons du podcast « Démocratie en questions » et crée aujourd’hui chaque épisode du « Tournant ». Lui qui a rencontré des centaines de femmes et d’hommes politiques, étrangers ou belges, à l’échelon fédéral, régional ou local, ainsi que des myriades de chercheur·ses et des citoyen·nes.Avec Arnaud Ruyssen, ce premier épisode ouvrira le sujet de la démocratie locale, de certaines de ces spécificités, et de la question récurrente de l’implication citoyenne, allant de la rouspétance sur les réseaux sociaux à de la participation active, pas toujours la plus facile, ni la plus encouragée par notre système.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au sein d'une commune, la fonction de bourgmestre est assurément la plus connue, la plus visible. J'ai donc voulu aller écouter une personne exerçant cette fonction pour comprendre à la fois son rôle, et sa motivation. Le rôle est assurément multiple: création d'une majorité communale, contacts avec les citoyen·nes, implication dans la police locale, vision du développement de la commune, etc. Et derrière cela, quelle est la motivation sous-jacente, qu'est-ce qui fait que certaines et certains sont prêt·es à s'investir énormément dans un tel rôle?Alors, le micro de Localocratie est allé se promener à Andenne, à la rencontre de son bourgmestre, Claude Eerdekens. Elu à Seilles en 1970, il en deviendra bourgmestre l'année d'après, établissant ainsi le record wallon du bourgmestre le plus jeune: 23 ans. Aucune loi ne limitant le nombre de mandats, nous le retrouvons 52 ans plus tard car il est toujours bourgmestre d'Andenne: record wallon de longévité.Et oui ! D'abord à Seilles et ensuite à Andenne car entre les deux la fusion des communes de 1977 est passée par là. Autre sujet que nous allons évoquer succinctement pour savoir ce qu'il en retient, à l'heure où la Flandre a déjà opéré plusieurs fusions mais où le sujet reste sensible en Wallonie.Avec lui, ce deuxième épisode part à la rencontre d’un homme qui est passionné par sa commune au point d'y exercer 9 mandats successifs, et qui témoigne de la variété des sujets qu'un bourgmestre se doit d'adresser.Bonne écoute de Localocratie, épisode 2 : « Claude Eerdekens, bourgmestre: de la mise en action concrète » .Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Certes une commune est dirigée politiquement par le Collège des Bourgmestre et échevins, mais que pourrait celui-ci sans toute une administration communale pour mettre en oeuvre les décisions?A la tête de cette administration, se trouve la ou le directeur général (DG), anciennement secrétaire communal. Un chef d'orchestre administratif à côté du chef d'orchestre politique incarné par le ou la bourgmestre.Pour mieux comprendre ce rôle, et ses multiples enjeux, je suis allé à la rencontre de Charles Havard, expérimenté DG de la commune de Visé. Passionné par la chose communale, et sans langue de bois, il va nous présenter plusieurs aspects de la vie d'une commune, de la taille conséquente d'une administration communale avec une kyrielle de services différents, de sa relation équilibrée avec l'autorité politique.Loin du stéréotype d'une administration qui "ronronnerait" de manière bureaucratique, il nous parle d'imprévisibilité et principalement de réactivité, au service des citoyen·nes. Bonne écoute de Localocratie, épisode 3 : « Charles Havard - Réactivité, le maître-mot du directeur général » .Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après une étude en 2021 sur les stéréotypes et préjugés envers les aînés, Amnesty Belgique communiquait fin 2023 sur une brochure de "Recommandations et bonnes pratiques pour améliorer les droits des aîné·es au niveau communal". Avec la ferme intention d'interpeler à ce sujet les futures listes se présentant aux élections d'octobre 2024.Avec Localocratie, j'ai voulu approfondir ce regard externe. Et pour ce faire, j'ai proposé à Laurent Deutsch, responsable activisme et éducation aux droits humains chez Amnesty, de venir nous présenter la vision de son ONG et la manière dont ils envisagent la relation avec les autorités d'une commune.Avec lui, nous esquisserons d'abord les nombreux thèmes où une commune se mêle de droits fondamentaux, de l'enseignement à l'aménagement du territoire, du CPAS à l'accès à l'information. Il nous donnera ensuite des exemples concrets de la manière dont Amnesty veille à nouer des relations avec les responsables locaux, loin du style parfois agressif des interpellations sur les réseaux sociaux.Bonne écoute de Localocratie, épisode 4 avec Laurent Deutsch: "Amnesty, pour que les droits humains aient aussi leur place dans nos communes belges".Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retour sur un profil d'élu·e pour ce nouvel épisode : après un bourgmestre, je souhaitais tendre le micro de Localocratieà une échevine. Car le véritable pouvoir exécutif d'une commune, c'est l'ensemble du Collège des Bourgmestre et Echevins.Actuelle Échevine de l'Urbanisme, de l'Attractivité urbaine et de l'Emploi à la ville de Namur, Stéphanie Scailquin nous expose sa manière d'envisager son rôle. Sans ambages, elle nous parle de la manière dont les compétences se répartissent au sein d'un Collège et dont les décisions sont prises sur base d'un accord de majorité, traduit en déclaration de politique communale.Elle témoigne aussi de son ressenti sur les compétences à acquérir en cours de mandat, son armure face aux "y'a qu'à" et "faut qu'on", la manière d'être au service des citoyen·nes.Avec Stéphanie Scailquin, ce cinquième épisode de Localocratie poursuit la découverte du pilotage politique d'une commune, et des femmes et hommes qui s'y impliquent. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deuxième poste dit de "grade légal" au sein d'une commune, le ou la directrice financière assume une double fonction au sein de l'administration: d'une part veiller à la légalité des dépenses (ce que faisait déjà l'ancien rôle de "receveur communal"), d'autre part être la conseillère budgétaire et financière de la Commune et du Collège.Martine Rademaker exerce cette fonction à Oupeye, et explique très pédagogiquement les spécificités des finances communales : un budget qui est également une autorisation de dépenser mais qui doit normalement toujours être à l'équilibre, un budget qui se dédouble entre un budget ordinaire et un extraordinaire pour les investissements. Avec elle, nous creusons toutes ces spécificités qui balise la gestion démocratique et transparente d'une institution publique.Avec Martine Rademaker, ce sixième épisode de Localocratie poursuit la présentation de la gestion administrative d'une commune. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En septembre 2023, l'Union des Villes est des Communes de Wallonie publiait le résultat d'une grande étude sur les "blues des élus", le sentiment diffus de plus en plus de responsables locaux (bourgmestres, échevin·es ou président·es de CPAS) d'une perte de motivation corrélée à une difficulté croissante à exercer leur mandat.A l'université de Gand, le Professeur Tom Verhelst et son équipe de sciences politiques s'intéressent depuis longtemps à ce type de ressenti, et participent à de vastes enquêtes européennes sur le sujet. C'est ainsi qu'il peut affirmer que 30% des conseiller·es communaux en Wallonie se disent insatisfait·es de leur mandat, et que cela est encore plus marqué pour les conseiller·es de minorité que de majorité.Avec lui, Localocatie se penche sur l'impact que des citoyen·nes qui se mettent sur des listes électorales espèrent avoir, le sentiment qui ressort quelques années plus tard d'avoir réalisé -ou non- des choses concrètes, les difficultés d'accès à l'information, de temps à libérer, de rémunération éventuellement associée, de relations humaines. Avec un petit excursus vers les Pays-Bas, là où le bourgmestre n'est pas élu·e mais est un·e fonctionnaire désignée·e et qui ne fait pas partie du conseil communal !Bonne écoute de cette discussion qui, sur base du ressenti des élu·es-même, esquisse des pistes de réflexion pour améliorer notre démocratie locale. La discussion avec Tom Verhelst s'étant déroulée en néerlandais, il en existe également deux version en vidéo : l'une avec sous-titres en néerlandais, l'autre avec sous-titres en français.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après les rôles de Bourgmestre et échevin au sein du Collège communal, poursuite avec les autres membres du conseil communal, les "simples" conseiller·es.Première rencontre sur les trois consacrées à ce rôle, Saba Parsa est conseillère communale au sein du groupe de la majorité de sa commune. Avec elle, nous abordons ce rôle, parfois considéré comme ingrat, de support à un projet porté au front par d'autres. Nous allons dès lors explorer comment elle trouve sens dans ce rôle, du contact proche avec les citoyen·ne à une fonction de relais auprès du Collège, en passant par l'implication dans les intercommunales et diverses commissions.Avec Saba Parsa, ce huitième épisode de Localocratie entame la présentation des rôles moins visibles au sein du conseil communal. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deuxième rencontre de ce type, Olivier Vanham est conseiller communal, mais cette fois au sein de la minorité de sa commune. Avec lui, qui tient ce rôle depuis plusieurs législatures, nous partons à la découverte des motivations sous-jacentes à une fonction inhérente de notre système démocratique: car il n'y a pas de majorité sans qu'il y ait en face une minorité, ou opposition, qui fasse vivre le débat.Nous nous vouvoyons pendant la discussion, comme dans tout entretien de Localocratie, même si, en toute transparence, Olivier et moi nous connaissons depuis des années: nous nous sommes connus sur les bancs de l'école et des mouvements de jeunesse, et avons été cinq ans animateurs de la même troupe scoute.Avec Olivier Vanham, ce neuvième épisode de Localocratie aborde sans ambages son ressenti et son intérêt à siéger dans la minorité. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Troisième rencontre de ce type, Maurane Hogne est conseillère communale. Elle siège dans la minorité de sa commune mais là n'est pas la raison pour l'inviter au micro de Localocratie : Maurane est ce qu'on appelle une "candidate d'ouverture", et elle siège aujourd'hui comme "conseillère citoyenne". Cela signifie qu'elle n'a pas déclaré d'appartenance à un parti, et entend ainsi représenter tou·tes les citoyen·nes de sa commune.Convaincue que la politique ne se limite pas à un conseil communal, elle nous expose ses idées d'améliorations à apporter à notre système démocratique, tout en expliquant les difficultés auxquelles elle a dû faire face, du manque de formation aux réactions des autres élu·es.Avec Maurane Hogne, ce dixième épisode de Localocratie conclut un premier tour d'horizon des différents rôles tenus dans un conseil communal par celui endossé par une femme engagée de manière citoyenne. Bonne écoute !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A côté des services communaux, une deuxième institution occupe une place importante dans nos communes: le Centre Public d'Action Sociale (CPAS). Découverte de l'étendue des services rendus par un tel centre avec Mélanie Lazzari, directrice générale de celui d'Hannut.Car l'action sociale dépasse largement l'aide sociale, et à Hannut, le CPAS propose de nombreux services: aide familiale, livraisons de repas à domicile, insertion sociale, insertion professionnelle, crèche, maison de repos, résidence-service, et même une entreprise de travail adapté.Si chaque service est coordonné par une personne différente, Mélanie Lazzari nous parle de son rôle de directrice pour mettre de l'huile dans les rouages ainsi que la confiance à établir avec la présidence (politique) du CPAS afin de garder un cap cohérent ensemble. Bonne écoute de Localocratie, épisode 11 : « Mélanie Lazzari - Directrice de CPAS, les mains dans le cambouis ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Désigné·e politiquement, la ou le président·e de CPAS, comme son nom l'indique, préside les instances de cette institution, à savoir les différents comités de décision. D'où l'importance d'un travail de coordination et de dialogue.Présidente de celui de Gembloux, Isabelle Groessens nous parle de son approche, du travail à huis clos qui permet aux meilleures idées de ressortir, de la collaboration entre la ville (ou la commune) et le CPAS car les thématiques sociales sont réparties entre les deux institutions. Synergies d'autant plus importantes que l'image du CPAS auprès des citoyen·nes ne correspond pas toujours à la réalité.Elle nous parle de tout le travail de l'ombre accompli pour le bien-être de la population, et de son souci de valoriser et ce travail et la qualité des équipes de terrain qui le portent. Bonne écoute de Localocratie, épisode 12 : « Isabelle Groessens - Présidente de CPAS, travailler avec les partenaires ».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette première saison a eu pour objectif de mettre en évidence quelques-uns des grands rôles, des grandes fonctions qui encadrent la démocratie locale. Et donc l’organisation d’une Commune. Car les rôles politiques sont en train d’être réattribués suite aux élections. Petite synthèse explicative de ce qui s’est donc déroulé dans chaque commune depuis le dimanche 13 octobre, du dépouillement des votes à la constitution d'une majorité (et donc d'une minorité) avec bourgmestre, présidence de CPAS, et échevin·es.Bilan également de cette première saison, qui était à la fois mon premier essai dans cet exercice et l’occasion d’en apprendre plus sur ces sujets qui me passionnent: tout d’abord, il a fallu choisir des personnes, et ce n’est pas simple. Car je tenais à respecter plusieurs équilibres : femme-homme bien entendu, mais aussi des communes de tailles et de contextes différents (urbain-rural, provinces différentes…) sans oublier évidemment les couleurs politiques. Ce fut sans doute le point le plus difficile car il dépendait aussi de qui acceptait ou non mes invitations. Au final, j’aurai réussi à amener au micro des gens membres ou proches des 4 partis traditionnels de Wallonie, et également une approche citoyenne. Il faudra qu’un jour je complète avec le PTB. Et de chaque rencontre, qu’est-ce que je retiens ?Ce fut un plaisir de réaliser cette première saison de Localocratie en mettant en évidence tous ces rôles et ces points de vue, avec chaque fois de belles rencontres à la clé.Quant aux citoyen·nes, ils ne reviendront voter que dans 6 ans. Mais leur rôle ne s’arrête pas à ce seul vote : il y a de nombreuses manières de s’impliquer et d’influer sur la vie communale, des commissions instituées par la Commune à d’autres mécanismes. Ce sera le thème de la saison 2 de Localocratie qui démarrera en janvier 2025.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans la saison 2 de Localocratie!Après une première saison focalisée sur les grands rôles du fonctionnement communal, j'entends revenir dans cette saison 2 sur la base de la citoyenneté et de la manière dont nous, citoyennes et citoyens, interagissons avec notre commune, que ce soit pour l'influencer, décider ou co-décider, comprendre ou tout simplement s'informer de ce qui se passe autour de nous. Le micro de Localocratie va donc, plus qu'à la saison 1, aller vers des profils variés, citoyens, associations, chercheurs, qui tous à leur manière participent ou réfléchissent à ces enjeux locaux.Deux innovations seront également portées sur la forme:La première est que je veillerai à ce que chaque épisode reste inférieur à une demi-heure pour en faciliter l'écoute le temps d'un trajet ou d'un moment que vous parvenez à isoler.Le second sera le début de la diffusion de tous les épisodes sur un canal YouTube.Je vous donne donc rendez-vous dans quelques jours pour le premier épisode de cette saison 2 avec un invité qui porte un regard plus que particulier sur nos enjeux locaux, en la personne d'Olivier Hamant.Un podcast réalisé par Xavier Marichalhttps://localocratie.be/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez sans doute récemment entendu parler d'Olivier Hamant et du concept de "robustesse" qu'il présente à de nombreux endroits et à propos duquel il a écrit trois livres l'abordant sous différents angles. Nous ne re-définirons que très rapidement cette notion pour nous plonger dans le regard qu'elle apport sur la démocratie.En effet, dans ces livres et allocutions, j'avais trouvé qu'Olivier évoquait souvent des notions qui touchent à la démocratie, et au rôle que peuvent y jouer citoyen·nes et associations. Il décrit d'ailleurs le tissu associatif comme "le premier kilomètre de la démocratie".Lors d'un de ses derniers passages en Wallonie, j'ai donc eu l'opportunité de l'inviter 25 minutes devant le micro pour approfondir cela et mettre en perspective la manière dont nous, citoyen·nes, participons à la vie communale. Une introduction parfaite pour ce thème central dans la saison 2 de Localocratie. Bonne écoute !Un podcast réalisé par Xavier Marichalhttps://localocratie.be/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Professeur de philosophie sociale et politique, Vincent de Coorebyter nous aide à clarifier ce qui distingue différentes approches de l'implication citoyenne en politique.Démocratie représentative, participative ou directe conçoivent différemment la prise de responsabilité, et ce faisant la manière dont élu·es et citoyen·nes vont interagir, ou pas, pour qu'une décision soit prise.Bien poser ces cadres aide à mieux comprendre les degrés de confiance et de frustration qui oscillent de part et d'autre, et nous offre une clé d'interprétation intéressante pour les prochains épisodes de cette saison 2 de Localocratie.Un podcast réalisé par Xavier Marichalhttps://localocratie.be/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ancien échevin de la participation citoyenne à Grez-Doiceau, Pascal Goergen a amené sa commune à être reconnue comme "citoyenne".Démarche pionnière en Belgique francophone, le micro de Localocratie a voulu en savoir plus, notamment sur les 3 piliers qui ont été plébiscité comme "exemplaires": collaboration, transparence et engagement.Cette discussion est également l'occasion de mieux comprendre la volonté qui fait qu'une commune décide de prendre à bras le corps cette thématique de la participation citoyenne, ainsi que l'organisation et la structuration que cela nécessite.Un podcast réalisé par Xavier Marichalhttps://localocratie.be/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Citoyenne qui s'intéresse à la Politique (avec un grand P, au sens du vivre ensemble), Isabelle Caignet a décidé de s'impliquer dans sa commune et de contribuer activement à son développement, via un des mécanismes prévus à cet effet: les commissions consultatives.C'est ainsi qu'elle s'est d'abord proposée, rassurée par son expérience de Guide Nature, pour contribuer au Plan Communal de Développement de la Nature (PCDN) et devenir force de proposition pour améliorer la prise en compte de la biodiversité et d'autres aspects qui lui tiennent à coeur.Et puis elle s'est présentée pour la Commission Consultative de l'Aménagement du Territoire et de la Mobilité (CCATM). Cette assemblée émet des avis sur des dossiers liés au développement territorial au niveau local, dont les grands projets d'urbanisme. Une Commission qui est majoritairement composée de citoyennes et de citoyens, avec seulement un quart de ses membres issus du Conseil communal. Cet organisme, qui ne donne que des avis -consultatifs donc- au Collège communal qui décide ensuite, a été largement adopté en Wallonie: sur 262 communes environ 219 se sont dotées d'une CCATM selon l'UVCW.Avec Isabelle Caignet, ce dix-huitième numéro de Localocratie présente en deux épisodes une autre manière, sans politique partisane, de participer à la vie de sa commune. Et évoque en toute simplicité ce que cela implique, en temps et en relations humaines. Bonne écoute !Un podcast réalisé par Xavier Marichalhttps://localocratie.be/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Citoyenne qui s'intéresse à la Politique (avec un grand P, au sens du vivre ensemble), Isabelle Caignet a décidé de s'impliquer dans sa commune et de contribuer activement à son développement, via un des mécanismes prévus à cet effet: les commissions consultatives.C'est ainsi qu'elle s'est d'abord proposée, rassurée par son expérience de Guide Nature, pour contribuer au Plan Communal de Développement de la Nature (PCDN) et devenir force de proposition pour améliorer la prise en compte de la biodiversité et d'autres aspects qui lui tiennent à coeur.Et puis elle s'est présentée pour la Commission Consultative de l'Aménagement du Territoire et de la Mobilité (CCATM). Cette assemblée émet des avis sur des dossiers liés au développement territorial au niveau local, dont les grands projets d'urbanisme. Une Commission qui est majoritairement composée de citoyennes et de citoyens, avec seulement un quart de ses membres issus du Conseil communal. Cet organisme, qui ne donne que des avis -consultatifs donc- au Collège communal qui décide ensuite, a été largement adopté en Wallonie: sur 262 communes environ 219 se sont dotées d'une CCATM selon l'UVCW.Avec Isabelle Caignet, ce dix-huitième numéro de Localocratie présente en deux épisodes une autre manière, sans politique partisane, de participer à la vie de sa commune. Et évoque en toute simplicité ce que cela implique, en temps et en relations humaines. Bonne écoute !Un podcast réalisé par Xavier Marichalhttps://localocratie.be/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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