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A nos héros

Author: Marine Doll

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Description

Bienvenue sur le podcast A nos héros !
Le but ici ?
Mettre en avant des personnalités qui ont osé ; osé faire différemment et être pleinement acteur d'une vie alignée à leurs valeurs.
Je souhaite vous donner une bonne dose d'inspiration à travers les récits de mes invités pour mettre toujours plus d'amour, de sérénité et d'alignement dans votre vie.

Pour écouter sur Spotify : Lien ici (https://open.spotify.com/show/2qJvsz0xlVnVFshTtAt384) 

Pour écouter sur Apple Podcast : Lien ici (https://podcasts.apple.com/us/podcast/a-nos-h%C3%A9ros/id1734883251?uo=4) 
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26 Episodes
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En 2016, je rencontrais Olivier Mouthon, médiateur, pour la première fois. En raison d’un conflit avec mon conjoint, je l’avais sollicité afin d’avoir un œil externe sur la situation que nous vivions, comprendre le point de vue de chacun et j’avoue que j’espérais secrètement qu’il prendrait mon parti pour faire passer les messages que je n’arrivais pas à faire passer. Au lieu de ça, j’ai compris que je m’exprimais avec beaucoup d’injonctions paradoxales, par exemple « j’aimerai que spontanément tu fasses le choix d’être plus souvent avec moi », ce qui rendais la communication compliquée avec mon interlocuteur, en l’occurrence mon conjoint dans cette situation. Olivier Mouthon fait partie de ces personnes qui ont jalonné mon chemin et qui m’ont permis de grandir et d’évoluer. Sa passion pour son métier ainsi que son expertise dans la communication m’ont donné très envie de le recevoir sur ce podcast et je suis ravie qu’il ait accepté l’invitation. Dans cet épisode, nous avons surtout parlé de séparation parentale puisque c’est un des motifs de consultation les plus fréquents pour Olivier Mouthon. Une situation que j’ai par ailleurs vécu à titre personnel et qui, je pense, est intéressante à aborder sous l’angle de la médiation pour garder en-tête les points clés d’une « bonne séparation ». Olivier Mouthon insiste notamment sur l’importance de la responsabilité parentale en cas de conflit, qui implique le dépassement de ce qu’il décrit comme « sa petite guerre personnelle », pour aller dans le sens du besoin de sécurité des enfants et qui implique l’entente entre leurs deux parents pour permettre aux enfants d’évoluer dans un cadre bénéfique à leur développement. Un épisode qui m’a émue aux larmes lorsque nous avons parlé du déchirement vécu par les enfants lorsque les parents se séparent et que le conflit persiste et se durcit. Enfin, nous avons terminé cet épisode sur cette phrase pleine de sens, qui nous rappelle qu’il est inutile de vouloir changer l’autre, et que nous avons tout intérêt à déployer notre énergie dans ce qui nous concerne nous directement : « Je n’ai de pouvoir que sur moi-même ».Les références théoriques mentionnées dans l’échange sont évoquées de mémoire, en relation avec le contexte. Elles ne restituent pas précisément les définitions et commentaires de leurs auteurs.Lien vers le site internet d'Olivier Mouthon : https://entr-actes.ch/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Courant 2022, j’assistais à la conférence « À Table » de Philippe Ligron.Au programme ?Des messages pleins de bon sens sur notre comportement alimentaire, amenés avec beaucoup d’humour.Un sujet passionnant que Philippe Ligron maîtrise, puisqu’il est notamment chef cuisinier, historien gastronome, professeur de cuisine où il a, entre autres, enseigné à l’École Hôtelière de Lausanne pendant 26 ans, et chroniqueur radio.Lorsque nous nous sommes téléphonés avant cette interview, Philippe m’a brièvement parlé de son parcours et notamment d’une expérience traumatisante qu’il a vécue en 1986, au Liban, alors qu’il était chasseur parachutiste.Il m’en a parlé comme d’un événement capital qui lui a permis de devenir le Philippe Ligron d’aujourd’hui : un homme talentueux qui croque la vie à pleines dents et qui n’a pas peur de saisir les opportunités qui s’offrent à lui.Dans cet épisode, nous avons parlé de son parcours professionnel, d’une grande richesse, du hasard qui lui a permis de faire ses premiers pas sur scène, de l’acte de cuisiner, qu’il perçoit comme un geste d’amour envers soi-même, et de sa passion pour l’histoire de la gastronomie.C’est d’ailleurs avec l’histoire du baba au rhum que démarre cet épisode, une histoire que Philippe Ligron m’a racontée juste avant que nous démarrions l’enregistrement officiel de cet épisode et que j’avais à cœur de vous partager ici tant cette histoire est belle. Prochaines conférences et spectacles de Philippe Ligron :Spectacle « C’est moi le chef, non c’est moi ! » avec Nathalie Devantay :https://nathaliedevantay.ch/spectacles/Conférence-spectacle « Bon appétit » au théâtre Boulimie (Lausanne) :https://theatreboulimie.com/spectacle/bon-appetit/Compte Instagram :https://www.instagram.com/philippeligronHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Jacques Homberger est travailleur social hors-mur depuis 23 ans.Pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière.Passionné de cyclisme dès son plus jeune âge, il a plutôt pour ambition de devenir cycliste professionnel, projet qu’il abandonnera plus tard après des années de persévérance, faisant le constat qu’il n’était pas suffisamment talentueux pour reprendre ses mots.Sa carrière professionnelle démarre avec un CFC d’employé de commerce, grâce aux encouragements de son père de se mettre en action, peu importe la voie choisie.Peu de chose sont irréversibles et le parcours de Jean-Jacques en est bien la preuve !Employé dans une banque après son apprentissage, il découvre qu’il est naturellement doué dans la gestion des situations difficiles, avec des gens qui traversent des situations financières compliquées.Il décide donc vers l’âge de 26 ans de faire un stage dans le social puis de reprendre des études à temps plein sur 3 ans qui lui permettent d’obtenir le titre d’éducateur social.Son titre en poche, c’est dans l’espace public que Jean-Jacques décide d’aller à la rencontre des jeunes.Son but ? Faire en sorte que ces jeunes soient bien avec eux-mêmes en respectant les règles de la société.Dans cet interview il raconte de quelles manières il a réussi à créer des liens solides avec les jeunes de 12 à 25 ans qui s’exposent à des dérives de type délinquances, dépendances et peuvent tomber dans la dépression pour ne citer que quelques problématiques courantes.Il nous explique l’importance d’être authentique, une authenticité qui nécessite de se livrer, lui aussi, sur des aspects de sa vie privée.Comment dire aux jeunes de se livrer sur des aspects personnels de leur vie si nous ne le faisons pas nous-même, en choisissant où placer le curseur ? Pour Jean-Jacques, c’est du non-sens.Tout comme le fait d’inciter les jeunes à parler de leur vulnérabilité, si nous passons sous silence nos propres défis et difficultés dans la vie.Enfin, comment être crédible en encourageant les jeunes à se faire aider si nous ne nous faisons pas aider nous-même ?A ce sujet, Jean-Jacques constate que plus le professionnel est formé et diplômé, plus il arrive à demander de l’aide, ce qui pourrait pourtant sembler paradoxal.D’ailleurs, il a lui-même une supervision hebdomadaire avec un médecin psychiatre, ce qui contribue au perfectionnement de sa pratique ainsi qu’à l’équilibre émotionnel nécessaire à son bien-être.Les jeunes ne sont pas dupes « ils croient ce qu’ils voient » et lorsqu’ils voient Jean-Jacques à minuit- 1h du matin ou le soir de Noël dans la rue, ils sentent cet engagement sincère et un lien profond et solide peut se créer.Sur le sujet de la confidentialité, il nous explique que les jeunes sont souvent ouverts et proposent généralement d’eux même que leurs parents soient impliqués dans la prise en charge des travailleurs sociaux.D’ailleurs, Jean-Jacques qui a suivi une formation systémique en lien avec l’inclusion de la famille explique que la personne qui dysfonctionne est une sorte de « donneuse d’alerte » qui alerte sur le fait que quelque chose ne fonctionne pas à l’échelle de la famille.Le risque et l’erreur serait de considérer uniquement le « donneur d’alerte » sans considérer la systémie (famille ici) dans laquelle il évolue et qui a probablement un lien avec sa situation.Enfin, nous avons parlé des « routines bien-être » qu’il a mis en place pour prendre soin de lui car, comme il le rappelle, dans notre vie, dans notre travail, on est notre propre moteur donc il est important de s’occuper de soi avant de s’occuper des autres.C’est donc avec le vélo (qu’il n’a pas abandonné pour autant) et la course à pied que Jean-Jacques fait le vide et recharge les batteries.« Le seul but de la vie, c’est de vivre », c’est ce qu’il fait et transmet avec beaucoup de passion aux jeunes qu’il côtoie depuis plus de 20 ans.
Lorsque Sophie et Léonard se rencontrent en 2007 pour la première fois, ils n’imaginent pas la belle histoire qui les attend.Sophie, qui vient de terminer ses études et qui est dans une phase de réflexion professionnelle, est en vacances dans le sud de la France chez sa grande sœur pour la cueillette des fruits et a emporté son accordéon, que sa sœur l’encourage à utiliser pour jouer sur les terrasses du village de Sisteron.De son côté, Léonard est en vacances avec des copains au même endroit qu’où se trouve Sophie et, lui qui est musicien aussi, a pour objectif durant ses vacances de composer des nouveaux morceaux.Ils ne se connaissent pas.Ce fameux vendredi de 2007, Léonard, encouragé par ses copains, joue sur la place du marché puis s’installe ensuite sur une terrasse pour boire un verre.Lorsqu’il entend le son de l’accordéon depuis la terrasse où il se trouve, sa curiosité l’incite à aller voir qui est ce mystérieux musicien qui se produit au même endroit que lui, peu de temps avant.Et, c’est de Sophie dont il s’agit !Dans cet épisode, Sophie nous raconte comment cette rencontre improbable a débouché sur l’aventure Carrousel, qui dure aujourd’hui depuis 16 ans.De leur aventure parisienne en 2008 dans un 9m2 où Léonard a été admis suite à une bourse d’artistes proposée par le canton du Jura et qui leur a permis de composer leur premier album ensemble et d’accéder à de nombreux concerts par la suite.Sophie nous parle de ces opportunités qui se sont mises ensuite les unes après les autres sur leur route, avec cette devise qui l’accompagne souvent « le pire aurait été de ne pas le faire » ou encore « c’est maintenant ou jamais » et qui leur a permis de juste faire, sans savoir ce qui les attendrait derrière.Elle nous explique d’ailleurs cette philosophie par une image où, lorsqu’une porte s’offre à toi, tu as le choix de l’ouvrir ou pas et, si tu décides de l’ouvrir, tu auras peut-être 2 nouvelles portes que là encore, tu peux faire le choix d’ouvrir.De porte en porte, Sophie et Léonard ont mené l’aventure Carrousel jusqu’à leur 6ème album qui sort bientôt et de nombreux concerts partout à travers la Suisse, l’Europe et parfois même au-delà !Sophie nous livre aussi les coulisses de Carrousel, avec notamment la difficulté quant à la répartition des tâches entre elle et Léonard au moment de concrétiser leur 2ème album.Et de ce tournant au 3ème album où, eux qui étaient des adeptes du « do it yourself », ont commencé à s’entourer d’équipes professionnels.Elle nous parle aussi des ingrédients nécessaires à sa créativité pour écrire une nouvelle chanson et de la peur du rendement, frein à la créativité qu’elle arrive aujourd’hui à atténuer en se disant qu’au pire, elle et Léonard retourneraient dans le monde du salariat (et alors ?).Pour le moment, chacun des album produit leur a permis d’aller toujours plus loin, de se produire sur de nombreuses scènes, de réaliser plusieurs clips vidéos, de découvrir des publics différents et de partager ces morceaux qu’elle et Léonard mettent tant de cœur à créer. ---Pour découvrir les albums, clips et tournées de Carrousel :Site internet : https://www.carrousel-musique.com/Instagram : https://www.instagram.com/carrousel_officiel/YouTube : https://www.youtube.com/@carrousel-musiqueHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maude Mathys est une athlète de haut niveau qui, dans son palmarès, compte notamment les titres de championne du monde de kilomètre vertical 2022, 5x championne d’Europe de course en montagne et 7x championne suisse de course en montagne, rien que ça.Tout commence à l’âge de 9 ans, quand Maude rejoint un groupe d’athlétisme dans la région de Vevey.Elle aime se rendre aux entrainements surtout pour voir ses copines et prend peu à peu goût pour la compétition.Elle arrêtera l’athlétisme vers 18 ans et s’apercevra au fil de ses expériences que la course à pied, puis le trail, sont des disciplines qu’elle aime tout particulièrement et pour lesquelles elle est naturellement douée.D’abord suivie par un coach, elle nous explique dans cet épisode comment son expérience et la discipline qu’elle s’impose au quotidien lui permettent aujourd’hui d’avoir un socle solide sur lequel elle peut s’appuyer pour concourir des épreuves mondiales, européennes et suisses, sans coach !Elle qui était infirmière de métier a finalement pris la décision de quitter son emploi pour se consacrer pleinement à son rôle d’athlète professionnelle après la naissance de son 2ème enfant et suite à sa 1ère place au championnat d’Europe de course en montagne en Slovénie en 2017.Dans cet épisode, Maude se livre sur les coulisses de sa vie d’athlète et nous partage notamment :Ses plus grands succès avec par exemple cette course du championnat mondial de course en montagne où, à mi-parcous, elle était 13ème et a réussi à remonter pour terminer en 2ème placeL’état d’esprit qui l’accompagne dans cette aventure sportive jalonnée parfois de blessures et de déceptionsL’aspect financier de son métier d’athlète, qui ne lui rapportait rien au début et qu’elle a su développer grâce à des partenariats qu’elle a pu créer grâce à son réseauLe programme de ses entrainements, qu’elle varie afin d’éviter une sur sollicitation de certaines parties du corps qui favoriserait les blessuresLa manière dont elle arrive à concilier son rôle de maman et d’athlète professionnelle, en faisant preuve d’ingéniosité, d’aménagement de mobilier, de rigueur et de demande d’aideLe parcours de Maude incarne merveilleusement bien le principe des petits pas qui donne de grand résultat. Un épisode que je vous encourage donc vivement à écouter pour une grande dose d’inspiration Pour suivre Maude sur Instagram : https://www.instagram.com/maudemathysHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lorsque Pierre-Alain reprend le Domaine de la Perrole de son père, son activité agricole est orientée vers les grandes cultures, notamment de maïs et de blé. Il y travaille de la même manière que son père, c’est-à-dire avec des traitements chimiques employés pour assurer un certain rendement. Le tournant vers le bio s’opèrera quelques années plus tard, en 2009, lorsque Pierre-Alain décide de produire des légumes en plus de ces grandes cultures et de nourrir sa famille. Dans cet épisode, Pierre-Alain nous dévoile les coulisses de son métier d’agriculteur bio, très dépendant des conditions climatiques. Des défis qu’il rencontre entre autres avec le désherbage de ces champs, qui ne peut se faire mécaniquement que dans une certaine fenêtre temporelle et avec une météo sèche (problématique qui explique d’ailleurs probablement cet engouement pour le RoundUp, le fameux désherbant de Monsanto à base de glyphosate, une substance chimique classée probable cancérigène par le Centre International de Recherche sur la Cancer). Il nous explique la difficulté qu’il rencontre depuis 5 ans, où chaque année et en raison du dérèglement climatique, des pertes considérables sont à déplorer dans ses champs. Et nous parle aussi de son projet d’aller au-delà du bio, en pratiquant la biodynamie qui consiste en une philosophie qui respecte profondément la nature, la terre, la vie et où il ne s’agit non-pas de perfuser les légumes avec des vitamines et minéraux en raison de la pauvreté de la terre, mais de bel et bien nourrir la terre pour que celle-ci puisse à son tour nourrir les légumes. Nous avons également abordé le sujet des tomates insipides des supermarchés, qui quittent leur territoire (espagnol souvent) en étant encore vertes et finissent de mûrir dans des containers, problématique évitée lorsqu’on fait le choix d’un circuit court comme le préconise Pierre-Alain.----- Pour découvrir la Perrole et ses bons produits :Marché à la Ferme les mardis et jeudis de 15h à 18h30 et samedi de 9h à 13hPrésence sur les marchés d’Aigle, Sion, La Tour-de-Peilz et d’autres en fonctions des saisonsSite internet : pourlaperrole.chInstagram – Compte du domaine : https://www.instagram.com/laperrole/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette épisode débute avec un son qu'a composé Sébastien et qui a pour titre "Celebretions of life". Voici le lien YouTube pour l'écouter :https://youtu.be/SzjWj9QxBKY?si=yKnXJSu5XHsJfqo_Lorsque Sébastien découvre le handpan pour la première fois, cet instrument en forme de soucoupe volante, c’est le coup de foudre.Alors qu’il termine un concert de métal qu’il donne avec son groupe de l’époque, il tape pour la première fois sur cet instrument au son envoûtant et comprend qu’il a quelque chose à creuser.Il rejoindra d’abord un groupe puis deviendra artiste solo, allant même jusqu’à sortir un album, Fundamental, qui a vu le jour grâce notamment à une campagne de crowdfunding dont il nous parle dans cet épisode.Alors qu’il est de plus en plus connu sur la toile (ces premières vidéos ont fait des centaines de vue !), il donne de temps en temps des concerts et réalise, lors d’un concert donné seul sur une grande scène, que faire une carrière d’artiste solo sur la scène internationale n’est pas ce qu’il souhaite vraiment.Il va donc commencer à donner des cours, d’abord auprès de son cercle proche, dans son salon.Au fur et à mesure, les clients deviennent de plus en plus nombreux.Le salon n’est plus l’endroit adéquat pour donner ses workshops et la logistique liée à la location de handpan dans différents magasins pour donner ses cours devient trop contraignante.Sebastien fait donc acquisition d’un local juste à côté de chez lui et investit dans plusieurs handpan. Dans cet épisode, Sébastien revient sur son parcours, jalonné d’opportunités, de réflexions et de doutes, l’aspect financier étant souvent challengeant lorsqu’on est indépendant à plein temps. Pour retrouver les activités de Sébastien :Site internet pour acheter son album « Fundamental » : https://www.sebastienlittlestone.com/Site internet pour participer à ses workshops : https://www.handpanmusicschool.com/Instagram : https://www.instagram.com/handpanmusicschool/YouTube : https://www.youtube.com/c/S%C3%A9bastienLittlestoneSpotify : https://open.spotify.com/intl-fr/artist/79zjM9t5X4tEbJAc27LqGn?si=MATa4hUITrKXFI_B9WczPAHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans sa vie d’avant, Sara était éducatrice spécialisée et travaillait en foyer avec des personnes en situation de handicap, en Suisse.Aujourd’hui, elle est photographe et vit au Portugal avec son compagnon, professeur de surf.C’est en 2020 que Sara et son compagnon décide de partir voyager, sans date de retour.Dans ses valises, Sara emporte son appareil photo (une passion qu’elle a depuis ses 15 ans où elle reçoit son premier « vrai appareil photo ») et partage les clichés des paysages qu’elle découvre lors de ce périple.Lors d’un bref passage en Suisse, elle est sollicitée pour plusieurs mandats comme photographe, notamment pour des mariages, et découvre que la photographie pourrait être son métier.Plusieurs personnes de son entourage lui disent à quel point elle a du potentiel pour mettre en lumière les personnes qu’elle photographie, Sara ayant comme un don pour capter la beauté en chaque personne qu’elle photographie.Elle poursuit son voyage en Amérique centrale, avec cette impression désagréable d’avoir comme ouvert une porte lors de son passage en Suisse et de l’avoir refermée pour reprendre le projet initial de voyage.Malgré ce tiraillement, Sara et son compagnon vivent au jour le jour, en savourant pleinement l’instant présent pour juste « être ».C’est d’ailleurs ce qui lui permettra de connecter profondément avec qui elle est, une connexion à soi qu’elle n’a finalement jamais connu auparavant.En expérimentant ce nouvel état d’être, Sara a envie de partager cette expérience avec d’autres femmes, et c’est à travers la photographie qu’elle va pouvoir œuvrer pour cette nouvelle mission qui lui tient tant à cœur : Permettre aux femmes de connecter profondément avec qui elles sont, au-delà des vêtements, maquillages et poses choisies traditionnellement lors d’un shooting photo.Aujourd’hui, en plus de proposer des coaching photos en individuel, Sara propose des expériences profondes de connexion à soi qu’elle anime avec la photographie en partenariat avec d’autres femmes qui œuvrent dans des domaines de compétence complémentaires.Elle organisera d’ailleurs au printemps 2025 une nouvelle retraite Lumina, en Algarve.------Pour retrouver ses activités :Son site internet : https://simsphotographe.com/Son instagram : https://www.instagram.com/simsphotographe/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand Fanny se retrouve à Amsterdam avec son compagnon après son master en tourisme, elle espère secrètement développer une entreprise, mais quoi ?Lorsqu’un ami qui pratique le yoga lui explique l’expédition organisée par une boîte américaine qu’il prévoit de faire à travers le monde avec des digital nomad (=des personnes qui ont la possibilité de travailler de où ils le souhaitent) , Fanny sent le potentiel à développer un modèle allant dans ce sens.Plus ou moins au même moment, elle saisit l’opportunité de se rendre à Lisbonne pour participer à un programme d’incubation de start-up mis en place par le gouvernement portugais dans le but de relancer/dynamiser le tourisme.Lors de son étude du marché auprès des digital nomad qu’elle souhaite cibler avec son projet, elle relève 2 problématiques principales rencontrées par ceux-ci :Problème 1 : Les digital Nomad se sentent souvent seulsProblème 2 : Les logements ne sont souvent pas adaptés aux besoins des digital nomad car la connexion internet est mauvaiseElle décide donc de créer un modèle de co-living.Le principe ?Un lieu partagé en commun par plusieurs personnes désirant allier travail et ressourcement en nature.Le mentor qui chapeaute son projet dans le programme d’incubation à Lisbonne lui conseille de partir rapidement sur un prototype afin de tester aussi vite que possible ses hypothèses.Ça tombe bien !Fanny bénéficie d’un chalet appartenant à sa famille à Grimentz, à quelques mètres des pistes de ski et pouvant accueillir plusieurs personnes.8 ans plus tard, le modèle qui devait être un prototype pour tester ses hypothèses est devenu finalement le socle de son entreprise de co-living !Fanny lance donc Swiss Escape en 2016 et, 3 ans plus tard, c’est le Covid qui arrive…Gros down, la motivation et persévérance de Fanny est mise à rude épreuve.Tout doit fermer pendant plusieurs mois, Fanny sent de moins en moins la flamme pour ce projet devenu presqu’un peu « trop facile ».Elle et son compagnon décide de vivre la 2ème vague de confinement en Crête, puisqu’il s’agit d’un lieu chaud et ensoleillé même en fin et début d’année.Ce voyage personnel les amène finalement à développer un deuxième lieu de co-living, en Grèce donc cette fois-ci.Greek Escape est donc créé 4 ans après Swiss Escape et sans investissement puisque Fanny et son associé (qui est aussi son compagnon) trouve une solution permettant de louer des maisons en saison creuse, un modèle « gagnant-gagnant ».Durant tout ce parcours, Fanny prend peu à peu conscience de l’importance de prendre soin de son état d’esprit pour mener à bien son entreprise.Elle réalise que les histoires qu’elle se raconte au sujet de ce dont elle est capable influence directement sa réalité entrepreneuriale et peut parfois générer des blocages.Elle se fait donc coacher et acquiert une nouvelle connaissance « mindset » pour compléter ses connaissances axées plutôt jusqu’alors sur les stratégies.Aujourd’hui, en plus de gérer deux espaces de co-living, un en Grèce et un en Suisse, Fanny est à la tête du réseau Genuine Women de Lausanne et propose des coaching business pour transmettre toute la richesse de ses précieux enseignements.Un immense merci à elle pour les nombreuses pépites qu’elle partage dans cet épisode en toute authenticité.------Pour retrouver Fanny et ses activités :LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/fannycaloz/Site Internet : https://www.ourescape.co/Instagram : https://www.instagram.com/ourescape.co/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lorsque Valérie vit le décès de sa maman en 2017, elle n’imagine pas à quel point cet événement douloureux va être transformateur, un véritable « cadeau mal fagoté » pour reprendre les termes de Natacha Calestrémé.Valérie vivra d’abord une période de 3 ans où, il ne se passera à priori pas grand-chose, tant elle prendra soin de tenir à l’écart ce vide béant qu’elle a en elle suite à cette disparition.Et puis la vie ne lui a pas laissé le choix, comme souvent lorsqu’on adopte le comportement de l’autruche.Un soir, elle retrouve son conjoint inconscient dans la salle de bain (il va bien aujourd’hui) et là, tout ce qu’elle a soigneusement maintenu à l’écart depuis le décès de sa maman sort.Elle restera clouée au lit pendant 3 semaines, elle qui généralement adore bouger et croquer la vie à pleine dent.S’en est suivi différentes thérapies pour tenter d’apaiser la tristesse mais aussi la colère qu’elle ressentait vis-à-vis de sa maman.Dans cet épisode podcast, Valérie nous raconte avec beaucoup d’authenticité la manière dont elle a vécu son deuil, en constatant que ce dont elle aurait eu besoin à ce moment là n’existait pas sur le marché.C’est d’ailleurs ce qui lui a donné envie de créer « Val t’accompagne » qui propose des prestations de coaching sur-mesure pour l’accompagnement au deuil.Réalisant que nombre de ses clients n’étaient pas pleinement satisfaits de l’enterrement fait pour le défunt, Valérie a eu envie d’élargir ses prestations en proposant des cérémonies funéraires laïques pour lesquelles elle s’est formée suite à sa première formation de coach.Enfin, pour avoir une vision 360° degré de cet « univers de la mort » pour lequel elle se sent profondément investie, elle a également fait différents stages en entreprise de pompes funèbres et travaille aujourd’hui en parallèle de ses activités indépendantes et à temps partiel pour l’une d’elle.Dans cet épisode nous avons notamment parlé :Des histoires que l’on se raconte toutes et tous au sujet du mystère de la mort et des signes que l’on peut voir dans certains événements vécusDe la façon dont il est aujourd’hui possible de sortir du cadre en matière d’enterrement et de deuilDu métier d’agent funéraire (ou « croque-morts » pour reprendre les termes familiers) qui devient un métier de plus en plus populaire auprès des jeunes femmes Pour retrouver les activités de Valérie :Son site internet : https://accompagnement-deuil.ch/Son instagram : https://www.instagram.com/val_t_accompagne/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Célia est une femme positive et rayonnante qui a fondé le concept Woff, un concept inspiré des pays nordiques où elle met à l’honneur des aliments colorés, locaux et sains en composant des recettes mises en valeur avec beaucoup de style.L’aventure Woff démarre en 2019, peu avant le Covid qui mettra sa persévérance et créativité à rude épreuve.Célia travaille alors dans une multinationale et commence à tester son concept sur ses collègues, un concept où elle allie son goût pour la cuisine raffinée et le vélo puisque les livraisons se font à vélo.La maternité sera le déclencheur de ce grand saut sur le chemin entrepreneurial.Sa patente de restauration en poche, elle cherche alors une cuisine professionnelle peu exploitée qu’elle pourrait louer ou alors partager pour réduire les coûts même si, dès le départ, elle visualise une jolie boutique dans laquelle elle pourrait produire et vendre ses plats.Dans cet épisode, elle nous raconte la manière dont l’inspiration lui est venue pour le concept Woff et la façon dont elle lui a donné vie et donné de l’élan pour devenir une marque reconnue dans la région.Elle nous parle aussi de ses galères, notamment au moment d’ouvrir sa boutique à Vevey, où elle devient par ailleurs maman pour la 2ème fois.Elle nous explique aussi de quelle manière elle a constitué son équipe, avec un recrutement basé sur des qualités et valeurs personnelles plutôt que sur des compétences techniques.Et la façon dont elle gère son temps, elle qui a deux enfants, une boutique, une équipe, beaucoup de clients et un grand amour pour le sport.Enfin, elle nous partage les ingrédients qui lui semblent être ceux qui ont fait le succès qu’elle a aujourd’huiPour retrouver Célia et ses salades :Boutique Woff à Vevey, Rue des Deux-Marchés 18, 1800 VeveySite internet : https://www.woffood.ch/Instagram : https://www.instagram.com/woff_world.of.fresh.food/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce petit épisode hors-série avec ma fille est parti d'une sorte de jeu de rôle à table, alors que nous parlions de mon podcast.Elle adore les lapins que nous avons à la maison alors nous avons pris ce sujet qu'elle connaît bien pour en parler autour du micro.Amélia vous explique quelles sont les fausses croyances au sujet du lapin domestique.Elle vous explique également comment prendre soin de ces petites boules de poils, que ce soit au niveau alimentaire, activités à faire ou pas avec eux, soins des dents et des griffes et environnement le plus propice pour eux.Nous avons bien rigolé, elle s'est super prise au jeu et honnêtement, le résultat est vraiment cool (mais suis-je vraiment objective en tant que maman ?)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est grâce aux réseaux sociaux que j'ai connu cette femme pétillante et authentique.Marion aime la nature, les gens, les voyages et elle s'est forgée une vie à l'image de ce qui l'anime.Lors d'un échange d'il y a quelques mois, elle m'expliquait qu'elle menait sa vie de 6 mois en 6 mois, en se laissant carte blanche pour le lieu et les activités qu'elle mènerait 6 mois plus tard.Dans ce nouvel épisode podcast, Marion nous raconte notamment son rapport particulier avec la nature.Une sorte de rapport "enseignant-élève" qui l'aide à évoluer, à gagner en clarté, à se connaître, à se ressourcer.Un rapport qu'elle met d'ailleurs aussi à l'honneur même dans son "nom de scène" puisque Marion Parietti est enfait Marion Alam sur les réseaux sociaux.Alam qui signifie nature dans la culture balinaise, une culture qu'elle connait bien puisqu'elle y a vécu plusieurs mois.Dans cet épisode, Marion nous raconte aussi :Les déclencheurs qui lui ont fait prendre conscience de la valeur de la vie et ont été les moteurs de ce qu'elle a souhaité entreprendre pour mener une vie alignée à ces aspirationsLa foi et l'intention qu'elle a su cultiver, même lorsque, tout juste après s'être lancée pleinement en tant qu'indépendante, le Covid contraignait les gens au confinement, sans plus pouvoir participer à des activités telles que le proposait MarionLes coulisses de ses voyages et sa réflexion très intéressante autour de l'argent et de la manière de le dépenser (et de le gagner)Les routines qui font partie de son quotidien pour vibrer l'amour, la santé et la joieLes décisions irrationnelles qu'elle a su parfois prendre, notamment en arrêtant de donner des cours de yoga qui pourtant fonctionnaient très bien mais ne lui offraient pas la liberté dont elle rêvait-------Pour suivre Marion :Son site internet : https://marion-alam.com/Son podcast Ma Meilleure VieSon compte Instagram : @marion__alamHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jenny Quénard, je l’ai rencontrée pour la première fois en janvier 2024 lors de mon premier bain glacé.J’ai été touchée par cette jeune femme au parcours déjà si riche, atypique et inspirant.Jenny a fait ses études aux Etats-Unis, dans une académie de tennis où elle s’est formée sur le business et l’entrepreneuriat.Joueuse semi-professionnelle, la discipline, la persévérance, l’engagement, le dépassement de soi et la compétition faisait partie de son quotidien.Sa carrière professionnelle démarre dans une start-up de voyages dans laquelle elle rejoint et collabore avec la fondatrice.Jenny se donne corps et âme pour cette entreprise qui fait parler d’elle même dans le New York Times, Forbes ou encore Washington Post.A 24 ans, le rythme effréné de cette vie-là la mène au burn-out.Dans ce nouvel épisode podcast, Jenny nous explique comment elle a décidé de faire de sa santé une priorité.Elle partage les étapes par lesquelles elle est passée jusqu’à devenir instructrice Wim Hof à temps plein, chose plutôt rare dans ce domaine,Elle nous parle de ces exploits les plus fous et de la chose surprenante qu’elle estime être LA chose la plus folle qu’elle ait relevé jusqu’à présent.Elle nous explique aussi les détails de la méthode Wim Hof, qui consiste à « activer sa pharmacie interne » grâce au souffle, à l’exposition au froid et à l’engagement pour maintenir ensuite ces gestes simples et à la portée de tous, sur la durée.Aujourd’hui, Jenny mène une vie professionnelle alignée et épanouie en partageant toute ses connaissances et expériences de la méthode Wim Hof dans des lieux tous plus inspirants les uns que les autres.Avis aux intéressés : Prochain séjour Wim Hof au glacier d’Aletsch du 5 au 7.07.2024 Pour retrouver Jenny et ses activités :-        Prochains séjours et ateliers : https://www.wimhofmethod.com/instructors/jenny-quenard-2-        Compte Instagram : https://www.instagram.com/jennyquenard/Compte LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/jennyquenard/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tatiana a suivi un parcours qui a de quoi surprendre.Surdouée à l'école, elle termine sa scolarité à 16 ans en Russie et rêve de devenir médecin.Son frère, biologiste, l'encourage a étudié dans la même branche que lui et c'est finalement ce qu'elle choisira.Son doctorat de biologie en poche Tatiana poursuit une jolie carrière dans le monde de la pharma.Elle est mariée, a deux enfants, habite une jolie maison et pourtant, elle est de plus en plus malade, avec entre autre le syndrome de fatigue chronique qui rend difficile même le seul geste de soulever une poêle.Elle décide de se soigner, d'éplucher des articles scientifiques sur des alternatives aux traitements conventionnels, va chercher des réponses dans les thérapies énergétiques, auprès de chaman et décide dans la foulée de reprendre des études, cette fois-ci en psychologie.Pas à pas, elle va de mieux en mieux.Et elle se fait la promesse de partager avec les autres, tout ce qui a fonctionné pour elle, pour sa guérison.C'est ainsi qu'en 2020, elle quitte son emploi dans la pharma et se consacre à plein temps à l'accompagnement collectif et individuel des personnes désirant guérir, trouver des réponses, obtenir un résultat différent de celui qu'ils ont dans leur vie.Au fil du temps, elle s'est spécialisée en thérapie psychosomatique, une pratique qui consiste à lier corps et psychisme pour trouver la source des maux qui s'expriment sous forment de douleurs, inconforts, maladie.Elle découvre par ailleurs sur son chemin de guérison, qu'elle fait partie des 20% de la population dite "hypersensible" (ou personne à haute sensibilité pour reprendre les termes scientifiques).D'ailleurs, elle nous explique dans cette épisode que l'hypersensibilité existe chez de nombreuses espèces animales car c'est entre autre grâce à elle que les espèces survivent dans le temps !Elle nous décrit avec précisions les signes de l'hypersensibilité chez l'humain, une description qui pourra probablement aider de nombreuses personnes à mettre le doigt sur cette impression d'être différent.Et elle nous raconte comment la découverte de son hypersensibilité lui a permis de mener une vie très différente aujourd'hui.Enfin, elle nous parle d'une de ces dernières découvertes, le "jeu" Lila, qui a le pouvoir de faire basculer des destins....---Pour découvrir l'univers de Tatiana :Instagram, profil francophone : https://www.instagram.com/tatianagrudieva/Instagram, profil russophone : https://www.instagram.com/tatiana_grudieva/Facebook : https://www.facebook.com/tgrudieva/Prendre contact : https://taplink.cc/tatianagrudieva Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tanguy, c’est le « Robin en chef », autrement dit le responsable et co-fondateur de l’entreprise Robin des Fermes. Robin des fermes, c’est une entreprise qui a été créée dans le but de rendre justice aux producteurs locaux, de permettre à ces acteurs indispensables à notre alimentation de mieux vivre de leur précieux travail. Concrètement, Robin des Fermes propose de commander en ligne des paniers de fruits, légumes, œufs, pain, produits laitiers, viande, épicerie fine composés par des producteurs et artisans locaux et livrés à domicile. Lorsque j’ai connu Robin des Fermes pour la première fois en 2022, les prestations n’étaient proposées que dans la région du Jorat vers Servion. Aujourd’hui, Robin des Fermes est passé par un crowdfunding (levée de fonds) et a étendu ces prestations un peu partout en Suisse Romande. Dans ce nouvel épisode podcast, Tanguy partage avec beaucoup de transparence et d’authenticité son aventure Robin des fermes :Le « râteau » qu’il s’est pris au début de l’aventure lorsque la plateforme pour mettre en relation producteur et consommateur a été lancéeLes virages (ou pivots) qu’il a su prendre pour trouver un modèle qui permette une croissance saine, sans s’épuiser avec des tâches chronophages et énergivoresLa culture du feedback qu’il entretient avec les différents acteurs du projets (surtout producteurs et consommateurs) pour pouvoir améliorer sans cesse les prestations proposéesL’importance de l’entourage et des pauses, « break business », pour traverser la mer parfois déchainée de l’entrepreneuriat de façon plus sereineLe bootstrapping ou l’action de faire les choses par soi-même et avec les moyens du bord avant d’investir des montants parfois conséquents pour parfaire l’expérience client, enseignement qu’il a tiré de ses échecs du début J’ai eu beaucoup de plaisir à échanger avec Tanguy sur tous ces aspects de l’entrepreneuriat et j’espère que vous aurez vous aussi beaucoup de plaisir à écouter son histoire et ses précieux enseignements.  Pour découvrir l’univers Robin des Fermes :https://www.robindesfermes.ch/https://www.instagram.com/robindesfermes/ Pour suivre les aventures de Tanguy sur LinkedIn :https://www.linkedin.com/in/tanguy-ecoffey-12449943/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, j'ai l'honneur d'accueillir Sasha Melina, une femme dotée d'une sagesse comme il est rare d'en trouver.Elle nous explique son histoire, son enfance en Suisse où, chez elle, elle bénéficiait des enseignements de sa maman, thérapeute mais aussi de ses grands-mères qu'elle visitait en Colombie durant les vacances et de l'ouverture et la communication avec le monde du subtil, de l'invisible qu'elle expérimentait intra murosElle raconte comment ce qu'elle vivait et apprenait à la maison et en Colombie était tenu secret envers le monde extérieur, ici en occident.Sasha Melina a donc mené une "première vie" plutôt courante ici, en œuvrant dans le monde de la construction et en gérant notamment des chantiers à plusieurs millions.Et puis, elle a perdu sa maman et est devenue elle-même maman.Ces événements ont été les déclencheurs d'un changement de vie et de la volonté d'accompagner les humains vers la guérison et l'harmonie grâce aux précieux outils, compétences et talents qu'elle a su développer au cours de sa vie.Aujourd'hui, Sasha Melina propose une large palette d'accompagnements, qu'elle n'applique pas selon un protocole précis mais qu'elle adapte en fonction de là où se trouve la personne dans sa vie :Womb circle – Cacao sacré et chant intuitifDivers événements en partenariat avec des femmes sages et inspirantes d’Amérique latineDes accompagnements en lien avec la mortConnexion à son énergie féminineAccompagnement en tant que doulaBreathwork chamaniqueDans cet épisode, elle nous parle notamment :De sa définition du chamanisme et de la manière dont elle se définit, non pas comme une chaman, mais comme une accompagnante dans des phases de transitions de vieDe la manière dont son rapport à la mort a changé et de l'importance de considérer la manière dont on regarde la mort pour vivre une vie davantage alignée et harmonieuseDe la systémie entre "la grande Terre" (la planète sur laquelle on vit) et nous, humains, qui avons en nous comme une petite Terre -> nous sommes un organisme vivant dans un autre organisme vivant, plus grand et sommes tous interconnectésDes ponts qui se créent dans la fluidité et la légèreté entre l'Europe et l'Amérique Latine et qui permettent, pour nous occidentaux, de bénéficier de leurs enseignements et de leur sagesse De son quotidien de maman solo et d'entrepreneur à temps plein, où elle traverse parfois des zones de turbulences comme en ce début d'année où elle est tombée sérieusement maladeDe la manière dont il est possible de vivre l'instant présent, même dans les tâches les plus banales du quotidien-----Pour suivre ce que fait Sasha Melina :Instagram : https://www.instagram.com/sashamelina_ch/Site internet : https://www.sasha-melina.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Format un peu différent cette fois-ci... 20 minutes de condensé des pépites transmises par mes 8 premiers invités sur le podcast !Pépite #1 - Interview avec Julia : Considérer la possibilité de remplacer le OU par le ET lorsque des choix doivent parfois être faits Pépite #2 - Interview avec Coralie : Cultiver la croyance selon laquelle un cadeau (ou un bel apprentissage si tu préfères le dire comme ça) se cache derrière chaque événement difficile Pépite #3 - Interview avec Matthias : Entretenir des pensées qui me servent plutôt qui me desservent -> On a toujours le choix, la liberté et la responsabilité de penser ce qu’on veut.Ce que pensent les autres leur appartient, ils sont libres de penser ce qu'ils veulent et moi, j’ai le choix d’être impacté ou pas et de cultiver les pensées que je souhaite.Pépite #4 - Interview avec Matthias : Nourrir sa connaissance et sa culture, en profitant par exemple de tous les petits moments du quotidien (attentes, déplacements, pauses, ...) qui offrent l'espace pour se montrer curieux et s'instruire Pépite #5 - Interview avec Damien : Adopter une posture d'observateur de soi (méta) pour identifier les croyances, souvent créées durant l'enfance, qui me desservent et me rendent la vie difficile à l'âge adulte -> "Qu'est-ce que ça raconte quand je dis ou fais telle ou telle chose ?" Pépite #6 - Interview avec Marion : Faire confiance à ses talents innés et éviter la boulimie de formations pour se sentir légitime, la clé se trouve souvent dans l'action ! Pépite #7 - Interview avec Emilie : Suivre ses envies, même s'il n'y a pas de véritable but derrière. Le premier pas vers ses envies et souvent celui qui nous amène au-delà de ce qu'on pourrait imaginer...Pépite #8 - Interview avec Emilie :S'entourer de personnes positives et courageuses pour baigner dans les conditions les plus favorables au développement d'un projet et faire face aux embûches dans la solidarité et l'entraidePépite #9 – Interview avec Géraldine : "Part du principe que ce sera simple" / « Il n’y a pas d’échec tant qu’on ne s’est pas arrêté »Pépite #10 – Interview avec Lyell : Accepter l'échec comme une étape nécessaire dans tout apprentissage et savourer chaque nouveau pas de plus. - "Sur une slackline tu tombes tout le temps, t'échoues, t'es en échec en permanence"De nouveaux invités prendront la parole prochainement dans de nouveaux épisodes.En attendant, j'espère que ce condensé saura t'inspirer pour un alignement toujours plus fort dans ta vie 🤍Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du haut de ses 26 ans, Lyell a déjà un parcours riche et atypique qu'il nous livre dans cet épisode avec beaucoup d'authenticité.A 14 ans, il reçoit sa première slackline pour son anniversaire et, lui qui est sportif et qui a généralement de la facilité dans les sports qu'il entreprend, va se confronter à la difficulté de cette discipline."Sur une slackline tu tombes tout le temps, t'échoues, t'es en échec en permanence".Pourtant Lyell persévère et célèbre avec beaucoup de joie et de gratitude chaque pas de plus qu'il fait sur la slackline.La suite est assez impressionnante et vertigineuse :A 20 ans, Lyell devient slackliner à temps plein et se produit en spectacle et en compétition internationale partout à travers le mondeIl fait partie des meilleurs Trickliners du monde (slackline acrobatique)Il réalise des records en Suisse mais aussi à l'étranger, en parcourant par exemple une highline de 1.4 km dans les Grisons en SuisseIl crée son entreprise "Slackline Events" et fait partie d'une très faible minorité de personne à travers le monde qui vivent pleinement de la slacklineDans cet épisode, Lyell nous partage comment la vision de son métier a changé au fil des années. Lui qui était la seule ressource de son entreprise il y a encore quelque temps a su s'entourer, déléguer pour faire croître et donner de l'ampleur à Slackeline Events, la Sàrl qu'il a créé.Il nous raconte aussi avec beaucoup d'authenticité comment il a fait face aux difficultés financières rencontrées dans son entreprise à la fin de l'année 2023, avec une issue inattendue qu'il n'imaginait pas.Il nous explique comment la slackline lui a permis de développer le bon état d'esprit pour son parcours entrepreneurial, en acceptant l'échec comme une étape nécessaire dans tout apprentissage et en savourant chaque nouveau pas de plus.Il nous raconte aussi l'anecdote de la Fête des Vignerons où, en juin 2019, il traversait illégalement l'arène sur une ligne tendue sur un coup de tête qui lui aura finalement valu des retombées bien plus positives que négatives.---Pour retrouver Lyell et le détail de ses activités :Compte LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/lyell-grunberg/Site internet : https://www.slackline-events.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Géraldine fait partie de ces personnes qui ont beaucoup marqué mes premiers pas dans l’entrepreneuriat.Autodidacte, elle prononcera cette phrase qui m’aura permis d’aborder les choses d’une toute autre manière : « Pars du principe que ce sera simple ».Cette phrase puissante lui a permis de créer et pérenniser avec beaucoup de fluidité son entreprise de cosmétique naturelle Green Beauty Square, créée il y a 5 ans.Dans cet épisode podcast on parle notamment :Des situations désagréables que nous vivions parfois et qui peuvent être transformées en immense opportunité, comme ça a été le cas avec Géraldine qui a souffert d’un acné adulte sévère et qui a utilisé son expérience pour créer sa propre marque de cosmétiqueDe sa prise de conscience autour du fait que l’acné n’est qu’un symptôme qui indique que quelque chose dans le mode de vie semble ne pas être pleinement aligné, ce qui l'encourage encore aujourd'hui a abordé une approche holistique de la santé de la peauDe la manière dont sa gamme de cosmétique a pris vie, avec au départ des mixtures réalisées chez elle et testées sur elle et ses proches, en parallèle de son activité salariéeDe l’importance d’entreprendre par passion avec un « Pourquoi » profond auquel se connecter régulièrement pour faire face aux moments plus difficiles et cultiver un bon mindset/état d’espritD’échecs, souvent diabolisés et pourtant nécessaires dans le parcours entrepreneurial pour remettre en question des actions qui, si elles continuent d’être pareilles, amèneront toujours les mêmes résultats – « Il n’y a pas d’échec tant qu’on ne s’est pas arrêté »------Pour suivre ce que fait Géraldine :Compte Instagram geraldine_greenbeautysquareSite internet : https://greenbeautysquare.com/Podcast Green etc.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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