DécouvrirIn the food for Love
In the food for Love

In the food for Love

Auteur: Prisma Media

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Description

Bienvenue dans In The food for love. Un podcast sur des histoires de famille et de traditions, des histoires qui se suivent et se recommencent.

La gastronomie évolue, les savoir-faires restent. Ils ont la saveur du terroir, portent la fierté d'une région et de ceux qui la composent. De ces produits développés pendant des siècles, et que l'on prend le temps, encore aujourd'hui, de produire comme l'ont fait ceux avant nous.

Pour GEO, Chloé va à la rencontre de ceux qui font la variété du terroir français.

Car la meilleure façon d'apprécier la gastronomie française, c'est encore d'écouter ceux qui la font, ceux qui l'aiment, ceux qui la réinventent au quotidien.

14 Episodes
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Pour lire notre nouvel épisode cliquez sur ce lien bit.ly/2Vs1bg9Travaillée en bio-dynamie pendant plus de vingt ans, la Ferme des Vignes, de plus de 30 hectares de prairie au coeur du Morvan, avait failli être abandonnée faute de repreneur. C’était sans compter sur l’arrivée d’Olivier Cattenoz et de sa femme Julie, qui pour valoriser ces prairies et la forêt en friche environnante avaient décidé d’élever des chèvres et des brebis pour faire du fromage. Aujourd’hui, c’est en harmonie avec le parc sauvage du Morvan qu’Olivier et son associé Vincent élèvent un troupeau de quarante chèvres, vingt brebis et trois vaches. La Ferme des Vignes, c’est la démonstration d’une agriculture qui se fait avec raison, mesure, et en accord avec le terroir. Un épisode écrit et réalisé par Chloé Wibaux pour GEO.
Sylvain Petit exerce le métier, millénaire mais aujourd’hui quasiment disparu, de saucier ou vinaigrier. Au XXème siècle, avec le développement de machines pouvant produire des milliers de litres de vinaigre en 24h00, la technique ancestrale de production de vinaigre a quasiment disparu. Sylvain Petit a décidé de la faire revivre et ne s’est pas arrêté en si bon chemin : à vinaigre de qualité, moutarde d’exception. Comme on ne change pas une équipe qui gagne, il a reconstruit avec l’aide des artisans de sa région un moulin à moutarde à l’ancienne et a commencé à cultiver ses propres graines de moutarde. Aujourd’hui, sa moutarde est reconnue par les chefs comme l’une des meilleures du monde. Un épisode écrit et réalisé par Chloé Wibaux.Références : Sylvain Petit - ES VinaigrerieLe Col07530 Aizachttp://esvinaigrerie.free.fr/
Niché au creux des collines et des crêtes d’Espelette, Gilbert et Véronique Darthayette produisent un piment rouge imprégné de la montagne et du terroir du Pays Basque. Soignés et traités naturellement de la semence des graines de piment jusqu’à maturation, les piments sont ensuite sélectionnés et cueillis à la main, transformés et cuisinés finement pour donner la poudre de piment d’Espelette, aujourd’hui encore la seule épice AOP labellisée en France. Un épisode écrit et réalisé par Chloé WibauxGilbert et Véronique DarthayetteAtelier BipertegiaTorreseneko BideaEspelette (64)www.bipertegia.com05 59 93 83 76contact@bipertegia.com
À Plougastel, on traite la fraise comme l’or rouge qu’elle a toujours été. Elle est précieuse, ne doit pas être trop manipulée, et doit être mangée dans les 24h00 après cueillette. Pour Aude et Benoit Cuzon, la fraise est un produit à cultiver dans le respect des traditions: ils la cultivent en bio et surtout en pleine terre et en petite quantité, même si ça signifie travailler 80 heures par semaine. Pour Aude et Benoit Cuzon, quand on aime l’or rouge, on ne compte pas.  Un podcast écrit par Chloé Wibaux.
Chez Bernard Avy, on ne trouve que des melons francs, soit des melons qui ne sont pas issus d’une greffe entre deux variétés : « en supermarché, tous les melons sont greffés. Ils tiennent trois semaines mais n’ont aucun goût ». C’est que chez Bernard Avy, le melon, c’est une religion. Il ne cultive que des variétés anciennes, et en bio-dynamie pour respecter le fruit. Bernard est aujourd’hui le dernier producteur de melons à Cavaillon même et vend toute sa production à la ferme, en direct au consommateur. Références du producteur : Bernard Avy, maraicher à Cavaillon (Vaucluse, 84).https://www.plateauratatouille.com/436, Chemin des Girardes84300 Cavaillon06.09.08.00.41
Le vin de champagne coule dans les veines de la famille Philipponnat depuis 1522. Chez les Philipponnat, on est surtout très fiers de son terroir, la terre d’Ay et notamment d’un clos d’exception en Champagne : le Clos des Goisses. Selon Charles Philipponnat, à la tête de la maison depuis 2000, les décisions de viticulture et d’oenologie doivent servir l’expression du territoire. C’est que, depuis 1522 chez les Philipponnat, avant même le champagne, c’est bien la terre d'Ay que l’on met en avant. Liens utiles : Maison Philipponnathttp://www.philipponnat.com/fr/
Au coeur du terroir de l’AOP volaille de Bresse, on ne rigole pas avec les traditions : chaque année, etdepuis 118 ans, la confrérie des poulardiers de Bresse se retrouve pour introniser les nouveaux éleveurs de volaille de Bresse qui concourront à faire perdurer l’AOP. Chez les Sachetat, la volaille, c’est sacré. Ici, on élève poulets, poulardes, chapons et dindes en plein air, nourris aux céréales récoltées en Bresse. Conjuguant exploitation traditionnelle, amour du produit et passion de la gastronomie, Joseph Sachetat travaille à un produit d’exception, dont tous les chefs étoilés reconnaissent la délicatesse.
L’olive de Nyons, chez les Brès, c’est une voie naturelle : la famille cultive les olives depuis 1829. ANyons, le goût de l’huile d’olive est intimement lié à celui des olives de Drôme, les célèbres tanches augoût très doux. Ainsi, Régine Brès, digne héritière du domaine en plein coeur des Baronnies Provençales,dit que la famille ressemble à son huile et à son champ d’oliviers : tout en discrétion et en sobriété.Référence des producteurs : http://www.fermebres.fr/
Depuis des siècles, les paludiers ont façonné le paysage du pays Guérandais. Pour Françoise et Lionel Charteau, producteurs de sel sur la presqu’ile guérandaise, ce qui compte, c’est le goût. Depuis dix ans, en lien avec les chefs étoilés de la région, et toujours par les techniques ancestrales, ces artisans affutent la fleur de sel afin de la rendre la plus fine possible et pour que ce produit du quotidien, le sel, devienne sous leurs mains un produit exceptionnel.Références des producteurs : https://www.maisoncharteau.com/https://www.facebook.com/maisoncharteau/
C’est la région de Chinon qui développe la première la trufficulture moderne au XVIIIème siècle. Aujourd’hui, en Touraine, on vénère toujours l’or noir, qui s’obtient par une alliance rare et complexe : un sol propice à la truffe aux racines d’un chêne truffier, l’odorat d’un chien élevé à la truffe qui la cherche pour son maître, l’amour d’un pépinièriste qui soigne son arbre. Pour qu’au bout du compte, on trouve le champignon ultime dans les forêts de Touraine.Références de François Houette : http://www.truffe-houette.com/
Il y a près de 30 ans, Scarlett Le Corre est devenue l’une des premières femmes marin-pécheur de France. Depuis, deux cents jours par an, elle écume la baie de Guilvinec à bord de son bateau baptisé “Mon copain JP” afin de pêcher mais aussi de ramasser des algues qu’elle transforme et commercialise en produits d’épicerie fine. Elle transforme ainsi en produit de bouche raffiné tout ce que la mer choisit de lui offrir.
Après avoir failli disparaître dans les années 80, le porc noir de Bigorre a réinvesti les sous-bois du Gard sous l’oeil vigilant d’éleveurs passionnés. Parmi eux, Pierre Matayron, qui milite pour un élevage traditionnel, en adéquation avec le respect des animaux et des terres où ils vivent, et pour une production répondant aux critères d’une gastronomie d’élite.
Carole et Olivier, tous deux enfants d’agriculteurs, ont radicalement changé de vie à 40 ans pour reprendre une ferme traditionnelle normande. Ici, tout est fait sur place : de l’élevage, à la production du fromage jusqu’à la vente en petite quantité des fromages ronds et oranges qui ont le goût des pâturages normands.
L’utilisation massive des pesticides dans les campagnes ont poussé les abeilles vers les parcs, jardins et balcons citadins. Pour les abriter, quelques apiculteurs chevronnés dont Audric de Campeau ont installé des ruches sur les toits des grands monuments parisiens. Au dessus des boulevards, les abeilles créent un miel réputé à la saveur des fleurs des jardins parisiens.
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