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A nos héros

A nos héros
Author: Marine Doll
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© Marine Doll
Description
Bienvenue sur le podcast A nos héros !
Le but ici ?
Mettre en avant des personnalités qui ont osé ; osé faire différemment et être pleinement acteur d'une vie alignée à leurs valeurs.
Je souhaite vous donner une bonne dose d'inspiration à travers les récits de mes invités pour mettre toujours plus d'amour, de sérénité et d'alignement dans votre vie.
Pour écouter sur Spotify : Lien ici (https://open.spotify.com/show/2qJvsz0xlVnVFshTtAt384)
Pour écouter sur Apple Podcast : Lien ici (https://podcasts.apple.com/us/podcast/a-nos-h%C3%A9ros/id1734883251?uo=4)
Pour écouter depuis mon site internet ; https://marinedoll.ch/
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
32 Episodes
Reverse
En 13 ans, Paola a construit la vie à laquelle elle aspire profondément.Directrice de l’Institut Pandorah qu’elle a créé en 2012, elle forme aujourd’hui des thérapeutes à diverses techniques de massage et est à la tête d’une équipe de plusieurs employés dans un lieu magique, décoré avec beaucoup de soin, en plein cœur de Lausanne.Son histoire démarre toutefois très simplement suite à un déclic qui se produit en regardant le film Avatar.Conquise par les images de cette forêt lumineuse, elle s’imagine un lieu magique qui ressemblerait à celui-ci et qu’elle pourrait créer pour accueillir les gens qui ont besoin de déconnexion pour une meilleure reconnexion.Elle décidera par ailleurs assez rapidement de proposer des massages dans ce lieu puisque c’est une chose qu’elle a toujours aimé faire.Pour minimiser les frais et les difficultés liés à la concrétisation de son idée, Paola choisira son premier lieu à 5 min. à pied de là où elle travaille, dans un local d’à peine 25 m2 qu’elle divisera en 2 pour sous-louer une 2ème cabine à une autre thérapeute.Dans ce tout petit espace qu’elle aménagera avec beaucoup de soin, elle installera notamment un ciel étoilé et créera ce cocon de bien-être qui permet une immersion dans un univers magique comme elle l’avait imaginé.En parallèle, elle négocie avec son employeur de l’époque pour faire des massages aux employés sur son temps de travail, ce qui lui permettra de se faire connaître auprès des centaines de collaborateurs présents dans l’entreprise, collaborateurs qui pour certains deviendront de fidèles clients.Dans cet épisode, Paola nous parle de la confiance, en elle et en la vie, qu’elle cultive peu importe les circonstances extérieures.Et des opportunités qu’elle a su saisir pour franchir les grandes étapes qui ont permis la croissance de son entreprise, en partant du principe que si d’autre sont parvenus à faire quelque chose avant elle, pourquoi pas elle ?C’est peut-être d’ailleurs cette confiance en elle et en la vie qui lui ont permis de foncer, d’avoir ces « coups de folie » comme elle les appelle qui l’ont portée plus loin, bien plus loin que ce qu’elle pensait.Paola nous explique aussi comment elle a ressenti à plusieurs reprises un « élan intérieur » , en étant « poussée à faire » et comment elle a réussi à passer au-delà des voix de la peur.Enfin pour reprendre ses mots : "En osant franchir ce que tu as envie de faire tu apprends, et apprendre c’est la vie."-------Pour découvrir les activités de Paola :Sur Instagram : https://www.instagram.com/institut_pandorah/Sur son site internet : https://pandorah.ch/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Camille est une multi-entrepreneure multi-passionnée, qui fait l’analogie avec une boule à facettes.Créatrice de la marque de bijoux ByTessa qu’elle a lancé en 2018 elle a plus récemment écrit un livre, « Ma vie parfaite de maman entrepreneure en dépression post-partum » et lancé le podcast « Bref c’est la vie ».Aujourd’hui maman de 2 enfants, Camille revient sur son parcours, ses choix, ses défis, qu’elle a su transformer pour avancer.Dans cet épisode, elle nous raconte notamment avec beaucoup d’authenticité comment la maternité l’a éloignée de qui elle était vraiment, la Camille pétillante, drôle, créative, qui fait les choses sans avoir peur et qui a tout à coup dû mettre tout son temps et son énergie au service de sa casquette de maman, avec tout l’impact que ce chamboulement a eu sur sa confiance en elle.En réalisant qu’elle s’est perdue, Camille décide de repartir à la conquête de sa confiance en elle et décide alors de se lancer des petits challenges qui font peur mais qui ne sont pas dangereux et commencera notamment par se raser la tête, faire des lives instagram, lancer un podcast.Ces challenges, elle les voit comme des événements ressources sur lesquels elle peut s’appuyer encore aujourd’hui en se rappelant qu’elle a osé.Elle raconte aussi comment les événements difficiles auxquels elle a fait face lui ont permis, rétrospectivement, d’ouvrir des portes vers de nouvelles opportunités.En donnant du sens à ce qu’elle a traversé, elle a su transformer ces événements et les voir comme de véritables cadeaux cachés.Elle revient aussi avec beaucoup d’émotion sur l’accompagnement de sa grande tante jusqu’à la mort qui a passé une bonne partie de sa vie à attendre sur des événements extérieurs, pour finalement arriver en fin de vie avec de nombreux regrets.Un exemple qui a donné le ton à Camille pour être pleinement actrice et créatrice de sa vie.Elle revient aussi sur son diagnostic TDAH qui lui a permis de mieux se comprendre et de retrouver son pouvoir en mettant en place des stratégies pour se préserver. Pour suivre ce que fait Camille :Instagram : https://www.instagram.com/bytessa.chInstagram Podcast : https://www.instagram.com/brefcestlavie_lepodcast/Site internet avec possibilité de commander son livre « Ma Vie Parfaite de maman entrepreneure en dépression post-partum » : https://www.bytessa.ch/livreYouTube : https://www.youtube.com/@bytessaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Céline a créé sa première entreprise, Unyque, il y a plus de 10 ans.Passionnée par ses activités autour de la visibilité web et de la photographie, elle nous explique comment son œil attentif aux belles choses lui a permis de traverser certaines épreuves avec plus de fluidité, en réussissant à en tirer des leçons pour sans cesse avancer.Elle raconte également comment l’écriture est un outil puissant qui lui a permis de prendre du recul sur certains événements, et comment la visibilité est avant tout un travail intérieur, avant même l’application de stratégies.Des stratégies toutefois pertinentes, particulièrement lorsqu’elles sont appliquées en lien avec son unicité et donc, son intériorité.Dans cet épisode, Céline nous parle de sa peur financière, mais aussi de sa peur de ne pas être à la hauteur, des peurs largement répandues dans le milieu entrepreneurial féminin, qu’elle parvient à surmonter grâce à la confiance en ses capacités qu’elle a su faire croître au fil des années.Elle explique aussi comment le fait de vivre intensément l’instant présent permet d’atténuer les peurs qui surgissent au fil du parcours entrepreneurial, et comment elle se « câble » sur le canal de l’amour, de la confiance et des opportunités, plutôt que de rester sur le canal de la peur.Il y a environ un an, son compagnon l’a rejointe dans l’entreprise Unyque, qu’elle a créée il y a plus de 10 ans, un pas immense qu’elle résume par l’équation 1 + 1 = 3.L’épisode s’est clôturé sur cette phrase qui rappelle la responsabilité que nous avons tous vis-à-vis de nos aspirations profondes :« Nos rêves n’ont que les limites qu’on leur donne. »Pour retrouver les activités de Céline :Son site web : https://unyque.ch/Son profil LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/celinemugnier/Son compte Instagram doglight (photographie du lien avec l'animal) : https://www.instagram.com/doglight_photographie/Son compte Instagram ecrin de vie (photographie pour graver des moments de vie) : https://www.instagram.com/ecrindevie/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis petite, Eva rêve d’être journaliste et se met en tête d’y arriver coûte que coûte.Les portes de l’université vont toutefois se fermer à elle, tout comme un concours organisé par la RTS.La déception est telle qu’Eva décide de s’accrocher à un nouveau rêve, celui de faire le tour du monde, seule, à vélo.Elle part donc au Portugal pour démarrer ce long voyage qu’elle prévoit de faire en 5 ans environ et s’aperçoit rapidement de la dangerosité de ce projet lorsqu’elle se retrouve sur son vélo sur les semi-autoroute portugaise.Son voyage est donc écourté et Eva revient en Suisse plus vite que prévu.Un accident de voiture dans lequel elle est responsable clôturera de manière d’autant plus abrupte ce rêve auquel elle s’était accrochée et la mènera toutefois à entreprendre une thérapie avec une sophrologue qui lui apportera de nombreuses pistes sur son comportement et l’amènera à développer une plus grande solidité intérieure.Eva se résigne donc à utiliser son bachelor HEG obtenu quelques années plus tôt pour travailler dans une entreprise.A côté, une opportunité s’offre à elle d’assister un photographe et elle réalise à quel point cette tâche l’anime et la passionne.Dans cet épisode, Eva nous raconte avec beaucoup d’authenticité :Son évolution vis-à-vis du regard des autres et sa faculté développée de pouvoir « re-décider »Sa pratique de la visualisation de la manifestation et de sa connexion à sa « météo interne » comme guide vers son cap vers ses aspirationsLa manière dont elle a réussi à se créer sa place en renouant avec son rêve de journaliste à travers son podcast et les reportages qu’elle réalise dans le cadre de son activité de photographeLa difficulté de mettre en avant son travail, par peur notamment d’écraser les autres et d’avoir une étiquette qui lui colle à la peau, en se mettant elle-même des barrières qui interfèrent avec sa visibilité et sa croissanceLes « re-décisions » qu’elle a su prendre à plusieurs reprises dans son parcours pour se sentir en alignement avec des mises à jour parfois nécessaire sur des décisions prises plus tôtNous avons clôturé cet entretien avec une phrase qu’Eva aime tout particulièrement et qui la guide lorsqu’il s’agit de faire des choix.Une phrase de Nelson Mandela qui dit : « Que vos choix soient le reflet de vos espoirs et non de vos peurs »Pour retrouver Eva sur les réseaux sociaux :Son compte Instagram : https://www.instagram.com/eva_creativemediaSon podcast The Jump : https://open.spotify.com/show/0WIbsXJ8Yl61smxMpAZUsa?si=b46377d5391a4e0fHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Damien fait partie de ces personnes au parcours atypique que j’aime tout particulièrement.N’ayant ni CFC ni parcours académique, il a su gravir les échelons au fil de sa carrière professionnelle, en se découvrant une véritable passion pour le management et pour l'humain.Et c’est chez McDonald’s que tout commence, ses parents lui ayant accordé une année sabbatique à la condition qu’il travaille.Il intègre donc McDo en tant qu’équipier dans le cadre d’un job étudiant et y restera six ans, faisant notamment l’expérience de gérer deux restaurants et de se former au management, tout cela à tout juste 20 ans.Les horaires de ce milieu étant relativement contraignants, Damien décide de se confronter pour la première fois de sa vie au marché du travail en postulant à des postes de manager en bureau.Mais les réponses qu’il reçoit sont quasi systématiquement négatives, le principal motif étant son absence de CFC d’employé de commerce.Jusqu’au jour où il rencontre l’un des directeurs de l’assurance maladie Assura, qui lui donne sa chance en choisissant de miser sur ses compétences en management plutôt que sur ses compétences techniques, qu’il pourra probablement développer par la suite.Aujourd’hui, après neuf ans chez Assura, Damien est devenu, entre autres, responsable optimisation et qualité dans les ressources humaines. Il partage avec nous sa vision du management, dont les points clés sont :La bienveillance, comme principe fondamental, à respecter quel que soit l’évolution de la relation avec les collaborateurs.L’authenticité du manager, c’est-à-dire l’alignement entre ses paroles et ses actes, essentielle pour instaurer un véritable lien de confiance.La reconnaissance, même de manière informelle, des points positifs et des axes d’amélioration. Par exemple, en partageant avec un collaborateur une simple phrase comme « Je suis content d’avoir passé cette journée avec toi » en fin de journée.Il nous raconte aussi comment son intuition guide les entretiens d’embauche qu’il mène, une intuition qu’il affine notamment en s’accordant du temps ressource pour se sentir bien dans ses baskets.J’ai réactivé le micro en fin d’interview, car nous avons continué à discuter après l’enregistrement. Damien m’a confié les doutes qu’il éprouve parfois quant à sa façon de gérer ses équipes, une confidence pleine d’authenticité que j’ai souhaité conserver dans cet enregistrement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laetitia est le genre de personne avec qui j’adore discuter et cet épisode regorge de pépites pour toutes les personnes qui souhaitent se lancer comme indépendant et donner de l’ampleur à ses projets.Débordante d’énergie et de passion, Laetitia a su bâtir une vie à l’image de ses aspirations profones, en créant notamment EduZen, une des écoles d'éducation canine les plus populaires de la région lausannoise.Dans ce nouvel épisode, elle nous raconte les débuts de son entreprise EduZen qui existe aujourd’hui depuis plus de 5 ans et qui a démarré avec une simple page Facebook et la volonté de ne dépenser que ce qui avait été gagné. Elle explique comment sa mission, son « pourquoi », d’aider toujours plus de chiens lui ont permis de surmonter différents obstacles en gardant toujours le cap vers cette destination qu’est la mission. Elle nous explique aussi comment jongler entre stabilité et flexibilité, deux valeurs fondamentales pour faire évoluer une entreprise, où la stabilité est à trouver dans la mission et la flexibilité dans le comment aller dans le sens de la mission. Pour elle, les ingrédients magiques de son développement sont notamment le fait de tester aussi rapidement que possible des hypothèses en passant à l’action et de s’entourer d’experts pour permettre une croissance plus rapide sur des sujets qu’elle ne maitrise pas. Elle nous parle aussi de l’importance qu’elle accorde au chemin plutôt qu’à la destination, en aimant essayer de nouvelles choses pour le côté entrainement plus que pour le côté résultat, et nous raconte notamment comment elle a été sélectionnée à l’unanimité par Genilem, une organisation qui accompagne les créateurs d’entreprise, alors qu’elle pensait n’avoir aucune chance.Les dernières minutes de l’entretien nous ont permis de parler de son emploi du temps auquel elle accorde une grande importance pour faire les choses qui la font vibrer et nous rappelle notre responsabilité face aux choix que nous avons.Une bonne dose d’inspiration que je suis heureuse de partager avec vous à travers cet épisode.----Pour retrouver Laetitia sur les réseaux sociaux :Instagram : https://www.instagram.com/eduzen.chYoutube : https://www.youtube.com/@EduzenFacebook : https://www.facebook.com/eduzen99/Podcast : https://www.podcastics.com/podcast/5521/link/Pour découvrir ses prestations : https://eduzen.ch/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2016, je rencontrais Olivier Mouthon, médiateur, pour la première fois. En raison d’un conflit avec mon conjoint, je l’avais sollicité afin d’avoir un œil externe sur la situation que nous vivions, comprendre le point de vue de chacun et j’avoue que j’espérais secrètement qu’il prendrait mon parti pour faire passer les messages que je n’arrivais pas à faire passer. Au lieu de ça, j’ai compris que je m’exprimais avec beaucoup d’injonctions paradoxales, par exemple « j’aimerai que spontanément tu fasses le choix d’être plus souvent avec moi », ce qui rendais la communication compliquée avec mon interlocuteur, en l’occurrence mon conjoint dans cette situation. Olivier Mouthon fait partie de ces personnes qui ont jalonné mon chemin et qui m’ont permis de grandir et d’évoluer. Sa passion pour son métier ainsi que son expertise dans la communication m’ont donné très envie de le recevoir sur ce podcast et je suis ravie qu’il ait accepté l’invitation. Dans cet épisode, nous avons surtout parlé de séparation parentale puisque c’est un des motifs de consultation les plus fréquents pour Olivier Mouthon. Une situation que j’ai par ailleurs vécu à titre personnel et qui, je pense, est intéressante à aborder sous l’angle de la médiation pour garder en-tête les points clés d’une « bonne séparation ». Olivier Mouthon insiste notamment sur l’importance de la responsabilité parentale en cas de conflit, qui implique le dépassement de ce qu’il décrit comme « sa petite guerre personnelle », pour aller dans le sens du besoin de sécurité des enfants et qui implique l’entente entre leurs deux parents pour permettre aux enfants d’évoluer dans un cadre bénéfique à leur développement. Un épisode qui m’a émue aux larmes lorsque nous avons parlé du déchirement vécu par les enfants lorsque les parents se séparent et que le conflit persiste et se durcit. Enfin, nous avons terminé cet épisode sur cette phrase pleine de sens, qui nous rappelle qu’il est inutile de vouloir changer l’autre, et que nous avons tout intérêt à déployer notre énergie dans ce qui nous concerne nous directement : « Je n’ai de pouvoir que sur moi-même ».Les références théoriques mentionnées dans l’échange sont évoquées de mémoire, en relation avec le contexte. Elles ne restituent pas précisément les définitions et commentaires de leurs auteurs.Lien vers le site internet d'Olivier Mouthon : https://entr-actes.ch/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Courant 2022, j’assistais à la conférence « À Table » de Philippe Ligron.Au programme ?Des messages pleins de bon sens sur notre comportement alimentaire, amenés avec beaucoup d’humour.Un sujet passionnant que Philippe Ligron maîtrise, puisqu’il est notamment chef cuisinier, historien gastronome, professeur de cuisine où il a, entre autres, enseigné à l’École Hôtelière de Lausanne pendant 26 ans, et chroniqueur radio.Lorsque nous nous sommes téléphonés avant cette interview, Philippe m’a brièvement parlé de son parcours et notamment d’une expérience traumatisante qu’il a vécue en 1986, au Liban, alors qu’il était chasseur parachutiste.Il m’en a parlé comme d’un événement capital qui lui a permis de devenir le Philippe Ligron d’aujourd’hui : un homme talentueux qui croque la vie à pleines dents et qui n’a pas peur de saisir les opportunités qui s’offrent à lui.Dans cet épisode, nous avons parlé de son parcours professionnel, d’une grande richesse, du hasard qui lui a permis de faire ses premiers pas sur scène, de l’acte de cuisiner, qu’il perçoit comme un geste d’amour envers soi-même, et de sa passion pour l’histoire de la gastronomie.C’est d’ailleurs avec l’histoire du baba au rhum que démarre cet épisode, une histoire que Philippe Ligron m’a racontée juste avant que nous démarrions l’enregistrement officiel de cet épisode et que j’avais à cœur de vous partager ici tant cette histoire est belle. Prochaines conférences et spectacles de Philippe Ligron :Spectacle « C’est moi le chef, non c’est moi ! » avec Nathalie Devantay :https://nathaliedevantay.ch/spectacles/Conférence-spectacle « Bon appétit » au théâtre Boulimie (Lausanne) :https://theatreboulimie.com/spectacle/bon-appetit/Compte Instagram :https://www.instagram.com/philippeligronHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Jacques Homberger est travailleur social hors-mur depuis 23 ans.Pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière.Passionné de cyclisme dès son plus jeune âge, il a plutôt pour ambition de devenir cycliste professionnel, projet qu’il abandonnera plus tard après des années de persévérance, faisant le constat qu’il n’était pas suffisamment talentueux pour reprendre ses mots.Sa carrière professionnelle démarre avec un CFC d’employé de commerce, grâce aux encouragements de son père de se mettre en action, peu importe la voie choisie.Peu de chose sont irréversibles et le parcours de Jean-Jacques en est bien la preuve !Employé dans une banque après son apprentissage, il découvre qu’il est naturellement doué dans la gestion des situations difficiles, avec des gens qui traversent des situations financières compliquées.Il décide donc vers l’âge de 26 ans de faire un stage dans le social puis de reprendre des études à temps plein sur 3 ans qui lui permettent d’obtenir le titre d’éducateur social.Son titre en poche, c’est dans l’espace public que Jean-Jacques décide d’aller à la rencontre des jeunes.Son but ? Faire en sorte que ces jeunes soient bien avec eux-mêmes en respectant les règles de la société.Dans cet interview il raconte de quelles manières il a réussi à créer des liens solides avec les jeunes de 12 à 25 ans qui s’exposent à des dérives de type délinquances, dépendances et peuvent tomber dans la dépression pour ne citer que quelques problématiques courantes.Il nous explique l’importance d’être authentique, une authenticité qui nécessite de se livrer, lui aussi, sur des aspects de sa vie privée.Comment dire aux jeunes de se livrer sur des aspects personnels de leur vie si nous ne le faisons pas nous-même, en choisissant où placer le curseur ? Pour Jean-Jacques, c’est du non-sens.Tout comme le fait d’inciter les jeunes à parler de leur vulnérabilité, si nous passons sous silence nos propres défis et difficultés dans la vie.Enfin, comment être crédible en encourageant les jeunes à se faire aider si nous ne nous faisons pas aider nous-même ?A ce sujet, Jean-Jacques constate que plus le professionnel est formé et diplômé, plus il arrive à demander de l’aide, ce qui pourrait pourtant sembler paradoxal.D’ailleurs, il a lui-même une supervision hebdomadaire avec un médecin psychiatre, ce qui contribue au perfectionnement de sa pratique ainsi qu’à l’équilibre émotionnel nécessaire à son bien-être.Les jeunes ne sont pas dupes « ils croient ce qu’ils voient » et lorsqu’ils voient Jean-Jacques à minuit- 1h du matin ou le soir de Noël dans la rue, ils sentent cet engagement sincère et un lien profond et solide peut se créer.Sur le sujet de la confidentialité, il nous explique que les jeunes sont souvent ouverts et proposent généralement d’eux même que leurs parents soient impliqués dans la prise en charge des travailleurs sociaux.D’ailleurs, Jean-Jacques qui a suivi une formation systémique en lien avec l’inclusion de la famille explique que la personne qui dysfonctionne est une sorte de « donneuse d’alerte » qui alerte sur le fait que quelque chose ne fonctionne pas à l’échelle de la famille.Le risque et l’erreur serait de considérer uniquement le « donneur d’alerte » sans considérer la systémie (famille ici) dans laquelle il évolue et qui a probablement un lien avec sa situation.Enfin, nous avons parlé des « routines bien-être » qu’il a mis en place pour prendre soin de lui car, comme il le rappelle, dans notre vie, dans notre travail, on est notre propre moteur donc il est important de s’occuper de soi avant de s’occuper des autres.C’est donc avec le vélo (qu’il n’a pas abandonné pour autant) et la course à pied que Jean-Jacques fait le vide et recharge les batteries.« Le seul but de la vie, c’est de vivre », c’est ce qu’il fait et transmet avec beaucoup de passion aux jeunes qu’il côtoie depuis plus de 20 ans.
Lorsque Sophie et Léonard se rencontrent en 2007 pour la première fois, ils n’imaginent pas la belle histoire qui les attend.Sophie, qui vient de terminer ses études et qui est dans une phase de réflexion professionnelle, est en vacances dans le sud de la France chez sa grande sœur pour la cueillette des fruits et a emporté son accordéon, que sa sœur l’encourage à utiliser pour jouer sur les terrasses du village de Sisteron.De son côté, Léonard est en vacances avec des copains au même endroit qu’où se trouve Sophie et, lui qui est musicien aussi, a pour objectif durant ses vacances de composer des nouveaux morceaux.Ils ne se connaissent pas.Ce fameux vendredi de 2007, Léonard, encouragé par ses copains, joue sur la place du marché puis s’installe ensuite sur une terrasse pour boire un verre.Lorsqu’il entend le son de l’accordéon depuis la terrasse où il se trouve, sa curiosité l’incite à aller voir qui est ce mystérieux musicien qui se produit au même endroit que lui, peu de temps avant.Et, c’est de Sophie dont il s’agit !Dans cet épisode, Sophie nous raconte comment cette rencontre improbable a débouché sur l’aventure Carrousel, qui dure aujourd’hui depuis 16 ans.De leur aventure parisienne en 2008 dans un 9m2 où Léonard a été admis suite à une bourse d’artistes proposée par le canton du Jura et qui leur a permis de composer leur premier album ensemble et d’accéder à de nombreux concerts par la suite.Sophie nous parle de ces opportunités qui se sont mises ensuite les unes après les autres sur leur route, avec cette devise qui l’accompagne souvent « le pire aurait été de ne pas le faire » ou encore « c’est maintenant ou jamais » et qui leur a permis de juste faire, sans savoir ce qui les attendrait derrière.Elle nous explique d’ailleurs cette philosophie par une image où, lorsqu’une porte s’offre à toi, tu as le choix de l’ouvrir ou pas et, si tu décides de l’ouvrir, tu auras peut-être 2 nouvelles portes que là encore, tu peux faire le choix d’ouvrir.De porte en porte, Sophie et Léonard ont mené l’aventure Carrousel jusqu’à leur 6ème album qui sort bientôt et de nombreux concerts partout à travers la Suisse, l’Europe et parfois même au-delà !Sophie nous livre aussi les coulisses de Carrousel, avec notamment la difficulté quant à la répartition des tâches entre elle et Léonard au moment de concrétiser leur 2ème album.Et de ce tournant au 3ème album où, eux qui étaient des adeptes du « do it yourself », ont commencé à s’entourer d’équipes professionnels.Elle nous parle aussi des ingrédients nécessaires à sa créativité pour écrire une nouvelle chanson et de la peur du rendement, frein à la créativité qu’elle arrive aujourd’hui à atténuer en se disant qu’au pire, elle et Léonard retourneraient dans le monde du salariat (et alors ?).Pour le moment, chacun des album produit leur a permis d’aller toujours plus loin, de se produire sur de nombreuses scènes, de réaliser plusieurs clips vidéos, de découvrir des publics différents et de partager ces morceaux qu’elle et Léonard mettent tant de cœur à créer. ---Pour découvrir les albums, clips et tournées de Carrousel :Site internet : https://www.carrousel-musique.com/Instagram : https://www.instagram.com/carrousel_officiel/YouTube : https://www.youtube.com/@carrousel-musiqueHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maude Mathys est une athlète de haut niveau qui, dans son palmarès, compte notamment les titres de championne du monde de kilomètre vertical 2022, 5x championne d’Europe de course en montagne et 7x championne suisse de course en montagne, rien que ça.Tout commence à l’âge de 9 ans, quand Maude rejoint un groupe d’athlétisme dans la région de Vevey.Elle aime se rendre aux entrainements surtout pour voir ses copines et prend peu à peu goût pour la compétition.Elle arrêtera l’athlétisme vers 18 ans et s’apercevra au fil de ses expériences que la course à pied, puis le trail, sont des disciplines qu’elle aime tout particulièrement et pour lesquelles elle est naturellement douée.D’abord suivie par un coach, elle nous explique dans cet épisode comment son expérience et la discipline qu’elle s’impose au quotidien lui permettent aujourd’hui d’avoir un socle solide sur lequel elle peut s’appuyer pour concourir des épreuves mondiales, européennes et suisses, sans coach !Elle qui était infirmière de métier a finalement pris la décision de quitter son emploi pour se consacrer pleinement à son rôle d’athlète professionnelle après la naissance de son 2ème enfant et suite à sa 1ère place au championnat d’Europe de course en montagne en Slovénie en 2017.Dans cet épisode, Maude se livre sur les coulisses de sa vie d’athlète et nous partage notamment :Ses plus grands succès avec par exemple cette course du championnat mondial de course en montagne où, à mi-parcous, elle était 13ème et a réussi à remonter pour terminer en 2ème placeL’état d’esprit qui l’accompagne dans cette aventure sportive jalonnée parfois de blessures et de déceptionsL’aspect financier de son métier d’athlète, qui ne lui rapportait rien au début et qu’elle a su développer grâce à des partenariats qu’elle a pu créer grâce à son réseauLe programme de ses entrainements, qu’elle varie afin d’éviter une sur sollicitation de certaines parties du corps qui favoriserait les blessuresLa manière dont elle arrive à concilier son rôle de maman et d’athlète professionnelle, en faisant preuve d’ingéniosité, d’aménagement de mobilier, de rigueur et de demande d’aideLe parcours de Maude incarne merveilleusement bien le principe des petits pas qui donne de grand résultat. Un épisode que je vous encourage donc vivement à écouter pour une grande dose d’inspiration Pour suivre Maude sur Instagram : https://www.instagram.com/maudemathysHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lorsque Pierre-Alain reprend le Domaine de la Perrole de son père, son activité agricole est orientée vers les grandes cultures, notamment de maïs et de blé. Il y travaille de la même manière que son père, c’est-à-dire avec des traitements chimiques employés pour assurer un certain rendement. Le tournant vers le bio s’opèrera quelques années plus tard, en 2009, lorsque Pierre-Alain décide de produire des légumes en plus de ces grandes cultures et de nourrir sa famille. Dans cet épisode, Pierre-Alain nous dévoile les coulisses de son métier d’agriculteur bio, très dépendant des conditions climatiques. Des défis qu’il rencontre entre autres avec le désherbage de ces champs, qui ne peut se faire mécaniquement que dans une certaine fenêtre temporelle et avec une météo sèche (problématique qui explique d’ailleurs probablement cet engouement pour le RoundUp, le fameux désherbant de Monsanto à base de glyphosate, une substance chimique classée probable cancérigène par le Centre International de Recherche sur la Cancer). Il nous explique la difficulté qu’il rencontre depuis 5 ans, où chaque année et en raison du dérèglement climatique, des pertes considérables sont à déplorer dans ses champs. Et nous parle aussi de son projet d’aller au-delà du bio, en pratiquant la biodynamie qui consiste en une philosophie qui respecte profondément la nature, la terre, la vie et où il ne s’agit non-pas de perfuser les légumes avec des vitamines et minéraux en raison de la pauvreté de la terre, mais de bel et bien nourrir la terre pour que celle-ci puisse à son tour nourrir les légumes. Nous avons également abordé le sujet des tomates insipides des supermarchés, qui quittent leur territoire (espagnol souvent) en étant encore vertes et finissent de mûrir dans des containers, problématique évitée lorsqu’on fait le choix d’un circuit court comme le préconise Pierre-Alain.----- Pour découvrir la Perrole et ses bons produits :Marché à la Ferme les mardis et jeudis de 15h à 18h30 et samedi de 9h à 13hPrésence sur les marchés d’Aigle, Sion, La Tour-de-Peilz et d’autres en fonctions des saisonsSite internet : pourlaperrole.chInstagram – Compte du domaine : https://www.instagram.com/laperrole/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette épisode débute avec un son qu'a composé Sébastien et qui a pour titre "Celebretions of life". Voici le lien YouTube pour l'écouter :https://youtu.be/SzjWj9QxBKY?si=yKnXJSu5XHsJfqo_Lorsque Sébastien découvre le handpan pour la première fois, cet instrument en forme de soucoupe volante, c’est le coup de foudre.Alors qu’il termine un concert de métal qu’il donne avec son groupe de l’époque, il tape pour la première fois sur cet instrument au son envoûtant et comprend qu’il a quelque chose à creuser.Il rejoindra d’abord un groupe puis deviendra artiste solo, allant même jusqu’à sortir un album, Fundamental, qui a vu le jour grâce notamment à une campagne de crowdfunding dont il nous parle dans cet épisode.Alors qu’il est de plus en plus connu sur la toile (ces premières vidéos ont fait des centaines de vue !), il donne de temps en temps des concerts et réalise, lors d’un concert donné seul sur une grande scène, que faire une carrière d’artiste solo sur la scène internationale n’est pas ce qu’il souhaite vraiment.Il va donc commencer à donner des cours, d’abord auprès de son cercle proche, dans son salon.Au fur et à mesure, les clients deviennent de plus en plus nombreux.Le salon n’est plus l’endroit adéquat pour donner ses workshops et la logistique liée à la location de handpan dans différents magasins pour donner ses cours devient trop contraignante.Sebastien fait donc acquisition d’un local juste à côté de chez lui et investit dans plusieurs handpan. Dans cet épisode, Sébastien revient sur son parcours, jalonné d’opportunités, de réflexions et de doutes, l’aspect financier étant souvent challengeant lorsqu’on est indépendant à plein temps. Pour retrouver les activités de Sébastien :Site internet pour acheter son album « Fundamental » : https://www.sebastienlittlestone.com/Site internet pour participer à ses workshops : https://www.handpanmusicschool.com/Instagram : https://www.instagram.com/handpanmusicschool/YouTube : https://www.youtube.com/c/S%C3%A9bastienLittlestoneSpotify : https://open.spotify.com/intl-fr/artist/79zjM9t5X4tEbJAc27LqGn?si=MATa4hUITrKXFI_B9WczPAHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans sa vie d’avant, Sara était éducatrice spécialisée et travaillait en foyer avec des personnes en situation de handicap, en Suisse.Aujourd’hui, elle est photographe et vit au Portugal avec son compagnon, professeur de surf.C’est en 2020 que Sara et son compagnon décide de partir voyager, sans date de retour.Dans ses valises, Sara emporte son appareil photo (une passion qu’elle a depuis ses 15 ans où elle reçoit son premier « vrai appareil photo ») et partage les clichés des paysages qu’elle découvre lors de ce périple.Lors d’un bref passage en Suisse, elle est sollicitée pour plusieurs mandats comme photographe, notamment pour des mariages, et découvre que la photographie pourrait être son métier.Plusieurs personnes de son entourage lui disent à quel point elle a du potentiel pour mettre en lumière les personnes qu’elle photographie, Sara ayant comme un don pour capter la beauté en chaque personne qu’elle photographie.Elle poursuit son voyage en Amérique centrale, avec cette impression désagréable d’avoir comme ouvert une porte lors de son passage en Suisse et de l’avoir refermée pour reprendre le projet initial de voyage.Malgré ce tiraillement, Sara et son compagnon vivent au jour le jour, en savourant pleinement l’instant présent pour juste « être ».C’est d’ailleurs ce qui lui permettra de connecter profondément avec qui elle est, une connexion à soi qu’elle n’a finalement jamais connu auparavant.En expérimentant ce nouvel état d’être, Sara a envie de partager cette expérience avec d’autres femmes, et c’est à travers la photographie qu’elle va pouvoir œuvrer pour cette nouvelle mission qui lui tient tant à cœur : Permettre aux femmes de connecter profondément avec qui elles sont, au-delà des vêtements, maquillages et poses choisies traditionnellement lors d’un shooting photo.Aujourd’hui, en plus de proposer des coaching photos en individuel, Sara propose des expériences profondes de connexion à soi qu’elle anime avec la photographie en partenariat avec d’autres femmes qui œuvrent dans des domaines de compétence complémentaires.Elle organisera d’ailleurs au printemps 2025 une nouvelle retraite Lumina, en Algarve.------Pour retrouver ses activités :Son site internet : https://simsphotographe.com/Son instagram : https://www.instagram.com/simsphotographe/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand Fanny se retrouve à Amsterdam avec son compagnon après son master en tourisme, elle espère secrètement développer une entreprise, mais quoi ?Lorsqu’un ami qui pratique le yoga lui explique l’expédition organisée par une boîte américaine qu’il prévoit de faire à travers le monde avec des digital nomad (=des personnes qui ont la possibilité de travailler de où ils le souhaitent) , Fanny sent le potentiel à développer un modèle allant dans ce sens.Plus ou moins au même moment, elle saisit l’opportunité de se rendre à Lisbonne pour participer à un programme d’incubation de start-up mis en place par le gouvernement portugais dans le but de relancer/dynamiser le tourisme.Lors de son étude du marché auprès des digital nomad qu’elle souhaite cibler avec son projet, elle relève 2 problématiques principales rencontrées par ceux-ci :Problème 1 : Les digital Nomad se sentent souvent seulsProblème 2 : Les logements ne sont souvent pas adaptés aux besoins des digital nomad car la connexion internet est mauvaiseElle décide donc de créer un modèle de co-living.Le principe ?Un lieu partagé en commun par plusieurs personnes désirant allier travail et ressourcement en nature.Le mentor qui chapeaute son projet dans le programme d’incubation à Lisbonne lui conseille de partir rapidement sur un prototype afin de tester aussi vite que possible ses hypothèses.Ça tombe bien !Fanny bénéficie d’un chalet appartenant à sa famille à Grimentz, à quelques mètres des pistes de ski et pouvant accueillir plusieurs personnes.8 ans plus tard, le modèle qui devait être un prototype pour tester ses hypothèses est devenu finalement le socle de son entreprise de co-living !Fanny lance donc Swiss Escape en 2016 et, 3 ans plus tard, c’est le Covid qui arrive…Gros down, la motivation et persévérance de Fanny est mise à rude épreuve.Tout doit fermer pendant plusieurs mois, Fanny sent de moins en moins la flamme pour ce projet devenu presqu’un peu « trop facile ».Elle et son compagnon décide de vivre la 2ème vague de confinement en Crête, puisqu’il s’agit d’un lieu chaud et ensoleillé même en fin et début d’année.Ce voyage personnel les amène finalement à développer un deuxième lieu de co-living, en Grèce donc cette fois-ci.Greek Escape est donc créé 4 ans après Swiss Escape et sans investissement puisque Fanny et son associé (qui est aussi son compagnon) trouve une solution permettant de louer des maisons en saison creuse, un modèle « gagnant-gagnant ».Durant tout ce parcours, Fanny prend peu à peu conscience de l’importance de prendre soin de son état d’esprit pour mener à bien son entreprise.Elle réalise que les histoires qu’elle se raconte au sujet de ce dont elle est capable influence directement sa réalité entrepreneuriale et peut parfois générer des blocages.Elle se fait donc coacher et acquiert une nouvelle connaissance « mindset » pour compléter ses connaissances axées plutôt jusqu’alors sur les stratégies.Aujourd’hui, en plus de gérer deux espaces de co-living, un en Grèce et un en Suisse, Fanny est à la tête du réseau Genuine Women de Lausanne et propose des coaching business pour transmettre toute la richesse de ses précieux enseignements.Un immense merci à elle pour les nombreuses pépites qu’elle partage dans cet épisode en toute authenticité.------Pour retrouver Fanny et ses activités :LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/fannycaloz/Site Internet : https://www.ourescape.co/Instagram : https://www.instagram.com/ourescape.co/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lorsque Valérie vit le décès de sa maman en 2017, elle n’imagine pas à quel point cet événement douloureux va être transformateur, un véritable « cadeau mal fagoté » pour reprendre les termes de Natacha Calestrémé.Valérie vivra d’abord une période de 3 ans où, il ne se passera à priori pas grand-chose, tant elle prendra soin de tenir à l’écart ce vide béant qu’elle a en elle suite à cette disparition.Et puis la vie ne lui a pas laissé le choix, comme souvent lorsqu’on adopte le comportement de l’autruche.Un soir, elle retrouve son conjoint inconscient dans la salle de bain (il va bien aujourd’hui) et là, tout ce qu’elle a soigneusement maintenu à l’écart depuis le décès de sa maman sort.Elle restera clouée au lit pendant 3 semaines, elle qui généralement adore bouger et croquer la vie à pleine dent.S’en est suivi différentes thérapies pour tenter d’apaiser la tristesse mais aussi la colère qu’elle ressentait vis-à-vis de sa maman.Dans cet épisode podcast, Valérie nous raconte avec beaucoup d’authenticité la manière dont elle a vécu son deuil, en constatant que ce dont elle aurait eu besoin à ce moment là n’existait pas sur le marché.C’est d’ailleurs ce qui lui a donné envie de créer « Val t’accompagne » qui propose des prestations de coaching sur-mesure pour l’accompagnement au deuil.Réalisant que nombre de ses clients n’étaient pas pleinement satisfaits de l’enterrement fait pour le défunt, Valérie a eu envie d’élargir ses prestations en proposant des cérémonies funéraires laïques pour lesquelles elle s’est formée suite à sa première formation de coach.Enfin, pour avoir une vision 360° degré de cet « univers de la mort » pour lequel elle se sent profondément investie, elle a également fait différents stages en entreprise de pompes funèbres et travaille aujourd’hui en parallèle de ses activités indépendantes et à temps partiel pour l’une d’elle.Dans cet épisode nous avons notamment parlé :Des histoires que l’on se raconte toutes et tous au sujet du mystère de la mort et des signes que l’on peut voir dans certains événements vécusDe la façon dont il est aujourd’hui possible de sortir du cadre en matière d’enterrement et de deuilDu métier d’agent funéraire (ou « croque-morts » pour reprendre les termes familiers) qui devient un métier de plus en plus populaire auprès des jeunes femmes Pour retrouver les activités de Valérie :Son site internet : https://accompagnement-deuil.ch/Son instagram : https://www.instagram.com/val_t_accompagne/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Célia est une femme positive et rayonnante qui a fondé le concept Woff, un concept inspiré des pays nordiques où elle met à l’honneur des aliments colorés, locaux et sains en composant des recettes mises en valeur avec beaucoup de style.L’aventure Woff démarre en 2019, peu avant le Covid qui mettra sa persévérance et créativité à rude épreuve.Célia travaille alors dans une multinationale et commence à tester son concept sur ses collègues, un concept où elle allie son goût pour la cuisine raffinée et le vélo puisque les livraisons se font à vélo.La maternité sera le déclencheur de ce grand saut sur le chemin entrepreneurial.Sa patente de restauration en poche, elle cherche alors une cuisine professionnelle peu exploitée qu’elle pourrait louer ou alors partager pour réduire les coûts même si, dès le départ, elle visualise une jolie boutique dans laquelle elle pourrait produire et vendre ses plats.Dans cet épisode, elle nous raconte la manière dont l’inspiration lui est venue pour le concept Woff et la façon dont elle lui a donné vie et donné de l’élan pour devenir une marque reconnue dans la région.Elle nous parle aussi de ses galères, notamment au moment d’ouvrir sa boutique à Vevey, où elle devient par ailleurs maman pour la 2ème fois.Elle nous explique aussi de quelle manière elle a constitué son équipe, avec un recrutement basé sur des qualités et valeurs personnelles plutôt que sur des compétences techniques.Et la façon dont elle gère son temps, elle qui a deux enfants, une boutique, une équipe, beaucoup de clients et un grand amour pour le sport.Enfin, elle nous partage les ingrédients qui lui semblent être ceux qui ont fait le succès qu’elle a aujourd’huiPour retrouver Célia et ses salades :Boutique Woff à Vevey, Rue des Deux-Marchés 18, 1800 VeveySite internet : https://www.woffood.ch/Instagram : https://www.instagram.com/woff_world.of.fresh.food/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce petit épisode hors-série avec ma fille est parti d'une sorte de jeu de rôle à table, alors que nous parlions de mon podcast.Elle adore les lapins que nous avons à la maison alors nous avons pris ce sujet qu'elle connaît bien pour en parler autour du micro.Amélia vous explique quelles sont les fausses croyances au sujet du lapin domestique.Elle vous explique également comment prendre soin de ces petites boules de poils, que ce soit au niveau alimentaire, activités à faire ou pas avec eux, soins des dents et des griffes et environnement le plus propice pour eux.Nous avons bien rigolé, elle s'est super prise au jeu et honnêtement, le résultat est vraiment cool (mais suis-je vraiment objective en tant que maman ?)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est grâce aux réseaux sociaux que j'ai connu cette femme pétillante et authentique.Marion aime la nature, les gens, les voyages et elle s'est forgée une vie à l'image de ce qui l'anime.Lors d'un échange d'il y a quelques mois, elle m'expliquait qu'elle menait sa vie de 6 mois en 6 mois, en se laissant carte blanche pour le lieu et les activités qu'elle mènerait 6 mois plus tard.Dans ce nouvel épisode podcast, Marion nous raconte notamment son rapport particulier avec la nature.Une sorte de rapport "enseignant-élève" qui l'aide à évoluer, à gagner en clarté, à se connaître, à se ressourcer.Un rapport qu'elle met d'ailleurs aussi à l'honneur même dans son "nom de scène" puisque Marion Parietti est enfait Marion Alam sur les réseaux sociaux.Alam qui signifie nature dans la culture balinaise, une culture qu'elle connait bien puisqu'elle y a vécu plusieurs mois.Dans cet épisode, Marion nous raconte aussi :Les déclencheurs qui lui ont fait prendre conscience de la valeur de la vie et ont été les moteurs de ce qu'elle a souhaité entreprendre pour mener une vie alignée à ces aspirationsLa foi et l'intention qu'elle a su cultiver, même lorsque, tout juste après s'être lancée pleinement en tant qu'indépendante, le Covid contraignait les gens au confinement, sans plus pouvoir participer à des activités telles que le proposait MarionLes coulisses de ses voyages et sa réflexion très intéressante autour de l'argent et de la manière de le dépenser (et de le gagner)Les routines qui font partie de son quotidien pour vibrer l'amour, la santé et la joieLes décisions irrationnelles qu'elle a su parfois prendre, notamment en arrêtant de donner des cours de yoga qui pourtant fonctionnaient très bien mais ne lui offraient pas la liberté dont elle rêvait-------Pour suivre Marion :Son site internet : https://marion-alam.com/Son podcast Ma Meilleure VieSon compte Instagram : @marion__alamHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jenny Quénard, je l’ai rencontrée pour la première fois en janvier 2024 lors de mon premier bain glacé.J’ai été touchée par cette jeune femme au parcours déjà si riche, atypique et inspirant.Jenny a fait ses études aux Etats-Unis, dans une académie de tennis où elle s’est formée sur le business et l’entrepreneuriat.Joueuse semi-professionnelle, la discipline, la persévérance, l’engagement, le dépassement de soi et la compétition faisait partie de son quotidien.Sa carrière professionnelle démarre dans une start-up de voyages dans laquelle elle rejoint et collabore avec la fondatrice.Jenny se donne corps et âme pour cette entreprise qui fait parler d’elle même dans le New York Times, Forbes ou encore Washington Post.A 24 ans, le rythme effréné de cette vie-là la mène au burn-out.Dans ce nouvel épisode podcast, Jenny nous explique comment elle a décidé de faire de sa santé une priorité.Elle partage les étapes par lesquelles elle est passée jusqu’à devenir instructrice Wim Hof à temps plein, chose plutôt rare dans ce domaine,Elle nous parle de ces exploits les plus fous et de la chose surprenante qu’elle estime être LA chose la plus folle qu’elle ait relevé jusqu’à présent.Elle nous explique aussi les détails de la méthode Wim Hof, qui consiste à « activer sa pharmacie interne » grâce au souffle, à l’exposition au froid et à l’engagement pour maintenir ensuite ces gestes simples et à la portée de tous, sur la durée.Aujourd’hui, Jenny mène une vie professionnelle alignée et épanouie en partageant toute ses connaissances et expériences de la méthode Wim Hof dans des lieux tous plus inspirants les uns que les autres.Avis aux intéressés : Prochain séjour Wim Hof au glacier d’Aletsch du 5 au 7.07.2024 Pour retrouver Jenny et ses activités :- Prochains séjours et ateliers : https://www.wimhofmethod.com/instructors/jenny-quenard-2- Compte Instagram : https://www.instagram.com/jennyquenard/Compte LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/jennyquenard/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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